Institut pour une
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état au 18/01/2017
LA VIE ÉCONOMIQUE ASSOCIATIVEPassages de l'œuvre complète de Rudolf Steiner Compilée et annotée par Sylvain Coiplet Traduit par François Germani pour les passages non encore
disponibles en français. Association comme institution de la vie
économique Une association est un regroupement de consommateurs, commerçants et producteurs dans le but d'influer sur les prix ainsi que tous les participants puissent s’en sortir avec. Autrement que cartels et agences, les associations ne vont pas au coût des consommateurs, parce que ceux-ci sont directement impliqués dans toutes les décisions. À la différence des coopératives de consommation, les consommateurs ne cherchent pas à prendre le contrôle sur le commerce et la production. Pour que l’offre de marchandises et prestations corresponde aux besoins ainsi que les consommateurs puissent aussi se permettre les produits nécessaires, les associations agissent sur le nombre d'actifs dans la branche correspondante. Si un produit devient trop bon marché pour les producteurs, ils devraient devenir moins nombreux. Ils seront alors ensuite utilisés dans d'autres branches dont les produits sont encore trop chers pour les consommateurs à cause d’une offre trop restreinte. Pour ajuster dynamiquement la masse monétaire à l'économie réelle, les associations laissent l'argent vieillir aussi vite que les moyens de production. Si les moyens de production disparaissant sans remplacement, il n’y a notamment plus rien à échanger. L'argent perd sa valeur. Les deux doivent donc être remplacés au bon moment. Pour remplir ces tâches, les associations sont dépendantes d'une vie de l’esprit autonome. Ainsi seulement vous pouvez compter sur la nécessaire disposition à apprendre chez les producteurs et à un engagement compétent aux moyens de production. En ce qui concerne la conscience professionnelle, elles dépendent également des décisions d'une vie démocratique. Cela explique pourquoi n'en va pas seulement dans cette collection de sources d’associations, mais aussi de leur relation avec la vie du droit et à la vie de l’esprit. En bref
001 - Qu'est une association? Comment se constitue une association?Dans la citation précédente est devenu clair que les associations peuvent se constituer à tout moment. Celui donc qui veut établir de suite "son" association fait bien de prendre la citation suivante pour cela. Elle rend plus clair ce que Steiner comprend par «constituer» une association.
002 - L'association ne se laisse pas fonder mais
seulement rassembler. Qui doit être dans l'association?
004 - Trouver la juste vie associative, est
la tâche de l'Occident. Association et économie mondiale
015
- Weltwirtschaft führt zur Dominanz der größten
Volkswirtschaft Taille de l'association
020 - La vie de l'économie gagne par masse,
la vie de l'esprit par contre par solitude. Contrat et confiance
028 - Contrat comme principe de la vie de
l'économie. Du le contexte est à déduire ce qui suit : dans la vie du droit règne par contre la loi, la vie de l’esprit repose sur le conseil.
