Rudolf Steiner - La question sociale

Institut pour une triarticulation sociale
(contenu spécifique au site français)
Conditions d'utilisation.

Accueil

 

Deutsch English Dutch Skandinavisk Français Italiano Español Português (Brasileiro) Russisch
Recherche
 contact   BLOG  impressum 
Collection: GA328 OEUVRES COMPLETES DE RUDOLF STEINER – CONFÉRENCES SUR LA VIE SOCIALE ET LA TRIARTICULATION DE L'ORGANISME SOCIAL



La question sociale

Die soziale Frage

La présente "collection" est en fait le volume n°328 de l'oeuvre complète. Avec le volume 332a, ils constituent une introduction à la triarticulation au moins équivalente à la lecture des " Fondements de l'organisme social " paru entre les deux. "Fondements" rédigés en deux mois à partir de ce cycle pour des nécessités de campagne pour la tri-articulation et dont on dit parfois en contrées germanophones, qu'avec le temps, ils sont devenus plus difficiles à aborder aujourd'hui que ces deux cycles. Alors bonne lecture!

 


 

Les références Rudolf Steiner Oeuvres complètes GA 328 (001-006) 1977 00/00/1919

< précedent - suivant >


Original





Traducteur: FG et d'autres, version 1 au 17/10/2014 Editeur: SITE et pour celles déjà existantes

Six conférences, tenues à Zurich
du 3 Février au 8 Mars 1919

D'après des notes non revues par le conférencier
publié par l'administration du leg de Rudolf Steiner

Paul G. Bellmann et Walter Kugler ont soignés l'édition
1ère édition Edition complète Dornach 1977

Bibliographie N° 328
Tous droits réservés par Rudolf Steiner -Nachlaßverwaltung, Dornach / Suisse
© 1977 par Rudolf Steiner -Nachlaßverwaltung, Dornach / Suisse
ISBN 3-7274-3280-2

Traduction française indiquée par conférences
SOMMAIRE

PREMIÈRE CONFÉRENCE, Zurich, 3 Février 1919

La forme réelle de la question sociale, saisie des nécessités de la vie de l'humanité présente sur la base de recherches en sciences de l'esprit.

Non exprimé dans la volonté sociale du présent. Sur l'origine du mouvement prolétarien. Le problème de la cause et de l'effet. La conscience de classe du prolétariat comme question après la conscience humaine. La caractère idéologique de la science, de l'art et de la religion pour le prolétaire. Contradictions dans le mouvement prolétarien. Pour la triarticulité de l'organisme social.

DEUXIÈME CONFÉRENCE, 5 Février 1919

Les tentatives de solutions requises par la vie pour les questions et nécessités sociales sur la base de la conception de vie en science de l'esprit.

L'organisme humaine et social, une comparaison. Critique de l'analogie. Les caractéristiques structurelles de l'organisme social triarticulé. Sur la légalité propre des vie de l'esprit, de droit et de l'économie. Arguments contre le centralisme des domaines fonctionnels de la société. La signification de la Liberté, de l'Égalité et de la Fraternité pour l'organisme social. Perspectives de renouveau social.

 

 

TROISIÈME CONFÉRENCE 10 Février 1919

Fanatisme et conception réelle de la vie dans pensée et volonté sociale.

Nature et importance de la conception du monde prolétarienne au cours de l'évolution humaine. La signification de la conception du monde de science de l'esprit pour la formation de la réalité sociale. Utopies sociales et fanatisme. Critique du monopole de l'État dans la vie spirituelle et culturelle. Sur le caractère de marchandises de la force de travail humain - remarques critique sur Karl Marx.


QUATRIÈME CONFÉRENCE 12 Février 1919

Le développement de la pensée et volonté sociale et les conditions de vie de l'humanité d'aujourd'hui

Deux courants de pensée et volonté sociale. Sur la pensée d'économie nationale des physiocrates. La relation entre vie de droit et économique. Les tâches de la vie de droit. Réflexions sur la loi sociale principale. Droit privé et pénal en tant que composants de la vie de l'esprit. Enjeux contemporains du point de vue de la triarticulation sociale.

