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Institut pour une triarticulation sociale
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Rudolf Steiner

Traitement en science de l’esprit de questions sociales et pédagogiques

Dix-sept conférences, tenues à Stuttgart
entre le 21 avril et le 28 septembre 1919, y compris: « Trois conférences sur l'éducation populaire»

1991

Rudolf Steiner VERLAG
DORNACH / SUISSE

 

D’après  les transcriptions non revues par le conférencier
édité par l'administration de la succession de Rudolf Steiner, Dornach

L’édition a été réalisée par Helmut von Wartburg

1ère édition dans cette compilation
Editions complètes Dornach 1964

2ème édition, édition complète 1991 Dornach
Éditions précédentes, voir page 396

Bibliographie pas. 192
Signes de reliure de Rudolf Steiner, écriture par Asya Tourguenev

Tous droits réservés par l'administration de la succession de Rudolf Steiner, Dornach / Suisse
© 1964 par l'administration de la succession de Rudolf Steiner, Dornach / Suisse
Imprimé en Allemagne par la coopérative Dürnau, Dürnau

ISBN 3-7274-1920-2

TABLE DES MATIÈRES

PREMIÈRE CONFÉRENCE, Stuttgart 21 avril 1919

Les événements du présent comme une pierre de touche pour l'attitude anthroposophique de vie . Les déclarations faites par le ministre allemand des Affaires étrangères von Jagow au printemps 1914 comme un exemple de la pensée irréelle des « praticiens de la vie ». Une indication de Rudolf Steiner réussie en même temps  sur l' « abcès cancéreux » dans l'organisme social. La pensée de tri-articulation comme exigence conforme à la réalité de l'époque vis-à-vis de l'abstraction des « quatorze points » de Woodrow Wilson. L'impulsion d’esprit de Goethe et sa non-observance dans le monde actuel de la culture. Le parasitisme de la vie de l’esprit moderne ; la peinture de paysage, comme exemple. L'asservissement de la vie de l’esprit par l'État. Un exemple de l'industrie du fer pour l'indépendance de la vie de l’économie. État commercial fermé » de Fichte comme un programme bolchevik : Un exemple pour l'impossibilité de venir à des idées socialement porteuses à partir de l’individualité isolée.

DEUXIÈME CONFÉRENCE, le 23 avril 1919

Un aspect interne de la tri-articulation sociale. Indépendance de la vie de l’esprit reposant sur les compétences individuelles du corporel ; formation des impulsions de droit par l'égalité de la forme physique humaine, immersion dans le sous-humain à l'intérieur de la vie de l'économie. La relation entre les trois membres au prénatal, à la vie terrestre de l'âme et d’après la mort. Analogies entre la vie de l'individu et la vie de l'État. Le manque de valeur des pensées spéculatives et la fécondité de celles fondées sur la science de l’esprit. La corruption de la pensée par le faux concept de nerfs moteurs. Le rapport entre le développement linguistique et le développement général de l’humanité. Le scepticisme de Fritz Mauthner comme un symptôme du  présent. Le passage de seuil de l'humanité et la nécessité d’une concrétisation de la tri-articulation en notre temps.

TROISIÈME CONFÉRENCE, 1er mai 1919

Le franchissement inconscient du seuil vers le monde spirituel par l'ensemble de l'humanité. La nécessaire conscientisation de ce fait par une montée de la science des sens à une science de l’esprit. La connaissance sceptique de Fritz Mauthner. Son « Dictionnaire philosophique » comme expression de ce scepticisme. L'effet de cette attitude sur ses étudiants ; Gustav Landauer comme exemple pour cela. La nécessité d'une activité intérieure pour le développement d'impulsions sociales. La théorie abstraite de Ernst Mach, Richard Avenarius et Victor Adler. La logique de faits de cette doctrine conduisant à la philosophie d’État des bolcheviks. La tri-articulation de l’organisme social comme le reflet extérieur de la tripartition intérieure de l’humain franchissant le seuil. La montée de la façon de voir morphologique d’Ernst Haeckel à une saisie conforme à l’esprit de la différence entre forme animale et humaine et la co-vibration de l'homme avec les rythmes cosmiques. L’égoïstique de Max Stirner comme symbole du temps. La conception bourgeoise de la vie et les forces de l'avenir dans le prolétariat.

 

QUATRIÈME CONFÉRENCE (1re conférence sur la pédagogie de peuple), dimanche 11 mai 1919

Des exemples de l'insuffisance de l’orientation scientifique du monde vis-à-vis des problèmes sociaux du présent. Sur deux essais de Jakob von Uexküll et Friedrich Niebergall. Le manque d'activité de la pensée et la tendance à revenir à l'Église catholique. Le périssable de la collision de la culture technique et du capitalisme privé. La nécessité d'un renouvellement de la pédagogie de peuple et de l'école primaire/de peuple sur la base d'une connaissance de la nature humaine et ses lois d'évolution. La transformation nécessaire des examens à la fonction d’enseignant. La formation de la pensée, et de la vie de l’âme tranquille et de la mémoire, et de la volonté dans la deuxième septaine des années de la vie. L'introduction à la vie d'aujourd'hui pendant la troisième septaine des années de vie. L'inutilité de l'étude du latin et du grec pour notre temps et de l'insuffisance des traductions des drames grecs par Wilamowitz. Même éducation de base pour les humains de toutes les classes. La signification de l'économie dans l’enseignement,  représentée à l'exemple de la géométrie.

