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Collection : GA328 OEUVRES COMPLETES DE RUDOLF STEINER – CONFÉRENCES SUR LA VIE SOCIALE ET LA TRIARTICULATION DE L'ORGANISME SOCIAL - La question sociale



QUEL SENS A LE TRAVAIL DU PROLÉTAIRE MODERNE ?
Conférence publique, Zurich, 8 mars 1919

WELCHEN SINN HAT DIE ARBEIT DES MODERNEN PROLETARIERS?

Öffentlicher Vortrag, Zürich, 8. März 1919

 


 

Les références Rudolf Steiner Oeuvres complètes GA 328 137-173 (1977) 08/03/1919

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Original





Traducteur: FG Editeur: SITE

Alors que la conférence d'aujourd'hui a été annoncée, maint se sera peut être posé la question: de quel côté vient ce qui devrait être parlé là? - Et après l'une ou l'autre reconnaissance on aura peut être l'opinion que maintenant aussi de nouveau devrait être parlé de ces ententes-là, lesquelles souhaitent voir venir si fortement aujourd'hui ceux-là qui au cours de longues époques ont provoquer la mer capitaliste actuelle de l'erreur sociale, en ce qu'ils remarquent que l'eau leur arrive jusqu'à la bouche et qu'ils ne sont plus en mesure de nager dans cette mer.Ils cherchent après l'un ou l'autre canot de sauvetage ; mais ils ne trouveront pas de tels canots des hypothèses qu'ils font habituellement. Car d'un tel terrain d'entente je n'aimerais pas vous parler ce soir. Il me semble que dans le temps dans lequel nous vivons, de toutes autres choses sont nécessaires. Car si nous regardons ce qui en fait est devenu et ce qui se vit dans les actuelles conditions qui sont si effrayantes pour maints qui tout de suite cherchent un tel terrain d'entente.



Ce qu'on nomme « la question sociale » aujourd'hui n’est donc en aucune façon apparue hier. Elle est, de la manière dont on en parle aujourd'hui, vieille de plus d'un demi-siècle. Mais ce qui en fait a conduit à cette question sociale, cela est beaucoup, beaucoup plus vieux ; c'est ce qui a conduit vers le haut toute l'évolution des temps récents, des siècles derniers. Et quand nous regardons ce à quoi a amené l'évolution des derniers siècles, ainsi nous pouvons brièvement rassembler cela quelque peu dans les paroles suivantes.

Là étaient un nombre d'humains, de ces humains qu'on décrit peut-être au mieux par cela qu'on dit, ce sont ceux-là qui ont vécu de l'ordre économique capitaliste et qui se sont senti bien dans l'ordre économique capitaliste.
On pouvait entendre souvent assez véritablement de ces gens combien nous l'avons amené
loin dans la civilisation. On pouvait entendre ce qui a été provoqué par ce que l'humanité est venue dans la situation, pas seulement de s'entendre rapidement par delà le large éloignement de pays particuliers, de continents particuliers, mais par-dessus les mers du monde ; aussi loin qu'on est venu par ce que s'est étendue une certaine formation, que les humains ont pu prendre part à ce qu'on nommait la vie spirituelle et dont on se représentait que ce serait venu à une hauteur particulièrement déterminée dans notre temps.


Maintenant, je n'ai pas besoin de vous décrire tout ce qui a été parlé dans cette direction comme éloges sur notre civilisation moderne. Mais cette civilisation moderne, elle se déploie par-dessus un soubassement. Elle n'était pas du tout pensable sans ce soubassement ; elle vivait de ce soubassement. Et qu'est-ce qui était dans ce soubassement ? Dans ce soubassement étaient toujours plus et plus d'humains de cette sorte, qui devaient laisser résonner dans le plus profond de leur ressenti d'âme l'appel : cela que cette vie moderne a apportée nous donne-t-il un être-là digne ? A quoi nous a condamné cette civilisation moderne ? -
Et ainsi, cette humanité moderne se scinda toujours plus et plus en deux membres : dans les uns, lesquels se sentaient bien dans une certaine mesure ou au moins se sentaient contentés dans cette civilisation moderne, mais qui pouvaient seulement se sentir bien pour la raison que les autres, en soubassement, devaient donner leur force de travail pour un ordre social auquel ils n'avaient donc au fond pu prendre
aucune part.

Avec tout ce déroulement de la chose se développa toutefois encore quelque chose d'autre. Il se développa cela que tout de suite les porteurs de la civilisation ainsi nommée ne pouvaient continuer le vieux contexte patriarcal avec les nombreux analphabètes. Il se développa cela que les humains portés par le capitalisme durent faire former au moins une partie du prolétariat qui les servait. Et de la formation du prolétariat se développa quelque chose qui maintenant s'amène à l'expression en fait si effrayant, mais nécessaire pour celui qui comprend l'histoire : cela se développa qu'avant toutes choses un très grand nombre d'humains, qui justement devaient former le soubassement pour cette civilisation moderne, pouvaient désormais réfléchir sur leur situation, qu'ils n'avaient plus besoin d'y aller instinctivement, qu'ils pouvaient poser de manière la plus intensive la question : avons-nous un être-là humainement digne ? Comment pourrions-nous arriver à un être-là digne de l'humain ?


Ceux-là qui jusqu'alors étaient les classes dirigeantes des humains ont dans le déroulement de la vie de l'économie moderne, aussi loin que cela leur convenait, amené cette vie de l'économie en liaison avec l’État moderne. De cet État moderne ne pouvait pas sous l'influence des temps récents, au moins dans une certaine mesure, être exclu le prolétariat moderne.
Et ainsi cela vint que le prolétariat d'un côté à l'intérieur de la vie de l'économie ambitionnait
hors sa situation, ambitionnait à un être-là digne de l'humain, mais de l'autre côté, avec aide de l’État moderne tenta d'obtenir son droit.

On ne peut pas dire – les faits du présent l'apprennent -, que sur les deux chemins peu n'a encore été atteint. Sur le chemin de la vie syndicale la société des travailleurs moderne a tenté d'atteindre maintes choses : ce furent des bribes de cela que doit être en fait le contenu d'un être-là humainement digne à l'intérieur d'un ordre économique sain. Sur le chemin de la vie étatique, cela a été atteint.
Seul au
plus avant, le pouvoir économique et politique de la classe dirigeante de l'humanité se tenait contre jusqu'à présent. Et ainsi, on peut dire, malgré que maint a été atteint sur ces deux chemins, se tient aujourd'hui le prolétariat moderne pas moins devant la question : quel sens à donc en fait mon travail en rapport à ce que doit faire valoir comme sa dignité humaine chaque humain dans le monde ?


Vis-à-vis de cela, que par de longues décennies le prolétariat a crié à ces cercles dirigeants, gouvernants dans les différentes formes : ainsi ça ne va pas plus loin ! - vis-à-vis de cela fut à peine audible une quelque parole compréhensive. Et ces paroles-là, qui devinrent audibles, elles se tenaient en fait dans un étrange rapport à ce qui en fait à partir de l'esprit du temps aurait du être ambitionné.

Ne l'entendions-nous pas comme de tous les
côtés possibles – du côté social-chrétien, d'aspirants socialistes-bourgeois – fut prononcé ceci ou cela, qui pourrait remédier aux dangers qu'on croyait voir se lever ? Est-ce que ce fut plus, au fond, que phrases pleine de pommade qui à partir des différentes, des traditions venant de préjugés religieux, moraux et ainsi de suite poussèrent de ces classes dirigeantes, jusqu'à présent gouvernantes ?

Ils ne l'éprouvaient pas ces cercles dirigeants, mais un autre côté de l'humanité l'éprouvait. Celui-là qui éprouvait de sa tendance quelque chose de tout autre que des manières de parler vides, celui là qui éprouvait de sa tendance à partir de la conscience de classe, qui a été amenée dans la situation sociale particulière, d'être le soubassement pour cette civilisation moderne. Et ainsi se forma, malgré tout que donc de l'autre côté furent fournies maintes choses par vie syndicale, coopérative et aussi politique, se forma encore quelque chose d'autre, quelque chose qui est encore plus important, qui est un travail du prolétariat moderne, qui est plein des germes pour l'avenir, et par lequel aussi les faits du présent seront portés en riche mesure : cela s'en forme que, pendant que la classe dirigeante jusqu'à présent suivait la formation de son luxe, qui pouvait uniquement être nourri par le capitalisme, le prolétariat dans les temps qui lui restaient, dans ses rassemblements, partait après une formation moderne d'après le plus vrai sens du mot, partait vers une vie de l'esprit. C'était cela, ce que la classe dirigeante jusqu'à présent ne voulait pas voir de l'humanité, qu'à travers milliers et aussi milliers d'âmes de prolétaires une toute nouvelle formation, une toute nouvelle façon de voir se développait sur les humains.

C'était seulement fondé dans la nature de la chose, que la formation prolétarienne partait tout d'abord de la contemplation de la vie de l'économie. Car la vie moderne avait soudé le prolétaire à la machine. Elle l'avait contraint dans la fabrique, elle l'avait attelé dans le capitalisme. À partir de cela il chercha ses concepts. Mais ces concepts – je veux seulement rendre attentif là-dessus comment intensivement tout cela qui dépend du marxisme s'implanta compréhensif dans l'âme de prolétaire -, cette formation était une telle qui trouva peu, véritablement bien peu écho chez les classes dirigeantes, les jusqu'à présent gouvernantes de l'humanité.

N'est-ce pas caractéristique que celui-là qui connaît les choses doit aujourd'hui dire : parmi les personnalités dirigeantes prolétariennes, parmi celles-là qui comprennent vraiment avec le prolétariat, ne pensent pas purement sur le prolétariat, parmi ces personnalités-là, qui ont accueillit ce qui pourrait être relevé de véritable formation féconde sur la vie de l'économie aujourd'hui, parmi celles-ci vit véritablement aujourd'hui une connaissance plus fondamentale ou moins de vie plus fondamentale de ce qui joue dans l'organisme social, que même parmi les plus formés des plus formés, même parmi les professeurs réfléchissants sur la sociologie, les professeurs d'université.
Car il est caractéristique que ces cercles dont le métier pour le dire ainsi était de s'occuper avec la
sociologie, avec l'économie nationale, aient regimbé autant que possible contre tout ce qui provenait de la compréhension pour le prolétariat moderne. Et seulement en premier quand les faits pressèrent, alors que les faits ne permettaient rien d'autre du tout, quelques-uns de ces dirigeants bourgeois ont daigné de relever toute sorte de concepts marxistes ou semblables dans leur système d'économie nationale.

Que ce travail a été fourni par le prolétariat moderne, j'aimerai dire, entièrement dans le secret pour les cercles gouvernants, dirigeants, je ne le prétends pas ici à partir d'une grise théorie ; je le prétends parce que je pouvais voir avec comme cet ouvrage a été fabriqué. J'ai pu des années durant à Berlin être professeur dans une école de formation des travailleurs, que Wilhelm Liebknecht, le vieux Liebknecht avait encore fondée. Et en partie dans cette école, en partie dans ce qui se joignait à cela, on avait un bon extrait de tout ce qui là a été travaillé pour faire monter une nouvelle époque à partir d'une conscience d'humanité prolétarienne. Déjà longtemps auraient du considérer cela tout ceux là qui de manière superficielle traitaient ce mouvement prolétarien moderne seulement comme une pure question de salaire et de pain, qui ne comprennent pas devoir la traiter comme une question de l'être-là humain digne de tous les humains.

Vis-à-vis de cela ce n'est véritablement pas très significatif, quand aujourd'hui sera indiqué là dessus comment à l'intérieur du monde des faits, qui se dont montrés à partir du chaos social, se passe de l'effrayant, de temps à autre du cruel. Celui-là qui comprend les choses correctement, comme elles se sont développées, celui-là ne demande pas après le rapport de ces cruautés ou frayeurs avec le mouvement prolétarien moderne, mais celui-là est clair là dessus que ce sont les classes jusqu'à présent dirigeantes qui ont provoqué ce qui se passe aujourd'hui.

Le moment d'histoire du monde, il est d'abord venu en ce que le prolétariat commence à porter une responsabilité pour les événements d'histoire du monde. Jusque dans la terrible, et en beaucoup de rapports aussi, dingue catastrophe de l'ainsi nommée guerre mondiale est responsable ce qui s'est montré du capitalisme, de l'ordre économique capitaliste au cours des temps récents et en particulier du temps le plus récent.

