De cela je regarde aujourd'hui comme le
plus nécessaire qu'absolument nous ne créons pas des
lois par lesquelles seront instauré des conseils
d'entreprise, mais que nous avons la possibilité de
créer des conseils d'entreprise à partir de toutes les
formes de la vie économique – ainsi que tout d'abord
ils soient là – et de ces conseils d'entreprise
laisser se produire une compagnie de conseils
d'entreprise qui en premier a alors un vrai sens quand
elle forme la médiation entre les branches de
productions particulières. Une compagnie de conseils
d'entreprise qui est purement là pour de branches
uniques, n'a pas beaucoup de signification, mais en
premier quand essentiellement entre les branches de
production qui se tiennent en interaction, se
développera l'activité des conseils d'entreprise,
alors ils ont un sens.
C'est pourquoi je dis : le conseil
d'entreprise particulière a en fait plus ou moins dans
l'entreprise seulement un sens quand il a une
signification informative. Ce qui de cette idée de
conseil d'entreprise devra être fait dans la vie de
l'économie, cela peut en fait seulement faire la
compagnie des conseils d'entreprise comme tout, car il
ne peut dans le futur résulté seulement une
bénédiction pour l'entreprise particulière quand les
conseils d'entreprise proviennent de la structure de
toute la vie de l'économie. Ainsi, je pense
qu'effectivement dans la compagnie des conseils
d'entreprise comme un tout repose le centre de
gravité, donc dans cela qui sera négocié entre les
conseils d'entreprise des fabriques particulières et
pas en cela qui se passe seulement dans des
entreprises particulières. (…)
Je crois pouvoir dire en rapport à tout
cela que l'humain particulier peut produire
spirituellement de beaux idéaux : « un est
un humain, deux sont malheur (NDT Leit'), sont-ils
plusieurs sont des bêtes » - Mais aussitôt que
nous venons sur cela qui doit vraiment se réalisé dans
l'institution sociale, vaut le principe
contraire : « un seul n'est rien, plusieurs
sont un p'tit peu quelque chose, et beaucoup sont ceux
qui peuvent alors le faire ensemble ».- Parce que
quand douze siègent ensemble des différentes
orientations de partis politiques avec la bonne
volonté, rassemblent leurs expériences particulières
comme expériences partielles ainsi ils n'ont pas une
somme de douze différentes opinions, mais en ce que
ces opinions entrent vraiment en action, apparaît une
potentialisation de ces douze impulsions. Donc, une
tout immense somme d'expériences économiques se forme
simplement par cela que nous socialisons les opinions
des humains de cette manière. Cela est ce dont il
s'agit.
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