La vie économique pour soi et la vie
étatique pour soi, chacun doit s’administrer soi-même,
c’est le but. Et dans la vie étatique ne doit être
administré que ce qui peut être administré sur des
bases démocratiques, sur quoi chaque humain majeur
peut décider. Mais chaque humain majeur ne peut
simplement pas décider quelle est la meilleure manière
d’amener tel ou tel produit d’un endroit à un autre ;
à cela appartient compétence. Et seuls les humains des
branches économiques correspondantes ont de la
compétence. À cause de cela l’ensemble de la vie
économique doit reposer sur la compétence et en même
temps présenter une certaine structure fédérative.
Le professeur Heck, qui a dit maintes
stupidités, a de préférence peur, si une
administration de telle sorte apparaît, que dans le
parlement économique – il n’y aura pas un tel
parlement, il y aura seulement un conseil économique
central – le petit artisan ne comprendra pas le gros
industriel, le travailleur de la terre le
scientifique. Oui, mais une telle situation n’apparaît
tout d’abord pas, parce que les associations qui
apparaissent dans la vie économique s’assemblent en la
forme de chaînes et d’associations en associations
sera négocié conformément aux choses. Une telle
remarque témoigne tout de suite que l’on ne peut
administrer la vie économique de manière démocratique,
mais seulement fédérativement, associativement. Il ne
peut s’établir quelque chose que par des négociations
conformes à la chose.
Donc, là siègent, disons, des
représentants de la branche chaussure, représentants
de l’industrie métallique ou de l’industrie textile,
et ils comprennent tous spécialement quelque chose de
leur affaire. Et le rassemblement est seulement là
pour que chacun délivre son jugement sur la fixation
de justes rapports de prix. C’est quand même quelque
chose d’entièrement différent, lorsque l’on s’écoute
les différents jugements et chacun fait valoir son
exigence, que simplement on vote de manière
démocratique. Cela n’agirait pas autrement, que ce que
certaines branches économiques s’associent et mettent
les autres en minorité. Alors, la minorité ne pourrait
jamais arriver à son droit. Avec une constitution, qui
apparaît du contexte de fait de la vie économique
même, une telle mise en minorité est exclue. Ainsi, se
réaliserai donc, ce qui doit se réaliser par loi
maintenant présentée par l’État de manière injustifiée
sur les conseils d’entreprise, se réaliserait d’abord
par les négociations des corps de conseil
d’entreprise. Je vous prie de retenir cela comme le
plus important, que l’organisme social tri-articulé
refuse toute loi étatique dans ce domaine.
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