Comme 06338167168198616021921
Le troisième dans l'économie est qu'on
connaisse les besoins. Car seulement par là que les
besoins sont connus sur un certain territoire peut
être produit de manière raisonnable. Un objet qui sera
trop produit, sera inévitablement trop bon marché ; et
un objet trop peu produit inévitablement trop cher. Il
dépend du prix, combien de gens sont associés à la
production d'un objet.
Cela est la question de fond et de vie
de l'économie politique (NDT Volkswirtschaft), que
soit parti de la satisfaction des besoins et
d'ailleurs de la libre satisfaction des besoins.
Ce qui là se présente, ne peut pas,
parce que c'est dans un processus de vie, être établi
par la statistique, mais seulement par là que des gens
associés sur un territoire défini puisse simplement de
nouveau négocier combien de gens sont nécessaires à la
production d'un article en ce qu'ils deviennent
humainement familiers de ceux qui ont tel ou tel
besoin, connaissent humainement la somme des besoins
et de point de vue purement humain et vivant, non du
point de vue d'une statistique.
Ainsi que dans la vie associative on ait
d'abord ces humains qui partent de se laisser
enseigner sur les besoins existants sur un territoire
qui se présente donc de documents économiques, et
développent la volonté d'engager des négociations sur
combien de gens doivent produire dans une quelque
branche économique, afin que les besoins puissent être
satisfaits. Tout cela doit être associé avec ce qu'on
ait un sens pour la liberté des besoins.
Il n'a droit en aucune manière de régner
un quelque avis, si un quelque besoin est justifié ou
non,chez ceux qui on d'abord la tâche caractérisée,
mais il doit juste s'agir de l'objective constatation
d'un besoin.
La lutte contre des besoins insensés,
besoins de luxe, dommageable ne revient pas à la vie
des associations économiques, mais juste à l'influence
de la vie de l'esprit. Des besoins insensés,
dommageables doivent être sortis du monde par là que
de la vie de l'esprit provienne l'enseignement là
dessus, que les désirs, les sensations seront
anoblies.
Une libre vie de l'esprit sera
absolument en situation de faire cela. Exprimé
grossièrement : les cinémas n'ont pas le droit d'être
interdit par la police, mais les gens doivent être
formés ainsi qu'ils ne trouvent pas goût à cela.
C'est la seule lutte saine contre des
influences dommageables dans la vie sociale.
À l'instant où de l'économie ou de
l’État sera taxé à cause des besoins comme tels, nous
n'avons plus à faire avec une triarticulation de
l'organisme social, mais avec un mélange chaotique les
uns par les autres d'intérêts spirituels, économiques
et autres.
La triarticulation doit absolument être
prise au sérieux jusque dans les fibres les plus
intérieures. La vie de l'esprit doit effectivement
être placée sur sa liberté.
Elle n'est pas libre, quand un
quelconque service de censure est là, quand cela ou
ceci peut être interdit, qui repose dans le domaine du
besoin humain.
On peut encore pester ainsi quand on a
une raison fanatique contre les cinémas ; cela ne nuit
pas à la vie de l'esprit libre. À l'instant où on
réclame à la police où on crie : cela doit être
interdit, on nuit à la libre vie de l'esprit.
Cela doit être retenu et on n'a pas le
droit, là, de reculer d'effroi devant un certain
radicalisme.
Ainsi, on a donc d'abord à faire dans
les associations avec des gens qui s'informent sur les
besoins à l'intérieur d'un certain territoire, et qui
alors engagent des négociations, ne font pas des lois,
sur les productions nécessaires.
Vous voyez donc, on peut caractériser la
chose quelque peu autrement, alors elle fera peut être
même, j'aimerai dire, un effet quelque peu plus
profane. Mais finalement peut aussi être dit cela en
illustration : on aura besoin dans les associations de
plus objectives agences, d'agents, qui ne doivent
justement pas s'intéresser purement à ce que celui
pour qui elles sont agent vende le plus possible, mais
se demandent : quels besoins sont-ils là ? - et alors
expert en cela comment on doit produire afin que ces
besoins soient satisfaits
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