Mais justement ainsi, comme la vie de l'esprit doit être démembrée de la pure vie de l’État, de l'autre côté sera démembré aussi de celui-là la vie de l'économie. Là on rentre dans un domaine où on trouve aujourd'hui moins d'opposants que pour la vie de l'esprit. Pour la vie de l'esprit, en particulier pour le système scolaire il est devenu usuel dans les trois à quatre derniers siècles, de regarder comme une tête éclairée seul celui-là qui voit le pouvoir de l’État sur le système scolaire comme le correct, celui qui ne peut pas du tout se penser que sans sombrer dans le cléricalisme ou du genre, pourrait à nouveau être retourné à l'autonomie de la vie de l'esprit.

Au fond pour la vie de l'économie les choses reposent semblables. Pendant que la vie de l'esprit a à faire avec ce qui comme capacité est disposé dans l'humain, qui devra être déployé de manière libre, qui porte dans une certaine mesure l'humain ici dans son être-là physique, la vie de l'économie a à faire avec ce qui doit être construit sur l'expérience, qui doit être construit sur ce dans quoi on grandi/croit dedans, en ce qu'on commence à comprendre son activité professionnelle. C'est pourquoi ne peut donner la mesure dans la vie de l'économie à nouveau ce qui souche de la vie démocratique, mais seulement ce qui est de soubassement objectif et de compétence.

Comment se laissent donner ces soubassements professionnels et objectifs à la vie de l'économie ? En fait tous non par une sorte de corporation,non par une sorte d'organisation qu'on aime tant aujourd'hui, mais uniquement et seulement par ce que j'aimerai nommer associations. Ainsi que des humains qui s'intègrent dans les métiers, qui deviennent vraiment compétents à la chose et à la matière sur le domaine de la vie de l'économie, forment des associations.

Pas qu'on organise les humains, mais qu'ils se rassemblent d'après points de vue objectifs comme ils se montrent à partir des branches économiques particulières, du rapport de producteur et consommateur, du rapport des branches de métier et branche d'économie. Là se montre – vous pouvez lire cela de mes écrits dans ses détails - même une certaine loi : combien grandes ont le droit d'être de telles associations, comment elles ont à se former, ce par quoi elles deviennent dommageables, quand elles deviennent trop grandes, par quoi elles deviennent dommageables quand elles deviennent trop petites. On peut absolument fonder par cela une vie de l'économie qu'on construit sur de telles associations, en ce que tout ce qui sera fait dans la structure sociale à l'intérieur de telles associations à partir de pure impulsion économique, tienne justement seulement sur l'objectif et le professionnel. Chacun sait dans une certaine mesure vers qui il a à se tourner avec ceci ou cela quand il sait, qu'il est enchaîné ensemble avec les autres ainsi ou ainsi par la structure sociale des associations, il a son produit à diriger en une telle manière par une chaîne d'associations et du genre.