On buttera alors peut être sur une compréhension, quand on rend attentif là dessus, que donc beaucoup de ce qui aujourd'hui réussi, est provenu en fait d'anciennes associations instinctives. Réfléchissez seulement une fois comment le marché abstrait actuel rassemble des choses qui viennent ensemble et seront à nouveau distribuées plus loin aux consommateurs, ne peut pas du tout être embrassé du regard. Mais comment est-on vraiment venu à ce rapport ? Au fond à partir de l'association instinctive, par laquelle un nombre de villages en un tel éloignement qu'on peut aller et revenir dans la journée, étaient autour d'un plus grand endroit et là les gens échangeaient leurs produits.

On ne nommait pas cela une association. On n’exprimait absolument aucun mot ; mais en réalité, c'était une association instinctive. Ces gens-là qui là se réunissaient au marché étaient associés avec tous ceux qui habitaient dans les villages alentour. Ils pouvaient compter sur une vente déterminée qui se montrait par expérience. De cela ils pouvaient régler la production d'après la consommation en des rapports entièrement vivants.

Dans de telles économies primitives des rapports associatifs étaient vraiment disponibles, qui seulement ne s'exprimaient pas comme tels.

Avec l'agrandissement des territoires économiques, tout cela est devenu non estimable, et en particulier devenu alors insensé vis-à-vis de l'économie mondiale. L'économie mondiale à laquelle on est donc venu dans le dernier tiers du 19e siècle, qui a donc tout réduit dans l'abstrait, cela signifie, dans la vie économique au pur chiffre d'affaires en argent ou valeur argent, jusqu'à ce que justement ce réduire à conduit à l'absurde.

N'est-ce pas, alors que le Japon a conduit la guerre avec la Chine et le Japon avait gagné la guerre, là on pouvait très facilement payer les dédommagements de guerre, en ce que simplement le ministre chinois remit un chèque à l'envoyé japonais, qu'alors l'envoyé japonais pouvait donner à une banque au Japon. Cela est un processus essentiel. Là étaient dedans justement des valeurs dans ce chèque, qui sont justement l'argent et la valeur argent. Il y avait des valeurs là dedans. Quand vous vous représentez que dans le temps tout cela aurait du être transféré d'un territoire dans l'autre, cela aurait été difficile sous les conditions actuelles. Mais ainsi, on pouvait faire cela par tout l'art et la manière dont Japon et Chine étaient placés dans l'économie mondiale tout entière.

Mais cela s'est donc conduit de soi-même à l'absurde. Dans le commerce entre Allemagne et France cela ne s'est plus avéré comme possible. Je pense donc qu'on peut à partir des rapports économiques discuter au mieux les choses et alors expliquer la nécessité du principe associatif.