Alors que la
conférence d'aujourd'hui a été
annoncée, maint se sera peut être
posé la question: de quel côté vient
ce qui devrait être parlé là? - Et
après l'une ou l'autre
reconnaissance on aura peut être
l'opinion que maintenant aussi de
nouveau devrait être parlé de ces
ententes-là, lesquelles souhaitent
voir venir si fortement aujourd'hui
ceux-là qui au cours de longues
époques ont provoquer
la mer capitaliste actuelle de
l'erreur sociale, en ce qu'ils
remarquent que l'eau leur arrive
jusqu'à la bouche et qu'ils ne sont
plus en mesure de nager dans cette
mer.Ils cherchent après
l'un ou l'autre canot de
sauvetage ; mais
ils ne trouveront pas de tels canots
des hypothèses qu'ils font
habituellement. Car d'un tel terrain
d'entente je n'aimerais pas vous
parler ce soir. Il me semble que
dans le temps dans lequel nous
vivons, de toutes autres choses sont
nécessaires. Car si nous regardons
ce qui en fait est devenu et ce qui
se vit dans les actuelles conditions
qui sont si effrayantes pour maints
qui tout de suite cherchent un tel
terrain d'entente.
Ce qu'on nomme
« la question sociale »
aujourd'hui n’est donc en aucune
façon apparue hier. Elle est, de la
manière dont on en parle
aujourd'hui, vieille de plus d'un
demi-siècle. Mais ce qui en fait a
conduit à cette question sociale,
cela est beaucoup, beaucoup plus
vieux ; c'est ce qui a conduit
vers le haut toute l'évolution des
temps récents, des siècles
derniers. Et quand
nous regardons ce à quoi a amené
l'évolution des derniers siècles,
ainsi nous pouvons brièvement
rassembler cela quelque peu dans les
paroles suivantes.
Là
étaient un nombre d'humains, de ces
humains qu'on décrit peut-être au
mieux par cela qu'on dit, ce sont
ceux-là qui ont vécu de l'ordre
économique capitaliste et qui se
sont senti bien dans l'ordre
économique capitaliste.
On pouvait entendre souvent assez
véritablement de ces gens combien
nous l'avons amené loin
dans la civilisation. On pouvait
entendre ce qui a été provoqué par
ce que l'humanité est venue dans la
situation, pas seulement de
s'entendre rapidement par delà
le large
éloignement de pays particuliers, de
continents
particuliers, mais par-dessus les
mers du monde ; aussi loin
qu'on est venu par ce que s'est
étendue une certaine formation, que
les humains ont pu prendre part à ce
qu'on nommait la vie spirituelle et
dont on se représentait que ce
serait venu à une hauteur
particulièrement déterminée dans
notre temps.
Maintenant,
je n'ai pas besoin de vous décrire
tout ce qui a été parlé dans cette
direction comme éloges sur notre
civilisation moderne. Mais cette
civilisation moderne, elle se
déploie par-dessus un soubassement.
Elle n'était
pas du tout pensable sans ce
soubassement ; elle vivait de
ce soubassement. Et qu'est-ce qui
était dans ce soubassement ?
Dans ce soubassement étaient
toujours plus et plus d'humains de
cette sorte, qui devaient laisser
résonner dans le plus profond de
leur ressenti d'âme l'appel :
cela que cette vie moderne a
apportée nous donne-t-il un être-là
digne ? A quoi nous a condamné
cette civilisation moderne ? -
Et ainsi, cette humanité moderne se
scinda toujours plus et plus en deux
membres : dans les uns,
lesquels se sentaient bien dans une
certaine mesure ou au moins se
sentaient contentés dans cette
civilisation moderne, mais qui
pouvaient seulement se sentir bien
pour la raison que les autres, en
soubassement, devaient donner leur
force de travail pour un ordre
social auquel ils n'avaient donc au
fond pu prendre aucune
part.
Avec
tout ce déroulement de la chose se
développa toutefois encore quelque
chose d'autre. Il se développa cela
que tout de suite
les porteurs de la civilisation
ainsi nommée ne pouvaient continuer
le vieux contexte patriarcal avec
les nombreux analphabètes. Il se développa cela
que les humains portés par le
capitalisme durent faire former
au moins une partie
du prolétariat qui les servait. Et de la
formation du prolétariat se
développa quelque chose qui
maintenant s'amène à l'expression en
fait si effrayant, mais nécessaire
pour celui qui comprend
l'histoire : cela se développa
qu'avant toutes choses un très grand
nombre d'humains, qui justement
devaient former le soubassement pour
cette civilisation moderne,
pouvaient désormais réfléchir sur
leur situation, qu'ils n'avaient
plus besoin d'y aller
instinctivement, qu'ils pouvaient
poser de manière la plus intensive
la question : avons-nous un
être-là humainement digne ?
Comment pourrions-nous arriver à un
être-là digne de l'humain ?
Ceux-là
qui jusqu'alors étaient les classes
dirigeantes des humains ont dans le déroulement
de la vie de l'économie moderne,
aussi loin que cela
leur
convenait, amené
cette vie de
l'économie en liaison avec l’État moderne.
De cet État
moderne ne
pouvait pas sous l'influence des
temps récents, au moins dans une
certaine mesure, être exclu le
prolétariat moderne.
Et ainsi cela vint que le
prolétariat d'un côté à l'intérieur
de la vie de l'économie ambitionnait hors
sa situation, ambitionnait à
un être-là digne de l'humain, mais
de l'autre côté, avec aide de l’État
moderne tenta
d'obtenir
son droit.
On ne
peut pas dire – les faits du présent
l'apprennent -, que sur les deux
chemins peu n'a encore été atteint. Sur le
chemin de la vie syndicale la
société des travailleurs moderne a
tenté d'atteindre maintes
choses : ce furent des bribes
de cela que doit être en fait le
contenu d'un être-là humainement
digne à l'intérieur d'un ordre
économique sain. Sur le chemin de la
vie étatique, cela a été atteint.
Seul au plus
avant, le
pouvoir économique et politique de
la classe dirigeante de l'humanité
se tenait contre jusqu'à présent. Et
ainsi, on peut dire, malgré que
maint a été atteint sur ces deux
chemins, se tient aujourd'hui le
prolétariat moderne pas moins devant
la question : quel sens à donc
en fait mon travail en rapport à ce
que doit faire valoir comme sa
dignité humaine chaque humain dans
le monde ?
Vis-à-vis
de cela, que par
de longues décennies le prolétariat
a crié à ces cercles dirigeants,
gouvernants dans les différentes
formes : ainsi ça ne va pas
plus loin ! - vis-à-vis de cela
fut à peine audible une quelque
parole compréhensive. Et ces
paroles-là, qui devinrent audibles,
elles se tenaient en fait dans un
étrange rapport à ce qui en fait à
partir de l'esprit du temps aurait
du être ambitionné.
Ne l'entendions-nous pas comme de
tous les côtés
possibles – du côté
social-chrétien, d'aspirants
socialistes-bourgeois – fut prononcé
ceci ou cela, qui pourrait remédier
aux dangers qu'on croyait voir se
lever ? Est-ce que ce fut plus,
au fond, que phrases pleine de
pommade qui à partir des
différentes, des traditions venant de préjugés
religieux, moraux et ainsi de suite
poussèrent de ces classes
dirigeantes, jusqu'à présent
gouvernantes ?
Ils
ne l'éprouvaient pas ces cercles
dirigeants, mais un autre côté de
l'humanité l'éprouvait. Celui-là qui
éprouvait de sa tendance quelque
chose de tout autre que des manières
de parler vides, celui là qui
éprouvait de sa tendance à
partir de la conscience de classe,
qui a été amenée dans la situation
sociale particulière, d'être le
soubassement pour cette civilisation
moderne. Et ainsi se forma, malgré
tout que donc de l'autre côté furent
fournies maintes choses par vie
syndicale, coopérative et aussi
politique, se forma encore quelque
chose d'autre, quelque chose qui est
encore plus important, qui est un
travail du prolétariat moderne, qui
est plein des germes pour l'avenir,
et par lequel
aussi les
faits du présent seront portés en
riche mesure : cela s'en forme
que, pendant que la classe
dirigeante jusqu'à présent suivait
la formation de son luxe, qui
pouvait uniquement être nourri par
le capitalisme, le prolétariat dans
les temps qui lui restaient, dans
ses rassemblements, partait après
une formation moderne d'après le
plus vrai sens du mot, partait vers
une vie de l'esprit. C'était cela,
ce que la classe dirigeante jusqu'à
présent ne voulait pas voir de
l'humanité, qu'à travers milliers et
aussi milliers d'âmes de prolétaires
une toute nouvelle formation, une
toute nouvelle façon de voir se
développait sur les humains.
C'était
seulement fondé dans la nature de la
chose, que la formation
prolétarienne partait tout d'abord
de la contemplation de la vie de
l'économie. Car la vie moderne avait
soudé le prolétaire à la machine.
Elle l'avait contraint dans la
fabrique, elle l'avait attelé dans
le capitalisme. À partir de cela il
chercha ses concepts. Mais ces
concepts – je veux seulement rendre
attentif là-dessus comment
intensivement tout cela qui dépend
du marxisme s'implanta compréhensif
dans l'âme de
prolétaire -, cette
formation était une telle qui trouva
peu, véritablement bien peu écho
chez les classes dirigeantes, les
jusqu'à présent gouvernantes de
l'humanité.
N'est-ce
pas caractéristique que celui-là qui
connaît les choses doit aujourd'hui
dire : parmi les
personnalités dirigeantes
prolétariennes, parmi celles-là qui
comprennent vraiment avec le
prolétariat, ne pensent pas purement
sur le prolétariat, parmi ces personnalités-là,
qui ont accueillit ce qui pourrait
être relevé de véritable
formation féconde sur la vie de
l'économie aujourd'hui, parmi
celles-ci vit
véritablement aujourd'hui une
connaissance plus fondamentale ou
moins de vie plus fondamentale de ce
qui joue dans l'organisme social,
que même parmi les plus formés des
plus formés, même parmi les
professeurs réfléchissants sur la sociologie, les
professeurs d'université.
Car il est caractéristique que ces
cercles dont le métier pour le dire
ainsi était de s'occuper avec la
sociologie, avec
l'économie nationale, aient regimbé autant
que possible contre tout ce qui
provenait de la compréhension pour
le prolétariat moderne. Et seulement
en premier quand
les faits pressèrent, alors que les
faits ne
permettaient rien
d'autre du tout, quelques-uns de ces
dirigeants bourgeois ont daigné de
relever toute sorte de concepts
marxistes ou semblables dans leur
système d'économie nationale.
Que
ce travail a été fourni par le
prolétariat moderne, j'aimerai dire,
entièrement dans le secret pour les
cercles gouvernants, dirigeants, je
ne le prétends pas ici à partir
d'une grise théorie ; je le
prétends parce que je pouvais voir
avec comme cet
ouvrage a
été fabriqué. J'ai pu des années
durant à Berlin être professeur dans
une école de formation des
travailleurs, que Wilhelm
Liebknecht, le vieux Liebknecht
avait encore fondée. Et en partie
dans cette école, en partie dans ce
qui se joignait à cela, on avait un
bon extrait de tout ce qui là a été
travaillé pour faire monter une
nouvelle époque à partir d'une
conscience d'humanité prolétarienne.
Déjà longtemps auraient du
considérer cela tout ceux là qui de
manière superficielle traitaient ce
mouvement prolétarien moderne
seulement comme une pure question de
salaire et de pain, qui ne
comprennent pas devoir la traiter comme une
question de l'être-là humain digne
de tous les humains.
Vis-à-vis
de cela ce
n'est
véritablement pas très significatif,
quand aujourd'hui sera indiqué là
dessus comment
à
l'intérieur du monde des faits, qui
se dont montrés à partir du chaos
social, se passe de
l'effrayant,
de temps à autre du cruel. Celui-là
qui comprend les choses
correctement, comme elles se sont
développées, celui-là ne demande pas
après le rapport de ces cruautés ou
frayeurs avec le mouvement
prolétarien moderne, mais celui-là
est clair là dessus que ce sont les
classes jusqu'à présent dirigeantes
qui ont provoqué ce qui se
passe aujourd'hui.
Le
moment d'histoire du monde, il est
d'abord venu
en ce que le
prolétariat commence à porter une
responsabilité pour les événements
d'histoire du monde. Jusque dans la
terrible, et en beaucoup de rapports
aussi, dingue catastrophe de l'ainsi
nommée guerre mondiale est
responsable ce qui s'est montré du
capitalisme, de l'ordre économique
capitaliste au cours des temps
récents et en particulier du temps
le plus récent.
Mais
que voyons-nous maintenant au point
central où se tient tout ce qui est
mouvement prolétarien, nostalgie
prolétarienne, oui, exigence
prolétarienne ? À point central
de cela, nous voyons se tenir ce que
le prolétaire devait éprouver
vis-à-vis de cela qui au fond
conduit là et
qui par l'ordre économique seul peut
être donné à l'organisme
social ; car les cercles
culturels dirigeants
jusqu'à présent ne
s'intéressaient au fond chez le
prolétaire seulement pour cette
seule chose, et
cette seule chose est la force de
travail du prolétaire. On doit
savoir comme tout de suite les
contemplations de Karl Marx ont
emballées et
ceux qui sont allés dans
ses voies, dans le prolétariat
moderne, pour la raison que dans ce
prolétariat était le
sentiment : avant toute chose
doit être créé de la clarté en
rapport à l'art
et la manière comment la force de
travail humain a le
droit de fluer dans l'organisme
social.
Maintenant,
il a souvent été dit et cela a éclairé dans
les plus larges cercles : par
l'ordre économique moderne, la force
de travail est devenue une
marchandise parmi d'autres
marchandises. C'est donc le
particulier de la vie de l'économie
qu'elle consiste en production de
marchandises, circulation de
marchandises et consommation de
marchandises. Mais cela est arrivé que
la force de travail du prolétaire
moderne a été faite une marchandise.
À
partir de ce côté, tout a été dit au fond à
l'intérieur du prolétariat.
Seulement la question sera donc
orientée habituellement
seulement vers un côté, ainsi
qu'elle n'apparaît pas complètement
dans la lumière, par laquelle on
gagne des aperçus dans la position
de la force de travail humaine dans
l'organisme social sain. Là doit
être lancé une question, qui
toutefois se donne de la question
marxiste, mais qui d'une manière
encore plus précise, encore plus
intensive doit être lancée : la
force humaine de travail peut-elle
jamais être marchandise ?
Par cela, la question sera encore
aiguillée sur de toutes autres
voies. On demandera dans le
fait : comment pourra être
rémunérée de manière juste de la
force de travail humaine ? Et
on peut à cela donc avoir
l'hypothèse : cela doit déjà
être ainsi que la force de travail
humaine reçoit salaire.
Mais
salaire n'est rien d'autre en
certains rapports que juste l'argent
d'achat pour la marchandise
« force de travail ». Mais
force de travail ne peut jamais être
une marchandise ! Et où dans le
processus économique force de
travail est faite marchandise, ce
processus économique est mensonge.
Car il sera jeté dans la réalité
quelque chose qui jamais ne peut
être une véritable partie
constituante de cette réalité.
L'humaine force de travail ne peut
être marchandise pour la raison
qu'elle ne peut avoir le caractère
que nécessairement chaque
marchandise doit avoir. Dans le processus
économique, chaque marchandise doit
être mutée dans la possibilité
d'être comparée en valeur avec une
autre marchandise. La comparabilité
est la condition de base pour
l'être-marchandise de quelque chose.
Mais force de travail humaine ne
peut jamais être comparée avec un
quelque produit-marchandise en
rapport à la valeur.
Ce
serait en fait simplement terrible
quand aujourd'hui on n'aurait pas
désappris de penser simplement.
Qu'on pense seulement à cela quand
ma foi dans
une famille
dix personnes travaillent ensemble,
chacun sa part de travail, comme on
peut comparer la part de travail
d'un seul de ses dix avec les
prestations, que ces dix produisent.
On n'a pas du tout la possibilité de
comparer la fourniture de
marchandise avec
la force de
travail. La force de travail se
tient sur un tout autre sol du
jugement social que la marchandise.
C'est cela qui peut-être dans les
temps récents n'a pas été clairement
exprimé, mais qui vit dans la
sensation du prolétariat moderne.
Qu'est-ce
qui vit dans les exigences du
prolétariat moderne ? Cela, qui
vit dans les sensations du
prolétariat moderne, cela est de la
critique de fait, c'est la critique
d'histoire du monde, qui simplement
repose dans la vie du prolétaire
moderne et à laquelle sera lancer
vis-à-vis de tout
ce qui des cercles dirigeants
jusqu'à présent a été encouragé vers
le haut comme ordre social. Ce
prolétariat moderne n'est rien
d'autre qu'une critique d'histoire
du monde elle-même. Tout de suite la
connaissance que la force de travail
ne peut jamais être marchandise, la
sensation le doit à la sensation de
base de son être-là, que sera vécu
dans les temps récents en un
puissant...en un mensonge de vie
englobant ; car sera acheté
force de travail, qui d'après son
essence ne pourra jamais être
achetée.
Que
le remède devrait être créer, le
prolétariat en est convaincu comme
cela doit donc être aujourd'hui
évident à chacun raisonnable.
Mais il a été propulsé dedans pas
par lui
dans ce
que les classes dirigeantes jusqu'à
présent ont fait de l'organisme
social. Il a été sorti de tout le
reste et seulement attelé dans le
processus économique. Cela ne
devrait-il pas être éclairant que
maintenant il veuille amener par un
pur assainissement de ce processus
économique, du cycle de la vie
économique lui-même, aussi
l'assainissement de l'organisme
social entier ?
De cela sont nés les idéaux, sous la
forme où ils vivaient
jusqu'à présent comme idéaux du
prolétariat moderne.
Il a
été dit : par cela que le
capitalisme comme capitalisme privé
par l'utilisation privée des moyens
de production a fait la production
moderne une production de
marchandises, par cela le
prolétariat moderne serait venu en
situation de pouvoir l'éprouver
seulement entièrement lui-même. À
lui pourra seulement être répondu
par ce que sera recouvré à ce qui
est la vieille idée originelle de la
coopérative, à cette coopérative qui
dans une certaine mesure part du
produire de l'un pour les autres et
tend à l'autoproduction, dans
laquelle l'un ne peut plus
surexploiter l'autre, de la raison
qu'il serait alors surexploité
lui-même.
Et plus loin a été dit :
comment devrait être fondée cette
grande coopérative ? Là on
devait prendre son refuge justement
au cadre qui s'en est formé au
cours des temps récents :
l'État moderne. On devait faire
l’État moderne lui-même en une
grande coopérative, par laquelle
dans une certaine mesure la
production de marchandise deviendra
transférée en productions pour le
besoin propre.
C'est
tout de suite là où on doit saisir
le point sur lequel
on peut dire : on trouve le
sain tout de suite dans la vie de
l'esprit du prolétariat moderne d'un
côté et on trouve en même temps cela
où cette vie de l'esprit du
prolétariat moderne est capable
d'évolution, où elle peut encore
progresser du niveau où elle a
jusqu'à maintenant avancé à un autre
niveau.
Cela
ne devrait vraiment pas être mal
pris de celui-là qui est d'autre
opinion sur ce domaine quand à
partir de sensations tout aussi
sincères et honnêtes, comme il les
nourrit lui-même, on ne voit pas
encore dans une certaine mesure
l'accomplissement dans l'actuelle
conception du monde prolétarienne,
mais quand on est tout de suite
forcé d'indiquer là dessus que cette
conception du monde prolétarienne
porte en elle les germes à un progrès, mais que
ce progrès devra aussi vraiment être
ambitionné .
Cela
admettra qui considère
ce que déjà – cela fait environ
dix-huit ans – je devais, dans la
maison berlinoise des
syndicats, mettre en avant comme une
particularité, et souvent depuis,
tout de suite du mouvement des
travailleurs moderne et que je dois
encore aujourd'hui tenir pour
absolument juste. Je disais
jadis : pour celui qui embrasse
du regard la vie historique de
l'humanité et de cette vie
historique de l'humanité a pu voir
ressortir le mouvement prolétaire
moderne avec compréhension, avec
compréhension intérieure, pour lui
il est évident que ce mouvement
prolétarien moderne se tient
autrement que tout autre mouvement
d'humanité, qu'il n'y a jamais eu,
au fond sur un sol pour ainsi dire –
qu'on aime le trouver grotesque,
qu'on aime le trouver paradoxal -
orienté scientifiquement.
C'est
profondément, profondément vrai, ce
qu'autrefois d'après cette direction
comme un ton de base, comme une
exigence de base du mouvement de
travailleurs moderne, le déjà
presque oublié Lassalle a affiché
dans son célèbre discours sur
« La science et les
travailleurs ». Seulement, ont
doit encore considérer la chose d'un
autre point de vue, qu'elle sera
considérée habituellement
aujourd'hui : on doit la
considérer du point de vue de la
vie. Là on peut dire : en
rapport sur cela qui est devenu
accessible au prolétariat moderne
par cela que les classe dirigeantes
devaient lui donner quand elles ne
voulaient pas le laisser tomber dans
l'analphabétisme, par cela le
prolétarien moderne a atteint la
possibilité de reprendre, de
reprendre comme un héritage,
ce qui s'est formé
à partir des temps récents, de
reprendre du souci des
cercles dirigeants, ce qui s'est
formé comme conception du monde
scientifique.
Ce dont il s'agit,
c'est cela, mais que maintenant le
prolétaire moderne devrait réagir de
toute autre manière sur cette
conception du monde scientifique que
les autres cercles, même ceux-là qui
avaient immédiatement formé cette
conception du monde. On peut à
l'intérieur des cercles dirigeants
et jusqu'à présent gouvernants être
un humain
très éclairé, un humain, dont de
la plus intérieure
conviction jaillit des résultats,
des résultats de la science moderne,
on peut ma foi être un naturaliste
comme Vogt, un chercheur en science
de la nature comme Büchner,
cependant on se tient autrement
vis-à-vis de la conception du monde
orienté scientifiquement que le
prolétaire moderne.
Celui-là,
qui des cercles dirigeants et leurs
préjugés notamment à partir de leur
pré-sensations et leur
pré-sentiments, se reconnaît
théoriquement à la formation moderne
sur les humains et sur la nature, il
reste donc planté à l'intérieur d'un
ordre social qui se ferme
strictement du prolétariat moderne,
et de ces structures, de toute cette
organisation ne
provient rien de
ce que raconte la science moderne,
mais provient de ce qui avant cette
science moderne a rempli les âmes
humaines (NDT Gemüter) de
représentations religieuses,
juridiques et autres sur la dignité
humaine.
Cela je pouvais une
fois, j'aimerai dire, éprouver dans
l'expérience immédiate.