Mais que voyons-nous maintenant au point central où se tient tout ce qui est mouvement prolétarien, nostalgie prolétarienne, oui, exigence prolétarienne ? À point central de cela, nous voyons se tenir ce que le prolétaire devait éprouver vis-à-vis de cela qui au fond conduit là et qui par l'ordre économique seul peut être donné à l'organisme social ; car les cercles culturels dirigeants jusqu'à présent ne s'intéressaient au fond chez le prolétaire seulement pour cette seule chose, et cette seule chose est la force de travail du prolétaire. On doit savoir comme tout de suite les contemplations de Karl Marx ont emballées et ceux qui sont allés dans ses voies, dans le prolétariat moderne, pour la raison que dans ce prolétariat était le sentiment : avant toute chose doit être créé de la clarté en rapport à l'art et la manière comment la force de travail humain a le droit de fluer dans l'organisme social.


Maintenant, il a souvent été dit et cela a éclairé dans les plus larges cercles : par l'ordre économique moderne, la force de travail est devenue une marchandise parmi d'autres marchandises. C'est donc le particulier de la vie de l'économie qu'elle consiste en production de marchandises, circulation de marchandises et consommation de marchandises. Mais cela est arrivé que la force de travail du prolétaire moderne a été faite une marchandise.

À partir de ce côté, tout a été dit au fond à l'intérieur du prolétariat. Seulement la question sera donc orientée habituellement seulement vers un côté, ainsi qu'elle n'apparaît pas complètement dans la lumière, par laquelle on gagne des aperçus dans la position de la force de travail humaine dans l'organisme social sain. Là doit être lancé une question, qui toutefois se donne de la question marxiste, mais qui d'une manière encore plus précise, encore plus intensive doit être lancée : la force humaine de travail peut-elle jamais être marchandise ?
Par cela, la question sera encore aiguillée sur de toutes autres voies. On demandera dans le fait : comment pourra être rémunérée de manière juste de la force de travail humaine ? Et on peut à cela donc avoir l'hypothèse : cela doit déjà être ainsi que la force de travail humaine reçoit salaire.

Mais salaire n'est rien d'autre en certains rapports que juste l'argent d'achat pour la marchandise « force de travail ». Mais force de travail ne peut jamais être une marchandise ! Et où dans le processus économique force de travail est faite marchandise, ce processus économique est mensonge. Car il sera jeté dans la réalité quelque chose qui jamais ne peut être une véritable partie constituante de cette réalité. L'humaine force de travail ne peut être marchandise pour la raison qu'elle ne peut avoir le caractère que nécessairement chaque marchandise doit avoir. Dans le processus économique, chaque marchandise doit être mutée dans la possibilité d'être comparée en valeur avec une autre marchandise. La comparabilité est la condition de base pour l'être-marchandise de quelque chose. Mais force de travail humaine ne peut jamais être comparée avec un quelque produit-marchandise en rapport à la valeur.





Ce serait en fait simplement terrible quand aujourd'hui on n'aurait pas désappris de penser simplement. Qu'on pense seulement à cela quand ma foi dans une famille dix personnes travaillent ensemble, chacun sa part de travail, comme on peut comparer la part de travail d'un seul de ses dix avec les prestations, que ces dix produisent. On n'a pas du tout la possibilité de comparer la fourniture de marchandise avec la force de travail. La force de travail se tient sur un tout autre sol du jugement social que la marchandise. C'est cela qui peut-être dans les temps récents n'a pas été clairement exprimé, mais qui vit dans la sensation du prolétariat moderne.

Qu'est-ce qui vit dans les exigences du prolétariat moderne ? Cela, qui vit dans les sensations du prolétariat moderne, cela est de la critique de fait, c'est la critique d'histoire du monde, qui simplement repose dans la vie du prolétaire moderne et à laquelle sera lancer vis-à-vis de tout ce qui des cercles dirigeants jusqu'à présent a été encouragé vers le haut comme ordre social. Ce prolétariat moderne n'est rien d'autre qu'une critique d'histoire du monde elle-même. Tout de suite la connaissance que la force de travail ne peut jamais être marchandise, la sensation le doit à la sensation de base de son être-là, que sera vécu dans les temps récents en un puissant...en un mensonge de vie englobant ; car sera acheté force de travail, qui d'après son essence ne pourra jamais être achetée.

Que le remède devrait être créer, le prolétariat en est convaincu comme cela doit donc être aujourd'hui évident à chacun raisonnable. Mais il a été propulsé dedans pas par lui dans ce que les classes dirigeantes jusqu'à présent ont fait de l'organisme social. Il a été sorti de tout le reste et seulement attelé dans le processus économique. Cela ne devrait-il pas être éclairant que maintenant il veuille amener par un pur assainissement de ce processus économique, du cycle de la vie économique lui-même, aussi l'assainissement de l'organisme social entier ?
De cela sont nés les idéaux, sous la forme où ils
vivaient jusqu'à présent comme idéaux du prolétariat moderne.


Il a été dit : par cela que le capitalisme comme capitalisme privé par l'utilisation privée des moyens de production a fait la production moderne une production de marchandises, par cela le prolétariat moderne serait venu en situation de pouvoir l'éprouver seulement entièrement lui-même. À lui pourra seulement être répondu par ce que sera recouvré à ce qui est la vieille idée originelle de la coopérative, à cette coopérative qui dans une certaine mesure part du produire de l'un pour les autres et tend à l'autoproduction, dans laquelle l'un ne peut plus surexploiter l'autre, de la raison qu'il serait alors surexploité lui-même.
Et plus loin a été dit : comment devrait être fondée cette grande coopérative ? Là on devait prendre son refuge justement au cadre qui s'en est formé
au cours des temps récents : l'État moderne. On devait faire l’État moderne lui-même en une grande coopérative, par laquelle dans une certaine mesure la production de marchandise deviendra transférée en productions pour le besoin propre.

C'est tout de suite là où on doit saisir le point sur lequel on peut dire : on trouve le sain tout de suite dans la vie de l'esprit du prolétariat moderne d'un côté et on trouve en même temps cela où cette vie de l'esprit du prolétariat moderne est capable d'évolution, où elle peut encore progresser du niveau où elle a jusqu'à maintenant avancé à un autre niveau.

Cela ne devrait vraiment pas être mal pris de celui-là qui est d'autre opinion sur ce domaine quand à partir de sensations tout aussi sincères et honnêtes, comme il les nourrit lui-même, on ne voit pas encore dans une certaine mesure l'accomplissement dans l'actuelle conception du monde prolétarienne, mais quand on est tout de suite forcé d'indiquer là dessus que cette conception du monde prolétarienne porte en elle les germes à un progrès, mais que ce progrès devra aussi vraiment être ambitionné .

Cela admettra qui considère ce que déjà – cela fait environ dix-huit ans – je devais, dans la maison berlinoise des syndicats, mettre en avant comme une particularité, et souvent depuis, tout de suite du mouvement des travailleurs moderne et que je dois encore aujourd'hui tenir pour absolument juste. Je disais jadis : pour celui qui embrasse du regard la vie historique de l'humanité et de cette vie historique de l'humanité a pu voir ressortir le mouvement prolétaire moderne avec compréhension, avec compréhension intérieure, pour lui il est évident que ce mouvement prolétarien moderne se tient autrement que tout autre mouvement d'humanité, qu'il n'y a jamais eu, au fond sur un sol pour ainsi dire – qu'on aime le trouver grotesque, qu'on aime le trouver paradoxal - orienté scientifiquement.

C'est profondément, profondément vrai, ce qu'autrefois d'après cette direction comme un ton de base, comme une exigence de base du mouvement de travailleurs moderne, le déjà presque oublié Lassalle a affiché dans son célèbre discours sur « La science et les travailleurs ». Seulement, ont doit encore considérer la chose d'un autre point de vue, qu'elle sera considérée habituellement aujourd'hui : on doit la considérer du point de vue de la vie. Là on peut dire : en rapport sur cela qui est devenu accessible au prolétariat moderne par cela que les classe dirigeantes devaient lui donner quand elles ne voulaient pas le laisser tomber dans l'analphabétisme, par cela le prolétarien moderne a atteint la possibilité de reprendre, de reprendre comme un héritage, ce qui s'est formé à partir des temps récents, de reprendre du souci des cercles dirigeants, ce qui s'est formé comme conception du monde scientifique.


Ce dont il s'agit, c'est cela, mais que maintenant le prolétaire moderne devrait réagir de toute autre manière sur cette conception du monde scientifique que les autres cercles, même ceux-là qui avaient immédiatement formé cette conception du monde. On peut à l'intérieur des cercles dirigeants et jusqu'à présent gouvernants être un humain très éclairé, un humain, dont de la plus intérieure conviction jaillit des résultats, des résultats de la science moderne, on peut ma foi être un naturaliste comme Vogt, un chercheur en science de la nature comme Büchner, cependant on se tient autrement vis-à-vis de la conception du monde orienté scientifiquement que le prolétaire moderne.

Celui-là, qui des cercles dirigeants et leurs préjugés notamment à partir de leur pré-sensations et leur pré-sentiments, se reconnaît théoriquement à la formation moderne sur les humains et sur la nature, il reste donc planté à l'intérieur d'un ordre social qui se ferme strictement du prolétariat moderne, et de ces structures, de toute cette organisation ne provient rien de ce que raconte la science moderne, mais provient de ce qui avant cette science moderne a rempli les âmes humaines (NDT Gemüter) de représentations religieuses, juridiques et autres sur la dignité humaine.

Cela je pouvais
une fois, j'aimerai dire, éprouver dans l'expérience immédiate.

C'était à l'instant alors que je me tenais avec la tout récemment tragiquement rendue disparue Rosa Luxemburg à Spandau devant un rassemblement de travailleurs devant lequel nous parlèrent tous deux sur les travailleurs modernes et la science moderne. Là on devait voir comment ce que cette science moderne peut verser dans l’âme prolétarienne moderne agit tout autrement sur le prolétaire que même sur le plus convaincu de la jusqu'à présent classe humaine dirigeante, alors que Rosa Luxemburg fit clair aux gens : là n'est rien qui indique sur une origine ressemblant aux anges des humains, rien, qui indique sur les hauts points de départ desquels la conception du monde bourgeoise aimerait encore bien raconter ; là est prétendu de cette conception bourgeoise elle-même, comme l'humain comme animal grimpant a une fois commencé, comme il s'est développé vers le haut de ces contextes. Qui réfléchi cela – ainsi parla cette fois-là la dirigeante ouvrière convaincue pour sa chose - qui réfléchi de bout en bout, celui-là ne peut pas persister dans les préjugés, qu'ont les actuels cercles dirigeants, dans les préjugés de différence de rang, de la possibilité d'étager ainsi entre les humains qui tous ont une telle origine identique, comme on le fait aujourd'hui à l'intérieur des cercles dirigeants.

- Cela frappe autrement que chez les gens des cercles dirigeants. Et cela complète ce qu’accueillait
compréhensif le prolétariat moderne comme science de l'économie.

Cela qui a été accueilli là dans les âmes, cela est capable d'une évolution ultérieure, et de cette évolution ultérieure je voudrais vous raconter aujourd'hui un peu quelque chose.

Celui-là qui embrasse du regard tout cela qui vient tout de suite en considération pour la question : comment la force de travail du prolétaire moderne est venue au sens d'une marchandise ? - celui-là se voit forcé de proche en proche de conduire son observation sur la vie de l'économie au point où il doit se dire : tout de suite par ce que le travailleur moderne est devenu attelé dans cette pure vie de l'économie, par cela la force de travail du prolétaire moderne est aussi devenue marchandise à l'intérieur de la vie de l'économie. Dans cette direction nous avons seulement la poursuite de cela qui dans l'antiquité était la question des esclaves. Là, l'humain entier était marchandise. Aujourd'hui l'est restée de cet humain entier seulement encore la force de travail. Mais l'humain entier doit suivre cette force de travail.

C'est dans les sentiments de l'âme prolétaire moderne que repose que cela n'aurait plus le droit d'être ainsi à l'avenir, que ce serait le dernier reste de l'ancien temps de la barbarie, qui doit être surmonté. Mais surmonter cela ne pourra être pas autrement que quand maintenant avec la même claire force de l'esprit, avec laquelle le prolétariat moderne a saisi la nature économique et humaine, aussi saisit avec cela la science de cet organisme social sain. Et de cette science, laissez-moi vous dire quelques mots.

Là apparaît avant toutes choses clairement : on doit se demander : qu'est-ce qui fait donc alors marchandise la force de travail du prolétaire moderne à l'intérieur du cycle de vie de l'économie moderne ? Cela le fait le pouvoir économique de ce qui est capitaliste (NDT des Kapitalistischen).

Dans ce mot du pouvoir de ce qui est capitaliste repose déjà une indication sur la réponse saine. Car : à qui est diamétralement opposé le pouvoir ? Le pouvoir est diamétralement opposé au droit. Mais cela indique là dessus qu'un assainissement en rapport à la valorisation de la force de travail humaine ne peut rentrer dans l'organisme social seulement alors quand la force de travail sera retirée, quand absolument la question après la force de travail sera retirée du processus économique et quand elle deviendra une pure et limpide question de droit.

