Peut-être les
conférences que j'ai maintenant eu
le droit de tenir ici au cours de la
dernière et cette semaine ont -elles
d'un certain point de vue attestées
qu'il est justifié de
dire : les circonstances
de l'humanité
présente sont profondément
influencées par
l'évolution qu'ont prises
la pensée et la
volonté sociale des temps récents
jusque dans notre présent.
Peut-être plus qu'aujourd'hui maint
ne le pressent, l'impulsion sociale
intervient dans
la vie immédiate de l'humain
particulier ; mais elle
interviendra dedans
toujours plus et plus. Elle
deviendra déterminante tout de suite
pour les forces du comportement le
plus individuel. Et on pourra à
peine comprendre correctement comme
on se tient aujourd'hui dedans dans
la vie sociale de l'humanité,
laquelle est parcourue de vagues et
pulsée par les impulsions sociales,
quand on ne saisit pas des yeux,
comme de deux origines sont en
fait apparues de différentes couches
d'humains la pensée et la volonté
sociale au cours de la vie récente
de l'humanité. Car la survie des
origines jusque dans le présent,
cela œuvre sur ce domaine en fait
ainsi que ça donne
socialement la forme à cette vie
présente.
J'ai
dans une des conférences rendu
attentif là dessus, qu'on ne s'en
sort pas, quand pour la
compréhension d'une telle chose on
regarde, simplement de la manière
dont on a été habitué, la vie
historique d'après le déroulement de
cause et effet, ainsi que toujours
on indique de ce qui suit sur ce qui
s'est passé. J'ai tenté de rendre
attentif à ce que cette vie
historique de l'humanité dans son
essence ou fond en rapport a
certaines crises de l'évolution,
mieux dit, sur l'être disponible de
crises de l'évolution, est similaire
à la vie de l'humain particulier.
Dans la vie de l'humain particulier
il n'y a aussi pas une progression
en droite ligne, ainsi que toujours
le suivant est sans un saut de
l'effet du précédent.
On doit, pour repousser dans ses
frontières de manière appropriée la
pensée confortable, souvent mal
comprise, que la nature ne ferait
pas des bonds toujours de nouveau et
à nouveau rendre attentif là-dessus
comme des crises rentrent dans la
progression en ligne droite de la
vie individuelle, comme la crise de
la sixième, septième année survient
avec le changement de dentition,
comme la crise intervient, qui
semble comme sourcer vers en haut
des sous-bassement élémentaires de
l'organique dans la vie sexuelle. Et
a qui est compétent dans le
déroulement de la vie humaine, à lui
se montrent de tels revirements de
crise aussi dans les âges ultérieurs
de la vie, quand aussi elles
ne se présentent
pas de manière décisive comme les
deux premières pour une observation
superficielle.
Observer
de tel revirement de crise dans la
vie historique est nécessaire pour
comprendre vraiment cette vie
historique. Ainsi autant aussi
l'actuelle humanité est encore peu
disposée de regarder et tendre
l'oreille sur de telles choses,
ainsi il est tout de suite
nécessaire dans le présent, dans la
compréhension sociale de la vie que
sera promue, de
rendre radical attentif fortement à
de telles choses.
Un des derniers grands revirements –
ainsi, j'ai exposé dans les
conférences précédentes – dans le
cours de l'évolution de l'humanité,
nous avons à le décrire environ
autour du tournant du 15 et 16es siècles. Et seulement
parce qu'on n'observe pas assez
profondément le déroulement
historique des choses, on ne sait
pas comme radicalement différent
certes tout cela qui se passe dans
l'âme humaine, ce qui dans l'âme
humaine comme exigence, ce qui règne
comme nostalgie après certaines
satisfactions, comme cela s'est
transformé vis-à-vis de ce qui était
disponible à ce moment.
Maintenant
rentre en même temps comme
conséquence de ce
revirement élémentaire de la récente
évolution de l'humanité ce qu'on peut décrire
ainsi qu'on dit : ce qui
autrefois a vécu dans l'âme humaine
elle-même comme impulsions sociales,
qui alors ont conduit aux structures sociales de
la société humaine, cela s'est vécu
plus instinctif devant cette
période. Les humains vivaient
socialement ensemble à partir de
certains instincts. Autour du temps
indiqué entra à la place de la
pensée et volonté sociale
instinctive la saisie consciente
d'impulsions sociales. Et monta
lentement et progressivement
de manière radicale
de la circonstance de la moyenâgeuse
et ancienne humanité, mais cela se
différencie de la circonstance dans
laquelle par cela l'humanité moderne
se mute. Mais là nous voyons alors
aussitôt comme avec le rehaussement
des impulsions
sociales de l'instinctif dans la vie
consciente se montrent deux
courants, deux courants d'issue du
penser et vouloir social.
L'un
entre par ces
humains-là qui jusqu'aux jours d'aujourd'hui
peuvent être nommés les couches de
société dirigeantes, guides, de
l'humanité. L'autre courant entre un
peu plus tard, mais clairement
différencié chez
celui que nous décrivons aujourd'hui
comme le monde prolétarien. Les
cercles intellectuels bourgeois sont
avec tous leurs intérêts de vie,
lorsque le
temps récent pousse vers
le haut, alliés avec
la récente structure d'État qui
s'est progressivement formée vers le
dehors des formes de la vie commune
moyenâgeuse des humains. Ces cercles
dirigeants bourgeois sont par leurs
intérêts certes alliés avec cela que
sous les trois membres que j'ai
mentionnés pour l'organisme social,
nous pouvons décrire comme le
véritable État de
droit, comme la véritable structure
politique, laquelle provient soit
instinctive ou consciente sur
l'ordonnance de ce qui se rapporte au rapport
d'humain à humain. Plus ou moins
ainsi que se montrent les traditions
du passé et aussi en certaines
relations les récents rapports
économiques, les cercles dirigeants
bourgeois relient leurs intérêts
avec ce qui est
aujourd'hui encore tenu comme la
seule structure sociale par beaucoup
de gens, justement avec l'État.
Et en ce qu'ils passent consciemment
de la vieille vie sociale
instinctive à la vie sociale moderne
consciente, elles pensent tout
d'abord étatiquement au sens de
l'État de droit. Et la vie de
l'économie moderne devenant toujours
plus compliquée, que notamment
par l'élargissement de l'horizon
d'activité humain sur le monde
entier elle devient toujours plus
compliquée, les cercles dirigeants
tentent de façonner cela dedans la structure
d’État. Ils
veulent dans une certaine mesure
faire l’État toujours plus et plus
comme gestionnaire. Cet effort prend
un certain cours et
nous voyons qu'a l'intérieur de
certains cercles des branches
particulières de l'économie seront
toujours plus et plus incorporées à
la structure étatique. J'ai rendu
attentif la dernière fois sur de
telles branches de l'économie. Ce
qui est essentiel de ce côté est que
la pensée sociale gagne par là, chez
ces cercles, sa formation bien
déterminée qu'ils veulent conquérir
la vie de l'économie complique
déferlante pour l’État auquel ils
sont intéressés.
L'impulsion
sociale se développe tout autrement
à l'intérieur du prolétariat. Ce
prolétariat moderne n’est pas engagé
de la même manière avec ses intérêts
à l'intérieur du véritable domaine
étatique dans le développement vers
le haut des temps récents. Il se
tient, dans un certain rapport que
je ne peux pas exposer ici plus loin
par manque de temps – la chose est
facile à deviner -, à l'écart de ce
que les cercles bourgeois dirigeants
représentent comme leurs intérêts à
l’intérieur de
cette structure d’État. Mais ce prolétariat
agira tout de suite de manière
radicale dedans la formation de la
vie de l'économie. Tout son penser
et vouloir se déroule de la manière
que c'est comme un reflet de ce qui
sera fait dans
la vie de l'économie. Et ainsi, les
impulsions sociales du prolétariat
seront justement déterminées ainsi
par les structures sociales de
l'économie de l'humanité, de la vie
de l'économie, comme les impulsions
sociales des cercles dirigeants
bourgeois et intellectuels seront
déterminées par les impulsions de
l’État de droit, des impulsions de
la véritable structure politique. Et
les deux courants se développent
toujours plus et plus ainsi que
justement vient au jour ce à quoi
j'ai rendu attentif dans
l'introduction de la conférence
d'avant-hier, qu'un fossé, un abîme
existe entre la configuration
particulière du penser et ressentir social des cercles
dirigeants bourgeois et des cercles
prolétaires.
Car cela, disais-je, serait le plus
tragique de la récente évolution
dans l'actuelle formation des
circonstances de l'humanité que cet
abîme demeure, que si difficile soit
à trouver une
compréhension, une compréhension
mutuelle des deux couches de
population caractéristiques. Ainsi
devrait rentrer ce que nous pouvons
voir maintenant : que les deux
couches de la population s'opposent
comme armées pour un combat pour la
vie. Et l'essentiel
dans ce combat, qui pour part se vit
déjà, mais pour part premièrement se
prépare, et qui, comme cela peut
éclairer, n'atteint lui-même
aujourd'hui que superficiellement la
vie en société, qui prendra des
formes gigantesques, l'essentiel est
que d'un côté les cercles dirigeants
bourgeois veulent conquérir plus et
plus la vie de l'économie pour
l’État, veulent conquérir avec cela
d'une manière particulière, pour l’État, avec cette
vie de l'économie, la prestation de
travail et la force de travail du
prolétariat lui-même, et que de
l'autre côté le prolétariat veut
conquérir l’État pour
cela qu'il vit pour lui d'intérêt
dans la vie de l'économie isolée.
Cela
est pour l'essentiel le principe de
base du combat, qui joue là dedans
si plein de signification dans la
circonstance de l'humanité actuelle.
Et on a sur tout cela qui, ouvert,
se passe dans la conscience,
oubliée, laissée hors attention,
j'aimerais dire, presser vers en bas
dans le sous-conscient de l'âme
humaine ce qui se cache en fait
derrière ces deux impulsions que
j'ai mentionnées. Ce qui veut se
travailler vers le haut à cette
surface de la vie humaine, depuis
que le revirement à nature de crises
au 15e
siècle est rentré
dans l'évolution de
la récente humanité, cela montre
tout d'abord pendant que l'autre
très souvent justement se joue
seulement masqué dans la conscience,
ce qui creuse et agit et pulse dans
la vie humaine : c'est
l'aspiration après un plein
faire-valoir de la personnalité
humaine, ainsi que les époques
anciennes ne l'on pas connu. Faire
valoir de la personnalité humaine,
ressenti de l'être humain en soi,
cela est en fait le nerf de base de
la question sociale, et cela
s'habille seulement d'après ces
différents rapports de vie dans les
formes données qui donc tout de
suite sont confirmées par qui a été
mentionné. Et ainsi, cela pourrait
venir qu'un combat, qui pris à la
base est un combat pour l'obtention
de la pleine dignité humaine chez
tous les humains, serait lui-même
devenu un combat de différents
intérêts opposés, un combat de
classes, un combat qui jette ses
forces dans le présent d'une manière
si fatale.
Que
quelque chose de caché et masqué se
dévoile dans cette récente évolution
de l'humanité, cela a provoqué qu'on
n'oriente pas le regard, ou mieux
dit que jusqu'à présent on
n'apprenne pas à orienter le regard
sur ce dont il s'agit. À l'intérieur
du temps, dans lequel les impulsions
sociales ont œuvré instinctives,
on pouvait aussi laisser l'organisme
social se former instinctivement.
Désormais, là les impulsions
sociales sont entrées dans la
conscience des humains, quant aussi
en forme masquée, là est nécessaire,
là c'est le plus important en
rapport aux problèmes sociaux des
temps récents, que
compréhension sociale, compréhension
pour la
formation de l'organisme social
rentre dans chaque
âme humaine particulière, quand
aussi cette compréhension n'a pas
besoin d'être une savante, mais une
telle qui vive dans le sentiment,
dans la sensation et se vive en cela
que l'humain particulier ressent
comme cette ou telle nécessité, se
placer dedans dans la société
humaine.
C'est pourquoi c'est aujourd'hui si
nécessaire de faire cela que je
tentais de faire en ces
conférences ; orienter le
regard sur cela sur quoi tout tend
dans l'aspiration de la récente
humanité, mais qui en fait ne peut
se presser à la surface aujourd'hui
que par ces conditions particulières ; tourner le regard là
dessus que l'organisme social doit
devenir vraiment une structure
vivante, une structure telle qu'on
comprend dans ses conditions de vie,
comprend toutefois vivant, pas
théorique.
C'est pourquoi j'indique là dessus
que la santé de l'organisme social
dépend de ce que ne soit pas jeté
comme des dés chaotiquement ce que
sont les trois membres de
l'organisme social : vie
spirituelle dans la plus large
étendue ; vie du droit ou
politique, donc la vie de l’État
dans le sens le
plus étroit, et la vie de
l'économie. Par là d'abord les
forces actives dans les trois
membres expérimenteront leur
nécessaire formation et leur
nécessaire libération, ainsi que ces
trois membres ne seront jamais
aspirés l'un par les autres, mais
qu'ils se
déploient libre l'un à côté des
autres et tout de suite en une
certaine autonomie, comme j'ai déjà
mentionné de différents points de
vue, œuvre à côté les uns des autres
et ensemble.
Les véritables tendances de l'évolution humaines
étaient orientées jusqu'à présent
contre cette autonomie à partir de
certaines conditions préalables. La
différenciation de ce qui a été
emmêlé l'un par l'autre, cela est
maintenant la nécessaire question de
vie en rapport
au système
social de l'humanité présente.
On
a éprouvé de différents côtés du
penser et sentir humain que, cela que je
pense ici, toujours déjà, comme
justement à la lumière de la
conscience des impulsions sociales
les humains commencèrent chacun
selon leurs
prédispositions spirituelles à
penser ainsi ou ainsi sur les
rapports de vie d’État et de vie
de l'économie. Là nous voyons se
former des ainsi nommées manières de
penser sociales ou nationales
économiques -
comme on veut maintenant le nommer
est indifférent. Cela ne peut pas
être ma tâche
d'exposer ici l'évolution de la
pensée sociale dans les temps
récents. Seulement, je veux rendre
attentif à une
chose, qui j'aimerais dire, éclaire
fortement maint sur cela dont tout
de suite il doit s'agir dans ces
conférences.
Sous
toutes les sortes de manière de
penser, sortes de représentation en
rapport à l'interdépendance des vies
économique avec
l'étatique et la spirituelle de
l'humanité apparu aussi cela dans
les temps récents, entra ce qu'on
décrivait au 18e
siècle comment
l'ainsi nommée
pensée nationale économique
physiocratique. D'une pensée plus
ancienne, qui à l'intérieur de
l'organisme d’État voulait
organiser davantage la vie de
l'économie, se forma comme par un
contraire nécessaire cette pensée
physiocratique. Elle se forma ainsi
qu'on voulu passer à cela, de ne pas
tyranniser la vie de l'économie par
la vie du droit de l’État, par la
vie politique de la structure d’État
au sens étroit,
qu'on voulait laisser à la vie de
l'économie ses propres lois
naturelles, lui laisser les
impulsions, desquelles elle vient quand
simplement l'humain libre engage le
jeu à partir de ses intérêts.
Là maints connaisseurs de ce système
ont en fait parlé de ces choses très
éclairantes, ce qui pourra ainsi un être répété
quelque peu. Les gens
disaient : pourquoi en fait à
l'intérieur de la structure d'état
politique un système de lois devrait
être formé, lequel règle la vie de
l'économie ? Soit ces lois
devront être les même que celles que se donne
elle-même la vie de l'économie quand
elle est laissée au libre jeu des
forces, ou bien elles seront autres
et lui seront opposées.
Dans le premier cas, quand ce sont
les mêmes, alors elles ne sont pas
nécessaires, alors on n'en a pas
besoin, alors la vie de l'économie
se donne ses propres lois, alors on
n'a pas besoin d'atteler la vie de
l'économie dans des lois d’État
particulières. Mais
œuvrent les
lois d’État contre
la vie de l'économie, alors elles
l'entravent, alors elles la restreignent, alors
elles sont dommageables à celle-là.
J'aimerais
dire : ce qui s'exprime dans
ces deux principes contradictoires,
cela est à cause de cela encore bien
ancré dans beaucoup de têtes, parce
que l'humanité moderne se croit
aussi tant être pratique, avoir du
sens pour la réalité, donc
terriblement rongée par un certain
sens pour d'abstraites, théoriques
unilatéralités. Et testerait-on
combien dans cela qui apparaît à
beaucoup de gens comme la véritable
vie pratique n'est pas autre chose
qu'unilatéralité réalisée, théorise
unilatérale réalisée, alors on
butterait sur tant d'énigmes de vie
et pourrait aboutir à une solution
partielle de celles-ci.
Ce qui sonne plausible, ce qui sonne
plus évident que quand je dis :
soit les lois étatiques marchent
dans la même direction que les
économiques, alors on n'en a pas
besoin, ou elles les contredisent,
alors elles doivent nuire à la vie
de l'économie. Mais on pense dans
ces contraires seulement quand on
considère l'organisme social comme
quelque chose qui se laisse régler
par concepts, par lois, par
principes, par programmes, quand on
ne peut prendre son essor à l'avis
que l'organisme social est quelque
chose qui doit avoir de la vie en
soi, qui doit vivre par sa propre
entité doit vivre.
Mais ce qui par son propre contenu
de vie, par ses propres impulsions
de vie prospère et pousse, cela a
des contraires à soi dans la vie
véritable. Et l'organisme social
doit, s'il doit être un réel, un
véritable, avoir des contraires en
soi.
C'est
pourquoi c'est correct, ce qui
apparaît peut être tout de
suite comme une
absurdité à beaucoup d'âme du
présent déterminées théoriquement :
la vie étatique, pure juridique,
pure politique doit tout de suite en
une certaine manière limiter, œuvrer
dans ses lois contre la vie
économique afin que la vie de
l'humanité qui n'est pas une pure
économique, pas une pure juridique,
mais est une économique, juridique
et spirituelle, puisse avec cela se
déployer ainsi que dans l'organisme
humain particulier – j'utilise la
comparaison encore une fois en ce
que je rends attentif là dessus, pas
comme si je voulais faire un jeu
d'analogie de la physiologie et de
la sociologie – le système de
digestion se déroule pour lui-même
d'une certaine manière relativement
autonome et a près de lui le système
rythmique, le système de la
respiration, du cœur et les deux se
limitent et
se font frontière réciproquement
dans leurs événements dans les processus
vivants. Ainsi, il est nécessaire
que soient placées l'un à côté de
l'autre dans le véritable organisme
social la vie de l'économie d'un
côté et dans le sens étroit la vie
d'état politique de l'autre côté, et
doit se joindre à elles avec
relative autonomie la vie de
l'esprit, comme je l'ai à nouveau
montré d'un autre point de vue la
dernière fois.