CINQUIÈME CONFÉRENCE (2e conférence sur la pédagogie de peuple), dimanche 18 mai 1919

La tâche pour l'avenir de la formation des enseignants : l'obtention d'une relation immédiate avec la vie. L'introduction de la psychologie expérimentale à l'école comme un symptôme du manque de réalisme de notre temps. La nécessité d'une connaissance anthropologique de l'humain pour surmonter trois impulsions contraignantes : contrainte masquée de prêtres, contrainte politique et contrainte économique. La nécessité pour les pédagogues de reconnaître les grandes orientations de l'histoire humaine : par exemple, le passage du droit naturel au droit historique ou le débouché de la récente vie de l’esprit dans un parasitisme. L'impuissance des politiciens d'aujourd'hui comme Helfferich, Kapp et Bethmann Hollweg par rapport aux exigences de notre temps. Un but de l'école : la conduite vers pouvoir apprendre de la vie. Dans l'ouest : l’aspiration à l’économie sans fraternité ; à l'est : fraternité sans vie de l’économie ; en Europe centrale la possibilité de combiner les deux. Le nécessaire sortir de la petitesse de l’expertise métier.

 

SIXIÈME CONFÉRENCE (3e conférence sur la pédagogie de peuple), 1er juin 1919

Des méthodes pédagogiques aujourd'hui étrangères à la vie. L’enseignement par périodes et sa signification pour le développement d'un penser sain. Nécessité d'une propédeutique philosophique dans les écoles secondaires et l'introduction aux problèmes de l'agriculture, de l’artisanat et du commerce. Éducation à un juger, conforme à la réalité, de la situation mondiale. Le nécessaire lien entre l'art et la vie, de l'art et de l'éducation. La tendance de l’Est à une mystique étrangère à la réalité, de l'Ouest à une sur-ordonnance de la vie matérielle, et la défenses vis-à-vis de ces dommages par la tri-articulation de l'organisme social. L'impossibilité de réaliser cette tri-articulation dans des groupes privés.

 SEPTIÈME CONFÉRENCE, dimanche de la Pentecôte, 8. Juin 1919

L’Esprit anti-pentecôte d'aujourd'hui fait une phrase de la parole, l'acte, une brutalité dépourvue de pensée. Le monde de l’hellénisme perverti : la tendance à l'illusion déjà combattue par Socrate et Platon ;  le monde romain perverti : l'esprit des lois. Le refus du réel esprit allemand-centre européen par des scientifiques modernes. La fausse distinction entre les nerfs sensoriels et moteurs comme raison du non-pouvoir-saisir un véritable concept de travail. La libération de la vie de l’esprit comme actuelle  aspiration de Pentecôte. La compréhension du prolétaire pour la tri-articulation par son rapport direct à la vie. La tendance à la phrase dans vie de l’esprit actuelle. L'État comme protecteur de l'existence bourgeoise et comme destructeur de la véritable humanité. L’anthroposophie comme une impulsion de la culture du présent.

HUITIÈME CONFÉRENCE , lundi de Pentecôte, 9 juin 1919

Le fossé entre la parole et l'action dans la vie culturelle d'aujourd'hui. Paroles de Theobald Ziegler sur la surveillance de l'école publique comme un exemple d’aperçu correct sans le courage d'agir. L'équilibre nécessaire entre luciférien et ahrimanien. La sculpture en bois à Dornach. La théorie des nerfs sensoriels et moteurs comme une description de l'élément luciférien dans l'homme par Ahriman. La prédominance du luciférien dans les temps préhelléniques, la position d'équilibre dans la Grèce et la suprématie de l’ahrimanien dans la période suivante. Les legs de l'ancien Orient : domination des prêtres et militarisme de l'aristocratie ; du monde romain : métaphysique et jurisprudence de la bourgeoisie. Le danger du prolétariat : descente dans une attitude matérialiste niant l’esprit. Les trois sculptures grecques typiques en tant qu'expression de différences physiologique des parties du peuple. Le Prométhée forgé au rocher comme image vraie de l'humanité actuelle. L’ahrimanien dans le système monétaire actuel, le luciférien dans le système d’administration. Les objectifs de la politique anglo-américaine et les tâches de la science de l’esprit. Le dépassement nécessaire du sectarisme.

 NEUVIÈME CONFÉRENCE, 15 juin 1919

L'importance des aspects historiques mondiaux pour le travail pédagogique. La croissance de la jeune génération dans la future bataille de l’esprit entre Est et Ouest. Les trois premières septaines d’années de vie. L'élément de l'héritage maternel et paternel. L'imitation du petit enfant et sa contre force dans le durcissement physique lors du changement de dentition. Les avantages de la foi en l'autorité de la seconde septaine. Véracité de l’éducateur comme condition préalable pour cela. Le développement de l'amour social dans le temps après la puberté. Lois du développement de l’humain vieillissant. La signification de l'école pour la vie ultérieure. L'incapacité de la science de la nature à la saisie du vivant. Richard Wahle sur la capacité fantomatique des concepts de science de la nature. Troubles sociaux cauchemardesques comme suite de la capacité fantomatique de notre image de la nature. L'échec de l'expérience sociale de Lénine. La vieille spiritualité de l'Inde dans la guerre contre la Grande-Bretagne et de la signification de cette lutte pour la pédagogie.