Mais avec ça nous venons à cela au réfléchir plus large, si alors est une plus profonde différence entre question d'économie et question de droit. Cette différence demeure, seulement on n'est aujourd'hui pas encore enclin de prendre suffisamment profondément ce que d'un côté doivent être les forces agissantes en toute vie de l'économie et de l'autre côté doivent être les forces agissantes dans la vie de droit véritable.


Qu'est-ce qui agit dans le processus économique ? Dans le processus économique agit le besoin humain, agit la possibilité de la satisfaction ce ce besoin humain par la production. Les deux sont basés sur la base naturelle ; le besoin humain sur la base de nature de l'humain, la production sur les bases naturelles climatiques, géographiques et restantes. Cette vie de l'économie a sous l'influence de la division du travail moderne justement conduit à ce qui est et doit être l'échange de marchandise moderne, cet échange de marchandise là, dans lequel les marchandises se valorisent mutuellement d'après les besoins des humains, et d'après leur valorisation mutuelle – je ne peux décrire cela dans le détail, cela durerait trop longtemps – apparaissent sur le marché et sur le marché rentrent dans le cycle du processus économique.


À l'intérieur de ce cycle de la vie économique ne peut en même temps pas,comme en un cycle fermé, se développer la vie de droit. La nature humaine tolère justement aussi peu que dans l'organisme social à l'intérieur de la vie économique se développe elle-même la vie de droit, qu'elle tolère que dans l'organisme humain, dans l'organisme humain naturel est là seulement un seul système centralisé en soi. Je ne veux véritablement pas jouer ce soir avec n'importe quelle comparaison à partir de la science de la nature, seulement je crois, que tout de suite est là un point, où aussi la science de la nature doit sortir par dessus cela à quoi aujourd'hui elle est venue. J'ai indiqué dans mon dernier livre « Des énigmes de l'âme »  sur ce dont il s'agit, ce qu'aujourd'hui la science de la nature n'a pas reconnut convenablement : que dans l'organisme humain sain sont disponibles trois systèmes, qu'est disponible le système neurosensoriel, comme porteur de la vie de l'âme est là, le système respiratoire et cardiaque comme porteur de la vie rythmique, le système des échanges de matière comme porteur du métabolisme, et que le tout fait l'organisme humain. Mais chaque système est centralisé pour soi ; chacun a sa propre sortie vers la vie extérieure. Dans cet organisme humain sera appeler ordre et harmonie par cela que ces trois systèmes n'agissent pas grossièrement les uns à travers les autres, mais les uns à côté des autres et par cela tout de suite peut fluer correctement la force de l'un dedans l'autre.

Ainsi doit dans l'organisme social sain pénétrer une telle triarticulation. On doit reconnaître que, quand l'humain s'active dans l'organisme économique, il doit alors purement faire l'économie à l'intérieur de ce processus économique. Alors il s'agit seulement de ce que l'administration, la législation de ce processus économique partent de cela d'amener en chemin la valorisation mutuelle de la marchandise dans la réalité économique, d'engager de la manière appropriée la circulation des marchandises, d'engager la production des marchandises, d'engager la consommation des marchandises. Mais de ce pur processus économique devra être sorti tout ce qui maintenant ne se rapporte pas à la satisfaction d'un humain par l'autre, mais qui se rapporte au rapport d'un de chaque humain à chaque autre humain. Cela dans quoi tous les humains doivent être égaux, est quelque chose de radicalement différent de ce qui peut se développer seul dans la vie de l'économie. De cela est nécessaire pour la guérison de l'organisme social que sera ressorti la vie de droit, la véritable vie de droit, de la pure vie de l'économie. Le temps récent à justement tout de suite aspiré à cette évolution.


Les classes dirigeantes jusqu'à présent – qu'ont-elles fait ? Sur ces domaines sur lesquels il leur était confortable, sur lesquels cela leur semblait correct pour leurs intérêts, là elles ont mis à exécution plus loin la vieille fusion, qui donc déjà certainement existait sur beaucoup de domaines entre vie économique et vie d'état politique. Et ainsi, nous voyons que dans ces temps récents, tout de suite sous l'influence des cercles dirigeants de l'humanité, remonte l'étatisation ainsi nommée (NDT ou nationalisation) pour certaines branches économiques. Système de poste et télégraphe et semblable ont donc été trouvés comme reposant dans le progrès moderne et réclamé par ce progrès moderne.

Dans une direction tout de suite opposée doit penser celui qui ne voit pas seulement sur les intérêts de cercles dirigeants jusqu'à présent, mais qui demande : quelles sont les bases d'un organisme social sain ? - Celui-là doit ambitionner que toujours plus et plus sera détaché de la pure vie de l'économie de la vie du véritable État politique, lequel État qui a à se soucier pour droit et pour ordre ; mais qui a à se soucier avant toutes choses pour cela qu'à partir de ce domaine fluent dans la vie de l'économie la vie de droit correspondante. Celui-là ne différencie pas correctement dans la vie humaine qui n'a pas d'yeux, pas d'yeux spirituels pour cela comme radicalement différents sont vie de l'économie et la vie du véritable État politique.

Regardons une fois les choses, comme elles se sont développées aujourd'hui. Certains humains parlent à partir du contexte social actuel ainsi ils disent, à l'intérieur de ce contexte social nous avons comme premier :

Échange de marchandises contre marchandise. - bien cela doit être une vie de l'économie. De cela a justement été parlé. Alors, nous avons comme deuxième, disent-ils et ils le voient comme justifié : échange de marchandises, respectivement le représentant de marchandise, l'argent, contre force de travail. Et comme troisième : échange de marchandises contre droits.

Qu'est-ce qui est le dernier ? Sur le deuxième j'ai donc déjà parlé aujourd'hui. Maintenant nous avons seulement besoin de regarder sur le rapport de possession du foncier dans l'ordre économique moderne, et il nous deviendra aussitôt clair ce qui devrait être clair sur ce domaine pour l'avenir. Comme sinon on aimerai penser aussi sur le rapport de possession en rapport à fond et sol – tout autre n'a en fait pas de signification pour le déroulement réel dans l'organisme social dans l'organisme social ; une signification a véritablement cela que le possesseur de fond et sol a le droit d'utiliser seul un morceau de fond et sol et à cette utilisation faire valoir son propre intérêt.

Cela n'a pas le moins du monde à faire en son origine avec le processus de l'économie en tant que telle. Avec le processus de l'économie a uniquement et seulement – contre cela peut objecter quelque chose seulement une économie nationale inversée (NDT ou tout simplement mauvaise)à faire ce qui sera produit sur fond et sol comme marchandise ou avec valeur de marchandise. Utilisation de fond et sol repose sur un droit.

Ce droit se transforme toutefois à l’intérieur de l’ordre économique capitalistique moderne, notamment par la collusion du capitalisme avec les rentes foncières, à nouveau en un pouvoir. Et ainsi, nous avons d’un côté le pouvoir, lequel exclu de tels droits, de l’autre côté ce pouvoir économique, qui peut forcer la force de travail humaine, a devenir marchandise.

À partir des deux côtés, ne sera pas réalisé autre chose qu’un mensonge de vie, si n’est pas ambitionnée – est ambitionné à partir d’une véritable raison sociale – l’articulation de l’organisme social en un organisme économique et en un organisme de l’État politique dans le sens strict.

L’organisme économique devra être fondé sur base associative, à partir des besoins de la consommation dans leurs rapports à la production. Des différents intérêts, des divers cercles de métiers, les diverses coopératives devront – on pourrait les nommer avec un vieux mot aussi confréries de l’humanité - être développées, dans lesquelles seront administrés les besoins et leur satisfaction.

Ce qui, à l’intérieur de cette base associative, prend forme, cela aura toujours à faire avec la satisfaction d’un cercle d’humains par un autre cercle.
Sur ce domaine devront être, donnant la mesure, la valorisation avertie premièrement des bases naturelles, mais alors aussi la formation avertie de la production, de la circulation et de la consommation de marchandises. Là devra être valable le besoin humain, l’intérêt humain.


À celui-là se tiendra en vis-à-vis toujours comme quelque chose de radicalement différent, ce que dans quoi humain et humain se tiennent face à face comme essentiellement égaux, où ils doivent être égaux, où l’on dit déjà aujourd’hui avec un mot devenu bien trivial : où ils doivent être égaux devant cette loi, qu’ils se donnent eux-mêmes en tant qu’humains égaux.

Sur base associative devra reposer le cycle des processus économiques ; sur pure base démocratique ; sur le principe de l’égalité de tous les humains, dans leur rapport les uns aux autres, devra reposer au sens strict la véritable organisation politique. De cette organisation politique surgira quelque chose de tout autre que le pouvoir économique, lequel fait marchandise la force de travail. De cette vie politique séparée de la vie économique surgira le vrai droit du travail, où unique et seul d’après ce que, sur force de travail, peut être négocié, entre humain et humain, pourra être fixé mesure et travail et autre sur la force de travail.


Comme on aimerait aussi croire que les choses dans les temps récents seraient déjà devenues quelque peu meilleures : ce dont il s'agit fondamentalement n'est pas devenu meilleur. Par la manière dont se tient la force de travail du prolétaire dans le processus économique, le prix de la force de travail faite marchandise dépendra des prix des autres produits de l'économie, du prix des marchandises. Cela chacun le voit qui regarde plus profondément dans le processus économique. La chose deviendra autre quand indépendamment des lois de la vie économique et son administration, à partir de l’État politique, à partir de la pure administration et du pur législatif de l’État politique existera un droit du travail. Qu'est-ce qui se présentera alors ?

Alors, se présentera que ce que l'humain fournit par sa force de travail à l'organisme social, se tient en un rapport tout autant vivant, déterminé par soi comme aujourd'hui les bases de la nature. On peut à l’intérieur de certaines limites déplacer quelque peu la fertilisation technique du sol et semblable, déplacer quelque peu les fortes frontières de conditions naturelles ; seules ces conditions naturelles déterminent cependant la vie économique dans une mesure abondante de par un côté. Tout comme de ce côté la vie économique sera déterminée du dehors, ainsi doit être déterminée la vie économique par l’autre côté, en ce qu’elle ne fait plus dépendre la force de travail d’elle, mais qu’à partir de soubassement purement humain une certaine force de travail sera offerte à la vie économique.


Alors, le travail fera le prix de la marchandise, alors certainement plus la marchandise le prix du travail !

Alors, peut tout au plus apparaître, que si de quelques raisons la force de travail ne peut être suffisamment fournie que la vie économique s’appauvrit. Mais à cela doit être remédié parce que sur sol juridique sera cherché remède, et non de la pure vie économique.

À la base repose dans la vie économique seulement ce qui appelle après offre et demande. Avec le droit du travail, qui est placé sur la base de l’État politique autonome, devront être placés sur les mêmes bases aussi tous les droits nécessaires restants. Bref, on devra – je ne peux qu’évoquer cela à cause du peu de temps – nécessairement voir directement dans le décorticage l’un de l’autre des deux domaines : la vie juridique et la vie économique, l’idéal d’un organisme social sain dans l’avenir.

Et comme troisième doit s'articuler à cette vie de l'économie autonome, à cette vie de droit autonome ce qu'on peut nommer la vie spirituelle de l'humanité.


Là dedans on butera le plus souvent sur de l'opposition en ce qu'on parle de cette vraie poursuite de la conception du monde prolétarienne. Car dans les habitudes de penser humaines sur ce domaine est arrivée, encore plus que dans d'autres, l'opinion que seulement de la succion de l'ensemble de la vie spirituelle par l’État pourrait dépendre le salut de l'humanité, et on ne devine pas encore comment la dépendance de l’État dans laquelle la vie spirituelle est venue tout de suite dans le temps récent, de quoi est ressorti ce qu'on peut nommer l'intérêt des cercles jusqu'à présent dirigeants à l’État, qui justement à si bien satisfait ces cercles dirigeants. Ces cercles dirigeants, ils ont trouvé leurs intérêts satisfaits dans cet État ; ils ont toujours plus et plus laissé sucer par cet État ce qu'ils nomment vie spirituelle. Comme l’État politique est contraint par des lois fiscales contraignantes, de procurer ce qui peut fonder l'égalité de tous les humains devant la loi, et comme l’État est contraint, par ces impôts forcés de satisfaire ses besoins, ainsi la vie spirituelle devra vraiment devenir émancipée des deux autres domaines de l'organisme social.