CONFÉRENCE PUBLIQUE, 25 Février de 1919

La volonté sociale comme base d'un nouvel ordre de la science

De la superstition, de pouvoir former quelque chose de vivant de l'abstrait. La question de la dignité humaine dans la pensée contemporaine. Désétatisation comme une force directrice de transformation sociale. Sur de la nature de la force de travail humain et la nécessité de la déshabiller de son caractère de marchandise. Volonté sociale et la réalité sociale.

CONFÉRENCE PUBLIQUE, le 8 mars 1919.

Quel sens a le travail du prolétaire moderne?

La signification de la civilisation moderne pour l'évolution de l'humanité. La fonction de l'état du point de vue des classes dirigeantes. Sur la position de la force de travail humain dans l'organisme social sain. La science et le prolétariat. Le principe d'association comme base d'un ordre économique conforme au temps. Sur la nécessité d'une triarticulation de l' organisme social. Paroles de fin après la discussion.

 

Notes de Rudolf Steiner pour les conférences de Zurich sur "La question sociale" >174

Remarques

Sechs Vorträge, gehalten in Zürich
vom 3. Februar bis 8. März 1919

Nach vom Vortragenden nicht durchgesehenen Nachschriften herausgegeben von der Rudolf Steiner-Nachlaßverwaltung
Die Herausgabe besorgten Paul G. Bellmann und Walter Kugler. 1. Auflage Gesamtausgabe Dornach 1977Bibliographie-Nr. 328
Alle Rechte bei der Rudolf Steiner-Nachlaßverwaltung, Dornach/Schweiz
© 1977 by Rudolf
Steiner-Nachlaßverwaltung, Dornach/Schweiz
ISBN 3-7274-3280-2

 

INHALT

ERSTER VORTRAG, Zürich, 3. Februar 1919 > 7

Die wirkliche Gestalt der sozialen Frage, erfaßt aus den Lebensnotwendigkeiten der gegenwärtigen Menschheit auf Grund geisteswissenschaftlicher Untersuchung.

Unausgesprochenes im sozialen Wollen der Gegenwart. Über den Ursprung der proletarischen Bewegung. Das Problem von Ursache und Wirkung. Proletarisches Klassenbewußtsein als Frage nach dem Menschenbewußtsein. Der Ideologiecharakter von Wissenschaft, Kunst und Religion für den Proletarier. Widersprüche in der proletarischen Bewegung. Zur Dreigliedrigkeit des sozialen Organismus.

ZWEITER VORTRAG, 5. Februar 1919 > 24

Die vom Leben geforderten wirklichkeitsgemäßen Lösungsversuche für die sozialen Fragen und Notwendigkeiten auf Grund geisteswissenschaftlicher Lebensauffassung.

Der menschliche- und der soziale Organismus, ein Vergleich. Analogiekritik. Strukturmerkmale des dreigegliederten sozialen Organismus. Zur Eigengesetzlichkeit von Geistes-, Rechts- und Wirtschaftsleben. Argumente gegen den Zentralismus gesellschaftlicher Funktionsbereiche. Die Bedeutung von Freiheit, Gleichheit und Brüderlichkeit für den sozialen Organismus. Perspektiven für soziale Erneuerung.

DRITTER VORTRAG, 10. Februar 1919 > 47

Schwarmgeisterei und reale Lebensauffassung im sozialen Denken und Wollen.

Wesen und Bedeutung der proletarischen Weltanschauung im Verlauf der Menschheitsentwickelung. Die Bedeutung einer geisteswissenschaftlichen Weltauffassung für die Gestaltung der sozialen Wirklichkeit. Soziale Utopien und Schwarmgeisterei. Kritik am Staatsmonopolismus im Geistes- und Kulturleben. Über den Warencharakter der menschlichen Arbeitskraft — kritische Bemerkungen zu Karl Marx.

VIERTER VORTRAG, 12. Februar 1919 > 75

Die Entwickelung des sozialen Denkens und Wollens und die Lebenslage der gegenwärtigen Menschheit.

Zwei Strömungen des sozialen Denkens und Wollens. Über das nationalökonomische Denken der Physiokraten. Das Verhältnis zwischen Rechts- und Wirtschaftsleben. Die Aufgaben des Rechtslebens. Gedanken zum Sozialen Hauptgesetz. Privat- und Strafrecht als Bestandteile des Geisteslebens. Gegenwartsfragen aus der Sicht der sozialen Dreigliederung.

