Question : Monsieur Münzing : je voudrais en premier
lieu en venir à parler sur quelque chose, qui est dans
le livre « Les fondements de la question
sociale ».Il est écrit là, à la page
78 : « Ce qui en multiplication du
capital par les moyens de production – après déduction
des intérêts légitimes (NDT ou légaux) – se
constitue, cela remercie sa constitution à l’action de
l’organisme social tout entier ». – « Après
déduction de l’intérêt légitime » - là j’aimerais
donc prier de me dire ce que je dois comprendre
là-dessous. D’après ma conception, toute la question
qui tourne autour du capitalisme et du socialisme,
marche sur les mots : « L’argent rapporte
des intérêts, le capital rapporte des intérêts »
Question : Lorsque nous arrivons plus près sur
les pensées, nous pouvons toujours à nouveau trouver,
que l’argent dans la réalité se différencie dans la
sorte qu’il porte intérêt, sans que l’argent
travaille. Cela doit directement nous dégoûter comme
travailleur, quand nous entendons : l’argent
travaille. Qui travaille ? Donc pas
l’argent ! L’argent sera utilisé, afin que
d’autres travaillent, et extraient l’intérêt. Il y a
aujourd’hui des conceptions, qui disent : la
question sociale se laisse résoudre par l’abolition du
profit commercial et semblable, et il y a encore
beaucoup d’autres recettes pour la solution de la
question sociale. – Je crois que la solution à la
question sociale pourrait seulement être réalisée par
cela que les partis prescriraient : l’intérêt est
interdit ! – Cela concerne aussi les emprunts de
guerre et l’argent à la caisse d’épargne. Je voudrais
prier, de réfléchir cette pensée, aussi si elle
n’appartient pas au thème de ce soir. Si aujourd’hui
venait un gouvernement, qui dirait, l’argent ne porte
plus d’intérêt, alors toute la situation serait
immédiatement déplacée. Tous les renchérissements des
marchandises ont finalement leur fondement là dedans,
que le capital porte de l’intérêt à la caisse
d’épargne, que l’argent doit travailler. Je ne trouve
plus dans tous les programmes justement cette simple
exigence de la suppression des intérêts. Et je
voudrais prier Monsieur le Dr Steiner à des
renseignements à ce sujet. Je suis un nouveau, mais
j’ai toujours rencontré cette question. A cette
question appartient aussi le loyer. Celui-ci devrait
être payé de la sorte que certaines dépréciations
d’une maison soient payées, car une maison perd donc
en valeur par l’utilisation.
Steiner : Quand on cite quelque chose comme le
taux d’intérêt, ainsi je vous prie de tenir compte,
que dans chaque phrase de mon livre est aspiré à dire
sincèrement ce qui est vraiment et que dans mon livre
est strictement rejeté tout ce qui doit être intérêt
de l’intérêt. Donc, un vrai accroissement du capital,
comme c’est aujourd’hui le cas, où un capital peut
doubler en quinze ans, est impossible si cette réalité
arrive comme je la décris dans mon livre. Mais je
parle toutefois d’une condition légitime d’intérêt. A
cela je vous prie de prendre en considération comment
je parle du capital dans mon livre. Car vous voyez, il
est facile, de jouer la comédie aux gens en ce qu’on
leur dise : quand on supprime tous les intérêts,
alors en sort le correct. – Il ne s’agit à toutes ces
choses seulement de cela si on le peut. Et j’ai
seulement décrit de telles choses, qui vraiment
peuvent être faites.
Réfléchissez comment se tient la chose. L’argent
reçoit un certain caractère, quand les choses
deviennent réelles, qui sont écrites dans mon livre.
J’ai exprimé cela parfois vis-à-vis d’amis quelque peu
banalement, en ce que j’ai dit : l’argent puera
pour la première fois dans l’ordre économique qui est
pensé dans mon livre. Qu’est-ce que cela
signifie ? Cela signifie ce qui suit : quand
j’acquiers des réalités – l’argent en soi n’est pas
une réalité, mais seulement par là, que les rapports
de pouvoir sont correspondants, l’argent est une
réalité -, quand donc j’acquiers des réalités, ainsi
ils sont soumis de la loi du devenir consommé.
Capitalisme dans le sens réel nous n’avons donc pas
purement à l’intérieur du monde des humains, mais
aussi dans le monde animal. Quand le hamster
hamstérise, quand il constitue ses réserves d’hiver,
alors c’est son capital pour les prochains temps,
seulement cela a la particularité, qu’on ne peut
l’utiliser que dans les prochains temps, sinon il se
perdrait. Et nous l’avons amené dans notre ordre
économique capitaliste, qu’au moins pour certains
temps courts l’argent a perdu le caractère de toute
autre réalité restante. Que faisons-nous quand nous
calculons les intérêts ? Nous multiplions
l’argent avec pourcentages et temps et divisons par
cent. Par là nous en avons l’intérêt. Par là nous
avons calculé avec irréel, avec images
d’apparence ! Nous avons calculé avec ce que nous
avons mis là comme représentant de la réalité.
