Nous devons nous être clair là-dessus
qu'il s'agit que cet organisme social doit être
articulé, qu'il doit réellement être organisé
intérieurement légalement ; alors, il sera aussi
économique. Alors, le travail humain se tiendra
partout à sa juste place, et avant toutes choses, ne
sera plus accompli de travail inutile.
Qu'est-ce qui s'en suit ? Les
humains auront du temps. Et alors, mais très chers
présents, alors la base est premièrement donnée pour
de telles activités comme le sont l'art et choses
semblables. A cela appartient du temps. Et à partir du
temps viendra ce qui doit être là à l'art, et l'art
œuvrera alors ensemble avec autre chose, il œuvrera
ensemble avec la libre vie de l'esprit. Cette libre
vie de l'esprit part là dessus, ensemble avec le temps
disponible dans l'organisme tri-articulé de développer
le talent -pas de cette manière perverse, comme c'est
le cas aujourd'hui, mais d'une manière conforme à la
nature.
Quand l'organisme spirituel libre sera
vraiment isolé des autres organismes, alors le nombre
des génies méconnus baissera essentiellement, car une
évolution bien plus naturelle sera là. On suivra bien
moins les rêveries de quelque génie artistique et
semblable. Donc, le déploiement des talents sera placé
simplement sur sol conforme à la nature par le
déploiement de la libre vie de l'esprit.
Et encore quelque chose d'autre est
nécessaire quand l'art devrait se déployer : le
sens artistique, le besoin artistique, l'exigence et
le besoin de l'humain conforme à la nature après l'art
est nécessaire. Tout cela doit se montrer à partir de
la triarticulation de l'organisme social comme ce qui
justement se constitue quand une vie en commun sociale
organisée est là, pas une chaotique comme aujourd'hui.
Voyez-vous, avant toutes choses nous sommes donc
rentrés dans les temps récents dans le chaos de
l'impression artistique. L'impression artistique
originelle, celle qui avec force élémentaire source de
la connaissance, cela a donc complètement et
totalement disparu sous la formation moderne. Cela
reviendrait si nous nous développions dans le sens de
la triarticulation de l'organisme social. Et ainsi on
doit maintenant se penser la totalité de ce qui naît
là.
On doit donc, quand on parle à partir du
point de vue de l'organisme social tri-articulé,
parler seulement comme praticien et pas en théoricien,
on n'a pas le droit de demander après des principes,
mais on doit demander après des faits, et là on doit
dire, que, ce que j'ai maintenant évoqué, peut venir
bien plus vite qu'on pense. Et qu'est-ce qui se
constitue alors ? Alors se constituent des
associations pour les choses les plus variées – par
exemple de la vie de l'esprit, pour part à partir de
la vie de l'économie –. Et on ne devrait en fait pas
se représenter emboîté n'importe comment en
paragraphes et principes ce que feront ces
associations. Dans ces associations seront à nouveau
des humains qui à partir de toute la chaleur du
sentiment et du vécu humains pourront rendre des
jugements. Il ressortira des associations des humains
qui par ce qu'ils font sinon dans la vie, se
procureront une certaine validité, qui ne leur sera
pas garantie par l’État, par un titre de conseiller.
Si là maintenant les gens sont
conseillés secrets à la cour ou conseillers
d'entreprise ou sanitaires et semblable : les
gens n'auront pas une validité par ces choses
abstraites à partir de l'organisme social
tri-articulé, mais par ce qu'ils font, qui vit
perpétuellement. Par les associations les choses
vivront, ne vivront pas des paragraphes, mais il se
constituera ce qu'ils traiteront les uns avec les
autres dans les associations avec des humains ayant
validité avec droit ; il se présentera ce qui est
disponible maintenant en caricature comme l'opinion
publique ainsi nommée. On doit seulement se
représenter entièrement concrètement ce qui par
l'interaction vivante peut venir à réalisation.
Aux associations appartiennent donc
aussi ceux qui viennent de la vie de l'esprit. Oui, là
sera en fait à nouveau donné quelque chose sur
l'expérience de vie dans un humain, qui peut établir
les choses comme jugements justifiés.
Et quand vous prenez cela seulement dans l'entière
signification concrète, là s'en formera ce qui
suit : l'artiste pourra simplement gagner
vraiment aussi matériellement pour son œuvre d'art à
partir de ce jugement public, mais qui viendra à
validité à partir des associations.
Il se développera vraiment à partir de
ces rapports ce qu'un artiste aussi quand il devrait
avoir besoin de trente ans pour un chef d’œuvre, peut
recevoir pourtant autant pour ce chef d’œuvre qu'il
peut satisfaire ses besoins pour les 30 ans dont il a
besoin pour un nouveau chef d’œuvre.- ce qui donc de
toute façon, quand il a déjà 60 ou 70 ans, ne rentre
peut être plus en considération.
Cela se présentera. Il se présentera vraiment – quand
on prend toute la chose non en ignare -, que l'artiste
à partir d'un tel organisme social tri-articulé pourra
être dédommagé pour son œuvre d'art au sens de la
cellule économique originelle.
Il ne peut aujourd'hui pas être dédommagé parce que là
sont disponibles des situations de prix tellement non
naturelles. En fait, les humains ne peuvent
aujourd'hui pas du tout payer à l'artiste ce qu'en
fait il devrait exiger, quand il pense seulement
brièvement quelque peu à lui. Mais aujourd'hui il
pense : j'ai mené à bien un quelque tableau, et
oui, quand je reçois aussi seulement autant que j'ai
assez pour les trois prochains mois, alors je prends
cela – je n'arrive naturellement en trois mois à
terminer aucune œuvre convenable, mais les gens ne
comprennent aussi rien de cela -, et là je les tape
justement de nouveau dans trois mois.
Maintenant ces choses se présenteront,
j'aimerais dire, d'abord comme l'extrait le plus
haut ; c'est pourquoi en fait on ne peut pas bien
discuter dès le départ sur ces choses. Je l'éprouve
toujours comme quelque chose de fâcheux, de discuter
sur ces choses – n'est-ce pas, d'après le théorème de
Pythagore le carré de l’hypoténuse est donc une fois
pour toutes égal au carré des deux côtés, mais il est
impossible quand maintenant on a ce théorème de parler
dès le départ sur tous les degrés possibles de
l'application, mais il vaudra partout.
Ainsi, c'est aussi avec l'organisme
social tri-articulé. Il ne se laisse pas spécifier ce
qui devrait se donner comme la plus haute fleur de la
vie sociale. Une discussion sur ces choses est en fait
fâcheuse, car ce sont des domaines trop disparates –
la vie sociale et la vie artistique.
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