Un des sols sur lequel veut travailler
l'organisme social triarticulé est le sol économique.
Les chers auditeurs qui ont entendu de précédentes de
mes conférences, sauront qu'il s'agit ici de de former
ce sol de l'économie ainsi que sur lui disparaisse le
rapport de salaire ainsi nommé, que la régulation de
la manière et du temps et du genre de la force de
travail humaine sera reconduite du cycle de l'économie
et sera transposée dans l’État de droit, dans lequel
sera décidé sur temps, manière et mesure de la force
de travail humaine. Sur le sol de l'économie reste
encore et toujours ce qui vient à la manifestation
dans la réalité comme production de marchandise,
circulation de marchandises, consommation de
marchandise. Cela aussi vous aurez retiré des
conférences précédentes, que pour la vie de l'économie
il s'agit d'une telle organisation qui consiste en
associations, essentiellement en de telles
associations lesquelles règlent en commun les rapports
de consommation et les rapports de production. Il a
été souvent dit de côté socialiste : à l'avenir
ne pourra pas être produit pour profiter, mais il doit
être produit pour consommer. Cela est une évidence que
cela qui n'a pas jouer de rôle conscient dans le
processus économique lui-même jusqu'à présent dans une
mesure importante, entre au premier plan du travail
économique : l'intérêt de la consommation. Des
coopératives devront se former dans lesquelles sont
représenté justement ainsi l'intérêt de la
consommation comme le rapport de production en
dépendant. Chez ces coopératives il s'agira
essentiellement de toujours découvrir à l'intérieur du
travail pratique comment grande doit être une telle
coopérative. La grandeur d'une telle coopérative ne
peut pas se donner des frontières de la structure
d’État, lesquelles sont apparue au cours de l'histoire
récente – de la simple raison parce que ces structures
d’État sons apparu de corps d'administration fermé
d'encore tout autres égards que des rapports de
production et consommation, et parce que d'autres
frontières de donnent aussitôt que les humains se
rassemblent socialement en rapport à des conditions de
consommation et de production, que par la régulation
des rapports de production et consommation chaque
valeur réciproque des marchandises ressort, qui rend
possible pour les plus larges couches du peuple une
circonstance de vie saine.
On devra, en ce qu'on se voue à de telles tâches,
monter à une véritable science économique, toutefois à
une science, qui n'a pas le droit d'être sucer des
doigts, aussi pas d'expériences subjectives des
humains, mais de l'expérience de la vie de l'économie
commune. On devra observer à l'intérieur de cette
expérience comment de trop petites coopératives
conduisent à cela que les membres de ces coopératives
doivent dépérir en rapport à leur situation
économique ; de trop grandes coopératives doivent
justement ainsi conduire à cela que du dépérissement
entre dans la vie économique qui sera alimentée par la
coopérative. Quand une fois la loi correspondante qui
donc repose à la base de la vie de l'économie sera
clairement connue alors on l'exprimera avec les mots
suivants :
de trop petites coopératives favorisent la faim des
participants à ces coopératives, de trop grosses
coopératives favorisent la faim des autres humains
liés avec ces coopératives dans la vie de l'économie.
C'est pourquoi il s'agira que ce double dépérissement
des besoins humains soit évité. Cela sera la ligne
directrice, dans laquelle devra être travaillé à
partir de tous les membres de l'ensemble du peuple.
Car cela ne se laisse pas trouver par un quelque
calculer mathématique, comment une telle coopérative
doit être grosse, elle doit avoir une certaine
grandeur à un endroit, à un autre endroit une autre.
Elle doit régler sa grandeur d'après les conditions
préalables réelles.
Ces conditions préalables réelles sont maintenant à
établir par ceux-là qui se tiennent dans la vie
économique. Elles ne se laissent pas régler autrement
que quand on prévoit de chaque législation étatique
pour la vie de l'économie, de laisse à cette vie de
l'économie sa propre vivacité ainsi que peut être
façonnée cette vie de l'économie par la perpétuelle
collaboration vivante des conseils.
L'une des coopératives devra d'après les conditions
être agrandie à un certain moment, l'autre rapetissée.
Car l'organisme social n'est pas quelque chose qui se
fixe par une constitution, se laisse déterminer en une
fois des lois établies, mais c'est quelque chose qui
est en vie perpétuelle comme aussi un organisme
naturel au fond. C'est pourquoi ce qui est mesure de
la vie de l'économie, peut s'exprimer seulement au
plus par des contrats à plus ou moins court ou long
terme, lesquels seront conclus, mais jamais en une
quelque limitation ou fixation des habilitations des
conseils, qui appartiennent à la vie de l'économie.
Vous pouvez avec droit dire encore aujourd'hui, il
nous raconte de la mesure de la grandeur d'une
coopérative, mais où reposent les preuves pour cette
chose ? Oui, cela repose justement là dedans que
nous ne l'avons jusqu'à aujourd'hui encore amené à
aucune science de l'économie, qui en sens le plus
éminent doit reposer sur expérience économique, qui ne
construit pas, ne peut être gagnée à partir de l'idée,
mais seulement à partir de la vie. Je vous dis, que
personne, qui adonné désintéressé a vraiment étudié la
vie de l'économie vient à un autre avis que celui-là
que je vous ai exprimé. Car c'est le particulier des
lois sociales que jamais elles pourront être prouvées
ainsi comme des lois naturelles, mais qu'elles doivent
être prouvées immédiatement dans l'application, que de
cela seulement l'un des sens peut avoir pour elles,
celui qui a un certain sens pour la réalité sociale.
Cela est si difficile dans le présent que nous nous
tenons devant des faits vis-à-vis desquels cet
instinct de réalité est nécessaire, mais que les
humains se refusent tant, d'amener à la formation cet
instinct de réalité disponible dans chaque âme
humaine.
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