C'était
à l'instant alors que je me tenais
avec la tout récemment tragiquement
rendue disparue Rosa Luxemburg à
Spandau devant un rassemblement de
travailleurs devant lequel nous
parlèrent tous deux sur les
travailleurs modernes et la science
moderne. Là on devait voir comment
ce que cette
science moderne peut verser dans
l’âme prolétarienne
moderne agit tout autrement sur le
prolétaire que même sur le plus
convaincu de la jusqu'à
présent classe humaine dirigeante,
alors que Rosa Luxemburg fit clair
aux gens : là n'est rien qui
indique sur une origine ressemblant
aux anges des humains, rien, qui
indique sur les hauts points
de départ desquels
la conception du monde bourgeoise
aimerait encore bien raconter ;
là est prétendu de cette conception
bourgeoise elle-même, comme l'humain
comme animal grimpant a une fois
commencé, comme il s'est développé
vers le haut de ces contextes. Qui
réfléchi cela – ainsi parla cette
fois-là la dirigeante ouvrière
convaincue pour sa chose - qui
réfléchi de bout en bout, celui-là
ne peut pas persister dans les
préjugés, qu'ont les actuels cercles
dirigeants, dans les préjugés de
différence de rang, de la
possibilité d'étager ainsi entre les
humains qui tous ont une telle
origine identique, comme on le fait
aujourd'hui à l'intérieur des
cercles dirigeants.
- Cela frappe autrement que chez les
gens des cercles dirigeants. Et cela
complète ce qu’accueillait compréhensif le
prolétariat moderne comme science de
l'économie.
Cela qui a été accueilli
là dans les âmes, cela est capable
d'une évolution ultérieure, et de
cette évolution ultérieure je voudrais
vous raconter aujourd'hui un peu
quelque chose.
Celui-là
qui embrasse du regard tout cela qui
vient tout de suite en considération
pour la question : comment la
force de travail du prolétaire
moderne est venue au sens d'une
marchandise ? - celui-là se
voit forcé de proche en proche de
conduire son observation sur la vie
de l'économie au point où il doit se
dire : tout de suite par ce que
le travailleur moderne est devenu
attelé dans
cette pure vie de l'économie, par
cela la force de travail du
prolétaire moderne est aussi devenue
marchandise à
l'intérieur de la vie de l'économie.
Dans cette direction nous avons
seulement la poursuite de cela qui
dans l'antiquité était la question
des esclaves. Là, l'humain entier
était marchandise. Aujourd'hui l'est
restée de cet humain entier
seulement encore la force de
travail. Mais l'humain entier doit
suivre cette force de travail.
C'est dans les sentiments de l'âme
prolétaire moderne que repose que cela
n'aurait plus le droit d'être ainsi à
l'avenir, que ce serait le dernier
reste de l'ancien temps de la
barbarie, qui doit être surmonté. Mais
surmonter cela ne pourra être pas
autrement que quand maintenant avec la
même claire force de l'esprit, avec
laquelle le prolétariat moderne a
saisi la nature économique et humaine,
aussi saisit avec cela la science de
cet organisme social sain. Et de cette
science, laissez-moi vous dire
quelques mots.
Là
apparaît avant toutes choses
clairement : on doit se
demander : qu'est-ce qui
fait donc alors
marchandise la
force de travail du prolétaire
moderne à l'intérieur du cycle de
vie de l'économie moderne ? Cela le
fait le pouvoir économique de ce qui
est capitaliste (NDT
des Kapitalistischen).
Dans
ce mot du pouvoir de ce qui est
capitaliste repose déjà une
indication sur la réponse saine.
Car : à qui est diamétralement
opposé le pouvoir ? Le pouvoir
est diamétralement opposé au droit.
Mais cela indique là dessus qu'un
assainissement en rapport à la
valorisation de la force de travail
humaine ne peut rentrer dans
l'organisme social seulement alors
quand la force de travail sera
retirée, quand absolument la
question après la force de travail
sera retirée du processus économique
et quand elle deviendra une pure et
limpide question de droit.
Mais
avec ça nous venons à cela au
réfléchir plus large, si alors est
une plus profonde différence entre
question d'économie et question de
droit. Cette différence demeure,
seulement on n'est aujourd'hui pas
encore enclin de prendre
suffisamment profondément ce que
d'un côté doivent
être les forces agissantes en toute
vie de l'économie et de l'autre côté
doivent être les forces agissantes dans la vie
de droit véritable.
Qu'est-ce
qui agit dans le processus
économique ? Dans le processus
économique agit le besoin humain,
agit la possibilité de la
satisfaction ce ce besoin humain par
la production. Les deux sont basés
sur la base naturelle ; le
besoin humain sur la base de nature
de l'humain, la production sur les
bases naturelles climatiques,
géographiques et restantes. Cette
vie de l'économie a sous l'influence
de la division du travail moderne
justement conduit à ce qui est et
doit être l'échange de marchandise
moderne, cet échange de marchandise
là, dans lequel les marchandises se
valorisent mutuellement d'après les
besoins des humains, et d'après leur
valorisation mutuelle – je ne peux
décrire cela dans le détail, cela
durerait trop
longtemps – apparaissent sur le
marché et sur le marché rentrent
dans le cycle du processus
économique.
À
l'intérieur de ce cycle de la vie
économique ne peut en même temps
pas,comme en un cycle fermé, se
développer la vie de droit. La
nature humaine tolère justement aussi peu que
dans l'organisme social à
l'intérieur de la vie économique se
développe elle-même la vie de droit,
qu'elle tolère que dans l'organisme
humain, dans l'organisme humain
naturel est là seulement un seul
système centralisé en soi. Je ne
veux véritablement pas jouer ce soir
avec n'importe quelle comparaison à
partir de la science de la nature,
seulement je crois, que tout de
suite est là un point, où aussi la science de la
nature doit sortir par dessus cela à
quoi aujourd'hui elle est venue.
J'ai indiqué dans mon dernier livre
« Des énigmes de
l'âme » sur ce dont il
s'agit, ce qu'aujourd'hui la science
de la nature n'a pas reconnut
convenablement : que dans
l'organisme humain sain sont
disponibles trois systèmes, qu'est
disponible le système
neurosensoriel, comme porteur de la
vie de l'âme est là, le système
respiratoire et cardiaque comme
porteur de la vie rythmique, le
système des échanges de matière
comme porteur du métabolisme, et que
le tout fait l'organisme humain. Mais chaque système est
centralisé pour soi ; chacun a
sa propre sortie vers la vie
extérieure.
Dans cet organisme humain sera
appeler ordre et harmonie par cela
que ces trois systèmes n'agissent
pas grossièrement les uns à travers
les autres, mais les uns à côté des
autres et par cela tout de suite
peut fluer correctement la force de
l'un dedans l'autre.
Ainsi
doit dans l'organisme social sain
pénétrer une telle triarticulation.
On doit reconnaître que, quand
l'humain s'active dans l'organisme
économique, il doit alors purement
faire l'économie à l'intérieur de ce
processus économique. Alors il
s'agit seulement de ce que
l'administration, la législation de
ce processus économique partent de
cela d'amener en chemin la
valorisation mutuelle de la
marchandise dans la réalité
économique, d'engager de la manière
appropriée la circulation des
marchandises, d'engager la
production des marchandises,
d'engager la consommation des
marchandises. Mais de ce pur
processus économique devra être
sorti tout ce qui maintenant ne se
rapporte pas à la satisfaction d'un
humain par l'autre, mais qui se
rapporte au rapport
d'un de chaque humain à chaque autre
humain. Cela dans quoi tous les
humains doivent être égaux, est
quelque chose de radicalement
différent de ce qui peut se
développer seul dans la vie de
l'économie. De cela est nécessaire
pour la guérison de l'organisme
social que sera ressorti la vie de
droit, la véritable vie de droit, de
la pure vie de l'économie. Le temps
récent à justement tout de suite
aspiré à
cette évolution.
Les
classes dirigeantes jusqu'à présent
– qu'ont-elles fait ? Sur ces
domaines sur lesquels il leur était
confortable, sur lesquels cela leur
semblait correct pour leurs
intérêts, là elles ont
mis à exécution plus loin la vieille
fusion, qui donc déjà certainement
existait sur beaucoup de domaines
entre vie économique et vie d'état
politique. Et ainsi, nous voyons que
dans ces temps récents, tout de
suite sous l'influence des cercles
dirigeants de l'humanité, remonte
l'étatisation ainsi nommée (NDT ou
nationalisation) pour certaines
branches économiques. Système de
poste et télégraphe et semblable ont
donc été trouvés comme
reposant dans le progrès moderne et
réclamé par ce progrès moderne.
Dans
une direction tout de suite opposée
doit penser celui qui ne voit pas
seulement sur les intérêts de
cercles dirigeants jusqu'à présent,
mais qui demande : quelles sont
les bases d'un organisme social
sain ? - Celui-là doit
ambitionner que toujours plus et
plus sera détaché de la pure vie de
l'économie de la vie du véritable
État politique,
lequel État qui
a à se soucier pour droit et pour
ordre ; mais qui a à se soucier
avant toutes choses pour cela qu'à
partir de ce domaine fluent dans la
vie de l'économie la vie de droit
correspondante. Celui-là ne
différencie pas correctement dans la
vie humaine qui n'a pas d'yeux, pas
d'yeux spirituels pour cela comme
radicalement différents sont vie de
l'économie et la vie du véritable
État politique.
Regardons une fois les choses, comme
elles se sont développées aujourd'hui.
Certains humains parlent à partir du
contexte social actuel ainsi ils
disent, à l'intérieur de ce contexte
social nous avons comme premier :
Échange
de marchandises
contre marchandise. - bien cela doit
être une vie de l'économie. De cela
a justement été parlé. Alors, nous
avons comme deuxième, disent-ils et
ils le voient comme justifié :
échange de marchandises,
respectivement le représentant de
marchandise, l'argent, contre force
de travail. Et comme
troisième : échange de
marchandises contre droits.
Qu'est-ce
qui est le dernier ? Sur le
deuxième j'ai donc déjà parlé
aujourd'hui. Maintenant nous avons
seulement besoin de regarder sur le
rapport de possession du foncier
dans l'ordre économique moderne, et
il nous deviendra aussitôt clair ce
qui devrait être clair sur ce
domaine pour l'avenir. Comme sinon
on aimerai penser aussi sur le
rapport de possession en rapport à
fond et sol – tout autre n'a en fait
pas de signification pour le
déroulement réel dans l'organisme
social dans l'organisme social ; une
signification a véritablement cela
que le possesseur de fond et sol a
le droit d'utiliser seul un morceau
de fond et sol et à cette
utilisation faire valoir son propre
intérêt.
Cela
n'a pas le moins du monde à faire en son origine
avec le processus de l'économie en
tant que telle. Avec le processus de
l'économie a uniquement et seulement
– contre cela peut objecter quelque
chose seulement une économie
nationale inversée (NDT
ou tout simplement mauvaise)
– à faire ce qui
sera produit sur fond et sol comme
marchandise ou avec valeur de
marchandise. Utilisation de fond et
sol repose sur un droit.
Ce droit se transforme
toutefois à l’intérieur de l’ordre
économique capitalistique moderne,
notamment par la collusion du
capitalisme avec les rentes
foncières, à nouveau en un pouvoir.
Et ainsi, nous avons d’un côté le
pouvoir, lequel exclu de tels
droits, de l’autre côté ce pouvoir
économique, qui peut forcer la force
de travail humaine, a devenir
marchandise.
À partir des deux côtés, ne sera pas
réalisé autre chose qu’un mensonge de
vie, si n’est pas ambitionnée
– est ambitionné à partir d’une
véritable raison sociale –
l’articulation de l’organisme social
en un organisme économique et en un
organisme de l’État politique dans le
sens strict.
L’organisme économique devra être
fondé sur base associative, à partir
des besoins de la consommation dans
leurs rapports à la production. Des
différents intérêts, des divers
cercles de métiers, les diverses
coopératives devront – on pourrait les
nommer avec un vieux mot aussi
confréries de l’humanité - être
développées, dans lesquelles seront
administrés les besoins et leur
satisfaction.
Ce qui, à l’intérieur de cette base
associative, prend forme, cela aura
toujours à faire avec la satisfaction
d’un cercle d’humains par un autre
cercle.
Sur ce domaine devront être, donnant
la mesure, la valorisation avertie
premièrement des bases naturelles,
mais alors aussi la formation avertie
de la production, de la circulation et
de la consommation de marchandises. Là
devra être valable le besoin humain,
l’intérêt humain.
À
celui-là se tiendra en vis-à-vis
toujours comme quelque chose de
radicalement différent, ce que
dans quoi humain et
humain se tiennent face à face comme
essentiellement égaux, où ils
doivent être égaux, où l’on dit déjà
aujourd’hui avec un mot devenu bien
trivial : où ils doivent être égaux
devant cette loi, qu’ils se donnent
eux-mêmes en tant qu’humains égaux.
Sur
base associative devra reposer le
cycle des processus économiques ;
sur pure base démocratique ; sur le
principe de l’égalité de tous les
humains, dans leur rapport les uns
aux autres, devra reposer au sens
strict la véritable organisation
politique. De cette organisation
politique surgira quelque chose de
tout autre que le pouvoir
économique, lequel fait marchandise
la force de travail. De cette vie
politique séparée de la vie
économique surgira le vrai droit du
travail, où unique et seul d’après
ce que, sur force de travail, peut
être négocié, entre humain et
humain, pourra être fixé mesure et
travail et autre sur la force de
travail.
Comme
on aimerait aussi croire que les
choses dans les temps récents
seraient déjà devenues quelque peu
meilleures : ce dont il s'agit
fondamentalement n'est pas devenu
meilleur. Par la manière dont se
tient la force de travail du
prolétaire dans le processus
économique, le prix de
la force de travail faite
marchandise dépendra des prix des
autres produits de l'économie, du
prix des marchandises. Cela chacun
le voit qui regarde plus
profondément dans le processus
économique. La chose deviendra autre
quand indépendamment des lois de la
vie économique et son
administration, à partir de l’État
politique, à partir
de la pure administration et du pur
législatif de l’État politique
existera un droit du travail.
Qu'est-ce qui se présentera
alors ?
Alors,
se présentera que ce que l'humain
fournit par sa force de travail à
l'organisme social, se tient en un
rapport tout autant vivant,
déterminé par soi comme aujourd'hui
les bases de la nature. On peut
à l’intérieur de certaines limites
déplacer quelque peu la
fertilisation technique du sol et
semblable, déplacer quelque peu les
fortes frontières de conditions
naturelles ; seules ces conditions
naturelles déterminent cependant la
vie économique dans une mesure
abondante de par un côté. Tout comme
de ce côté la vie économique sera
déterminée du dehors, ainsi doit
être déterminée la vie économique
par l’autre côté, en ce qu’elle ne
fait plus dépendre la force de
travail d’elle, mais qu’à partir de
soubassement purement humain une
certaine force de travail sera
offerte à la vie économique.
Alors, le travail fera le prix de la
marchandise, alors certainement plus
la marchandise le prix du travail !
Alors, peut tout au plus apparaître,
que si de quelques raisons la force de
travail ne peut être suffisamment
fournie que la vie économique
s’appauvrit. Mais à cela doit être
remédié parce que sur sol juridique
sera cherché remède, et non de la pure
vie économique.
À la
base repose dans la vie économique
seulement ce qui appelle après offre et demande.
Avec le droit du travail, qui est
placé sur la base de l’État
politique autonome, devront être
placés sur les mêmes bases aussi
tous les droits nécessaires
restants. Bref, on devra – je ne
peux qu’évoquer cela à cause du peu
de temps – nécessairement voir
directement dans le décorticage l’un
de l’autre des deux domaines : la
vie juridique et la vie économique,
l’idéal d’un organisme social sain
dans l’avenir.
Et comme troisième doit s'articuler à
cette vie de l'économie autonome, à
cette vie de droit autonome ce qu'on
peut nommer la vie spirituelle de
l'humanité.
Là dedans on
butera le plus souvent sur de
l'opposition en ce qu'on parle de
cette vraie poursuite de la
conception du monde prolétarienne.
Car dans les
habitudes de penser humaines sur ce
domaine est arrivée, encore plus que
dans d'autres, l'opinion que
seulement de la
succion de l'ensemble de la vie
spirituelle par l’État pourrait dépendre le
salut de l'humanité, et on ne devine
pas encore comment la
dépendance de l’État dans
laquelle la vie spirituelle est
venue tout de suite dans le temps
récent, de quoi est ressorti
ce qu'on peut nommer l'intérêt des
cercles jusqu'à présent dirigeants à
l’État, qui justement à si bien
satisfait ces cercles dirigeants.
Ces cercles dirigeants, ils ont
trouvé leurs intérêts satisfaits
dans cet État ;
ils ont toujours plus et plus laissé
sucer par
cet État ce
qu'ils nomment vie spirituelle.
Comme l’État politique
est contraint par des lois fiscales
contraignantes, de procurer ce qui
peut fonder l'égalité de tous les
humains devant la loi, et comme
l’État est
contraint, par ces impôts forcés de
satisfaire ses besoins, ainsi la vie
spirituelle devra vraiment devenir
émancipée des deux autres domaines
de l'organisme social.
Tout
de suite ce qu'on a ambitionné sur
ce domaine : la liaison de la
vie de l'esprit avec la vie de
l'état et de l'économie, c'est cela
qui a devié au
malheur des temps récents. Car cela
qui devrait vivre dans le spirituel,
cela peut seulement se développer
quand cela peut se développer dans
la lumière de la vraie liberté. Tout
cela qui ne peut se développer dans
la lumière de la vraie liberté, cela
étiole et paralyse la véritable vie
de l'esprit et l'amène en dehors de
cela sur des détours qu'on peut
malheureusement que trop bien
remarquer. Mais ce qui est
nécessaire sur ce domaine : de
déceler quel rapport intérieur
existe entre la vie de l'esprit dans
le sens étroit et la vie religieuse,
la vie scientifique, la vie
artistique, la vie en une certaine
moralité, quel rapport est entre
cette vie et tout cela qui
absolument provient des facultés et
habiletés humaines individuelles.
De
cela doit maintenant, où sur ces
choses sera parlé ici au sens
sérieux, sera parler au sens sérieux
d'un organisme social sain, sera
parlé ainsi que sous la vie
spirituelle sera compté tout ce qui
absolument a à faire avec le
déploiement, de développement des
facultés individuelles, tout cela
qui a à faire avec cela à commencer
du système scolaire jusqu'en haut au
système universitaire, jusque dedans
dans l'artistique, jusque dans la
vie morale, oui, jusque sur ces
branches de l'esprit, qui font les
bases du pratique, aussi de la vie
de l'économie. Sur tous ses domaines
devra être ambitionnée une
émancipation de la vie spirituelle.
Ainsi que cette vie spirituelle
pourra être placée dans la libre
initiative de celui qui a les
facultés individuelles de l'humain,
et que cette libre vie de l'esprit
peut seulement être là alors de
manière correspondante dans
l'organisme social sain quand elle
repose aussi en sa
validité sur la libre
reconnaissance, sur la juste
compréhension de ceux qui ont besoin
de l'accepter. Cela
signifie, la vie de l'esprit n'a
plus le droit à l'avenir d'être
administrée n'importe comment à
partir de la somme de ce qu'on a
dans la poche ou dans le
coffre-fort, ou de la bureaucratie
de l'état.
Ce
n'est pas seulement
par ce que cette
vie de l'esprit a été administrée
par l’État, qu'elle a
pris un certain caractère en rapport
aux personnalités qui
l'administrent, mais cette vie
spirituelle, comme nous l'avons
aujourd'hui, comme avec droit le
prolétaire moderne l'éprouve comme
idéologie, cette vie spirituelle,
elle est donc devenue un reflet de
ce qui en intérêt, en besoins des
cercles dirigeants, gouvernants
pour et par l’État
moderne, ils se
sont formés eux-mêmes d'après leur
propre commodité, s'est formée
d'après ce besoin.
Est-ce correct qu'aux dernières
raisons toute vie spirituelle
soit dans une certaine mesure
seulement un reflet, seulement une
superstructure de la vie économique
ou étatique ? La vie
spirituelle moderne des cercles
dirigeants est seulement une telle
superstructure. Certainement,
chimie, mathématique,
n'accueilleront pas facilement leur
contenu d'après le caractère, qui se
montre des intérêts des cercles
dirigeants.
Seul déjà l'étendue dans laquelle
elles seront
exercées, mais notamment la lumière
qui des autres branches de la vie de
l'esprit tombe sur elles, cela est
déterminé par le fait qu'avec les
intérêts des
cercles dirigeants, jusqu'à présent
gouvernants des
humains, les intérêts de la vie
d’État moderne
et avec cela les intérêts de la vie de l'esprit
moderne ont poussés
ensemble dans l’État.
Oui,
cette vie de l'esprit moderne, elle
est tout de suite sur les domaines
importants, là, où cela devrait
intervenir dans des âmes humaines,
quand elle devrait se déterminer sa
place dans l'ordre social devenu une
balle de jeu de la vie de l'économie
et de la vie politique. On peut le
voir à la façon dont jusque
dedans cette terrible catastrophe
guerrière, ces porteurs là de la vie
spirituelle, qui étaient liés avec
l’État moderne
sur les détours du capitalisme, ont
provoqué au fond
tout de suite ce qui a pu être placé
au service de l'état moderne des
plus importants
domaines de
l'esprit.
On
pourrait trouver là les preuves non
cent fois, mais des milliers et des
milliers de fois.Vous avez seulement
besoin de penser à une chose : prenez les
professeurs allemands d'histoire,
les porteurs de la science
historique. Tentez de vous faire une
image de tout ce qu'ils ont produit
en rapport
avec l'histoire
des Hohenzollern, et demandez-vous,
si maintenant après cet événement
d'histoire mondiale
l'histoire des Hohenzollern aura
justement l'air qu'elle a eu auparavant ?
A cela on peut voir comme la vie
spirituelle est devenue un pur jeu par les
rapports à cela
de quoi elle n'a justement pas été
libre.
La
vie de l'esprit doit être libre des
deux autres domaines. Mais alors, la
vie de l'esprit peut accueillir dans
sa propre légalité et administration
– aussi étrange que cela sonne et
aussi surprenant que ce sera pour
maints, cela doit être dit -, ce qui
aujourd'hui unique et seul peut
provenir des préjugés
capitalistes : alors la vie de
l'esprit peut vraiment devenir celui
qui surmonte
(NDT pour der Überwinder) de purs
intérêts économiques prolétariens.
Car la vie spirituelle en est une
unitaire. La vie spirituelle va des
plus hautes branches de la vie de
l'esprit jusqu'en bas dans chaque
ramification, qui apparaissent par
ce que n'importe qui à partir de ses
facultés individuelles a à diriger
une quelque entreprise. Ainsi qu'il
la dirigeait aujourd'hui, ainsi il
la dirigeait de la vie de l'économie
sous l'action du pouvoir, hors du
pouvoir économique.
