Quand on embrasse du regard toute la vie économique,
alors on viendra déjà là dessus que dans la vie de
l'économie tout doit reposer sur le principe de
contrat. Tout ce que la vie de l'économie convient
repose donc, ou devrait reposer à l'intérieur d'un
système commun, sur prestation et contre prestation.
Ce fait repose aujourd'hui à la base des exigences du
prolétariat, là on a établi que ce fait ne sera encore
aujourd'hui pris en compte en aucune façon, à savoir
que la prestation doit correspondre à une contre
prestation. Aujourd'hui règne toujours encore le
principe qu'on extrait du travail de l'humain ce dont
on a besoin pour soi, ou croit avoir besoin, sans que
pour cela on ait à livrer une contre-prestation. De
cela vient à l'expression aujourd'hui dans les
exigences des masses prolétariennes qu'à l'avenir il
ne devrait plus y avoir la possibilité qu'on
satisfasse ses besoins de la
population laborieuse sans que celle-ci reçoive
une contre-prestation. On doit s'éclaircir là-dessus
que dans la vie de l'économie il s'agit toujours des
rapports concrets, donc sur les conditions naturelles,
la sorte de métier, le travail, la prestation. On peut
seulement gérer l'économie quand on établit des
rapports entre les différentes sortes de prestation.
Tout ce qui aujourd'hui sera fourni ne peut pas
toujours être valorisé de la même manière. Des
prestations qui ne seront apportées premièrement que
dans le futur doivent aussi être prévues.
Oui, on devrait encore dire beaucoup là, quand on
voudrait complètement caractériser la vie de
l'économie de cette manière.
Parce que donc tout dans la vie de l'économie doit
reposer sur prestation et contre prestation et parce
que ces deux sont dépendants de différentes choses,
tout doit reposer sur le principe de contrat dans la
vie économique. Nous devons à l'avenir avoir des
coopératives, associations, lesquelles fondent leurs
prestations et contre-prestations réciproques sur le
principe de contrat, sur les contrats qu'elles
concluent ensemble. Ce principe de contrat doit
dominer toute la vie et en particulier la vie à
l'intérieur des coopératives de consommation et
coopératives de métier.
Un contrat est toujours limité n'importe comment.
Quand aucune prestation ne sera plus apportée, alors
il n'a plus de sens, alors il perd sa valeur.
Là-dessus repose toute la vie de l'économie (…)
À l'avenir les capacités humaines
peuvent venir à déploiement seulement par une vie de
l'esprit vraiment libre. Et seulement dans une vie de
droit, dans laquelle chaque humain est égal à l'autre,
peuvent aussi se développer nouveaux les rapports
politiques. Et dans la vie de l'économie doivent
régner des prix équitables. Alors, tout ne sera pas
orienté sur une lutte de concurrence entre capital et
salaire ou une lutte de concurrence des entreprises
particulières entre elles. Mais pour cela est
nécessaire qu'à la place de la lutte de concurrence,
qui expérimente son sommet dans l'interaction d'offre
et demande, on place des décisions et contrats
raisonnables, qui doivent provenir de telles
commissions comme elles prennent leur commencement
maintenant avec les compagnies des conseils
d'entreprise à fonder.
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