En ce qui tout d'abord concerne les
hautes bottes vernies, ainsi j'aimerais dire qu'il y a
certainement pour cela des conditions de vie [où on
voudrait en acheter], mais on verrait déjà, comme
aussi certaines envies disparaissent, quand
s'arrêteraient simplement des productions inutiles.
Naturellement, quand on parle d'une régulation de la
consommation, ainsi on est déjà de nouveau en un
certain sens sur une sorte de mauvais sentier. Réguler
la consommation n'importe comment dictatorialement ne
va pas. Mais quand tous les rapports économiques
seraient aménagés sur laisser disparaître
progressivement tout travail inutile, alors cela
aurait une certaine conséquence sur tout le contexte
de la vie de l'économie. La conséquence serait que
celui qui voudrait de hautes bottes vernies de manière
inutile ne pourrait les payer. Et parce que l'un se
tient en rapport avec l'autre on doit être clair là
dessus qu'on ne doit pas combattre des besoins
inutiles directement parce qu'ils disparaîtront
nécessairement avec d'autres conditions de l'économie.
Car par cela on deviendrait des tyrans. C'est ainsi
dans la vie que quand on veut préserver la liberté on
ne peut supprimer quelque chose d'aujourd'hui à
demain. Mais certaines choses s'arrêtent d'elles-mêmes
sous l'influence d'autres conditions. Quand une
nouvelle pensée d'économie nationale prend place telle
que travail inutile doit disparaître, alors
disparaîtrons aussi de telles envies inutiles,
respectivement l'argent pour elles ne sera plus là.
Cela se montre seulement par une vue dans le rapport
de vie pratique.
Les rapports de consommation ne peuvent pas être
ordonnés par n'importe laquelle
« disposition », mais seulement par un
certain progrès de la vie.
Cela j'aimerais aussi dire avec rapport
à la littérature, ce à quoi naturellement seulement
les rapports sociaux viennent en considération ;
on peut donc absolument avoir un cœur pour celui qui
aimerait bien avoir un poème lyrique imprimé. Là je
peux toujours seulement mentionner l'exemple de nos
éditions de Berlin. Celui-là n'a jamais eu de livres
qui n'ont pas été vendus. Il n'a pas eu des livres qui
ont été très fortement demandés, mais jamais des
livres qui auraient été pilonnés par saccades et pas
été vendus. Il a toujours été construit sur ce qu'on
nomme un besoin spirituel. Un livre était imprimé
seulement alors qu'on savait, il y a tant et tant de
lecteurs pour ce livre. Le travail commençait avec
cela que la matière était amenée aux humains et un
lectorat trouvé, par dictature quelque chose comme ça
n'aurait pas été fait. Du point de vue de science
d'économie nationale doit être dit que tout de suite
par ces éditions du travail inutile ne fut pas fourni.
Il s'agit d'où on commence avec le
travail dans la vie d'économie nationale. Part-on par
contre de la compréhension des besoins, alors seront
progressivement seulement produits de tels produits
nécessaires, ainsi que la production ne bouche pas
ensemble derrière perpétuellement [se bouchonne aux
besoins des nécessités de la vie] ; il sera alors
produit devant ainsi que derrière les véritables
besoins disponibles pourront être satisfaits. Quand on
parle seulement sur les bénéfices ainsi on bride dans
une certaine mesure le cheval par la queue. Il s'agit
de ce qu'on se regarde la vie et sait où doit être
commencé le travail ; il ne s'agit pas de cela,
de « régler » une quelque chose, mais
d'intervenir ainsi dans la vie, que les choses
prennent leur cours correct.
À la crise actuelle, il s'agit de cela
qu'elle est la dernière conséquence d'une longue
évolution ; elle ne peut être testée comme
d'autre, mais cependant, elle doit être testée – pas
d'après des théories, mais d'après les faits. Je prie
de considérer ce qui s'est passé dans les dernières
années. Combien depuis 1914 a été produit de force de
travail humain avec quoi, heureux, nous l'avons amené
à ce que dix à douze millions d'humains au cours de
cinq années ont été abattus mort et trois fois autant
estropiés ? Combien de force de travail est
utilisée pour cela et été retiré par là à la vie, qui
aurait pu servir autrement à la vie !
Je pense, qu'on peut quand même représenter
l'avis : que ce qui a été produit là pour le
descendre (NDT tuer) des humains, a été un travail
« inutile » - on aurait pu s'en
dispenser ! Qu'on pense seulement une fois comme
longtemps – encore en1912 – on devait réfléchir quand
on avait besoin d'un million pour des buts
d'enseignement – et comme vite l'argent a été en main
quand on avait besoin d'un million pour réduire en
poussière. Supposez cela qui alors s'en est
suivi : l'argent qui s'est développé à une
abstraction dans le cours du 19e siècle, est
maintenant devenu cette abstraction à haute
potentialisation. C'en est maintenant venu vraiment à
la plus grande abstraction. Regardez vers combien la
planche à billets éjecte chaque jour.
On a besoin [d'autant d'argent] en fait
seulement quand d'une manière artificielle la
consommation sera réglée pour cela. Là derrière est
fiché qu'avec ce qui est encore resté de forces
productives du temps de 1914 jusqu'à 1918, on fait du
pillage. Mais celui-là s'arrête une fois et là viendra
la crise. La crise actuelle est provoquée par la plus
grande insouciance des humains en ce qu'on croyait
qu'on pourrait occuper les humains à fabriquer de
l'inutile par les années, et les retirer du travail
nécessaire.
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