Là ces gens se préparent donc des
paroles étranges à l'avance, paroles qui au fond
toujours sont faites pour répandre du sable dans les
yeux, un sable qui a alors le plus souvent une
destination tout étrange. Ce sable devrait, quand il
retombe quelque peu sur ceux-là qui le saupoudrent, se
transformer un peu en grains d'or. Là les gens
disent : mais les conseils d'entreprise doivent
servir le tout, le tout d’État. Ils ne sont aussi pas
là pour cela, de procurer des avantages au travailleur
particulier, mais ils devraient servir à la floraison
de toute l'entreprise. - Maintenant je vous demande ce
qu'en fait cela signifie, quand on dit quelque chose
de tel : « les conseils d'entreprise
devraient servir à la floraison de toutes les
entreprises ». Cela ne signifie pas autre chose
que sera masqué de manière abstraite ce dont il s'agit
en fait. Pourquoi les entreprises sont-elles
absolument là dans le monde ? Quand même pour
cela qu'elles livrent quelque chose pour les humains,
et les humains sont donc tous des individus ! Les
entreprises sont absolument seulement là pour que ce
qui sera fabriqué en elles devienne bien de
consommation pour l'humain particulier. Et parler
d'une floraison des entreprises dans un autre sens que
l'humain individuel arrive à sa prospérité par ce qui
sera fabriqué dans les entreprises, cela signifie ne
pas parler à partir de la réalité, mais de recouvrir
la réalité avec un brouillard bleu.
Cela sonne toujours si terriblement
beau, quand on dit, il devrait être servi au tout.
Dans le domaine économique cela n'a aucun sens,
car : qu'est-ce qui est le tout ? Ce sont
les individus tous ensemble ! On ne devrait donc
pas dire « à la floraison des entreprises »,
mais « à la floraison de tous ceux qui sont
associés aux entreprises et absolument à
l'économie ». Alors, la chose serait présentée
correctement et les faits ne seraient pas recouverts
d'un brouillard bleuté.
Voyez vous, on dit très souvent :
l'impulsion à la triarticulation de l'organisme social
serait une idéologie. Mais en réalité cette impulsion
aimerait dissiper tout le brouillard bleu duquel n'a
pas seulement été parlé, mais qui a été utilisé au
service de l'oppression et a cette place placer la
vraie réalité, l'humain avec ses besoins. Maintenant
voyez-vous, qu'est ce que réclament les gens ?
Les gens réclament que les habilitations des conseils
d'entreprise d'après abondant examen des conditions –
ainsi dit-on donc toujours, quand on ne veut pas une
chose – seront réglées par des experts, et comme
experts seront nommés des donneurs de
travail/employeurs, des preneurs de travail et des
politiciens sociaux. Maintenant, le concept des
donneurs de travail/employeur, il doit en fait comme
tel disparaître par une véritable socialisation. Car
un donneur de travail il ne peut seulement y avoir
quand il est un possédant de travail, et un possédant
de travail il n'y a justement pas droit d'en avoir. Il
peut seulement y avoir des directeurs/chefs de
travaux, cela signifie de tels humains qui sont actifs
dans l'organisation du travail, et à savoir ainsi
qu'aussi le travailleur physique sait sa force de
travail insérée au mieux et du genre. Naturellement
dans une entreprise le travail ne peut pas se dérouler
ainsi que chacun fait ce qu'il veut. Une direction
doit être là, toute l'entreprise doit être empreinte
d'esprit, mais ce ne sont pas des donneurs de travail,
ce sont des directeurs de travail, cela signifie des
travailleurs d'une autre sorte. Là-dessus est a poser
la plus grande valeur qu'on saisisse enfin une fois le
véritable concept de travail, car un donneur de
travail qui lui-même ne travaille pas avec,
n'appartient en réalité pas à l'entreprise, mais est
un parasite du travail.
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