DIXIÈME CONFÉRENCE, 22 juin 1919

Un souvenir à l'herboriste Felix Koguzki. Paroles de Joseph Ennemosers sur les tâches d'avenir du peuple allemand. Les imaginations et inspirations pressant vers le haut des profondeurs des âmes des humains d’aujourd'hui et la nécessité de leur saisie par une connaissance réelle de l’esprit . La réalité vivante seulement saisissable par l'esprit artistique au sens de Goethe. Le travail agissant de l'esprit dans la vie de sommeil de l’humain actuel. L’impossibilité de saisir des conclusions guérissantes de la conscience de veille. Le 1er août 1914 Les arrières-plans occultes de la politique anglo-américaine. Le contraste/la contradiction entre et les théorie goethéenne et newtonienne des couleurs et et entre la théorie des métamorphoses de Goethe et le darwinisme anglais. La compréhension du travailleur pour la tri-articulation et l'incompréhension des chefs de parti. L’appel de notre présent pour l'émancipation, de la vie de l’esprit.

ONZIÈME CONFÉRENCE, 29 juin 1919

Le revirement radical dans le 15e siècle. Le remplacement nécessaire d'une vie conduite instinctivement par une vie conduite consciemment. L'intention de l'Église catholique de préserver l’ancien. La tendance à l'ossification et à l'absence d’âme après la 27e année. L'idéalisme allemand comme couché de soleil du monde grec et romain. Le système de pensée de Hegel et son incapacité à la saisie concrète de l'esprit. L'appréciation erronée de l’anthroposophie par Ernest Michel. Karl Marx comme élève de Hegel. Le danger de la mécanisation de l'esprit, la végétalisation de l’âme et l’animalisation des instincts corporels. De l'effet déshumanisant des théories de sciences de la nature. Ernst Haeckel et les élèves de ses élèves. Le travail de l’esprit possible en préservant les forces de l'enfance. Correcte vie de l’économie par soin des forces de l'âge. Une loi spirituelle concernant l'impact social des inventions. Le dépassement d’un égoïsme faux par la reconnaissance de la vie prénatale.

 DOUZIÈME CONFÉRENCE, 6 juillet 1919

Le déclin de la culture européenne comme nécessité conforme à des lois. Le savoir des pendants spirituels de l’humain avec le cosmos dans les anciennes conceptions du monde jusqu’à Kepler. La transition historiquement nécessaire à la science matérialiste de la nature. Les années autour de 1859 en tant que nœud de communication de l’évolution. La « psycho-physique » de Theodor Fechner. La découverte de l'analyse spectrale par Bunsen et Kirchhoff. Les célébrations du centième anniversaire de Schiller. Le livre sur l'économie politique de Karl Marx. La perte de l'ancienne façon de voir l'espace et le gain d'une façon de voir le temps de l'être humain. Un texte de Benedetto Croce sur l’art.L'héritage du capitalisme dans le communisme en Russie. Un exemple pour les impulsions de déclin de notre temps. Leur dépassement par une nouvelle spiritualité.

TREIZIÈME CONFÉRENCE, 13 juillet 1919             275

Une conversation entre le sociologue Johann Plenge et le philosophe Max Scheler comme exemple des difficultés de compréhension dans la vie sociale d'aujourd'hui. La conception du monde de Hegel et  son transbordement dans le matérialisme de Karl Marx. Le système de pensée logique de Hegel et la nécessité de sa transformation en connaissance suprasensible. Les répercussions de la philosophie de Schopenhauer dans la foi de révélation. Trois courants du présent : 1. l’aspiration de l'anglo-américanisme à la domination du monde  -2. La demande abstraite après une Société des Nations, représentée par Woodrow Wilson - 3. La tendance vers un socialisme dépourvu de pensée. Incompréhension de Gustav Seeger à l’égard de l'idée de tri-articulation. L'incompréhensibilité du traité de Versailles et un texte là-dessus du Français Aulard. L’absence d’âme de la langue anglaise et la nécessité de venir à une nouvelle compréhension entre les humains. Herman Grimm et Woodrow Wilson. Dépassement de l'espace par la conception artistique de l’édifice de Dornach. La spiritualisation de la vie russe par Vladimir Soloviev vie et la destruction de telles aspirations par Lénine. La nécessité d'un renouvellement de notre culture agonisante par une saisie puissante de l'esprit.

 QUATORZIÈME CONFÉRENCE, 20 juillet 1919      299

En Europe centrale, principalement: la peur ou le mépris de la connaissance spirituelle. À l'est et à l'ouest : politique sur la base de connaissances supra-sensorielle. L'obtention de telles connaissances dans les pays anglo-américains par interrogation de médiums, à l'est par entraînement de l’humain rythmique. La nécessité pour l'Europe centrale : l'obtention de révélations spirituelles à travers la formation de l'âme de conscience. Le devenir matériel du processus digestif et le devenir spirituel du contexte de sommeil. La poursuite de la spiritualité indienne dans la culture américaine : théories sociales d'aujourd'hui comme conséquence du Concile œcuménique des 869. Vraie pénétration de la signification de marchandise, travail et capital par connaissance imaginative, inspirée et intuitive. La signification du sens de la vérité pour les efforts de sciences de l’esprit. Une diffamation du Mouvement anthroposophique dans un nouveau livre théosophique. Les trois courants dans la vie sociale contemporaine et les forces agissant contre.


