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Collection: 04 - LA VIE ECONOMIQUE ASSOCIATIVE
Sujet: Former association de différentes branches à la place d'une corporation des mêmes.
 
Les références Rudolf Steiner Oeuvres complètes GA337b 208-222 (1999) 10/10/1920
Traducteur: FG Editeur: SITE

 

Il a toujours de nouveau et à nouveau été mentionné – cette mention est donc aussi juste -, que devrait être recherchée après une vie de l'économie qui sera dominée par des impulsions d'association. Associations – j'ai fait une expérience étrange. J'ai parlé une fois des associations en un cercle de prolétaires à Stuttgart. Ils me disaient : nous avons entendu de tout le possible, de coopératives, de trusts, de cartels, de syndicats, mais ce que devraient être des associations, de cela nous n'avons encore rien entendu. - On doit tout de suite saisir l'inédit de ce concept tout à fait pratique, nommément du point de vue de la vie de l'économie, saisir des yeux entièrement pratique, j'aimerai dire pouvoir saisir tout à fait clairement, quand on veut avoir ses repères dans ces affaires. Associations ne sont pas des coopératives, associations ne sont pas de cartels, pas des syndicats, association sont avant toute chose des unifications, mieux dit des liaisons qui travaillent entièrement après un but déterminé. Quel peut être ce but ?

Nous allons nous rapprocher progressivement d'une compréhension pratique de la vie de l'économie : que peut être ce but ? Mes très chers présents, ce but ne peut pas en effet être un autre que la recherche après une formation de prix bien précise des marchandises particulières. On ne pourra pas plus tôt penser correctement selon l'économie nationale jusqu'à ce qu'on soit dans la situation de pousser le problème de prix ainsi dans le point central de cette pensée d'économie nationale, comme le fait – peut être pas toujours pédant avec théories, mais bien d'après l'esprit entier – le troisième tiers de mon livre « Les points fondamentaux de la question sociale ».

Sur quoi s'agit-il donc à ce problème de prix ? Il s'agit de cela qu'en réalité chaque marchandise puisse avoir seulement un prix déterminé tout au plus devraient avoir lieu des petites fluctuations vers le haut et vers le bas. À chaque marchandise correspond un prix déterminé, alors, mes très chers présents, le prix d'une marchandise est – voyez-vous maintenant à partir de l'argent, je parlerais aussi de cela après demain -, le prix d'une marchandise n'est rien d'autre que ce qui représente sa valeur en comparaison à la valeur des autres marchandises, pour lesquelles ont a du besoin comme humain. Le prix exprime un rapport, par exemple le rapport entre la valeur d'une robe à une miche de pain ou d'une botte à un chapeau. Cette relativité, c'est cela qui finalement conduit au problème de prix. Mais ce relatif ne peut pas être résolu par une quelque arithmétique ordinaire, ne pourra pas aussi être fixé légalement, par aucune collectivité, mais pourra seulement être atteint par travail associatif.(...)

C'est idéellement une fois ainsi, que tout d'abord entièrement réel chaque genre de marchandise à l'intérieur de la vie de l'économie est dépendante d'avoir une valeur entièrement déterminée. Un quelque genre de marchandise X doit se tenir dans un rapport explicite en rapport à sa valeur aux autres genres de marchandises.

Mais afin que cette valeur ressorte, pour cela sont nécessaires différentes choses. Premièrement, est nécessaire pour cela que les connaissances soient disponibles, les véritables connaissances techniques universelles, pour dans une quelque époque déterminée pouvoir fabriquer la marchandise concernée dans le meilleur contexte possible et de manière rationnelle, cela signifie avec utilisation de la force de travail la plus petite et sans nuire à l'humain. Et deuxièmement il est nécessaire que pas plus d'humains soient occupés dans le [processus de production entier], que ne doivent être occupés, afin que tout de suite cette marchandise-là d'après ses coûts de production et ainsi de suite reçoive l'un des prix déterminés, le prix indiscutable. Trop de travailleurs sont-il occupé dans cette direction qui conduit à un genre de marchandise déterminée, ainsi la marchandise reçoit un prix trop bas ; trop peu de travailleurs sont-ils occupés ainsi la marchandise reçoit un prix trop élevé ; et il est de cela nécessaire qu'on regarde au travers de la vie de l'économie combien d'humains doivent être occupés dans un certain domaine de la production de marchandises.