ÖFFENTLICHER VORTRAG, 25. Februar 1919 .>. 104

Das soziale Wollen als Grundlage einer neuen Wissenschaftsordnung.

Vom Aberglauben, aus dem Abstrakten etwas Lebendiges formen zu können. Die Frage nach der Menschenwürde im neuzeitlichen Denken. Entstaatlichung als richtungweisende Kraft sozialer Veränderung. Über das Wesen der menschlichen Arbeitskraft und die Notwendigkeit, sie ihres Warencharakters zu entkleiden. Soziales Wollen und soziale Wirklichkeit.


ÖFFENTLICHER VORTRAG, 8. März 1919 . .> 137

Welchen Sinn hat die Arbeit des modernen Proletariers?

Die Bedeutung der modernen Zivilisation für die Menschheitsentwickelung. Die Funktion des Staates aus der Sicht führender Klassen. Über die Stellung der menschlichen Arbeitskraft im gesunden sozialen Organismus. Die Wissenschaft und das Proletariat. Das Assoziationsprinzip als Grundlage einer zeitgemäßen Wirtschaftsordnung. Über die Notwendigkeit einer Dreigliederung des sozialen Organismus. Schlußwort nach der Diskussion.

Aufzeichnungen zu den Zürcher Vorträgen über «Die soziale Frage» > 174

Hinweise

Avertissement du traducteur

Le travail qui suit doit être considéré comme inachevé.
Pourquoi inachevé ?
Parce qu’il est issu de la nécessité du temps et de l’âge qui s’annonce.
En effet, si l' auteur de la traduction a certes eu, jeune, un bac littéraire avec mention « très bien », il n’a pas opté pour de longues études qui l’auraient certainement placée parmi l’intelligencia ordinaire souvent entretenue par la fiscalité. S’il a commencé simultanément des études de droit et de théologie tout en se formant comme éducateur spécialisé, c’est ces dernières qu’il termina. Mais pourquoi faire là aussi sa place au soleil en soulageant la misère sociale quand on pressent que la question est ailleurs ? Son cœur était déjà ailleurs et c’est sur le tas qu’il se forma à l’agriculture pas à pas au quotidien. Pas celle, qu’elle soit de convention ou « biologique », totalement intégrée économiquement à l’ordre établi par les indispensables subventions européennes. Mais comme petit maraîcher faisant tous les métiers et n’ayant jamais fini. Comme cette archétypique activité humaine qui en certains cours moments dans l’histoire et l’organisation géopolitique a fait dit-on « l’humain libre, sur terre libre ». Bref, à la fin du troisième quart du 20e siècle, un projet bien « égocentrique » mais pas du tout individualiste. Communautaire non plus d’ailleurs. En tout cas pas au sens de l’époque. C’était bien ce qu’un peu plus d’une cinquantaine d’années déjà auparavant, Rudolf Steiner et quelques autres voyaient se dessiner comme « question sociale » dans celle de leur époque. Celle qui était née à travers l’expérience encore propre alors au mouvement ouvrier, qui cheminait par lui et dans lequel ils plaçaient beaucoup d’espoirs. Ce à quoi ils tentèrent de contribuer. Mais la bourgeoisie s’est finalement étendue quasi généralisé semble-t-il. En tout cas en nos pays « développés ». Et sa part militante prise aujourd’hui beaucoup les « sans terre » au loin en leur combat pour la dignité. Et chez nous, tout se passe comme si à la propriété privée n’existait comme alternative, que la propriété collective ou, dit-on, commune. Vieux refrain. Même si de cela pourraient venir aussi des pas indéniables. N’empêche que ce qui semble s’organiser derrière reste un univers rentable et probablement tout aussi destructeur qu’à présent.
La présente traduction n’est donc pas production d’un professionnel rémunéré pour fournir un produit directement consommable. Elle est une sorte de cri… qui demanderait un peu d’attention, un peu d’efforts.
C’est pourquoi aussi, je reste à la disposition de toute personne, mais surtout de tout groupe de personnes pour lever tout obstacle à la compréhension du propos de l’auteur.


François Germani, 17 octobre 2014