Car
cela repose sur ce qui suit :
la vie économique a en soi de toutes
autres forces que
la vie de droit, avec laquelle elle
doit collaborer afin que la vie
d'ensemble de l'humanité puisse
prospérer et de nouveau d'autres que
la vie de l'esprit. On pourrait
quand on voudrait amener plus ou
moins en formes abstraites quelque
chose de vivant concret, mais qui
donc peut être à partir d'un côté, quand aussi
unilatérales, font justement les
choses compréhensibles, dire ce qui
suit : dans la vie de
l'économie, ainsi qu'elle consiste
en production de marchandises,
circulation de marchandise et dans
la consommation de marchandises, il
s'agit qu'apparaisse la formation de
valeur correspondante de tout cela.
Et cette formation de valeur se
déroule pour l'essentiel ainsi que
la valeur doit se former, quand
l'organisme social doit être sain,
sous l'influence de l'impulsion que
la consommation de ce que
l'organisme économique prend
en compte pour
lui – qu'on le nomme marché ou
autrement – et tient prêt pour la
consommation, que la consommation de
la marchandise en soit une la plus appropriée possible,
une la plus avantageuse possible.
Une marchandise devra être présentée
à la consommation ainsi, quand
l'organisme social est sain, qu'elle
se laisse entièrement consommer
de la manière la
plus appropriée, qu'elle dure aussi
longtemps que c'est approprié ou est
consommé aussi vite
que c'est approprié, mais que
toutefois son contenu entier tende
vers la consommation.
La
force de travail humaine serait-elle
pleinement attelée dans la vie de
l'économie – et cette vie de
l'économie peut seule se développer
sainement sous le point de vue de la
formation de prix des marchandises
d'après la consommation
correspondante -, ainsi serait
remplie ce que la façon de voir
marxiste du prolétariat prétend, que
la force de travail humaine serait
elle-même marchandise et ainsi
serait donc cette force de travail
comme chargée avec
le caractère de marchandise dans
l'organisme social de devoir
recevoir sa
valeur en cela qu'elle serait
pleinement consommée de manière
appropriée. Le membre économique de
l'organisme social a aussi, quand on
le regarde plus exactement, la
tendance en soi, de consommer
l'humain et le membre économique de
l'organisme social suivrait-il
seulement ses propres lois, ainsi
serait justement consommée la force
de travail humaine à l'intérieur de
ce membre. En cela que les cercles
dirigeants bourgeois ne faisaient
pas attention à cela, ils ont tout
de suite contribué à
ce qu'a l'intérieur de la vie de
l'économie et de la position du
prolétariat dans la vie de
l'économie s'est formé le nerf de la
question sociale moderne, qui montre
sa vie dans ce que tout de suite le
prolétaire moderne le prend tout
particulièrement en compte pour soi, de dévêtir sa
force de travail du caractère de
marchandise. Comme aussi sinon maint
se masque dans la question sociale
et que beaucoup de cela vit dans le
sous-conscient du prolétaire
moderne, c'est un facteur essentiel
que l'âme prolétaire aspire après la
libération du caractère de
marchandise de la force humaine de
travail.
Mais
cela ne peut jamais se passer quand
le processus économique se déroule
d'après ses lois, et quand on fait
de l'ensemble
de la vie de l'État seulement une
seule économie comme c'est l'idéal
de beaucoup de socialistes modernes.
Cela ne peut aussi pas se passer
alors quand d'une manière
unilatérale on veut faire l'État de
lui-même gestionnaire. Un rapport
sain se donne seulement alors quand
on laisse à l'organisme économique
en lui-même déployer sa relative
efficacité, quand, comme cela se
passe aussi dans la vie organique
naturelle, on laisse dans une
certaine mesure pour cela un
système, afin qu'il forme pleinement
les forces reposants en lui, se
déployer en une relative autonomie
et alors limite, améliore cela qui
se montre par un système reposant à
côté, relativement autonome, comme
dans l'organisme naturel un système
se développe pleinement, amène aussi
à l'expression ses dommages, mais
ces dommages seront perpétuellement
paralysés par le système reposant à
côté. Là-dessus repose toute
efficacité organique. Là-dessus doit
aussi reposer la guérison de
l'organisme social.
Il
ne s'agit pas véritablement pour moi
comment on définit l'organisme
économique, comment on définit
l'organisme étatique, comment on
pense sur eux, mais de cela il
s'agit pour moi, que ces deux
membres doivent être là à côté l'un
de l'autre, et que l'un doit se
développer relativement autonome,
doit même développer la tendance de
ses dommages à partir de lui-même
afin que l'autre système à côté
doive se développer et doit
paralyser cela qui sinon se
donnerait comme dommages dans
l'autre système. Cela est l'essence
du vivant ; cela doit aussi
être l'essence de l'organisme social
vivant. Alors
seulement, quand le corps économique
s'administre lui-même, administre à
partir de ses propres conditions, le
corps juridique, politique
s'administre lui-même à nouveau à
partir de ses propres conditions,
qui se montrent par la régulation de
rapport de droit d'humain à humain,
et quand alors un de chaque de ces
organismes se régule autonome, en ce
qu'ils œuvrent à côté l'un de
l'autre et l'un sur l'autre, alors
se constitue une vie sociale saine.
La question sociale n'est pas à
résoudre par une théorie, pas à
résoudre par des lois, mais est
seulement à résoudre par cela que
dans la vie vivante une des sortes
de force, l'économique, à côté de
l'autre, l'étatique, la politique
œuvre dans l'immédiat, dans
l'existence propre, que les deux se
développent à côté l'une de l'autre
et l'une dans l'autre, mais se
développent ainsi que chacune
d'elles se tient là dans son
autonomie.
C'est
cela qui à partir d'une certaine
nécessité historique a été raté. Car
ce qui s'est passé est naturellement
nécessaire. Il ne devrait pas ici
être donné une critique, mais un
exposé des rapports. Mais c'est cela
qui doit se manifester comme une
nécessité dans le progrès des
humains pour la vie du présent et du
proche futur. Il s’avérera que, pour
la guérison de l'organisme social,
la volonté
de la vie de l'économie deviendra
une associative, qu'elle s'articule
ainsi que donc les coopératives,
syndicats et ainsi de suite, ayant
les capacités pour cela, se formeront ainsi
qu'elles ôtent ce
qu'elles ont encore repris des
préjugés, que tout devrait
se former d'après le vieux modèle de
l’État de
droit.
Ce qui vit encore de vie d’État
dans ces
associations servant la vie de
l'économie, cela devra être enlevé.
Elles doivent devenir des
corporations servant purement la vie
de l'économie, de telles
corporations qui reposent sur le
rapport qu'à l'intérieur de la vie
de l'économie l'humain doit avoir,
que ce soit aux bases de nature de
la vie de l'économie, que ce soit à
la nécessité de valoriser telle
ou telle sorte de
matière première, d'amener les
marchandises en circulation,
d'amener le rapport de consommation
dans le rapport correct à la
production et au commerce et ainsi
de suite. La complexité de la vie
humaine le rend aujourd'hui
nécessaire qu'un système entier
d'associations et coalitions, qui
seront provoquées par les bases
naturelles de la vie de l'économie,
se formeront sous les humains, de
telles associations et coalitions,
lesquelles consistent dans l'essentiel sur la
compréhension de la valorisation des
bases naturelles et de
l'introduction des marchandises à
consommation appropriée. Justement,
la complexité exige que sur ce
domaine tout un système
d'association se forme. Mais ces
associations seront formées à partir
des rapports de l'humain avec les
forces économiques elle-mêmes. Là se
montrera que justement se présente
cela toujours de nouveau et à
nouveau pénètre dans la véritable
vie, que la vie de l'économie tend à
cela : de consommer l'humain.
À
côté de la vie de l'économie doit se
tenir la vie politique qui au
contraire de la vie de l'économie
qui a à reposer sur des
associations, doit plus reposer sur
la démocratie, car la vie étatique
englobe le rapport d'humain à
humain. Elle englobe tout cela à
quoi, de mêmes manières, tous les
humains ont leur intérêt. Comme la
vie de l'économie repose sur la
valeur économique des biens, ainsi
la vie de l’État aura
à reposer pour l'essentiel sur le
droit public, qui fonde dans la loi
ou fonde la loi, qui détermine là le
rapport de l'humain parmi les humains. Et en
interaction vivante devra être
limité, borné, ce qui se développe
hors la vie de l'économie. Des bases
pour cela sont donc disponibles,
mais une raison sociale énergique
doit saisir sa place.
Cela devra s'en former qui avant
toutes choses protège l'humain
devant ce qui, de la vie de
l'économie est
orientée sur la consommation, d'être
consommé soi-même en rapport à sa
force de travail.
Justement
ainsi comme formation
de prix, formation de valeur est
l'essentiel à l'intérieur du corps
économique, justement ainsi la
formation du droit concret, du droit
public concret, cela régule la vie
de l'humain à côté de l'humain est
l'essentiel dans la vie de l’État
politique. Peut-on
en rapport au sentiment, qui existe
vis-à-vis du droit public, ne pas
dire aujourd'hui encore qu'il ne
s'est pas encore résolu à une clarté
toute particulière ?
On peut beaucoup, beaucoup chez
ceux-là qui devraient savoir la
chose, qui devraient avoir beaucoup
réfléchi et fait des recherches sur
la chose, on peut beaucoup se
renseigner chez ceux-là, ce qui est à comprendre
sous l'essence du droit, du droit
qui donc toujours se présente en
formes concrètes. On reçoit en
premier un
concept des difficultés qui sont
disponibles là quand par exemple on
s'embarque sur une telle question
comme celle-ci fut, que mon ami
décédé Ludwig Laistner a placé à la base de sa
thèse de doctorat, « Le droit à
la punition ». Cela peut tout
seul devenir une question, en quoi
consiste le droit de la société
humaine à la punition dans le droit
concert.
On
peut beaucoup tenter, pour
s'approcher de l'impulsion du droit.
En particulier en notre temps
actuel, où des plus différents côtés
sera tant parlé de droit, cela
repose donc sur la main, de toujours
vouloir de nouveau et à nouveau se
rapprocher de cela qu'est en fait
l'essence du droit. Quand on essaye
de venir là derrière, sur quoi un
tel droit concret repose – aussi le
droit de possession est fondé sur un
droit ; le rapport de
possession fonde sur le droit
d'utiliser une parcelle de sol ou
une quelque chose exclusivement pour
soi avec directive
d'éloignement de
l'autre -, l'objet du véritable
membre politique du corps social
est, ainsi les uns ne trouvent
absolument rien d'autre que cela
finalement retourne donc au pouvoir.
Les autres trouvent que cela
retournerait sur un sentiment humain
originel. On vient donc bien trop
facilement, quand on veut se pousser
la chose au corps, sur des formes
vides. Sans que je puisse
m'embarquer – ce
qui donc prendrait des heures - sur
une pleine justification, j'aimerais
quand même dire cela que le droit
fonde donc un certain rapport de
l'humain à une chose quelconque, une
chose ou un processus
ou du genre ou une somme de
processus, avec exclusion d'autres
humains. Sur quoi cela repose-t-il
en fait maintenant qu'on peut
développer le sentiment : un
quelque humain ou un peuple aurait
un droit sur cela qu'on a en
vue ? Et
on ne reçoit là donc, quand on se
donne ainsi tant de mal, rien
d'autre que cela qu'on peut se
dire : dans la vie publique, le
droit fonde cela que la condition
préalable à le droit d'exister, que
celui, qui a la permission
d'orienter son activité à une chose
ou un processus ou une série
de processus, fait
cela avec la plus grande
vraisemblance plus
au sens de l'ensemble de l'humanité
qu'un quelque autre.
Dans l'instant où on a le sentiment
qu'un quelque quelqu'un amène en
rapport à une chose ou à quelque
chose d'autre plus à l'expression de
l'utilité de l'ensemble de
l'humanité, que quand un autre
utilise cette chose ou arrive dans
ce rapport, ainsi on peut
reconnaître le droit sur la chose au
concerné. Cela sera donc aussi dans
l'essentiel, ce qui dans le
sentiment de l'humanité donnera le
décisif, quand maintenant les
grandes questions de droit de la vie
internationale rentrent dans
l'être-là, dans le véritable
être-là. On reconnaîtra pleinement
le droit sur un certain territoire à
ceux-là chez qui existe la vue qu'au
sens du bien de l'ensemble de
l'humanité tout de suite ce peuple
pourra administrer le territoire le
plus fructueusement, le plus
sûrement.
Ainsi
on vient à cela que dans le système
d’État démocratique
peuvent tisser et fluer les
impulsions qui doivent orienter
la vie d'humain à
humain, qui, que ce serait dans
l'assurance du travailleur,
serait-ce en quelques autres
assurances, qui sont là pour la
protection des dommages de la vie
économique, en tout cela doit vivre
comme le fondement du droit duquel
j'ai parlé. Et une compréhension,
mais maintenant pas une
compréhension pour une quelque
définition générale du droit, mais
une compréhension pour l'efficacité
du droit dans le cas particulier
concret, c'est cela qui doit
entrer dans le but d'une saine vie
sociale de l'humanité. Cette vie du
droit, cette vie de l’État politique dans le sens
étroit, le deuxième membre d'un
organisme social sain, ce sera aussi
cela qui seul reconduira à la
frontière le véritable point de
croisement, aimerai-je dire, de la
question sociale moderne, pas par
quelque réalisation de vues
théoriques et principes et
programmes, mais par la vie
immédiate, notamment le point que
j'ai auparavant décrit comme
l'exigence du prolétariat
moderne : dévêtir la force de
travail de l'humain du caractère de
marchandise.
À cela est toutefois
nécessaire qu'on comprenne aussi,
j'aimerais dire, comprenne à partir
des fondements ce dont il s'agit à
la participation du travail humain
dans la vie humaine générale, dans
la structure qu'a la société
humaine. À nouveau cela demanderait
des heures quand je voudrais ici
fonder une loi sociale fondamentale
du travail humain ; intuitif,
je crois, et instinctif chaque
humain, qui voit relativement à
travers la vie, peut comprendre ce
que je vais exprimer maintenant.
J'ai essayé, déjà au début du siècle
dans un essai sur la question
sociale qui cette fois-là est paru
dans ma revue
« Luzifer-Gnosis »
paraissant autrefois, de tout de
suite rendre attentif sur cette loi
sociale fondamentale. Mais on
prêchait autrefois et prêche sur
beaucoup de choses dans ce domaine
aussi aujourd'hui encore à de
sourdes oreilles, malheureusement.
Cette loi consiste là dedans, que
personne, aussi loin qu'il fait
partie du corps social, de l'organisme social, ne
travaille en réalité pour lui-même.
Il faut souligner, aussi loin que
l'humain fait partie de l'organisme
social, il ne travaille pas pour
lui-même. Chaque travail que
l'humain fourni ne peut jamais
retomber sur lui, aussi pas en son
réel bénéfice, mais il peut
seulement être fournit pour les
autres humains. Et cela que les
autres humains fournissent, cela
doit revenir à nous-mêmes. Ce n'est pas purement
un altruisme à promouvoir
éthiquement, qui vit dans ces
choses, mais c'est simplement une
loi sociale. Nous ne pouvons pas du
tout autrement, justement aussi peu
comme nous pouvons conduire notre
sang autrement, que d’œuvrer ainsi
dans la circulation de l'activité
humaine que notre activité vienne à
l'avantage de tous les autres, et
l'activité de tous les autres vienne
à notre avantage, que jamais notre
propre activité retombe sur nous
même.
Aussi
paradoxal que ça sonne, quand vous
examinez quel véritable processus de
circulation fait le travail humain
dans l'organisme social, vous
trouverez : il sort de
l'humain, il vient à l'avantage de
l'autre, et cela que les uns ont de
la force de travail, cela est le
résultat de la force de travail
d'autres. Comme dit, aussi paradoxal
que ça sonne, c'est vrai. On peut
justement aussi peu vivre de son
propre travail dans l'organisme
social qu'on peut terminer de se
manger soit même pour se nourrir.
Bien
qu'au fond
la loi est très facile à comprendre,
nous pouvons lui objecter :
quand maintenant je suis un tailleur
et parmi les
habits que je fabrique pour les
autres, je me fais aussi une fois un
costume moi-même, alors j'ai donc
utilisé ma force de travail sur
moi-même ! - Cela est seulement
une illusion, comme absolument c'est
toujours une illusion quand je crois
que le résultat du travail personnel
retombe sur moi. En
ce que je me fais une robe, un
pantalon ou du même, je ne travaille
en réalité pas pour moi, mais je me
mets dans la situation de continuer
à travailler pour d'autres. C'est cela que le
travail humain a comme fonction
purement par une loi sociale à
l'intérieur de l'organisme social.
Qui transgresse cette loi, il
travaille contre l'organisme social.
C'est pourquoi on travaille contre
l'organisme social quand on continue
à réaliser cela qui s'est montré
dans la récente vie historique,
qu'on laisse vivre le travailleur
prolétarien des bénéfices de sa
force de travail.
Car ce n'est
aucune vérité, c'est une non-vérité
cachée, réalisée, par
les moyens de liaison sociaux qui se
presse comme destructrice dedans la
vie de l'économie.
C'est cela, mais qui dans la vie de
l'économie pourra seulement être
réglé quand cette vie de l'économie
se développe autonome et à côté
d'elle relativement autonome se
développe le politique, l'étroite
vie d’État, qui continuellement
arrache à la vie économique la
possibilité de conduire le travail
humain sur lui-même.
À l'intérieur du système de droit
sera obtenu dans la compréhension
sociale correcte que le travail
humain reçoive cette fonction qu'il
doit recevoir à la mesure du
véritable déroulement de la vie dans
l'organisme social. L'organisme
économique pour lui-même a toujours
la tendance, de consommer la force
de travail de l'humain. La vie du
droit doit toujours assigner sa
position altruiste conformément à
la nature à la
force de travail, et c'est toujours
nécessaire à nouveau, par de
nouvelles législations démocratiques
concrètes, d'arracher toujours
nouvellement à cette vie économique
ce que la vie économique veut
réaliser en non-vérité, et toujours
sur le neuf arracher vers dehors la
force de travail humaine des griffes
de la vie de l'économie sur les
chemins du droit public.
