J'aimerai seulement revenir là-dessus : je le
trouve aussi extraordinairement intéressant qu'à
l'intérieur du peuple français tout de suite le
syndicalisme est monté, et crois, qu'on résout au
mieux la question quand on étudie le
se-mettre-en-société. C'est très intéressant d'étudier
les différentes nuances du socialisme français et
anglais. Le socialisme anglais est au fond une méthode
capitaliste atténuée. C'est en fait absolument cela
qui œuvre dans le capitalisme. Donc le pur élément
économique est en fait dans la question ouvrière
anglaise en grand seulement justement focalisée sur
les intérêts des travailleurs ; mais ce n'est pas
entièrement sorti, ainsi que le socialisme anglais a
une coloration opportuniste économique.
Le socialisme allemand a accueilli le marxisme avec
une compétence militaire et un esprit d'organisation
militaire, et il a reçu une robuste organisation
militaire. Et qui, comme moi, a œuvré dans une école
de formation de travailleurs, qui a grandi entièrement
de la sociale - démocratie, toutefois aussi par une
orthodoxie non marxiste, donc a été jeté dehors par
son non-marxisme, en ce qu'on a dit : pas
liberté, mais contrainte raisonnable – celui-là peut
déjà juger là-dessus (NDT prévoir lien au récit
complet de l'éviction de RS). Le socialisme
allemand est au fond quelque chose qui se tient
entièrement dans le même esprit que le militarisme
prussien a produit.
Le syndicalisme français est donc cela – vraiment
sans vouloir dire de quelque quelque chose au profit
d'une manière de peuple ou sans accroché quelque chose
aux Allemands -, le syndicalisme français est quand
même ce qui est à voir tout de suite par son caractère
associatif comme le meilleur commencement à ce que je
dois me penser comme l'association dans la vie de
l'économie. Et tout de suite quand je le compare avec
le socialisme anglais et allemand, alors je vois donc
que cela provient de la même chose que je cherchais à
caractériser, de l'opinion démocratique. Ce sont deux
côtés, l'un des côtés s'est montré chez la
bourgeoisie, l'autre côté chez les travailleurs. Et ce
qui s'est formé justement plus capitaliste et à la
mesure de rentier, cela est la formation syndicale
chez les travailleurs.
C'est seulement face recto-verso.
Donc je crois, que ces trois différentes nuances, la
nuance anglaise, française et allemande du
socialisme,sont en rapport avec les qualités du
peuple.
Et là on vient sur une question, que je tiens pour
extraordinairement importante. On ne devrait justement
aussi pas partir d'un socialisme général et ne devrait
pas croire qu'il y aurait un socialisme abstrait, mais
devrait demander : comment doit être traité
chacun des peuples à partir de ses entités
propres ? Et celui qui vient d'observation
ouest-européenne, les a encore couvées ici en Suisse,
va en Russie et impose au peuple russe quelque chose
d'entièrement étranger, il détruit en fait ce qui a pu
se former à partir du peuple russe.
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