Ce qui fut produit par capital, peut depuis longtemps
être devenu inutilisable, peut même ne plus être
entièrement et du tout disponible, et cependant on
peut d’après nos conditions de pouvoir calculer :
capital fois pour cent et temps divisé par cent. [… À
l’avenir il s’agit qu’on soit conscient quand on fonde
une entreprise, une activité – et cela doit donc
toujours à nouveau se passer, car sinon tout le
processus de développement de l’humanité viendrait à
l’arrêt -, que toujours le travail passé trouve emploi
dans le travail futur.]
Vous voyez, quand vous bâtissez une nouvelle
activité, alors vous devez embaucher de nouveaux
ouvriers, il est indifférent si maintenant la société
ou un particulier fait cela. Autrefois c’était le
particulier, à l’avenir cela se montrera par la
structure de la société. Vous devez donc embaucher des
travailleurs. Ceux-là doivent, quand on construit une
activité qui ne peut encore rien donner dans la
société, se nourrir, se vêtir. Il doit donc, afin que
cette activité puisse se constituer, avoir été
travailler dans le passé. Donc, il doit être créé la
possibilité que du travail passé soit utilisé pour des
prestations ultérieures. Mais cela n’est pas possible
autrement que quand mon travail passé s’écoule dans
une prestation future, j’aie un certain avantage de
cela. Donc en vérité je travaille par exemple, disons,
aujourd’hui tout en ordre, et sur quels chemins est
indifférent, mais de ce que je travaille aujourd’hui,
sera construit dans dix ans une quelque nouvelle
activité. Cela vient à cela. Quand je travaille
aujourd’hui, je dois aussi avoir quelque chose pour
mon travail. Le travail sera seulement économisé pour
le suivant. Et c’est cela, ce que je nomme intérêt
légitime, et je l’ai ainsi nommé, parce que je veux
être sincère dans mon livre, parce que je ne veux pas
avoir de succès à bon marché par là, que je nomme
blanc noir. Dans la vie économique, du travail passé
doit être utilisé pour des prestations futures. Ainsi
que des travaux dans le présent ont une
contreprestation, ainsi ils doivent aussi dans le
futur, quand ils seront économisés, appeler une
contre-prestation. La vie économique le fait
nécessaire, que du travail passé sera utilisé dans le
futur.
Prenez à cela, que le capital s’épuise de proche en
proche. Pendant que le capital s’est maintenant doublé
en quinze ans, il arrêtera à l’avenir d’exister après
environ quinze ans. Le processus inverse a lieu !
Comme les autres choses pueront, ainsi aussi l’argent.
Ainsi, le capital ne porte pas d’intérêt, mais devra
être créer la possibilité que cela qui a été travaillé
dans le passé, soit contenu dans une prestation
future. Alors, vous devez aussi avoir le salaire pour
cela. J’aurais du [dans mon livre] pouvoir le nommer
salaire, mais je voulais être entièrement sincère et
voulais amener à l’expression : gérer réside là
dedans que du travail passé sera fiché dans des
prestations futures, et là je nomme la correcte
rémunération pour cela l’intérêt.
Mais pour cela j’ai aussi dit expressément : il
n’y a pas d’intérêt sur intérêt. Celui-là il ne peut y
avoir, de plus pas non plus n’importe quel laisser
travailler le capital. L’argent puera. Cela se perd
justement comme d’autres choses, comme viande ou
semblable. Ce n’est plus là, ça ne travaille pas plus
loin. Si cous prenez les choses comme elles sont dans
mon livre, ainsi vous devez partout réfléchir, que je
pars de ce qui est possible et qui doit vraiment
devenir, et non d’exigences qui se constituent de ce
qu’on se dise : nous supprimons ceci ou cela.
Oui, mes très chers participants, quelqu’un pourrait
très bien venir à l’idée absurde et dire : nous
supprimons le sol. – Alors nous ne pourrions plus
aller ! On ne peut pas supprimer des choses, qui
sont simplement nécessaires dans la vie économique
véritable ou dans d’autres domaines. On doit prendre
les choses comme elles sont, alors seulement on est
sincère. Je ne promets pas aux gens le bleu du ciel en
bas, mais je veux parler des réelles conditions de vie
de l’organisme social. Et ainsi je voulais parler ici
de ce qui peut vraiment être fait, et cela sera bien
ce qui aboutit aussi à ce qui repose inconsciemment à
la base des revendications des larges masses
laborieuses. Et c’est mieux, quand on prétend à
remplir ces aspirations à partir d’une connaissance de
la réalité, que quand on endort les humains avec de
pures promesses.
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