Il y a un morceau de théâtre, là chante un coq dans
l'aube et toujours quand le coq a chanté, se lève le
soleil. Maintenant oui, le coq ne peut pas voir à
travers le contexte même c'est pourquoi il croit que
quand il chante, alors le soleil suit l'appel, qu'il
viendrait parce qu'il a chanté, il aurait fait que le
soleil se lève. Quand finalement, ainsi que ce coq qui
chante sur le fumier et veut faire se lever le soleil,
quelqu'un s'adonne à une illusion dans la vie non
sociale, cela ne fait rien. Mais quand sous
circonstances cela se passait que prospère l'idée des
conseils d'entreprise vraiment sur le sol de la
triarticulation et ces humains-là qui soignent cela
par ce que l'impulsion de l'organisme triarticulé a
amené cette idée dans le fleuve, mais alors voudraient
renier quelque peu l'origine et croient parce qu'on
aurait chanté, viendraient les conseils d'entreprise,
alors ce serait la même erreur et d'ailleurs une
erreur très fatale. Cela n'a pas le droit d'arriver.
Ce qui se passe en cette direction qui a été attaquée
ici cela n'a pas le droit d'être détaché, cela doit
rester en rapport avec l'impulsion correctement
comprise de la triarticulation de l'organisme social.
Ceux-là qui dans le sens de cette
impulsion veulent réaliser la compagnie des conseils
d'entreprise, ils ne peuvent jamais s'engager là
dessus que quelque peu de manière unilatérale la
compagnie de comité d'entreprise serait fondée et
serait toujours chanté « conseils d'entreprise,
conseils d'entreprise ». Avec cela ce n'est pas
suffisant. Cela a seulement un sens quand on
ambitionne en même temps tout ce qui devrait être
ambitionné par l'impulsion de l'organisme social
triarticulé.
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