Tout de suite ainsi que doivent collaborer le
pur système digestif avec la vie
respiratoire-circulatoire en ce que
sera accueilli par le sang circulant
ce qu'incorporera
le système digestif, ainsi doivent
œuvrer l'un
à côté de l'autre, agir l'un sur
l'autre ce qui se passe dans la vie
de l'économie et ce qui se passe
dans la vie du droit, sinon l'un et
l'autre ne prospèrent pas. Le pur
État de
droit quand il veut devenir
gestionnaire, paralyse la vie de
l'économie ; l'organisme
économique, quand il veut se
conquérir l’État, tue le système, la
vie du droit public.
C'est
cela que j'aimerais encore ajouté
aux dits des précédentes conférences
pour la fondation de la nature
triarticulée (NDT
Dreigliedrigkeit) de l'organisme social.
En ce que les cercles dirigeants
bourgeois avaient dans une certaine
mesure orienté comme hypnotisés le
regard seulement sur l’État, l’État
leur devint quelque
chose comme une idole. L'attention
n'a pas été dirigée sur cette
nécessaire différenciation de
l'organisme social en trois membres.
Et ainsi cela est venu que dans les
temps récents la vie de l'esprit a
aussi été aspirée par les États, par
la vie politique dans le sens le
plus étroit. Ainsi que la
circulation de marchandise repose
dans la vie de l'économie sur
formation de prix et
de valeur, ainsi que la vie à
l'intérieur de l'organisme social
politique repose sur la vie du
droit, ainsi repose toute vie
spirituelle sur l'immédiat contenu
du produit (NDT
de ce qui est produit). Et réfléchissez
seulement quelle différence
puissante est entre la vie de
l'économie et la vie spirituelle.
Dans la vie de l'économie tout
dépend de cela que la marchandise
sera poussée à la consommation
appropriée. La production
spirituelle serait-ce sur le domaine
du système d'éducation, d'école,
serait-ce sur le domaine de l'art,
serait-ce sur un quelque autre
domaine spirituel, placer la
production spirituelle en rapport
avec le concept de la consommation
est tout simplement une absurdité.
On ne le peut pas. On ne peut pas
placer ce qui est produit
spirituellement dans la même
ligne que ce qui circule dans
le processus économique. C'est cela,
qui a aussi œuvré, que la
l'aspiration par exemple du système
scolaire par l’État, le système
universitaire par l’État et semblable, est
devenu dans l'évolution moderne un
facteur paralysant, maintenant aussi
paralysant au sens réel. Et c'est
cela qui doit rendre l'humanité
attentive que cette vie de l'esprit
devra être
à nouveau libérée, désenchaînée.
Et j'ai déjà rendu attentif là
dessus qu'à ce membre spirituel de
l'organisme social maintenant aussi
doit être compté ce qu'aujourd'hui
encore semblera à maints maintenant aussi un
paradoxe, la véritable pratique du
jugement de droit pénal et privé.
Aussi étrange que ça sonne, aussi là
il y a déjà une tendance dans la vie
moderne, qui ne sera seulement pas
correctement jugée. Ce qui toujours
plus et plus par une psychologie
justement ratée a été pris en compte
pour la justice, c'est cela qui tend
vers un principe non encore reconnu,
mais nécessairement à reconnaître de
l'incorporation de l'action de droit
pénal et privé dans le membre
spirituel, qui à nouveau avec
relative autonomie se tient là,
aussi avec relative autonomie se
tient là vis-à-vis de toute la vie
qui se développe comme la vie
politique plus étroite, qui se
développe comme la vie du droit
public, de la législation. Certes,
il sera par exemple a chercher le
voleur dans le futur par ce qui se
montre dans le deuxième membre, dans
le membre politique. Mais quand
c'est cherché, alors il sera
condamné par un juge, auquel il se
tient en vis-à-vis en un rapport
humain individuel.
Sur
cette question peut aussi seulement
juger peut être celui qui, à partir
de l'histoire comme moi, qui vous
parle maintenant, des années, des
années durant a pu observer un
territoire, où était vraiment
difficile, de gouverner
unitairement, et où donc, j'aimerais
dire, on voulait gouverner
étatiquement unitairement : sur
un territoire comme en Autriche. Là
on pouvait observer, ce que ça
aurait donné quand par-dessus les
frontières linguistiques une
juridiction aurait été là ;
quand malgré les frontières de
langue le bohémien vivant en secteur
allemand aurait pu choisir le juge
voisin tchèque ou bohème de l'autre
côté, l'habitant bohème à nouveau
son juge dans le secteur allemand.
On a vu comment ce principe a agit
salutaire dans l'aspiration à des
associations scolaires
malheureusement restée à son début.
Là-dedans repose quelque chose,
j'aimerais dire, comme un lourd
cauchemar aujourd'hui encore sur
l'âme de celui qui a participé à
cette vie autrichienne, que cet œuf
de Colomb n'a pas été trouvé :
le libre choix du juge et la vivante
collaboration du plaignant, du juge
et de l'inculpé, à la place du juge
à partir de l'état politique
centralisé, qui ne peut être donnant
la mesure seulement non pour la
justice, mais pour la recherche et
la remise du voleur ou alors pour
l'exécution du jugement.
Aussi
paradoxal que cela sonne aujourd'hui
encore à l'humanité, le rapport de
l'humain à son juge en rapport de
droit pénal et privé doit être
incorporé au membre spirituel
autonome. Déjà avant-hier j'ai rendu
attentif là dessus que
l'administration extérieure ne
dépendra pas du
choix (NDT
ou de l'élection) des personnes dans le
membre spirituel de l’État. Qui peut
regarder dedans les rapports
modernes, celui-là se dévoile aussi
cela, que la vie la plus intérieure
de science et art et tout spirituel
devient dépendant de cela de quoi
cela n'a pas le droit de devenir
dépendant, quand ce membre spirituel
ne peut pas se développer en
relative autonomie à côté des deux
autres membres. Il apparaît
aujourd'hui encore à beaucoup comme
quelque chose de paradoxal, quand
maintenant je dis en récapitulant
que chacun
de ces domaines devrait avoir une
certaine souveraineté, son propre
système de représentativité, sa
propre législation (NDT
ou compétence législative), qui a poussée à
partir de ses conditions, qui
poussent des rapports d'association
dans le domaine économique, donc ont
son administration, sa compétence
législative autonome. Un domaine
social déterminé
poussera de manière démocratique de
l'humanité d'ensemble pour le
véritable état politique, dans
lequel sera réglé le rapport de
l'humain à l'humain, le rapport à
l'économie, le rapport à la vie
spirituelle ; mais sans que
sera intervenu
dans les deux à partir des lois de
l'État, et des forces actives dans
la vie spirituelle elle-même se
donnera l'articulation aussi de
l'administration pour la vie
spirituelle. À un
degré encore beaucoup plus haut la
vie spirituelle vraiment moderne
pourra être émancipée, dans un plus
haut degré que ce fut le cas en des
temps anciens, alors que la seule
vie spirituelle qui venait en
considération pour beaucoup
d'humains, consistait en vie
religieuse, à partir de laquelle
s'est donc aussi formé le système
scolaire, la vie universitaire.
Certainement
l'intervention du
système de l’État
moderne a été
nécessaire, pour renvoyer ce qui
des formes de religion vieillies
et des administrations vieillies, ne
leur revenait plus. Mais à partir de
la vie moderne elle-même doit à
nouveau se développer la vie de
l'esprit autonome. Cela est donc
tout de suite déjà, ce qu'une
orientation de science de l'esprit,
comme elle repose à la base de ces
considérations sociales ici, doit
prendre en compte pour elle, ce
qu'elle doit prendre en compte des
bases, parce qu'elle sait que
l'ensemble de la véritable vie de
l'esprit productive, aussi ce qui
par exemple se vit dans des
inventions techniques, idées
techniques, que cela peut seulement
se développer avec vraiment des
impulsions guérissantes pour
l'humanité quand
cela se développe du spirituel
vivant, autonome, indépendamment des
deux autres membres de l'organisme
social. L'esprit aura seulement de
la manière correcte la force de
propulsion à la productivité dans
l'humain quand cette vie de l'esprit
est relativement autonome. On peut
travailler du chapeau, théoriser,
imaginer des
choses, ma foi aussi ainsi que cela
s'est admirablement passé d'une certaine
orientation dans
la technique moderne et la science de la nature,
notamment dans leurs méthodes, aussi
inventer, mais la véritable idée
productive, qui est si productive qu'elle sert
le vrai progrès de l'humanité et en
même temps le vrai salut de
l'humanité, cette idée pourra
seulement être mise au monde à
l'intérieur d'une vie de l'esprit
placée sur elle-même.
On
est encore tellement éloigné
aujourd'hui de ce qu'en fait je
pense ici et ce qui devra
nécessairement être compris quand la
question sociale devrait être placée
sur une base guérissante que maintes
gens m'ont rétorqué quand je leur ai
expliqué cela : oui, cela est
donc seulement en un sens moderne de
nouveau une rénovation de la vieille
idée platonicienne de tripartition
du corps social en trois
statuts : statut nourricier,
statut défensif, statut enseignant –
Non, cela n'est aucune rénovation de
cette vieille idée platonicienne,
mais cela est en certain rapport le
radical contraire de cela, et il
s'agit de cela. Car entre ce qui
pouvait être pensé platoniquement
comme quelque chose de grand en
Grèce et encore pour des temps plus
tardifs, et ce qui devra aujourd'hui
être pensé pour le salut
et la guérison de l'organisme
social, repose la grande, à nature
de crise, césure d'humanité autour
du 15e
siècle. Cette fois
là, aux temps platoniciens,
l'articulation de l'organisme social
était une telle qu'on répartissait
les humains d'après
des états (NDT
ou des castes).
L'articulation de laquelle je parlais ici,
celle-là n'articule pas les humains,
elle articule l'organisme
social ; elle articule cet
organisme social ainsi, que sous
conditions un humain peut être dans
tous les trois membre, peut faire le
correspondant, mais par cela que
l'organisme social est articulé, il
n'est pas dans la situation d'agir
dedans de n'importe quelle manière
dommageable d'un
membre dans l'autre, pas une fois
alors quand, comme cela s'est passé
très souvent dans les parlements
modernes, le même humain ma foi
comme agriculteur se tient en même
temps dans un parti
étatique. Aujourd'hui c'est encore
possible qu’il inaugure une
représentation d'intérêts par de
quelconques associations
, que dedans la vie de droit vienne
une représentation d'intérêts
économiques. J'ai la dernière fois
fourni un exemple où tout un état a
été noyauté par une telle
représentation d'intérêts.
Cela sera hors de question. Mais ce
que je décris
comme triarticulé dans l'organisme
social sain, cela c'est l'organisme
social isolé de l'humain. L'humain
sera tout de suite autonome par
cela, sera tout de suite dévêtu du caractère
d'un esclave de l'organisme social
que pas des classes d'humains, des
couches d'humains se tiennent là
comme membres, mais que l'organisme
social sera lui-même articulé. Cela
indique en même temps là-dessus que
cette pensée qui repose à la base de
cela est véritablement une à la
mesure de la réalité, est éloignée
de tout ce que j'ai avant hier
décrit comme spiritualité
d’attroupement (NDT
Schwarmgeisterei).
Cette
spiritualité d'attroupement apparaît
donc chez les plus différents
partis. Elle est tout autant
disponible en cercles bourgeois
comme du côté
de la social-démocratie. Et cette spiritualité
d'attroupement saisit alors les
humains quand toujours de nouveau et
à nouveau ils ne développent aucune
intuition de ce que l'organisme
social en tant que tel
peut en fait ambitionner quand il est sain.
Toujours de nouveau
et à nouveau la pensée sociale
souffre sous l'influence du
sentiment, de l'idée, comme si
pouvait être ambitionné
immédiatement, par un quelque
programme, un organisme social qui
provoque le bonheur de l'humanité ou
la satisfaction de l'humanité ou de
ce genre. Cela
ne pourra pas être ambitionné
immédiatement. Ce qui pourra être
ambitionné immédiatement, cela est
un organisme social capable de vie,
un tel, qui a justement en soi des
forces vivantes de la vie. Placé
dans un tel organisme, vivant dans
un tel organisme, l'humain peut
d'abord fonder son bonheur. Cela a
de tout autres soubassements. Mais
ces soubassements, ceux-là devront
être libérés de leur enchaînement.
Et ils seront seulement libérés
quand un organisme capable de vie
repose à la base. Ainsi qu'en un
organisme vraiment capable de vie
l'âme peut se développer, être en
lui de manière appropriée, ainsi en
un organisme social capable de vie
(peut se développer) une
humanité heureuse, satisfaite,
docile au travail et ayant des
raisons au travail (NDT
arbeitsverständige). C'est de cela qu’il
s'agit pour la guérison de
l'organisme social.
Un
coup d’œil sur
ce que nous avons vécu dans une
époque catastrophique peut aussi,
j'aimerais dire, d'un point de vue
international et d'un point de vue
historique plus grand confirmer
comme ce que ce que je mentionne
ici, comme ces trois membres, est
une véritable
nécessité pour la forme de vie
présente de l'humanité et la forme
de vie de l'humanité pour le proche
futur. J'aimerais dire, avant que
cette terrible catastrophe, qu'on
appelle une guerre, ait éclatée sur
l'humanité, était atteinte la
culmination du jeter-comme-des-dès
l'un dans l'autre et emmêler l'un
dans l'autre des trois membres qui
doivent se différencier. Et tout de
suite par là que ces trois membres
ne pouvaient pas œuvrer en relative autonomie à
côté les uns des autres, par cela
est beaucoup rentrer de ce qui au
véritable sens doit être compté au
point de départ et aux causes de
cette catastrophe guerrière. On a
donc seulement besoin d'indiquer sur
peu. Le regard de tous les humains
était orienté là-dessus comment
la guerre a pris
son point de départ de la relation
de l'État autrichien aux conditions
des Balkans, nommément à la Serbie.
Qui était initié aux conditions
autrichiennes depuis des décennies,
celui-là savait juger comment
les rapports
économiques, qui jouèrent entre
l'Autriche et le Sud-est européen,
étaient croisés de manière non
naturelle avec les rapports qui,
relativement autonomes, auraient du
se développer à côté d'eux, avec les
purement politiques, et comme par
cet amalgame, par cela que
maintenant les rapports politiques
devaient décider pour eux-mêmes
sur quelque chose
qui était profondément fondé sur des
rapports économiques, une
contrevérité réalisée se constitua
et explosa.
Comme
la chose serait devenue autre – je
peux seulement évoqué cela à la fin
de la conférence d'aujourd'hui -,
quand le rapport de tels états
voisins aurait été conforme à la
tri-articulation, quand par-dessus
la frontière le rapport aurait été
un pur politique, reposant sur base
démocratique et isolée des autres
membres, de la même façon qu'est
sinon la forme de gouvernement. Mais
quand maintenant corrigeant,
harmonisant par dessus la frontière
autonome les facteurs économiques et
spirituels auraient agit, là aurait
été répandu sur le système des
états, des ainsi nommés états
quelque chose comme harmonie
d'intérêts et raccordement
d'intérêts (NDT
Interessenverquickung), où toujours l'un
corrige l'autre, où pas l'un peut
unilatéralement provoquer une
explosion.
Des rapports sains par dessus les
frontières apparaîtraient par cette
tripartition (NDT
ici bien
« tripartition »)
dans le rapport
international des peuples.
Et
à nouveau, comment l'humanité
internationale a orienté le regard
sur l'Allemagne, que donc a précédé
dans les déclarations de guerre, au
moins extérieurement. Qui est initié
en ce domaine, celui-là sait,
comment le malheur s'est produit. On
a très souvent dit, en juillet et
août, dans les jours fatals que la
politique avait échoué à côté de la
véritable conduite de guerre, à côté
de l'armée. Mais politique et armée
sont là où les deux font des choses qui marchent
ensemble. Elles ne sont pas à
séparer sans plus. Elles peuvent
seulement se déployer de manière
saine quand elles œuvrent à l’intérieur de l'un, la structure
étatique dans un organisme social
triparti. Sinon la politique devra
nécessairement au
moins dans un des membres prendre un
caractère unitaire. Elle culminera à
un moment déterminé dans le
militaire ou dans le non-militaire.
Car ce qui dans sa nature, quand
c'est aussi raccordé par
erreur humaine avec d'autres
systèmes, doit être unitaire, cela
ne peut pas se répandre vers dehors
l'un corrigeant l'autre.
Dans ce terrible contexte de peur
duquel à grandi à partir de cela à
Berlin que dans les derniers jours
de juillet et les premiers d'août,
là a agit la pression rassemblée sur
un seul système qui aurait dût être
répartie. Cela se pressa ensemble
sous la responsabilité d'un seul
système, ce qu'un seul système n'a
jamais le droit de porter pour le salut de
l'humanité. Les conditions concrètes
l'enseigneront tout de suite quand
ces choses seront une fois examinées
libres de préjugés et non prévenues.
Oh, combien d'absurdité a tout de
suite été dites en rapport à la
politique et à l'administration
militaire ! Il a donc été dit
tant d'absurdités dans les dernières
quatre années et
demie ! Je veux seulement en
exposer une :
parce que dans un membre insécable
de l'organisme social politique et
stratégie peuvent œuvrer en paix, ainsi la
politique ne peut jamais influencer
cette stratégie de manière saine,
quand la stratégie est amenée à ne
se tenir que sur elle-même. On a
dit, se référant toujours de nouveau
et à nouveau à une phrase de
Clausewitz : la conduite de la
guerre serait la poursuite de la
politique avec d'autres moyens. - Je
ne veux pas me répandre en
critiquant sur cette phrase, aussi
loin qu'elle se tient en rapport de
toute l'explication guerrière. Mais
ainsi, comme les messieurs, qui
toujours de nouveau et à nouveau ont
utilisé cette phrase – ça a aussi
été des dames -, là elle a à peu
près justement autant de sens, que
quand on dit : le divorce est la
poursuite du mariage avec d'autres
moyens.