Tout de suite ce qu'on a ambitionné sur ce domaine : la liaison de la vie de l'esprit avec la vie de l'état et de l'économie, c'est cela qui a devié au malheur des temps récents. Car cela qui devrait vivre dans le spirituel, cela peut seulement se développer quand cela peut se développer dans la lumière de la vraie liberté. Tout cela qui ne peut se développer dans la lumière de la vraie liberté, cela étiole et paralyse la véritable vie de l'esprit et l'amène en dehors de cela sur des détours qu'on peut malheureusement que trop bien remarquer. Mais ce qui est nécessaire sur ce domaine : de déceler quel rapport intérieur existe entre la vie de l'esprit dans le sens étroit et la vie religieuse, la vie scientifique, la vie artistique, la vie en une certaine moralité, quel rapport est entre cette vie et tout cela qui absolument provient des facultés et habiletés humaines individuelles.



De cela doit maintenant, où sur ces choses sera parlé ici au sens sérieux, sera parler au sens sérieux d'un organisme social sain, sera parlé ainsi que sous la vie spirituelle sera compté tout ce qui absolument a à faire avec le déploiement, de développement des facultés individuelles, tout cela qui a à faire avec cela à commencer du système scolaire jusqu'en haut au système universitaire, jusque dedans dans l'artistique, jusque dans la vie morale, oui, jusque sur ces branches de l'esprit, qui font les bases du pratique, aussi de la vie de l'économie. Sur tous ses domaines devra être ambitionnée une émancipation de la vie spirituelle. Ainsi que cette vie spirituelle pourra être placée dans la libre initiative de celui qui a les facultés individuelles de l'humain, et que cette libre vie de l'esprit peut seulement être là alors de manière correspondante dans l'organisme social sain quand elle repose aussi en sa validité sur la libre reconnaissance, sur la juste compréhension de ceux qui ont besoin de l'accepter. Cela signifie, la vie de l'esprit n'a plus le droit à l'avenir d'être administrée n'importe comment à partir de la somme de ce qu'on a dans la poche ou dans le coffre-fort, ou de la bureaucratie de l'état.


Ce n'est pas seulement par ce que cette vie de l'esprit a été administrée par l’État, qu'elle a pris un certain caractère en rapport aux personnalités qui l'administrent, mais cette vie spirituelle, comme nous l'avons aujourd'hui, comme avec droit le prolétaire moderne l'éprouve comme idéologie, cette vie spirituelle, elle est donc devenue un reflet de ce qui en intérêt, en besoins des cercles dirigeants, gouvernants pour et par l’État moderne, ils se sont formés eux-mêmes d'après leur propre commodité, s'est formée d'après ce besoin.

Est-ce correct qu'aux dernières raisons toute vie spirituelle soit dans une certaine mesure seulement un reflet, seulement une superstructure de la vie économique ou étatique ? La vie spirituelle moderne des cercles dirigeants est seulement une telle superstructure. Certainement, chimie, mathématique, n'accueilleront pas facilement leur contenu d'après le caractère, qui se montre des intérêts des cercles dirigeants.
Seul déjà l'étendue dans laquelle elles
seront exercées, mais notamment la lumière qui des autres branches de la vie de l'esprit tombe sur elles, cela est déterminé par le fait qu'avec les intérêts des cercles dirigeants, jusqu'à présent gouvernants des humains, les intérêts de la vie d’État moderne et avec cela les intérêts de la vie de l'esprit moderne ont poussés ensemble dans l’État.

Oui, cette vie de l'esprit moderne, elle est tout de suite sur les domaines importants, là, où cela devrait intervenir dans des âmes humaines, quand elle devrait se déterminer sa place dans l'ordre social devenu une balle de jeu de la vie de l'économie et de la vie politique. On peut le voir à la façon dont jusque dedans cette terrible catastrophe guerrière, ces porteurs là de la vie spirituelle, qui étaient liés avec l’État moderne sur les détours du capitalisme, ont provoqué au fond tout de suite ce qui a pu être placé au service de l'état moderne des plus importants domaines de l'esprit.


On pourrait trouver là les preuves non cent fois, mais des milliers et des milliers de fois.Vous avez seulement besoin de penser à une chose : prenez les professeurs allemands d'histoire, les porteurs de la science historique. Tentez de vous faire une image de tout ce qu'ils ont produit en rapport avec l'histoire des Hohenzollern, et demandez-vous, si maintenant après cet événement d'histoire mondiale l'histoire des Hohenzollern aura justement l'air qu'elle a eu auparavant ?
A cela on peut voir comme la vie spirituelle est devenue
un pur jeu par les rapports à cela de quoi elle n'a justement pas été libre.

La vie de l'esprit doit être libre des deux autres domaines. Mais alors, la vie de l'esprit peut accueillir dans sa propre légalité et administration – aussi étrange que cela sonne et aussi surprenant que ce sera pour maints, cela doit être dit -, ce qui aujourd'hui unique et seul peut provenir des préjugés capitalistes : alors la vie de l'esprit peut vraiment devenir celui qui surmonte (NDT pour der Überwinder) de purs intérêts économiques prolétariens. Car la vie spirituelle en est une unitaire. La vie spirituelle va des plus hautes branches de la vie de l'esprit jusqu'en bas dans chaque ramification, qui apparaissent par ce que n'importe qui à partir de ses facultés individuelles a à diriger une quelque entreprise. Ainsi qu'il la dirigeait aujourd'hui, ainsi il la dirigeait de la vie de l'économie sous l'action du pouvoir, hors du pouvoir économique. Ainsi qu'il a à la diriger dans l'organisme social sain, ainsi c'est à partir de la vie de l'esprit. La vie de l'esprit a dans l'organisme social sain sa propre législation et administration en rapport aux plus hautes branches de cette vie spirituelle, mais aussi en rapport sur tout ce qui agira spirituellement alors tout de suite dedans le processus économique, quand la vie de l'esprit en tant que telle est autonome.



Alors surviendra dans ce processus économique de la manière correcte l'influence de la vie de l'esprit autonome, émancipée. Alors sera, ce qui justement par le capital sera fournit, ne pourra plus être fourni dans le sens du capitalisme moderne. Alors ce pourra être fourni seul d'après les impulsions que la vie de l'esprit donne elle-même.

Seulement, on doit se faire une correcte représentation de ces impulsions. À quoi ressemblera en fait une entreprise sous ces impulsions ?

Qui connaît la vie de l'esprit dans ses fondements – je sais cela très bien -, celui-là ne me contredira pas quand je donne la description suivante d'une entreprise, qui reçoit ses impulsions non du pouvoir économique, mais du pouvoir de la vie de l'esprit : là par la libre compréhension de ceux qui collaborent avec lui sera placé celui-là dans la situation d'entreprendre , à partir d'un fond de capital, ce qui maintenant ne sera pas entrepris à son usage, mais à cause de la compréhension sociale, qu'il se sera appropriée dans la correcte vie de l'esprit.

Alors en une telle entreprise, celui-là qui par la libre compréhension de ses collaborateurs jusqu'au dernier travailleur en bas est placé à son poste par la libre compréhension, fera alors face, parce qu'un rapport de libre compréhension se présentera entre ce dirigeant d'une entreprise et ceux qui travaillent, s'en formera
tout nécessairement ce qui fait là qu'à côté des heures de travail sera introduit à l'intérieur de chacune des entreprises et à l'intérieur de la coopérative d'entreprise, la possibilité d'une libre expression sur toute la façon dont se tient le processus économique dans l'organisme social d'ensemble.
Alors sous l'influence d'une telle vie de l'esprit celui qui se tiendra où aujourd'hui se tient l'entrepreneur capitaliste, aura à se dévoiler en rapport à tout cela que sa marchandise place dans le processus de société d'ensemble de l'humanité.
Alors, chaque individu reconnaîtra quel chemin prend le produit auquel il verse son travail, le produit du travailleur manuel et celui-là qui a à diriger ce travail manuel par ses facultés individuelles particulières.


Mais alors pourra seul aussi se présenter ce que qui donne au travailleur la possibilité de conclure un véritable contrat de travail. Car un véritable contrat de travail ne peut pas être conclu quand il sera conclu sur la base de la condition préalable que la force de travail est marchandise. Un vrai contrat de travail n'a pas du tout le droit d'être construit sur cette base ; mais uniquement et seulement un véritable contrat de travail peut seulement être construit sur la base que le travail, qui est nécessaire pour la fabrication d'un produit, sera fournit sur la base du droit, mais qu’en rapport à l'économique la collaboration requise entre travailleur manuel et spirituel apparaisse, qu'en rapport sur l'économique chaque processus de division entre le travaillant manuellement et spirituellement doit avoir lieu, qui seul peut provenir de la libre reconnaissance aussi du travailleur manuel, parce que ce travaillant manuellement saura alors de la vie en commun spirituelle avec le dirigeant, en quel degré son travail par ce que la direction est là, s'amène à son propre avantage dans l'organisme social.



Seulement en une telle collaboration s'arrête la possibilité que les entreprises qui doivent être construites sur des bases de capital, seront construites sur l'avantage, sur l'avantage égoïste.
Alors seul quand en cette manière s'assainit l'organisme social, alors seul l'actuel intérêt au profit peut être remplacé par le pur intérêt à la chose. Et se hissera en une grande étendue comme cela était le cas en des temps anciens, à nouveau le rapport entre l'humain et son travail.


Regardons-nous aujourd'hui ce rapport entre l'humain et son travail. Là est d'un côté l'entrepreneur qui là fournit ce qu'il considère aussi comme travail, mais il s'éclipse aussi vite que possible de ce travail. Il exprime même cela par ce que, quand il s'est extirpé de son travail, il décrit la parole sur ce travail comme « discussion entre gens de métier ». Il s'éclipse et il cherche par toute sorte d'autres choses alors à venir à cela qu'il ambitionne comme humain. Tout de suite par un tel rapport de l'humain à son travail s'exprime comme peu l'humain est soudé avec son travail.

Mais cela est un rapport malsain. Cela est un rapport malsain lequel devait tirer l'autre à soi, que en ce que le prolétariat moderne est arraché du sol du vieil artisanat où l'humain était soudé avec son travail, a tiré son honneur, sa dignité humaine de son métier et où il a été placé à la machine, a été attelé dans la fabrique ; là sera fabriqué en lui chaque malsain qu'il ne peut gagner aucun rapport à son travail.


Mais celui-là, qui connaît la vie de l'esprit dans sa base véritable, celui-là sait qu'un tel rapport malsain entre l'humain et son travail peut aussi seulement apparaître justement sous des conditions préalables malsaines. Il n'y a pas dans une vie de l'esprit saine, qui est libre du politique et libre de la vie de l'économie et n'agit sur celle-là qu'en retour, il n'y a pas à l'intérieur d'une telle vie de l'esprit, qui n'est pas immédiatement intéressant, et qui, quand cela sera seulement manié correctement, attache l'humain à son travail, parce qu'il sait : cela qu'il travaille sera un membre dans le cycle de l'organisme social. Cela n'est pas quelque chose, qui a seulement le droit d'être jugé ainsi que ce ne pourrait être autrement, que l'humain devrait aussi faire de l'inintéressant. Non, cela doit être jugé ainsi que tout de suite cette base de la vie de l'esprit sera recherchée, laquelle peut unique et seule provoquer intérêt, rapport de l'humain avec son travail et intérêt pour ce travail sur tous les domaines, à chaque travail.

Là se montrera que quand la vie de l'esprit libre émancipée s'occupe à partir d'impulsions spirituelles en ses administrateurs jusque dedans les ramifications particulières de la vie étatique et économique, qu'alors seul peut apparaître ce qui devient un véritable, factuel intérêt à tout et ne fonde pas un pur commercial, pas un pur rapport économique et d'avantages.


Toutefois à une telle vie de l'esprit devra être créée une base. Cette base peut seulement être créée quand tout système scolaire sera placé dans l'administration de la vie spirituelle elle-même, quand le professeur le plus en bas n'a plus à demander : que réclame l'État politique de moi ? -, mais quand il a à regarder en haut à ceux-là en qui il a confiance, quand il regarde vers cela administrant le domaine de l'organisme social d'après la vie de l'esprit d'après ses propres principes.

Ainsi agit en beaucoup de rapports cela dont je crois que cela se donne conformément à la nature. Tout de suite d'une vraie poursuite de la conception du monde prolétarienne cela agit contre les habitudes de penser. Alors pendant qu'on l'a repris comme héritage tout de suite de la science bourgeoise : de fondre l'un avec l'autre vie de l'esprit, état, vie de l'économie, il s'agit de cela que pour la guérison de l'organisme social doit être ambitionnée l'autonomisation des trois domaines mentionnés. Seulement par cela que dans une certaine mesure chacun de ces domaines – quand je peux maintenant me servir d'expression praticable – a son propre parlement et sa propre administration, qui se tiennent les uns aux autres comme états souverains, commercent seulement par délégation les uns avec les autres, n'échange que leurs besoins communs, alors seul peut guérir l'organisme social. Et la question est aujourd'hui la question de fond, qui provient de tous les faits : comment l'organisme social peut-il guérir ? Cela est à saisir avec les mains : il est malade, cet organisme social !

