Alors, la question est arrivée ici plus loin, comme
les choses devraient se former en rapport au conseil
d'entreprise dans une entreprise d’État. À cela je
dois dire – cela a déjà été évoqué ici -, que pour le
choix des conseils d'entreprise il ne devrait être
fait de différence si maintenant il s'agit d'une
entreprise privée ou d’État. Aussi dans une entreprise
d’État devrait être tenté de surmonter tous les
préjugés et de choisir les conseils d'entreprise,
ainsi qu'aussi les conseils d'entreprise alors dans la
compagnie des conseils d'entreprise auront leur
position (NDT ou place) quand là sera mis au
point ce que j'aimerais nommer le statut de la
compagnie des conseils d'entreprise. Alors, il se
montrera que ne subsistera pas l'ordinaire être-aspiré
de telles entreprises par l’État. Ces entreprises
seront transférées dans l'organisme économique
autonome. Mais, cette exigence devra donc premièrement
être posée.
Voyez-vous, les choses, qui reposent à
la base de la tri-articulation, elles sont donc
pensées comme exigences pratiques, mais elles doivent
d'abord être posées. Par cela qu'elle inscrit un
humain individuel/particulier dans ses livres
respectivement place et aussi par cela qu'une
« union » intervient pour cela, avec cela
n'est tout d'abord rien fait. Sur sol économique ces
exigences doivent être placées par les personnes
faisant l'économie elles-mêmes et la confiance de
l'ensemble de la compagnie des travailleurs doit se
tenir derrière.
Plus avant a été demandé comment aurait
à se laisse dérouler la socialisation des chemins de
fers d’État ainsi que le système des postes et
télégraphes du point de vie de la tri-articulation.
Naturellement les gens auront aujourd'hui là encore de
gros préjugés, et on peut absolument admettre que le
bouleversement serait déjà un très grand quand ces
entreprises économiques de l'actuel État devraient
être transférées dans l'administration du corps
économique autonome. Mais cela doit se passer, car le
système de poste et télégraphe ainsi que le chemin de
fer appartiennent absolument à la vie de l'économie et
ne pourront alors se déployer correctement dans la vie
de l'économie seulement quand cette vie de l'économie
est indépendante de la vie de l’État ou de droit.
Qu'on puisse aujourd'hui seulement se
représenter ces choses difficilement, cela provient de
ce qui suit. On s'est habitué à penser les choses
ainsi qu'elles ont toujours été. On dit :
« ce sont des faits ». Mais mes très chers
présents, les faits sont donc des choses qui ont été
créées, crées par des humains et elles se laissent
justement tout aussi bien de nouveau créer autrement,
se laissent changer. C'est cela que nous devons saisir
des yeux. Il s'agit justement absolument de ce que
tout ce qui appartient à la vie de l'économie sera
aussi vraiment placer sur le propre sol économique
libre.
(…) Les chemins de fer d’État sont
aujourd'hui aimerais-je dire, pensés comme un meuble
d’État et on se pense le bouleversement comme quelque
chose de terrible. Mais on doit seulement considérer
que ce dont il s'agit à l'avenir, à savoir
l'administration de la vie de l'économie par les
conseils d'entreprise, par des conseils de circulation
et d'économie – ceux-là donc encore en plus -, que ces
changements sont absolument en rapport avec une
véritable socialisation et que toutes les craintes
sont superflues. Il s'agit donc de ce que par exemple
les chemins de fer seront administrés de manière
raisonnable et pas ainsi que l’État bureaucratique se
tienne dedans.
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