Pour la productivité de la vie
spirituelle, les gens n'ont aucun sens. De cette
productivité de la vie spirituelle, de l'esprit
créateur, de la force de l'esprit, nous devons avant
toute chose donner un concept aux humains du présent.
C'est cela qui est nécessaire en toute première ligne.
Cela est une chose, relativement à cela nous n'avons
pas le droit de nous adonner à aucune illusion, car
nous ne saurions sinon pas comment nous pourrions
parler dans l'humanité du présent.
La deuxième chose, dont il s'agit, est
qu'au fond par la manière particulière de la vie
sociale, comme elle est montée dans les dernières
décennies, le sens pour le besoin de l'autre humain
s'est perdu. Sans ce sens pour le besoin des autres
humains, il n'y a absolument aucune formation de la
vie de l'économie. La vie de l'économie peut seulement
se former par des humains qui tout d'abord dans leurs
pensées sur la vie de l'économie peuvent entièrement
prévoir de leurs propres besoins et qui ont un
sentiment pour les besoins de quelques autres humains
et par cela apprennent à se sentir dans l'humanité. La
compréhension pleine de raison pour ce qu'on peut
nommer la consommation de l'humanité c'est cela qui
est nécessaire dans la vie de l'économie.
La vie de l'économie consiste donc en
production, circulation de marchandise et
consommation. Mais dominer la production, affecter à
la production sa force correcte, cela n'est en
première ligne pas du tout une chose de la vie de
l'économie. Vous voyez cela des « Points
fondamentaux » : le capital sera tout
d'abord amené en circulation du membre spirituel de
l'organisme social. L'art et la manière comment on
produit cela est une question spirituelle. Une
question économique est pour l'essentiel la question
de consommation. Naturellement ceux-là qui se tiennent
dans les associations économiques, doivent avoir la
possibilité, de dominer le produire, d'organiser le
produire à partir de la vie de l'esprit, mais on
apprend seulement à connaître l'intensité de la
production, la manière de la production quand on a un
sens pour les besoins des autres humains et pas
seulement, aussi pas comme groupe pour les siens
propres.
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