Ceux-là qui à partir de leur conscience de classe devraient établir l'exigence justifiée que cet organisme social s'assainisse, ils ont tout de suite besoin de poursuivre la conception du monde prolétarienne sur ses germes fructueux et la former plus loin de manière correspondante.

J'admets que tout d'abord maint peut parler contre cela, qu'il regarde aujourd'hui comme le correct, quand sera dit : la direction doit être prise vers cette triarticulation sociale, cette triarticulation de l'organisme social. - Mais autant cela contredit les habitudes de pensée de maints dans le présent, la réalité n'a pas le droit de s'orienter d'après nos commodités, pas d'après cela que croient ceux qui se sont jusqu'à présent tenu pour praticiens de la vie.
La réalité doit s'orienter d'après ce qu'on a reconnu pour le correct d'un sens de vérité sain, honnête.


Ce que j’ai expliqué ne se rapporte pas à un quelque nid de coucou dans les nuages. Oh, les temps sont là, où maint, qui se formait ses habitudes de pensée parce qu’il ne pouvait que considérer le simple et qui se tenait pour un praticien de la vie, devra admettre, que les idéalistes mal vus, si mal vus, qui pensent à partir de nécessités d’évolution de l’humanité sont les véritables praticiens de la vie. Ce que je vous ai mentionné n’est pas un nid de coucou dans les nuages ; c’est déduit tout de suite de ce que sont les besoins de vie quotidiens de l’humanité.



Je ne peux naturellement pas m’embarquer sur tous les domaines particuliers, je veux pour finir traiter d’un seul domaine, un domaine, auquel, si je peux seulement le traiter rapidement, montrera, comment ce que j’ai fait dériver apparemment des concepts originels de la vie sociale, intervient dans le pire du pire. Qu'est-ce qui est le pire du pire dans la vie ? Le pire du pire est que nous devons avoir dans notre poche quelque chose que nous nommons argent. Mais vous savez aussi, ce qui pend à cet argent. Vous savez, comment cet argent intervient dans la vie. Quand on regarde le développement de l’organisme social sain : à quel membre revient l’administration de l’argent ? Cette administration de l’argent, l’État l’a effectuée jusqu’à présent à partir de certaines forces d’évolution qui sont très vieilles. Mais l’argent est justement ainsi vraie marchandise dans un organisme social sain que la force de travail n’est pas une marchandise. Et tout le malsain qui intervient du côté de l’argent dans l’organisme social, réside là-dedans, que l’argent voit travesti son caractère de marchandise, qu’il repose aujourd’hui davantage par le tamponnement d’une quelque marque par l’État politique, que ce sur quoi il doit reposer, sur quoi donc encore, parce ce que ça ne va pas là autrement dans les échanges internationaux : sur sa valeur de marchandise. Les économistes nationaux ont aujourd’hui une querelle bien curieuse, qui agit vraiment bizarrement sur les raisonnables. Ils demandent si l’argent est une marchandise, seulement une marchandise appréciée, pour laquelle on peut toujours échanger d’autres marchandises, pendant qu’autrement, quand par exemple, on a le malheur, de fabriquer seulement des tables et des chaises et devoir attendre si l’un donne pour cela des légumes, on peut, en ce qu’on échange d’abord des tables et des chaises pour de l’argent, recevoir des choses pour la marchandise argent, qui nous sont tout de suite correctes, pour lesquelles on a justement un besoin. Pendant que les uns disent : cet argent est une marchandise ou au moins le représentant de la marchandise, doit être là pour ça, aussi si c’est de l’argent-papier, la contrevaleur correspondante en marchandise, les autres disent : l’argent est absolument seulement ce qui se constitue, en ce que l’État tamponne une certaine marque par une loi. Et maintenant ils recherchent, ces savants économistes nationaux : qu'est-ce qui est le correct ? L’argent est-il marchandise, ou quelque chose, qui se constitue par un simple tamponnage ? Est-ce un simple ordre de virement sur la marchandise ?

La réponse à cette question est simplement celle-là : l’argent n’est pas l’un ou l’autre, mais les deux aujourd’hui. L’un il l’est par ce que l’État tamponne justement certaines marques ; l’autre est que dans les échanges internationaux ou dans certaines conditions aussi dans des échanges nationaux, l’argent ne peut circuler avec les marchandises que seulement comme marchandise.

L’organisme social sain dévêtira l’argent de chaque caractère de droit ; il l’attribuera à cette administration et législation, qui administre par son processus propre, naturel, aussi la mise en place de l’argent, l’évaluation de la monnaie à l’intérieur du cycle économique, ce même parlement, cette même administration de l’organisme économique restant.


Tout d'abord alors si quelque chose comme cela s’introduit, sera placé sur une base saine ce qui doit être exigé par le prolétariat moderne. Ce rapport étrange, qui réside là entre le salaire du travail et la nature de la marchandise, ce rapport, il repose toutefois en fait sur un mensonge de vie. Pendant que d’un côté le travailleur, quand il l’obtient la satisfaction de son exigence après un salaire plus élevé, croit atteindre alors des conditions de vie plus saines, de l’autre côté aussi longtemps que le cycle de l’économie ne sera pas émancipé du cycle de droit de l’État politique, le prix des marchandises grimpera toujours.
Ces choses pourront seulement être placées sur une base saine, si cette triarticulation survient.

On devra tout autant, quand on reconnaîtra la nécessaire autonomie de la vie de l'esprit, reconnaître qu'aucune nécessité subsiste d'appeler en avant les entreprises capitalistes en tant que telles, mais l'art et la manière, comme au cours des temps récents le capital a été administré, comme cela a été utilisé par cela que cela se tient seul dans le processus économique, c'est cela qui a amené le capital dans son efficacité aux dommages avec lesquels tant de misère est attachée.


On devra reconnaître : aussi longtemps que le contrat de travail ne se rapporte pas sur le partage de ce que produit ensemble le travailleur manuel avec le travailleur spirituel, mais aussi longtemps que le contrat de travail se rapporte à la rémunération du travail, aussi longtemps il est impossible que cela soit posé sur une base saine.

Unique et seul par cela qu'à la vie de l'esprit sera donné sa seine réalité, sera découvert en chaque cas, en ce que c'est nécessaire dans le rapport entre travailleurs et conducteur spirituel, que là, où le travailleur est exploité, qu'il ne soit pas purement escroqué par l'économie, mais par la escroqué que celui-là, qui est l'entrepreneur, valorise ses particularités individuelles, ses particularités spirituelles en une non correcte manière, en une manière non de droit, en une manière non digne de l'humain.


Le travailleur ne sera pas exploité par la vie de l'économie, le travailleur sera exploité par chaque mensonge de vie, qui apparaît par cela que dans l'actuel organisme de société les facultés individuelles pourront être tout de suite utilisées à l'exploitation du travailleur parce qu'elles ne peuvent être regardée des deux côtés à l'intérieur du processus économique ; à l'intérieur de la vie de l'esprit saine, elles seront vues et contrôlées des deux côtés.

Comme dit, je peux bien le reconnaître, que ce que j'ai donné ici tout de suite pour la guérison de l'organisme social, aujourd'hui aussi encore peut répugner à maintes âmes de prolétaires (NDT Proletariergemüte). Je peux le reconnaître. J'ai depuis des années parlé sur ces choses parmi des travailleurs, avec des travailleurs. Je n'ai pas seulement administré des branches particulières à l'intérieur de l'école de formation des travailleurs, j'ai fait des exercices de prise de parole avec les travailleurs. Dans les exercices qui ont été faits pour l’entraînement à la parole, maint a aussi été formulé du côté des travailleurs en cette communauté, qui si correctement montrait quelle coloration particulière, quelle façon particulière ont les exigences du prolétariat moderne. Là on reçoit déjà la faculté, pas seulement ainsi, comme les membres des actuels cercles dirigeants ou des jusqu'à présent cercles dirigeants le font, pensent seulement sur le prolétariat – non, on atteint la faculté de penser avec le prolétaire. C'est cela que je voulais vous dire aujourd'hui : penser avec le prolétaire, pas seulement penser sur lui !

Pensé d'après mon vouloir, c'est ainsi – j'aimerai cela, que vous avez compris cela -, que peut-être avec rapport au contenu des opinions ici ou là qui pourrait diverger les unes des autres, mais que tout d'abord dans l'actuel instant d'histoire du monde il ne s'agit pas, si on diverge en l'une ou l'autre opinion, mais si on s'accorde ensemble en cette exigence sincère qui doit être l'exigence du prolétariat moderne.
Seul par cela qu'on consent à ce consensus, au consensus dans le vouloir sincère, unique et seul par cela pourront être
trouvé les germes, qui reposent dans la conception du monde prolétarienne pour formation ultérieure. Car le moment est passé où pourra purement être discuté ; le moment est passé, où des gens qui veulent seulement servir leur intérêt ont le droit de parler d'entente. Le moment est venu où les exigences de décennies durant provenant purement des lames de fond du prolétariat moderne pénètrent sur le plan d'histoire du monde, où elles deviennent vraiment les événements les plus importants, les plus chargés de signification des temps récents.

Ce qui s'est formé du chaos de la guerre économique moderne, de la guerre mondiale moderne, ce qui longtemps,oui qui peut-être remplira l'avenir, cela sera la question sociale. Pas une irréelle, pas une solution théorique ou la tentative d'une telle je voulais aujourd'hui vous présenter ; sur cela je voulais rendre attentif, que maintenant une fois le temps est commencé, où la question sociale est là, où les humains en leur agir ensemble social devront être ainsi articulés en organes d’État, d'économie et spirituels, que de cette saine articulation peut provenir une solution durable de la question sociale.


Cette question sociale ne sera pas résolue d'aujourd'hui sur demain, après qu'elle soit une fois là, mais parce qu'elle sera toujours là comme la vie produit ses conflits toujours à nouveau, ainsi devra aussi être là chaque articulation de l'humanité, laquelle aspire après la solution des conflits montants de manière sincère dans la vie sociale. Si on veut tenter, en de larges cercles de devenir attentif là dessus que dans une telle progression de la conception du monde prolétarienne repose la guérison dans le futur, de cela ça dépendra, où le point de départ du mouvement prolétarien moderne conduira.
Et il doit en fait conduire là, de toutes les exigences justifiées à partir de la question des salaires, de la question de pain de se redresser à ce
bouleversement puissant d'histoire du monde, qui à partir de la conscience du travailleur moderne devra passer dans la conscience générale d'humanité, qui de la dignité, de la dignité à la mesure du sentiment du prolétaire moderne sera fondée la vraie dignité humaine pour tous les humains, que les autres jusqu'à présent ne purent fonder.

 

***

Dans discussion se rapportant s'exprimèrent plusieurs orateurs. La conclusion fut formée par les paroles de clôture de Rudolf Steiner suivantes :

Rudolf Steiner : Oui, je dois tout d'abord une fois en rapport au cher premier orateur faire quelque peu une remarque de principe. On est très souvent, quand on parle, dans la situation de devoir dire qu'en fait on ne comprend pas correctement, pourquoi des choses, comme elles ont été dites par le premier orateur, devraient juste être dite dans la forme comme si cela devait être une réfutation de cela qu'on a soi-même dit. Le premier orateur a ainsi parlé comme s'il était placé en fait dans la nécessité, de me combattre dans une certaine mesure dans tous le morceau – quand il a aussi reconnu maintes choses, ainsi au moins sur toute l'attitude.
Je ne suis pas dans la situation de
devoir le combattre, mais je dois dire, qu'en fait je pense, que celui-là qui m'a correctement écouté, n'aura pas du tout tant contre ce que le premier orateur a dit. Je suis dans la situation de reconnaître beaucoup, aussi en rapport au contenu qu'il a exprimé, comme il semble saisir des yeux cela ce que j'ai en fait voulu.

Maintenant, une chose me semble importante dans les détails. Il est étrange que le premier Monsieur orateur devait mettre en avant que ce que j'ai dit serait apparu par ce que j'ai seulement parlé avec des travailleurs, pas participé avec des travailleurs. Oui, maintenant, naturellement chacun peut seulement œuvrer sur son domaine ; mais l'art et la manière comme j'ai participé avec des travailleurs, a déjà été ainsi qu'on ne peut dire que ça a été purement parler avec des travailleurs. Je crois aussi que celui-là, qui peut être arrive plus sur ce qu'aussi l'exposé d'aujourd'hui faisait aboutir, le trouvera compréhensible sur tout le vouloir, que des années durant je n'ai pas été interpelé ainsi, bien que je le comprenne, que je serais aujourd'hui abordé ainsi. Je suis n'ai pas été toujours abordé ainsi, seul je le crois, de la simple raison parce que dans le temps les travailleurs ont déjà senti que cela que j'avais à dire, n'est pas parlé d'un pur parler avec les travailleurs.


