Alors que mon livre « Les points fondamentaux de la question sociale » a été publié la première fois ; cela tomba dans un temps de développement centre européen qui fut immédiatement suivi par la terrible catastrophe guerrière. Il fut un temps qui précéda le traité de Versailles ; il fut un temps, dans lequel les rapports de devises des États centre et est européens étaient encore essentiellement autres.  Les impulsions, qui furent rédigées jadis dans mes « Points fondamentaux » ne furent pas pensées à partir d’un quelque gîte de coucou dans les nuages, mais à partir de la situation mondiale immédiate des temps d’alors, où je pouvais croire, que si un plus grand nombre d’humains se trouverait, lesquels chercheraient sur la base de cette suggestion plus avant, alors on aurait pu – notamment à partir d’Europe du centre – jeter aussi une impulsion dans le développement économique, qui pouvait conduire à une sorte de remontée dans le déclin jadis clairement perceptible et se poursuivant jusqu’aujourd’hui de la vie économique et de la vie sociale absolument. On pouvait se dire jadis, quand on pensait à partir des très compliqués rapports de la situation mondiale : peut être que ne reste plus une pierre debout, ainsi qu’elle est construite dans la l’édifice idéel des « Fondements de la question sociale » - ; mais ces idées furent partout pensées à partir de ce qui fut.

Quand même, on pouvait les saisir, et il en serait peut-être sorti quelque chose d’entièrement autre, qu’on aurait pu fixer d’abord par écrit.
Car il ne s’agissait pas d’établir de manière utopique des idées, qui voulaient esquisser quelque peu une image d’un organisme social d’avenir ; mais il s’agit de cela, de trouver des humains, lesquels comprennent : ici reposent de réels, immédiats problèmes se présentant dans la vie ; nous devons nous occuper de ces problèmes à partir de notre compétence et devons voir, si nous, en ce que nous nous occupons avec ces problèmes, trouvons  alors compréhension toujours plus large et plus large.

Maintenant est au fond entré quelque chose de tout autre. Il s’est trouvé volontiers d’un côté des théoriciens, lesquels ont cultivé toutes sortes de discussions sur ce qui est écrit dans mon livre, lesquels ont associé toute sorte d’exigences à ce qui est exprimé là. Il y a aussi eu des théoriciens, qui en des manières pleinement en méprise, à ce qui a été dit, interprètent de manière utopique et toujours à nouveau demandèrent : comment se façonnera ceci, comment se façonnera cela ? - ce qu’on aurait en ait du attendre. Il s’est même mis en évidence le fait étrange, qui pour moi fut entièrement surprenant, que justement les praticiens économiques, qui dans un quelque domaine de la vie économique se tenaient très bien entièrement avec leur routine, qui s’y connaissaient dans cette ou telle branche d’affaires et l’avait décliné, de se laisser parler dedans dans leur branche d’affaire de cela qui n’était pas vraiment versé dans leur branche d’affaires -, que ces praticiens discutent sur les points fondamentaux de la question sociale et, par ce qui par eux fut tiré comme conclusion, s’avèrent comme les plus abstraits théoriciens.

Il se montra, qu’on pouvait très bien être un praticien routinier dans la vie économique – dans le vieux sens, sous les nouvelles conditions ils ne s’y connaissaient plus -, mais que ces praticiens n’étaient absolument plus en mesure, que ce qui ici était éprouvé en rapport aux problèmes aussi de la vie économique, de discuter autrement justement que des plus abstraites théories ; ainsi qu’on pouvait là tout de suite venir dans le désespoir, quand on se tenait devant des praticiens et se développait une discussion avec eux, où ils n’allaient pas sur quelque chose de concret, mais seulement répétaient sur le pleinement universel trivial sur la question sociale et notamment sur la partie économique de la question sociale, quand on s’exprimait avec eux là-dessus d’une manière quelconque.

L’autre, qui pouvait se présenter à l’un là, était que donc tout d’abord, ceux qui sont maintenant ainsi les solides praticiens, déclinent absolument de s’entretenir de cette manière sur la formation possible des problèmes économiques. La suite était que donc un peu d’intérêt pouvait être éveillé par exemple en cercles socialistes, mais qu’on pouvait faire tout de suite là l’expérience que ce qui était voulu était le moins compris de ce côté, et que tout était jugé d’après si cela s’insérait dans les vieux modèles des partis ou non. Et ainsi passa ce temps, à partir duquel ces suggestions étaient faites. Il vint cette toute terrible misère par la devise, mais qui est à juger en fait d’une tout autre manière qu’on ne la juge ordinairement aujourd'hui.