Mais aussi ce qu'est aujourd'hui le
marché prendra une autre forme. Aujourd'hui le marché
a encore quelque chose d'anarchique quand aussi il est
déjà diversement organisé dans le mesquin et le petit.
Le marché règle les valeurs réciproques des
marchandises et cela est la seule chose qui doit dans
le futur être là en valeurs dans la vie de l'économie,
car la force de travail humain n'a pas à être comptée
avec une valeur comparable, n'a pas le droit d'être
compté aux valeurs économiques. Ce qui sera là de
valeurs économiques devra être les valeurs comparables
des marchandises. Sous les conditions décrites sera
possible que les marchandises reçoivent de telles
valeurs comparables, lesquelles donnent aux humains en
la plus large circonférence, cela signifie tous les
humains, qui travaillent, une situation de vie si
possible universelle, pas adaptée à une aisance de
groupe. Cela peut seulement être alors quand le marché
arrête d'être ce qu'il est aujourd'hui quand il sera
de part en part organisé, quant à partir des
expériences économiques englobantes, du calcul de ce
que sont les différents soubassements économiques, se
montre une fixation de valeurs de marchandise qui ne
repose pas sous les rapports anarchiques d'offre et
demande, mais qui est orienté sur le besoin humain
bien établit par expérience.
Cela pourra seulement être atteint quand cette vie de
l'économie, quand le marché ou mieux dit les marchés
seront transformés en associations, en coopératives et
ainsi de suite. Ce montage coopératif, ce montage pas
seulement quelque peu sur de telles coopératives comme
elles ont déjà été essayées, mais le tirer au travers
de toute la vie économique avec structure coopérative
sera seulement possible alors quand à partir de
l'expérience de la vie de l'économie on s'appropriera
une connaissance intuitive des relations entre
producteurs et consommateurs. Dans cette relation il y
a aussi des points de départ. Vous pouvez appendre à
les connaître dans les efforts par exemple de Sidney
Webb, où du grandiose est fourni en coopératives,
aussi loin que se laisse fournir du grandiose à
l'intérieur de l'actuel ordre de l'économie, qui
encore existe au dehors de cette coopérative. Mais
l'ordre de l'économie sera-t-il absolument transformé
de la manière évoquée alors il s'agit de cela qu'on ne
doit pas provoquer le montage coopératif d'après des
exigences subjectives, mais d'après cela que la
structure économique elle-même montre.
Là j'aimerais seulement faire une certaine remarque
afin que vous voyiez que les choses ne pendent pas en
l'air. La question se soulèvera évidemment pour celui
qui fait attention au caractère d'association de la
vie de l'économie dans mon livre « Les points
fondamentaux de la question sociale » :
comment pouvons-nous par exemple limiter des
coopératives ? - Quand on veut les limiter
arbitrairement ou de quelques considérations reposant
à l'extérieur de la vie de l'économie, alors se
montreront toujours de fausses formations de prix et
en conséquence de cela de fausses influences des
circonstances de la vie humaine. Maintenant il y a une
loi bien déterminée laquelle peut conduire de la
réalité au montage d'une structure coopérative. Vous
pouvez tout d'abord, quand vous saisissez des yeux les
deux courants de la vie de l'économie, la production
et la consommation, représenter des coopératives de
consommation, où ces humains-là se mettent ensemble
lesquels veulent acheter de manière économique, ainsi
qu'ils exploitent tout qui pour l'achat est à
exploiter par cela que des consommateurs se mettent
ensemble.
De l'autre côté des producteurs peuvent
se mettre ensemble, jusqu'à la bêtise cela s'est tout
de suite passé à l'intérieur de notre ordre de
l'économie, là se montrent alors les coopératives de
production. Maintenant les deux sortes de coopératives
ont des tendances entièrement différentes. Qui étudie
des coopératives de consommation trouve que les
coopératives de consommation ont tout intérêt à cela ,
premièrement acheter le moins cher possible et
deuxièmement avoir le plus d'humains possible dans
leurs rangs. Elles ne se défendront jamais contre
l'agrandissement de leur coopérative quand elles ont
leur vrai intérêt aux yeux. Les coopératives de
production ont tout de suite les particularités
opposées. Les participants craindront la concurrence,
quand elles s'agrandissent et elles ont quand même
tout intérêt à cela, de vendre le plus cher possible.
Cela indique là dessus que dans le futur le salut peut
seulement exister dans l'assemblage d'humains avec des
intérêts de consommation et de production, en des
coopératives de consommation-production ou de
production-consommation, où pas seulement la
consommation réglera la production, mais où même la
grandeur de la coopérative sera réglée en ce que la
consommation à la tendance de faire la coopérative
aussi grosse que possible, donc déployer, étendre – la
production a la tendance à donner des frontières à la
coopérative.
Là, à partir de la chose elle-même sera créée la forme
sociale. Je pourrais vous exposer des cas
innombrables, desquels vous verriez que, qui est en
état de penser conformément à la réalité, qui veut
vraiment avoir des idées pratiques en tête, il trouve
dans les points de départ qui sont déjà disponibles
dans la réalité, lui-même les bases d'une vraie,
véritable socialisation guérissant les humains.
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