Cette connaissance du nombre d'humains occupés qui travaillent pour la production d'un genre de marchandise déterminée, pensée pour la consommation, cette connaissance est nécessaire pour venir au point de culmination de la vie économique, le problème de prix. Cela se passe par cela qu'on travaille positif en ce qu'on négocie dans la vie de l'économie avec les gens comment ils devraient être placé à leurs places. Cela n'a naturellement pas le droit d'être saisi pédant et pas saisi bureaucratiquement.Vous remarquerez que la pleine, aussi économique liberté sera assurée tout de suite à l'humain par ce que veulent les « points fondamentaux ». La il ne s'agit pas d'un léniniser ou trotskiser bureaucratique ou mécanique, mais là il s'agit d'un associer par cela que d'un côté tout de suite la vie industrielle sera saisie des yeux de la manière juste et par cela que de l'autre côté la liberté de l'humain sera pleinement conservée.
Vous voyez donc de quoi il s'agit finalement. Mais comment alors l'argent se place dedans : nous verrons cela après demain.

Ce dont il s'agit pour l'instant, c'est - malgré que l'argent intervient entre cela – la valeur mutuelle de la marchandise, donc la valeur mutuelle des produits du travail humain. Il s'agit de cela, et les associations doivent rechercher à obtenir cette valeur par cela qu'elles font dans la vie de l'économie, par leurs négociations, par leurs contrats réciproques et ainsi de suite. Oui, comment s'établissent de telles négociations qui ont à faire avec la valeur de marchandise mutuelle ?

Jamais par une organisation de mêmes, par une corporation des mêmes, mais cela se constitue juste par associations. Comment devraient-elles donc ma foi réussir à trouver quel rapport le prix des bottes devrait avoir au prix des chapeaux, quand elles ne devaient pas laisser travailler ensemble les fabricants de chapeaux avec les cordonniers quand des associations n'ont pas lieu, quand des associations ne seront pas formées ?

Des associations à l'intérieur d'une branche il n'y en a pas, car ce ne sont pas des associations, mais des associations vont de branche à branche, vont avant toutes choses aussi des producteurs aux consommateurs. Associations sont l'exact contraire de ce qui conduit au trust, au syndicat et de même genre. Nous verrons alors encore comme aussi certains rapports entre les entrepreneurs d'un genre de marchandise sont nécessaires ; mais ils ont alors une tout autre fonction. Mais cela qu'est l'apparition – je ne dis pas fixation, mais apparition – du prix correct cela peut seulement se développer par une vie associative, qui va de branche en branche ; quand les associations collaborent avec leurs expériences alors peut d'abord seulement être fixé le prix correct à partir de leurs expériences. Cela ne sera aussi pas plus compliqué que par exemple la vie dans nos États policiers ou dans nos démocraties ; au contraire – malgré que ça va de branche à branche – cela se formera bien plus simplement.

Maintenant on doit donc aussi être clair avec soi là dessus que la vie pense absolument autrement, si j'ai le droit de m'exprimer ainsi, que pensent les abstraits, aussi quand ils sont praticiens. Ces abstraits penseront avant toutes choses : donc il s'agit soit des associations des producteurs [entre eux] ou des associations des producteurs avec les consommateurs. Oui, mais mes très chers présents, cela est donc purement une question d'époque. Pensez donc seulement une fois (il est dessiné au tableau), quand vous associeriez les producteurs-branche A avec une quelque somme de consommateurs B, ceux-là avec les producteurs-branche C et ceux-là à nouveau n'importe comment avec une somme de consommateurs D – bien, alors apparaît une association.