Une
absurdité de ce genre a été produite
d'une pensée non
naturelle, qui à nouveau est
intervenue non naturelle dans les
conditions réelles. Quand on regarde
impartial au travers les choses, on
verra comme tout se serait déroulé
autrement. Évidemment, ce qui s'est
passé est historiquement nécessaire,
et cela qui devra être exprimé, soit
valoir comme impulsion pour
l'avenir, mais hypothétiquement on
peut donc dire, comment tout se serait déroulé
autrement quand la structure des
relations internationales
européennes auraient été construites
sous l'influence de la
triarticulation sociale. On
dira : cela qui est venu, est
venu par les rapports d'alliances.
Mais les rapports d'alliance
n'auraient jamais pu se présenter
sous l'influence de la
triarticulation sociale. La fin de
telles formations d'alliances comme
étaient celles qui ont
conduit aux malheurs des dernières
quatre années et demie, est alors
là quand les
humains s'orientent au sens de la
triarticulation de l'organisme
social sain.
Ce
que j'explique ici, c'est absolument
penser dans un sens réel, c'est
pensé à partir de la réalité. C'est
pourquoi j'ai aussi toujours dit
quand je me suis efforcé jadis
pendant les années d'horreur de
rendre attentif de manière
appropriée sur la triarticulation à
des positions d'autorité : ce
qui est réel, change de jour en
jour, et il pourrait évidemment être
que quand les conditions auront de
nouveau changées, je doive parler
autrement sur ces choses. Je disais
aux gens :
ce qui sera exposé ici n'est pas un
programme, n'est
pas un idéal, cela prend sa source
de l'observation de ce qui veut se
réaliser dans les dix, vingt
prochaines années en Europe du
centre et de l'est, absolument
en Europe. Vous avez le choix, soit
d'appliquer la raison aujourd'hui,
ou aller au-devant de révolutions et
cataclysmes.
Cela
a déjà commencé et cela se montrera
encore d'autres manières. Mais
aujourd'hui, j'aimerais répéter ce
que j'ai aussi dit d'après un autre
point de vue lors de ces occasions.
J'ai toujours dit : qui est un
utopiste, un théoricien, qui ne
pense pas à partir de la réalité,
mais à partir ce certaines exigences
abstraites ou impulsions de parti,
celui-là a un intérêt à ce que ce
qu'il donne comme un programme ou du
genre, serait aussi exécuté ainsi
comme il le donne dans le détail. Il
ne s'agit pas de cela à ces choses que j'ai à
représenter – ainsi, je parlais
cette fois-là. Il se pourrait
aujourd'hui – disais-je et cela je
dis encore aujourd'hui -, que de la
formulation de ce que je représente,
ne reste pas pierre sur pierre. Car
il ne s'agit pas de cela qu'une
quelconque chose pensée sera
réalisée, mais que
la réalité soit empoignée à un
point. Alors on trouvera, en ce
qu'on l'empoigne, comment elle a à
continuer. Il pourrait s'établir
dans les réalisations
supplémentaires que toutes les
formulations devraient être autres.
Il ne s'agit pas de cela quand on
n'est pas un utopiste, pas un esprit
rêveur que les choses seront
exécutées littéralement, mais que
soit vraiment commencé à un endroit.
Et a un tel endroit où devra être
commencé, je voulais rendre attentif
et veut encore aujourd'hui rendre
attentif, avant que cela devienne
entièrement trop tard, avant que les
instincts humains soient déchaînés
si loin qu'un
accord entre les humains ne serait
plus possible peut être sur des
décennies.
C'est
pourquoi – laissez-moi
exprimer cela pour la fin, bien
qu'au sens étroit cela n'appartienne
pas à ma conférence – je pense aussi
qu'aujourd'hui celui qui est relié
avec son âme de quelque façon n'a
pas seulement la tâche d'exprimer
les choses, mais d'utiliser tous les
moyens pour les amener à la
compréhension des contemporains.
Car c'est donc ce que nous pouvons
faire en tout premier : appeler
à le la compréhension sociale
mutuelle. Beaucoup a été gâté, gâté
sur les plus différents domaines du
monde par ce qu'une pensée à courte
maille comme je l'ai ici récemment
caractérisée, a été proclamée dans
le monde, que n'a pas été pensé le correct au
bon moment.
C'est pourquoi je dois saluer avec
un certain contentement que cela a
été possible, tout de même à partir
des conditions difficiles,
d'atteindre quelque chose en
relativement peu de temps aussi en
rapport à des effets pratiques des
idées exposées ici . De telles
personnalités chez lesquelles en
certaine manière, si j'ai le droit
de dire ainsi, le feu a commencé qui
ici a été développé comme examen
de la réalité de la question
sociale, elles se sont embarquées là
dessus d’œuvrer à ce qu'au moins sur
ce domaine, sur lequel le malheur
peut être le meilleur enseignant, se
présente une compréhension pour ces
choses.
Toutefois, j'aimerais le décrire
comme un bonheur particulier, quand
ici sur domaine suisse, où
relativement est encore une
possibilité pour une tranquille
objectivité, tout de suite à cause
de la possibilité de cette
objectivité tranquille pouvait aussi
se présenter une compréhension plus
profonde, allant à ce qu'on
considère la nécessité qu'a la
compréhension sociale réciproque de
l'humanité sera faite quelque chose
dans le sens indiqué dans ces quatre
conférences. Tout de même, sous les
douleurs et dans les douleurs, qu'on
peut avoir par le déroulement de
tant d'événements et
sur le destin de tant de membres de l'humanité
aujourd'hui, cela peut être accompli
avec une certaine
satisfaction, que le malheur a quand
même appris quelque chose à maints
humains. Ainsi, cela pouvait se
passer – permettez-moi que
j'introduise cela parce que tout de
même cela peut être significatif,
quand on veut traiter pas purement
abstrait, mais concret de la question sociale -,
qu'un appel, dans lequel j'ai incarné en courtes
phrases que ce que j'ai représenté
ici en détail, qu'un appel qui en
fait est déterminé pour une action
dans le monde
entier, a donc jusqu'à présent
trouvé l'entrée des cœurs de ceux
qui en Allemagne, et Autriche
allemande sont durement mis à
l'épreuve par le malheur et sont
dans une certaine mesure instruits
par le malheur.
J'ai dans cet appel tout de suite
tenté d'expliquer comment l'empire
allemand alors qu'il a été fondé,
tomba avec sa fondation dans ce
temps où les
possibilités d'évolution
de l'humanité récente auraient
demandées dans le sens le plus
éminent d' aller
vers de nouvelles tâches sociales
par une telle création.
On s'est même adonné à de petites
choses de manière étendue ;
seul tout de suite on n'a pu voir ce
qui aurait incombé à cet empire de
donner son cadre un contenu
approprié à partir des forces
d 'évolution de l'humanité
moderne qui maintenant vont une fois
vers cette triarticulation.
Et est venu de cela que le monde
restant se plaça ainsi à cette
Europe du centre. Comment
le reste du monde pouvait-il
comprendre la justification de cette
fondation d'empire particulière
quand rien ne provenait de cette
fondation d'empire qui indiquait,
irréversible, son droit à
l'intérieur des processus de
l'humanité !
C'est
pourquoi j'ai cru comme un programme
correct, quand j'ai maintenant le
droit de dire - mais vous savez de
ce qui s'est passé : ce n'est
pas un programme, c'est une réalité
-, c'est pourquoi j'ai cru avoir le
droit de formuler en un appel à
l'humanité, une tâche qui à présent
pourrait grandir à l'humanité
européenne qui donc se tient devant
la nécessité d'une nouvelle
construction. Et tout de même, on
pouvait vivre avec satisfaction que
jusqu'à hier midi cet appel avait
déjà trouvé plus de signatures en
Allemagne que l’appel unilatéral des
quatre-vingt-dix-neuf intellectuels
de funeste mémoire, que sont
disponibles pour cet appel par
dessus cent signatures en Allemagne
et jusque hier midi plus de
soixante-dix en Autriche allemande.
Je mentionne cela parce que je
j'aimerai parler à partir de la
réalité et par cela rendre attentif
là dessus que maintenant avec ce que
je crois qui est nécessaire dans le
processus de développement, je ne sois pas aussi là
tout seul quand il s'agit de faire
valoir cela pour le réciproque
rapport des humains les uns entres
les autres.
Et
ainsi devra être œuvré plus loin tout d'abord
sur le chemin d'une véritable
explication sociale. Car celle-ci
est la prochaine
chose. L'humanité se tient une fois
aujourd'hui en rapport à une grande
partie du monde civilisé devant la
nécessité de se placer le problème
social devant les yeux. Elle devra
résoudre un problème – laissez-moi
exprimer cela pour la fin -, en ce
que lui est au plus haut degré
inconfortable aux habitudes de
penser. Beaucoup d'humains veulent
encore admettre qu'on aurait besoin
d'une transformation des
institutions, une transformation
aussi de la structure sociale.
Mais tout l'esprit des conférences
duquel m'autorise ici de parler,
tout cet esprit n'a-t-il pas prouvé
qu'une autre chose est encore
nécessaire ?
Quand des dirigeants prolétariens
cultivés marxistes toujours de
nouveau et à nouveau soulignent que
la parole marxiste est vraie :
les philosophes ont interprété,
expliqué le monde ; mais il ne
s'agit pas seulement d'expliqué le
monde d'après des pensées, mais de
transformer -, ainsi cela est malgré tout
vis-à-vis des exigences décisives
actuelles de l'époque, pas seulement
une moitié, peut être pas une fois
un quart.
Cela qui est nécessaire, c'est qu'on
n'applique pas seulement les pensées
sur une quelque transformation
d'institutions, de structures
sociales, mais que c'est même
nécessaire, de transformer les
pensées elles-mêmes. Seulement sur
des pensées nouvelles, transformées
pourra se développer un organisme
social sain. Des institutions, cela
les humains les laisse encore
facilement leur plaire ; penser
autrement, cela leur plaît moins.
Mais cela est nécessaire. Et tant
qu'on ne considérera pas cela, on ne
s'orientera pas
vers la guérison de l'organisme
social et ne pourra collaborer à la
guérison de l'organisme social .
Les
réflexions et décisions humaines
importantes concernant la question sociale ont
longtemps frappé à la porte.
Maintenant elle s'est introduite
dans la maison de l'humanité. Elle
ne pourra plus être jetée dehors,
car elle est une magicienne en un
certain rapport vis-à-vis de
l'évolution de l'humanité. Elle
n'oeuvre pas seulement sur les
structures extérieures de
l'humanité, elle agit ainsi que les
humains se tiennent devant la
nécessité, soit de transformer leur
penser ou ajouter au malheur
disponible un malheur toujours
multiplié.
Avec
cela on évoque ce qui est
nécessaire, ce qui devra
nécessairement être réalisé, quand
il ne devrait pas
devenir trop tard dans la relation,
que les instincts, comme je disais
déjà, prennent des formes telles
qu'une compréhension entre les
différentes classes humaines ne
serait plus possible. Alors
seulement nous allons au-devant de
la guérison de l'organisme social
quand nous ne voulons pas fondé le
guérissant, que nous espérons, sur
de vieilles pensées, mais quand nous
décidons audacieux et plein de force
d'appliquer notre force à des
nouvelles pensées à la poursuite de
l'évolution de l'humanité ; car
de nouvelles pensées seules fleuriront les
possibilités de vie de nouvelles
générations. Ainsi, on devrait
penser que la question sociale est
montée, qu'elle a grandi les
conditions de la vie moderne. Mais
on pensera faux quand on croira
qu'on pourrait la résoudre
momentanément de quelque façon.
Le socialisme n'est pas quelque
chose qui est une solution ou une
tentative de solution, non, la vie
moderne et la vie de l'humanité dans
le futur ont fait remonter
la question
sociale. Elle sera toujours là. Dans
l'organisme social vivant, elle
devra toujours être résolue. La vie
de l'humanité future devra consister
en partie
là-dedans que de chaque
génération sur la nouvelle la
question devra être résolue, résolue
par de nouvelles formes, cette
question, qui est montée une fois,
mettant en garde et bouleversant
l'entière structure de la pensée et
volonté humaine, la question
sociale. Tournons-nous vers elle
avec tous nos cœurs, avec toutes nos
âmes, sinon elle se tournera vers
nous, mais alors toutefois pas pour
notre salut, mais pour notre
malheur.
|
Vielleicht
haben die Vorträge, die ich nun hier
halten durfte im Laufe der vorigen und dieser
Woche, von einem gewissen
Gesichtspunkte her bezeugt,
daß es gerechtfertigt ist zu sagen:
Die Lebenslage der gegenwärtigen Menschheit ist
tief beeinflußt von der
Entwickelung, welche das
soziale Denken und Wollen im Laufe
der neueren Zeit bis zu unserer Gegenwart herein
angenommen hat. Mehr vielleicht, als
heute mancher ahnt,
greift herein der soziale Impuls in
das unmittelbare Leben des Einzelmenschen; aber er
wird immer mehr und mehr noch
hereingreifen. Er
wird bestimmend werden geradezu für
die Kräfte des allerindividuellsten Verhaltens. Und
man wird kaum richtig verstehen
können, wie man
heute drinnensteht im
gesellschaftlichen Leben der
Menschheit, welches
durchwellt und durchpulst ist von
den sozialen Impulsen, wenn man nicht ins Auge
faßt, wie aus zwei Ursprüngen
eigentlich im Laufe des
neueren Lebens der Menschheit das
soziale Denken und Wollen verschiedener
Menschenschichten entstanden ist.
Denn das Fortleben der Ursprünge bis in die
Gegenwart herein, das wirkt auf
diesem Gebiete eigentlich
so, daß es sozial diesem
gegenwärtigen Leben die Gestaltung gibt.
Ich
habe in einem der Vorträge darauf
hingewiesen, daß man nicht auskommt, wenn man zum
Verständnis einer solchen Sache
einfach in der
Weise, wie man das gewohnt worden
ist, das geschichtliche Leben
geradlinig nach dem Verlaufe von
Ursache und Wirkung betrachtet, so daß man immer mit Bezug
auf das Folgende auf das
Vorhergehende hinweist.
Ich habe versucht, darauf aufmerksam
zu machen, daß dieses geschichtliche Leben der
Menschheit in seinem Wesen oder
Grund mit Bezug
auf gewisse Krisen des Verlaufs,
besser gesagt, auf das Vorhandensein von Krisen des
Verlaufs, ähnlich ist dem Leben des
einzelnen Menschen.
Im Leben des einzelnen Menschen gibt
es auch nicht eine geradlinige Fortentwickelung,
so daß immer das Folgende ohne einen
Sprung die
Wirkung des Vorhergehenden ist. Man
muß, um den bequemen, oft mißverstandenen
Gedanken, die Natur mache keine
Sprünge, in der entsprechenden
Weise in seine Grenzen
zurückzuweisen, immer wieder und wiederum darauf
aufmerksam machen, wie in dem
geradlinigen Fortschreiten
des individuellen Lebens Krisen
eintreten, wie die Krise des sechsten, siebenten
Jahres mit dem Zahnwechsel auftritt,
wie die Krisis
eintritt, die aus den elementaren
Untergründen des Organischen wie
heraufzuquellen scheint in dem
Geschlechtsleben. Und wer kundig ist des Verlaufes des
menschlichen Lebens, dem zeigen sich
solche krisenhaften
Umschwünge auch in den späteren
Lebensaltern, wenn sie auch für eine
oberflächliche Betrachtung nicht in
einer so entschiedenen Weise wie die zwei
ersten auftreten.
Solche
krisenhaften Umschwünge zu
beobachten im geschichtlichen Leben der Menschheit
ist notwendig, um dieses
geschichtliche Leben wirklich
zu verstehen. So sehr auch die
heutige Menschheit noch abgeneigt
ist, auf solche Dinge hinzuschauen
und hinzuhorchen, so notwendig ist es gerade in
der Gegenwart, in der soziales
Verständnis des Lebens
gefordert wird, auf solche Dinge
radikal stark hinzuweisen. Einen der letzten
großen Umschwünge — so habe ich in
den vorhergehenden
Vorträgen ausgeführt — im
Entwickelungsgange der Menschheit haben wir zu
verzeichnen etwa um die Wende des
15., 16. Jahrhunderts.
Und nur weil man nicht tiefgehend
genug den geschichtlichen Hergang der Dinge
beobachtet, weiß man nicht, wie
radikal verschieden namentlich
alles das, was in der menschlichen
Seele vorgeht, was in der menschlichen Seele als
Forderung, was als Sehnsucht nach
gewissen Befriedigungen
herrscht, wie das sich verändert hat
gegenüber dem, was vor diesem
Zeitpunkt vorhanden war.
Nun
tritt zu gleicher Zeit wie im
Gefolge dieses elementarischen Umschwunges der neueren
Menschheitsentwickelung das ein, was
man so bezeichnen
könnte, daß man sagt : Was früher in
der Menschenseele selbst gelebt hat
als soziale Impulse, die dann zu der
sozialen Struktur der
menschlichen Gesellschaft geführt
haben, das hat sich vor diesem
Zeitraum mehr instinktiv ausgelebt.
Die Menschen lebten gesellschaftlich zusammen, ordneten
ihre Angelegenheiten
gesellschaftlich aus gewissen Instinkten
heraus. Um die angedeutete Zeit
tritt an die Stelle des instinktiven sozialen
Denkens und Wollens das bewußte
Ergreifen sozialer
Impulse. Es tritt langsam und
allmählich auf; aber es unterscheidet sich die
Lebenslage, in die sich dadurch die
moderne Menschheit versetzt,
in radikaler Weise von der
Lebenslage der mittelalterlichen und
alten
Menschheit. Da aber sehen wir dann
sogleich, wie mit dem Heraufnehmen der sozialen Impulse
aus dem instinktiven in das bewußte
Leben
deutlich sich zwei Strömungen, zwei
Ausgangsströmungen des sozialen
Denkens und Wollens zeigen.