QUINZIÈME CONFÉRENCE, 3 août 1919    323
La résistance du monde de notre temps contre les nécessaires réorientations de la pensée. Un article du professeur Heck contre la tri-articulation. La résonance de la vie grecque de l'esprit et de la vie romaines de droit dans notre culture. Théocratie et militarisme comme élément de l’aristocratisme grec. Métaphysique et règne des juristes comme hériter de la conception d’état abstraite romaine. La conception du monde de Marx et Engel reposant seulement sur la vie de l’économie. La théorie illusionniste de Lénine de la superstructure spirituelle de la vie de l’économie. L'unilatéralité de la médecine ne comptant pas sur la tri-articulation humaine. Son renouvellement par la distinction entre maladies du métabolisme, du système rythmique et de la tête. La régulation naturelle des relations sociales par une pensée correspondant à l’esprit. La doctrine des sens des professeurs bourgeois Avenarius et Mach comme philosophie d’état du bolchevisme. L’impulsion du penser par le Christ et le manque de compréhension pour cela dans le présent, à l’exemple chez Harnack. La devise pour nous : apprendre et travailler.

 

SEIZIÈME CONFÉRENCE, 8 septembre 1919

L'engagement pour la tri-articulation dans une des situations du moment de manière pertinente. L'origine de l'esprit matérialiste du présent dans la dogmatique d’Église. L’humain entre les règnes de la nature et les trois - hiérarchies se tenant au dessus de lui : Anges, Archanges et Archai. L'extinction de l'intérêt des esprits pour les humains depuis le 15e siècle et le passage des talents conditionnés physiologiquement à des talents purement psychiques/d'âme. Les conséquences de ce passage pour la pédagogie. Le caractère de phrase de maintes objections contre l’anthroposophie. L'anomalie de la législation actuelle sur la pédagogie. La nécessité de la mise en valeur de nouvelles forces créatrices par « imagination morale ». La signification de l'École Waldorf nouvellement fondée. La propagation de la vérité de façon véritable.

 DIX-SEPTIÈME CONFÉRENCE, 28 septembre 1919

La conscience de pays des Grecs et la conscience de la terre des temps modernes. La nécessité de son extension à la conscience du monde. Modification de notre expérience au cours des années comme une indication aux mouvements absolus de la Terre dans l'espace. La perception du perpétuel devenir mort et devenir né dans le monde comme les actes de la troisième hiérarchie et dans nos actions, et vivant là-dedans la première hiérarchie. Le non-respect du troisième principe de Copernic par la science moderne. La croyance en l'autorité des humains d'aujourd'hui comme suite d'une éducation scolaire fausse. La formation des humains à penser indépendants en tant que tâche de l’école Waldorf. Un exemple pour la superficialité des scientifiques d'aujourd'hui. L’aboutissement à des relations plus saines par une transformation de la conscience dans le sens de la science de l’esprit.

Remarques

À propos de cette édition 395

Remarques sur le texte 396

Corrections du texte 408

Index des noms 409

Rudolf Steiner sur les écrits de conférences 411

Vue d'ensemble de l’Édition complète Rudolf Steiner 413
RUDOLF STEINER

Geisteswissenschaftliche Behandlungssozialer und pädagogischer Fragen

Siebzehn Vorträge, gehalten in Stuttgart
zwischen dem 21. April und 28. September 1919, darunter:
«Drei Vorträge über Volkspädagogik»

1991

RUDOLF STEINER VERLAG
DORNACH/SCHWEIZ

Nach vom Vortragenden nicht durchgesehenen Nachschriften
herausgegeben von der Rudolf Steiner-Nachlaßverwaltung, Dornach

Die Herausgabe besorgte Helmut von Wartburg

1. Auflage in dieser Zusammenstellung
Gesamtausgabe Dornach 1964

2. Auflage, Gesamtausgabe Dornach 1991
Frühere Ausgaben siehe Seite 396

Bibliographie-Nr. 192
Einbandzeichen von Rudolf Steiner, Schrift von Assja Turgenieff

Alle Rechte bei der Rudolf Steiner-Nachlaßverwaltung, Dornach/Schweiz
© 1964 by Rudolf Steiner-Nachlaßverwaltung, Dornach/Schweiz
Printed in Germany by Kooperative Dürnau, Dürnau

ISBN 3-7274-1920-2

 


 INHALT

ERSTER VORTRAG, Stuttgart, 21. April 1919

Die Ereignisse der Gegenwart als Prüfstein für die anthroposophische Lebens­haltung. Äußerungen des deutschen Außenministers von Jagow im Frühling 1914 als Beispiel für das unreale Denken der «Lebenspraktiker». Ein zur gleichen Zeit erfolgter Hinweis Rudolf Steiners auf «Krebsgeschwüre» im sozialen Organismus. Der Dreigliederungsgedanke als wirklichkeitsgemäße Zeitforderung gegenüber der Abstraktheit der «Vierzehn Punkte» Woodrow Wilsons. Der Geistimpuls Goethes und seine Nichtbeachtung in der heutigen Kulturwelt. Der Parasitismus des modernen Geisteslebens; die Landschafts­malerei als Beispiel. Die Versklavung des Geisteslebens durch den Staat. Ein Beispiel aus der Eisenindustrie für die Verselbständigung des Wirtschaftsle­bens. Fichtes «Geschlossener Handelsstaat» als ein Bolschewiken-Programm: Ein Beispiel für die Unmöglichkeit, aus der Einzelindividualität heraus zu sozial tragenden Ideen zu kommen.

