Sur la question : comment est à penser ce que nous
nommons l'impulsion de la triarticulation pas
seulement à porter dans la population du pays, mais
spécialement sur l'agricole comme tel dans le sens de
de la triarticulation de l'organisme social ?
Maintenant, aucun ne se débrouillera
avec cette pensée, qui ne voit pas au travers de la
radicale différence dans toute la manière de produire
entre l'agriculture et l'entreprise industrielle. Il
est nécessaire qu'on voit à travers cela pour la
raison que donc, avant que la catastrophe de la guerre
mondiale ait éclatée , nous sommes plantés dans un
penser entièrement matérialiste, entièrement
capitaliste – c'était pour ainsi dire penser et faire
international capitaliste – et parce que tout de suite
une poursuite dans la direction, qui est conditionnée
par le capitalisme et que le capitalisme va continuer
de poursuivre, parce que tout de suite là-dedans doit
s'avérer un se séparer allant toujours plus loin de
l'exploitation agricole et industrielle. L'agriculture
est, d'après toute sa façon, par ce qu'elle est,
transplantée dans l'impossibilité de participer à
l'ordre économique capitaliste jusqu'au dernier. Ne me
comprenez pas mal, je ne prétends pas avec cela qui
l'agriculture, si la pensée capitaliste devenait
générale, ne participerait pas à la pensée
capitaliste ; nous avons donc vu dans quel haut
degré l'agriculture a participé à la pensée et
l'attitude capitaliste. Mais elle serait orientée vers
le fond d'après son essence, et elle ne pourrait plus
intervenir de la manière correcte dans toute
l'exploitation (NDT ou l'entreprise) économique.
Ce qui dans la vie de l'économie est en la plus
éminente manière appropriée, pas seulement à se
développer capitalistement, mais ce qui enclin pour
ainsi dire à conduire au sur-capitalisme - permettez
que j'utilise ce mot, on le comprendra déjà
présentement -, cela signifie donc accepter une pleine
indifférence vis-à-vis la manière de travailler, même
vis-à-vis du produit du travail, et à ce qu'il
s'agisse purement d'obtenir quelque chose : cela
est justement déjà l'industrie, l'industrie porte de
toutes autres forces d'action en soit que
l'agriculture. Seulement celui-là le voit qui un temps
durant maintenant vraiment s'est regardé comme dans
l'agriculture c'est entièrement impossible de passer à
la grosse exploitation capitaliste, comme c'est le cas
dans l'industrie. Quand l'agriculture devrait vraiment
intervenir dans la vie d'ensemble de l'économie, alors
est – conditionner simplement par ce qui a à se passer
dans l'agriculture -, alors est maintenant une fois
nécessaire un certain rapport entre les humains et
toute la production, la façon de la production, donc
tout ce qui devrait être produit dans l'agriculture.
Et une grande partie de ce avec quoi on doit produire,
quand on devrait produire correctement rationnel,
exige le plus intensif intérêt de ceux-là qui sont
occupés dans l'agriculture. Là il est entièrement
impossible qu'à l'intérieur de l'agriculture elle-même
émerge ainsi quelque chose comme cette absurdité –
c'est une absurdité que je vais bientôt décrire -,
cette absurdité, qui par exemple a toujours été
objectée quand on avait à discuter avec le prolétariat
dans les dernières décennies. Voyez-vous, l'absurdité
que je pense, c'est la suivante.