Die
eine tritt ein bei denjenigen
Menschen, die bis zum heutigen Tage
genannt
werden können die führende, die
leitende Gesellschaftsschicht der Menschheit. Die
andere Strömung tritt etwas später,
aber deutlich von
der anderen unterschieden bei dem
ein, was wir heute als die proletarische Welt
bezeichnen. Die leitenden
intellektuellen bürgerlichen Kreise sind mit allen
ihren Lebensinteressen, als die
neuere Zeit heraufrückt,
verbunden mit dem, was als die
neueren Staatsgebilde sich
allmählich herausgebildet hat aus
den Formen des mittelalterlichen Zusammenlebens der
Menschen. Diese bürgerlich leitenden
Kreise sind durch
ihre Interessen namentlich mit dem
verbunden, was wir unter den drei Gliedern, die ich
angeführt habe für den sozialen
Organismus, bezeichnen
können als den eigentlichen
Rechtsstaat, als das eigentliche politische Gebilde,
welches entweder instinktiv oder
bewußt auf Ordnung alles dessen
ausgeht, was sich auf das Verhältnis
von Mensch zu Mensch
bezieht. Mehr oder weniger so, wie
die Traditionen der Vergangenheit und auch wie in
gewisser Beziehung die neueren
wirtschaftlichen
Verhältnisse sich ergeben, verbinden
die leitenden bürgerlichen Kreise
ihre Interessen mit dem, was von
vielen Leuten als das einzige soziale Gebilde heute
noch gehalten wird, eben mit dem
Staate. Und indem
sie bewußt übergehen von dem alten
instinktiven sozialen Leben zu dem modernen bewußten,
denken sie zunächst staatlich im
Sinne des Rechtsstaates.
Und das immer komplizierter werdende
moderne Wirtschaftsleben, das
namentlich durch die Ausbreitung des
menschlichen Betätigungshorizontes
über die ganze Welt immer
komplizierter wird, das
versuchen diese leitenden Kreise
hereinzugestalten in das
Staatsgebilde. Den Staat wollen sie
gewissermaßen immer mehr und mehr
zum Wirtschafter
machen. Diese Bestrebung nimmt einen
gewissen Fortgang,
und wir sehen, daß innerhalb
gewisser Kreise einzelne Wirtschaftszweige immer
mehr und mehr dem staatlichen
Gebilde einverleibt
werden. Ich habe auf solche
Wirtschaftszweige das letzte Mal hingewiesen. Was
wesentlich ist von dieser Seite,
ist, daß das soziale Denken bei diesen Kreisen
seine ganz bestimmte Gestaltung
dadurch gewinnt,
daß sie erobern wollen für den
Staat, für den sie interessiert
sind, das
hereinbrechende komplizierte
Wirtschaftsleben.
Ganz
anders entwickelt sich innerhalb des Proletariats der
soziale Impuls.
Dieses moderne Proletariat ist in
der Heraufentwickelung der neueren Zeit nicht in
gleicher Weise mit seinen Interessen
engagiert innerhalb
des eigentlichen staatlichen
Gebietes. Es steht in einer gewissen
Beziehung,
die ich hier nicht weiter ausführen
kann wegen Mangel an Zeit
— die Sache ist leicht zu
durchschauen —, abseits von dem, was
die bürgerlich
leitenden Kreise als ihre Interessen
vertreten innerhalb des Staatsgebildes. Aber es
wird gerade in der radikalsten Weise
dieses Proletariat
hineingetrieben in die Gestaltung
des Wirtschaftslebens. Sein ganzes Denken und
Wollen verläuft in der Weise, daß es
ist wie eine Abspiegelung
dessen, was im Wirtschaftsleben
durchgemacht wird. Und so werden die sozialen
Impulse des Proletariats ebenso
bestimmt von den sozialen
Gebilden der Ökonomie der
Menschheit, des Wirtschaftslebens, wie die sozialen
Impulse der bürgerlich leitenden und
auch der intellektuellen
Kreise bestimmt werden von den
Impulsen des Rechtsstaates, von den Impulsen
des eigentlichen politischen
Gebildes. Und beide Strömungen
entwickeln sich immer mehr und mehr
so, daß eben das zutage
tritt, auf das ich in der Einleitung
zum vorgestrigen Vortrage hingewiesen habe, daß eine
Kluft, ein Abgrund besteht zwischen
der besonderen
Konfiguration des sozialen Denkens
und Fühlens der leitenden bürgerlichen und der
proletarischen Kreise. Denn das,
sagte ich, sei das Tragischeste
der neueren Entwickelung in der
gegenwärtigen Ausgestaltung der
Lebenslage der Menschheit, daß
dieser Abgrund besteht, daß so schwer ein
Verständnis, ein gegenseitiges
Verständnis der beiden charakterisierten
Bevölkerungsschichten zu finden ist.
So mußte eintreten,
was wir nun kommen sehen : daß wie gerüstet zu einem
Lebenskampfe
die beiden Bevölkerungsschichten
sich gegenüberstehen. Und das Wesentliche in
diesem Kampfe, der zum Teil sich
schon auslebt, zum Teil
aber erst sich vorbereitet, und der,
wie es einleuchten kann, selbst noch heute nur
oberflächlich das gesellschaftliche
Leben ergreift, der gigantische
Formen annehmen wird, das
Wesentliche ist, daß auf der einen
Seite die bürgerlich leitenden
Kreise das Wirtschaftsleben mehr und mehr erobern wollen
für den Staat, miterobern wollen für
den Staat mit
diesem Wirtschaftsleben in einer
eigentümlichen Weise die Arbeitsleistung und
Arbeitskraft des Proletariats
selbst, und daß auf der anderen Seite das
Proletariat den Staat erobern will
für das, was es für sich an Interessen im abgesonderten Wirtschaftsleben
erlebt.
Das
ist im wesentlichen das Grundprinzip
des Kampfes, der da so bedeutungsvoll
hereinspielt in die Lebenslage der
gegenwärtigen Menschheit.
Und man hat über alldem, was offen
im Bewußtsein vorgeht, vergessen, außer
Aufmerksamkeit gelassen, ich möchte
sagen, ins Unterbewußte
der menschlichen Seele
hinuntergedrängt das, was sich
hinter diesen zwei Impulsen, die ich
angeführt habe, eigentlich verbirgt.
Das, was sich
heraufarbeiten will an die
Oberfläche des menschlichen Lebens,
seitdem der
krisenhafte Umschwung im 15.
Jahrhundert in der Entwikkelung der neueren
Menschheit eingetreten ist, das
zeigt erst, während das
andere vielfach eben nur im
Bewußtsein maskiert sich abspielt,
was wühlt und treibt und pulst im
menschlichen Leben : das ist das
Streben nach
einer vollen Geltendmachung der
menschlichen Persönlichkeit, so wie
es die früheren Zeiten nicht gekannt
haben. Geltendmachung der menschlichen
Persönlichkeit, Fühlen des
Menschenwesens in sich, das ist eigentlich der
Grundnerv der sozialen Frage, und
das kleidet sich nur nach
diesen verschiedenen
Lebensverhältnissen, die ja gerade
mit dem Angegebenen bestimmt sind,
in die gegebenen Formen. Und so
konnte es
kommen, daß ein Kampf, der im Grunde
genommen ein Kampf ist um die Erringung der
vollen Menschenwürde bei allen
Menschen, ein Kampf gegenseitiger
verschiedener Interessen selbst
geworden ist, ein Kampf
der Klassen, ein Kampf, der in die
Gegenwart herein in einer so verhängnisvollen Weise
seine Kräfte wirft.
Daß
sich etwas verbirgt und maskiert
offenbart in dieser neueren Entwickelung der
Menschheit, das hat verursacht, daß
man den Blick nicht richtete,
oder besser gesagt, daß man bis
jetzt nicht lernte, den Blick zu richten auf das, worauf
es ankommt. Innerhalb der Zeit, in
der die sozialen
Impulse instinktiv gewirkt haben,
konnte man den sozialen Organismus auch instinktiv
sich ausgestalten lassen. Nunmehr,
da die sozialen Impulse
in das Bewußtsein der Menschen
eingetreten sind, wenn auch in maskierter Gestalt, da
ist es notwendig, da ist es das
Wichtigste in bezug auf
das soziale Problem der neueren
Zeit, daß soziales Verständnis, Verständnis für die
Gestaltung des sozialen Organismus
in jede einzelne Menschenseele
einzieht, wenn dieses Verständnis
auch kein gelehrtenhaftes
zu sein braucht, sondern ein
solches, das in der Empfindung, im Gefühle lebt und das
sich auslebt in dem, was der
einzelne Mensch als diese
oder jene Notwendigkeit empfindet,
sich hineinzustellen in die menschliche
Gesellschaft.
Deshalb ist es heute so notwendig,
das zu tun, was
ich versuchte, in diesen Vorträgen
zu tun : den Blick hinzuwenden auf das, worauf alles
in dem Streben der neueren
Menschheit tendiert, was
aber eigentlich erst heute sich
durch die besonderen Verhältnisse an
die
Oberfläche drängen kann; den Blick
darauf hinzuwenden, daß der soziale Organismus
wirklich ein lebendiges Gebilde
werden muß, ein solches
Gebilde, das man in seinen
Lebensbedingungen versteht,
allerdings lebendig versteht, nicht
theoretisch. Deshalb wies ich darauf
hin, daß
die Gesundheit des sozialen
Organismus davon abhängt, daß nicht
chaotisch
durcheinandergewürfelt werde das,
was die drei Glieder des sozialen Organismus
sind: geistiges Leben im weitesten
Umfange, Rechts-
oder politisches Leben, also das
Staatsleben im engeren Sinne, und das
Wirtschaftsleben. Erst dadurch
werden die in den drei Gliedern wirksamen Kräfte ihre
notwendige Ausbildung und ihre
notwendige Befreiung
erfahren, so daß diese drei Gebilde
nicht je eines von den anderen aufgesogen
werden, sondern daß sie sich frei
nebeneinander entfalten
und gerade in gewisser
Selbständigkeit, wie ich von
verschiedenen
Gesichtspunkten aus schon ausgeführt
habe, nebeneinander- und zusammenwirken. Gegen
diese Selbständigkeit war bisher aus
gewissen Voraussetzungen
heraus die eigentliche Tendenz der
menschlichen Entwickelung
gerichtet. Differenzierung dessen,
was durcheinandergewirrt
worden ist, das ist nun die
notwendigste Lebensfrage mit Bezug
auf das soziale Wesen der
gegenwärtigen Menschheit.
Empfunden
hat man von gewissen Seiten des
menschlichen Denkens und
Empfindens das, was ich hier meine,
schon immer, als eben im Lichte der Bewußtheit
der sozialen Impulse die Menschen
anfingen, je nach
ihren geistigen Voraussetzungen so
oder so zu denken über die Verhältnisse von
Staatsleben und Wirtschaftsleben. Da
sehen wir sogenannte
soziale oder nationalökonomische —
wie man es nun nennen will, das ist gleichgültig —
Denkweisen, Denkgewohnheiten sich
herausbilden.
Es kann nicht meine Aufgabe sein,
die Entwickelung des sozialen Denkens in der neueren
Zeit hier darzustellen. Nur auf
eines will ich aufmerksam
machen, das, ich möchte sagen, stark
beleuchtet manches, auf das es gerade hier in
diesen Vorträgen ankommen muß.
Unter
den mancherlei Denkweisen,
Vorstellungsarten in bezug auf die Verflechtung des
wirtschaftlichen mit dem staatlichen
und dem geistigen Leben der
Menschheit trat auch dasjenige auf
in der neueren Zeit, was
man im 18. Jahrhundert als das
sogenannte physiokratische
nationalökonomische Denken
bezeichnete. Aus einem früheren
Denken, das innerhalb
des Staatsorganismus das
Wirtschaftsleben mehr organisieren wollte, bildete sich
wie durch einen notwendigen
Gegensatz dieses physiokratische
Denken aus. So bildete es sich aus,
daß man dazu übergehen wollte, das
Wirtschaftsleben nicht zu
tyrannisieren durch das Rechtsleben
des Staates, durch das politische
Leben des Staatsgebildes im engeren Sinne, daß man das
wirtschaftliche Leben seinen eigenen
natürlichen Gesetzen überlassen
wollte, es überlassen wollte den
Impulsen, denen es verfällt, wenn einfach der
Mensch frei heraus aus seinen
Interessen das Spiel
des Wirtschaftslebens einleitet. Da
haben manche Bekenner dieses Systems eigentlich
diese Dinge sehr beleuchtende Worte
gesprochen, was
etwa so nachgesprochen werden kann.
Die Leute sagten : Wozu soll eigentlich innerhalb
des politischen Staatsgebildes ein
System von Gesetzen ausgebildet
werden, welche das Wirtschaftsleben
regeln? Entweder werden diese
Gesetze die gleichen sein wie
diejenigen, die sich das Wirtschaftsleben selbst
gibt, wenn es dem freien Spiel der
Kräfte überlassen
ist, oder aber sie werden andere und
ihm entgegengesetzte sein. Im ersteren Falle, wenn
es dieselben sind, dann sind sie ja
unnötig, dann braucht man sie nicht,
dann gibt sich das Wirtschaftsleben
seine eigenen Gesetze,
dann braucht man nicht erst das
Wirtschaftsleben einzuspannen in
besondere Staatsgesetze. Wirken aber
die Staatsgesetze entgegen dem Wirtschaftsleben,
dann hemmen sie es, dann
beeinträchtigen sie es, dann sind sie demselben
schädlich.
Ich
möchte sagen : Was sich in diesen
beiden gegenteiligen Sätzen
ausspricht, es spukt heute noch in
vielen Köpfen. Es spukt deshalb in
vielen Köpfen,
weil die moderne Menschheit, so sehr
sie auch glaubt, praktisch zu sein, Sinn zu haben
für das Reale, doch furchtbar
angefressen ist von einem
gewissen Sinn für abstrakte, für
theoretische Einseitigkeit. Und würde man prüfen,
wieviel in dem, was sehr vielen
Leuten heute als das eigentlich
praktische Leben erscheint, nichts
anderes ist als verwirklichte
Einseitigkeit, verwirklichte
einseitige Theorie, dann würde man auf so manches
Lebensrätsel stoßen und eine
teilweise Lösung desselben herbeiführen können.
Was klingt plausibler, was klingt
selbstverständlicher,
als wenn ich sage : Entweder laufen
die staatlichen Gesetze in derselben Richtung wie die
wirtschaftlichen, dann braucht man
sie nicht, oder
sie widersprechen ihnen, dann müssen
sie dem Wirtschaftsleben schaden. Man denkt aber
in diesen Gegensätzen nur, wenn man
den sozialen
Organismus ansieht wie etwas, das
sich durch Begriffe, durch Gesetze, durch
Prinzipien, durch Programme regeln
lasse, wenn man nicht
sich zu der Ansicht aufschwingen
kann, daß der soziale Organismus etwas ist, was
Leben in sich haben muß, was durch
seine eigene Wesenheit
leben muß. Was aber durch seinen
eigenen Lebensinhalt, durch seine eigenen
Lebensimpulse gedeiht und sprießt,
das hat im wirklichen
Leben Gegensätze in sich. Und der
soziale Organismus muß, soll er ein realer, ein
wirklicher sein, Gegensätze in sich
haben.
Daher
ist das richtig, was vielleicht
gerade vielen theoretisch gestimmten Seelen der
Gegenwart wie eine Absurdität
erscheint: das staatliche,
rein rechtliche, rein politische
Leben muß gerade in einer gewissen
Weise beschränken, in seinen
Gesetzen entgegenwirken dem
wirtschaftlichen Leben, damit das
Gesamtleben der Menschheit, das
nicht bloß ein wirtschaftliches,
nicht bloß ein rechtliches ist,
sondern das ein wirtschaftliches,
rechtliches und geistiges ist, damit
sich das entfalten kann, so wie im einzelnen
menschlichen Organismus -- ich
gebrauche den Vergleich
noch einmal, indem ich darauf
hinweise, nicht als ob ich ein Analogiespiel aus der Physiologie und
der Soziologie treiben wollte — das Verdauungssystem
in einer gewissen Weise relativ
selbständig für sich verläuft
und neben sich das rhythmische
System, das Atmungs-, Herzsystem hat, und beide
sich in ihren Vorgängen in dem
lebendigen Prozesse beschränken
und gegenseitig begrenzen. So ist es
notwendig, daß nebeneinandergestellt
werden im wirklichen sozialen
Organismus das Wirtschaftsleben
auf der einen Seite und im engeren
Sinne politisches Staatsleben
auf der anderen Seite, und dem sich
beigesellen muß mit relativer
Selbständigkeit das geistige Leben,
wie ich dies das letzte Mal wiederum von einem
anderen Gesichtspunkt aus gezeigt
habe.
Denn
auf Folgendem beruht das, auf was es
ankommt: Das wirtschaftliche
Leben hat in sich ganz andere innere
Kräfte als das Rechtsleben, mit dem
es zusammenwirken muß, damit das
Gesamtleben der Menschheit
gedeihen kann, und wieder andere als
das geistige Leben. Man
könnte, wenn man mehr oder weniger
etwas konkret Lebendiges in abstrakte Formen
bringen wollte, die aber doch
vielleicht von einer Seite
her, wenn auch einseitig, eben die
Dinge verständlich machen, das Folgende sagen: Im
Wirtschaftsleben, so wie es besteht
in der Warenproduktion,
Warenzirkulation und im Warenkonsum,
kommt alles darauf
an, daß die dem Leben entsprechende
Wertbildung entsteht. Und diese Wertbildung
vollzieht sich im wesentlichen so,
daß der Wert sich bilden
muß, wenn der soziale Organismus
gesund sein soll, unter dem
Einflusse des Impulses, daß der
Verbrauch dessen, was der
wirtschaftliche
Organismus für sich in Anspruch
nimmt — nenne man es Markt oder anderswie — und
für den Konsum bereit hält, daß der
Verbrauch der
Ware ein möglichst zweckmäßiger, ein
möglichst vorteilhafter ist. Eine Ware muß so dem
Konsum dargeboten werden, wenn der
soziale Organismus
gesund ist, daß sie sich in der
zweckmäßigsten Weise ganz verbrauchen läßt, daß
sie so lange dauert, als es
zweckmäßig ist, oder so schnell verbraucht
werden kann, als es zweckmäßig ist,
daß aber jedenfalls
ihr ganzer Inhalt auf den Verbrauch
hintendiert.