Quand il m'est devenu possible de parler d'une telle manière, comme je devais de nouveau parler aujourd'hui, ainsi ce n’est véritablement rien d'approximatif. Car, lançons une fois la question : qui a le droit en fait de se compter aux travailleurs ? Celui-là qui a la permission de parler avec les prolétaires, aux prolétaires par cela qu'il s'est résolu à cela par son destin et par sa propre force, de parler ainsi comme aujourd'hui je le peux, mais aussi seulement comme orateur libre. Car dans les cercles avec lesquels m'a été reproché d'avoir de la communauté, oui, là j'ai peut-être exactement justement ainsi, peut être encore été beaucoup plus mal traité que je n'ai été traité ici ce soir. C'est donc autre chose, quand, comme moi, on s'est donc aussi résolu en conséquence ; je le continuerai aussi dans la courte vie qui me reste encore à disposition. Mais je me suis des années durant résolu par cela que j'ai parlé avec les prolétaires, travaillé avec les prolétaires, souffert de la faim avec le prolétariat. Je n'ai pas « demandé aux fonctionnaires de poste combien ils ont pour en cela pouvoir souffrir de la faim », mais j'ai moi-même dû souffrir de la faim avec. Car cette famille, de laquelle j'ai grandi, était d'une bien plus mauvaise situation, que peut-être tous ces « fonctionnaires de poste » qu'on peut aujourd'hui questionner. Je n'ai pas appris seul à comprendre le prolétaire par cela que j'ai appris à penser sur lui, mais j'ai appris, à comprendre le prolétaire par cela que j'ai moi-même vécu avec eux, avec les prolétaires, que j'ai grandi du prolétariat, devait aussi apprendre à souffrir de la faim avec le prolétariat.

À partir de ces soubassements on sentait déjà dans le temps lorsque des années durant je pouvais
travailler ensemble avec des travailleurs, que suis en situation de parler à partir d'une pratique entièrement afférente, mais pas de la théorie. Je crois, cela peut aussi donner un fondement à cela si on a un certain droit à parler aux prolétaires ou non.

C'est cela que j'aimais dire à une des choses.

Alors, se rapporta une grande partie de cela que le premier orateur a exposé, donc en fait par du tout sur moi, cela se rapportait sur les intellectuels. Oui, là le président a déjà dit : quand un quelconque peut en parler, qu'il a été bombardé avec saleté, qu'il a été bombardé avec saleté par les intellectuels, alors j'en ai le droit. Car véritablement, quand vous suivriez l'art et la manière comme j'ai été bombardé de saleté, et notamment de l'art et la manière dont cette saleté à l'air, alors vraisemblablement vous ne m'envieriez pas sur la fréquentation comme je l'ai savourée avec les intellectuels.


Cela est une remarque personnelle ; cela sont absolument des remarques personnelles. Mais cela, qui m'a été répliqué, va donc au fond aussi sur le personnel, et pour cela cette remarque devait déjà être faite.


Maintenant, une grande part se rapportait évidemment absolument pas à moi, se rapportait aux étudiants. En rapport à la dernière : croyez que je ne sous-estime absolument pas qu'une grande part de la communauté actuelle des étudiants sera atteinte avec droit par le reproche, que maintenant son idéal que le plus en bas des travailleurs salariés n'atteint pas ! Là on pourrait évidemment parler beaucoup sur ce chapitre. Mais tout de suite le travailleur moderne devrait comprendre de l'autre côté que finalement ainsi, comme à partir des conditions les autres classes humaines se sont formées, ainsi finalement l'étudiant moderne s'est formé à partir des conditions. Qui peut comparer impartial l'aspiration à l'intérieur de la communauté moderne des étudiants, comme aspiration, avec ce qui par exemple a été rencontré à l'intérieur de la communauté des étudiants, comme moi-même – il y a longtemps – était encore sous cette communauté des étudiants, celui-là dira que toutefois en rapport à la rigueur dans laquelle tout de suite dans les phénomènes de déclin de la bourgeoisie était planté dedans la communauté des professeurs, de laquelle évidemment la communauté des étudiants doit être dépendante – avec rapport sur cela qui là comme exemple éclairait en avant la communauté des étudiants modernes, on peut donc avoir aussi une certaine satisfaction pour les fleurs, qui malgré tout, tout de suite dans la communauté moderne des étudiants, s'ouvrent vers le meilleur. Il proviendra très certainement – quand aussi la chose est regardée ainsi aujourd'hui, comme si la communauté des étudiants tombe sur le dos des travailleurs – tout de suite de la communauté des étudiants des collaborateurs pour les idéaux sociaux, je crois même en très grand nombre. L'étudiant a aujourd'hui maintes choses à surmonter. On ne doit pas oublier comment sont de fer les pinces avec lesquelles on est retenu. J'ai tout de suite dans les derniers temps eu diverses occasions, aussi avec de jeunes étudiants, de parler sur des choses, qui peut-être reposent plus loin de cet idéal immédiat, mais qui reposent près de celui-là qui comme une vie de l'esprit saine en général doit se développer hors de la vie de l'esprit malade. Je sais, quelle réceptivité est dans la jeunesse pour une rénovation de la vie de l'esprit. Mais je sais aussi comme grande est la tentation quand on a l'enthousiasme de la jeunesse derrière soi, qui a atteint le diplôme et à besoin, à l'intérieur de la société bourgeoise moderne de chercher une place, comme proche là repose la tentation, alors à nouveau de sombrer dans la philistrosité, dans la petitesse.

Nous ne venons naturellement pas d'aujourd'hui sur demain à une solution définitive de ce que nous espérons et désirons ardemment. Mais cela devrait quand même être distingué que partout là où une telle nostalgie, un tel désirer ardemment raisonnable ce qu'avec droit exige le prolétariat moderne, prend place, on ne devrait pas le démoraliser par cela qu'on jette pêlemêle l'un avec l'autre d'une fanatique, dogmatique manière. Je crois quand même que ce dogmatique au moins jusqu'à un certain degré – quand aussi dans le combat moderne les moyens ne peuvent être choisis trop bénins – devrait s’apaiser l'opinion dont j'ai parlé dans mes exposés : qu'il devrait moins s'agir de la différence des pensées, mais de l'égalité du vouloir sincère.


Maintenant, demandez une fois, comme beaucoup de ceux là, desquels vous dites qu'ils tombent dans le dos de l'un, sont dépendant des conditions, dans lesquelles est placé l'étudiant moderne, et demandez-vous de l'autre côté, mais aussi combien de vouloir sincère tout de suite dans la jeunesse actuelle se fait valant. Soignez-le de préférence plutôt que par cela que vous tombez dans le dogmatique, pour ainsi dire vous le paralysiez.

Maintenant ce qu'alors le deuxième orateur a tout d'abord exposé, là je peux donc dire : je suis d'accord avec l'appel, qui est tombé là à gauche, cela c'est donc au fond pas si différent de cela que j'ai dit moi-même ; et je ne me raidis pas tant là dessus, que les choses soient tout de suite dites comme je les ai dites. Quand une quelque chose, disons, peut aujourd'hui aider à l'amélioration, ainsi je suis réjoui par là. Et je veux à cause de cela ne pas aller si coupant au tribunal aussi avec quelque chose d'autre, ce qui a été dit par le deuxième orateur ; mais j'aimerais seulement le placer quelque peu correctement, qui malgré tout peut indiquer là dessus que cet orateur n'a donc pas pris la chose ainsi très exactement. Il a par exemple soupçonné par là mon indication sur ce que des années durant j'ai enseigné dans l'école de formation des travailleurs à Berlin qu'il a dit : que ce serait bien seulement une association de formation libérale. - J'ai expressément dit, c'était l'école de formation des travailleurs fondée par le vieux Liebknecht, par Wilhelm Liebknecht !
Maintenant je ne crois pas que vous refilez au vieux Liebknecht qu'il a fondé n'importe quelle association-x de formation pour la communauté des travailleurs, comme la communauté des travailleurs ne l'aurait dans le temps jadis pas du tout accepté. Les auditeurs n'étaient pas des
humains venant des « libéraux bourgeois habituels », mais juste travailleurs, juste des cercles des prolétaires et des sociaux-démocrates organisés par la banque ! (NDT à préciser historiquement ce que la banque vient faire là)

Ainsi, je crois qu'aussi maintes autres paroles prononcées par moi n'ont tout de suite pas été saisies de manière correcte par ce Monsieur l'orateur, comme je l'ai en fait voulu, et comme on peut donc aussi le concevoir, quand on ne vient pas du devant avec un préjugé ne vient seulement alors quand l'autre a une autre opinion, mais même, quand cela qu'on pense soi-même, on l'exprime seulement quelque peu en une autre forme, parce qu'il croit que c'est justement nécessaire qu'aujourd'hui dans cet instant d'histoire mondiale les choses devraient être prises plus globalement, et parce qu'il croit que pas chacun aujourd'hui pourrait être nommer un praticien, qui juge seulement d'après le plus proche, mais celui-là qui est vrai praticien, qui embrasse du regard les plus grands rapports.

Ce qui concerne la conception de la question de « l'appel », où la dessus a été indiqué, que cela correspond presque mot pour mot avec cela que je vous ai dit ce soir – vous ne vous étonnerez pas là dessus que vous avez donc entendu que « l'appel » a été rédigé par moi-même et vous n'exigerez pas de moi que, quand parle ici ou là, quand donc je parle quelque peu à des bourgeois, que cela sonne autrement que cela que je dis ici du podium.

Remarque : ou bien partout pareil, ou...

C'est cela que je dis tout de suite:je dis : dans « l'appel » est écrit la même chose que j'ai dite ici. Dans cet « appel » n'est écrit rien nulle part quelque chose d'autre, que ce que j'ai dit ici.

Pour moi il s'agit de ce que cela que je dis est en mon sens la vérité, et et je dirais la vérité à chaque endroit où cela m'est permis, de dire la vérité. Je n'exprime que la vérité, c'est de cela dont il s'agit pour moi. C'est cela que j'avais à dire en ce rapport. Je n'exclurais personne d'une quelque chose quand il peut le concilier avec sa conviction et dit oui à ce que je dis moi-même. Car je crois seuls par cela nous venons sur une branche verte, que nous exprimons la vérité, sans soucis là-dessus quelle impression elle fait sur les humains, s’ils souscrivent ou non. C'est cela que je voulais dire à cela.


Et alors, j'aimerai seulement encore pour la fin remarquer une chose qui se rapporte sur cela que l'orateur suivant a dit : je n'aurais rien dit sur la manière de lutter.- Mais de mes paroles vous pouvez partout retirer comme je pense en fait sur cette manière de lutter. Je crois l'avoir frugalement évoqué que ce n'est pas mon opinion qu'aujourd'hui que cela peut arriver sur une entente superficielle, ou comme les belles choses s'appellent toutes. Aujourd'hui nous somme incorporés en un stade des faits, où dans le fait rien d'autre n'est possible, afin que nous n'arrivions pas à de pures façons de voir vides, comme les choses doivent être transformées, mais par cela que nous venions à des façons de voir auxquelles sont vraiment possibles de nouvelles pensées à amener dans les âmes des humains. Car les vieilles pensées ont justement montré ce qu'elles peuvent mettre sur pied d'ordre social et avec ces vieilles pensées est livrée l'indication qu'elles sont inutilisables. C'est pourquoi je crois qu'il s'agit pour le début, pour le tout début, pour le tout début pratique que ceux-là qui ont un sincère vouloir social s'entendent avant toutes choses une fois sur ce qui peut se passer.


Nous nous tenons aujourd'hui en Suisse encore– je ne sais pas, si on devrait dire « Dieu soit remercié » ou « malheureusement » - dans des rapports qui ne sont pas ainsi que sont les rapports en Europe du centre ou de l'est. L'Europe du centre ou de l'Est se tient donc dans des rapports qui vraiment seulement pourront être assumés par renouement aux pensées originelles de l'organisme social. Et si là ne sera pas faite la tentative que tout d'abord parmi le prolétariat lui-même les questions fondamentales seront discutées comment maintenant sortir de ce chaos par les plus simples organisations, mais qui devraient toutes porter le caractère, à mon avis, de cette triarticulation de l'organisme social – quand pas parmi le prolétariat lui-même guérison sera amenée, que des organisations seront nouvellement créées, d'après de nouvelles pensées, ainsi je ne vois tout d'abord pour des décennies absolument pas de salut.

On devrait pouvoir commencer tout d'abord avant toutes choses avec ce qui peut-être vous apparaît comme in-essentiel : tout d'abord, nous devons reconnaître que nous ne faisons pas seulement face à des institutions bourgeoises, contextes bourgeois, mais que nous faisons face à une science bourgeoise.