ZWEITER VORTRAG, 23. April 1919

Ein innerer Aspekt der sozialen Dreigliederung: Unabhängigkeit des auf indi­viduellen Fähigkeiten beruhenden Geisteslebens vom Leiblichen; Ausbildung der Rechtsimpulse durch die Gleichheit der menschlichen physischen Gestalt, Untertauchen ins Untermenschliche innerhalb des Wirtschaftslebens. Die Beziehung der drei Glieder zum vorgeburtlichen, zum irdischen und zum nachtodlichen Seelenleben. Analogien zwischen dem Leben des Einzelnen und dem Leben des Staates. Die Wertlosigkeit spekulativer und die Fruchtbarkeit geisteswissenschaftlich begründeter Gedanken hierüber. Die Korruption des Denkens durch den falschen Begriff von motorischen Nerven. Der Zusam­menhang zwischen Sprachentwickelung und allgemeiner Menschheitsentwik­kelung. Der Skeptizismus Fritz Mauthners als Gegenwartssymptom. Der Schwellenübergang der Menschheit und die Notwendigkeit einer Verwirkli­chung der Dreigliederung in unserer Zeit.

DRITTER VORTRAG, 1. Mai 1919

Das unbewußte Überschreiten der Schwelle zur geistigen Welt durch die ganze Menschheit. Die notwendige Bewußtmachung dieser Tatsache durch ein Auf­steigen von der Sinneswissenschaft zur Geisteswissenschaft. Die Erkenntnis-Skepsis von Fritz Mauthner. Sein «Philosophisches Wörterbuch» als Aus­druck dieser Skepsis. Die Auswirkung dieser Haltung auf seine Schüler; Gu­stav Landauer als Beispiel dafür. Die Notwendigkeit innerer Aktivität für die Entwicklung sozialer Impulse. Die abstrakte Lehre von Ernst Mach, Richard Avenarius und Viktor Adler. Die von dieser Lehre zur Staatsphilosophie der Bolschewisten führende Tatsachenlogik. Die Dreigliederung des sozialen Or­ganismus als äußeres Spiegelbild der inneren Dreiteilung des über die Schwelle schreitenden Menschen. Das Aufsteigen von der morphologischen Betrach­tungsweise Ernst Haeckels zu einem geistgemäßen Erfassen des Unterschieds zwischen tierischer und menschlicher Gestalt und des Mitschwingens des Menschen mit den kosmischen Rhythmen. Die Egoistik Max Stirners als Zeitsymbol. Die untergehende bürgerliche Lebensauffassung und die Zu­kunftskräfte im Proletariat.

VIERTER VORTRAG (1. Vortrag über Volkspädagogik),  11. Mai 1919

Beispiele für die Unzulänglichkeit der naturwissenschaftlichen Weltorientie­rung gegenüber den sozialen Problemen der Gegenwart. Zu zwei Aufsätzen von Jakob von Uexküll und Friedrich Niebergall. Mangelnde Denkaktivität und die Tendenz zur Rückkehr in die katholische Kirche. Das Verderbliche des Zusammenstoßens von technischer Kultur und Privatkapitalismus. Die Notwendigkeit einer Erneuerung der Volkspädagogik und der Volksschule auf der Grundlage einer Erkenntnis der menschlichen Natur und ihrer Ent­wicklungsgesetze. Die notwendige Umgestaltung der Lehramtsprüfungen. Die Ausbildung des Denkens, des Gemüts- und Gedächtnislebens und des Willens im zweiten Lebensjahrsiebt. Die Einführung in das heutige Leben während des dritten Jahrsiebts. Die Nutzlosigkeit des Studiums von Latein und Griechisch für unsere Zeit und die Unzulänglichkeit der Übersetzungen von griechischen Dramen durch Wilamowitz. Gleiche Grundbildung für die Menschen aller Klassen. Die Bedeutung der Ökonomie im Unterricht, darge­stellt am Beispiel der Geometrie.

FÜNFTER VORTRAG (2. Vortrag über Volkspädagogik), 18. Mai 1919.

