Si les conseils d'entreprise doivent déployer une
activité dans l'époque de la socialisation, comme elle
sera exigée en réalité, comme la conscience d'époque,
quand aussi encore l'exige diversement inconsciemment,
les plus larges cercles du prolétariat, là les
conseils d'entreprise doivent résulter du sol autonome
de la vie de l'économie, qui est séparée dans sa
structure intérieure de tout le reste qui est vie
politique, vie spirituelle.
Avec ce qui avec cela est en fait dit, que la
compagnie des conseils d'entreprise doit s'élever par
choix libre des personnes participant à la vie de
l'économie, afin que puissent se donner des
constitutions pour l'avenir de la vie de l'économie,
avec l'essence de ce qui tire vers le haut de
profondes bases inconscientes de l'âme et cherche
après des actes -, avec cela sont si peu familiers
ceux-là qui se nomment aujourd'hui des praticiens,
qu'une loi est projetée sur les conseils d'entreprise,
laquelle dans tous ses points particuliers atteint le
contraire de ce que les conseils d'entreprise
devraient devenir, laquelle dans tous ses points
particuliers proviennent de la foi qu'on ne devrait
pas aller au-devant d'un nouvel avenir, mais qu'on
devrait pouvoir conserver ce qui intérieurement est
déjà nécrosé. Il n'y a pas de symptôme plus clair pour
la non-pratique (NDT Unpraxis) et l'utopique
de notre temps que l'apparition de ce projet de loi
étranger à la vie. N'est-ce pas là temps que même ceux
qui sinon ailleurs ont trouver leur pays (NDT
natal) spirituel, doivent parler à partir de
leur devoir parce qu'ils voient combien d'utopiques le
temps fait aboutir, comme ce temps si riche en
routines de vie est infiniment éloigné de toute
véritable pratique de vie ?
(…)
Si je devais dire quelques mots sur la
question soulevée des conseils d'entreprise, ainsi
j'indique vers de courtes remarques que j'ai déjà
faites dans la conférence que la compagnie des
conseils d'entreprise doit provenir du pur corps
économique ainsi que simplement dans les entreprises,
à partir de personnalité travaillant spirituellement
ou manuellement, sans que n'importe comment par sinon
quelque chose comme de la pure confiance fondée dans
le travail en commun, les conseils d'entreprise
doivent tout d'abord être mis sur les jambes. Alors,
les conseils d'entreprise sont là qui ont la confiance
de leurs collaborateurs, dans les entreprises
particulières. Là-dedans réside justement le
non-pratique de ce projet de loi sur les conseils
d'entreprise, qui est véritablement éloignée de toute
socialisation. Le vraiment pratique consistera là
dedans que de ses conseils d'entreprises apparaissent
les institutions inter-entreprises qui doivent
apparaître par cela que les conseils d'entreprise
lesquels sont choisi (NDT ou élus, mais R.
Steiner dit ailleurs que le vote n'est pas forcément
ce qui fait une relation de confiance) des
entreprises particulières forment une compagnie de
conseils d'entreprises par-dessus un système
économique fermé et eux-mêmes en une sorte de
rassemblement originel se donnent premièrement une
constitution, indiquent en plus de cela les lignes
directrices sur comment alors les conseils
d'entreprises particulières ont à nouveau à agir dans
les entreprises de l'administration commune de la
compagnie des conseils d'entreprise. À partir des
forces de la vie de l'économie elle-même, de la vie de
l'économie placée sur elle-même, doit provenir ce qui
à partir de soubassements humains sociaux, pas de
bureaucratiques maximes de gouvernement étrangères à
la vie aujourd'hui devraient « marcher »–
maintenant, on le nomme ainsi dans la langue de
fonctionnaire, bien que ce marcher semble encore
actuellement bien peu semblable au vieux marcher
militaire, semble plus tôt un gigoter ou peut être un
se-cacher.
|