Le puissant Empire britannique contient
comme un de ses facteurs principaux la domination sur
l'Inde. Cette domination sur l'Inde a vécu toutes
sortes de niveaux. Elle est sortie de la compagnie des
Indes orientales, une société commerciale, à qui tout
d'abord ont été donnés les privilèges de faire seule
du commerce avec l'Inde. Et ainsi, se développa au
cours du temps les différents droits de la compagnie
des Indes orientales, continuellement, adéquate la
domination de l'Angleterre sur l'Inde, même l'empire
anglais des Indes. Il s'en développa aussi, et à
savoir déjà dans la compagnie des Indes orientales, le
commerce de l'Angleterre avec la Chine. Depuis la fin
du 18e siècle avait d'ailleurs été effectué un
commerce intensif entre l'Inde et la Chine et la
compagnie anglo-indo-orientale était à cette époque là
déjà impliquée.Mais dans le déroulement ultérieur,
l'Angleterre devint absolument le premier commerçant
du monde.
Maintenant vient une autre chose en
contact avec cette incarnation de l'élément de faire
du commerce en Orient, cela se croisât avec une autre
chose. Depuis le 17e siècle se répandait en Chine la
tradition de fumer l'opium. Probablement les Arabes
ont appris à fumer l'opium aux Chinois, car avant le
17e siècle les Chinois n'étaient pas fumeurs d'opium.
Fumer de l'opium signifie pour les humains, qui le
font, un délice douteux, mais fort, car le fumeur
d'opium se procure les imaginations variées nées à
partir de l'astral, dans lesquelles il vit ;
c'est vraiment un autre monde, qui sera atteint sur de
purs chemins matériels.
Alors que maintenant les gens, qui de la
manière indiquée à partir d'Angleterre faisaient du
commerce avec la Chine, remarquèrent, que parmi les
Chinois la passion de fumer l'opium prenait toujours
plus et plus la main, là ils installèrent de larges
cultures de pavot au Bengale, en Inde pour gagner
l'opium ; car chacun qui connaît les lois d'une
telle chose sait que pas seulement la demande fabrique
l'offre, mais qu'inversement l'offre provoque aussi à
nouveau la demande.Quand on propose beaucoup, alors se
crée un besoin particulièrement fort après cet ou tel
article, cela chaque économiste national le sait. Et
aussi pour cela a maintenant été donner par
l'Angleterre le monopole d'introduire l'opium en Chine
à la compagnie des Indes orientales. Et plus on
introduisait, d'autant plus s'étendait en Chine ce mal
de fumer l'opium. Depuis 1772 étaient annuellement
introduites plusieurs milliers de caisses, chaque
caisse d'un montant d'environ quatre mille huit cents
mark.
Maintenant, je choisis tout de suite cet
exemple parce qu'une telle chose a vraiment un
soubassement culturel historique plus profond quand on
envisage tous les facteurs. Pensez donc seulement une
fois, qu'avec l'inoculation de l'opium, parce que cela
agit sur l'âme, que vous interveniez vraiment dans
toute la vie spirituelle d'un peuple ou de ces
humains-là auxquels vous livrez l'opium. Je peux
choisir cet exemple, car il ne me vient pas du tout de
prétendre que quelque personne ai tord, qui veut faire
du commerce ; le commerce doit être libre dans le
monde. Cela est aussi un principe fondamental
justifié. Et donner tord à quelqu'un sans plus qui
fait de la culture de pavot au Bengale pour de cela
gagner de l'opium pour la Chine et encaisser de l'or
pour cela, ne me vient pas du tout.
Mais les Chinois ont vu les pauvres
fumeurs d'opium décharnés. Le fumeur d'opium
vient progressivement tout à fait en bas et il fut de
proche en proche à remarqué, quelle influence a fumer
l'opium pour le devenir décadent de couches plus large
de la population. Quand les Chinois remarquèrent cela,
la conséquence de cela fut qu'en 1794 ils interdirent
l'opium. Ils ne voulurent plus laisser rentrer aucun
opium dans le pays.
Maintenant, comme cela va : des
interdictions n'empêchent parfois pas le commerce avec
ce qui est interdit ; on trouve moyens et
chemins, de quand même commercer la chose. Et en ce
temps-là il s'établit que – malgré l'interdit formel,
malgré que les Chinois aient édicté une loi, que
l'opium n'avait pas le droit d'être introduit – le
commerce de l'opium fleurissait quand même.
Il y a donc toutes sortes de
choses ; les corruptions sont seulement un côté
de la chose, il y a maintes autres choses apparentées
avec cela. Maintenant, bref, le commerce de l'opium
fleurissait, et avait grimpé de quelques milliers de
caisses en 1773 à trente mille caisses en 1837 – en
peu de décennies. Ce qui fut retiré pour cela, quelque
trente millions de francs dans l'année, fluât vers les
Indes britanniques.
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