Dans la vie de l'esprit, l'humain aspire à venir à
une saisie de l'harmonie de la vie à partir de son
âme.En rapport à la vie de l'esprit, l'humain le plus
simple doit aussi avoir une certaine totalité de la
vie. En rapport à la vie de l'économie nous ne pouvons
jamais cela. Là l'humain quand il a seulement vraiment
observation de la vie, quand il a sens de la vie,doit
se faire l'aveu : dans la vie de l'économie il
n'y a pour l'humain individuel aucun jugement total.
Un exemple : les partisans de la monnaie or ont
au milieu du 19e siècle « prouvé »
pertinemment et avec les meilleurs arguments que sous
la monnaie or fleurirait le libre commerce et
tomberaient les frontières douanières. En réalité
partout ont été érigées des taxes à l'importation.
Quelles preuves sont là ?
Là est prouvé que dans le secteur de la
vie de l'économie cette intelligence par laquelle tout
de suite dans la vie de l'esprit on progresse comme
humain individuel, ne sert à rien. Cela est une
profonde, significative vérité que l'humain
particulier peut encore être si intelligent que si son
jugement économique devrait avoir force de portée,
ainsi un jugement encore si intelligent à partir
des facultés individuelles ne vaut rien du tout. Dans
la vie économique est seulement donnant mesure ce que
nous nous approprions par compétence et compétence
matière à l'intérieur des éventails particuliers de la
vie de l'économie. Mais cela ne peut pas se déployer
immédiatement dans la vie de l'économie, mais cela est
dépendant de ce que d'autres dans d'autres branches
développent comme jugement donnant la mesure, porteur
de forces pour la réalité. Dans la vie de l'économie
peut seulement être donnant la mesure, ce qui est
jugement collectif, ce qui d'un groupe déterminé
d'humains qui unissent ensemble les plus différentes
branches économiques est établi. Mais pas ainsi qu'on
a à faire avec un « conseil » mutuel. Du
conseiller ne sort pas beaucoup,sort seulement un
parlementariser vide d'essence. Mais ainsi, qu'on a à
faire avec des intérêts mutuels venant en rapport les
uns aux autres, qu'on a à le faire avec la vie active
elle-même, - que l'un a réalisé cela, l'autre cela,
-que l'un ait à faire-valoir une faculté sur un
domaine déterminé, de la production, l'autre sur un
autre, et ainsi de suite. Et il est absolument
possible que se forment des associations dans
lesquelles s'unissent des humains des plus différents
cercles économiques de vie. Les choses partent des
besoins, et il s'agit de ce qu'avec ces humains qui
peuvent parler de leurs expériences de vie sur les
besoins de certains cercles, d'autres humains
s'unissent qui se tiennent en des branches de
production déterminées, lesquels remédient à ces
besoins.
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