Würde
die menschliche Arbeitskraft voll
eingespannt in das Wirtschaftsleben — und
dieses Wirtschaftsleben kann sich
allein gesund entwickeln
unter dem Gesichtspunkte der
Waren-Preisbildung nach dem entsprechenden
Verbrauche —, so wäre erfüllt, was
die marxistische Anschauung
des Proletariats behauptet, daß die
menschliche Arbeitskraft selber Ware wäre, und
so würde ja diese Arbeitskraft als
mit dem Charakter
der Ware behaftet im sozialen
Organismus ihren Wert erhalten müssen, indem sie in
der zweckmäßigsten Weise voll
verbraucht würde. Das
wirtschaftliche Glied des sozialen
Organismus hat auch, wenn man es
genauer betrachtet, die Tendenz in
sich, den Menschen zu verbrauchen, und würde das
wirtschaftliche Glied des sozialen
Organismus nur seinen
eigenen Gesetzen folgen, so würde
eben innerhalb dieses Gliedes die
menschliche Arbeitskraft verbraucht
werden. Indem die bürgerlich leitenden Kreise dieses
nicht beachteten, haben sie gerade
dazu beigetragen,
daß innerhalb des Wirtschaftslebens
und der Stellung des Proletariats im
Wirtschaftsleben sich der Nerv der
modernen sozialen Frage herausgebildet hat, der
sein Leben darin zeigt, daß gerade
der moderne Proletarier
es ganz besonders für sich in
Anspruch nimmt, seine Arbeitskraft des Charakters
der Ware zu entkleiden. Wie sich
auch sonst manches
in der sozialen Frage maskiert und
vieles davon im Unterbewußten des
modernen Proletariers lebt, das ist
ein wesentlicher Faktor, daß die proletarische Seele
nach der Befreiung der menschlichen
Arbeitskraft von
dem Charakter der Ware hinstrebt.
Das
aber kann niemals geschehen, wenn
der Wirtschaftsprozeß nach seinen Gesetzen
verläuft, und wenn man das gesamte
Staatsleben nur zu einer
einzigen Wirtschaft macht, wie es
das Ideal vieler moderner Sozialisten ist. Das kann
auch nicht dann geschehen, wenn man
in einseitiger Weise
den Staat von sich aus zum
Wirtschafter machen will. Ein gesundes Verhältnis ergibt
sich nur dann, wenn man den
wirtschaftlichen Organismus
in sich selber seine relative
Wirksamkeit entfalten läßt, wenn man, wie es im
natürlichen organischen Leben auch
geschieht, ein System gewissermaßen
darum, daß es seine in ihm liegenden
Kräfte voll ausbildet,
in relativer Selbständigkeit sich
entfalten läßt und dann dasjenige, was sich ergibt,
begrenzt, verbessert durch ein
danebenliegendes, relativ
selbständiges System, wie im
natürlichen Organismus ein System sich voll entwickelt,
auch seine Schäden zum Ausdruck
bringt, diese Schäden
aber fortwährend paralysiert werden
durch das danebenliegende
System. Darauf beruht alle
organische Wirksamkeit. Darauf muß auch beruhen die
Gesundung des sozialen Organismus.
Es
kommt mir wahrhaftig nicht darauf
an, wie man den Wirtschaftsorganismus, wie man den Staatsorganismus
definiert, wie man über sie denke,
sondern darauf kommt es
mir an, daß diese zwei Glieder
nebeneinander
da sein müssen, und das eine sich
relativ selbständig entwickeln muß, sogar die
Veranlagung seiner Schäden aus sich
heraus entwickeln muß,
daß das andere System daneben sich
entwickeln muß und paralysieren muß das, was
sich sonst als Schäden ergeben würde
im anderen System.
Das ist das Wesen des Lebendigen;
das muß auch das Wesen des lebendigen sozialen
Organismus sein. Nur dann, wenn der
wirtschaftliche
Körper sich selbst verwaltet,
verwaltet aus seinen eigenen
Bedingungen heraus, der rechtliche,
der politische Körper sich selbst
verwaltet,
wiederum aus seinen eigenen
Bedingungen heraus, die sich ergeben
durch die
Regelung der Rechtsverhältnisse von
Mensch zu Mensch, und wenn dann ein jeder
dieser Organismen sich selbständig
regelt, indem sie
nebeneinander und aufeinander
wirken, dann entsteht ein gesundes
soziales Leben. Die soziale Frage
ist nicht zu lösen durch eine
Theorie, nicht
zu lösen durch Gesetze, sondern sie
ist nur dadurch zu lösen, daß im
lebendigen Leben die eine Kräfteart,
die wirtschaftliche, neben der anderen, der
staatlichen, der politischen, im
unmittelbaren, im eigenen Dasein wirkt, daß sich
die beiden nebeneinander und
ineinander entwikkeln,
aber so entwickeln, daß eine jede
in ihrer Selbständigkeit dasteht.
Das
ist es, was aus einer gewissen
historischen Notwendigkeit heraus versäumt worden ist.
Denn was geschehen ist, ist
natürlich notwendig. Es
soll keine Kritik, sondern eine
Darstellung der Verhältnisse hier gegeben werden. Das ist
es aber, was sich als eine
Notwendigkeit im Menschenfortschritte
für das Leben der Gegenwart und der
nächsten Zukunft einstellen muß.
Ergeben wird sich, daß um der
Gesundung des sozialen
Organismus willen das Wirtschaftsleben
ein assoziatives wird, daß es sich so
gliedert, daß ja die veranlagten Genossenschaften, Gewerkschaften und so
weiter sich so ausbilden, daß sie
abstreifen, was sie noch
übernommen haben aus dem Vorurteil,
daß alles sich nach dem Muster des alten
Rechtsstaates bilden müsse. Was noch
an Staatsleben lebt
in diesen dem Wirtschaftsleben
dienenden Assoziationen, das muß abgestreift werden. Sie
müssen rein dem Wirtschaftsleben
dienende Körperschaften
werden, solche Körperschaften, die
beruhen auf dem Verhältnis,
das innerhalb des Wirtschaftslebens
der Mensch haben muß, sei es zu der
Naturgrundlage des
Wirtschaftslebens, sei es zu der Notwendigkeit, auf diese
oder jene Art die Rohstoffe zu
verwerten, die Waren
in Zirkulation zu bringen, das
Konsumverhältnis in das richtige Verhältnis zur
Produktion und zum Handel zu bringen
und so weiter. Die
Kompliziertheit des menschlichen
Lebens macht es heute notwendig, daß ein ganzes
System von Assoziationen und
Koalitionen, die herausgefordert
werden durch die Naturgrundlage des
Wirtschaftslebens, sich
unter den Menschen bilden, solche
Assoziationen und Koalitionen,
welche im wesentlichen auf dem
Verständnis der Verwertung der Naturgrundlage und der
Hinleitung der Ware zur zweckmäßigen
Konsumtion
bestehen. Eben die Kompliziertheit
erfordert, daß auf diesem Gebiete ein ganzes
System von Assoziationen sich
ausbildet. Aber diese Assoziationen werden
herausgestaltet sein aus dem
Zusammenhange des
Menschen mit den wirtschaftlichen
Kräften selber. Da wird sich
ergeben, daß eben das eintritt,
immer wieder und wiederum im
wirklichen Leben
eintritt, daß das Wirtschaftsleben
dazu tendiert, den Menschen zu verbrauchen.
Neben
dem Wirtschaftsleben muß stehen das
politische Leben, das im Gegensatze
zum Wirtschaftsleben, das aufAs
soziationen zu beruhen hat, mehr auf der Demokratie
ruhen muß, denn das staatliche Leben
umfaßt das Verhältnis von Mensch zu
Mensch. Es umfaßt alles das, woran
alle Menschen
in gleicher Weise ihr Interesse
haben. Wie das Wirtschaftsleben beruht auf dem
wirtschaftlichen Wert der Güter, so
wird das Staatsleben zu beruhen
haben im wesentlichen auf dem
öffentlichen Recht, das im Gesetze gründet oder
das das Gesetz begründet, das da
bestimmt das Verhältnis
des Menschen unter Menschen. Und in
lebendiger Wechselwirkung
wird dasjenige, was sich aus dem
Wirtschaftsleben heraus entwickelt, begrenzt,
beschränkt werden müssen. Ansätze
dazu sind ja vorhanden,
aber eine durchgreifende soziale
Einsicht muß Platz greifen. Dasjenige wird sich
herausbilden müssen, was vor allen
Dingen den Menschen
davor schützt, von dem
Wirtschaftsleben, das auf den Verbrauch hin orientiert
ist, selber mit Bezug auf seine
Arbeitskraft verbraucht
zu werden.
Ebenso
wie Preisbildung, Wertbildung das
Wesentliche ist innerhalb des
Wirtschaftskörpers, ebenso ist die
Ausgestaltung des konkreten Rechtes,
des konkreten öffentlichen Rechtes, das reguliert
das Leben des Menschen
neben dem Menschen, das Wesentliche
im Leben des politischen
Staates. Kann man in bezug auf die
Empfindung, die gegenüber dem öffentlichen Rechte
besteht, nicht eigentlich auch heute
noch sagen,
daß sie zu keiner ganz besonderen
Klarheit sich durchgerungen hat? Man kann viel,
viel bei denjenigen, die die Sache
wissen sollten, die viel
nachgedacht und nachgeforscht haben
sollten über die Sache, man kann viel bei diesen
nachfragen, was eigentlich unter dem
Wesen des Rechtes
zu verstehen ist, des Rechtes, das
ja immer in konkreten Formen auftritt. Man bekommt
erst einen Begriff von den
Schwierigkeiten, die da
vorliegen, wenn man zum Beispiel
sich einläßt auf eine solche Frage,
wie
diejenige war, die in seiner
Doktordissertation mein verstorbener
Freund Ludwig Laistner zugrunde gelegt hat,
«das Recht zur Strafe». Das kann selbst eine Frage
werden, worinnen im Konkreten das
Recht der menschlichen
Gesellschaft zur Strafe besteht.
Man
kann vieles versuchen, um
nahezukommen dem Impuls des Rechtes. Insbesondere
in unserer heutigen Zeit, wo von den
verschiedensten
Seiten her so viel vom Recht
gesprochen wird, liegt es ja auf der
Hand, sich
immer wieder und wiederum dem nähern
zu wollen, was eigentlich
das Wesen des Rechtes ist. Wenn man
versucht, dahinter zu kommen, worauf ein
solches konkretes Recht beruht —
auch das Besitzrecht
ist auf ein Recht begründet ; das
Besitzverhältnis gründet auf dem Recht, ein Grundstück
oder irgend etwas ausschließlich für
sich, zu seiner
Betätigung zu benützen mit Hinwegweisung der anderen —, das Gegenstand des
eigentlichen politischen Gliedes des
sozialen Körpers ist, so finden die einen
überhaupt nichts anderes, als daß es
zuletzt doch auf Macht
zurückgeht. Die anderen finden, daß
es auf ein ursprüngliches menschliches Empfinden
zurückgehe. Man kommt ja
allzuleicht, wenn man
der Sache zu Leibe rücken will, auf
leere Formen. Ohne daß ich mich — was ja Stunden
in Anspruch nehmen würde — einlassen
kann auf eine
volle Begründung, möchte ich doch
dieses sagen, daß das Recht ja
begründet ein gewisses Verhältnis
des Menschen zu irgend etwas, einer
Sache oder
einem Vorgang oder dergleichen oder
einer Summe von Vorgängen,
mit Ausschluß von anderen Menschen.
Worauf beruht es denn
nun eigentlich, daß man die
Empfindung, das Gefühl entwickeln kann : Irgendein Mensch
oder ein Volk habe ein Recht auf
das, was man im
Auge hat? Und man bekommt da doch,
wenn man noch so sehr sich abmüht,
nichts anderes heraus, als daß man
sich sagen kann: Im öffentlichen Leben begründet
den Rechtsanspruch das, daß die
Voraussetzung
bestehen darf, daß der, der seine
Betätigung einer Sache oder einem Vorgange oder
einer Reihe von Vorgängen zuwenden
darf, dies mit
der größeren Wahrscheinlichkeit mehr
im Sinne der allgemeinen Menschheit tut als
irgendein anderer. In dem
Augenblick, wo man die Empfindung hat, daß
irgend jemandes Verhältnis zu einer
Sache oder zu etwas
anderem mehr zum Ausdrucke bringt
den Nutzen der allgemeinen Menschheit, als
wenn ein anderer diese Sache benützt
oder in dieses Verhältnis
eingeht, so kann man dem
Betreffenden das Recht auf diese
Sache zusprechen. Das wird es ja
auch im wesentlichen sein, was in
der Empfindung der Menschheit den
Ausschlag geben wird, wenn jetzt die
großen
Rechtsfragen des internationalen
Lebens ins Dasein, ins wirkliche Dasein treten.
Man wird demjenigen voll zusprechen
das Recht über
ein gewisses Territorium, bei dem
die Aussicht besteht, daß im Sinne des Wohles der
allgemeinen Menschheit gerade dieses
Volk das Territorium
am fruchtbarsten, am sichersten
verwalten kann.
So
kommt man zu dem, was im
demokratischen Staatswesen durchweben und durchfluten
kann die Impulse, die orientieren
müssen das Leben von Mensch zu
Mensch, die, sei es in der
Arbeiterversicherung, sei es irgendwie in
anderen Versicherungen, die da sind
zum Schutze gegen
die Schäden des Wirtschaftslebens,
in alledem muß das leben als das Fundament des Rechtes,
von dem ich eben gesprochen habe.
Und ein Verständnis,
aber jetzt nicht ein Verständnis für
irgendeine allgemeine abstrakte Definition
des Rechtes, sondern ein Veständnis
für die Wirksamkeit
des Rechtes im einzelnen konkreten
Fall, das ist es, was behufs
eines gesunden sozialen Lebens der
Menschheit eintreten muß. Dieses Rechtsleben, dieses
Leben des politischen Staates im
engeren Sinn, des zweiten
Gliedes eines gesunden sozialen
Organismus, das wird es auch sein, welches den
eigentlichen Kreuzpunkt, möchte ich sagen, der
modernen
sozialen Frage allein, nicht durch
irgendwelche Verwirklichungen von
theoretischen Ansichten und
Prinzipien und Programmen, sondern durch das
unmittelbare Leben aus der Welt
schaffen wird, nämlich
den Punkt, den ich vorhin bezeichnet
habe als die Forderung des modernen
Proletariats : die Arbeitskraft des
Menschen des Warencharakters
zu entkleiden.
Dazu
ist allerdings notwendig, daß man
auch verstehe, ich möchte sagen, aus dem
Fundament heraus verstehe, worauf es
ankommt bei dem
Anteil, den menschliche Arbeit im
allgemeinen menschlichen Leben, in der Struktur
der menschlichen Gesellschaft hat.
Wiederum würde
es Stunden in Anspruch nehmen, wenn
ich ein soziales Grundgesetz der menschlichen
Arbeit hier im einzelnen begründen
wollte; intuitiv,
glaube ich, und instinktiv kann
jeder Mensch, der das Leben nur einigermaßen
durchschaut, begreifen, was ich
jetzt aussprechen werde. Ich habe
versucht, bereits im Beginne des
Jahrhunderts in einem Aufsatz, der dazumal in
meiner damals erscheinenden
Zeitschrift «Luzifer-Gnosis»
über die soziale Frage erschienen
ist, gerade auf dieses fundamentale soziale Gesetz
aufmerksam zu machen. Aber man
predigte damals
und predigt über viele Dinge auf
diesem Gebiet auch heute noch tauben Ohren, leider.
Dieses Gesetz besteht darin, daß
niemand, insofern
er dem sozialen Körper, dem sozialen
Organismus angehört, für sich selber in
Wirklichkeit arbeitet. Wohlgemerkt,
insoferne der Mensch dem sozialen
Organismus angehört, arbeitet er
nicht für sich selbst. Jegliche Arbeit, die der
Mensch leistet, kann niemals auf ihn
zurückfallen, auch nicht in ihrem
wirklichen Erträgnis, sondern sie
kann nur für die anderen Menschen
geleistet sein. Und das, was die
anderen Menschen leisten,
das muß
uns selbst zugute kommen. Es ist nicht bloß ein
ethisch zu
fordernder Altruismus, der in diesen
Dingen lebt, sondern es ist einfach
ein soziales Gesetz. Wir können gar
nicht anders, ebensowenig wie wir unser Blut anders
leiten können, als in der
Zirkulation der menschlichen Betätigung so
wirken, daß unsere Tätigkeit allen
anderen, und aller
anderer Tätigkeit uns zugute kommt,
daß niemals unsere eigene Tätigkeit auf uns
selbst zurückfällt.
So
paradox es klingt, wenn Sie
untersuchen, welchen wirklichen Zirkulationsprozeß
menschliche Arbeit im sozialen
Organismus macht, Sie werden finden:
sie geht aus dem Menschen heraus,
sie kommt den anderen
zugute, und das, was die einen von
der Arbeitskraft haben, das ist das
Ergebnis der
Arbeitskraft anderer. Wie gesagt, so
paradox es klingt, wahr
ist es. Man kann ebensowenig leben
von seiner eigenen Arbeit im sozialen Organismus,
als man sich selber aufessen kann,
um sich zu ernähren.
Obschon
im Grunde genommen das Gesetz sehr
leicht zu verstehen ist,
können Sie einwenden: Wenn ich nun
aber ein Schneider bin und unter den Kleidern, die
ich für andere herstelle, auch
einmal mir selber einen
Anzug mache, dann habe ich doch
meine Arbeitskraft auf mich selber angewendet ! — Das
ist nur eine Täuschung, wie es
überhaupt immer
eine Täuschung ist, wenn ich glaube,
daß das Ergebnis eigener Arbeit auf mich
zurückfällt. Indem ich mir einen
Rock, eine Hose oder dergleichen
mache, arbeite ich in Wahrheit nicht
für mich, sondern ich setze mich in die Lage,
weiter für andere zu arbeiten. Das
ist das, was die menschliche
Arbeit als Funktion rein durch ein
soziales Gesetz innerhalb
des sozialen Organismus hat. Wer
gegen dieses Gesetz verstößt, der arbeitet gegen den
sozialen Organismus. Deshalb
arbeitet man gegen den
sozialen Organismus, wenn man weiter
verwirklicht dasjenige, was sich im neueren
geschichtlichen Leben ergeben hat,
daß man den proletarischen
Arbeiter von dem Erträgnis seiner
Arbeitskraft leben läßt. Denn das ist keine
Wahrheit, das ist eine durch die
sozialen Verhältnismittel
kaschierte, realisierte Unwahrheit,
die sich hereindrängt als zerstörend in das
Wirtschaftsleben. Das ist dasjenige,
was aber in dem Wirtschaftsleben
nur geregelt werden kann, wenn
dieses Wirtschaftsleben sich selbständig
entwickelt und neben ihm relativ
selbständig das politische, das
engere Staatsleben sich entwickelt,
das immerzu entreißt dem
wirtschaftlichen Leben die
Möglichkeit, die
menschliche Arbeit auf sich selber
zu lenken.