Die Zukunftsaufgabe der Lehrerausbildung: Gewinnung eines unmittelbaren Zusammenhanges mit dem Leben. Die Einführung der Experimental-psychologie in die Schule als Symptom für die Lebensfremdheit unserer Zeit. Die Notwendigkeit anthropologischer Menschenerkenntnis zur Überwin­dung dreier Zwangsimpulse: maskierter Priesterzwang, politischer Zwang und wirtschaftlicher Zwang. Die Notwendigkeit für den Pädagogen, die großen Entwicklungslinien der Menschheitsgeschichte zu erkennen: zum Beispiel den Übergang vom natürlichen Recht zum historischen Recht oder das Einmün­den des neueren Geisteslebens in ein Parasitentum. Die Hilflosigkeit heutiger Politiker wie Helfferich, Kapp und Bethmann Hollweg gegenüber den Erfor­dernissenunserer Zeit. Ein Ziel der Schule: Das Hinführen zum Lernenkönnen vom Leben. Im Westen: Wirtschaftsstreben ohne Brüderlichkeit; im Osten: Brüderlichkeit ohne Wirtschaftsleben; in Mitteleuropa die Möglichkeit zur Zusammenfassung der beiden. Das notwendige Herauskommen aus dem Kleinlichen des Fachspezialistentums.

SECHSTER VORTRAG (3. Vortrag über Volkspädagogik), 1. Juni 1919

Die Lebensfremdheit heutiger Erziehungsmethoden. Der Epochen-Unter­richt und seine Bedeutung für die Ausbildung eines gesunden Denkens. Not­wendigkeit einer philosophischen Propädeutik in den höheren Schulen und der Einführung in die Probleme von Ackerbau, Gewerbe und Handel. Erzie­hung zu wirklichkeitsgemäßem Beurteilen der Weltlage. Die notwendige Ver­bindung von Kunst und Leben, von Kunst und Erziehung. Die Tendenz des Ostens nach wirklichkeitsfremder Mystik, des Westens nach Überbordung des materiellen Lebens, und das Abwehren dieser Schädigungen durch die Dreigliederung des sozialen Organismus. Die Unmöglichkeit, diese Dreiglie­derung in privaten Gruppen zu realisieren.

SIEBENTER VORTRAG, Pfingstsonntag, B. Juni 1919

Der heutige Anti-Pfingstgeist macht das Wort zur Phrase, die Tat zur gedan­kenlosen Brutalität. Das Erbe verkehrten Griechentums: der schon von Sokra­tes und Plato bekämpfte Hang zur Illusion; verkehrten Römertums: der Geist der Gesetze. Die Verleugnung wirklichen deutsch-mitteleuropäischen Geistes durch moderne Wissenschaftler. Die falsche Unterscheidung von sensitiven und motorischen Nerven als Grund für das Nicht-fassen-Können eines wahr­haften Arbeitsbegriffes. Die Befreiung des Geisteslebens als heutige Pfingst­forderung. Das Verständnis des Proletariers für die Dreigliederung durch sein direktes Verhältnis zum Leben. Die Neigung zur Phrasenhaftigkeit im gegen­wärtigen Geistesleben. Der Staat als Beschützer der bürgerlichen Existenz und als Zerstörer echten Menschentums. Die Anthroposophie als Kulturimpuls der Gegenwart.

ACHTER VORTRAG, Pfingstmontag, 9. Juni 1919

Der Abgrund zwischen Wort und Tat im heutigen Kulturleben. Worte Theo­bald Zieglers über die staatliche Schulaufsicht als Beispiel für richtige Einsicht ohne Mut zum Handeln. Der notwendige Gleichgewichtszustand zwischen Luziferischem und Ahrimanischem. Die Holzplastik in Dornach. Die Lehre von sensitiven und motorischen Nerven als Beschreibung des luziferischen Elements im Menschen durch Ahriman. Die Vorherrschaft des Luziferischen in der vorgriechischen Zeit, die Gleichgewichtslage im Griechentum und die Vorherrschaft des Ahrimanischen in der Folgezeit. Die Erbschaften aus dem alten Orient: Priesterherrschaft und Militarismus der Aristokratie; aus dem Römertum: Metaphysik und Jurisprudenz des Bürgertums. Die Gefahr des Proletariertums: Abstieg in eine materialistische geistleugnende Haltung. Die drei Typen griechischer Skulpturen als Ausdruck für physiologische Unter­schiede der Volksteile. Der an den Felsen geschmiedete Prometheus als Wahr­bild der heutigen Menschheit. Ahrimanisches im heutigen Geldwesen, Luzife­risches im Arnterwesen. Die Ziele anglo-amerikanischer Politik und die Aufgaben der Geisteswissenschaft. Die nötige Überwindung des Sektierer­tums.

NEUNTER VORTRAG, 15. Juni 1919

Die Bedeutung weltgeschichtlicher Aspekte für die pädagogische Arbeit. Das Hineinwachsen der jungen Generation in den zukünftigen Geisteskampf zwi­schen Ost und West. Die drei ersten Lebensjahrsiebte. Das mütterliche und das väterliche Vererbungs-Element. Die Nachahmung des Kleinkindes und ihre Gegenkraft in der physischen Verhärtung beim Zahnwechsel. Die Wohltat des Glaubens an die Autorität im zweiten Jahrsiebt. Wahrhaftigkeit des Erzie­hers als Voraussetzung dafür. Die Entfaltung der sozialen Liebe in der Zeit nach der Pubertät. Entwicklungsgesetze des alternden Menschen. Die Bedeu­tung der Schulzeit für das spätere Leben. Die Unfähigkeit der Naturwissenschaft zum Erfassen des Lebendigen. Richard Wahle über die Gespensterhaf­tigkeit naturwissenschaftlicher Begriffe. Alpdruckhafte Unruhe im Sozialen als Folge der Gespensterhaftigkeit unseres Naturbildes. Das Scheitern von Lenins sozialem Experiment. Die alte Geistigkeit Indiens im Kampf gegen England und die Bedeutung dieses Kampfes für die Pädagogik.