029
- Conclure des contrats plutôt que voter sur des questions
économiques Libéralisme et concurrence
033 - Principe d'association à la place du
libéralisme économique. Travail et revenuLa séparation entre le travail et le revenu appartient aux questions sociales que Rudolf Steiner a abordées déjà avant la Première Guerre mondiale, donc avant le mouvement pour la triarticulation à proprement parler. Cela soulève la question complémentaire de la façon dont les déclarations précoces - aphoristiques – se comportent par rapport aux exposés ultérieurs. Comment la «loi sociale principale» formulée en 1905 se situe par rapport à la « cellule primordiale économique » de 1919 ? Les deux partent du fait de la division du travail moderne, par laquelle le revenu ne peut plus être une question d'autosuffisance. Mais, la complexité de collaboration conduit-elle à ce que la part de l'individu au résultat global ne peut plus être déterminée ? Est-ce que cela signifie que le revenu ne doit plus être orienté à la prestation, mais seulement encore aux besoins ? Et de toute façon, pourquoi devrait celui qui peut plus, obtenir plus, s’il n'a pas besoin de plus que les autres ? Tout le monde ne doit-il pas simplement obtenir un revenu de base ? Ce sont tous des arguments qui me viennent à l'esprit quand Rudolf Steiner pense «que travailler pour les autres et viser un certain revenu est deux choses entièrement séparées les unes des autres. » Mais il est intéressant de noter que Rudolf Steiner dans ses exposés ultérieurs sur la vie de l'économie expose l’affirmation que la part de l'individu au résultat global peut quand même être saisie mathématiquement au sens d’un taux (NDT Ou quota, ou ratio). Cela va dans la même direction, quand Rudolf Steiner expose la prestation et la contreprestation en tant que principe de la vie économique. Met-il maintenant toute l'argumentation en question ? La séparation du travail et du revenu pendant le temps de la tri-articulation signifie t’elle encore seulement que le revenu serait une question économique et le travail - dans le sens de temps de travail – une juridique, une question démocratique? Rudolf Steiner a-t’il perdu des yeux cet idéal se poursuivant? La réponse réside vraisemblablement dans ses attentes à l'égard de la vie de l’esprit, qui dans la tri-articulation sociale doit remplacer, à côté de la vie du droit, le revenu comme motivation au travail. Seulement à cet endroit se rencontrent des déclarations antérieures et postérieures. Seulement sera attaché cette fois à la vie de l’esprit un autre idéal, à savoir au début l’égalité et plus tard la liberté (voir aussi là-dessus la collection 2). Et la continuation de cette vie de l’esprit, c'est ce qui rend nécessaire que celui qui peut plus, obtient plus, même si n’en a pas du tout besoin pour lui-même. Il peut notamment le donner de manière la plus sensée.
035 - Travail et revenu sont deux choses
entièrement séparées l'une de l'autre. Argent et monnaie(voir aussi : Qu'est-ce que l'argent ?) Au lieu de tenir la politique monétaire pour une tâche d’État et la circulation du capital pour une question de marché, Steiner retourne tout, pose tout sur sa tête. Pour la monnaie, l'économie mondiale doit elle-même être responsable. Mais le capital doit être pris en charge par la vie de l’esprit, et par là devenir invendable. Si on regarde plus exactement les raisons de Steiner, alors deviendra vite évident que l’un ne va pas sans l'autre. On ne peut se permettre une dénationalisation de l'économie que si le marché des capitaux est supprimé en même temps. Sinon, survient une globalisation qui ne pense pas seulement 'économie mondiale', mais également suprématie de l'économie, et doit donc de ce fait être combattue de bon droit. Cette relation la plus part des tri-articuleurs ne l’on pas vue. Ils se sont plutôt disputés quant à savoir si l'argent est une marchandise ou un droit. Beaucoup s’effrayent en effet de compter argent et monnaie aux tâches de la vie de l’économie. La tri-articulation sociale leur est quand même trop radicale. De telles tentatives anthroposophiques, de laisser quand-même l'argent et la monnaie à l’ancien, à savoir les laisser à l'État, s’appuient généralement sur ce que Steiner ne veut pas faire de l'argent une marchandise comme les autres. Il devrait devenir une marchandise d'un genre particulier. Mais cela ne signifie de loin pas que Steiner veut en faire un droit, comme l'ont fait plus tard Wilhelm Schmundt et Joseph Beuys. Des monnaies d’État se découplent en effet de l'économie réelle. Sur le thème argent et monnaie, les écrits de Steiner comme ses «Points germinatifs de la question sociale» (GA 23) et ses essais «Réalisation de la triarticulation de l'organisme social» (GA 24) peuvent donner une première orientation.
040 - La monnaie n'appartient pas aux tâches
de l'Etat. Le passage omis ici sera repris au début du prochain chapitre sur «Intérêt et vieillissement de l'argent. » 041 - Sans triarticulation sociale il n'y a pas de solution à la question de la monnaie. Dans des passages supplémentaires des conférences, des particularités sont éclairées de plus près. Mais plus encore que dans les passages des écrits vaut cependant que le sens se délivre d’abord du contexte et des passages uniques peuvent facilement être mal compris.