Innerhalb des Rechtssystems wird das
bewirkt im richtigen
sozialen Verständnis, daß die
menschliche Arbeit diejenige Funktion erhalte, welche
sie erhalten muß gemäß dem
wahrhaftigen Verlaufe des Lebens im sozialen
Organismus. Der wirtschaftliche
Organismus für
sich hat immer die Tendenz, die
Arbeitskraft des Menschen zu verbrauchen. Das
Rechtsleben muß immer der
Arbeitskraft ihre naturgemäße altruistische
Stellung anweisen, und immer ist es
von neuem notwendig,
durch neue konkrete demokratische
Gesetzgebung das, was das Wirtschaftsleben in
Unwahrheit realisieren will, diesem
Wirtschaftsleben
immer aufs neue zu entreißen, und
immer aufs neue die menschliche Arbeitskraft aus den Fängen
des Wirtschaftslebens auf dem Wege
des öffentlichen
Rechtes herauszureißen. Geradeso wie
zusammenwirken müssen
das bloße Verdauungssystem mit dem
Atmungs-Zirkulationsleben,
indem aufgenommen wird von dem
zirkulierenden Blute das, was dem Verdauungssystem
einverleibt wird, so muß nebeneinanderwirken,
aufeinanderwirken das, was im
Wirtschaftsleben vorgeht und das,
was im Rechtsleben vorgeht, sonst gedeiht das eine
und das andere
nicht. Der bloße Rechtsstaat, wenn
er Wirtschafter werden will, lähmt das
Wirtschaftsleben ; der
Wirtschaftsorganismus, wenn er sich den Staat erobern
will, tötet das System, das Leben
des öffentlichen Rechtes.
Das
ist es, was ich zu dem in den
vorigen Vorträgen Gesagten noch hinzufügen möchte zur
Begründung der Dreigliedrigkeit des sozialen Organismus. Indem die
bürgerlich leitenden Kreise
gewissermaßen den Blick
wie hypnotisiert nur auf den Staat
gerichtet hatten, wurde ihnen der Staat etwas wie ein
Götze. Es wurde die Aufmerksamkeit
nicht hingelenkt
auf die notwendige Differenzierung
des sozialen Organismus in die drei
Glieder. Und so kam es, daß in der
neueren Zeit auch aufgesogen, absorbiert wurde
von dem Staate, von dem politischen
Leben im engeren
Sinne das geistige Leben. So wie die
Warenzirkulation im Wirtschaftsleben auf der
Preis- und Wertbildung beruht, so
wie das Leben innerhalb
des politischen sozialen Organismus
auf dem Rechtsleben beruht, so beruht alles
geistige Leben auf dem unmittelbaren
Inhalt des Produzierten.
Und bedenken Sie nur, was für ein
gewaltiger Unterschied
ist zwischen dem Wirtschaftsleben
und dem geistigen Leben. Im Wirtschaftsleben kommt
alles darauf an, daß die Ware zum
zweckmäßigsten Verbrauch getrieben
wird. Geistige Hervorbringung, sei
es auf dem
Gebiete des Erziehungs-, des
Schulwesens, sei es auf dem Gebiete
der Kunst, sei es auf irgendeinem
anderen eben geistigen Gebiete,
geistige Hervorbringung mit dem
Begriff des Verbrauches in Zusammenhang zu stellen ist
geradezu eine Absurdität. Man kann
es nicht. Man kann nicht das, was
geistig hervorgebracht ist, in
dieselbe Linie stellen wie das, was
im Wirtschaftsprozeß zirkuliert. Das
ist es, was auch bewirkt
hat, daß die Aufsaugung zum Beispiel
des Schulwesens durch den Staat, des
Universitätswesens durch den Staat
und ähnliches, in der modernen
Entwickelung zu einem hemmenden,
auch jetzt im realen Sinne
hemmenden Faktor geworden ist. Und
das ist es, was die Menschheit aufmerksam machen
muß, daß dieses Geistesleben
wiederum befreit,
entfesselt werden muß. Und ich habe
schon aufmerksam darauf gemacht, daß zu diesem
geistigen Gliede des sozialen
Organismus nun auch
gerechnet werden muß, was heute noch
manchem nun auch paradox
erscheinen wird, die wirkliche
Praxis des privaten und des strafrechtlichen Urteilens.
So sonderbar das klingt, auch da
gibt es schon eine Tendenz
im modernen Leben, die nur nicht in
der richtigen Weise beurteilt wird. Was immer
mehr und mehr von einer eben
verfehlten Psychologie
in Anspruch genommen worden ist für
die Rechtsprechung, das ist es, was tendiert nach
einem noch nicht erkannten, aber
notwendigerweise
zu erkennenden Prinzip der
Einverleibung des privat- und strafrechtlichen Wirkens in
das geistige Glied, das wiederum mit
relativer Selbständigkeit
dasteht, auch mit relativer
Selbständigkeit dasteht gegenüber all dem Leben,
das sich als das engere politische
Leben entwikkelt,
das sich als das Leben des
öffentlichen Rechtes, der
Gesetzgebung entwickelt.
Gewiß, es wird in Zukunft in einem
gesunden sozialen Organismus der
Verbrecher zum Beispiel zu suchen
sein von dem, was sich im zweiten
Gliede, im politischen Gliede
ergibt. Wenn er aber gesucht ist, dann wird er
abgeurteilt von dem Richter, dem er
in einem individuellen
menschlichen Verhältnis
gegenübersteht.
Über
diese Frage kann auch nur der
vielleicht aus der Geschichte
heraus urteilen, der wie ich, der
zu Ihnen jetzt spricht, Jahre,
jahrelang beobachten
konnte auf einem Territorium, wo es
wahrhaftig schwer wurde,
einheitlich zu regieren, und wo man
doch, ich möchte sagen, zwangsmäßig einheitlich
staatlich regieren wollte : auf
einem Territorium
wie in Österreich. Da konnte man
beobachten, was es ergeben hätte, wenn über die
reinen Sprachgrenzen hinüber freie
Gerichtsbarkeit
dagewesen wäre; wenn sich trotz der
Sprachgrenzen der in einem deutschen
Gebiete wohnende Böhme den
benachbarten tschechischen oder böhmischen Richter
drüben, der böhmische Bewohner
wiederum seinen
Richter in dem deutschen Gebiete
hätte wählen können. Man hat gesehen, wie
segensreich dieses Prinzip gewirkt
hat in dem leider Anfang
gebliebenen Bestreben der
verschiedenen Schulvereine. Darinnen
liegt etwas,
was, ich möchte sagen, wie ein
schwerer Alpdruck
heute noch immer dem, der dieses
österreichische
Leben miterlebt hat, auf der Seele ruht, daß dieses
Ei des Kolumbus nicht gefunden
worden ist : die freie
Wahl des Richters und das lebendige
Zusammenwirken des Klägers,
des Richters und des Angeklagten,
statt des Richters aus dem zentralisierten
politischen Staate heraus, der nur
maßgebend sein kann nicht für die
Rechtsprechung, sondern für das
Aufsuchen und Abliefern des Verbrechers oder dann
für die Ausführung des Urteils.
So
paradox das heute noch der
Menschheit klingt, es muß
einverleibt werden
das Verhältnis des Menschen zu
seinem Richter in straf- und privatrechtlicher
Beziehung dem geistig selbständigen
Gliede. Schon vorgestern
habe ich darauf aufmerksam gemacht,
daß nicht abhängen wird die äußere
Verwaltung, die Wahl der Personen in
dem geistigen Gliede vom
Staate. Wer hineinschauen kann in
die modernen Verhältnisse, dem offenbart sich das
auch, daß das innerste Leben von
Wissenschaft und Kunst
und allem Geistigen abhängig wird
von dem, von dem es nicht abhängig
werden darf, wenn sich dieses
geistige Glied neben den anderen beiden Gliedern
nicht in relativer Selbständigkeit
entwickeln kann. Es
erscheint heute noch vielen als
etwas Paradoxes, wenn ich nun zusammenfassend sage,
jedes dieser Gebiete müsse eine
gewisse Souveränität
haben, sein eigenes
Repräsentativsystem, seine eigene
Gesetzgebung,
die aus seinen Verhältnissen
herausgewachsen ist, die aus den Assoziationsverhältnissen
im wirtschaftlichen Gebiete
herauswachsen, also
seine Verwaltung, seine Gesetzgebung
selbständig haben. In demokratischer Weise wird
herauswachsen aus der
Gesamtmenschheit eines bestimmten sozialen
Gebietes für den eigentlichen
politischen Staat, in dem geregelt wird das
Verhältnis des Menschen zum
Menschen, das Verhältnis
zur Wirtschaft, das Verhältnis zum
geistigen Leben; ohne daß in die beiden aber
eingegriffen wird aus den Gesetzen
des Staates heraus, und aus den im
geistigen Leben selbst tätigen
Kräften wird sich die
Gliederung ergeben auch der
Verwaltung für das geistige Leben.
In einem
noch viel höheren Grade kann aus
wirklich modernem Leben heraus das geistige Leben
emanzipiert werden, in einem höheren
Grad als es in alten Zeiten der Fall
war, als das einzige geistige Leben,
das für viele Menschen
in Betracht kam, im religiösen Leben
bestand, aus dem heraus sich ja auch das
Schulwesen, das Universitätswesen
gebildet hat.
Gewiß
war das Eingreifen des modernen
Staatswesens notwendig, um
veralteten Religionsformen und
veralteten Verwaltungen das
zu verweisen,
was ihnen nicht mehr zukam. Aber aus
dem modernen Leben selber
heraus muß sich wiederum das
selbständige Geistesleben entwikkeln. Das ist es ja
gerade, was eine
geisteswissenschaftliche Richtung, wie sie diesen sozialen
Betrachtungen hier zugrunde liegt,
für sich in Anspruch
nehmen muß, was sie in Anspruch
nehmen muß aus dem Grunde,
weil sie weiß, daß das gesamte
wirkliche produktive Geistesleben, auch das, was sich
zum Beispiel in technischen
Erfindungen, technischen
Ideen auslebt, daß sich das nur mit
wirklich der Menschheit heilsamen Impulsen
entwickeln kann, wenn es sich aus
dem lebendigen, selbständigen
Geistigen entwickelt, unabhängig von
den anderen beiden Gliedern des
sozialen Organismus. Der Geist wird
im Menschen nur
in der rechten Weise zur
Produktivität die Stoßkraft haben,
wenn dieses
geistige Leben relativ selbständig
ist. Spintisieren, theoretisieren, Dinge ausdenken,
meinetwillen auch so, wie es von
einer gewissen Richtung
her in moderner Technik und
Naturwissenschaft, namentlich in ihren Methoden
bewundernswert geschehen ist, auch
erfinden kann man,
aber die wirkliche produktive Idee,
die so produktiv ist, daß sie dem wahren
Menschheitsfortschritte und zugleich
dem wahren Menschheitsheile
dient, diese Idee kann nur geboren
werden innerhalb eines
auf sich selbst gestellten
Geisteslebens.
So
weit ist man heute noch entfernt von
dem, was ich hier eigentlich meine und was notwendig
verstanden werden muß, wenn die
soziale Frage
auf eine heilsame Grundlage gestellt
werden soll, daß manche Leute mir erwidert
haben, wenn ich ihnen das
auseinandergesetzt habe: Ja, das ist
ja nur in einem modernen Sinne eine
Wiedererneuerung der alten
platonischen Idee von der
Dreiteilung des sozialen Körpers in
die drei
Stände : Nährstand, Wehrstand,
Lehrstand. — Nein, das ist keine Erneuerung dieser alten
platonischen Idee, sondern das ist
in gewisser Beziehung
das radikale Gegenteil davon, und
darauf kommt es an. Denn zwischen dem, was
platonisch gedacht werden konnte als
etwas Großes in
Griechenland und noch für spätere
Zeiten, und demjenigen, was heute gedacht werden
muß zum Heile und zur Gesundung des
sozialen Organismus,
liegt der große, krisenhafte
Menschheitseinschnitt um das 15. Jahrhundert.
Dazumal, zu platonischen Zeiten, war
die Gliederung des
sozialen Organismus eine solche, daß
man die Menschen nach Ständen einteilte. Die
Gliederung, von der ich hier sprach,
die gliedert nicht die
Menschen, die gliedert den sozialen
Organismus ; die gliedert diesen sozialen Organismus so,
daß unter Umständen ein Mensch in
allen drei Gliedern drinnen sein
kann, das Entsprechende tun kann,
aber dadurch, daß
der soziale Organismus gegliedert
ist, ist er nicht in der Lage, irgendwie schädlich von
dem einen Gliede in das andere
hineinzuwirken,
nicht einmal dann, wenn, wie es in
modernen Parlamenten vielfach geschehen ist, derselbe
Mensch meinetwillen als Landwirt
zugleich in einer
staatlichen Partei drinnensteht.
Heute ist es noch möglich, daß er durch irgendwelche
Assoziationen eine
Interessenvertretung inauguriert, daß in das
Rechtsleben hinein eine
wirtschaftliche Interessenvertretung
kommt. Ich habe das letzte Mal ein
Beispiel angeführt, wo ein ganzer
Staat in seinem Rechtsleben von
einer solchen Interessenvertretung durchsetzt wurde.
Das wird ausgeschlossen. Aber was
ich als dreigliederig
bezeichne im gesunden sozialen
Organismus, das ist der vom Menschen abgesonderte
soziale Organismus. Der Mensch wird
gerade dadurch
selbständig, wird gerade dadurch
entkleidet des Charakters eines Sklaven des
sozialen Organismus, daß nicht
Menschenklassen, Menschenschichten
als Glieder dastehen, sondern daß
der soziale Organismus
selber gegliedert wird. Das weist zu
gleicher Zeit darauf hin, daß dieses Denken, das hier
zugrunde liegt, ein wahrhaft
wirklichkeitsgemäßes
ist, entfernt ist von alldem, was
ich vorgestern als Schwarmgeisterei
bezeichnet
habe.
Diese
Schwarmgeisterei tritt ja auf bei
den verschiedensten Parteien. Sie ist ebenso in
bürgerlichen Kreisen vorhanden wie
auf seiten der Sozialdemokratie.
Und diese Schwarmgeisterei ergreift
dann die Menschen,
wenn sie immer wieder und wiederum
keine Ahnung davon entwickeln, was der
soziale Organismus als solcher
eigentlich anstreben kann,
wenn er gesund ist. Immer wieder und
wiederum leidet das soziale Denken
unter dem Einfluß der Empfindung,
der Idee, als ob angestrebt werden könne
unmittelbar, durch irgendwelche
Programme, ein sozialer Organismus,
der das Glück der Menschheit oder
die Zufriedenheit der
Menschheit oder dergleichen bedingt.
Das kann nicht unmittelbar angestrebt werden. Was
unmittelbar angestrebt werden kann,
das ist ein lebensfähiger sozialer
Organismus, ein solcher, der
lebendige Kräfte des Lebens
eben in sich hat. Hineingestellt in
einen solchen Organismus, lebend in einem solchen
Organismus, kann erst aus ganz
anderen Untergründen
heraus der Mensch sein Glück
begründen. Das hat ganz andere Untergründe. Aber diese
Untergründe, die müssen befreit
werden von ihrer
Fesselung. Und sie werden nur
befreit, wenn ein lebensfähiger Organismus zugrunde
liegt. So wie in einem wirklich
lebensfähigen Organismus
die Seele sich entwickeln kann, in
ihm in entsprechender Weise sein
kann, so in einem lebensfähigen
sozialen Organismus eine glückliche, zufriedene,
arbeitswillige und arbeitsverständige Menschheit.
Das ist es, worauf es ankommt zur
Gesundung des sozialen Organismus.
Ein
Blick auf das, was wir in einer
katastrophalen Zeit erlebt haben, kann auch, ich möchte
sagen, von einem internationalen
Gesichtspunkte
her und von einem größeren
historischen Gesichtspunkte her
erhärten, wie das, was ich hier als
diese drei Glieder anführe, eine
wirkliche Notwendigkeit
für die gegenwärtige Lebensform der
Menschheit und die
Lebensform der Menschheit für die
nächste Zukunft ist. Man möchte sagen, bevor
diese schreckliche Katastrophe, die
man einen Krieg
nennt, über die Menschheit
hereingebrochen ist, war die Kulmination des
Durcheinanderwürfelns und
Durcheinanderwirrens der drei Glieder, die sich
differenzieren müssen, erreicht. Und
gerade dadurch, daß
diese drei Glieder nicht in
relativer Selbständigkeit
nebeneinander wirken
konnten, dadurch ist vieles von dem
eingetreten, was in wahrhaftigem Sinne zu dem
Ausgangspunkt und den Ursachen
dieser kriegerischen
Katastrophe gerechnet werden muß.
Man braucht ja nur auf Weniges hinzuweisen.
Der Blick aller Menschen war darauf
gerichtet, wie
von der Beziehung des
österreichischen Staates zu dem
Balkanverhältnis,
namentlich zu Serbien, der Krieg
seinen Ausgangspunkt genommen hat. Wer
eingeweiht war in die
österreichischen Verhältnisse seit Jahrzehnten, der
wußte zu beurteilen, wie die
wirtschaftlichen Verhältnisse,
die zwischen Österreich und dem
europäischen Südosten spielten, in
unnatürlicher Weise mit den
Verhältnissen verschlungen waren, die relativ
selbständig neben ihnen sich hätten
entwickeln sollen, mit
den rein politischen, und wie durch
diese Verquickung, dadurch, daß nun die politischen
Verhältnisse plötzlich für sich
entscheiden sollten
über etwas, was in wirtschaftlichen
Verhältnissen tief begründet war, eine realisierte
Unwahrheit entstand und explodierte.
Wie
anders wäre diese Sache geworden —
ich kann dies am Schluß des heutigen Vortrages nur
andeuten —, wenn das Verhältnis
solcher Nachbarstaaten
entsprechend der Dreigliederung
gewesen wäre, wenn über die Grenze hinüber das
Verhältnis ein rein politisches, auf
demokratischer
Grundlage beruhend und abgesondert
gewesen wäre von den anderen Gliedern, gleich
wie sonst die Regierungsform ist.
