Mais la compagnie des conseils
d'entreprise ne devrait pas être structurée ainsi
comme on se pense cela aujourd'hui, car chez maintes
des propositions, si on les réalisait, en sortirait
déjà quelque chose de monstrueux. Pensez une fois
qu'il y a même des propositions comme : dans
chaque entreprise doit être là un contrôle technique,
un contrôle économique et un contrôle politique dans
le futur. - Dans l'ensemble sont bien même envisagés
cinq à six contrôles. Ici on part volontiers de ce
qu'en fait chacun est un mauvais garçon et doit pour
cela être contrôlé. Quand ce système des cinq –
jusqu'à six sortes de contrôles seront réalisées, vous
ne produirez à l'avenir absolument plus rien, car ce
système de contrôle est construit sur méfiance dans un
sens le plus éminent . Mais quand vous voulez
construire dans la future vie de l'économie alors vous
n'avancez pas. Vous pouvez seulement avancer quand
vous construisez sur la confiance, quand l'égoïsme de
l'individu tombe avec l'entreprise rationnelle, donc
que chacun sait à l'avenir que son travail lui revient
au mieux quand est là le meilleur directeur. Et par ce
système pourra être justement délégué le meilleur
directeur.
Le choix ordinaire se transformera de
proche en proche en une sorte de délégation. On aura
un intérêt à ce que celui-là qui a la plus grande
compétence occupe aussi la direction. Par ce système
s'établira aussi qui est aussi le meilleur directeur
et aussi celui qui lui-même ne peut diriger saura
cela. Ce système ouvre d'autres possibilités qu'une
pure domination de la votation démocratique (NDT demokratisches Wählertum) ou un
système de conseillers comme les humains se le pensent
aujourd'hui. Car les deux conduiraient seulement au
règne des indicateurs (NDT Spitzeltum), à
l'ambitionnite, et dans les deux ça n'irait pas mieux
aux travailleurs qu'aujourd'hui.
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