Ainsi qu'il a à la diriger dans
l'organisme social sain, ainsi c'est
à partir de la vie de l'esprit. La
vie de l'esprit a dans l'organisme
social sain sa propre législation et
administration en rapport aux plus
hautes branches de cette vie
spirituelle, mais aussi en rapport
sur tout ce qui agira
spirituellement alors tout de suite
dedans le processus économique,
quand la vie de l'esprit en tant que
telle est autonome.
Alors
surviendra dans ce processus
économique de la manière correcte
l'influence de la vie de l'esprit
autonome, émancipée. Alors sera, ce
qui justement par le capital sera
fournit, ne pourra plus être fourni
dans le sens du
capitalisme moderne. Alors ce pourra
être fourni seul d'après les
impulsions que la vie de l'esprit
donne elle-même.
Seulement, on doit se faire une
correcte représentation de ces
impulsions. À quoi ressemblera en fait
une entreprise sous ces
impulsions ?
Qui
connaît la vie de l'esprit dans ses
fondements – je sais cela très bien
-, celui-là ne me contredira pas
quand je donne la description
suivante d'une entreprise, qui
reçoit ses impulsions non du pouvoir
économique, mais du pouvoir de la
vie de l'esprit : là par la
libre compréhension de ceux qui
collaborent avec lui sera placé
celui-là dans la situation
d'entreprendre , à partir d'un fond
de capital, ce qui maintenant ne
sera pas entrepris à son usage, mais
à cause de la compréhension sociale,
qu'il se sera appropriée dans la
correcte vie de l'esprit.
Alors en une telle entreprise,
celui-là qui par la libre
compréhension de ses collaborateurs
jusqu'au dernier travailleur en bas
est placé à son poste par la libre
compréhension, fera alors face,
parce qu'un rapport de libre
compréhension se présentera entre ce
dirigeant d'une entreprise et ceux
qui travaillent, s'en formera
tout nécessairement
ce qui fait là qu'à côté des heures
de travail sera introduit à
l'intérieur de chacune des entreprises et à l'intérieur de la
coopérative d'entreprise, la
possibilité d'une libre expression
sur toute la façon dont se tient le processus
économique dans l'organisme social
d'ensemble.
Alors sous l'influence d'une telle
vie de l'esprit celui qui se tiendra
où aujourd'hui se tient
l'entrepreneur capitaliste, aura à
se dévoiler en rapport à tout cela
que sa marchandise place dans le
processus de société d'ensemble de
l'humanité.
Alors, chaque individu reconnaîtra
quel chemin prend le produit auquel
il verse son travail, le produit du
travailleur manuel et celui-là qui a
à diriger ce travail manuel par ses
facultés individuelles
particulières.
Mais alors
pourra seul aussi se présenter ce
que qui donne au travailleur la
possibilité de conclure un véritable
contrat de travail. Car un véritable
contrat de travail ne peut pas être
conclu quand il sera conclu sur la
base de la condition préalable que
la force de travail est marchandise.
Un vrai contrat de travail n'a pas du
tout le droit d'être construit sur
cette base ; mais uniquement et
seulement un véritable contrat de
travail peut seulement être
construit sur la base que le
travail, qui est nécessaire pour la
fabrication d'un produit, sera
fournit sur la base du droit, mais
qu’en rapport à l'économique la
collaboration requise entre
travailleur manuel et spirituel
apparaisse, qu'en rapport sur
l'économique chaque processus de
division entre le travaillant
manuellement et spirituellement doit
avoir lieu, qui seul peut provenir
de la libre reconnaissance aussi du
travailleur manuel, parce que ce
travaillant manuellement saura alors
de la vie en commun spirituelle avec
le dirigeant, en quel degré son
travail par ce que la direction est
là, s'amène à son propre avantage
dans l'organisme social.
Seulement en une telle collaboration
s'arrête la possibilité que les
entreprises qui doivent être
construites sur des bases de capital,
seront construites sur l'avantage, sur
l'avantage égoïste.
Alors seul quand en cette manière
s'assainit l'organisme social, alors
seul l'actuel intérêt au profit peut
être remplacé par le pur intérêt à la
chose. Et se hissera en une grande
étendue comme cela était le cas en des
temps anciens, à nouveau le rapport
entre l'humain et son travail.
Regardons-nous
aujourd'hui ce rapport entre
l'humain et son travail. Là est d'un
côté l'entrepreneur qui là fournit
ce qu'il considère aussi comme
travail, mais il s'éclipse aussi
vite que possible de ce travail. Il
exprime même cela par ce que, quand
il s'est extirpé de son travail, il
décrit la parole sur ce travail
comme « discussion entre gens
de métier ». Il s'éclipse et il
cherche par toute sorte d'autres
choses alors à venir à cela
qu'il ambitionne comme humain. Tout
de suite par un tel rapport de
l'humain à son travail s'exprime
comme peu l'humain est soudé avec
son travail.
Mais
cela est un rapport malsain. Cela
est un rapport malsain lequel devait
tirer l'autre à soi, que en ce que
le prolétariat moderne est arraché
du sol du vieil artisanat où
l'humain était soudé avec son
travail, a tiré son honneur,
sa dignité humaine de son métier et
où il a été placé à la machine, a
été attelé dans la fabrique ;
là sera fabriqué en lui chaque
malsain qu'il ne peut gagner aucun
rapport à son travail.
Mais
celui-là, qui connaît la vie de
l'esprit dans sa base véritable,
celui-là sait qu'un tel rapport
malsain entre l'humain et son
travail peut aussi seulement
apparaître justement sous des
conditions préalables malsaines. Il
n'y a pas dans une
vie de l'esprit saine, qui est libre
du politique et libre de la vie de
l'économie et n'agit sur celle-là
qu'en retour, il n'y a pas à
l'intérieur d'une telle vie de
l'esprit, qui n'est pas
immédiatement intéressant, et qui,
quand cela sera seulement manié
correctement, attache l'humain à son
travail, parce qu'il sait :
cela qu'il travaille sera un membre
dans le cycle de l'organisme social.
Cela n'est pas quelque chose, qui a
seulement le droit d'être jugé ainsi
que ce ne pourrait être autrement,
que l'humain devrait aussi faire de
l'inintéressant. Non, cela doit être
jugé ainsi que tout de suite cette
base de la vie de l'esprit sera
recherchée, laquelle peut unique et
seule provoquer intérêt, rapport
de l'humain avec
son travail et intérêt pour ce
travail sur tous les domaines, à
chaque travail.
Là se
montrera que quand la vie de
l'esprit libre émancipée s'occupe à
partir d'impulsions spirituelles en
ses administrateurs jusque
dedans les ramifications
particulières de la vie étatique et
économique, qu'alors seul peut
apparaître ce
qui devient un véritable, factuel
intérêt à tout et ne fonde
pas un pur commercial, pas un pur
rapport économique et d'avantages.
Toutefois à une
telle vie de l'esprit devra être
créée une base. Cette base peut
seulement être créée quand tout
système scolaire sera placé dans
l'administration de la vie
spirituelle elle-même, quand le
professeur le plus en bas n'a plus à
demander : que réclame l'État
politique de moi ? -, mais
quand il a à regarder en haut à
ceux-là en qui il a confiance, quand
il regarde vers cela administrant
le domaine de l'organisme social
d'après la vie de l'esprit d'après
ses propres principes.
Ainsi
agit en beaucoup de rapports cela
dont je crois que cela se donne
conformément à la nature. Tout de
suite d'une vraie poursuite de la
conception du monde prolétarienne
cela agit contre les habitudes de
penser. Alors pendant qu'on l'a
repris comme héritage tout de suite
de la science bourgeoise : de
fondre l'un avec l'autre vie de
l'esprit, état, vie de l'économie,
il s'agit de cela que pour la
guérison de l'organisme social doit
être ambitionnée l'autonomisation
des trois domaines mentionnés.
Seulement par cela que dans une
certaine mesure chacun de ces
domaines – quand je peux maintenant
me servir d'expression praticable –
a son propre parlement et sa propre
administration, qui se tiennent les
uns aux autres comme états
souverains, commercent seulement par
délégation les uns avec les autres,
n'échange que
leurs besoins communs, alors seul
peut guérir l'organisme social. Et
la question est aujourd'hui la
question de fond, qui provient de
tous les faits : comment
l'organisme social peut-il
guérir ? Cela est à saisir avec
les mains : il est malade, cet
organisme social !
Ceux-là
qui à partir de leur conscience de
classe devraient établir l'exigence
justifiée que cet organisme social
s'assainisse, ils ont tout de suite
besoin de poursuivre la conception
du monde prolétarienne sur ses
germes fructueux et la former plus
loin de manière correspondante.
J'admets
que tout d'abord maint peut parler
contre cela, qu'il regarde
aujourd'hui comme le correct, quand
sera dit : la direction doit
être prise vers cette
triarticulation sociale, cette
triarticulation de l'organisme
social. - Mais autant cela contredit
les habitudes de pensée de maints
dans le présent, la réalité n'a pas
le droit de s'orienter d'après nos
commodités, pas d'après cela que
croient ceux qui se sont jusqu'à
présent tenu pour praticiens de la
vie.
La réalité doit s'orienter d'après
ce qu'on a reconnu pour le correct
d'un sens de vérité sain, honnête.
Ce que j’ai
expliqué ne se rapporte pas à un
quelque nid
de coucou dans
les nuages. Oh, les temps sont là,
où maint, qui se formait ses
habitudes de pensée parce qu’il ne
pouvait que considérer le simple et
qui se tenait pour un praticien de
la vie, devra admettre, que les
idéalistes mal vus, si mal vus, qui
pensent à partir de nécessités
d’évolution de l’humanité sont les
véritables praticiens de la vie. Ce
que je vous ai mentionné n’est pas
un nid de coucou dans les nuages ;
c’est déduit tout de suite de ce que
sont les besoins de vie quotidiens
de l’humanité.
Je ne peux
naturellement pas m’embarquer sur
tous les domaines particuliers, je
veux pour finir traiter d’un seul
domaine, un domaine, auquel, si je
peux seulement le traiter
rapidement, montrera, comment ce que
j’ai fait dériver apparemment des
concepts originels de la vie
sociale, intervient dans le pire du
pire. Qu'est-ce qui est le pire du
pire dans la vie ? Le pire du pire
est que nous devons avoir dans notre
poche quelque chose que nous nommons
argent. Mais vous savez aussi, ce
qui pend à cet argent. Vous savez,
comment cet argent intervient dans
la vie. Quand on regarde le
développement de l’organisme social
sain : à quel membre revient
l’administration de l’argent ? Cette
administration de l’argent, l’État
l’a effectuée jusqu’à présent à
partir de certaines forces
d’évolution qui sont très vieilles.
Mais l’argent est justement ainsi
vraie marchandise
dans un organisme social sain que la
force de travail n’est pas une
marchandise. Et tout le malsain qui
intervient du côté de l’argent dans
l’organisme social, réside
là-dedans, que l’argent voit
travesti son caractère de
marchandise, qu’il repose
aujourd’hui davantage par le
tamponnement d’une quelque marque
par l’État politique, que ce sur
quoi il doit reposer, sur quoi donc
encore, parce ce que ça ne va pas là
autrement dans les échanges
internationaux : sur sa valeur de
marchandise. Les
économistes nationaux ont
aujourd’hui une querelle bien
curieuse, qui agit vraiment
bizarrement sur les raisonnables.
Ils demandent si l’argent est une
marchandise, seulement une
marchandise appréciée, pour laquelle
on peut toujours échanger d’autres
marchandises, pendant qu’autrement,
quand par exemple, on a le malheur,
de fabriquer seulement des tables et
des chaises et devoir attendre si
l’un donne pour cela des légumes, on
peut, en ce qu’on échange d’abord
des tables et des chaises pour de
l’argent, recevoir des choses pour
la marchandise argent, qui nous sont
tout de suite correctes, pour
lesquelles on a justement un besoin.
Pendant que les uns disent : cet
argent est une marchandise ou au
moins le représentant de la
marchandise, doit être là pour ça,
aussi si c’est de l’argent-papier,
la contrevaleur correspondante en
marchandise, les autres disent :
l’argent est absolument seulement ce
qui se constitue, en ce que l’État
tamponne une certaine marque par une
loi. Et maintenant ils recherchent,
ces savants économistes nationaux :
qu'est-ce qui est le correct
? L’argent est-il
marchandise, ou quelque chose, qui
se constitue par un simple
tamponnage ? Est-ce un simple ordre
de virement sur la marchandise
?
La réponse à cette question est
simplement celle-là : l’argent n’est
pas l’un ou l’autre, mais les deux
aujourd’hui. L’un il l’est par ce que
l’État tamponne justement certaines
marques ; l’autre est que dans les
échanges internationaux ou dans
certaines conditions aussi dans des
échanges nationaux, l’argent ne peut
circuler avec les marchandises que
seulement comme marchandise.
L’organisme social
sain dévêtira l’argent de chaque
caractère de droit ; il l’attribuera
à cette administration et
législation, qui administre par son
processus propre, naturel, aussi la
mise en place de l’argent,
l’évaluation de la monnaie à
l’intérieur du cycle économique, ce
même parlement, cette même
administration de l’organisme
économique restant.
Tout d'abord
alors si quelque
chose comme cela s’introduit, sera
placé sur une base saine ce qui doit
être exigé par le prolétariat
moderne. Ce rapport étrange, qui
réside là entre le salaire du
travail et la nature de la
marchandise, ce rapport, il repose
toutefois en fait sur un mensonge de
vie. Pendant que d’un côté le
travailleur, quand il l’obtient la
satisfaction de son exigence après
un salaire plus élevé, croit
atteindre alors des conditions de
vie plus saines, de l’autre côté
aussi longtemps que le cycle de
l’économie ne sera pas émancipé du
cycle de droit
de l’État politique, le prix des
marchandises grimpera toujours.
Ces choses pourront seulement être
placées sur une base saine, si cette
triarticulation survient.
On
devra tout autant, quand on
reconnaîtra la nécessaire autonomie
de la vie de l'esprit, reconnaître
qu'aucune nécessité subsiste
d'appeler en avant les entreprises
capitalistes en tant que telles,
mais l'art et la manière, comme au
cours des temps récents le capital a
été administré, comme cela a été
utilisé par cela que cela se tient seul dans le
processus économique, c'est cela qui
a amené le capital dans son
efficacité aux dommages avec
lesquels tant de misère est
attachée.
On devra
reconnaître : aussi longtemps
que le contrat de travail ne se
rapporte pas sur le partage de ce
que produit ensemble le travailleur
manuel avec le travailleur
spirituel, mais aussi longtemps que
le contrat de travail se rapporte à
la rémunération du travail, aussi
longtemps il est impossible que cela
soit posé sur une base saine.
Unique
et seul par cela qu'à la vie de
l'esprit sera donné sa seine
réalité, sera découvert en chaque
cas, en ce que c'est nécessaire dans
le rapport entre travailleurs et
conducteur spirituel, que là, où le
travailleur est exploité, qu'il ne
soit pas purement escroqué par
l'économie, mais par la escroqué que
celui-là, qui est l'entrepreneur,
valorise ses particularités
individuelles, ses particularités
spirituelles en une non correcte
manière, en une manière non de
droit, en une manière non digne de
l'humain.
Le travailleur ne sera pas exploité
par la vie de l'économie, le
travailleur sera exploité par chaque
mensonge de vie, qui apparaît par
cela que dans l'actuel organisme de
société les facultés individuelles
pourront être tout de suite
utilisées à l'exploitation du
travailleur parce qu'elles ne
peuvent être regardée des deux côtés
à l'intérieur du processus
économique ; à l'intérieur de
la vie de l'esprit saine, elles
seront vues et contrôlées des deux
côtés.
Comme
dit, je peux bien le reconnaître,
que ce que j'ai donné ici tout de
suite pour la guérison de
l'organisme social, aujourd'hui
aussi encore peut répugner à maintes
âmes de prolétaires (NDT
Proletariergemüte).
Je peux le
reconnaître. J'ai depuis des années
parlé sur ces choses parmi des
travailleurs, avec des travailleurs.
Je n'ai pas seulement administré des
branches particulières à l'intérieur
de l'école de formation des
travailleurs, j'ai fait des
exercices de prise de parole avec
les travailleurs. Dans les exercices
qui ont été faits pour
l’entraînement à la parole, maint a
aussi été formulé du côté des
travailleurs en cette communauté,
qui si correctement montrait quelle
coloration particulière, quelle
façon particulière ont les exigences du
prolétariat moderne. Là on reçoit
déjà la faculté, pas seulement
ainsi, comme les membres des actuels
cercles dirigeants ou des jusqu'à
présent cercles dirigeants le font,
pensent seulement sur le prolétariat
– non, on atteint la faculté de
penser avec le prolétaire. C'est
cela que je voulais vous dire
aujourd'hui : penser avec le
prolétaire, pas seulement penser sur
lui !
Pensé
d'après mon
vouloir, c'est ainsi – j'aimerai
cela, que vous avez compris cela -,
que peut-être avec rapport au
contenu des opinions ici ou là qui
pourrait diverger les unes des
autres, mais que tout d'abord dans
l'actuel instant d'histoire du monde
il ne s'agit pas, si on diverge en
l'une ou l'autre
opinion, mais si on s'accorde
ensemble en cette exigence sincère
qui doit être l'exigence du
prolétariat moderne.
Seul par cela qu'on consent à ce
consensus, au consensus dans le
vouloir sincère, unique et seul par
cela pourront être trouvé
les germes, qui
reposent dans la conception du monde
prolétarienne pour formation
ultérieure. Car le moment est passé
où pourra
purement être discuté ; le moment est passé,
où des gens qui veulent seulement
servir leur intérêt ont le droit de
parler d'entente.
Le moment est venu où les exigences
de décennies durant provenant
purement des lames de fond du
prolétariat moderne pénètrent
sur le plan
d'histoire du monde, où elles
deviennent vraiment
les événements
les plus importants, les plus
chargés de
signification des temps récents.
Ce
qui s'est formé du chaos de la
guerre économique moderne, de la
guerre mondiale moderne, ce qui
longtemps,oui qui peut-être remplira
l'avenir, cela sera la question
sociale. Pas une irréelle, pas une
solution théorique ou la tentative
d'une telle je voulais aujourd'hui
vous présenter ; sur cela je
voulais rendre attentif, que
maintenant une fois le temps est
commencé, où la question sociale est
là, où les humains en leur agir
ensemble social
devront être ainsi articulés en
organes d’État, d'économie et
spirituels, que de cette saine
articulation peut provenir une
solution durable de la question
sociale.
Cette
question sociale ne sera pas résolue
d'aujourd'hui sur demain, après
qu'elle soit une fois là, mais parce
qu'elle sera toujours là comme la
vie produit ses conflits toujours à
nouveau, ainsi devra aussi être là
chaque articulation de l'humanité,
laquelle aspire après la solution
des conflits montants de manière
sincère dans la vie sociale. Si on
veut tenter, en de larges cercles de
devenir attentif là dessus que dans
une telle progression de la
conception du monde prolétarienne
repose la guérison dans le futur, de
cela ça dépendra, où le point de
départ du mouvement prolétarien
moderne conduira.
Et il doit en fait conduire là, de
toutes les exigences justifiées à
partir de la question des salaires,
de la question de pain de se
redresser à ce bouleversement
puissant d'histoire du monde, qui à
partir de la conscience du
travailleur moderne devra passer
dans la conscience générale
d'humanité, qui de la dignité, de la
dignité à la mesure du sentiment du
prolétaire moderne sera fondée la
vraie dignité
humaine pour tous les humains, que
les autres jusqu'à présent ne purent
fonder.
***
Dans discussion se rapportant
s'exprimèrent plusieurs orateurs. La
conclusion fut formée par les paroles
de clôture de Rudolf Steiner
suivantes :
Rudolf
Steiner : Oui, je dois
tout d'abord une fois en rapport au
cher premier orateur faire quelque
peu une remarque de principe. On est
très souvent, quand on parle, dans
la situation de devoir dire qu'en
fait on ne comprend pas
correctement, pourquoi des choses,
comme elles ont été dites par le
premier orateur, devraient juste
être dite dans la forme comme si
cela devait être
une réfutation de cela qu'on a
soi-même dit. Le premier orateur a
ainsi parlé comme s'il était placé
en fait dans la nécessité, de me
combattre dans une certaine mesure
dans tous le morceau – quand il a
aussi reconnu maintes choses, ainsi
au moins sur toute l'attitude.
Je ne suis pas dans la situation de
devoir le
combattre, mais je dois dire, qu'en
fait je pense, que celui-là qui m'a
correctement écouté, n'aura pas du tout tant contre
ce que le premier orateur a dit. Je
suis dans la situation de
reconnaître beaucoup, aussi en
rapport au contenu
qu'il a exprimé, comme il semble
saisir des yeux cela ce que j'ai en
fait voulu.
Maintenant,
une chose me semble importante dans
les détails. Il est étrange que le
premier Monsieur orateur devait
mettre en avant que ce que j'ai dit
serait apparu par ce que j'ai
seulement parlé avec des
travailleurs, pas participé avec des
travailleurs. Oui, maintenant,
naturellement chacun peut seulement
œuvrer sur
son domaine ; mais l'art et la
manière comme j'ai participé avec
des travailleurs, a déjà été ainsi
qu'on ne peut dire que ça a été
purement parler avec des
travailleurs. Je crois aussi que
celui-là, qui peut être arrive plus
sur ce qu'aussi l'exposé
d'aujourd'hui faisait aboutir, le
trouvera compréhensible sur tout le
vouloir, que des années durant je
n'ai pas été interpelé ainsi, bien
que je le comprenne, que je serais
aujourd'hui abordé ainsi. Je suis
n'ai pas été toujours abordé ainsi,
seul je le crois, de la simple
raison parce que dans le temps les
travailleurs ont déjà senti que cela
que j'avais à dire, n'est pas parlé
d'un pur parler avec les
travailleurs.
Quand il m'est
devenu possible de parler d'une
telle manière, comme je devais de
nouveau parler aujourd'hui, ainsi ce n’est
véritablement rien d'approximatif.