J'ai donc déjà souvent raconté :
j'ai été des années durant professeur à une école de
formation des travailleurs. Cela m'a conduit ensemble
avec les gens du prolétariat, j'avais la possibilité
de beaucoup discuter avec eux, aussi d'apprendre à
connaître ce qui est disponible là de forces d'âme
agissantes. Mais certaines choses vivaient simplement
comme une absurdité, tout de suite à l'intérieur de
l'aspiration prolétarienne, produites par toute
l'évolution des temps récents. Relevez une fois que
donc les députés des prolétaires ont en général rejeté
le budget de l'armée. Mais dans l'instant où
maintenant on a soutenu au prolétaire dans la
discussion : oui, vous seriez contre le budget de
l'armée, mais vous vous laissez quand même employer ou
embaucher comme travailleur ; vous fabriquez
quand même avec la même constitution d'âme comme
n'importe où autre part -, là ils ne comprenaient pas
cela, car cela ne les concernait pas. La qualité de ce
qu'ils fabriquaient ne les concernait pas ; ne
les intéressaient que les niveaux de salaire. Et ainsi
apparu l'absurdité, que 'd'un côté ils fabriquaient
des canons, qu'ils ne feraient jamais n'importe où la
grève à cause de la qualité de ce qui est à fabriquer,
mais tout au plus à cause des salaires ou de quelque
chose d'autre, mais de l'autre côté combattaient quand
même le budget de l'armée à partir d'une orientation
de parti abstraite. Le combat du budget des armées
aurait naturellement – comme on admet sinon les lois
du triangle – aurait nécessairement dû conduire à ne
pas fabriquer de canons. Et quand on aurait mis cela à
exécution par exemple au début du siècle maint aurait
été évité qui alors est venu à partir de l'année 1914.
Là vous en avez, tout à fait indifférent si ce sont
des capitalistes ou des prolétaires, qui participent à
une quelque production, là vous avez l'absolue
indifférence vis-à-vis du qualitatif de cela à quoi on
travaille ; mais de cela dépend toute la
formation de l'industrie. Cela n'est pas possible
ainsi dans l'agriculture ; cela n'irait
simplement pas quand entrait de cette manière
l'indifférence vis-à-vis de ce qui sera travaillé. Et
là, où cette indifférence est entrée, où
l'agriculture, j'aimerai dire a été épinglée de la
manière de pensé industrielle, là, justement, elle
dépérit.
Elle dépérit de la manière qu'elle se place
progressivement faussement dans toute la vie de
l'économie.
Qu'est-ce qui se passe en fait ? La
se passe en fait ce qui suit avec ce que j'ai nommé la
cellule originelle de la vie économique : en ce
que d'un côté se tient l'agriculture, de l'autre côté
l'industrie et en ce que l'agriculture d'après son
essence se hérisse perpétuellement contre la
capitalisation, l'industrie par contre aspire à la
sur-capitalisation, là se passe une pleine
falsification, une falsification réelle de la cellule
économique originelle. Mais parce que maintenant donc
les produits devront être échangés – alors évidemment
les travailleurs de l'industrie doivent manger et les
travailleurs agricoles doivent se vêtir ou doivent
sinon n'importe comment être consommateurs de
l'industrie -, par ce que donc les produits devront
être échangés, apparaît entièrement une falsification
radicale dans l'échange des produits agricoles et des
produits de l'industrie. Cette cellule originelle
économique, elle consiste simplement là dedans que
dans une vie de l'économie saine, chacun pour un
produit fabriqué par lui doit obtenir autant – quand
on calcule dedans tout le reste, qu'il a à obtenir, ce
qu'en quelque sorte sont les frais et ainsi de suite
-, doit obtenir autant qu'il a besoin à la
satisfaction de ses besoins jusqu'à fabrication d'un
même produit. J'ai souvent indiqué par là que je
disais trivial (NDT ou banal) : une paire de
bottes doit avoir autant de valeur, comme tous les
autres produits – que ce soit physiques ou spirituels
-, dont le cordonnier à la nécessité, dont il a
absolument besoin jusqu'à c que de nouveau il a
fabriqué une nouvelle paire de bottes. Une vie de
l'économie qui fixe quelque peu le prix des bottes non
pas par une quelque opération de calcul, mais tend à
ce que ce prix ressorte de lui-même, une telle vie de
l'économie est saine.