Mais elle apparaît ainsi par cela que tout d'abord on a regardé seulement sur les producteurs ou seulement sur les consommateurs, mais le consommateur est donc un producteur pour un autre article quand il n'est pas tout de suite un rentier ou un faignant. Il ne s'agit pas du tout de cela que vous alliez par catégories [abstraites] ; quand vous pensez la chose plus universelle et faites des associations de toutes les conditions, ainsi vous avez aussi les consommateurs dedans dans les conditions. Mais ainsi,comme reposent pratiquement les choses, ainsi on ne peut pas du tout commencer avec les producteurs entre soi, là apparaîtraient seulement des trusts ou des cartels, qui je ne veux pas du tout dire une fois voudraient seulement avoir, mais même pourraient seulement avoir des intérêts d'entrepreneur.

Aujourd'hui il s'agit de cela [de former] avant tout chose ces associations selon le modèle que j'ai une fois introduit comme un modèle tout à fait primitif. Nous voulions une fois établir un contexte de consommation pour du pain dans la société anthroposophique et l'associer avec un fabricant de pain ainsi que là en rapport [devait apparaître] entre tout cela que dans un certain rapport les anthroposophes pouvaient payer, en quoi en même temps [eux-mêmes]produisaient quelque chose [d'autre] ; et pour la contrevaleur de ce qu'ils produisaient, ils recevaient cela que le boulanger concerné produisait. Donc, cela partait essentiellement de cela d'agir sur le prix dans la relation commerciale réciproque. Cela sera l'essence de ces associations que progressivement en ce qu'elles fonctionnent correctement, elles tendent vers le prix correct, justifié selon l'économie nationale.

Quand vous réfléchissez correctement quelque chose de tel alors vous verrez que cela ne contredit absolument pas l'expérience pratique aussi loin qu'on peut encore le faire absolument dans la vie de l'économie perverse actuelle. Car prenez la plus simple des économies : celui-là qui comprend quelque chose à faire l'économie dans la plus simple des économies, chez celui-là cela vient finalement aussi à cela d'en trouver le prix correct, et il développe justement à partir de ses conditions le prix correct. Il détermine les prix corrects de deux composantes concrètes ensemble : premièrement sur ce qu'il aurait volontiers pour ses produits et deuxièmement de ce qu'il reçoit ; cela signifie, cela arrive déjà quand c'est encore si indéterminé à une association avec les consommateurs. Elle est toujours là, aussi quand elle n'est pas conclue extérieurement. Seulement notre vie est devenue si compliquée que nous devons amener ces choses justement à la pleine conscience et à formation extérieure. Quand on ne se pense pas dedans dans ces choses, alors en sort toujours quelque chose d'utopique. Mais nécessaire serait avant toute chose que soit porté ensemble les expériences qui avant toute chose dépendent de la production et de la consommation. Et nous aurions besoin dans ces cercles-là qui collaborent avec nous, avant toute chose des praticiens lesquels pourraient souder ensemble les expériences de la vie à une science de l'expérience sur la vie de l'économie, ainsi que – et cela pourrait absolument être – soit parti a l'origine de l'expérience. (…)

Il s'agit de cela que n'importe comment serait commencé avec des associations. Il doit être montré comme ni la coopérative productive que ni la coopérative de consommation peuvent fructueusement agir pour l'avenir. Il doit être renoncé aux coopératives productives parce que celles-ci, tout de suite dans l'expérience, ont montré que les humains avec véritable initiative personnelle ne se consacrent pas à elles, ne le peuvent aussi pas du tout.Mais il devra aussi être renoncé aux coopératives de consommation bien qu'elles soit les meilleures nommément alors quand elles passent au produire par soi-même ; mais elles ne peuvent donc pas atteindre le but nécessaire pour l'avenir, de la simple raison qu'elles n'apparaissent pas par associations de cela qui est là mais parce qu’à nouveau se tiennent à l'intérieur du capitalisme entièrement ordinaire – au moins à partir d'un angle, dans lequel elles organisent d'abord seulement unilatéralement la consommation et articulent en fait la production seulement à l'organisation de la consommation quand absolument elles le font. Encore moins engendrent pour un véritable progrès de telles coopératives comme quelque peu les coopératives de matières premières et ainsi de suite ; de telles coopératives n’ont absolument aucun sens pour la vie associative, mais elles sortent seulement en courant en fait dans un domaine entièrement partial de la vie de l'économie, dans n'importe quel coin faire quelque chose, pendant que tout de suite la question de matière première est étroitement en rapport avec la question de consommation. On aimerai dire, mais cela est maintenant parlé quelque peu imagé : les fumeurs devraient en fait avoir l'intérêt le plus fréquent pour les travailleurs de la préparation de la matière première tabac en des régions à tabac à l'intérieur de l'entière vie de l'économie. Maintenant j'aimerais une fois savoir, comme aujourd'hui dans notre économie décadente, perverse, est en rapport l'intérêt que le fumeur a à question de matière première, à l'économie de la matière première avec le produit que finalement il transforme en fumée dans l'air ; il calcule donc seulement avec la plus extérieure périphérie. J'en ai seulement choisi un exemple qui agit déjà quelque peu comique, parce c'est ainsi si éloigné ; pour d'autres exemples, le rapport est beaucoup plus à remarquer. Le nécessaire rapport associatif tout de suite entre l'approvisionnement en matière première et la consommation, il ne sera pas du tout remarqué aujourd'hui.

