Prenez un des derniers gros produits du
capitalisme, prenez cela à partir de ce quoi se sont
formés tout d'abord comme les plus forts empêchements
pour notre mouvement de triarticulation – en dehors de
l'assoupissement et de la corruption de la grande
bourgeoisie - : c'est le mouvement syndical des
prolétaires. Ce mouvement syndical des prolétaires,
mes très chers présents, il est le dernier produit
donnant la mesure du capitalisme, car là se
rassemblent des humains, purement à partir des
impulsions du capitalisme, quand aussi c'est
soi-disant le combat du capitalisme. Des humains se
rassemblent sans égard à une quelque formation
concrète de la vie de l'économie ; il se mettent
ensemble par branches, union des travailleurs de la
métallurgie, union des imprimeurs et ainsi de suite,
juste pour amener des tarifs de communauté et des
combats salariaux. Que font donc de telles
unions ? Elles jouent état sur le domaine de
l'économie. Elle amène complètement le principe
étatique dans le domaine de l'économie. Justement
ainsi que les grosses coopératives de production, qui
seront formées des producteurs entre eux –
contredisant le principe d'association, ainsi se
tiennent contre le principe d'association ces
syndicats. Et qui vraiment impartial voudrait étudier
le développement des si stériles, si infructueuses, si
corrompues révolutions du présent, il devrait un peu
regarder dans la vie de syndicat et dans son rapport
avec le capitalisme. Je ne pense pas avec cela les
allures capitalistes, qui ont déjà emménagé dans la
vie de syndicat, mais je pense à l'être entièrement
soudé du principe de syndicat avec le capitalisme.
Voyez-vous, là je viens sur ce qui
maintenant est dans un certainement sens aussi
nécessaire. Je vous ai caractérisé avant hier :
les associations, elles vont de branche à branche par
dessus au producteur, elles vont du consommateur par
dessus au producteur. Par cela se créent en effet déjà
les relations entre les branches particulières, car
c'est toujours celui-là qui est consommateur d'une
quelque chose, est en même temps aussi
producteur ; cela va déjà l'un dans l'autre. Il
s'agit seulement de cela qu'absolument on commence
avec l'associer. On peut commencer, je l'ai déjà
mentionné avant hier, tout d'abord le mieux, en ce
qu'on conduise ensemble consommateurs et producteurs
sur les différents domaines et alors commence, comme
nous avons vu aujourd'hui, à former des associations
avec ce qui se tient près de l'agriculture et qui est
pure industrie. Je ne pense avec cela pas une
industrie qui elle-même gagne ses propres matières
premières, elle se tient plus près de l'agriculture
que l'industrie, qui déjà est un parasite entier et
travaille seulement avec de purs produits industriels
et semi-finis et ainsi de suite.
Là on peut entrer entièrement dans la pratique. Quand
seulement on veut et quand on a assez d'initiative, on
peut déjà commencer sur la formation de ces
associations. Mais avant toutes choses nous avons
besoin que nous reconnaissions que le principe
associatif est le véritable principe économique, car
le principe associatif travaille sur les prix et est
indépendant de l'extérieur dans la formation de prix.
Quand les associations se déploient seulement
par-dessus un territoire suffisamment grand et
par-dessus les domaines économiques apparentés,
par-dessus un domaine dépendant avec une quelconque
branche économique, là on peut déjà fournir beaucoup.
Voyez-vous, ce par quoi la chose s'interrompt c'est
toujours seulement que quand aujourd'hui on commence
avec la formation d'une vie associative, oui on se
heurte aussitôt dans la vie extérieure au non vouloir
de l'humain sur la formation associative ; on
peut remarquer cela sur les plus différents domaines.
Seulement les gens ne remarquent pas sur quoi les
choses reposent. C'est pourquoi permettez-moi de
revenir encore une fois sur un exemple, que nous avons
nous-mêmes pratiqué. C'est toutefois un exemple où on
a dans une certaine mesure à travailler économiquement
avec des produits spirituels, mais sur d'autres
domaines on ne nous laissa pas travailler.
Maintenant, voyez-vous, cela est la
particularité de notre édition
philosophique-anthroposophique, j'ai déjà évoqué cela,
qui absolument travaille en harmonie avec le principe
associatif – tout d'abord au moins, elle doit donc
vers derrière naturellement se joindre diversement à
des imprimeries et ainsi de suite et vient là à
nouveau dedans dans d'autres domaines
économiques ; par cela il est difficile
d'atteindre du radical, mais il peut se tenir là comme
un exemple modèle. Ce qui en lui sera réalisé n'aurait
donc besoin que de se déployer plus loin par dessus
d'autres banches, le principe associatif n'aurait
besoin que d'être déployé plus loin. Et là il s'agit
de tout d'abord collectionner les intérêts, par
exemple, ainsi, quand une quelque personne s'y
mettrait et rassemblerait un millier de personnes – je
veux donner un certain nombre -, qui se déclareraient
prêt d'acheter leur pain chez un quelque boulanger
déterminé. Ainsi, se trouvèrent dans la société
anthroposophique – qui donc naturellement n'avait pas
été fondée à cet effet, mais tout a aussi son côté
économique -, ainsi se trouvèrent ensemble dans la
société anthroposophique les gens qui furent les
consommateurs pour ces livres, et ainsi nous n'avons
jamais eu à produire sur concurrence, mais nous ne
produisions que ces livres dont nous savions très
exactement qu'ils seraient vendus. Nous n’occupions
donc pas sans utilité imprimeurs et fabricants de
papier et ainsi de suite, mais nous occupions
seulement autant de travailleurs que furent
nécessaires pour la fabrication de la masse de livres,
dont nous savions qu'elle sera consommée. Donc des
marchandises inutiles ne furent pas lancées sur le
marché. Par cela est fondé un vraiment rationnel à
l'intérieur de la fabrication de livres et de la vente
de livre, car justement le travail inutile est évité.