Cela je l'ai dit dans la maison berlinoise des syndicats  il y a seize ans et a même été compris correctement à l'intérieur du prolétariat. Le prolétariat a encore la tâche d'éjecter tout d'abord ce qui dans sa pensée est de science bourgeoise, et de ne pas viser dans le sens de la science bourgeoise n'importe quelle institution, mais au sens tout de suite de cette manière-là de nouvelles pensées qui peut-être ne peuvent justement seulement être trouvées du prolétariat parce que le prolétariat est émancipé de tous contextes humains restants, dans lesquels malheureusement se tiennent les humains bourgeois.

C'est pourquoi il s'agit aujourd'hui avant tout de cela que ce qui vous semble peut être comme le moins essentiel serait mis à exécution : l'émancipation de la vie de l'esprit, le développement de liberté de la vie spirituelle. Arrivons-nous à cela d'avoir une vie de l'esprit vraiment libre, arrivons-nous à cela que plus une science, qui est tributaire du capitalisme puisse donner le ton jusque dans les cercles du prolétariat alors seulement nous allons au-devant d'une guérison. Pas un rétrécissement au sens bourgeois, je ne veux pas un rétrécissement, mais tout de suite un élargissement des tâches prolétariennes.


Et j'ai la forte foi – des humains aimeraient, qui du point de vue que je peux très bien comprendre, parler, comme le deuxième orateur, encore tant objecter, qu'on ne comprend pas phrase pour phrase ce que j'ai dit -, j'ai la forte foi que je me suis acquise par une longue vie parmi le prolétariat, que cela que j'ai dit tout d'abord pas des autres classes, mais tout de suite du prolétariat sera compris. Et il doit malheureusement être attendu jusqu'à ce que cela sera compris du prolétariat. Mais je crois qu'il pourra comprendre cela.


Et dans cette pensée, j'aimerai die, je peux aussi avec un certain sentiment de satisfaction regarder en arrière sur cela qui ce soir voulait être atteint par moi. Je n'ai véritablement pas voulu, jusque dans la parole, vous convaincre en tous les détails. À cela je veillais trop à votre libre personnalité ; à cela je veillais trop à un accord libre de chacun. Mais j'ai la foi que parmi vous sont beaucoup qui penseront encore autrement sur ce que j'ai dit, que comme ils ont déjà aujourd'hui pensé. Et de cette foi c'est justement de quoi je suppose qu'elle appartient à la guérison de l'organisme social.



Als der heutige Vortrag angekündigt worden ist, wird mancher vielleicht die Frage gestellt haben : Von welcher Seite kommt dasjenige, was da geredet werden soll? — Und nach der einen oder anderen Erkundung wird man vielleicht die Meinung haben, daß nun auch wieder geredet werden soll von derjenigen Verständigung, welche heute diejenigen so stark herbeisehnen, welche im Laufe längerer Zeiten herbeigeführt haben das heutige kapitalistische Meer der sozialen Verwirrung, indem sie bemerken, daß ihnen das Wasser bis an den Mund reicht und sie nicht mehr imstande sind, in diesem Meere zu schwimmen. Sie suchen nach dem einen oder anderen Rettungskahn; sie werden solche Rettungskähne aus den Voraussetzungen, die sie gewöhnlich machen, aber nicht finden. Denn von einer solchen Verständigung möchte ich Ihnen heute abend nicht sprechen. Mir scheint, daß in der Zeit, in der wir leben, ganz andere Dinge notwendig sind. Denn sehen wir uns an, was eigentlich geworden ist und was sich auslebt in den gegenwärtigen Zuständen, die für manchen, der gerade eine solche Verständigung sucht, so schreckhaft sind.

Dasjenige, was man heute «die soziale Frage» nennt, ist ja keineswegs gestern erst entstanden. Es ist in der Art, in der man heute davon spricht, mehr als ein halbes Jahrhundert alt. Aber was eigentlich geführt hat zu dieser sozialen Frage, das ist viel, viel älter; es ist dasjenige, was heraufgeführt hat die ganze Entwickelung der neueren Zeit, der letzten Jahrhunderte. Und wenn wir uns anschauen, wozu es die Entwickelung der letzten Jahrhunderte gebracht hat, so können wir das kurz etwa in die folgenden Worte zusammenfassen.

Da war eine Anzahl von Menschen, denjenigen Menschen, die man vielleicht am besten dadurch bezeichnet, daß man sagt, es sind diejenigen, die gelebt haben von der kapitalistischen Wirtschaftsordnung und die sich in der kapitalistischen Wirtschaftsordnung wohlgefühlt haben. Man konnte von diesen Leuten wahrhaftig oft genug hören, wie weit wir es in der Zivilisation gebracht haben. Man konnte hören, was hervorgebracht worden ist dadurch, daß die Menschheit in die Lage gekommen ist, nicht nur über weite Entfernungen einzelner Länder, einzelner Kontinente, sondern über Weltmeere hin sich schnell zu verständigen; wie weit man dadurch gekommen ist, daß sich eine gewisse Bildung ausgebreitet hat, daß die Menschen teilnehmen konnten an dem, was man das geistige Leben nannte und von dem man sich vorstellte, daß es zu einer ganz besonderen Höhe in unserer Zeit gekommen sei.

Nun, ich brauche Ihnen nicht zu schildern, was alles nach dieser Richtung hin geredet worden ist an Lobsprüchen über unsere moderne Zivilisation. Aber diese moderne Zivilisation, sie breitete sich aus über einem Untergrunde. Sie war ohne diesen Untergrund gar nicht denkbar ; sie lebte von diesem Untergrund. Und was war in diesem Untergrunde? In diesem Untergrunde waren immer mehr und mehr Menschen von derjenigen Art, die aus ihrem tiefsten seelischen Empfinden den Ruf ertönen lassen mußten : Gibt uns das, was dieses moderne Leben gebracht hat, ein menschenwürdiges Dasein? Wozu hat uns diese moderne Zivilisation verurteilt? — Und so spaltete sich diese moderne Menschheit immer mehr und mehr in zwei Glieder : in die einen, welche sich in einer gewissen Weise wohlfühlten oder wenigstens befriedigt fühlten in dieser modernen Zivilisation, die sich aber nur befriedigt fühlen konnten aus dem Grunde, weil die anderen im Untergrunde ihre Arbeitskraft hingeben mußten für eine gesellschaftliche Ordnung, an welcher sie im Grunde genommen doch keinen Anteil haben konnten.

Mit diesem ganzen Hergang der Sache entwickelte sich allerdings noch etwas anderes. Es entwickelte sich das, daß gerade die Träger der sogenannten Zivilisation nicht mehr die alten patriarchalischen Zustände mit den zahlreichen Analphabeten fortsetzen konnten. Es entwickelte sich das, daß die von dem Kapitalismus getragenen Menschen wenigstens einen Teil des Proletariats, der ihnen diente, gebildet machen mußten. Und aus der Bildung des Proletariats entwickelte sich etwas, was sich jetzt in so schreckhaften, aber für den, der die Geschichte versteht, nur allzu notwendigen Tatsachen zum Ausdrucke bringt : Das entwickelte sich, daß vor allen Dingen eine ganz große Anzahl von Menschen, die eben die Unterlage bilden mußten für diese moderne Zivilisation, nunmehr nachdenken konnten über ihre Lage, daß sie sich nicht mehr instinktiv hinzugeben brauchten, daß sie die Frage in intensivster Art stellen konnten: Haben wir ein menschenwürdiges Dasein? Wie können wir zu einem menschenwürdigen Dasein kommen?

Diejenigen, die bisher die führende Klasse der Menschen waren, haben im Hergange des modernen Wirtschaftslebens dieses Wirtschaftsleben, soweit es ihnen genehm war, in Verbindung gebracht mit dem modernen Staate. Von diesem modernen Staate konnte, wenigstens in einem gewissen Maße, das moderne Proletariat nicht ausgeschlossen werden unter dem Einflusse der neueren Zeit. Und so kam es, daß das Proletariat auf der einen Seite innerhalb des Wirtschaftslebens aus seiner Lage herausstrebte, ein menschenwürdiges Dasein anstrebte, auf der anderen Seite aber mit Hilfe des modernen Staates sein Recht zu erkämpfen versuchte.

Man kann nicht sagen — die Tatsachen der Gegenwart lehren es —, daß auf beiden Wegen wenig noch erreicht worden ist. Auf dem Wege des gewerkschaftlichen Lebens hat die moderne Arbeitergesellschaft innerhalb des Wirtschaftskreislaufes manches zu erreichen versucht : es waren Brocken von dem, was eigentlich der Inhalt eines menschenwürdigen Daseins innerhalb einer gesunden Wirtschaftsordnung sein muß. Auf dem Wege des staatlichen Lebens ist das erreicht worden. Allein dem weiteren stand entgegen die wirtschaftliche und politische Gewalt der bisher führenden Klasse der Menschheit. Und so kann man sagen, trotzdem manches erreicht worden ist auf diesen beiden Wegen, steht heute das moderne Proletariat nicht weniger vor der Frage : Welchen Sinn hat denn eigentlich meine Arbeit mit Bezug auf dasjenige, was jeder Mensch in der Welt als seine Menschenwürde in Anspruch nehmen muß?

Demjenigen gegenüber, was durch lange Jahrzehnte das Proletariat in den verschiedensten Formen diesem führenden, leitenden Kreise zugerufen hat : So geht es nicht weiter ! — demgegenüber wurde kaum irgendein verständnisvolles Wort hörbar. Und diejenigen Worte, die hörbar wurden, die standen eigentlich in einem merkwürdigen Verhältnisse zu dem, was eigentlich aus dem Geiste der Zeit heraus hätte angestrebt werden sollen. Hörten wir es nicht, wie von allen möglichen Seiten — von christlich-sozialer Seite, von bürgerlich-sozialistisch Strebenden — das oder jenes gesprochen wurde, was abhelfen könnte den Gefahren, die man glaubte heraufziehen zu sehen? War es mehr, im Grunde genommen, als salbungsvolle Phrase, die aus den verschiedenen, aus den Überlieferungen kommenden religiösen, sittlichen und so weiter Vorurteilen heraus erwuchsen dieser leitenden, bisher führenden Klasse ?

Sie empfanden es nicht, diese führenden Kreise; aber eine andere Seite der Menschheit empfand es. Derjenige, der seine Richtung empfand von etwas ganz anderem als leeren Redensarten, derjenige, der seine Richtung empfand aus dem Bewußtsein der Klasse heraus, die in die besondere soziale Lage gebracht wurde, die Unterlage zu sein für diese moderne Zivilisation. Und so bildete sich, trotzdem ja auf der anderen Seite durch gewerkschaftliches, genossenschaftliches und auch politisches Leben manches geleistet wurde, noch etwas anderes heraus, etwas, was wichtiger noch ist, was eine Arbeit des modernen Proletariats ist, die voll von Keimen für die Zukunft ist, und von der auch die Tatsachen der Gegenwart in reichlichem Maße getragen werden : Das bildete sich heraus, daß, während die bisher führende Klasse ihrer Luxusbildung nachging, die einzig nur genährt und gekräftigt werden konnte von dem Kapitalismus, das Proletariat in den Zeiten, die ihm übrigblieben, in seinen Versammlungen nach einer im wahrsten Sinne des Wortes modernen Bildung ausging, ausging nach einem Geistesleben. Das war es, was die bisher führende Klasse der Menschheit nicht sehen wollte, daß durch Tausende und aber Tausende von Proletarierseelen hindurch eine ganz neue Bildung, eine ganz neue Anschauung über den Menschen sich entwickelte.

Es war in der Natur der Sache begründet, daß diese proletarische Bildung zunächst ausging von der Betrachtung des Wirtschaftslebens. Denn an die Maschine hatte das moderne Leben den Proletarier geschmiedet. In die Fabrik hatte sie ihn gedrängt, in den Kapitalismus hatte sie ihn eingespannt. Da heraus holte er seine Begriffe. Aber diese Begriffe — ich will nur darauf aufmerksam machen, wie intensiv alles dasjenige, was mit dem Marxismus zusammenhängt, verständnisvoll einschlug in die Proletarierseelen —, diese Bildung war eine solche, die wenig, wahrhaftig recht wenig Widerhall fand bei der leitenden, der bisher führenden Klasse der Menschheit.