042 - Le caractère international de
marchandise de l'argent est gêné par les États Si on lit ce passage isolé, on pourrait facilement croire que Steiner ne se prononce pas seulement pour l'argent comme une marchandise, mais aussi pour une couverture or de la monnaie. Cette impression n'est pas encore corrigée par le passage suivant, mais seulement par d'autres passages plus en dessous où Steiner rejette par principe une telle couverture et la tient pour nécessaire aussi longtemps qu’elle sera utilisée par la puissance économique dirigeante. Cela n'est plus le cas entretemps, là aussi les USA, qui, au cours du siècle, ont remplacés l'Angleterre comme puissance économique dirigeante, ont abandonné la parité-or de leur monnaie. Le problème de la spirale prix-salaires est mentionnée à nouveau par Steiner le lendemain. Mais il renonce à de plus amples explications sur comment ainsi une conséquente 'économilisation' de l'argent (NDT rendre l’argent dépendant de l’économie) pourrait empêcher cette spirale.
043 - Spirale
salaire-prix à éviter seulement par le caractère de
marchandise de la monnaie. Steiner ne parle ici d'un parlement économique que dans un sens figuré, et pense par là administration économique. Les votations comme celles des syndicats d'aujourd'hui donneraient à nouveau à la vie économique le caractère du droit, que Steiner veut en fait éviter. Voir là-dessus le chapitre « Association et manière de penser étatique » dans la partie 2, « la relation de l'association à la vie du droit. » 044 - La circulation du moyen de production comme base d'origine de la monnaie. Le petit livre annoncé ici est «Points germinatifs de la question sociale» (GA 23). Là Steiner parle en fait de manière très détaillée sur la nécessité d’une circulation des moyens de production, comme elle sera seulement évoquée ici (voir là dessus le chapitre sur « Vie de l’esprit et transfert du capital » dans la troisième partie «Relation de la vie de l’esprit à la vie de l'économie » dans la collection « Vie de l’esprit et corporations »). Il explique, par exemple, que la vie de droit a seulement à veiller à ce que cette circulation ait absolument lieu, mais la vie spirituelle a à introduire le point de vue des compétences individuelles. En additif à ces longues explications, Steiner discute de manière caractéristique la question de la monnaie. Mais là il en va, autrement qu’ici, pas expressément sur la relation entre monnaie et circulation des moyens de production.
045 - L'argent est encore une chose
hermaphrodite entre marchandise et virement. Peu de temps avant la publication de ses «Points fondamentaux de la question sociale» (GA 23) Steiner promet encore une fois, de revenir sur la question de la monnaie.
046 - La monnaie-or a seulement une valeur
imaginaire. Ici il est intéressant que Steiner parle de moyens de production utilisables. Cela ne renvoie pas uniquement à la circulation des moyens de production mentionnée jusque-là, de capables à capables, mais aussi à l'adaptation de ces moyens de production aux besoins, comme Steiner le souligne particulièrement dans le passage sur la monnaie dans les « Points germinatifs de la question sociale » (GA 23).
047 - L'argent ne sera plus marchandise
d'apparence mais comptabilité déambulante. Intérêt et vieillissement de l'argentAlors que Steiner tient d'une part l’intérêt pour justifié, il s’investit d’autre part pour la création d'un argent vieillissant. Depuis lors la plupart des tri-articuleurs n’ont pas retenu cette tension. Soit ils rejettent - comme Silvio Gesell – les intérêts et donc préconisent à cause de cela un argent vieillissant -. Soit ils tiennent - comme Steiner – les intérêts pour justifiés, mais ne comprennent pas pourquoi il a encore besoin d'un argent vieillissant. Veut-on comprendre Steiner, ainsi donc on ne doit pas seulement se rappeler ce qu'il dit de l'argent dans le chapitre précédent, mais aussi comment là, argent et monnaie doivent œuvrer ensemble avec le capital, respectivement les moyens de production. Voit-on de cela que Steiner considère les moyens de production utilisables comme la base concrète de la monnaie, ainsi il semble être d'accord avec Silvio Gesell de son rejet de l'étalon-or. On peut trouver une confirmation pour cela dans le passage des «Points germinatifs de la question sociale" que j'avais épargné jusqu'à présent. Là, Steiner parle à peu près comme Silvio Gesell d’un vieillissement de l'argent.