Car, lançons une fois la
question : qui a le droit en
fait de se compter aux
travailleurs ? Celui-là qui a
la permission de parler avec les
prolétaires, aux prolétaires par
cela qu'il s'est résolu à cela par
son destin et par sa propre force,
de parler ainsi comme aujourd'hui je
le peux, mais aussi seulement comme
orateur libre. Car dans les cercles
avec lesquels m'a été reproché
d'avoir de la communauté, oui, là
j'ai peut-être exactement justement
ainsi, peut être encore été beaucoup
plus mal traité que je n'ai été
traité ici ce soir. C'est donc autre
chose, quand, comme moi, on s'est
donc aussi résolu en
conséquence ; je le continuerai
aussi dans la courte vie qui me
reste encore à disposition. Mais je
me suis des années durant résolu par
cela que j'ai parlé avec les
prolétaires, travaillé avec les
prolétaires, souffert de la faim
avec le prolétariat. Je n'ai pas
« demandé aux fonctionnaires
de poste combien ils ont pour en
cela pouvoir
souffrir de la faim », mais
j'ai moi-même dû souffrir
de la faim avec. Car cette famille,
de laquelle j'ai grandi, était d'une
bien plus mauvaise situation, que
peut-être tous ces
« fonctionnaires de poste » qu'on
peut aujourd'hui questionner. Je
n'ai pas appris seul à comprendre le
prolétaire par cela que j'ai appris
à penser sur lui, mais j'ai appris,
à comprendre le prolétaire par cela
que j'ai moi-même vécu avec eux,
avec les prolétaires, que j'ai
grandi du prolétariat, devait aussi
apprendre à souffrir de la faim avec
le prolétariat.
À partir de ces soubassements on
sentait déjà dans le temps lorsque
des années durant je pouvais
travailler ensemble
avec des travailleurs, que suis en
situation de parler à partir d'une
pratique entièrement afférente, mais
pas de la théorie. Je crois, cela
peut aussi donner un fondement à
cela si on a un certain droit à
parler aux prolétaires ou non.
C'est cela que j'aimais dire à une
des choses.
Alors,
se rapporta une grande partie de
cela que le premier orateur a
exposé, donc en fait par du tout sur
moi, cela se rapportait sur les
intellectuels. Oui, là le président
a déjà dit : quand un
quelconque peut en parler, qu'il a
été bombardé avec saleté, qu'il a
été bombardé avec saleté par les
intellectuels, alors j'en ai le
droit. Car véritablement, quand vous
suivriez l'art et la manière comme
j'ai été bombardé de saleté, et
notamment de l'art et la manière
dont cette
saleté à l'air, alors
vraisemblablement vous ne
m'envieriez pas sur la fréquentation
comme je l'ai savourée avec les
intellectuels.
Cela est une remarque
personnelle ; cela sont
absolument des remarques
personnelles. Mais cela, qui m'a été
répliqué, va donc au fond aussi sur
le personnel, et pour cela cette
remarque devait déjà être faite.
Maintenant, une
grande part se rapportait évidemment
absolument pas à moi, se rapportait
aux étudiants. En rapport à la dernière :
croyez que je ne sous-estime
absolument pas qu'une grande part de
la communauté actuelle des étudiants
sera atteinte avec droit
par le reproche, que maintenant son
idéal que le plus en bas des
travailleurs salariés n'atteint
pas ! Là on pourrait évidemment
parler beaucoup
sur ce chapitre. Mais tout de suite
le travailleur moderne devrait
comprendre de l'autre côté que
finalement ainsi, comme à partir des
conditions les autres classes
humaines se sont formées, ainsi
finalement l'étudiant moderne s'est
formé à partir des
conditions. Qui peut comparer
impartial l'aspiration à l'intérieur
de la communauté moderne des
étudiants, comme aspiration, avec ce
qui par exemple a été rencontré à
l'intérieur de la communauté des
étudiants, comme moi-même – il y a
longtemps – était encore sous cette
communauté des étudiants, celui-là
dira que toutefois en rapport à la
rigueur dans laquelle tout de suite
dans les phénomènes de déclin de la
bourgeoisie était planté dedans la
communauté des professeurs, de
laquelle évidemment la communauté
des étudiants doit être dépendante –
avec rapport sur cela qui là comme
exemple éclairait en
avant la communauté des étudiants
modernes, on peut donc avoir aussi
une certaine satisfaction pour les
fleurs, qui malgré tout, tout de
suite dans la communauté moderne des
étudiants, s'ouvrent vers le
meilleur. Il proviendra très
certainement – quand aussi la chose
est regardée ainsi aujourd'hui,
comme si la communauté des étudiants
tombe sur le dos des travailleurs –
tout de suite de la communauté des
étudiants des collaborateurs pour
les idéaux sociaux, je crois même en
très grand nombre. L'étudiant a
aujourd'hui maintes choses à
surmonter. On ne doit pas oublier
comment sont de fer les pinces avec
lesquelles on est retenu. J'ai tout
de suite dans les derniers temps eu
diverses occasions, aussi avec de
jeunes étudiants, de parler sur des
choses, qui peut-être reposent plus
loin de cet idéal immédiat, mais qui
reposent près de celui-là qui comme
une vie de l'esprit saine en général
doit se développer hors de la vie de
l'esprit malade. Je sais, quelle
réceptivité est dans la jeunesse
pour une rénovation de la vie de
l'esprit. Mais je sais aussi comme
grande est la tentation quand on a
l'enthousiasme de la jeunesse
derrière soi, qui a atteint le
diplôme et à besoin, à l'intérieur
de la société bourgeoise moderne de
chercher une place, comme proche là
repose la tentation, alors à nouveau
de sombrer dans la philistrosité,
dans la petitesse.
Nous
ne venons naturellement pas
d'aujourd'hui sur demain à une
solution définitive de ce que nous
espérons et désirons ardemment.
Mais cela devrait
quand même être distingué que
partout là où une telle nostalgie,
un tel désirer ardemment raisonnable ce qu'avec
droit exige le prolétariat moderne,
prend place, on ne devrait pas le
démoraliser par cela qu'on jette
pêlemêle l'un avec l'autre d'une
fanatique, dogmatique manière. Je
crois quand même que ce dogmatique
au moins jusqu'à un certain degré –
quand aussi dans le combat moderne
les moyens ne peuvent être choisis
trop bénins – devrait s’apaiser
l'opinion dont j'ai parlé dans mes
exposés : qu'il devrait moins
s'agir de la différence des pensées,
mais de l'égalité du vouloir
sincère.
Maintenant, demandez une fois, comme
beaucoup de ceux là, desquels vous
dites qu'ils tombent dans le dos de
l'un, sont dépendant des conditions,
dans lesquelles est placé l'étudiant
moderne, et demandez-vous de l'autre
côté, mais aussi combien de vouloir
sincère tout de suite dans la jeunesse
actuelle se fait valant. Soignez-le de
préférence plutôt que par cela que
vous tombez dans le dogmatique, pour
ainsi dire vous le paralysiez.
Maintenant
ce qu'alors le deuxième orateur a
tout d'abord exposé, là je peux donc
dire : je suis d'accord avec
l'appel, qui est tombé là à gauche,
cela c'est donc au fond pas si
différent de cela que j'ai dit
moi-même ; et je ne me raidis
pas tant là dessus, que les choses
soient tout de suite dites comme je
les ai dites. Quand une quelque
chose, disons, peut aujourd'hui
aider à l'amélioration, ainsi je
suis réjoui par là. Et je veux à
cause de cela ne pas aller si
coupant au tribunal aussi avec
quelque chose d'autre, ce qui a été
dit par le deuxième orateur ;
mais j'aimerais seulement le placer
quelque peu correctement, qui malgré
tout peut indiquer là dessus que cet
orateur n'a donc pas pris la chose
ainsi très exactement. Il a par
exemple soupçonné par là mon indication sur ce
que des
années durant j'ai enseigné dans l'école de
formation des travailleurs à Berlin
qu'il a dit : que ce serait
bien seulement une association de
formation libérale. - J'ai
expressément dit, c'était l'école de
formation des travailleurs fondée
par le vieux Liebknecht, par Wilhelm
Liebknecht !
Maintenant je ne crois pas que vous
refilez au vieux Liebknecht qu'il a
fondé n'importe quelle association-x
de formation pour la communauté des
travailleurs, comme la communauté
des travailleurs ne l'aurait dans le
temps jadis pas du tout accepté. Les
auditeurs n'étaient pas des humains venant des « libéraux
bourgeois habituels », mais
juste travailleurs, juste des
cercles des prolétaires et des
sociaux-démocrates organisés par la
banque ! (NDT à préciser
historiquement ce que la banque
vient faire là)
Ainsi,
je crois qu'aussi
maintes autres paroles prononcées
par moi n'ont tout de suite pas été
saisies de
manière correcte par ce Monsieur
l'orateur, comme je l'ai en fait
voulu, et comme on peut donc aussi
le concevoir, quand on ne vient pas
du devant avec un préjugé ne vient
seulement alors quand l'autre a une
autre opinion, mais même, quand cela
qu'on pense soi-même, on l'exprime
seulement quelque peu en une autre
forme, parce qu'il croit que c'est
justement nécessaire qu'aujourd'hui
dans cet instant d'histoire mondiale
les choses devraient être prises
plus globalement, et parce qu'il
croit que pas chacun aujourd'hui
pourrait être nommer un praticien,
qui juge seulement d'après le plus
proche, mais celui-là qui est vrai
praticien, qui embrasse du regard
les plus grands rapports.
Ce
qui concerne la conception de la
question de « l'appel »,
où la dessus a été indiqué, que cela
correspond presque mot pour mot avec
cela que je vous ai dit ce soir –
vous ne vous étonnerez pas là dessus
que vous avez donc entendu que
« l'appel » a été rédigé
par moi-même et vous n'exigerez pas
de moi que, quand parle ici ou là,
quand donc je parle quelque peu à
des bourgeois, que cela sonne
autrement que cela que je dis ici du
podium.
Remarque : ou bien partout
pareil, ou...
C'est cela que je dis tout de
suite:je dis : dans
« l'appel » est écrit la
même chose que j'ai dite ici. Dans cet
« appel » n'est écrit rien
nulle part quelque chose d'autre, que
ce que j'ai dit ici.
Pour
moi il s'agit de ce que cela que je
dis est en mon sens la vérité, et et
je dirais la vérité à chaque endroit
où cela m'est permis, de dire la
vérité. Je n'exprime que la vérité,
c'est de cela dont il s'agit pour
moi. C'est cela que j'avais à dire
en ce rapport. Je n'exclurais
personne d'une quelque chose quand
il peut le concilier avec sa
conviction et dit oui à ce que je
dis moi-même. Car je crois seuls par
cela nous venons sur une branche
verte, que nous exprimons la vérité,
sans soucis là-dessus quelle
impression elle fait sur les
humains, s’ils souscrivent ou non.
C'est cela que je voulais dire à
cela.
Et
alors, j'aimerai seulement encore
pour la fin remarquer une chose qui
se rapporte sur cela que l'orateur
suivant a dit : je n'aurais
rien dit sur la manière de lutter.-
Mais de mes paroles vous pouvez
partout retirer comme je pense en
fait sur cette manière de lutter. Je
crois l'avoir frugalement évoqué que ce n'est pas
mon opinion qu'aujourd'hui que cela
peut arriver sur une entente
superficielle, ou comme les belles
choses s'appellent toutes.
Aujourd'hui nous somme incorporés en
un stade des faits, où dans le fait
rien d'autre n'est possible, afin
que nous n'arrivions pas à de pures
façons de voir vides, comme les
choses doivent être transformées,
mais par cela que nous venions à des
façons de voir auxquelles sont
vraiment possibles de nouvelles
pensées à amener dans les âmes des
humains. Car les vieilles pensées
ont justement montré ce qu'elles
peuvent mettre sur pied d'ordre
social et avec ces vieilles pensées
est livrée l'indication
qu'elles sont inutilisables. C'est
pourquoi je crois qu'il s'agit pour
le début, pour le tout début, pour
le tout début pratique que ceux-là
qui ont un sincère
vouloir social s'entendent avant
toutes choses une fois sur ce qui
peut se passer.
Nous nous tenons
aujourd'hui en Suisse encore– je ne
sais pas, si on devrait dire
« Dieu soit remercié » ou
« malheureusement » - dans
des rapports qui ne sont pas ainsi
que sont les rapports en Europe du
centre ou de l'est. L'Europe du
centre ou de l'Est se tient donc dans des rapports
qui vraiment seulement pourront être
assumés par renouement aux pensées
originelles de l'organisme social.
Et si là ne sera pas faite la
tentative que tout d'abord parmi le
prolétariat lui-même les questions
fondamentales seront discutées
comment maintenant
sortir de ce chaos par les plus
simples organisations, mais qui
devraient toutes porter le
caractère, à mon
avis, de cette triarticulation de
l'organisme social – quand pas parmi
le prolétariat
lui-même guérison sera amenée, que
des organisations seront
nouvellement créées, d'après de
nouvelles pensées, ainsi je ne vois
tout d'abord pour des décennies
absolument pas de salut.
On
devrait pouvoir commencer tout
d'abord avant toutes choses avec ce qui peut-être
vous apparaît comme in-essentiel : tout d'abord, nous
devons reconnaître que nous ne
faisons pas seulement face à des
institutions bourgeoises, contextes
bourgeois, mais que nous faisons
face à une science bourgeoise.
Cela
je l'ai dit dans la maison
berlinoise des syndicats il y
a seize ans et a même été compris
correctement à l'intérieur du
prolétariat. Le prolétariat a encore
la tâche d'éjecter tout d'abord ce
qui dans sa pensée est de science
bourgeoise, et de ne pas viser
dans le sens de la
science bourgeoise n'importe quelle
institution, mais au sens tout de
suite de cette manière-là de nouvelles pensées
qui peut-être ne peuvent justement
seulement être trouvées du
prolétariat parce que le prolétariat
est émancipé de tous contextes
humains restants, dans lesquels
malheureusement se tiennent les
humains bourgeois.
C'est
pourquoi il
s'agit aujourd'hui avant tout de
cela que ce qui vous semble peut
être comme le moins essentiel serait
mis à exécution : l'émancipation de
la vie de l'esprit, le développement
de liberté de la vie spirituelle.
Arrivons-nous à cela d'avoir une vie
de l'esprit vraiment libre,
arrivons-nous à cela que plus une
science, qui est tributaire du
capitalisme puisse donner le ton
jusque dans
les cercles du prolétariat alors
seulement nous allons au-devant
d'une guérison. Pas un
rétrécissement au sens bourgeois, je
ne veux pas un rétrécissement, mais
tout de suite un élargissement des
tâches prolétariennes.
Et j'ai la forte
foi – des humains aimeraient, qui du
point de vue que je peux très bien
comprendre, parler, comme le
deuxième orateur, encore tant
objecter, qu'on ne comprend pas
phrase pour phrase ce que j'ai dit
-, j'ai la forte foi que je me suis
acquise par une longue vie parmi le
prolétariat, que cela que j'ai dit
tout d'abord pas des autres classes,
mais tout de suite du prolétariat
sera compris. Et il doit
malheureusement être attendu jusqu'à
ce que cela sera compris du
prolétariat. Mais je crois qu'il
pourra comprendre cela.
Et
dans cette pensée, j'aimerai die, je
peux aussi avec un certain sentiment
de satisfaction regarder en arrière
sur cela qui ce soir voulait
être atteint par moi. Je n'ai
véritablement pas voulu, jusque dans
la parole, vous convaincre en tous
les détails. À cela je veillais
trop à votre libre
personnalité ; à cela je
veillais trop à un accord libre de
chacun. Mais j'ai la foi que parmi
vous sont beaucoup qui penseront
encore autrement sur ce que j'ai
dit, que comme ils ont déjà
aujourd'hui pensé. Et de cette foi
c'est justement de quoi je suppose
qu'elle appartient à la guérison de
l'organisme social.
|
Als der heutige
Vortrag angekündigt worden ist, wird
mancher vielleicht
die Frage gestellt haben : Von
welcher Seite kommt dasjenige, was da geredet werden soll?
— Und nach der einen oder anderen
Erkundung wird
man vielleicht die Meinung haben,
daß nun auch wieder geredet werden soll von
derjenigen Verständigung, welche
heute diejenigen so stark
herbeisehnen, welche im Laufe
längerer Zeiten herbeigeführt haben das heutige
kapitalistische Meer der sozialen
Verwirrung, indem sie
bemerken, daß ihnen das Wasser bis
an den Mund reicht und sie nicht mehr imstande sind, in
diesem Meere zu schwimmen. Sie
suchen nach dem
einen oder anderen Rettungskahn; sie
werden solche Rettungskähne
aus den Voraussetzungen, die sie
gewöhnlich machen, aber nicht
finden. Denn von einer solchen
Verständigung möchte ich Ihnen heute
abend nicht
sprechen. Mir scheint, daß in der
Zeit, in der wir leben, ganz andere Dinge notwendig
sind. Denn sehen wir uns an, was
eigentlich geworden
ist und was sich auslebt in den
gegenwärtigen Zuständen, die für manchen, der gerade
eine solche Verständigung sucht, so
schreckhaft
sind.
Dasjenige, was man
heute «die soziale Frage» nennt, ist
ja keineswegs gestern
erst entstanden. Es ist in der Art,
in der man heute davon spricht, mehr als ein halbes
Jahrhundert alt. Aber was eigentlich
geführt hat zu dieser
sozialen Frage, das ist viel, viel
älter; es ist dasjenige, was heraufgeführt hat die ganze
Entwickelung der neueren Zeit, der
letzten Jahrhunderte.
Und wenn wir uns anschauen, wozu es
die Entwickelung der letzten
Jahrhunderte gebracht hat, so können
wir das kurz etwa in die folgenden
Worte zusammenfassen.
Da
war eine Anzahl von Menschen,
denjenigen Menschen, die man
vielleicht am besten dadurch
bezeichnet, daß man sagt, es sind
diejenigen,
die gelebt haben von der
kapitalistischen Wirtschaftsordnung
und die
sich in der kapitalistischen
Wirtschaftsordnung wohlgefühlt
haben. Man
konnte von diesen Leuten wahrhaftig
oft genug hören, wie weit wir es in der
Zivilisation gebracht haben. Man
konnte hören, was hervorgebracht
worden ist dadurch, daß die
Menschheit in die Lage gekommen ist, nicht nur
über weite Entfernungen einzelner
Länder, einzelner
Kontinente, sondern über Weltmeere
hin sich schnell zu verständigen; wie weit man
dadurch gekommen ist, daß sich eine
gewisse Bildung ausgebreitet hat,
daß die Menschen teilnehmen konnten
an dem, was
man das geistige Leben nannte und
von dem man sich vorstellte, daß es zu einer ganz
besonderen Höhe in unserer Zeit
gekommen sei.
Nun,
ich brauche Ihnen nicht zu
schildern, was alles nach dieser
Richtung
hin geredet worden ist an
Lobsprüchen über unsere moderne Zivilisation. Aber diese
moderne Zivilisation, sie breitete
sich aus über einem
Untergrunde. Sie war ohne diesen
Untergrund gar nicht denkbar ; sie lebte von diesem
Untergrund. Und was war in diesem
Untergrunde? In
diesem Untergrunde waren immer mehr
und mehr Menschen von derjenigen Art, die aus
ihrem tiefsten seelischen Empfinden
den Ruf ertönen lassen mußten : Gibt
uns das, was dieses moderne Leben
gebracht hat,
ein menschenwürdiges Dasein? Wozu
hat uns diese moderne Zivilisation verurteilt? —
Und so spaltete sich diese moderne
Menschheit immer
mehr und mehr in zwei Glieder : in
die einen, welche sich in einer gewissen Weise
wohlfühlten oder wenigstens
befriedigt fühlten in dieser
modernen Zivilisation, die sich aber
nur befriedigt fühlen konnten aus dem Grunde, weil
die anderen im Untergrunde ihre
Arbeitskraft hingeben
mußten für eine gesellschaftliche
Ordnung, an welcher sie im Grunde genommen doch
keinen Anteil haben konnten.
Mit
diesem ganzen Hergang der Sache
entwickelte sich allerdings noch etwas anderes. Es
entwickelte sich das, daß gerade die
Träger der sogenannten
Zivilisation nicht mehr die alten
patriarchalischen Zustände
mit den zahlreichen Analphabeten
fortsetzen konnten. Es entwickelte sich das, daß
die von dem Kapitalismus getragenen
Menschen wenigstens
einen Teil des Proletariats, der
ihnen diente, gebildet machen mußten. Und aus
der Bildung des Proletariats
entwickelte sich etwas,
was sich jetzt in so schreckhaften,
aber für den, der die Geschichte versteht, nur allzu
notwendigen Tatsachen zum Ausdrucke
bringt : Das entwickelte
sich, daß vor allen Dingen eine ganz
große Anzahl von Menschen,
die eben die Unterlage bilden mußten
für diese moderne Zivilisation,
nunmehr nachdenken konnten über ihre
Lage, daß sie sich nicht
mehr instinktiv hinzugeben
brauchten, daß sie die Frage in
intensivster
Art stellen konnten: Haben wir ein
menschenwürdiges Dasein? Wie können wir zu einem
menschenwürdigen Dasein kommen?
Diejenigen,
die bisher die führende Klasse der
Menschen waren, haben
im Hergange des modernen
Wirtschaftslebens dieses Wirtschaftsleben, soweit es ihnen
genehm war, in Verbindung gebracht
mit dem modernen
Staate. Von diesem modernen Staate
konnte, wenigstens in einem gewissen Maße,
das moderne Proletariat nicht
ausgeschlossen werden
unter dem Einflusse der neueren
Zeit. Und so kam es, daß das Proletariat auf der
einen Seite innerhalb des
Wirtschaftslebens aus seiner Lage
herausstrebte, ein menschenwürdiges
Dasein anstrebte, auf der anderen Seite aber mit
Hilfe des modernen Staates sein
Recht zu erkämpfen versuchte.
Man
kann nicht sagen — die Tatsachen der
Gegenwart lehren es —, daß auf beiden Wegen wenig
noch erreicht worden ist. Auf dem
Wege des gewerkschaftlichen Lebens
hat die moderne Arbeitergesellschaft
innerhalb
des Wirtschaftskreislaufes manches
zu erreichen versucht : es waren Brocken von dem, was
eigentlich der Inhalt eines
menschenwürdigen Daseins
innerhalb einer gesunden
Wirtschaftsordnung sein muß. Auf dem Wege des
staatlichen Lebens ist das erreicht
worden. Allein dem weiteren stand
entgegen die wirtschaftliche und
politische Gewalt der bisher führenden Klasse
der Menschheit. Und so kann man
sagen, trotzdem
manches erreicht worden ist auf
diesen beiden Wegen, steht heute das moderne Proletariat
nicht weniger vor der Frage :
Welchen Sinn hat denn
eigentlich meine Arbeit mit Bezug
auf dasjenige, was jeder Mensch in der Welt als seine
Menschenwürde in Anspruch nehmen
muß?