Et alors, quand la vie de l'économie par ses
associations, par ses rassemblements, comme je les ai
caractérisées avant hier est vraiment saine, alors
peut aussi se glisser l'argent là entre, alors on n'a
pas besoin d'autre moyen d'échange, alors peut
évidemment l'argent se glisser, car l'argent sera
alors entièrement de lui-même le représentant correct
entre les produits particuliers. Mais en ce que dans
les temps récents d'un côté l'agriculture par son être
intérieur toujours plus et plus se hérissait contre la
capitalisation – elle a donc été capitalisée, mais
elle se hérissait là contre, cela fut justement tout
de suite le corrupteur – et de l'autre côté
l'industrie aspirait au sur-capitalisme, ce ne fut
jamais du tout possible qu'un quelque produit de
l'agriculture se forme ainsi d'après sa situation de
prix, que cela aurait correspondu à un produit de
l'industrie de la manière dont j'ai justement
caractérisé la cellule originelle économique. Bien
plus se montra toujours plus que chez le produit de
l'industrie sortait une autre situation de prix que
celle qui aurait dû sortir. Par cette situation de
prix du produit d'industrie, l'argent devint, qui
maintenant obtenait une autonomie, trop bon marché, ce
par quoi tout le rapport fut détruit entre ce qui de
l'agriculture devait passer par dessus au travailleur
d'industrie et à nouveau du travailleur d'industrie
dans l'agriculture.
C'est pourquoi c'est la première chose
qui serait à tenter par associations qui se forment
tout de suite à partir de l'agriculture avec
différentes branches de l'industrie. Certainement cela
est le premier principe de base, j'aimerais dire que
les associations consistent dans l'articulation
ensemble des différentes branches. Mais ces
associations agiront au plus favorable quand elles se
forment entre l'agriculture et l'industrie,et à savoir
se forment ainsi que maintenant réellement par ce que
de telles associations se constituent, sera travaillé
vers une situation de prix correspondante. Maintenant
vous ne pouvez pas dans des associations qui
naturellement devraient premièrement être créées,
faire tout d'abord beaucoup – cela se mettra en
évidence assez vite.
Quand des associations pourraient être ainsi créées,
qu'entreprises industrielles seraient articulées
ensemble avec des exploitations agricoles, et quand la
chose serait faite si intelligemment que celles-ci
pourraient se fournir réciproquement, alors s'en
présenterait aussitôt une chose :– j'introduirais
bientôt après les conditions, sous lesquelles cela
peut se passer ;- quelque chose peut
naturellement être fait tout de suite.
Mais qu'est-ce qui est tout d'abord
nécessaire à cela ? Oui, mes très chers présents,
pour cela est tout d'abord nécessaire qu'on serait
absolument dans la situation de fonder quelque chose
ainsi vraiment à la mesure de la raison et du sens.
Prenez une fois un exemple concret. À Stuttgart a été
fondé « Le jour qui vient ». Le jour qui
vient part naturellement d'après son idée de ce qui
devra être donné par les principes, par l'impulsion de
la triarticulation. Il a été donc tout comme le
« Futurum » ici, - il aurait en première
ligne la tâche, d'amener le principe associatif entre
l'agriculture et l'industrie, et à savoir amener
jusqu'au degré où par l'association des bénéficiaires
mutuels soit vraiment pris [pris de l'influence] sur
la situation, en ce que les uns, qui sont les
consommateurs d'un domaine, deviennent producteurs sur
les autres domaines. Il se laisserait de cette manière
déjà en relativement court temps beaucoup fournir dans
l'établissement d'un prix réellement correct. Mais
prenez Le jour qui vient à Stuttgart : il est
entièrement impossible déjà maintenant d'agir
raisonnablement, de la simple raison, que donc vous ne
pouvez pas de manière indépendante obtenir tous les
biens, parce que partout vous vous heurtez avec les
actuelles législations d’État corrompues. Nulle part
on est en situation, d'établir absolument ce qui est
nécessaire économiquement, parce que partout
l'impulsion étatique est contre. De cela la première
est qu'on comprend que tout d'abord doivent se créer
de fortes associations, qui sont si populaires comme
c'est seulement possible, et qui peuvent empêcher dans
les plus larges cercles l'intervention de l’État sur
tous domaines de la vie de l'économie. Avant toutes
choses chaque action économique doit pouvoir avoir
lieu à partir de pures réflexions économiques.