062 - L'argent s'usera, comme les marchandises
s'usent. Ici Steiner place l'argent vieillissant en relation avec la circulation du capital abondamment traitée dans les Points fondamentaux. Mais dans cette circulation du capital agissent ensemble vie du droit et vie de l’esprit. A cause de cela, une chose parle pour considérer le vieillissement de l'argent comme une tâche qui rend nécessaire la coopération de l'ensemble des trois membres de l'organisme social. A ce premier endroit, qui volontiers appartient aux plus célèbres déclarations de Steiner sur le thème vieillissement de l'argent, il a mentionné deux de ces membres : la vie de l'économie («mesures de l'organisation économique») et la vie de droit («mesures à prendre par l'État»). Mais par la comparaison de l’argent vieillissant avec les marchandises vieillissantes, ne devient pas clair que l'argent vieillissant a aussi à voir avec la vie de l’esprit, à savoir les moyens de production. Non le vieillissement des marchandises de consommation, mais le vieillissement des moyens de production, rend nécessaire une usure de l'argent . Le sujet de l'argent vieillissant, Steiner l’avait déjà discuté plus tôt avec Emil Molt, Roman Boos et Hans Kühn, dans une conversation, posant maintes énigmes par son périlleux choix des mots. Steiner doit, soit s'être adapté à la pleine non familiarité des trois amis à l'approche de la tri-articulation sociale et pour partie à leurs façons de parler, ou bien Roman Boos n’est peut être pas tout à fait arrivé à restituer Steiner correctement. Là, Steiner parle de loi et utilise déjà la comparaison entre argent vieillissant et marchandises puantes.
063 - L'argent devrait être sans valeur après un
temps par la loi Que Silvio Gesell emploie aussi la même comparaison entre l'argent vieillissant et les marchandises puantes, a amené maints tri-articuleurs à assimiler son concept de l'argent avec celui de Steiner. Mais dans des conférences ultérieures, les différences entre tri-articulation sociale et "argent libre" s’usant de Silvio Gesell deviennent de plus en plus claires. Un point central de cela est ici que l’argent vieillissant de Steiner n’a absolument rien à voir avec l'inflation, mais devrait éviter justement de telles fluctuations de valeur. Cependant, non par la manipulation de la masse monétaire, mais par le lien établit à l'instant/tout à l'heure entre monnaie et moyens de production.
064 - L'argent libre, autrement que la
triarticulation, ne conduit pas à une monnaie absolue. D’autres endroits qui tournent autour de l'intérêt, que Silvio Gesell veut abolir, sont encore importants pour la comparaison avec lui . La dessus il y a un passage dans les « Points fondamentaux de la question sociale », mais qui se laisse difficilement arracher de son contexte. Steiner décrit comment le capital administré par une personne doit être transmis dès qu'elle ne le gère plus. De ce capital Steiner différencie alors la propriété personnelle qui doit être transférée seulement après la mort. À cette occasion, Steiner parle à plusieurs reprises d'un intérêt légal, ce qui lui est repris plus tard par des partisans de Silvio Gesell.
068 - Retenue de l'intérêt légal régulé
étatiquement Un passage des «Principes directeurs pour le travail de tri-articulation » confirme que l'État n’a pas seulement à se saisir de la fixation de l'intérêt dans ce cas, mais plus généralement. Cela signifierait une extension de ses pouvoirs, où il peut exercer – mis à part tout de suite le cas de l'usure – seulement indirectement, une influence sur maintes fixations d’intérêt. C'est peut-être aussi mieux ainsi parce que l'État est actuellement corrompu par des intérêts économiques et à cause de cela essaie toujours de manipuler les taux d'intérêt à son avantage national.