Demjenigen
gegenüber, was durch lange
Jahrzehnte das Proletariat in den verschiedensten
Formen diesem führenden, leitenden
Kreise zugerufen
hat : So geht es nicht weiter ! —
demgegenüber wurde kaum irgendein verständnisvolles
Wort hörbar. Und diejenigen Worte,
die hörbar wurden,
die standen eigentlich in einem
merkwürdigen Verhältnisse zu dem, was eigentlich aus
dem Geiste der Zeit heraus hätte
angestrebt werden
sollen. Hörten wir es nicht, wie von
allen möglichen Seiten — von christlich-sozialer
Seite, von bürgerlich-sozialistisch
Strebenden — das oder
jenes gesprochen wurde, was abhelfen
könnte den Gefahren, die man glaubte
heraufziehen zu sehen? War es mehr,
im Grunde genommen,
als salbungsvolle Phrase, die aus
den verschiedenen, aus den Überlieferungen kommenden
religiösen, sittlichen und so weiter
Vorurteilen heraus
erwuchsen dieser leitenden, bisher
führenden Klasse ?
Sie
empfanden es nicht, diese führenden
Kreise; aber eine andere Seite der
Menschheit empfand es. Derjenige,
der seine Richtung empfand von etwas ganz anderem als
leeren Redensarten, derjenige, der
seine Richtung
empfand aus dem Bewußtsein der
Klasse heraus, die in die besondere soziale Lage
gebracht wurde, die Unterlage zu
sein für diese moderne
Zivilisation. Und so bildete sich,
trotzdem ja auf der anderen Seite durch
gewerkschaftliches,
genossenschaftliches und auch politisches Leben manches
geleistet wurde, noch etwas anderes
heraus, etwas, was
wichtiger noch ist, was eine Arbeit
des modernen Proletariats ist, die voll von Keimen für
die Zukunft ist, und von der auch
die Tatsachen der
Gegenwart in reichlichem Maße
getragen werden : Das bildete sich heraus, daß, während
die bisher führende Klasse ihrer
Luxusbildung nachging,
die einzig nur genährt und
gekräftigt werden konnte von dem Kapitalismus, das
Proletariat in den Zeiten, die ihm
übrigblieben, in seinen
Versammlungen nach einer im wahrsten
Sinne des Wortes modernen
Bildung ausging, ausging nach einem
Geistesleben. Das war es, was die bisher führende
Klasse der Menschheit nicht sehen
wollte, daß durch Tausende
und aber Tausende von
Proletarierseelen hindurch eine ganz
neue
Bildung, eine ganz neue Anschauung
über den Menschen sich entwickelte.
Es
war in der Natur der Sache
begründet, daß diese proletarische
Bildung
zunächst ausging von der Betrachtung
des Wirtschaftslebens. Denn an die Maschine
hatte das moderne Leben den
Proletarier geschmiedet.
In die Fabrik hatte sie ihn
gedrängt, in den Kapitalismus hatte sie ihn
eingespannt. Da heraus holte er
seine Begriffe. Aber diese Begriffe — ich will nur
darauf aufmerksam machen, wie
intensiv alles dasjenige,
was mit dem Marxismus zusammenhängt,
verständnisvoll einschlug
in die Proletarierseelen —, diese
Bildung war eine solche, die wenig, wahrhaftig recht
wenig Widerhall fand bei der
leitenden, der bisher
führenden Klasse der Menschheit.
Ist
es nicht charakteristisch, daß
derjenige, der die Dinge kennt,
heute sagen
muß : Unter den führenden
proletarischen Persönlichkeiten,
unter denjenigen,
die wirklich verstehen mit dem
Proletariat, nicht bloß über das Proletariat zu
denken, unter denjenigen
Persönlichkeiten, die aufgenommen haben, was an
wirklich fruchtbarer Bildung über
das Wirtschaftsleben
heute aufgenommen werden konnte,
unter denen lebt wahrhaftig heute
eine gründlichere, wenigstens
lebensgründlichere Kenntnis
desjenigen, was im sozialen
Organismus spielt, als selbst unter
den
Gebildetsten der Gebildeten, selbst
unter den über Soziologie nachdenkenden Professoren,
Universitätsprofessoren. Denn es ist
charakteristisch,
daß sich diese Kreise, deren Beruf
es sozusagen war, sich mit Soziologie, mit der
Nationalökonomie zu befassen,
gesträubt haben so lange
als möglich gegen alles dasjenige,
was hervorging aus dem Verständnis für das
moderne Proletariat. Und erst als
die Tatsachen drängten,
als die Tatsachen gar nichts anderes
mehr zuließen, haben sich einige von diesen
Bürgerlich-Führenden herbeigelassen,
mancherlei marxistische
oder ähnliche Begriffe in ihr
nationalökonomisches System aufzunehmen.
Daß
diese Arbeit von dem modernen
Proletariat geleistet worden ist, ich möchte sagen, ganz
im Verborgenen für die führenden,
leitenden Kreise
geleistet worden ist, das behaupte
ich hier nicht aus einer grauen Theorie heraus ; das
behaupte ich, weil ich mitansehen
konnte, wie diese Arbeit
gezimmert worden ist. Ich konnte
jahrelang in Berlin Lehrer an jener
Arbeiterbildungsschule sein, die Wilhelm Liebknecht,
der
alte Liebknecht noch begründet
hatte. Und teilweise in dieser
Schule, teilweise in dem,
was sich daran schloß, hatte man
einen guten Ausschnitt von alldem, was da gearbeitet
worden ist, um eine neue Zeit
heraufzuführen aus
einem entwickelten proletarischen
Menschheitsbewußtsein heraus. Das hätten längst alle
diejenigen überlegen sollen, die in
oberflächlicher Art
diese moderne proletarische Bewegung
nur wie eine bloße Lohn-und Brotfrage
behandeln, die nicht verstehen, sie
zu behandeln als eine Frage des
menschenwürdigen Daseins aller
Menschen.
Demgegenüber
ist es wahrhaftig nicht sehr
bedeutsam, wenn heute hingewiesen wird
darauf, wie innerhalb der
Tatsachenwelt, die sich aus dem
sozialen Chaos heraus ergeben hat,
Schreckhaftes, zuweilen Grausames geschieht.
Derjenige, der die Dinge recht
versteht, wie sie sich entwickelt haben, der
frägt nicht nach dem Zusammenhange
dieser Grausamkeiten
oder des Schreckhaften mit der
modernen proletarischen
Bewegung, sondern der ist sich klar
darüber, daß die bisher führenden Klassen es sind,
welche das hervorgebracht haben, was
heute geschieht.
Der
weltgeschichtliche Augenblick, der
ist erst eingetreten, indem das Proletariat beginnt,
für die weltgeschichtlichen
Ereignisse eine Verantwortung
zu tragen. Bis in die furchtbare und
in vieler Beziehung auch irrsinnige Katastrophe
des sogenannten Weltkriegs hinein
ist dasjenige verantwortlich,
was aus dem Kapitalismus, aus der
kapitalistischen Wirtschaftsordnung
im Laufe der neueren Zeit und
insbesondere der neuesten Zeit sich
ergeben hat.
Was
sehen wir aber nun im Mittelpunkte
all desjenigen stehen, was proletarische Bewegung,
was proletarische Sehnsucht, ja, was
proletarische
Forderung ist ? Im Mittelpunkt
dessen sehen wir stehen, was der Proletarier empfinden
mußte gegenüber dem, was er im
Grunde genommen herbeiführt und was
durch die moderne Wirtschaftsordnung
allein dem
sozialen Organismus gegeben werden
kann; denn die bisher leitenden Kulturkreise
interessierten sich im Grunde
genommen beim Proletarier
nur für dieses einzige, und dieses
einzige ist die Arbeitskraft des Proletariers. Man muß
wissen, wie gerade eingeschlagen
haben die Betrachtungen Karl Marx' und derjenigen, die in
seinen Bahnen gegangen sind, in das moderne
Proletariat, aus dem Grunde, weil in
diesem modernen
Proletariat die Empfindung da war :
Vor allen Dingen muß Klarheit
geschaffen werden mit Bezug auf die
Art und Weise, wie menschliche
Arbeitskraft einfließen darf in den
sozialen Organismus.
Nun,
es ist oftmals gesagt worden und es
hat in weitesten Kreisen eingeleuchtet : durch die
moderne Wirtschaftsordnung ist die
Arbeitskraft geworden zu einer Ware
unter anderen Waren. Das ist ja das
Eigentümliche
des Wirtschaftslebens, daß es
besteht in Warenproduktion, Warenzirkulation und
Warenkonsumtion. Aber das ist
eingetreten, daß zu einer
Ware gemacht wurde die Arbeitskraft
des modernen Proletariers.
Von
dieser Seite her ist im Grunde
genommen innerhalb des Proletariats alles gesagt
worden. Nur wird die Frage
gewöhnlich doch nur nach
einer Seite hin gelenkt, so daß sie
nicht völlig in dem Lichte erscheint, durch das man
eigentlich Einblicke gewinnt in die
Stellung der menschlichen
Arbeitskraft im gesunden sozialen
Organismus. Da muß
eine Frage aufgeworfen werden, die
sich allerdings aus der marxistischen Frage
ergibt, die aber in einer noch
präziseren, in einer noch
intensiveren Weise aufgeworfen
werden muß. Gefragt werden muß: Kann überhaupt
menschliche Arbeitskraft jemals
wirkliche Ware sein?
Dadurch
wird die Frage auf ein ganz anderes
Geleise noch geleitet. Man wird in
der Tat fragen : Wie kann
gerechtfertigterweise menschliche Arbeitskraft
entlohnt werden? Wie kann
menschliche Arbeitskraft überhaupt zu ihrem
Rechte kommen? Und man kann dabei
doch die Voraussetzung
haben: es muß schon so sein, daß die
menschliche Arbeitskraft
Lohn empfängt. Lohn
ist aber in gewissen Zusammenhängen
nichts anderes, als lediglich das Kaufgeld für
die Ware «Arbeitskraft». Aber
Arbeitskraft kann niemals
eine Ware sein! Und wo im
Wirtschaftsprozeß Arbeitskraft zur
Ware gemacht wird, ist dieser
Wirtschaftsprozeß Lüge. Denn es wird
in die
Wirklichkeit etwas hineingeworfen,
was niemals ein wahrer Bestandteil dieser
Wirklichkeit sein kann. Menschliche
Arbeitskraft kann aus
dem Grunde keine Ware sein, weil sie
den Charakter, den notwendig jede Ware haben muß,
nicht haben kann. Im
Wirtschaftsprozeß muß jede Ware in die
Möglichkeit versetzt sein, an Wert
mit einer anderen Ware verglichen zu
werden. Die Vergleichbarkeit ist die
Grundbedingung
für das Ware-Sein von etwas.
Menschliche Arbeitskraft aber kann niemals mit irgendeinem
Warenprodukte in bezug auf den Wert
verglichen
werden.
Es
wäre eigentlich furchtbar einfach,
wenn man nur nicht heute verlernt hätte, einfach zu
denken. Man denke nur daran, wenn
meinetwillen in
einer Familie zehn Leute
zusammenarbeiten, jeder seinen Teil
arbeitet,
wie man den Arbeitsteil eines
einzelnen aus diesen zehn
vergleichen kann
mit den Leistungen, die diese zehn
hervorbringen. Man hat gar nicht die Möglichkeit,
mit den Warenleistungen die
Arbeitskraft zu vergleichen.
Die Arbeitskraft steht auf einem
ganz anderen Boden des sozialen Beurteilens
als die Ware. Das ist es, was
vielleicht in der neueren Zeit nicht deutlich
ausgesprochen worden ist, was aber
lebt in den Empfindungen
des modernen Proletariats.
Was
lebt in den Forderungen des modernen
Proletariats ? Das, was lebt in den
Empfindungen des modernen
Proletariats, das ist tatsächliche Kritik, das ist
die weltgeschichtliche Kritik, die
einfach in dem Leben des modernen
Proletariers liegt und die
entgegengeschleudert wird
allem, was von den bisher leitenden
Kreisen als soziale Ordnung heraufgefördert worden
ist. Dieses moderne Proletariat ist
nichts anderes
als eine weltgeschichtliche Kritik
selber. Gerade der Erkenntnis, daß
Arbeitskraft niemals Ware sein kann,
verdankt die Empfindung, die Grundempfindung ihr
Dasein, daß gelebt wird in der
neueren Zeit in einer
gewaltigen, in einer umfassenden
Lebenslüge; denn gekauft wird Arbeitskraft, die ihrem
Wesen nach niemals gekauft werden
kann.
Daß dem Abhilfe geschaffen werden
müsse, davon ist, wie es ja jedem Einsichtigen heute
selbstverständlich sein muß, der
moderne Proletarier überzeugt.
Aber er ist hineingetrieben worden
in dasjenige, was nicht er, was die bisher
führenden Klassen aus dem sozialen
Organismus gemacht
haben. Er ist aus allem übrigen
herausgestellt worden und nur hineingespannt worden
in den Wirtschaftsprozeß. Sollte es
da nicht erklärlich
sein, daß er nun durch eine bloße
Gesundung dieses Wirtschaftsprozesses,
des Kreislaufes des
Wirtschaftslebens selbst, auch die Gesundung des ganzen
sozialen Organismus herbeiführen
will? Daraus sind
die Ideale entstanden, dergestalt,
wie sie als Ideale des modernen
Proletariats bisher leben.
Gesagt
worden ist : Dadurch, daß der
Kapitalismus als privater Kapitalismus durch den
privaten Gebrauch der
Produktionsmittel die moderne Produktion zu
einer Warenproduktion gemacht hat,
dadurch sei
das moderne Proletariat in die Lage
gekommen, die es nur selbst ganz empfinden kann. Dem
kann nur abgeholfen werden dadurch,
daß zurückgegriffen
werde zu dem, was die uralte Idee
der Genossenschaft ist, zu jener
Genossenschaft, die gewissermaßen
von dem Produzieren des einen für den anderen
ausgeht und hinarbeitet zur
Selbstproduktion, in welcher
nicht mehr der eine den anderen
übervorteilen kann, aus dem Grunde, weil er dann
selbst übervorteilt würde. Und
weiter ist gesagt worden
: Wie soll diese Genossenschaft,
diese große Genossenschaft begründet werden ? Da
müsse man seine Zuflucht nehmen eben
zu dem Rahmen,
der sich im Laufe der neueren Zeit
herausgebildet hat: zu dem modernen Staate. Den
modernen Staat selber müsse man zu
einer großen
Genossenschaft machen, durch welche
gewissermaßen die Warenproduktion übergeführt
wird in Produktionen für den
Selbstbedarf.
Da
ist es gerade, wo man den Punkt
ergreifen muß, auf dem man sagen kann : Man findet das
Gesunde gerade in dem Geistesleben
des modernen
Proletariats auf der einen Seite,
und man findet zu gleicher Zeit
dasjenige, wo dieses Geistesleben
des modernen Proletariats
entwickelungsfähig
ist, wo es von der Stufe, die es bis
jetzt beschritten hat, zu einer
anderen Stufe noch fortschreiten
kann.
Es
sollte wahrhaftig von demjenigen,
der anderer Meinung ist auf diesem Gebiete, nicht
übelgenommen werden, wenn man aus
ebenso aufrichtigen
und ehrlichen Empfindungen heraus,
wie er sie selber hegt, noch nicht
gewissermaßen die Vollendung sieht
in der gegenwärtigen proletarischen
Weltanschauung, sondern wenn man
gerade genötigt ist, darauf
hinzuweisen, daß diese proletarische
Weltanschauung in sich die Keime zu einem
Fortschritt trägt, daß dieser
Fortschritt aber auch wirklich angestrebt werden
muß. Und er kann angestrebt werden.
Das
wird derjenige zugeben, welcher
einsieht, was ich bereits — es ist
ungefähr achtzehn Jahre her — im
Berliner Gewerkschaftshaus als eine
Eigentümlichkeit,
und dann oftmals wiederum als eine
Eigentümlichkeit
gerade der modernen Arbeiterbewegung
hervorheben mußte und was ich heute noch für
absolut richtig halten muß. Ich
sagte damals : Für den,
der das geschichtliche Leben der
Menschheit überblickt und aus diesem geschichtlichen
Leben der Menschheit die moderne
proletarische
Bewegung mit Verständnis, mit
innerem Verständnis hat hervorgehen sehen, für den
ist es auffällig, daß diese moderne
proletarische Bewegung
anders als alle anderen
Menschheitsbewegungen, die es je
gegeben
hat, im Grunde genommen auf einem —
man mag das grotesk finden, man mag es paradox
finden — auf einem geradezu
wissenschaftlich orientierten
Boden steht.
Tief,
tief wahr ist es, was damals nach
dieser Richtung hin als einen Grundton, als eine
Grundforderung der modernen
Arbeiterbewegung der
schon fast vergessene Lassalle angeschlagen hat in
seiner berühmten Rede
über «Die Wissenschaft und die
Arbeiter». Nur muß man die Sache noch von einem
anderen Gesichtspunkte aus ansehen,
als sie heute gewöhnlich
angesehen wird : man muß sie ansehen
von dem Gesichtspunkte
des Lebens. Da kann man sagen: Mit
Bezug auf dasjenige, was dem modernen
Proletariat zugänglich geworden ist,
durch das, was ihm die
führenden Klassen geben mußten, wenn
sie ihn nicht im Analphabetismus fortbelassen
wollten, durch das hat der moderne
Proletarier die Möglichkeit
erlangt, zu übernehmen, wie ein
Erbgut zu übernehmen, was sich in der neueren
Zeit herausgebildet hat, aus dem
Bestreben der leitenden
Kreise zu übernehmen, was sich als
wissenschaftliche Weltanschauung herausgebildet
hat.
Worauf
es ankommt, das ist dieses, daß aber
nun der moderne Proletarier in ganz anderer
Weise reagieren mußte auf diese
wissenschaftliche Weltanschauung
als alle anderen Kreise, sogar
diejenigen, welche unmittelbar
diese Weltanschauung ausgebildet
hatten. Man kann innerhalb
der leitenden und bisher führenden
Kreise ein sehr aufgeklärter Mensch sein, ein
Mensch, dessen innerste Überzeugung
hervorquillt aus den
Resultaten, aus den Ergebnissen der
modernen Wissenschaft, man kann meinetwillen ein
Naturforscher wie Vogt,
ein
naturwissenschaftlich
populärer Forscher wie Büchner sein, dennoch steht man
der wissenschaftlich
orientierten Weltanschauung anders
gegenüber als der moderne
Proletarier.
Derjenige,
der aus den leitenden Kreisen und
ihren Vorurteilen, namentlich
ihrem Vorgefühl und ihrer
Vorempfindung heraus, sich theoretisch bekennt zu
der modernen Bildung über den
Menschen und über
die Natur, der bleibt deshalb doch
stecken innerhalb einer Gesellschaftsordnung, die
sich streng abschließt von dem
modernen Proletariat,
und deren Struktur, deren ganze
Organisation nicht herrührt von dem, was moderne
Wissenschaft erzählt, sondern
herrührt von demjenigen,
was vor dieser modernen Wissenschaft
die Menschengemüter an religiösen, an
rechtlichen und sonstigen
Vorstellungen über die Menschenwürde erfüllt hat.
Das konnte ich einmal, ich möchte
sagen, im unmittelbaren
Erlebnis empfinden.
Es
war in dem
Augenblicke, als ich, zusammen mit
der jüngst tragisch untergegangenen
Rosa
Luxemburg in
Spandau
stand vor einer Arbeiterversammlung, vor der
wir beide sprachen über den modernen
Arbeiter und
die moderne Wissenschaft. Da mußte
man sehen, wie dasjenige, was diese moderne
Wissenschaft in die moderne
Proletarierseele hineingießen kann, ganz anders
wirkt auf den Proletarier als selbst
auf den Überzeugtesten
der bisher leitenden Menschenklasse,
als Rosa Luxemburg den
Leuten klarmachte : Da ist nichts,
was hinweist auf einen engelgleichen Ursprung der
Menschen, nichts, was hinweist auf
die hohen Ausgangspunkte,
von denen die bürgerliche
Weltanschauung noch gern erzählen möchte; da ist
von dieser modernen bürgerlichen
Weltanschauung
selbst behauptet, wie der Mensch als
Klettertier einmal begonnen hat, wie er sich
hinaufentwickelt hat aus diesen
Zuständen. Wer das überdenkt
— so sprach dazumal die für ihre
Sache begeisterte Arbeiterführerin — wer das
durchdenkt, der kann nicht in den
Vorurteilen, die die heutigen
führenden Kreise haben, verharren in
den Vorurteilen von Rangunterschieden,
von der Möglichkeit, so abzustufen
zwischen den Menschen,
die alle einen solchen gleichen
Ursprung haben, wie man das innerhalb der führenden
Kreise heute tut. — Das schlug
anders ein, als bei den
Leuten der führenden Kreise. Und das
ergänzte dasjenige, was verständnisvoll als
Wirtschaftswissenschaft der moderne
Proletarier aufnahm.
Dasjenige,
was da in die Seelen aufgenommen
worden ist, das ist einer Fortentwickelung fähig,
und von dieser Fortentwickelung
möchte ich Ihnen
heute einiges erzählen.
Derjenige, der alles das überblickt,
was in Betracht kommt für die Frage gerade : Wie ist
die Arbeitskraft des modernen
Proletariers zu dem Sinn
einer Ware gekommen? — der sieht
sich nach und nach gedrängt, seine
Beobachtungen über das
Wirtschaftsleben zu dem Punkte zu
führen, wo
er sich sagen muß : Gerade dadurch,
daß der moderne Arbeiter
hineingespannt worden ist in dieses
bloße Wirtschaftsleben, dadurch ist
innerhalb
des Wirtschaftslebens auch die
Arbeitskraft des modernen Proletariers zur Ware
geworden. In dieser Richtung haben
wir nur die Fortsetzung
dessen, was im Altertum die
Sklavenfrage war. Da war der ganze Mensch Ware.
Heute ist geblieben von diesem
ganzen Menschen nur
noch die Arbeitskraft. Aber dieser
Arbeitskraft muß der ganze Mensch folgen.
In
den Empfindungen der modernen
Proletarierseele liegt es, daß das in Zukunft nicht so
sein dürfe, daß das der letzte Rest
der alten Barbaren-zeit ist, der
überwunden werden muß. Überwunden
aber wird dies nicht anders werden
können, als wenn man nun mit
derselben klaren Geisteskraft, mit der das
moderne Proletariat die Wirtschafts-
und die Menschennatur
ergriffen hat, damit auch die
Wissenschaft von dem gesunden sozialen Organismus
ergreift. Und von dieser
Wissenschaft lassen Sie
mich Ihnen einige Worte sagen.
Da
tritt vor allen Dingen das deutlich
auf: Man muß sich fragen: Was macht denn innerhalb
des Kreislaufes des modernen
Wirtschaftslebens die
Arbeitskraft des modernen
Proletariers zur Ware? Das macht die
wirtschaftliche
Gewalt des Kapitalistischen.