ZEHNTER VORTRAG, 22. Juni 1919

Eine Erinnerung an den Kräutersammler Felix Koguzki. Worte Joseph Enne­mosers über die Zukunftsaufgaben des deutschen Volkes. Die aus den Seelen­tiefen der heutigen Menschen heraufdrängenden Imaginationen und Inspira­tionen und die Notwendigkeit ihrer Erfassung durch reale Geisterkenntnis. Die lebendige Wirklichkeit nur erfaßbar durch den künstlerischen Geist im Sinne Goethes. Das Hereinwirken des Geistes in das Schlafleben der heutigen Menschen. Die Unmöglichkeit, aus dem gewöhnlichen Wachbewußtsein her­aus heilsame Entschlüsse zu fassen. Der 1. August 1914. Die okkulten Hinter­gründe der anglo-amerikanischen Politik. Der Gegensatz zwischen Goethe-scher und Newtonscher Farbenlehre und zwischen Goethes Metamorphosen-lehre und englischem Darwinismus. Das Verständnis der Arbeiter für die Dreigliederung und das Unverständnis der Parteiführer. Der Ruf unserer Gegenwart nach Emanzipierung des Geisteslebens.

ELFTER VORTRAG, 29. Juni 1919

Der radikale Umschwung im 15. Jahrhundert. Die notwendige Ablösung des instinktiven durch ein bewußt geführtes Leben. Die Absicht der katholischen Kirche, das Alte zu bewahren. Die Tendenz zur Verknöcherung und Seelenlo­sigkeit nach dem 27. Lebensjahr. Der deutsche Idealismus als Abendröte des Griechen- und Römertums. Das Gedankensystem Hegels und seine Unfähig­keit zur konkreten Erfassung des Geistes. Die falsche Beurteilung der Anthro­posophie durch Ernst Michel. Karl Marx als Schüler Hegels. Die Gefahr der Mechanisierung des Geistes, der Vegetarisierung der Seele und der Animalisie­rung der leiblichen Instinkte. Die entmenschlichende Wirkung naturwissen­schaftlicher Theorien. Ernst Haeckel und die Schüler seiner Schüler. Geistiges Schaffen möglich durch Bewahrung der Kindheitskräfte. Richtiges Wirt­schaftsleben durch Pflegen der Alterskräfte. Ein geistiges Gesetz bezüglich der sozialen Wirkung von Erfindungen. Die Überwindung eines falschen Egois­mus durch das Erkennen des vorgeburtlichen Lebens.

ZWÖLFTER VORTRAG, 6. Juli 1919

Der Niedergang der europäischen Kultur als gesetzmäßiger Notwendigkeit Das Wissen von dem geistigen Zusammenhang des Menschen mit dem Kosmos in den alten Weltanschauungen bis zu Kepler. Der geschichtlich notwendige Übergang zu der materialistischen Naturwissenschaft. Die Jahre um 1859 als Knotenpunkt der Entwicklung. Die «Psycho-Physik» von Theodor Fechner. Die Entdeckung der Spektralanalyse durch Kirchhoff und Bunsen. Die Feiern zum hundertsten Geburtstag Schillers. Das Buch über politische Ökonomie von Karl Marx. Der Verlust der alten Raumesanschauung und die Gewinnung einer Zeitanschauung vom Menschenwesen. Ein Wortlaut Benedetto Croces über die Kunst. Das Erbe des Kapitalismus im Kommunismus Rußlands. Ein Beispiel für die Niedergangsimpulse unserer Zeit. Ihre Überwindung durch eine neue Geistigkeit.

DREIZEHNTER VORTRAG, 13. Juli 1919 275

Ein Gespräch zwischen dem Soziologen Johann Plenge und dem Philosophen Max Scheler als Beispiel für die Verständnisschwierigkeiten im heutigen sozia­len Leben. Die Weltanschauung Hegels und ihr Umschlagen in den Materialis­mus des Karl Marx. Das logische Gedankensystem Hegels und die Notwendig­keit seiner Umbildung in übersinnliche Erkenntnis. Die Nachwirkung der Philosophie Schopenhauers im Offenbarungsglauben. Drei Strömungen der Gegenwart: 1. Das Streben des Anglo-Amerikanismus nach Weltherrschaft —2. Das abstrakte Fordern eines Völkerbundes, vertreten durch Woodrow Wilson — 3. Die Tendenz zu gedankenlosem Sozialismus. Verständnislosigkeit von Gustav Seeger gegenüber der Idee der Dreigliederung. Die Unverständ­lichkeit des Versailler Friedensvertrages und ein Wortlaut dazu von dem Franzosen Aulard. Die Seelenlosigkeit der englischen Sprache und die Not­wendigkeit, zu neuem Verständnis zwischen den Menschen zu kommen. Herman Grimm und Woodrow Wilson. Überwindung des Raumes durch die künstlerische Gestaltung des Dornacher Baus. Die Vergeistigung des russi­schen Lebens durch Wladimir Solowjow und die Vernichtung solchen Stre­bens durch Lenin. Die Notwendigkeit einer Erneuerung unserer absterbenden Kultur durch kraftvolles Erfassen des Geistes.

