Il y a aujourd’hui beaucoup plus d’humains qu’on ne le pense qui empêchent le progrès social ; humains qui ne veulent pas comprendre, qu’à la phrase « les dernières quatre à cinq années ont amené à l’humanité d’Europe quelque chose de plus terrible que ce fut jamais là dans la période qu’on décrit ordinairement comme historique », doit être ajouté la phrase : « que maintenant aussi doivent se passer des choses à partir des profondeurs de pensée, auxquelles on n’est pas encore parvenues dans le déroulement de ce qu’on appelle histoire ». Nous sommes arrivés dans une période du temps, dans lequel l’humanité pense entièrement abstraitement ; mais le plus abstrait est les opinions de parti et programmes de partis, qui étaient là au début du 20e siècle, se développant hors de ce qu’était l’éducation par les sciences de la nature. Les gens ne veulent pas comprendre, combien abstraite, combien étrangère à l’humanité est ce avec quoi ils veulent aujourd’hui dominer la vie ! Les humains croient être pratiques. Seulement un exemple : les gens voient aujourd’hui, comment l’argent allemand fond sous les doigts vis-à-vis des transactions mondiales, comment la devise allemande fond de plus en plus avec chaque jour. Et en Allemagne on fait chaque jour de plus en plus les choses, sous lesquelles la devise doit tomber. Cela signifie : les praticiens sont de nouveau fortement à la rame. Et aussi longtemps qu’on ne considérera pas comment une véritable praxis de vie ne repose pas là où on l’a cherchée jusqu’en 1914, mais dans les idées dominant la vie, aussi longtemps il n’y aura pas de guérison. Que les gens ne soient pas suffisamment intelligents de s’avouer qu’ils devraient venir à un approfondissement, l’approfondissement de la raison, la bonne volonté seule ne le fera pas – c’est la plaie de notre temps.