Quand seulement nous voulons, alors des
idées saines de la tripartition (NDT ici bien
« Dreiteilung ») en vie de l'esprit, vie de
droit et vie de l'économie peuvent saisir de la place.
Car cette vie de l'économie, elle deviendra seulement
saine, quand elle sera désarticulée des deux autres.
Alors comme je l'ai exposé dans mon livre, se
formeront des associations, des coopératives sur le
domaine de la vie de l'économie, mais qui de manière
saine ne partent pas de produire et de profiter, mais
qui partent de la consommation et ne font pas la
production ainsi que des forces de travail seront
pulvérisé dans l'air, mais que les forces de travail
seront appelées pour l'assainissement de la
consommation, à la satisfaction des besoins.
Permettez encore que je vous raconte le
début que nous avons fait dans la société de laquelle
je comprends bien qu'elle sera tant calomnié, que vous
ne l'aimiez pas, - que je vous raconte, comme sur un
domaine déterminé a été tenté de socialiser
économiquement la vie de l'esprit. Lorsque me fut
nécessaire, à peu près il y a vingt ans, de conduire
cette société avec mes amis, là il s'agissait pour moi
de ce que je me disait:sors-tu vers le monde les
livres, qui seront produits par moi sur le sol de
cette société de la même façon capitaliste, comme
aujourd'hui c'est l'usage dans le commerce de livre,
alors tu pêches contre une pensée sociale saine. Car
comment les livres sont-ils aujourd'hui
fabriqués ?
Beaucoup d'humains se tiennent donc aujourd'hui pour
capables de fabriquer des bons livres. Maintenant,
quand tout cela devrait être lu ce qui aujourd'hui
sera imprimé, alors on aurait beaucoup à faire. Mais
voyez-vous, c'est pourquoi il y a simplement cet usage
dans le commerce de livre : n'importe qui se
tient pour un génie et écrit un livre. Le livre sera
imprimé à mille exemplaires. De ceux-là le plus
souvent 950 seront de nouveau mis au pilori parce que
cinquante sont vendus. Mais qu'est-ce que cela
signifie selon l'économie nationale ? Voyez-vous,
tant et tant de gens, qui doivent fabriquer le papier,
tant et tant de typographes, tant et tant de relieurs
et d'autres encore qui ont été occupés, ont été
employés à ce travail ; ce travail est
improductif, ce travail n'aura rien donné. Là-dedans
repose le grand dommage. Oh, vous seriez étonné quand
vous feriez seulement une fois la tentative de vous
répondre à la question de combien du travail que les
chers présents qui sont assis ici, doivent accomplir,
combien de cela n'a rien donné. Cela est le grand
dommage social. Comment ai-je donc tenté de le
mesurer ? Je me disais : avec le commerce de
livre n'est rien à faire. Nous avons nous-mêmes fondé
une petite librairie. Mais alors j'ai tout d'abord
veillé à ce que les besoins soient disponibles pour
lesquels devrait être imprimé le livre. Cela signifie
je devais me donner la peine de créer d'abord les
consommateurs ; naturellement pas sur le chemin
que je laissais ériger une colonne comme les colonnes
avec l'annonce : faites de la bonne soupe avec
Maggi ! - mais sur le chemin de d'abord créer le
besoin – on peut dire quelque chose contre ces
besoins, évidemment -, et alors seulement, commencer
avec l'impression, quand j'ai su, qu'aucun exemplaire
ne reste, aucun geste n'est fait sans fruit. Cela a
aussi été tenté avec la fabrication de pain, là cela
ne fut pas possible de la même manière dans les
conditions d'aujourd'hui, mais où cela pu être
exécuté, là se montra tout de suite le fructueux en
rapport économique, quand on part non de l'aveugle
production qui vise seulement sur le devenir riche,
mais des besoins, de la consommation. Alors, quand
cela se passe, alors pourra sur le chemin de la vie de
l'économie coopérative être accomplie une véritable
socialisation.
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