C'est justement ainsi que cette pensée retirée de la réalité traduit toujours cela en un théorique, qui en fait est pensé pratique dans les « Points fondamentaux ». Et j'ai donc alors trouvé le plus souvent théorie, le plus souvent pure mystique d'affaires, si j'ai le droit d'utiliser l'expression, quand les actuels praticiens traduisent dans leur langue le penser-pratique des « Points fondamentaux », car ils pensent en règle générale seulement à partir d'un coin entièrement minuscule ; et tout cela qui est à l'extérieur de ce coin qu'ils dominent comme routiniers, cela disparaît pour eux en une nébuleuse mystique d'affaires. Mais c'est tout de suite contre le principe associatif. Le principe associatif doit travailler vers là-dessus que la valeur des marchandises sera fixée par leur rapport réciproque. Mais cela peut seulement se passer alors quand différentes branches s'associent, car tant de branches se tiennent dans une quelque liaison associative directe ou indirecte, tant de branches tendent vers cela d'obtenir le prix des marchandises conforme à l'économie qui est nécessaire. On e peut pas calculer le prix, mais on peut rassembler associativement des branches économiques et quand celles-ci se rassemblent ainsi qu'a ce rassemblement ressorte la masse des gens qui doivent être occupé dans chaque branche particulière d'après l'économie d'ensemble, d'après production et consommation, alors cela ressort entièrement de soi-même : tu me donnes tes bottes pour tant et tant de chapeaux, que je te donne. - L'argent est alors seulement le médiateur. Mais derrière cela se tient donc – quand aussi encore autant d'argent s'immisce comme produit intermédiaire -, se tient donc cela comment la valeur-botte détermine la valeur-chapeau, comment la valeur-pain la valeur-beurre et ainsi de suite. Mais cela ressort seulement en ce que branche à branche se dégrossissent dans la vie associative. De croire qu'on peut fonder des associations purement entre producteurs d'une branche – cela n'associe pas. Ce que cela signifie nous verrons cela encore la prochaine fois, après demain. Association est le rassemblement, le réunir afin que ce réunir peut fabriquer chaque exposant commun, qui alors se vit dans le prix. Cela est déploiement vivant de la vie de l'économie et seulement ainsi vient cette vie de l'économie à la correcte satisfaction des besoins humains. Cela peut seulement se passer quand des humains se placent dans la vie de l'économie avec plein intérêt ne demandent pas seulement : que sont les intérêts de ma branche ? Qu'est ce que j'obtiens dans ma branche ? Comment j’occupe les gens dans ma branche ? - Cela peut seulement se passer, quand les humains se préoccupent de cela : comment ma branche doit se tenir aux autres branches afin que les valeurs de marchandises réciproques seront déterminées correctement ?

Vous voyez, mes très chers présents, avant toute chose ce n'est pas une formule quand je dis, il s'agit d'une transformation de la façon de penser. Qui aujourd'hui croit l'amener plus loin avec le bouillonner dans la vieille manière de penser, celui-là amène seulement les humains plus loin dans la décadence. Nous devons aujourd'hui croire en cela que tout de suite dans la vie de l'économie le plus souvent nous devons vraiment changer de comportement (NDT umlernen).