VIERZEHNTER VORTRAG, 20. Juli 1919 299

In Mitteleuropa vorherrschend: Furcht oder Verachtung gegenüber der Geisterkenntnis. Im Osten und im Westen: Politik auf der Grundlage über­sinnlicher Erkenntnisse. Gewinnung solcher Erkenntnisse in anglo-amerika­nischen Ländern durch Befragung von Medien, im Osten durch Trainierung des rhythmischen Menschen. Die Notwendigkeit für Mitteleuropa: Erlangung geistiger Einsichten durch Ausbildung der Bewußtseinsseele. Das Materieller-Werden der Verdauungsprozesse und das Spiritueller-Werden des Schlafzu­standes. Das Fortwirken der indianischen Geistigkeit in der amerikanischen Kultur. Soziale Theorien von heute als Folgeerscheinung des ökumenischen Konzils von 869. Wahres Durchschauen der Bedeutung von Ware, Arbeit und Kapital durch imaginative, inspirierte und intuitive Erkenntnis. Die Bedeu­tung des Wahrheitssinns für geisteswissenschaftliche Bestrebungen. Eine Ver­leumdung der anthroposophischen Bewegung in einem neuen theosophischen Buche. Die drei Strömungen im heutigen sozialen Leben und die ihnen entge­genwirkenden Kräfte.

FÜNFZEHNTERVORTRAG, 3 August1919   323

Der Widerstand unsere Zeitwelt gegen die notwendige Umorientierung des Denkens. Ein Artikel von Professor Heck gegen die Dreigliederung. Das Nachwirken griechischen Geisteslebens und römischen Rechtslebens in unserer Kultur. Theokratie und Militarismus als Elemente des griechischen Aristokratismus. Metaphysik und Juristentum als Erbeder römischen abstrakten Staatsauffassung. Die nur auf dem Wirtschaftsleben fußende Weltauffassung von Marx und Engels. Lenins illusionistische Theorie vom geistigen Überbau des Wirtschaftslebens. Die Einseitigkeit der nicht mit der Dreigliederung des Menschen rechnenden Medizin Ihre Erneuerung durch das Unterscheiden zwischen Krankheiten des Stoffwechsels, des rhythmischen Systems und des Kopfes. Die natürliche Regelung der gesellschaftlichen Verhältnisse durch geistgemäßes Denken. Die Sinneslehre der bürgerlichen Professoren Avena­rius und Mach als Staatsphilosophie des Bolschewismus. Die Impulsierung des Denkens durch den Christus und das mangelnde Verständnis dafür in der Gegenwart, zum Beispiel bei Harnack. Die Devise für uns: Lernen und arbeiten.

SECHZEHNTER VORTRAG, B. September 1919

Das Eintreten für die Dreigliederung in einer der jeweiligen Situation entspre­chenden Weise. Der Ursprung des materialistischen Geistes der Gegenwart in der kirchlichen Dogmatik. Der Mensch zwischen den Naturreichen und den drei über ihm stehenden Hierarchien: Angeloi, Archangeloi und Archai. Das Erlöschen des Interesses der Geister für den Menschen seit dem 15. Jahrhun­dert und der Übergang von den physiologisch bedingten Begabungen zu den rein seelischen Begabungen. Die Konsequenzen dieses Übergangs für die Pädagogik. Die Phrasenhaftigkeit mancher Einwände gegen die Anthroposo­phie. Die Anomalie der heutigen Gesetzgebung über Pädagogik. Die Notwen­digkeit der Erschließung neuer schöpferischer Kräfte durch «moralische Phan­tasie». Die Bedeutung der neu gegründeten Waldorfschule. Die Verbreitung der Wahrheit in wahrhaftiger Art.

SIEBZEHNTER VORTRAG, 28. September 1919

Das Landbewußtsein der Griechen und das Erdbewußtsein der neueren Zeit Die Notwendigkeit seiner Erweiterung zum Weltbewußtsein. Wandlungen unseres Erlebens im Lauf der Jahre als Hinweis auf absolute Bewegungen der Erde im Weltraum. Das Wahrnehmen des fortwährenden Sterbens und Gebo­renwerdens in der Welt als der Taten der dritten Hierarchie und in unserem Handeln, und darin lebend die erste Hierarchie. Die Nichtbeachtung des dritten Satzes des Kopernikus durch die heutige Wissenschaft. Die Autoritäts­gläubigkeit der heutigen Menschen als Folge einer falschen Schulerziehung. Das Heranbilden selbständig denkender Menschen als Aufgabe der Waldorf­schule. Ein Beispiel für die Oberflächlichkeit heutiger Wissenschaftler. Die Herbeiführung gesunderer Verhältnisse durch ein Verwandeln des Bewußt­seins im Sinne der Geisteswissenschaft.

Hinweise

Zu dieser Ausgabe 395

Hinweise zum Text 396

Textkorrekturen 408

Namenregister 409

Rudolf Steiner über die Vortragsnachschriften 411

Übersicht über die Rudolf Steiner Gesamtausgabe 413