In
diesem Worte von der Gewalt des
Kapitalistischen liegt schon eine Hinweisung auf die
gesunde Antwort. Denn: wem ist Gewalt
diametral entgegengesetzt
? Gewalt ist diametral
entgegengesetzt dem Rechte. Das aber weist darauf
hin, daß eine Gesundung mit Bezug
auf die Verwertung
der menschlichen Arbeitskraft im
sozialen Organismus nur dann eintreten kann,
wenn die Arbeitskraft herausgehoben
wird, wenn überhaupt
die Frage nach der Arbeitskraft
herausgehoben wird aus dem Wirtschaftsprozeß und
wenn sie wird zu einer reinen und
lauteren Rechtsfrage.
Damit
aber kommen wir dazu, des breiteren
nachzudenken, ob denn ein tieferer
Unterschied ist zwischen
Wirtschaftsfrage und Rechtsfrage. Dieser Unterschied
besteht; nur ist man heute noch
nicht geneigt, diesen Unterschied tiefgehend
genug zu nehmen. Man ist nicht
geneigt, tiefgehend
genug zu nehmen, was auf der einen
Seite die wirksamen Kräfte in allem Wirtschaftsleben
sein müssen und auf der anderen
Seite die wirksamen
Kräfte sein müssen in dem
eigentlichen Rechtsleben.
Was
wirkt im Wirtschaftsprozesse ? Im
Wirtschaftsprozesse wirkt das menschliche Bedürfnis,
wirkt die Möglichkeit der
Befriedigung dieses menschlichen
Bedürfnisses durch die Produktion.
Beides ist gegründet auf
die Naturgrundlage; das menschliche
Bedürfen auf die Naturgrundlage des Menschen, die
Produktion auf die klimatischen,
geographischen
und sonstigen Naturgrundlagen.
Dieses Wirtschaftsleben hat unter dem Einflusse der modernen Arbeitsteilung
eben geführt zu dem, was
der moderne Warenaustausch ist und
sein muß, jener Warenaustausch, in dem sich
nach dem Bedürfnisse der Menschen
die Waren gegenseitig
bewerten, und nach ihrer
gegenseitigen Bewertung— ich kann das nicht im einzelnen
beschreiben, es würde zu lange
dauern — auf dem Markte
erscheinen und auf dem Markte in den
Kreislauf des Wirtschaftsprozesses
einziehen.
Innerhalb
dieses Kreislaufes des
Wirtschaftslebens kann sich als in einem abgeschlossenen
Kreislauf nicht zu gleicher Zeit das
Rechtsleben entwickeln.
Die menschliche Natur läßt
ebensowenig zu, daß sich im sozialen Organismus
innerhalb des Wirtschaftslebens
selbst das Rechtsleben
entwickelt, wie sie zuläßt, daß im
menschlichen, im natürlichen Menschenorganismus nur
ein einziges, in sich
zentralisiertes System da ist. Ich will
wahrhaftig heute abend nicht spielen
mit irgendwelchen Vergleichen
aus der Naturwissenschaft; allein
ich glaube, daß gerade da ein Punkt ist, wo auch
die Naturwissenschaft über dasjenige
hinausgehen
muß, zu dem sie heute gekommen ist.
Ich habe in meinem letzten Buche: «Von
Seelenrätseln» hingewiesen, worauf
es da ankommt, was Naturwissenschaft
heute nicht ordentlich erkannt hat :
daß im gesunden menschlichen
Organismus drei Systeme vorhanden
sind, daß das Sinnes-Nervensystem
vorhanden ist, das als Träger des
Seelenlebens da ist, das
Atmungs- und Herzsystem als Träger
des rhythmischen Lebens, das Stoffwechselsystem als
Träger des Stoffwechsels, und daß
das Ganze den
menschlichen Organismus ausmacht.
Aber jedes System ist für sich zentralisiert; jedes
hat seinen eigenen Ausgang nach der
Außenwelt. In diesem
Menschenorganismus wird Ordnung und
Harmonie dadurch hervorgerufen, daß
diese drei Systeme nicht wüst
durcheinanderwirken, sondern
nebeneinander sich entfalten, und
dadurch gerade recht die Kraft des einen in das
andere hineinfließen kann.
So
muß im gesunden sozialen Organismus
eine solche Dreigliederung eintreten. Man muß
einsehen, daß, wenn der Mensch im
Wirtschaftsorganismus
sich betätigt, er dann innerhalb
dieses Wirtschaftsprozesses bloß
wirtschaften muß. Dann handelt es
sich darum, daß die Verwaltung, die Gesetzgebung
dieses Wirtschaftsprozesses darauf
ausgeht, die gegenseitige
Bewertung der Ware in der
wirtschaftlichen Wirklichkeit auf den Weg zu bringen,
in der zweckmäßigsten Weise die
Warenzirkulation
einzuleiten, die Warenproduktion
einzuleiten, die Warenkonsumtion einzuleiten. Aus
diesem bloßen Wirtschaftsprozesse
muß aber herausgeholt
werden alles dasjenige, was sich nun
bezieht nicht auf die Befriedigung des
Bedürfnisses des einen Menschen mit
dem anderen, sondern
was sich bezieht auf das Verhältnis
eines jeden Menschen zu jedem anderen Menschen.
Dasjenige, worinnen alle Menschen
gleich sein müssen, ist etwas
radikal Verschiedenes von
demjenigen, was sich im Wirtschaftsleben allein
entwickeln kann. Daher ist notwendig
zur Gesundung
des sozialen Organismus, daß
herausgeholt werde aus dem bloßen Wirtschaftsleben das
Rechtsleben, das eigentliche
Rechtsleben. Dieser Entwickelung
hat eben gerade die neuere Zeit
entgegengestrebt.
Die
bisher führenden Klassen -- was
haben sie getan? Auf denjenigen Gebieten, auf denen es
ihnen bequem war, auf denen es ihnen
für ihre Interessen richtig
erschien, da haben sie die alte
Verschmelzung, die ja schon gewiß auf vielen
Gebieten bestanden hat zwischen dem
Wirtschaftsleben
und dem politischen Staatsleben,
weiter durchgeführt. Und so sehen wir, daß in
dieser neueren Zeit, gerade unter
dem Einflusse der leitenden
Kreise der Menschheit, heraufkommt
die sogenannte Verstaatlichung
für gewisse Wirtschaftszweige.
Post-, Telegraphenwesen und ähnliches zu
verstaatlichen ist ja gefunden
worden als im modernen Fortschritt gelegen und
von diesem modernen Fortschritt
verlangt.
In
gerade entgegengesetzter Richtung
muß derjenige denken, der nun nicht auf die
Interessen der bisher führenden
Kreise sieht, sondern der frägt: Welches sind die
Grundlagen eines gesunden sozialen
Organismus?
—Der muß anstreben, daß immer mehr
und mehr gelöst werde aus dem bloßen
Wirtschaftsleben das Leben des
eigentlich politischen Staates, desjenigen
Staates, der zu sorgen hat für Recht
und für Ordnung; der
zu sorgen hat vor allen Dingen aber
dafür, daß von diesem Gebiete aus in das
Wirtschaftsleben das entsprechende
Rechtsleben hineinfließt. Derjenige unterscheidet
im menschlichen Leben nicht richtig,
der kein Auge,
kein geistiges Auge dafür hat, wie
radikal verschieden Wirtschaftsleben und das
Leben des eigentlichen politischen
Staates ist.
Sehen
wir einmal die Dinge an, wie sie
sich heute entwickelt haben. Gewisse Menschen sprechen aus dem
heutigen sozialen Zustand heraus so, sie sagen, innerhalb dieses
sozialen Zustandes haben wir als
erstes :
Tausch
von Waren gegen Waren. — Gut, das
muß sein im Wirtschaftsleben. Davon ist ja
gerade eben gesprochen worden. Dann
haben wir als zweites,
sagen sie und sie sehen das als
berechtigt an: Tausch von Waren, beziehungsweise
des Repräsentanten von Ware, des
Geldes, gegen
Arbeitskraft. Und als drittes :
Tausch von Waren gegen Rechte.
Was
ist das letztere? Über das zweite
habe ich ja schon gesprochen. Nun, wir brauchen nur
hinzusehen auf das
Grundbesitzerverhältnis in der modernen
Wirtschaftsordnung, und uns wird
sogleich klar werden, was klar sein sollte
auf diesem Gebiete für die Zukunft.
Wie man sonst auch
über das Besitzverhältnis in bezug
auf Grund und Boden denken mag — alles andere hat
für den realen Vorgang im sozialen
Organismus nicht
eigentlich eine Bedeutung; eine
Bedeutung hat lediglich das, daß der Besitzer von Grund
und Boden das Recht hat, ein Stück
Grund und Boden
allein zu benützen und bei dieser
Benützung sein persönliches Interesse geltend zu
machen.
Das
hat nicht das geringste in seinem
Ursprunge mit dem
Wirtschaftsprozesse als solchem zu
tun. Mit dem Wirtschaftsprozesse hat
einzig und allein
— dagegen kann nur eine verkehrte
Nationalökonomie etwas einwenden— dasjenige zu
tun, was auf dem Grund und Boden als
Ware oder mit
Warenwert erzeugt wird. Benützung
des Grund und Bodens beruht auf einem Rechte.
Dieses
Recht allerdings verwandelt sich
innerhalb der modernen kapitalistischen
Wirtschaftsordnung, namentlich durch
die Verquickung des
Kapitalismus mit den Grundrenten,
wiederum in eine Gewalt. Und so haben wir auf der
einen Seite die Gewalt, welche
ausschließt von solchen
Rechten; auf der anderen Seite jene
wirtschaftliche Gewalt, welche die menschliche
Arbeitskraft zwingen kann, zur Ware
zu werden.
Von
beiden Seiten her wird nichts
anderes, als eine Lebenslüge verwirklicht, wenn nicht
angestrebt wird — angestrebt wird
aus wirklicher sozialer
Einsicht heraus — die Gliederung des
sozialen Organismus in einen
Wirtschaftsorganismus und in einen
Organismus des im engeren Sinne politischen
Staates.
Der
Wirtschaftsorganismus wird begründet
werden müssen auf assoziativer
Grundlage, aus den Bedürfnissen der
Konsumtion in ihrem Verhältnisse
zur Produktion. Aus den
verschiedenen Interessen der
mannigfaltigsten
Berufskreise werden die
mannigfaltigsten Genossenschaften — man könnte
sie mit einem alten Wort auch
Bruderschaften der Menschheit
nennen — entwickelt werden müssen,
in denen verwaltet werden
die Bedürfnisse und ihre
Befriedigung.
Was
sich innerhalb dieser
Assoziationsgrundlage des
wirtschaftlichen Organismus
herausbildet, das wird immer zu tun
haben mit der Befriedigung
des einen Kreises von Menschen durch
einen anderen Kreis. Auf diesem
Gebiete wird maßgebend sein müssen
die sachverständige Verwertung erstens der
Naturgrundlage, dann aber auch die
sachverständige Ausgestaltung der
Warenproduktion, -zirkulation und
-konsumtion.
Da wird geltend sein müssen das
menschliche Bedürfnis, das menschliche Interesse.
Dem
wird immer gegenüberstehen als etwas
radikal Verschiedenes dasjenige, worinnen
Mensch und Mensch wesentlich gleich
sich gegenüberstehen, wo sie gleich
sein müssen, wie man mit einem heute
schon trivial
gewordenen Worte sagt: Wo sie gleich
sein müssen vor jenem Gesetze, das sie sich
als gleiche Menschen selber geben.
Auf
assoziativer Grundlage wird beruhen
müssen der Kreislauf des Wirtschaftsprozesses;
auf rein demokratischer Grundlage,
auf dem Prinzip
der Gleichheit aller Menschen in
ihrem Verhältnis zueinander wird ruhen müssen im
engeren Sinne die eigentliche
politische Organisation.
Aus dieser politischen Organisation
wird entspringen etwas ganz anderes
als die wirtschaftliche Gewalt,
welche die Arbeitskraft zur Ware macht. Aus dem vom
Wirtschaftsleben getrennten
politischen Leben wird
entspringen das wahre Arbeitsrecht,
wo einzig und allein nach dem, was über
Arbeitskraft zwischen Mensch und
Mensch als Menschen verhandelt
werden kann, Maß und Arbeit und
anderes über die Arbeitskraft festgesetzt
werden kann.
Wie
man auch glauben mag, daß die Dinge
in der neueren Zeit schon etwas besser geworden
seien : dasjenige, worauf es
fundamental ankommt,
ist nicht besser geworden. Durch die
Art, wie die Arbeitskraft des Proletariers im
Wirtschaftsprozesse drinnensteht,
wird der Preis der zur
Ware gemachten Arbeitskraft von den
Preisen der anderen Wirtschaftsprodukte, von
den Warenpreisen abhängen. Das sieht
jeder, der wirklich
tiefer hineinschaut in den
Wirtschaftsprozeß. Anders wird die
Sache sein, wenn
unabhängig von dem Gesetze des
Wirtschaftslebens und
seiner Verwaltung, aus dem
politischen Staate heraus, aus der
rein demokratischen Verwaltung und
Gesetzgebung des politischen Staates
heraus ein
Arbeitsrecht existieren wird. Was
wird dann eintreten?
Dann
wird eintreten, daß dasjenige, was
der Mensch durch seine Arbeitskraft dem
sozialen Organismus leistet, in
einem ebenso lebendigen,
durch sich bestimmten Verhältnis
steht wie heute die Naturgrundlagen.
Man kann innerhalb gewisser Grenzen
die technische Fruchtbarmachung des Bodens und
dergleichen etwas verschieben, die
festen Grenzen
der Naturgrundlage etwas
verschieben; allein diese Naturgrundlagen bestimmen
das Wirtschaftsleben dennoch in
ausgiebigstem Maße
von der einen Seite her. Ebenso wie
von dieser Seite her das Wirtschaftsleben von
außerhalb bestimmt wird, so muß von
der anderen Seite
her das Wirtschaftsleben von außen
bestimmt werden, indem es nicht mehr
die Arbeitskraft von sich abhängig
macht, sondern die aus rein menschlichen
Untergründen heraus bestimmte
Arbeitskraft dem Wirtschaftsleben
dargeboten werden kann. Dann macht
die Arbeit den Preis
der Ware, dann bestimmt nicht mehr
die Ware den Preis der Arbeit !
Dann
kann nur höchstens das eintreten,
daß, wenn aus irgendwelchem Grunde
die Arbeitskraft nicht genügend
geleistet werden kann, das Wirtschaftsleben
verarmt. Dem muß aber abgeholfen
werden dadurch,
daß auf rechtlichem Boden die
Abhilfe gesucht wird, und nicht aus dem bloßen
Wirtschaftsleben.
Zugrunde
liegt beim Wirtschaftsleben nur
dasjenige, was nach Angebot und Nachfrage
frägt. Mit dem Arbeitsrecht, das
gestellt wird auf die Grundlage des
selbständigen politischen Staates,
werden aber notwendig
auch alle übrigen Rechte auf diese
selben Grundlagen gestellt werden. Kurz, man wird —
ich kann das nur andeuten wegen der
Kürze der Zeit — notwendigerweise
sehen müssen gerade in der
Auseinanderschälung
der beiden Gebiete : des
Rechtslebens und des
Wirtschaftslebens, das
Ideal eines gesunden sozialen
Organismus in der Zukunft.
Und
als drittes muß sich angliedern
diesem selbständigen
Wirtschaftsleben, diesem
selbständigen Rechtsleben dasjenige,
was man das geistige Leben
der Menschheit nennen kann.
Darinnen
wird man, indem man von dieser
wahren Fortsetzung der proletarischen
Weltanschauung spricht, am meisten
auf Widerstand stoßen.
Denn es ist in die menschlichen
Denkgewohnheiten auf diesem Gebiete, mehr noch gerade
als in anderes, eingegangen die
Meinung, daß nur
durch das Aufsaugen des gesamten
geistigen Lebens vom Staate das Heil
der Menschheit abhängen könne; und
man durchschaut noch nicht, wie die Abhängigkeit,
in die das geistige Leben vom Staate
gekommen ist
gerade in der neueren Zeit, aus dem
hervorgegangen ist, was man nennen kann das
Interesse der bisher führenden
Kreise an dem Staate, der eben diese
führenden Kreise so recht befriedigt
hat. Diese führenden Kreise,
sie haben ihre Interessen in diesem
Staate befriedigt gefunden; sie haben dasjenige,
was sie geistiges Leben nennen,
immer mehr und mehr
von diesem Staate aufsaugen lassen.
Wie der politische Staat durch Zwangssteuergesetze
genötigt ist, dasjenige
herbeizuschaffen, was die Gleichheit aller
Menschen vor dem Gesetze begründen
kann, und wie der
Staat genötigt ist, durch die
Zwangssteuer seine Bedürfnisse zu befriedigen, so muß auf
der anderen Seite das geistige Leben
wirklich emanzipiert werden von den
beiden anderen Gebieten des sozialen
Organismus.
Gerade
was man auf diesem Gebiete
angestrebt hat : die Verquickung des Geisteslebens mit
dem Staats- und Wirtschaftsleben,
das ist es, was zum
Unheil der neueren Zeit
ausgeschlagen hat. Denn dasjenige,
was im Geistigen
leben soll, das kann sich nur
entwickeln, wenn es im Lichte der wahren Freiheit
sich entwickeln kann. Alles
dasjenige, was nicht im Lichte der wahren
Freiheit sich entwickeln kann, das
verkümmert und lähmt
das wirkliche Geistesleben und
bringt es außerdem auch auf Abwege,
die man in der neueren
gesellschaftlichen Ordnung nur
leider all-zugut
bemerken kann. Was aber notwendig
ist auf diesem Gebiete, ist : zu durchschauen,
welcher innere Zusammenhang besteht
zwischen dem Geistesleben
im engsten Sinne, und dem religiösen
Leben, dem wissenschaftlichen
Leben, dem künstlerischen Leben, dem
Leben in einer gewissen
Sittlichkeit, welcher Zusammenhang
ist zwischen diesem Leben und alledem, was
überhaupt hervorgeht aus den
individuellen menschlichen
Fähigkeiten und Geschicklichkeiten.
Daher
muß jetzt, wo über diese Dinge hier
in ernstem Sinne gesprochen wird, in ernstem
Sinne eines gesunden sozialen
Organismus gesprochen
wird, gesprochen werden so, daß
unter das geistige Leben gezählt wird alles
dasjenige, was überhaupt mit der
Entfaltung, der Entwickelung
der individuellen Fähigkeiten etwas
zu tun hat, alles dasjenige, was damit zu tun
hat, vom Schulwesen angefangen bis
hinauf zum Universitätswesen,
bis hinein in das künstlerische, bis
in das sittliche Leben,
ja, bis auf diejenigen
Geisteszweige, die die Grundlage des
praktischen,
auch des Wirtschaftslebens
ausmachen. Auf allen diesen Gebieten muß angestrebt
werden Emanzipation des geistigen
Lebens. So daß dieses
geistige Leben gestellt werden kann
in die freie Initiative desjenigen, der die
individuellen Fähigkeiten des
Menschen hat, und daß dieses freie Geistesleben nur
da sein kann dann in entsprechender
Weise im gesunden
sozialen Organismus, wenn es auch in
seiner Geltung beruht auf der freien Anerkennung,
auf dem freien Verständnisse
derjenigen, die es entgegenzunehmen
nötig haben. Das heißt, es darf in
Zukunft nicht mehr
irgendwie aus der Summe desjenigen,
was man in der Tasche hat oder im Geldschrank,
oder aus der Bürokratie des Staates
heraus das Geistesleben
verwaltet werden.
Nicht
allein dadurch, daß dieses
Geistesleben verwaltet worden ist vom Staate, hat es
einen gewissen Charakter angenommen
in bezug auf die Persönlichkeiten,
die drinnenstehen, in bezug auf die
Persönlichkeiten,
die es verwalten, sondern dieses
geistige Leben, wie wir es heute haben, wie es mit Recht
der moderne Proletarier als eine
Ideologie empfindet,
dieses geistige Leben, das ist doch
zu einem Spiegelbilde desjenigen
geworden, was sich an Interessen, an
Bedürfnissen der führenden, leitenden Kreise für
und durch den modernen Staat, den
sie sich selbst ihrer
eigenen Bequemlichkeit nach gebildet
haben, nach diesem Bedürfnisse herausgestaltet
hat. Ist es im letzten Grunde
richtig, daß alles geistige
Leben nur ein Spiegelbild
gewissermaßen, nur ein Überbau des wirtschaftlichen oder
des staatlichen Lebens ist? Das
moderne geistige Leben
der führenden Kreise ist nur ein
solcher Überbau. Gewiß, Chemie, Mathematik, sie
werden nicht leicht ihrem Inhalte
nach den Charakter
annehmen können, der sich aus den
Interessen der führenden Kreise ergibt. Allein
schon der Umfang, in dem sie
betrieben werden, aber
namentlich das Licht, das von den
anderen Zweigen des Geisteslebens auf sie fällt, das
ist bestimmt durch die Tatsache, daß
mit den Interessen
der leitenden, der bisher leitenden
Kreise der Menschen die Interessen des modernen
Staatslebens und damit die
Interessen des modernen Geisteslebens im Staate
zusammenwachsen.
Ja,
dieses moderne Geistesleben, es ist
gerade auf den wichtigsten Gebieten, da, wo es
eingreifen soll in Menschenseelen,
wenn es sich seinen Platz
bestimmen soll in der sozialen
Ordnung, ein Spielball des Wirtschaftslebens und des
politischen Lebens geworden. Man
kann es sehen an der Art, wie bis in
diese furchtbare kriegerische
Katastrophe herein diejenigen
Träger des geistigen Lebens, die auf
dem Umwege des Kapitalismus
verbunden waren mit dem modernen
Staatsleben, im Grunde genommen gerade auf den
wichtigsten Lebensgebieten des
Geistes dasjenige
hervorgebracht haben, was in den
Dienst des modernen Staates hat gestellt werden
können.
Man
könnte da nicht hundertfach, sondern
tausend- und abertausendfach die Beweise
finden. Sie brauchen nur das eine zu
bedenken : Nehmen
Sie die deutschen
Geschichtsprofessoren, die Träger
der geschichtlichen
Wissenschaft. Versuchen Sie sich ein
Bild zu machen von alledem, was sie produziert
haben mit Bezug auf die Geschichte
der Hohenzollern,
und fragen Sie sich, ob nun jetzt
nach diesem weltgeschichtlichen Ereignisse die
Geschichte der Hohenzollern ebenso
aussehen wird, wie sie vorher
ausgesehen hat ? Daran kann man
ersehen, wie das geistige Leben
durch die Verhältnisse ein bloßes
Spiel geworden ist desjenigen, von
dem es eben nicht frei gewesen ist.