Maintenant la pensée d’État est si
fortement plantée dans notre humanité présente que les
gens ne le remarquent pas du tout qu'au fond partout
ils tendent vers l’État. J'ai caractérisé cela de
manière répétée depuis des décennies par ce que je
disais : la plus grande nostalgie de l'humain
moderne consiste en fait là dedans d'aller seulement
par le monde qu'il a du côté droit un soldat de police
et du côté gauche un médecin. Cela est en fait l'idéal
de l'humain moderne, que l’État lui place les deux à
disposition. Se dresser sur ses propres pieds, cela
n'est justement pas l'idéal de l'humain moderne. Mais
cela est avant toutes choses nécessaire : nous
devons pouvoir nous passer du soldat de police et du
médecin qui nous sont mis à disposition par l’État. Et
avant que nous n'ayons accueilli en nous cette
mentalité, plus tôt nous n'avancerons d'aucun pas.
Mais maintenant toutes ces institutions
sont là lesquelles avant toutes choses ne nous
laissent pas du tout nous approcher des humains, qui
viennent en considération pour une telle formation
d'associations. Prenez un des derniers produits du
capitalisme, prenez cela dont se sont formés tout
d'abord les plus forts empêchements pour notre
mouvement de triarticulation – en dehors de
l'endormissement et de la corruption de la grande
bourgeoisie - : c'est le mouvement syndical du
prolétaire. Ce mouvement syndical du prolétaire, mes
très chers présents, c'est le dernier produit
déterminant du capitalisme, car là se rassemblent des
humains purement à partir du principe, purement à
partir des impulsions du capitalisme, quand c'est
aussi soi-disant le combat du capitalisme. Des humains
se rassemblent sans égards à quelconque formation
concrète de la vie de l'économie ; ils se mettent
ensemble en branche, union des travailleurs de la
métallurgie, union des imprimeurs et ainsi de suite,
juste pour aboutir à des tarifs de communauté et des
combats de salaire. Que font alors de telles
unions ? Elles jouent l'État sur le domaine de
l'économie. Elles amènent complètement le principe
d’État dans le domaine de l'économie. Justement ainsi
comme les coopératives de production – les unions, qui
seront formées par les producteurs entre eux –
s'opposent au principe d'association, ainsi s'opposent
à ce principe d'association ces syndicats. Et qui
vraiment impartial voudrait étudier l'évolution des si
stériles, si infructueuses, si corrompues révolutions
du présent, il devrait un peut regarder dedans la vie
des syndicats et dans son rapport avec le capitalisme.
Je ne pense pas avec cela purement les allures
capitalistiques qui dans la vie des syndicats sont
aussi déjà entrées, mais je pense tout l'être soudé du
principe de syndicat avec le capitalisme.
Voyez-vous, là je viens sur ce qui maintenant est
certainement nécessaire dans un certain sens. Je vous ai
caractérisé avant hier : les associations, elles
vont de branche à branche, elles vont du consommateur
par dessus au producteur. Par cela apparaissent certes
déjà des liens entre les branches particulières, car
c'est toujours celui qui est consommateur d'une quelque
chose et en même temps aussi producteur ; cela va
déjà ensemble. Il s'agit seulement de ce qu'on commence
absolument avec l'associer. On peut commencer, j'ai déjà
évoqué cela avant hier, tout d'abord toutefois le mieux
en ce qu'on conduit ensemble consommateurs et
producteurs sur les plus différents domaines et alors
commence, comme nous avons vu aujourd'hui, à former des
associations avec ce qui se tient près de l'agriculture
et qui est pure industrie.
Je ne pense avec cela pas à une industrie qui elle-même
encore gagne ses matières premières, elle se tient plus
proche de l'agriculture que l'industrie, qui déjà est un
entier parasite et travail seulement avec tellement de
produits de l'industrie et demi-produits et ainsi de
suite. On peut là entrer entièrement dans le pratique.
Quand seulement on veut et quand on a suffisamment
d'initiative, on peut déjà démarrer sur la formation de
ces associations. Mais avant toutes choses nous avons
besoin que nous reconnaissions que le principe
associatif est le véritable principe économique, car le
principe associatif travaille vers les prix et est
indépendant de la détermination des prix de dehors.
Quand les associations seulement se déploient sur un
territoire suffisamment grand et sur les domaines
économiques apparentés, avec un quelque domaine en
rapport, là on peut déjà fournir déjà beaucoup. |