J'ai déjà rendu attentif à cela : sinon on
imprime des éditions, les jette dehors sur le marché
et alors elles reviennent à nouveau – tant de
production de papier inutile sera fournie, tant et
tant de typographes inutiles occupés et ainsi de
suite. Que tant de travail inutile sera fourni c'est
cela qui oriente notre vie de l'économie vers le fond
parce que justement le sens pour cela n'est pas
disponible, de travailler ensemble rationnellement par
associations, ainsi que la production sache réellement
où elle dépose ses produits.
Maintenant, savez-vous, ce qui disparaît
alors ? Vous devez penser cela de part en
part : ce qui disparaît c'est la concurrence.
Quand on peut déterminer le prix de cette manière,
quand on peut vraiment déterminer le prix sur le
chemin de l'association des branches, là s'arrête en
effet la concurrence. Il est seulement nécessaire de
soutenir d'une certaine manière cet arrêt de la
concurrence. Et on peut le soutenir par cela [que les
différentes branches se mettent ensemble en
association]. Toutefois était donc aussi déjà toujours
disponible un besoin à ce que les gens de différentes
branches se mettent ensemble ; mais ce se mettre
ensemble des gens d'une même banche, cela perd
réellement sa valeur économique, parce que par là on
n'a pas besoin de concourir sur le libre marché, ne
l'a plus la nécessité, de sous offrir le prix et du
genre. Alors seront toutefois menées à bien les
associations, qui se fondent pour l'essentiel de
branche à branche, elles seront menées à bien par ces
associations que nous pourrions de nouveau nommer
coopératives. Mais celles-ci n'auront plus à avoir
alors aucune signification économique réelle,
celles-là tomberont plus hors de la vie économique
réelle. Quand ceux-là qui fabriquent un même produit
se lient, ainsi cela sera très bien, mais ce sera une
bonne occasion quand se déploient là plus d'intérêts
spirituels, quand là de préférence les gens qui
travaillent à partir d'orientation de pensée commune,
apprennent à se connaître, quand ils ont un certain
contexte moral. Celui-là qui pense réel, il peut voir,
comment vite cela se laisserait faire, quand on
déchargerait les unions de la même banche du souci de
la détermination de prix, en ce que les prix seraient
juste déterminés des unions des branches non
semblables.
Ce serait par cela – en ce que, j'aimerais dire, le
moral entrerait dans les unions de même produit -, ce
serait par cela le mieux de laisser créer le pont par
dessus à l'organisation spirituelle de l'organisme
social triarticulé. Mais de telles liaisons, qui
purement à partir de l'ordre économique capitaliste
sont apparues comme les syndicats, elles doivent aussi
vite que possible disparaître.
J'ai été récemment questionné par un
humain qui a à faire avec la vie de l'économie sur ce
qui en réalité devrait maintenant se passer, car il
serait vraiment très difficile d'inventer encore
quelque chose pour n'importe comment intervenir dans
un sens favorable dans la vie de l'économie déclinant
atrocement rapidement. Je disais : oui, quand on
continue ainsi aux positions d’État qui sont donc
encore toujours déterminantes pour la vie de
l'économie – et aujourd'hui tout de suite sont
premièrement bien déterminantes -, quand on continue
ainsi, alors cela va déjà très sûrement plus loin dans
la ruine. Car qu'est-ce qui serait aujourd'hui
nécessaire ? Cela serait nécessaire que ceux-là
qui devraient n'importe comment progressivement se
sortir de la bourgeoisie d’État comme porteur des
associations économiques, que ceux-là s'occuperaient
moins dans la direction, qu'on pourrait par exemple
remarquer en Wurtemberg où était un ministère
socialiste. Oui, tout de suite dans le temps, pendant
que nous étions particulièrement actifs, ces gens ont
donc une fois promis qu'ils voudraient venir. Ils ne
sont pas venus. Pourquoi ? 03337B233235199912101920
avant aussi, double traduc, mettre
à jour
Oui, ils se laissèrent toujours excuser,
car ils avaient des sessions de cabinet. Là on pouvait
toujours seulement dire à ces gens : quand vous
vous asseyez ensemble, là vous pourriez brasser là
dedans ce que vous voulez ; vous n'aideriez en
tout cas pas à mettre la vie sociale debout. - Aussi
ministre et tous ceux qui avaient maintenant les
places subordonnées, en bas du ministre, ceux-là
n'auraient pas été à leur place dans les cabinets,
mais partout dedans dans les assemblées populaires
pour trouver les masses de cette manière et travailler
parmi elles ; ceux qui avaient une quelque chose à
enseigner et à fournir, ceux-là auraient été à leur
place chaque soir parmi les travailleurs. Par cela on
aurait pu gagner les gens, que progressivement d'une
manière raisonnable les syndicats auraient disparu. Et
ils doivent disparaître, car seulement par là, que les
syndicats disparaissent, sont les purs groupements de
travailleurs, pourra avoir lieu l'association, et
c'est entièrement indifférent si un aujourd'hui tend
vers la direction du syndicat ou de l'association des
employés ou voir de l'association capitaliste d'une
certaine branche – ils appartiennent tous les uns aux
autres, ils ont leur place dans les associations.
C'est ce dont il s'agit que nous œuvrions avant toute
chose à la mise de côté de ce qui arrache les humains
les uns des autres.
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