Frei
werden muß das Geistesleben von den
beiden anderen Gebieten. Dann aber
kann das Geistesleben in seine ihm
eigene Gesetzgebung und Verwaltung
aufnehmen dasjenige — so sonderbar
es klingt und so überraschend es für
manchen sein wird, es muß gesagt
werden —, was heute einzig
und allein aus den kapitalistischen
Vorurteilen hervorgehen kann : dann kann das
Geistesleben der Überwinder des
bloßen wirtschaftlichen
proletarischen Interesses wirklich
werden. Denn das geistige
Leben ist ein einheitliches. Das
geistige Leben geht von dem höchsten Zweige des
Geisteslebens herunter bis in jene
Verzweigungen, die dadurch
entstehen, daß irgend jemand aus
seinen individuellen Fähigkeiten heraus
irgendeine Unternehmung zu leiten
hat. So wie er sie heute leitete, so leitete er
sie aus dem Wirtschaftsleben heraus
unter der Wirkung
der Gewalt, der wirtschaftlichen
Gewalt. So wie er sie zu leiten hat
im gesunden
sozialen Organismus, so ist das aus
dem Geistesleben heraus.
Das Geistesleben hat im gesunden
sozialen Organismus seine eigene Gesetzgebung und
Verwaltung in bezug auf die höchsten
Zweige
dieses geistigen Lebens, aber auch
mit Bezug auf alles dasjenige, was geistig in den
Wirtschaftsprozeß gerade dann
hineinwirken wird, wenn das geistige
Leben als solches selbständig ist.
Dann
wird auftreten in diesem
Wirtschaftsprozeß in der richtigen Weise der Einfluß des
emanzipierten, des selbständigen
Geisteslebens. Dann
wird dasjenige, was eben durch das
Kapital geleistet werden wird, nicht mehr im Sinne des
modernen Kapitalismus geleistet
werden können.
Dann wird es geleistet werden können
allein nach den Impulsen, die das geistige Leben
selber gibt.
Nur,
man muß sich von diesen Impulsen die
richtigen Vorstellungen machen. Wie wird zum
Beispiel ein Betrieb unter diesen
Impulsen eigentlich
ausschauen?
Wer
das Geistesleben in seinem Fundament
kennt — ich weiß das ganz gut —, der wird mir
nicht widersprechen, wenn ich die
folgende Schilderung
gebe von einem Betrieb, der seine
Impulse nicht von der wirtschaftlichen Gewalt,
sondern von der Gewalt des
Geisteslebens erhält : Da wird
derjenige durch das freie
Verständnis der mit ihm
Mitarbeitenden in die Lage versetzt
werden, aus einem gewissen
Kapitalfonds heraus
dasjenige zu unternehmen, was nun
nicht zu seinem Nutzen, sondern wegen des sozialen
Verständnisses, das er sich im
richtigen Geistesleben
angeeignet haben wird, unternommen
wird. Dann wird in einem solchen Betriebe
gegenüberstehen derjenige, der durch
das freie Verständnis
seiner Mitarbeiter bis zum letzten
Arbeiter herunter, durch das freie Verständnis an
seinen Posten gestellt ist, dann
wird, weil dann ein Verhältnis
des freien Verständnisses eintreten
wird zwischen diesem Leiter
eines Betriebes und denjenigen, die
arbeiten, sich ganz notwendig dasjenige herausbilden,
was da macht, daß neben den
Arbeitsstunden eingeführt
wird innerhalb eines jeden Betriebes
und innerhalb der Genossenschaften
von Betrieben, die Möglichkeit eines
freien Aussprechens
über die ganze Art, wie der
Wirtschaftsprozeß im sozialen Gesamtorganismus
drinnensteht. Dann wird unter dem
Einflusse eines solchen
Geisteslebens derjenige, der an der
Stelle stehen wird, wo heute der kapitalistische
Unternehmer steht, sich zu
offenbaren haben in bezug auf alles dasjenige, was
seine Ware hineinstellt in den
gesamten Gesellschaftsprozeß
der Menschheit. Dann wird jeder
einzelne einsehen, welchen
Weg das Produkt nimmt, zu dem er
seine Arbeit beisteuert, das Produkt des
handwerklichen Arbeiters und
desjenigen, der diese handarbeitliche Arbeit
durch seine besonderen individuellen
Fähigkeiten zu leiten hat. Dann wird
allein aber auch dasjenige eintreten
können, was dem Arbeiter die
Möglichkeit gibt, einen wirklichen
Arbeitsvertrag zu schließen.
Denn ein wirklicher Arbeitsvertrag
kann nicht geschlossen werden, wenn er
geschlossen wird auf Grundlage der
Voraussetzung, daß
Arbeitskraft Ware ist. Ein wahrer
Arbeitsvertrag darf gar nicht auf diesen Grundlagen
aufgebaut werden; sondern einzig und
allein kann ein
wirklicher Arbeitsvertrag nur
aufgebaut werden auf der Grundlage,
daß die Arbeit, die notwendig ist
zur Herstellung eines Produktes, auf
Grundlage
des Rechtes geleistet wird, daß aber
mit Bezug auf das Wirtschaftliche
das gehörige Zusammenarbeiten
zwischen handwerklichem und geistigem Arbeiter
entsteht, daß mit Bezug auf das
Wirtschaftliche jener
Teilungsvorgang zwischen dem
handwerklich und geistig Arbeitenden stattfinden muß,
der allein aus der freien Einsicht
auch des handwerklichen
Arbeiters hervorgehen kann, weil
dieser handwerklich Arbeitende dann wissen wird
aus dem geistigen Zusammenleben mit
dem Leitenden,
in welchem Grade seine Arbeit
dadurch, daß die Leitung da ist, zu seinem
eigenen Vorteil einfließt in den
sozialen Organismus.
Nur
in einem solchen Zusammenarbeiten
hört die Möglichkeit auf, daß die Unternehmungen,
die auf Kapitalgrundlage gebaut
werden müssen,
auf den Vorteil, auf den
egoistischen Vorteil aufgebaut
werden. Dann
allein, wenn in dieser Weise der
soziale Organismus gesundet, dann
allein kann das heutige
Profitinteresse ersetzt werden durch
das rein
sachliche Interesse. Und
heraufziehen wird in einem größeren
Umfange, als das in früheren Zeiten
der Fall war, wiederum der Zusammenhang zwischen dem
Menschen und seiner Arbeit.
Sehen
wir uns heute diesen Zusammenhang
zwischen dem Menschen und seiner
Arbeit an. Da ist auf der einen
Seite der Unternehmer, der da
leistet dasjenige,
was er auch als Arbeit ansieht, aber
er macht sich so schnell
als möglich weg von dieser Arbeit.
Er drückt das sogar dadurch aus, daß er, wenn er
sich weggedrückt hat von seiner
Arbeit, er das Reden
über diese Arbeit als «Fachsimpelei»
bezeichnet. Er macht sich weg, und er sucht durch
allerlei anderes dann zu dem zu
kommen, was er als
Mensch anstrebt. Gerade durch ein
solches Verhältnis des Menschen zu seiner Arbeit drückt
sich aus, wie wenig der Mensch mit
seiner Arbeit verwachsen
ist.
Das
aber ist ein ungesundes Verhältnis.
Das ist ein ungesundes Verhältnis, welches
das andere nach sich ziehen mußte,
daß, indem das moderne
Proletariat hinweggerissen ist von
dem Boden des alten Handwerkes, wo der Mensch
mit seinem Beruf verwachsen war, aus
seinem Berufe
seine Ehre, seine Menschenwürde
gezogen hat, und wo er hingestellt worden ist zu
der Maschine, eingespannt worden ist
in der Fabrik; da wird in ihm jenes
Ungesunde erzeugt, daß er kein
Verhältnis gewinnen kann zu seiner
Arbeit.
Aber
derjenige, der das Geistesleben in
seiner wahren Grundlage erkennt, der weiß, daß
solch ein ungesundes Verhältnis
zwischen dem Menschen
und seiner Arbeit nur eben unter
ungesunden Voraussetzungen auch entstehen
kann. Es gibt nichts in einem
gesunden Geistesleben,
das frei ist vom politischen und
frei ist vom Wirtschaftsleben und auf diese nur
zurückwirkt, es gibt nichts
innerhalb eines solchen Geisteslebens, das nicht
unmittelbar interessant ist, und
was, wenn es nur richtig
gehandhabt wird, den Menschen knüpft
an seine Arbeit, weil er weiß: dasjenige, was er
arbeitet, wird ein Glied in dem
Kreislauf des sozialen
Organismus. Das ist nicht etwas, was
nur beurteilt werden darf als so, daß es nicht
anders sein könne, daß der Mensch
auch Uninteressantes
tun müsse. Nein, das muß so
beurteilt werden, daß gerade jene Grundlage des
Geisteslebens aufgesucht wird,
welche einzig und allein Interesse, Zusammenhang
des Menschen mit seiner Arbeit und
Interesse
für diese Arbeit auf allen Gebieten,
bei jeglicher Arbeit hervorrufen kann.
Da
wird sich zeigen, daß, wenn das
emanzipierte freie Geistesleben aus geistigen Impulsen
heraus bis in die einzelnsten
Verzweigungen hinein
das staatliche und das
Wirtschaftsleben in seinen
Verwaltern versorgt,
daß dann allein dasjenige eintreten
kann, was ein wirkliches, sachliches Interesse an
allem wird und nicht ein bloßes
kaufmännisches, nicht
ein bloß äußeres Wirtschafts- und
Vorteilsverhältnis begründet.
Allerdings
muß einem solchen Geistesleben die
Grundlage geschaffen werden.
Diese Grundlage kann nur geschaffen
werden, wenn alles Schulwesen
in die Verwaltung des geistigen
Lebens selbst gestellt wird, wenn
der unterste Lehrer nicht mehr zu
fragen hat : Was verlangt der
politische Staat von mir? —, sondern
wenn er hinaufzuschauen hat zu
denjenigen, zu denen er Vertrauen
hat, wenn er hinschaut zu dem das Geistesleben nach ihren
eigenen Grundsätzen verwaltenden
Gebiete des sozialen
Organismus.
So
wirkt in vieler Beziehung dasjenige,
wovon ich glaube, daß es sich naturgemäß ergibt.
Gerade aus einer wahren Fortsetzung
der proletarischen
Weltanschauung wirkt es den
Denkgewohnheiten entgegen. Denn während man es als
Erbgut übernommen hat gerade von der
bürgerlichen
Wissenschaft : Geistesleben, Staat,
Wirtschaftsleben miteinander zu verschmelzen,
handelt es sich darum, daß zur
Gesundung des sozialen
Organismus angestrebt werden muß die
Verselbständigung der angeführten drei
Gebiete. Nur dadurch, daß
gewissermaßen jedes dieser Gebiete — wenn ich mich
jetzt gangbarer Ausdrücke bedienen
darf— sein eigenes
Parlament und seine eigene
Verwaltung hat, die zueinander stehen wie die Regierungen
souveräner Staaten, nur durch
Delegationen miteinander
verhandeln, nur ihre gemeinsamen
Bedürfnisse im Verkehre
austauschen, dann allein kann der
soziale Organismus gesunden. Und die Frage ist heute
die Grundfrage, die aus allen
Tatsachen hervorgeht:
Wie kann der soziale Organismus
gesunden? Das ist mit Händen zu greifen: er ist
krank, dieser soziale Organismus !
Diejenigen,
die aus ihrem Klassenbewußtsein
heraus die berechtigte Forderung aufstellen
müssen, daß dieser soziale
Organismus gesunde, die
haben gerade nötig, die
proletarische Weltanschauung zu
verfolgen auf
ihre fruchtbaren Keime hin und sie
in entsprechender Weise weiterzubilden.
Ich
gebe zu, daß es zunächst manchem
gegen dasjenige sprechen kann, was er als das
Richtige heute anschaut, wenn gesagt
wird : Es muß die
Richtung genommen werden nach dieser
sozialen Dreigliederung, dieser Dreigliederung
des sozialen Organismus. —Aber so
sehr dies den Denkgewohnheiten
von manchem in der Gegenwart
widerspricht, die Wirklichkeit
darf sich nicht nach unserer
Bequemlichkeit richten, nicht nach dem, was die
glauben, die sich bisher für
Lebenspraktiker gehalten haben. Die Wirklichkeit
muß sich nach dem richten, was man
aus einem ehrlichen,
gesunden Wahrheitssinn heraus für
das Richtige erkennen kann.
Das,
was ich auseinandergesetzt habe,
bezieht sich nicht auf irgendein Wolkenkuckucksheim. Oh,
die Zeiten sind da, wo mancher, der
sich, weil
er nur das Einfache überschauen
konnte und danach sich seine
Denkgewohnheiten bildete, der sich
dadurch für einen Lebenspraktiker
hielt, wird zugeben müssen, daß die
verpönten, so sehr verpönten Idealisten, die aus
Entwickelungsnotwendigkeiten der
Menschheit heraus denken,
die wahren Lebenspraktiker sind.
Dasjenige, was ich Ihnen angegeben
habe, ist nicht ein
Wolkenkuckucksheim; es ist entnommen
gerade aus
dem, was die unmittelbarsten,
alltäglichsten Lebensbedürfnisse der Menschheit sind.
Ich
kann natürlich nicht auf alle
einzelnen Gebiete mich einlassen;
ich will
zum Schlusse ein einziges Gebiet
berühren, ein Gebiet, an dem sich, wenn ich es auch nur
flüchtig berühren kann, zeigen wird,
wie dasjenige, was ich scheinbar von
dem Urgedanken des sozialen Lebens
hergeleitet habe,
in das Allerärgste eingreift. Was
ist im Leben das Allerärgste ? Das Allerallerärgste ist,
daß wir etwas, was wir Geld nennen,
in unserer Tasche
haben müssen. Aber Sie wissen auch,
was an diesem Gelde hängt.
Sie wissen, wie dieses Geld
eingreift in alles Leben. Wenn man
die Entwickelung
des gesunden sozialen Organismus ins
Auge faßt: welchem
Gliede kommt denn die Verwaltung des
Geldes zu? Diese Verwaltung des Geldes hat
bisher aus gewissen
Entwickelungskräften, die sehr alt sind, der Staat
besorgt. Das Geld aber ist
ebensowahr in einem gesunden Organismus Ware,
wie die Arbeitskraft nicht Ware ist.
Und alles Ungesunde,
das von der Seite des Geldes aus
eingreift in den sozialen Organismus, besteht
darinnen, daß das Geld des
Warencharakters dadurch
entkleidet wird, daß es heute mehr
beruht auf der Abstempelung von irgendeiner
Marke durch den politischen Staat,
als auf dem, worauf es ja noch, weil
es da nicht anders geht im
internationalen Verkehr,
beruhen muß : auf seinem Warenwert.
Die Nationalökonomen haben
heute einen komischen Streit, einen
Streit, der auf den Einsichtigen wirklich komisch
wirkt. Sie fragen, ob das Geld eine
Ware ist, nur eine
beliebte Ware, für die man immer
andere Waren eintauschen kann, während man sonst, wenn
man zum Beispiel gerade das Unglück
hat, nur
Tische und Stühle zu fabrizieren,
umherziehen müßte mit Tischen und Stühlen und warten,
ob einer einem dafür Gemüse gibt,
kann man, indem
man zuerst Tische und Stühle für
Geld eintauscht, für die Ware Geld
Dinge bekommen, die einem gerade
recht sind, nach denen man gerade
Bedarf hat. Während die einen sagen:
Dieses Geld ist eine Ware oder
wenigstens der Repräsentant der
Ware, für das da sein muß, auch wenn es
Papiergeld ist, der entsprechende Gegenwert in Waren,
sagen die
anderen : Das Geld ist überhaupt nur
dasjenige, was entsteht, indem der Staat durch ein
Gesetz eine gewisse Marke
abstempelt. Und nun forschen sie nach, diese
nationalökonomischen Gelehrten, sie
forschen nach:
Was ist das Richtige? Ist das Geld
Ware, oder etwas, was durch eine bloße Abstempelung
entsteht ? Ist es eine bloße
Anweisung auf die Ware?
Die
Antwort auf diese Fragen ist einfach
diese : daß das Geld weder das eine noch das
andere ist, sondern heute beides
ist. Das eine ist es dadurch,
daß der Staat eben gewisse Marken
abstempelt; das andere ist, daß im internationalen
Verkehre oder in gewisser Beziehung
auch im nationalen
Verkehre das Geld nur als Ware in
der Warenzirkulation mit-zirkulieren kann.
Der
gesunde soziale Organismus wird das
Geld jedes Rechtscharakters entkleiden; er
wird es derjenigen Verwaltung und
Gesetzgebung zuweisen,
durch seinen eigenen, natürlichen
Prozeß, auch die Hineinstellung des Geldes,
Prägung des Geldes, Wertbestimmung
des Geldes innerhalb
des Wirtschaftskreislaufes, diesem
selben Parlament, dieser selben Verwaltung, die
den übrigen Wirtschaftsorganismus
verwaltet.
Erst
dann kann, wenn so etwas eintritt,
dasjenige, was vom modernen Proletariat erstrebt
werden muß, auf eine gesunde Basis
gestellt werden. Jenes
merkwürdige Verhältnis, das da
besteht zwischen dem Arbeitslohn und der
Warennatur, dieses Verhältnis, es
beruht ebenfalls eigentlich auf einer
Lebenslüge. Während auf der einen
Seite der Arbeiter glaubt,
durch seine Forderung nach höherem
Lohn, wenn er diese befriedigt
erhält, dann gesündere
Lebensverhältnisse zu erlangen,
steigt immer
auf der anderen Seite der Preis der
Waren, solange nicht emanzipiert wird der
Wirtschaftskreislauf von dem
Rechtskreislauf des politischen Staates. Diese
Dinge werden alle erst auf eine
gesunde Basis gestellt
werden können, wenn diese
Dreigliederung eintreten wird.
Ebenso
wird man, wenn man die notwendige
Selbständigkeit des Geisteslebens einsehen
wird, einsehen, daß keine
Notwendigkeit besteht, die kapitalistischen
Betriebe als solche hervorzurufen,
sondern die Art und
Weise, wie im Laufe der neueren Zeit
das Kapital verwaltet worden ist,
wie es verwendet worden ist dadurch,
daß es allein im Wirtschaftsprozeß drinnensteht,
das ist es, was das Kapital in
seiner Wirksamkeit zu den Schäden gebracht
hat, mit denen soviel Elend
verknüpft ist.
Man
wird einsehen müssen : Solange nicht
der Arbeitsvertrag auf die Teilung desjenigen sich
bezieht, was gemeinsam der
Handarbeiter mit dem
Geistesarbeiter hervorbringt,
sondern solange sich der Arbeitsvertrag auf die Entlohnung
der Arbeit bezieht, so lange ist es
unmöglich, daß dies auf eine gesunde
Basis gestellt wird.
Einzig
und allein dadurch, daß dem
Geistesleben seine gesunde
Wirklichkeit gegeben wird, wird
aufgedeckt werden in jedem Falle, in
dem es notwendig
ist in dem Verhältnis zwischen
Arbeiter und geistigem Lenker, daß da, wo der
Arbeiter übervorteilt ist, er nicht
durch die Wirtschaft
bloß übervorteilt ist, sondern
dadurch übervorteilt ist, daß
derjenige, der der Unternehmer ist,
seine individuellen Eigenschaften,
seine geistigen
Eigenschaften in einer nicht
richtigen Weise, in einer nicht rechtlichen, in einer
nicht menschenwürdigen Weise
verwertet. Der Arbeiter
wird nicht durch das
Wirtschaftsleben ausgebeutet, der
Arbeiter
wird durch jene Lebenslüge
ausgebeutet, die dadurch entsteht,
daß im
heutigen gesellschaftlichen
Organismus die individuellen
Fähigkeiten
gerade verwendet werden können zur
Übervorteilung des Arbeiters, weil sie innerhalb des
Wirtschaftsprozesses nicht gesehen
werden können
von beiden Seiten; innerhalb des
gesunden Geisteslebens werden sie von beiden Seiten
gesehen und kontrolliert werden.
Wie
gesagt, ich kann es gut einsehen,
daß dasjenige, was ich hier angeführt habe gerade zur
Gesundung des sozialen Organismus,
heute auch noch
manchem Proletariergemüte
widerstreben kann. Ich kann es einsehen. Ich habe seit
Jahren unter Arbeitern, mit
Arbeitern über diese Dinge
gesprochen. Ich habe ja nicht nur
einzelne Zweige des Unterrichts innerhalb der
Arbeiterbildungsschule verwaltet,
ich habe mit den Arbeitern
auch Redeübungen getrieben. In den
Übungen, die zur Redeübung
getrieben wurden, wurde mancherlei
auch von seiten der Arbeiter vorgebracht in
dieser Gemeinschaft, was so recht
zeigte, welche besondere
Färbung, welche besondere Artung die
Forderungen des modernen
Proletariats haben. Da bekommt man
schon die Fähigkeit, nicht
nur so, wie die Angehörigen der
heutigen leitenden Kreise oder der bisher leitenden
Kreise es tun, nur über den
Proletarier denken — nein,
man erlangt die Fähigkeit, mit dem
Proletarier zu denken. Das ist es,
was ich Ihnen heute sagen wollte :
mit dem Proletarier zu denken, nicht nur über ihn zu
denken !
Meinem
Wollen nach gedacht, ist es so — das
möchte ich, daß Sie das verstanden haben —, daß
man vielleicht mit Bezug auf den
Inhalt der Meinungen
da oder dort voneinander abweichen
könne, daß es aber zunächst
im heutigen weltgeschichtlichen
Augenblicke nicht darauf ankommt, ob
man in der einen oder in der anderen
Meinung abweicht, sondern
ob man zusammenstimmt in jener
ehrlichen Forderung, die sein muß die Forderung des
modernen Proletariats. Allein
dadurch, daß man sich
zu dieser Übereinstimmung bequemt,
zu der Übereinstimmung in dem ehrlichen Wollen,
einzig und allein dadurch können die
Keime gefunden werden, die in der
proletarischen Weltanschauung zur
Weiterbildung liegen. Denn der
Zeitpunkt ist vorüber, wo bloß
diskutiert werden
kann ; der Zeitpunkt ist vorüber, wo
Leute, die nur ihrem Interesse dienen wollen, von
Verständigung sprechen durften. Der
Zeitpunkt ist gekommen,
wo die jahrzehntelangen, bloß aus
den Unterströmungen hervorgehenden
Forderungen des modernen
Proletariers auf den weltgeschichtlichen Plan
treten, wo sie wirklich zu dem
allerwichtigsten, allerbedeutungsvollsten
Ereignis der neueren Zeit werden.
