triarticulation

Institut pour une triarticulation sociale
(version française du site allemand)
Conditions d'utilisation.

Accueil

 

Deutsch English Dutch Skandinavisk Français Italiano Español Português (Brasileiro) Russisch
Recherche
 Contact   BLOG  Impressum 
Collection: 04 - LA VIE ECONOMIQUE ASSOCIATIVE



Sujet: La loi sur les conseils d'entreprise veut individualisation des entreprises plutôt que socialisation.

 

Les références Rudolf Steiner Oeuvres complètes GA330 233-243 (1983) 31/05/1919





Traducteur: FG Editeur: SITE

Si les conseils d'entreprise doivent déployer une activité dans l'époque de la socialisation, comme elle sera exigée en réalité, comme la conscience d'époque, quand aussi encore l'exige diversement inconsciemment, les plus larges cercles du prolétariat, là les conseils d'entreprise doivent résulter du sol autonome de la vie de l'économie, qui est séparée dans sa structure intérieure de tout le reste qui est vie politique, vie spirituelle.

Avec ce qui avec cela est en fait dit, que la compagnie des conseils d'entreprise doit s'élever par choix libre des personnes participant à la vie de l'économie, afin que puissent se donner des constitutions pour l'avenir de la vie de l'économie, avec l'essence de ce qui tire vers le haut de profondes bases inconscientes de l'âme et cherche après des actes -, avec cela sont si peu familiers ceux-là qui se nomment aujourd'hui des praticiens, qu'une loi est projetée sur les conseils d'entreprise, laquelle dans tous ses points particuliers atteint le contraire de ce que les conseils d'entreprise devraient devenir, laquelle dans tous ses points particuliers proviennent de la foi qu'on ne devrait pas aller au-devant d'un nouvel avenir, mais qu'on devrait pouvoir conserver ce qui intérieurement est déjà nécrosé. Il n'y a pas de symptôme plus clair pour la non-pratique (NDT Unpraxis) et l'utopique de notre temps que l'apparition de ce projet de loi étranger à la vie. N'est-ce pas là temps que même ceux qui sinon ailleurs ont trouver leur pays (NDT natal) spirituel, doivent parler à partir de leur devoir parce qu'ils voient combien d'utopiques le temps fait aboutir, comme ce temps si riche en routines de vie est infiniment éloigné de toute véritable pratique de vie ?

(…)

Si je devais dire quelques mots sur la question soulevée des conseils d'entreprise, ainsi j'indique vers de courtes remarques que j'ai déjà faites dans la conférence que la compagnie des conseils d'entreprise doit provenir du pur corps économique ainsi que simplement dans les entreprises, à partir de personnalité travaillant spirituellement ou manuellement, sans que n'importe comment par sinon quelque chose comme de la pure confiance fondée dans le travail en commun, les conseils d'entreprise doivent tout d'abord être mis sur les jambes. Alors, les conseils d'entreprise sont là qui ont la confiance de leurs collaborateurs, dans les entreprises particulières. Là-dedans réside justement le non-pratique de ce projet de loi sur les conseils d'entreprise, qui est véritablement éloignée de toute socialisation. Le vraiment pratique consistera là dedans que de ses conseils d'entreprises apparaissent les institutions inter-entreprises qui doivent apparaître par cela que les conseils d'entreprise lesquels sont choisi (NDT ou élus, mais R. Steiner dit ailleurs que le vote n'est pas forcément ce qui fait une relation de confiance) des entreprises particulières forment une compagnie de conseils d'entreprises par-dessus un système économique fermé et eux-mêmes en une sorte de rassemblement originel se donnent premièrement une constitution, indiquent en plus de cela les lignes directrices sur comment alors les conseils d'entreprises particulières ont à nouveau à agir dans les entreprises de l'administration commune de la compagnie des conseils d'entreprise. À partir des forces de la vie de l'économie elle-même, de la vie de l'économie placée sur elle-même, doit provenir ce qui à partir de soubassements humains sociaux, pas de bureaucratiques maximes de gouvernement étrangères à la vie aujourd'hui devraient « marcher »– maintenant, on le nomme ainsi dans la langue de fonctionnaire, bien que ce marcher semble encore actuellement bien peu semblable au vieux marcher militaire, semble plus tôt un gigoter ou peut être un se-cacher.