Sur la question : comment pourra être trouvé un
critère objectif pour des biens ?
(…) Ce qui sera préconisé ici, la
triarticulation de l'organisme social, je devrais le
différencier de théories socialiste ou autres par ce
que c'est quelque chose qui en un sens le plus éminent
est gagné à partir de la pratique de la vie. C'est
pourquoi devra déjà être dit qu'une telle question
après la valeur objective d'un bien, une prestation,
un produit doive être strictement placée sur le sol de
la vie de l'économie. Mais là – et maintenant je viens
sur ce qui dans son mode de représentation est encore
étranger au présent – il s'agit pas de ce qu'on trouve
une quelque définition de ce qu'est la valeur d'un
bien. On a donc trouvé la plus belle définition pour
toutes les choses possibles, mais pour de très belles
définitions se se montre souvent justement qu'elles
n'aident pas pour un quelque pas en avant dans la vie.
Quand on parle de la valeur des biens, ainsi il ne
s'agit donc pas de ce qu'on peut dire, la valeur d'un
bien serait telle ou telle, mais il s'agit de ce que
la valeur du bien vient à véritable expression dans la
circulation de la relation humaine, que vraiment le
bien que je produis me rapporte ce dont j'ai besoin à
une telle prestation. Donc il s'agit de ce que dans la
circulation des biens le bien s'introduit avec sa
valeur correspondante.
Et la réflexion n'a pas à s'occuper, à donner, ce
qu'est le critère objectif d'un bien, mais la
réflexion a à s'occuper de trouver une structure
sociale par laquelle la production humaine de biens
entre ainsi dans la vie sociale qu'ils circulent là
dedans pour le bien de la communauté. Là il s'agit
avant toutes choses de découvrir les conditions par
lesquelles les biens deviennent de plus ou moins de
valeur.
On a besoin par exemple d'indiquer sur
ce qui suit. Admettons que dans un quelque domaine
économique fermé il sera produit trop de graisse, trop
de graisse consommable humainement. Bien, on peut donc
utiliser aux graissages des voitures le surplus que
les humains ne peuvent consommer. On peut l'utiliser
ainsi, bien. Mais par cela, pour cette communauté
d'humain, la valeur de la graisse sera pour
l'essentiel minorée. Admettons, il sera produit trop
peu de graisse, alors la valeur sera augmentée, et
seulement ceux qui ont un avoir au dessus de la
moyenne pourront se procurer la graisse. Donc, on peut
donner les conditions sous lesquelles la valeur d'un
bien , une prestation grimpe ou chute.
Maintenant il s'agit de ce qu'une
structure sociale apparaisse par laquelle cette valeur
du bien particulier en comparaison aux autres
viendrait à son expression d'être-là correspondante.
Donc il ne s'agit pas de ce qu'on puisse donner
la valeur, ce qu'on peut naturellement par le prix en
argent correspondant ; mais là la valeur complète
ne vient pas à l'expression. Il s'agit de ce qu'on
doit l'amener à ce que comparativement avec d'autres
biens les biens produits, dont il s'agit, ont la
valeur correspondante. Cette question doit donc être
posée sur le sol de la vie de l'économie et pas
d'après une définition de la valeur, mais d'après les
conditions sous lesquelles des biens peuvent recevoir
la valeur correcte correspondante.
C'est cela que j'aimais dire tout
d'abord. Je voulais par là seulement indiquer
là-dessus que dans beaucoup de rapport sur la vie
sociale le questionnement, les modes de
représentations devront se transformer. Et l'humanité
devra se gagner une révision d'opinion. Aujourd'hui
même la vie pratique est, j'aimerai dire, sucée dans
la théorie. Et je voulais indiquer dans la conférence
comme maintenant à nouveau de l'autre côté de proche
en proche s'introduit dans la vie de la vie concrète
devenue progressivement entièrement abstraite – tout
de suite sous la pression de l'économie de l'agent
devenu abstraite – dans l'économie du crédit.
Voyez-vous, ces choses seront donc aujourd'hui
traitées avec une certaine arrogance scientifique. On
ne remarque pas du tout, de quelles conditions
compliquées, quelque chose comme la valeur est
dépendante, la valeur véritable. Quand on prend le pur
prix, ainsi on n'a pas d'image de la véritable valeur.
On doit parvenir là sur la base de l'économie
d'ensemble. On peut par exemple parler de la formation
de prix dans le sens de la formation de prix-or. On
vient là dessus – des économistes nationaux par
exemple Unruh ont donc très bien indiqué sur ce fait,
mais sans les grands rapports -, qu'a l'intérieur d'un
domaine économique fermé, disons, une oie à une valeur
déterminée, qui s'exprime dans le prix. Alors, c'est
le prix en valeur-argent. Mais quand, comme d'autres
économistes nationaux ont fait, on veut étudier
d'après cela la structure entière de l'économie
nationale, alors on vient justement à des résultats
très unilatéraux, parce que dans un domaine économique
fermé la détermination de la valeur aussi de l'oie ne
peut pas être déterminée par la pure valeur en prix
d'argent. La valeur dépend en effet aussi de telles
choses : si à 'intérieur d'une économie des oies
seront tenues afin qu'on reçoive de la graisse d'oies
et les vende comme oies, ou si elles seront peut-être
tenues parce qu'elles seront déplumées et qu'on veut
vendre les plumes. Donc maint dépend de ce qu'on est
producteur de plumes ou d'oies. Cela s'établit en
premier lors d'une observation adéquate de la vie
économique. Quand on relève statistiquement purement
les chiffres de ce que les choses particulières
coûtent alors on ne reçoit pas d'aperçu dans le cours
objectif de la vie de l'économie, mais avec cela aucun
aperçu dans la véritable valorisation.
Quand on veut parler des valeurs, on
doit donc reconnaître les rapports et se placer
strictement sur le sol de la vie de l'économie. Alors,
on n'a pas besoin aussi de demander après cela :
comment s'exprime objectivement la valeur ? -
mais après cela : quels rapports de nature
sociale sont en état de donner un bien, une
prestation, une production humaine à cette valeur-là
qui est le correct dans la comparaison à d'autres
prestations, d'autres productions, d'autres
biens ? Cela serait la question correcte. Les
questions, qui apparaissent aujourd'hui très fortement
théoriques, j'aimerais dire, se rendent
pratiques ! Et sur ce se-rendre-pratique, qui
aujourd'hui encore procure une impression tout
étrangère à maint, qui tout de suite veut être un
praticien, vers cela travaille la triarticulation de
l'organisme social.
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