Was
aus dem Chaos des modernen
Wirtschaftskrieges, des modernen Weltkrieges sich
herausgebildet hat, was lange Zeit,
ja was vielleicht für die Zukunft immer mehr
die Zukunft erfüllen wird, das wird
die soziale Frage
sein. Nicht eine unwirkliche, nicht
eine theoretische Lösung oder den Versuch einer
solchen wollte ich Ihnen heute
vorführen; auf das wollte ich
aufmerksam machen, daß nun einmal
die Zeit angebrochen ist,
wo die soziale Frage da ist, wo die
Menschen in ihrem sozialen Zusammenwirken so
gegliedert werden müssen in Staats-,
Wirtschaftsund geistige Organe, daß
aus dieser gesunden Gliederung eine
fortdauernde
Lösung der sozialen Frage
hervorgehen kann.
Diese
soziale Frage wird nicht von heute
auf morgen gelöst werden, nachdem sie einmal da
ist; sondern weil sie immer da sein
wird, wie das Leben
seine Konflikte immer neu erzeugt,
so wird immerzu auch jene Gliederung der
Menschheit da sein müssen, welche
nach der Lösung der im sozialen
Leben aufgehenden Konflikte in
ehrlicher Weise strebt. Ob man versuchen wird, in
weitesten Kreisen darauf aufmerksam
zu werden,
daß in einer solchen
Fortentwickelung der proletarischen
Weltanschauung
die Gesundung in die Zukunft hinein
liegen wird, davon wird es abhängen,
wohin der Ausgangspunkt der modernen
proletarischen Bewegung
führen wird. Und er muß eigentlich
dahin führen, aus all den berechtigten
Forderungen der Lohnfrage, der
Brotfrage heraus sich zu erheben zu jener
mächtigen, weltgeschichtlichen
Umwälzung, die aus dem
Bewußtsein
des modernen Arbeiters heraus
übergehen wird in das allgemeine
Menschheitsbewußtsein, die aus der
Würde, aus der empfindungsgemäßen
Würde des modernen Proletariers
heraus begründen wird
die wahre Menschenwürde für alle
Menschen, die die anderen bisher
nicht begründen konnten.
***
In
der sich anschließenden Diskussion
äußerten sich mehrere Redner. Den
Abschluß bildete
das folgende Schlußwort Rudolf
Steiners :
Rudolf
Steiner: Ja,
ich muß zunächst einmal mit Bezug
auf den verehrten
ersten Einredner etwas wie eine
prinzipielle Bemerkung machen. Man ist sehr häufig,
wenn man redet, in der Lage, sagen
zu müssen,
daß man eigentlich nicht recht
versteht, warum Dinge, wie sie von
dem ersten
Redner gesagt worden sind, just in
der Form gesagt werden müssen, als wenn es eine
Widerlegung dessen wäre, was man
selbst gesagt hat.
Der erste Redner hat so gesprochen,
als wenn er in die Notwendigkeit versetzt wäre,
mich gewissermaßen in allen Stücken
— wenn er auch manches
anerkannt hat, so wenigstens in
bezug auf die ganze Haltung — eigentlich bekämpfen zu
müssen. Ich bin nicht in der Lage,
ihn bekämpfen
zu müssen, sondern ich muß sagen,
daß ich eigentlich meine, daß derjenige, der mir
recht zugehört hat, gar nicht soviel
haben wird gegen dasjenige,
was der erste Redner gesagt hat. Ich
bin in der Lage, in vielem mehr anerkennen zu
können, auch in bezug auf das
Inhaltliche, das, was er ausgesprochen hat,
als er dasjenige irgendwie ins Auge
zu fassen scheint,
was ich eigentlich gewollt habe.
Nun,
eines scheint mir wichtig zu sein in
den Einzelheiten. Es ist merkwürdig, daß der
erste Herr Redner glaubte,
hervorheben zu müssen,
daß dasjenige, was ich gesagt habe,
entstanden sei dadurch, daß ich nur mit Arbeitern
gesprochen habe, nicht mit Arbeitern
mitgewirkt habe.
Ja, nun, natürlich kann jeder nur
auf seinem Gebiet wirken; aber die
Art und Weise, wie ich mit Arbeitern
zusammengewirkt habe, war schon so, daß man nicht
sagen kann, daß es bloß mit
Arbeitern gesprochen war. Ich glaube
auch, daß derjenige, der vielleicht
mehr eingeht auf das,
was auch den heutigen Vortrag
durchsetzte, auf das ganze Wollen es
begreiflich
finden wird, daß ich jahrelang nicht
so angesprochen worden bin, obwohl ich es
begreife, daß ich heute so
angesprochen werde. Ich bin nicht immer so
angesprochen worden, allein das
glaube ich, aus dem einfachen
Grunde, weil dazumal die Arbeiter
schon gefühlt haben, daß dasjenige, was ich zu
sagen habe, nicht heraus gesprochen
ist aus dem bloßen
Reden mit den Arbeitern.
Wenn
es mir möglich geworden ist, in
einer solchen Weise zu reden, wie ich auch heute
wieder reden mußte, so ist das
wahrhaftig nichts Angelerntes.
Denn, werfen wir einmal die Frage
auf: Wer darf sich denn eigentlich
zu den Proletariern rechnen?
Derjenige der mit den Proletariern,
zu den Proletariern reden darf
dadurch, daß er durch sein Schicksal und durch eigene
Kraft sich dazu durchgerungen hat,
so zu reden, wie
ich es heute aber auch nur als
freier Redner kann. Denn in den Kreisen, mit denen mir
vorgeworfen worden ist, Gemeinschaft
zu haben, ja, da bin ich vielleicht
schon genau ebenso, vielleicht noch
viel übler behandelt
worden, als ich heute abend hier
behandelt worden bin. Es ist doch
etwas anderes, wenn man sich, wie
ich, ja auch entsprechend
durchgerungen hat; ich werde es auch
weiter in dem kurzen Leben, das mir noch zur Verfügung
steht. Ich habe mich aber jahrelang
durchgerungen
dadurch, daß ich mit den
Proletariern gesprochen, mit den Proletariern gearbeitet,
mit dem Proletariat mitgehungert
habe. Ich habe nicht
«Postbeamte gefragt, wieviel sie
haben, um dabei verhungern zu können», sondern ich
habe selbst mithungern müssen. Denn
diejenige Familie, aus der ich
herausgewachsen bin, war in einer
viel übleren Lage, als
vielleicht jene «Postbeamten» alle,
die man heute fragen kann. Ich habe nicht allein
gelernt, den Proletarier zu
verstehen dadurch, daß ich über ihn denken lernte,
sondern ich habe gelernt, den
Proletarier dadurch
zu verstehen, daß ich selber mit
ihnen, mit den Proletariern gelebt habe, daß ich
herausgewachsen bin aus dem
Proletariat, mit dem Proletariat
auch hungern lernte und mußte. Aus
diesen Untergründen heraus spürte
man schon dazumal, als ich jahrelang
mit Arbeitern zusammenarbeiten
konnte, daß ich nicht aus der
Theorie, sondern aus einer ganz
gehörigen Praxis heraus zu sprechen
in der Lage bin. Ich glaube,
das kann auch eine Grundlage dazu
abgeben, ob man ein gewisses Recht hat, zu
Proletariern zu sprechen oder nicht.
Das ist es, was
ich zu der einen Sache sagen möchte.
Dann
bezog sich ein großer Teil dessen,
was der erste Redner vorgebracht hat, ja
eigentlich gar nicht auf mich, es
bezog sich auf die Intellektuellen. Ja, da hat
bereits der Vorsitzende gesagt :
Wenn irgendeiner davon
reden kann, daß er mit Schmutz
beworfen worden ist, von den Intellektuellen mit
Schmutz beworfen worden ist, dann
darf ich es. Denn
wahrhaft, wenn Sie nachgehen würden
der Art und Weise, wie ich mit Schmutz beworfen
worden bin, und namentlich der Art
und Weise, wie
dieser Schmutz ausschaut, dann
würden Sie mich wahrscheinlich um den Umgang, wie ich
ihn genossen habe mit den
Intellektuellen, nicht
beneiden.
Das
ist eine persönliche Bemerkung ; es
sind überhaupt dies persönliche Bemerkungen. Aber
dasjenige, was mir erwidert worden
ist, geht ja
auch im Grunde auf das Persönliche,
und deshalb mußte schon diese Bemerkung gemacht
werden.
Nun,
ein großer Teil bezog sich
selbstverständlich überhaupt nicht auf mich, bezog sich
auf die Studentenschaft. In bezug
auf das letztere : Glauben
Sie, daß ich es durchaus nicht
verkenne, daß ein großer Teil der heutigen
Studentenschaft von dem Vorwurf mit
Recht getroffen wird, daß nun sein Ideal das
des untersten Lohnarbeiters nicht
erreicht ! Da könnte
man selbstverständlich über dieses
Kapitel sehr viel reden. Aber gerade
der moderne Arbeiter sollte auf der
anderen Seite verstehen, daß
schließlich so, wie aus den
Verhältnissen heraus die anderen
Menschenklassen
sich gebildet haben, so schließlich
auch der moderne Student sich aus den
Verhältnissen heraus gebildet hat.
Wer unbefangen vergleichen
kann das Streben innerhalb der
modernen Studentenschaft, als
Streben, mit demjenigen, was zum
Beispiel innerhalb der Studentenschaft angetroffen
worden ist, als ich selbst — es ist
lange her — unter dieser
Studentenschaft noch war, der wird
sagen, daß allerdings mit Bezug auf die Gründlichkeit,
in der gerade in den
Niedergangserscheinungen des Bürgertums die
moderne Professorenschaft
drinnensteckte, von der die Studentenschaft
selbstverständlich abhängig sein muß
— mit Bezug auf
dasjenige, was da als Beispiel
voranleuchtete der modernen Studentenschaft, kann man
doch für alle die Blüten, die
immerhin gerade in der modernen
Studentenschaft aufgehen nach dem
Besseren hin, auch eine gewisse Befriedigung
haben. Es werden ganz gewiß — wenn
auch die Sache
heute so ausschaut, als ob die
Studentenschaft den Arbeitern in den Rücken fällt —
gerade aus der Studentenschaft
Mitarbeiter für die sozialen
Ideale, ich glaube sogar in sehr
reicher Zahl, hervorgehen. Der
Student hat heute mancherlei zu
überwinden. Man muß nicht vergessen,
wie eisern
die Klammern sind, mit denen man
festgehalten ist. Ich habe gerade in letzter Zeit
mannigfaltige Gelegenheit gehabt,
auch mit jungen
Studenten über Dinge zu sprechen,
die vielleicht deren unmittelbaren Ideal ferner
liegen, aber die naheliegen
demjenigen, was sich als ein gesundes Geistesleben
im allgemeinen aus dem kranken
Geistesleben heute
herausentwickeln muß. Ich weiß,
welche Empfänglichkeit in der Jugend für eine
Erneuerung des Geisteslebens ist.
Ich weiß aber auch, wie
groß die Versuchung ist, wenn man
die Begeisterung der Jugend hinter sich hat, die
das Diplom erreicht hat und
notwendig hat, innerhalb
der modernen bürgerlichen
Gesellschaft eine Stelle zu suchen,
wie nahe
da die Versuchung liegt, dann
wiederum hinein zu versumpfen in das
Philistertum, in das Spießertum.
Wir
kommen natürlich nicht von heute auf
morgen zu einer endgültigen Lösung
desjenigen, was wir erhoffen und
ersehnen. Aber das müßte doch erkannt werden,
daß überall dort, wo eine solche
Sehnsucht, ein solches
verständiges Ersehnen desjenigen,
was mit Recht der moderne Proletarier fordert,
Platz greift, man es nicht
niederdrücken sollte dadurch,
daß man in einer gewissen
fanatischen, dogmatischen Weise das eine mit dem
anderen zusammenwirft. Ich glaube
doch, daß dieses Dogmatische
wenigstens bis zu einem gewissen
Grade — wenn auch im modernen
Kampfe die Mittel nicht allzu
glimpflich gewählt werden können — weichen müßte
der Gesinnung, von der ich in meinem
Vortrage
gesprochen habe : daß es weniger
ankommen sollte auf die Verschiedenheit der
Gedanken, sondern auf die Gleichheit
des ehrlichen Wollens.
Nun,
fragen Sie einmal, wie viele von
denjenigen, von denen Sie sagen, daß sie einem in
den Rücken fallen, abhängig von den
Verhältnissen
sind, in die der moderne Student
hineingestellt ist, und fragen Sie
auf der anderen Seite aber auch,
wieviel ehrliches Wollen gerade in
der heutigen
Jugend sich geltend macht. Pflegen
Sie es lieber, statt daß Sie es dadurch, daß Sie ins
Dogmatische fallen, geradezu lähmen.
Nun,
was dann
der zweite Redner zunächst
vorgebracht hat, da kann ich ja sagen: Ich bin
einverstanden mit dem Rufe, der da
links gefallen ist,
daß ja im Grunde genommen das nicht
so sehr verschieden ist von demjenigen, was ich
selber gesagt habe; und ich
versteife mich nicht so sehr darauf,
daß die Dinge gerade so gesagt
werden, wie ich sie gesagt habe. Wenn irgend
etwas, sagen wir, heute zur
Besserung helfen kann, so bin ich erfreut
darüber. Und ich will deshalb auch
nicht mit etwas anderem
so scharf ins Gericht gehen, was vom
zweiten Redner gesagt worden ist; ich möchte nur
aber etwas richtigstellen, was
immerhin darauf hinweisen
kann, daß dieser Redner doch die
Sache nicht so ganz genau genommen hat. Er hat
zum Beispiel meinen Hinweis darauf,
daß ich jahrelang
in der Arbeiterbildungsschule
gelehrt habe in Berlin, dahin verdächtigt, daß er sagte:
Das wird wohl nur ein liberaler
Bildungsverein gewesen
sein. — Ich habe ausdrücklich
gesagt, es war die von dem alten Liebknecht, von Wilhelm
Liebknecht begründete
Arbeiterbildungsschule
! Nun glaube ich nicht, daß Sie
zuschieben dem alten Liebknecht, daß er einen
x-beliebigen Bildungsverein für die
Arbeiterschaft begründete,
wie ihn die Arbeiterschaft in der
damaligen Zeit auch gar nicht entgegengenommen hätte.
Die Zuhörer waren nicht Menschen aus
den «gewöhnlichen
bürgerlichen Liberalen», sondern
lediglich Arbeiter, lediglich
aus den Kreisen der Proletarier und
durch die Bank organisierte
Sozialdemokraten!
So glaube ich, daß
auch manche andere von mir
gesprochenen Worte gerade von diesem
Herrn Redner nicht in der richtigen
Weise aufgefaßt worden
sind, wie ich es eigentlich gewollt
habe, und wie man es doch auch auffassen kann,
wenn man nicht von vornherein mit
einem Vorurteil nicht nur dann
kommt, wenn der andere eine andere
Meinung hat, sondern
sogar, wenn er das, was man selber
meint, nur in einer etwas anderen Form
ausspricht, weil er glaubt, daß es
eben notwendig ist, daß heute in diesem
weltgeschichtlichen Augenblick die
Dinge umfassender genommen
werden müssen, und weil er glaubt,
daß nicht jeder heute ein Praktiker genannt
werden könnte, der nur nach dem
Allernächsten urteilt,
sondern derjenige der wahre
Praktiker ist, der größere
Verhältnisse überschaut.
Was
die Auffassung der Frage des
«Aufrufes» betrifft, wo darauf hingewiesen worden ist,
daß das fast wörtlich übereinstimme
mit dem, was ich
Ihnen heute Abend gesagt habe — Sie
werden sich nicht wundern darüber, da Sie ja gehört
haben, daß der «Aufruf» von mir
selber verfaßt worden ist, und Sie
werden nicht von mir verlangen, daß
ich, wenn ich da
oder dort etwas spreche, wenn ich
also etwa spreche zu Bürgerlichen, daß das anders lauten
soll als das, was ich hier sage vom
Podium aus.
Einwurf:
Entweder überall gleich, oder...
Das
sage ich ja gerade : Ich sage : in
dem «Aufruf» steht dasselbe, was ich hier gesagt habe.
In jenem «Aufruf» steht nirgendwo
etwas anderes, als was ich hier
gesagt habe.
Mir
kommt es darauf an, daß dasjenige,
was ich sage, in meinem Sinne die Wahrheit ist, und
ich werde die Wahrheit an jedem Orte
sagen, wo es mir
gestattet ist, die Wahrheit zu
sagen. Ich spreche nur die Wahrheit
aus, darauf
kommt es mir an. Das ist es, was ich
in dieser Beziehung zu sagen habe. Ich werde
niemanden ausschließen
von irgend etwas, wenn er es mit seiner
Überzeugung vereinen kann und zu dem
Ja sagt, was ich selber
sage. Denn ich glaube, dadurch
kommen wir allein auf einen grünen Zweig, daß wir die
Wahrheit aussprechen, unbekümmert
darüber, welchen
Eindruck sie auf die Menschen macht,
ob sie unterschreiben oder nicht. Das ist es,
was ich dazu sagen wollte.
Und
dann möchte ich nur noch zum
Schlusse das eine bemerken, das sich bezieht auf das,
was der nächste Redner gesagt hat :
Ich hätte nichts über
die Kampfesweise gesagt. — Aber aus
meinen Worten konnten Sie überall entnehmen, wie
ich über diese Kampfesweise
eigentlich denke. Ich glaube es
genugsam angedeutet zu haben, daß es
nicht meine Meinung
ist, daß es heute auf eine
oberflächliche Verständigung, oder
wie die
schönen Dinge alle heißen, ankommen
kann. Heute sind wir eingerückt in
ein Tatsachenstadium, wo in der Tat
nichts anderes möglich ist, als daß wir nicht bloß
zu leeren Anschauungen kommen, wie
die Dinge gewandelt
werden müssen, sondern dadurch, daß
wir zur Anschauung kommen, welche
neuen Gedanken wirklich möglich
sind, in die Seelen der Menschen
hineinzubringen. Denn die alten
Gedanken haben eben gezeigt,
was für eine soziale Ordnung sie
zustande bringen können, und diesen alten Gedanken
ist damit der Beweis geliefert, daß
sie unbrauchbar
sind. Deshalb glaube ich, daß es
sich zunächst, zu allernächst, für
das allernächst
Praktische darauf ankommt, daß
diejenigen, die ehrliches soziales Wollen haben,
sich vor allen Dingen einmal
verständigen über dasjenige,
was geschehen kann.
Wir
stehen heute in der Schweiz — ich
weiß nicht, ob man da sagen soll «Gott sei Dank» oder
«leider» — noch in Verhältnissen
drinnen, die nicht so
sind, wie in mittel- und
osteuropäischen Verhältnissen es
ist. Mittel-und
Osteuropa steht ja in Verhältnissen
drinnen, die wirklich nur bewältigt werden können
durch Anknüpfen an die Urgedanken
des sozialen Organismus.
Und wenn da nicht der Versuch
gemacht wird, daß zunächst
unter dem Proletariat selber die
fundamentalen Fragen besprochen
werden, wie nun aus diesem Chaos
heraus durch die einfachsten Organisationen, die
aber alle den Charakter tragen
müssen, meiner Ansicht
nach, jener Dreigliederung des
sozialen Organismus — wenn nicht unter dem
Proletariate selbst die Gesundung
dadurch herbeigeführt
wird, daß Organisationen neu
geschaffen werden, nach neuen Gedanken, so sehe ich
überhaupt zunächst für Jahrzehnte
hinaus kein Heil.
Beginnen
wird man müssen zunächst vor allen
Dingen mit dem, was Ihnen
vielleicht als unwesentlicher Punkt
erscheint : Zuerst müssen wir einsehen, daß wir nicht
nur gegenüberstehen bürgerlichen
Einrichtungen,
bürgerlichen Zuständen, sondern daß
wir gegenüberstehen einer bürgerlichen
Wissenschaft.
Das
habe ich im Berliner
Gewerkschaftshaus vor sechzehn
Jahren gesagt,
und das wurde selbst innerhalb des
Proletariats richtig verstanden. Das
Proletariat hat noch die Aufgabe,
dasjenige, was in seinem Denken von
bürgerlicher Wissenschaft ist,
zunächst auszutreiben, und nicht im
Sinne der
bürgerlichen Wissenschaft
irgendwelche Einrichtungen zu treffen, sondern im
Sinne gerade jener Art neuer
Gedanken, die vielleicht
nur von dem Proletariat eben
gefunden werden können, weil das Proletariat emanzipiert
ist von allen übrigen menschlichen
Zusammenhängen,
in denen leider die bürgerlichen
Menschen drinnenstehen.
Daher
handelt es sich heute vor allen
Dingen darum, daß das, was Ihnen vielleicht als
das Unwesentlichste erscheint, die
Emanzipation des geistigen
Lebens, die Freiheitsentwickelung
des geistigen Lebens, durchgeführt werde.
Kommen wir dazu, ein wirklich freies
Geistesleben
zu haben, kommen wir dazu, daß nicht
mehr eine Wissenschaft, die dem Kapitalismus
tributpflichtig ist, den Ton angeben
kann, bis in die Kreise
des Proletariats hinein den Ton
angeben kann, dann erst gehen wir einer Gesundung
entgegen. Nicht eine Verengerung im
bürgerlichen
Sinne, nicht eine Verengerung will
ich, sondern gerade eine Erweiterung der
proletarischen Aufgaben.
Und
ich habe den festen Glauben — mögen
Menschen, die von dem Gesichtspunkte aus, den
ich ganz gut verstehen kann, reden,
wie der zweite
Redner, noch soviel dagegen
einwenden, daß man nicht versteht Satz für Satz, was ich
gesagt habe —, ich habe den festen
Glauben, den ich mir
durch ein langes Leben unter dem
Proletariat erworben habe, daß dasjenige, was ich
gesagt habe, zunächst nicht von den
anderen Klassen, sondern
gerade vom Proletariat verstanden
werden wird. Und es muß leider
gewartet werden, bis es vom
Proletariat verstanden werden wird.
Ich glaube
aber, da wird es verstanden werden
können.
Und
in diesem Gedanken, möchte ich
sagen, kann ich auch mit einer gewissen Zufriedenheit
zurückblicken auf dasjenige, was
heute abend von mir erreicht werden
wollte. Ich habe Sie wahrhaftig
nicht bis ins Wort
hinein in allen Einzelheiten
überzeugen wollen. Dazu achte ich zu
sehr Ihre
freie Persönlichkeit; dazu achte ich
zu sehr eines jeden freies
Einverständnis. Aber ich habe den
Glauben, daß unter Ihnen viele sind,
die noch anders denken werden über
dasjenige, was ich gesagt habe, als
Sie schon
heute gedacht haben. Und dieser
Glaube ist es eben, wovon ich annehme, daß er
dazugehört zur Gesundung des
sozialen Organismus.
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