Wenn nun aber korrigierend,
harmonisierend über die Grenze
hinüber selbständig die wirtschaftlichen und
geistigen Faktoren wirkten, da würde
über das System
der Staaten, der sogenannten Staaten
so etwas an Interessenharmonie und an Interessenverquickung ausgebreitet, wo immer
das eine das
andere korrigiert, wo nicht das eine
einseitig eine Explosion herbeiführen kann. Gesunde
Verhältnisse über die Grenzen
hinüber würden durch
diese Dreiteilung im internationalen
Verhältnis der Völker entstehen.
Und
wiederum, wie hat die internationale
Menschheit den Blick gerichtet auf
Deutschland, das ja in den
Kriegserklärungen, wenigstens äußerlich,
vorangegangen ist. Wer auf diesem
Gebiet eingeweiht ist, der weiß, wie das Unglück
geschehen ist. Man hat vielfach
gesagt, im Juli und
August, in den verhängnisvollen
Tagen, habe die Politik neben der eigentlichen
Kriegsführung, neben dem Heerwesen,
versagt. Aber Politik
und Heerwesen sind da, wo beide
wirken, gleichlaufende Dinge. Die sind nicht ohne
weiteres zu trennen. Sie können nur
in gesunder Weise sich
entfalten, wenn sie wirken innerhalb
des einen, des staatlichen Gebildes in einem
dreigeteilten sozialen Organismus.
Sonst wird notwendigerweise
die Politik, wenigstens in dem einen
Gliede, einen einheitlichen
Charakter annehmen müssen. Sie wird
zu einer bestimmten Zeit entweder im Militär
oder im Nichtmilitär kulminieren.
Denn was in seiner
Natur, wenn es auch verquickt ist durch menschlichen
Irrtum mit anderen
Systemen, etwas Einheitliches sein
muß, das kann sich nach außen nicht, das eine
über das andere korrigierend,
ergehen. In jenem furchtbaren
Angstzustande, aus dem heraus in
Berlin erwachsen ist das,das
in den letzten Juli-, in den ersten
Tagen des August erwachsen ist, da hat gewirkt die
Zusammendrängung auf ein einziges
System, was hätte
verteilt sein sollen. Es drängte
sich zusammen unter die Verantwortung eines einzigen
Systems, was ein einziges System zum
Heile der Menschheit
niemals tragen darf. Die konkreten
Verhältnisse werden es gerade dann lehren,
wenn man diese Dinge einmal
vorurteilslos und
unbefangen untersuchen
wird. Oh, wieviel Unsinn ist gerade
mit Bezug auf
Politik und Heeresverwaltung gesagt
worden ! Es ist ja soviel Unsinn
gesagt worden in den letzten
viereinhalb Jahren! Ich will nur das
eine
ausführen : Weil in einem
untrennbaren Gliede des sozialen
Organismus
ruhend Politik und Strategie nur
wirken können, so kann niemals, wenn die
Strategie veranlaßt ist, nur auf
sich selbst zu sehen, die Politik diese Strategie
in gesunder Weise beeinflussen. Man
hat gesagt, sich
immer wieder und wiederum auf einen
Clausewitzschen Satz berufend : Die Kriegführung
sei die Fortsetzung der Politik mit
anderen Mitteln.
— Ich will nicht mich kritisierend
ergehen über diesen Satz, insoferne er im
Zusammenhang der ganzen
kriegerischen Auseinandersetzung steht. Aber so,
wie die Herren, die immer wieder und
wiederum diesen
Satz — es sind auch Damen gewesen —
angewendet haben, da hat er ungefähr ebensoviel
Sinn, als wenn man sagt : Die
Scheidung ist die Fortsetzung
der Ehe mit anderen Mitteln.
Unsinn
dieser Art ist aus einem
unnatürlichen Denken, das wiederum unnatürlich in die
realen Verhältnisse eingegriffen
hat, viel produziert worden.
Wenn man einmal die Dinge unbefangen
durchschaut, wird man
sehen, wie alles anders verlaufen
wäre. Selbstverständlich ist das,
was geschehen ist, historisch
notwendig, und das, was
ausgesprochen werden soll, soll als
der Impuls für die Zukunft gelten,
aber hypothetisch
kann man doch sagen, wie alles
anders verlaufen wäre, wenn die Struktur der
europäischen internationalen
Verhältnisse aufgebaut gewesen wäre unter dem
Einfluß der sozialen Dreigliederung.
Man wird sagen
: Das, was gekommen ist, ist durch
die Bündnisverhältnisse gekommen. Aber diese
Bündnisverhältnisse hätten unter dem
Einfluß der sozialen Dreigliederung
niemals eintreten können. Das Ende
solcher Bündnisbildungen
wie diejenigen waren, welche zu dem
Unglücke der letzten
viereinhalb Jahre geführt haben, ist
dann da, wenn die Menschen sich orientieren im
Sinne der Dreigliederung des
gesunden sozialen Organismus.
Das,
was ich hier auseinandersetze, es
ist durchaus im realen Sinne
gedacht, es ist aus der Wirklichkeit
heraus gedacht. Deshalb habe ich
auch immer gesagt, wenn ich mich
damals bemüht habe während dieser Schreckensjahre, an
autoritativer Stelle in
entsprechender Weise für die damalige Zeit auf die
Dreigliederung hinzuweisen:
Dasjenige, was real ist,
ändert sich von Tag zu Tag, und es
könnte selbstverständlich sein, daß, wenn die
Verhältnisse sich wieder geändert
haben, ich über diese Dinge anders sprechen
müßte. Ich sagte zu den Leuten : Was
hier vorgelegt
wird, ist nicht ein Programm, ist
nicht ein Ideal, es entspringt der Beobachtung dessen, was
sich in den nächsten zehn, zwanzig
Jahren in Mittel-
und Osteuropa verwirklichen will,
überhaupt in Europa. Sie haben die Wahl,
entweder Vernunft anzuwenden heute,
oder entgegenzugehen
Revolutionen und Kataklysmen.
Es
hat schon begonnen und es wird sich
in noch anderer Weise zeigen. Heute aber möchte ich
wiederholen, was ich auch noch nach
anderer Hinsicht
bei diesen Gelegenheiten gesagt
habe. Gesagt habe ich immer: Wer ein Utopist, ein
Theoretiker ist, der nicht aus der
Wirklichkeit heraus
denkt, sondern aus gewissen
abstrakten Forderungen oder aus Parteiimpulsen heraus, der
hat ein Interesse daran, daß das,
was er wie ein Programm
oder dergleichen gibt, auch wirklich
so ausgeführt werde, wie
er es im einzelnen gibt. Mir kommt
es bei diesen Dingen, die ich zu vertreten habe, darauf
nicht an — so sprach ich dazumal. Es
könnte sein — sagte
ich, und das sage ich auch heute
noch —, daß von der Formulierung dessen, was ich
vertrete, kein Stein auf dem anderen
bleibt. Denn nicht darauf
kommt es an, daß irgendwelche
ausgedachten Dinge realisiert werden, sondern daß die
Wirklichkeit an einem Punkte
angepackt werde.
Dann wird man finden, indem man sie
anpackt, wie es weiterzugehen hat. Es könnte
sich in weiteren Ausführungen
herausstellen, daß alle
Formulierungen anders werden müßten.
Darauf kommt es nicht an, wenn man kein Utopist,
kein Schwarmgeist ist, daß die Dinge
wörtlich ausgeführt
werden, sondern daß an einer Stelle
wirklich angefangen werde.
Und auf eine solche Stelle, wo
angefangen werden muß, wollte ich hinweisen und will
ich auch heute noch hinweisen, bevor
es ganz zu spät
wird, bevor die menschlichen
Instinkte so weit entfesselt sind,
daß eine Verständigung unter den
Menschen, vielleicht auf Jahrzehnte
hinaus,
nicht mehr möglich sein würde.
Daher
— lassen Sie mich das zum Schlusse
noch aussprechen, obwohl es nicht im engeren
Sinne zu meinem Vortrage gehört —
denke ich auch, daß
heute derjenige, der mit der
sozialen Frage irgendwie mit seiner
Seele
verknüpft ist, nicht nur die Aufgabe
hat, die Dinge auszusprechen,
sondern alle Mittel anzuwenden, um
sie zum Verständnis der Mitwelt zu bringen. Denn das ist
ja das, was wir als erstes tun
können : gegenseitiges soziales Verständnis
hervorrufen. Vieles ist verdorben
worden, verdorben
worden auf den verschiedensten
Gebieten der Welt dadurch, daß ein kurzmaschiges Denken,
wie ich es hier neulich
charakterisiert habe, hinausgerufen worden ist
in die Welt, daß nicht zur rechten
Zeit an das Rechte
gedacht worden ist. Deshalb muß ich
es mit einer gewissen Befriedigung begrüßen,
daß es möglich geworden ist,
immerhin aus den schwierigen
Verhältnissen der Gegenwart heraus
möglich geworden ist, auch mit Bezug auf
praktische Auswirkung der hier
vorgetragenen Ideen,
in verhältnismäßig kurzer Zeit
einiges zu erreichen. Solche Persönlichkeiten, bei
denen in gewisser Weise, wenn ich so
sagen darf, Feuer
gefangen hat das, was hier als
Wirklichkeitsansicht von der
sozialen Frage entwickelt worden
ist, sie haben sich darauf
eingelassen, dahin zu
wirken, daß wenigstens auf diesem
Gebiete, auf dem heute das Unglück
der große Lehrer sein kann, ein
Verständnis für diese Dinge eintrete. Allerdings
möchte ich es als ein besonderes
Glück bezeichnen, wenn
hier auf schweizerischem Gebiete, wo
verhältnismäßig noch Gelegenheit zu
ruhiger Objektivität ist, gerade
wegen der Möglichkeit dieser ruhigen Objektivität
auch tieferes Verständnis eintreten
könnte, dahingehend,
daß man die Notwendigkeit einsieht,
daß zum gegenseitigen sozialen Verständnis
der Menschheit in dem in diesen vier
Vorträgen angedeuteten
Sinne etwas getan werden soll.
Immerhin, unter den Schmerzen
und in die Schmerzen hinein, die man
über den Verlauf so mancher
Ereignisse und über das Schicksal so
mancher Glieder der Menschheit
heute haben kann, kann es mit einer
gewissen Befriedigung erfüllen, daß das
Unglück manche Menschen doch etwas
gelehrt hat. So konnte es geschehen
— gestatten Sie, daß ich das
anführe, weil es immerhin
doch bedeutsam sein kann, wenn man
nicht bloß abstrakt, sondern konkret über die
soziale Frage handeln will —, daß
ein Aufruf, dem ich einverleibt
habe das, was ich hier ausführlich
vertreten habe, in kurzen Sätzen, daß ein Aufruf,
der eigentlich bestimmt ist zur
Wirkung in alle Welt, doch bis jetzt
Eingang gefunden hat in die Herzen
derjenigen, die in
Deutschland und Deutsch-Österreich
schwer geprüft sind durch das Unglück und durch das
Unglück einigermaßen belehrt sind.
Ich habe in diesem
Aufruf gerade auseinanderzusetzen
versucht, wie das Deutsche Reich, als es gegründet
worden ist, mit seiner Gründung in
diejenige Zeit
hineinfiel, wo die
Entwickelungsmöglichkeiten der
neueren Menschheit
von einer solchen Neugründung im
eminentesten Sinne ein Hingehen zu neuen
sozialen Aufgaben verlangt hätten.
Kleinen Dingen hat man sich sogar in
umfassender Weise hingegeben; allein
gerade das, was
diesem Reiche obgelegen hätte,
seinem Rahmen einen entsprechenden Inhalt zu geben aus
den Entwickelungskräften der
modernen Menschheit
heraus, die nun einmal nach dieser
Dreigliederung hingehen,
das hat man nicht sehen können. Und
davon ist es gekommen, daß sich die übrige Welt so
zu diesem Mitteleuropa stellte. Wie
konnte die übrige
Welt verstehen die Berechtigung
dieser besonderen Reichsgründung, wenn nicht aus
dieser Reichsgründung etwas
hervorging, was unwiderstehlich
sein Recht innerhalb des
internationalen Menschheitsprozesses darwies !
Deshalb
habe ich geglaubt, als ein rechtes,
wenn ich jetzt sagen darf, Programm — aber Sie
wissen aus dem Vorangegangenen: es
ist kein Programm,
es ist eine Wirklichkeit —, deshalb
habe ich geglaubt, formulieren zu dürfen in einem
Aufruf an die Menschheit eine
Aufgabe, die nunmehr
erwachsen könnte der europäischen
Menschheit, die ja vor der Notwendigkeit eines
Neuaufbaues steht. Und immerhin
konnte man mit
Befriedigung erleben, daß bis
gestern Mittag dieser Aufruf schon mehr Unterschriften in
Deutschland gefunden hat, als der
einstige Aufruf
der neunundneunzig Intellektuellen
unglückseligen Angedenkens, daß über hundert
Unterschriften für diesen Aufruf aus
Deutschland und bis
gestern Mittag über siebzig
Unterschriften aus
Deutsch-Österreich für
diesen Aufruf vorhanden sind. Ich
erwähne das, weil ich aus der Realität heraus reden
möchte und dadurch aufmerksam darauf
machen möchte,
daß ich nun mit dem, was ich glaube,
daß notwendig ist im sozialen
Fortentwickelungsprozeß, doch nicht
mehr ganz allein dastehe, auch wenn
es darauf ankommt, dies geltend zu
machen für das gegenseitige soziale Verhältnis
der Menschen untereinander.
Und
so wird weiter gewirkt werden müssen
zunächst auf dem Wege einer wirklichen
sozialen Aufklärung. Denn die ist
das nächste. Die Menschheit
steht einmal heute in bezug auf
einen großen Teil der zivilisierten
Welt vor der Notwendigkeit, dem
sozialen Problem sich Auge in Auge
gegenüberzustellen. Sie wird dabei
ein Problem lösen müssen — lassen
Sie mich das zum Schlusse
aussprechen —, das ihr im höchsten Grade den
Denkgewohnheiten gegenüber unbequem
ist. Viele Menschen
wollen noch zugeben, daß man eine
Umwandelung der Einrichtungen,
eine Umwandelung auch der sozialen
Struktur notwendig habe. Hat aber nicht der
ganze Geist der Vorträge, von dem
ich mir erlaubte hier zu sprechen,
hat nicht dieser ganze Geist
nachgewiesen, daß noch ein anderes notwendig
ist ? Wenn marxistisch gebildete
proletarische Führer
immer wieder und wiederum betonen,
daß das marxistische Wort
wahr ist : Die Philosophen haben die
Welt interpretiert, erklärt; es
handelt sich aber darum, die Welt
nach Gedanken nicht nur zu erklären,
sondern
umzugestalten —, so ist das trotzdem
den heutigen einschneidenden
Zeitforderungen gegenüber nicht nur
eine Halbheit, vielleicht nicht einmal eine
Viertelheit. Das, was notwendig ist,
das ist, daß man nicht
nur die Gedanken anwenden soll auf
irgendwelche Umwandelung von Einrichtungen, von
sozialen Strukturen, sondern daß es
sogar notwendig ist, die Gedanken
selber umzuwandeln. Nur aus neuen,
nur aus umgewandelten
Gedanken wird ein gesunder sozialer
Organismus sich entwickeln können.
Einrichtungen, das lassen sich die
Menschen noch leicht
gefallen; umzudenken, das lassen sie
sich weniger gefallen. Das aber ist notwendig. Und
ehe man das nicht einsehen wird,
wird man nicht
sich orientieren und nicht mitwirken
können an der Gesundung des sozialen
Organismus.
Lange
Zeit hat gepocht an das Tor der
wichtigsten menschlichen Erwägungen und
Entschlüsse die soziale Frage. Jetzt
ist sie eingedrungen in
das Haus der Menschheit. Sie kann
nicht wieder hinausgeworfen werden, denn sie ist in
gewisser Beziehung der
Menschheitsentwickelung gegenüber eine
Zauberin. Sie wirkt nicht nur auf
das Äußere des Menschheitsgefüges,
sie wirkt so, daß die Menschen vor
der Notwendigkeit
stehen, entweder umzudenken oder zu
dem schon vorhandenen Unglück ein immer
vermehrteres Unglück zu fügen.
Damit
deutet man an, was notwendig ist,
was notwendig realisiert werden muß, wenn es
nicht zu spät werden soll in der
Beziehung, daß die Instinkte,
wie ich schon sagte, Formen
annehmen, so daß eine Verständigung zwischen den
verschiedenen Menschenklassen nicht
mehr möglich sein werde. Nur
dann gehen wir der Gesundung des
sozialen Organismus
entgegen, wenn wir das Neue, das wir
erwarten, wenn wir das Gesundende, das wir
erhoffen, nicht begründen wollen auf
die alten Gedanken,
sondern wenn wir uns kühn und
kraftvoll entschließen, zur Fortentwickelung der
Menschheit unsere Kraft zu wenden an
neue Gedanken;
denn aus neuen Gedanken wird allein
erblühen die Lebensmöglichkeit
von neuen Generationen. So wird man
denken müssen, daß die soziale Frage
heraufgekommen ist, daß sie
entwachsen ist den Bedingungen des modernen
Lebens. Aber man wird falsch denken,
wenn man glauben
wird, man könne sie irgendwie
momentan lösen. Der Sozialismus ist
nicht etwas, was eine Lösung oder
ein Lösungsversuch ist, nein, das moderne Leben und
das Leben der Menschheit in die
Zukunft hinein hat
die soziale Frage heraufgebracht.
Sie wird immer da sein. Im lebenden
sozialen Organismus wird sie immer
gelöst werden müssen. Darin wird ein Teil, ein
Stück des Lebens der zukünftigen
Menschheit bestehen
müssen, daß in jeder Generation aufs
neue diese Frage gelöst werden muß, aus neuen
Formen gelöst werden muß, diese
Frage, die einmal heraufgezogen
ist, mahnend und erschütternd das
ganze Gefüge des menschlichen
Denkens und Wollens, die soziale
Frage. Wenden wir uns ihr zu mit
unserem ganzen Herzen, mit unserer
ganzen Seele, sonst wird sie sich uns zuwenden,
dann aber allerdings nicht zu
unserem Heil, sondern
zu unserem Unheil.
|