J'avais une fois en l'année 1902 ou 1903
une discussion de table sur les cartes de vœux avec
une connaissance. Je disais, je n'écris pas volontiers
des cartes, n'écris absolument pas de cartes ;
car je dois penser qu'avec chaque carte un facteur
doit sous conditions monter beaucoup de marches –
purement à cause d'une carte -, et je voudrais lui
économiser ce travail, car les cartes n'appartiennent
tout de suite pas aux nécessités de la vie. Là dessus
le concerné dit : mais je sais, je fais plaisir
aux gens avec des cartes de vœux, et j'en écris
beaucoup, et cela apporte de la joie ; et quand
alors n'importe où un facteur ne suffit plus, ainsi
devra être employé encore un autre et cela contribue
alors à l'entretien de la vie du deuxième. Mais le
concerné ne pensa pas plus loin : car quand on
emploie un facteur de plus pour des cartes ainsi ne
sera pas fabriqué de ce qui est nécessaire pour la
vie.
Mais quand seulement pour les besoins de vie
fondamentaux on fabrique des marchandises nécessaires,
ainsi l'étendue de cette production signifie une
certaine situation de prix. Qui alors fait du travail
inutile restera malgré tout consommateur de choses
nécessaires à la vie [ce par quoi se montre une
déformation de la situation de prix]. Quand donc un ne
distribue plus inutilement des cartes de vœux, ne
multipliera-t-il plus la masse du travail
inutile, beaucoup plus il fera alors un travail
correspondant aux besoins corrects nécessaires et cela
aura une influence essentielle sur toute la formation
de prix dans l'économie politique.
Il arrive pour les choses qui se
rapportent à la vie pratique deux moments desquels on
ne tient compte que d'un. Il s'agit premièrement de
cela si une chose est correcte, et deuxièmement si
elle est conforme à la réalité. Les humains pensent
que c'est déjà assez quand une chose est
correcte ; mais elle doit aussi être conforme à
la réalité, et tant que cette pensée conforme à la
réalité ne saisit place de manière large, tant nous ne
pouvons sortir de la misère de la vie. Qui donc pense
que les travailleurs au Cri-cri en chaque cas
apparaissent comme consommateurs, qu'ils fabriquent
seulement des Cris-cris ou pas, il ne remarque pas
qu'en rapport au travail nécessaire ou non nécessaire
l'économie politique sera modifiée. Il s'agit de cela.
Ce regarde-sur-l'important-et-nécessaire, c'est cela,
que nous devons nous approprier pour la vie sociale.
Cela devrait être inauguré tout d'abord une fois par
les « Points fondamentaux » et tout le
mouvement de tri-articulation.
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