069 - Au dommage par l'usure doit être mis
un terme par des lois. Mais non seulement l'État, mais aussi l'association, donc l'économie elle-même, sera mentionnée par Steiner comme la solution du problème de l'intérêt
070 - Argent et intérêts abstrait séparent
les humains, l'association les relie. Ici il en va comme dans les "Points fondamentaux de la question sociale" de ce que l'intérêt ou ses conséquences soient retenus dans des barrières. Mais à d'où vient l'intérêt lui-même, est fait allusion à un autre endroit. Ici Steiner répond à une critique de son autorisation de l'intérêt dans les «Points germinatifs de la question sociale» (voir en haut, le mot-clé «Retenue de l’intérêt légal régulé par l’État »)
071 - Les intérêts ne se laissent pas évité,
mais seulement l'intérêt sur intérêt. En dépit de la comparaison de l'argent avec la viande, qui se trouve aussi chez Silvio Gesell, ici sera clairement rejeté que Steiner ne rejette pas l’intérêt lui-même, mais son autonomisation (NDT : verselbstständigung). Mais il devient aussitôt clair pourquoi maints tri-articuleurs ne veulent pas le reconnaitre. Ils préfèrent tomber uniquement sur de simples promesses. Ce qui manque ici chez Steiner est une justification claire de l'intérêt. Faut-il alors se rabattre sur les motifs habituels de fondement de l'intérêt, qui considère le taux d'intérêt comme compensation pour l'absence de consommation immédiate ? Cela sonne assez creux, surtout quand il s'agit d’humains qui ne savent pas ce qu’ils doivent faire de leur argent. Steiner va à la question différemment. Ce qu'il suggère ici seulement avec le principe de prestation et de contreprestation, il le développe dans le cours d’économie nationale
072 - L'intérêt est un ersatz pour la réciprocité
du prêter. L'intérêt n'est donc pas une extorsion - comme chez Silvio Gesell - mais une forme de réciprocité économique. Le vieillissement de l'argent assure qu'il ne s’immortalise pas et conduit donc à nouveau à la rue à sens unique de l’économie. (28/12/2020 - en ce qui concerne donc la façon de voir de
Silvio Gesell ont peut se rapporter à son ouvrage : Association et formation des prix
073 - Les prix se laissent façonner par
socialisation plutôt qu'individualisation des entreprises. Association et orientation des besoins
080 - Le capitaliste reçoit par
l'association intérêt à la consommation du travailleur. Comme proposition pour la «pratique» fut suggéré au sein de la Société anthroposophique de commencer soi-même avec cela de réaliser la "triarticulation". Rudolf Steiner répond là-dessus que par la société l’idéal de la vie de l’esprit libre a été réalisé depuis le début, qu’en rapport à l’État de droit chaque isolement (NDT Heraussonderung) vis-à-vis de l'organisation externe est impossible : on ne peut pas créer un état dans l'état ! Puis il va plus prêt sur la vie économique :
093 - Répercussion post-mortem de la
satisfaction des besoins. Jugement associatif
094
- Sozialer Warenbegriff entsteht erst durch assoziatives
Urteil
Association et anarchie
097 - Proximité du syndicalisme à l'idée
d'association.
Association et tri-articulation
102 - L'association ne suppose pas seulement
biarticulation, mais triarticulation.
Relation de l'association à la vie juridiqueAbus de pouvoir de l'Etat
104 - L'association de l'agriculture et de
l'industrie empêchée par le pouvoir d’État. Association et économie d'État
106 - Les entreprises d’État doivent être
désétatisées et socialisées. Association et mentalité d'état
108 - Ne pas aspirer à démocratisation, mais
à socialisation des entreprises Association plutôt qu’organisation
111 - Association des capables à la place
d'une organisation d'en haut. Association plutôt que lutte de classes
116 - Association comme éducation à la
pensée économique à la place de la lutte de classe. Relation de l'Association à la vie de l’espritFécondation mutuelle
117 - Répercussion de la libre vie de
l'esprit sur la vie de l'économie. Usurpation mutuelle
120 - Association comme sens commun objectif
à la place d'acide moralinique. |