Aussi
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Question: à partir de quoi le salaire du
travail doit-il être payé, si pas par la recette de la
marchandise ?
Penser sur le salaire du travail – le
temps est donc ainsi avancé, que je ne peux que
brièvement aller là-dessus -, est en fait vraiment
intéressant. Il est remarquable, comme de proche en
proche unique et seule la vie économique a si
fortement agit hypnotisant, que dans l’époque dans
laquelle l’humanité commença à s’adonner à la grande
illusion, que le programme socialiste éprouva
justement à une pleine transformation en rapport à de
telles choses. Il appartient aux plus intéressantes
études du mouvement moderne des travailleurs, de faire
connaissance des trois programmes : le programme
d’Eisenach, le Gotha, le programme d’Erfurt. Prend-on
les programmes – jusqu’à celui d’Erfurt, qui a été
arrêté en 1891 -, ainsi on trouve partout : là est
encore disponible une conscience de ce que doit être
travailler à partir de certaines visions du droit – et
de l’État – et du politique. De cela on trouve comme
les deux exigences principales du programme le plus
ancien la suppression du salaire et la mise en place
de droits politiques égaux. Mais le programme d’Erfurt
est entièrement purement un programme économique, mais
un politisé, comme je vous l’ai exposé aujourd’hui. Là
sont présentées des exigences principales : transfert
des moyens de production dans l’administration
commune, dans la propriété commune, et production par
la communauté. Le programme est fixé purement
économiquement, mais pensé politiquement.
On pense si fortement dans les sens de
l’actuel ordre de société, de l’ordre social actuel,
qu’on ne discerne absolument pas dans de larges
cercles, comment donc le salaire en tant que tel en
réalité est une non-vérité sociale. En réalité, le
rapport consiste ainsi que le salarié ainsi nommé
travaille avec le dirigeant de l’entreprise, et ce qui
a lieu est en réalité un affrontement – qui sera
seulement cachée par toute sorte de rapports
trompeurs, par des rapports de pouvoir le plus souvent
et ainsi de suite – sur la répartition du résultat. Si
on voulait parler paradoxe, on pourrait dire : un
salaire il n’y en a pas du tout, mais il y a une
répartition du résultat - déjà aujourd’hui, seulement
que dans la règle aujourd’hui celui qui est le faible
économique, se trouve taper sur l’oreille lors de la
répartition. C’est toute la chose. Il s’agit de ce
qu’ici ne soit pas transporté sur la réalité quelque
chose qui repose seulement sur une erreur sociale.
Dans l’instant où la structure sociale
est ainsi comme je l’ai exposée dans mon livre « Les
fondements de la question sociale », il deviendra
transparent, comment une collaboration existe entre
les ainsi nommés employés et employeurs, comment ces
concepts employés et employeurs cessent, et comment un
rapport de répartition existe.
Alors, le rapport de salariat a
absolument complètement perdu sa signification.
Mais alors n’a plus le droit d’être
pensé à payer le travail comme tel. C’est
naturellement l’autre pôle. Le travail sera subordonné
à un rapport de droit – je parlerai encore de cela
demain - ; le travail sera d’après mesure et manière
déterminé dans la vie commune démocratique, dans
l’État de droit. Le travail sera ainsi que les forces
de la nature, comme bases de l’ordre économique, et ce
qui sera produit, ne sera pas là comme mesure pour une
quelconque rémunération.
Ce qui sera là sur le sol économique
sera seulement la valorisation de la prestation. Là il
s’agit de ce que soit connu le fondement, dans une
certaine mesure la cellule originelle de la vie
économique. Cette cellule originelle, je l’ai souvent
exprimée ainsi, que je disais : dans l’essentiel les
institutions que j’ai décrites aujourd’hui doivent
partir de ce que par l’action vivante des associations
chaque humain reçoit comme équivalent pour ce
qu'il fabrique, ce qui le met en position, de
satisfaire ses besoins aussi longtemps jusqu'à ce
qu’il aura fabriqué à nouveau un produit identique.
Parlé simplement : si je fabrique une paire de bottes,
ainsi par les institutions que j’ai aujourd’hui
esquissées, ces bottes doivent être d’autant de
valeur, je dois recevoir autant pour cela, dont j’ai
besoin, jusqu'à ce que j’ai de nouveau apprêté une
paire de bottes.
Donc, il ne peut pas du tout s’agir
d’une quelque détermination du salaire pour travail,
mais de la détermination des prix réciproques. Doit
être encalculé naturellement tout ce qui est soutien
d’invalides, malades et ainsi de suite, pour
l’éducation des enfants et ainsi de suite. Là-dessus,
doit encore être parlé. Il s’agit de ce qu’une telle
structure sociale soit créée, par laquelle la
prestation soit vraiment poussée à l’avant-plan, mais
où le travail puisse être purement fondé sur un
rapport de droit, car il ne peut être réglé autrement,
que l’un travaille pour les autres. Mais cela doit
être réglé sur le sol du droit : comment l’un
travaille pour les autres, cela n’a pas le droit de se
tenir sur le sol du marché des rapports économiques.
Vous verrez donc demain que ces choses se tiennent
aussi absolument sur de véritables bases réelles.
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