Ist es nicht charakteristisch, daß derjenige, der die Dinge kennt, heute sagen muß : Unter den führenden proletarischen Persönlichkeiten, unter denjenigen, die wirklich verstehen mit dem Proletariat, nicht bloß über das Proletariat zu denken, unter denjenigen Persönlichkeiten, die aufgenommen haben, was an wirklich fruchtbarer Bildung über das Wirtschaftsleben heute aufgenommen werden konnte, unter denen lebt wahrhaftig heute eine gründlichere, wenigstens lebensgründlichere Kenntnis desjenigen, was im sozialen Organismus spielt, als selbst unter den Gebildetsten der Gebildeten, selbst unter den über Soziologie nachdenkenden Professoren, Universitätsprofessoren. Denn es ist charakteristisch, daß sich diese Kreise, deren Beruf es sozusagen war, sich mit Soziologie, mit der Nationalökonomie zu befassen, gesträubt haben so lange als möglich gegen alles dasjenige, was hervorging aus dem Verständnis für das moderne Proletariat. Und erst als die Tatsachen drängten, als die Tatsachen gar nichts anderes mehr zuließen, haben sich einige von diesen Bürgerlich-Führenden herbeigelassen, mancherlei marxistische oder ähnliche Begriffe in ihr nationalökonomisches System aufzunehmen.

Daß diese Arbeit von dem modernen Proletariat geleistet worden ist, ich möchte sagen, ganz im Verborgenen für die führenden, leitenden Kreise geleistet worden ist, das behaupte ich hier nicht aus einer grauen Theorie heraus ; das behaupte ich, weil ich mitansehen konnte, wie diese Arbeit gezimmert worden ist. Ich konnte jahrelang in Berlin Lehrer an jener Arbeiterbildungsschule sein, die Wilhelm Liebknecht, der alte Liebknecht noch begründet hatte. Und teilweise in dieser Schule, teilweise in dem, was sich daran schloß, hatte man einen guten Ausschnitt von alldem, was da gearbeitet worden ist, um eine neue Zeit heraufzuführen aus einem entwickelten proletarischen Menschheitsbewußtsein heraus. Das hätten längst alle diejenigen überlegen sollen, die in oberflächlicher Art diese moderne proletarische Bewegung nur wie eine bloße Lohn-und Brotfrage behandeln, die nicht verstehen, sie zu behandeln als eine Frage des menschenwürdigen Daseins aller Menschen.

Demgegenüber ist es wahrhaftig nicht sehr bedeutsam, wenn heute hingewiesen wird darauf, wie innerhalb der Tatsachenwelt, die sich aus dem sozialen Chaos heraus ergeben hat, Schreckhaftes, zuweilen Grausames geschieht. Derjenige, der die Dinge recht versteht, wie sie sich entwickelt haben, der frägt nicht nach dem Zusammenhange dieser Grausamkeiten oder des Schreckhaften mit der modernen proletarischen Bewegung, sondern der ist sich klar darüber, daß die bisher führenden Klassen es sind, welche das hervorgebracht haben, was heute geschieht.

Der weltgeschichtliche Augenblick, der ist erst eingetreten, indem das Proletariat beginnt, für die weltgeschichtlichen Ereignisse eine Verantwortung zu tragen. Bis in die furchtbare und in vieler Beziehung auch irrsinnige Katastrophe des sogenannten Weltkriegs hinein ist dasjenige verantwortlich, was aus dem Kapitalismus, aus der kapitalistischen Wirtschaftsordnung im Laufe der neueren Zeit und insbesondere der neuesten Zeit sich ergeben hat.

Was sehen wir aber nun im Mittelpunkte all desjenigen stehen, was proletarische Bewegung, was proletarische Sehnsucht, ja, was proletarische Forderung ist ? Im Mittelpunkt dessen sehen wir stehen, was der Proletarier empfinden mußte gegenüber dem, was er im Grunde genommen herbeiführt und was durch die moderne Wirtschaftsordnung allein dem sozialen Organismus gegeben werden kann; denn die bisher leitenden Kulturkreise interessierten sich im Grunde genommen beim Proletarier nur für dieses einzige, und dieses einzige ist die Arbeitskraft des Proletariers. Man muß wissen, wie gerade eingeschlagen haben die Betrachtungen Karl Marx' und derjenigen, die in seinen Bahnen gegangen sind, in das moderne Proletariat, aus dem Grunde, weil in diesem modernen Proletariat die Empfindung da war : Vor allen Dingen muß Klarheit geschaffen werden mit Bezug auf die Art und Weise, wie menschliche Arbeitskraft einfließen darf in den sozialen Organismus.

Nun, es ist oftmals gesagt worden und es hat in weitesten Kreisen eingeleuchtet : durch die moderne Wirtschaftsordnung ist die Arbeitskraft geworden zu einer Ware unter anderen Waren. Das ist ja das Eigentümliche des Wirtschaftslebens, daß es besteht in Warenproduktion, Warenzirkulation und Warenkonsumtion. Aber das ist eingetreten, daß zu einer Ware gemacht wurde die Arbeitskraft des modernen Proletariers.

Von dieser Seite her ist im Grunde genommen innerhalb des Proletariats alles gesagt worden. Nur wird die Frage gewöhnlich doch nur nach einer Seite hin gelenkt, so daß sie nicht völlig in dem Lichte erscheint, durch das man eigentlich Einblicke gewinnt in die Stellung der menschlichen Arbeitskraft im gesunden sozialen Organismus. Da muß eine Frage aufgeworfen werden, die sich allerdings aus der marxistischen Frage ergibt, die aber in einer noch präziseren, in einer noch intensiveren Weise aufgeworfen werden muß. Gefragt werden muß: Kann überhaupt menschliche Arbeitskraft jemals wirkliche Ware sein?

 

 

Dadurch wird die Frage auf ein ganz anderes Geleise noch geleitet. Man wird in der Tat fragen : Wie kann gerechtfertigterweise menschliche Arbeitskraft entlohnt werden? Wie kann menschliche Arbeitskraft überhaupt zu ihrem Rechte kommen? Und man kann dabei doch die Voraussetzung haben: es muß schon so sein, daß die menschliche Arbeitskraft Lohn empfängt. Lohn ist aber in gewissen Zusammenhängen nichts anderes, als lediglich das Kaufgeld für die Ware «Arbeitskraft». Aber Arbeitskraft kann niemals eine Ware sein! Und wo im Wirtschaftsprozeß Arbeitskraft zur Ware gemacht wird, ist dieser Wirtschaftsprozeß Lüge. Denn es wird in die Wirklichkeit etwas hineingeworfen, was niemals ein wahrer Bestandteil dieser Wirklichkeit sein kann. Menschliche Arbeitskraft kann aus dem Grunde keine Ware sein, weil sie den Charakter, den notwendig jede Ware haben muß, nicht haben kann. Im Wirtschaftsprozeß muß jede Ware in die Möglichkeit versetzt sein, an Wert mit einer anderen Ware verglichen zu werden. Die Vergleichbarkeit ist die Grundbedingung für das Ware-Sein von etwas. Menschliche Arbeitskraft aber kann niemals mit irgendeinem Warenprodukte in bezug auf den Wert verglichen werden.

Es wäre eigentlich furchtbar einfach, wenn man nur nicht heute verlernt hätte, einfach zu denken. Man denke nur daran, wenn meinetwillen in einer Familie zehn Leute zusammenarbeiten, jeder seinen Teil arbeitet, wie man den Arbeitsteil eines einzelnen aus diesen zehn vergleichen kann mit den Leistungen, die diese zehn hervorbringen. Man hat gar nicht die Möglichkeit, mit den Warenleistungen die Arbeitskraft zu vergleichen. Die Arbeitskraft steht auf einem ganz anderen Boden des sozialen Beurteilens als die Ware. Das ist es, was vielleicht in der neueren Zeit nicht deutlich ausgesprochen worden ist, was aber lebt in den Empfindungen des modernen Proletariats.

Was lebt in den Forderungen des modernen Proletariats ? Das, was lebt in den Empfindungen des modernen Proletariats, das ist tatsächliche Kritik, das ist die weltgeschichtliche Kritik, die einfach in dem Leben des modernen Proletariers liegt und die entgegengeschleudert wird allem, was von den bisher leitenden Kreisen als soziale Ordnung heraufgefördert worden ist. Dieses moderne Proletariat ist nichts anderes als eine weltgeschichtliche Kritik selber. Gerade der Erkenntnis, daß Arbeitskraft niemals Ware sein kann, verdankt die Empfindung, die Grundempfindung ihr Dasein, daß gelebt wird in der neueren Zeit in einer gewaltigen, in einer umfassenden Lebenslüge; denn gekauft wird Arbeitskraft, die ihrem Wesen nach niemals gekauft werden kann.


Daß dem Abhilfe geschaffen werden müsse, davon ist, wie es ja jedem
Einsichtigen heute selbstverständlich sein muß, der moderne Proletarier überzeugt. Aber er ist hineingetrieben worden in dasjenige, was nicht er, was die bisher führenden Klassen aus dem sozialen Organismus gemacht haben. Er ist aus allem übrigen herausgestellt worden und nur hineingespannt worden in den Wirtschaftsprozeß. Sollte es da nicht erklärlich sein, daß er nun durch eine bloße Gesundung dieses Wirtschaftsprozesses, des Kreislaufes des Wirtschaftslebens selbst, auch die Gesundung des ganzen sozialen Organismus herbeiführen will? Daraus sind die Ideale entstanden, dergestalt, wie sie als Ideale des modernen Proletariats bisher leben.

Gesagt worden ist : Dadurch, daß der Kapitalismus als privater Kapitalismus durch den privaten Gebrauch der Produktionsmittel die moderne Produktion zu einer Warenproduktion gemacht hat, dadurch sei das moderne Proletariat in die Lage gekommen, die es nur selbst ganz empfinden kann. Dem kann nur abgeholfen werden dadurch, daß zurückgegriffen werde zu dem, was die uralte Idee der Genossenschaft ist, zu jener Genossenschaft, die gewissermaßen von dem Produzieren des einen für den anderen ausgeht und hinarbeitet zur Selbstproduktion, in welcher nicht mehr der eine den anderen übervorteilen kann, aus dem Grunde, weil er dann selbst übervorteilt würde. Und weiter ist gesagt worden : Wie soll diese Genossenschaft, diese große Genossenschaft begründet werden ? Da müsse man seine Zuflucht nehmen eben zu dem Rahmen, der sich im Laufe der neueren Zeit herausgebildet hat: zu dem modernen Staate. Den modernen Staat selber müsse man zu einer großen Genossenschaft machen, durch welche gewissermaßen die Warenproduktion übergeführt wird in Produktionen für den Selbstbedarf.

Da ist es gerade, wo man den Punkt ergreifen muß, auf dem man sagen kann : Man findet das Gesunde gerade in dem Geistesleben des modernen Proletariats auf der einen Seite, und man findet zu gleicher Zeit dasjenige, wo dieses Geistesleben des modernen Proletariats entwickelungsfähig ist, wo es von der Stufe, die es bis jetzt beschritten hat, zu einer anderen Stufe noch fortschreiten kann.

Es sollte wahrhaftig von demjenigen, der anderer Meinung ist auf diesem Gebiete, nicht übelgenommen werden, wenn man aus ebenso aufrichtigen und ehrlichen Empfindungen heraus, wie er sie selber hegt, noch nicht gewissermaßen die Vollendung sieht in der gegenwärtigen proletarischen Weltanschauung, sondern wenn man gerade genötigt ist, darauf hinzuweisen, daß diese proletarische Weltanschauung in sich die Keime zu einem Fortschritt trägt, daß dieser Fortschritt aber auch wirklich angestrebt werden muß. Und er kann angestrebt werden.

Das wird derjenige zugeben, welcher einsieht, was ich bereits — es ist ungefähr achtzehn Jahre her — im Berliner Gewerkschaftshaus als eine Eigentümlichkeit, und dann oftmals wiederum als eine Eigentümlichkeit gerade der modernen Arbeiterbewegung hervorheben mußte und was ich heute noch für absolut richtig halten muß. Ich sagte damals : Für den, der das geschichtliche Leben der Menschheit überblickt und aus diesem geschichtlichen Leben der Menschheit die moderne proletarische Bewegung mit Verständnis, mit innerem Verständnis hat hervorgehen sehen, für den ist es auffällig, daß diese moderne proletarische Bewegung anders als alle anderen Menschheitsbewegungen, die es je gegeben hat, im Grunde genommen auf einem — man mag das grotesk finden, man mag es paradox finden — auf einem geradezu wissenschaftlich orientierten Boden steht.

Tief, tief wahr ist es, was damals nach dieser Richtung hin als einen Grundton, als eine Grundforderung der modernen Arbeiterbewegung der schon fast vergessene Lassalle angeschlagen hat in seiner berühmten Rede über «Die Wissenschaft und die Arbeiter». Nur muß man die Sache noch von einem anderen Gesichtspunkte aus ansehen, als sie heute gewöhnlich angesehen wird : man muß sie ansehen von dem Gesichtspunkte des Lebens. Da kann man sagen: Mit Bezug auf dasjenige, was dem modernen Proletariat zugänglich geworden ist, durch das, was ihm die führenden Klassen geben mußten, wenn sie ihn nicht im Analphabetismus fortbelassen wollten, durch das hat der moderne Proletarier die Möglichkeit erlangt, zu übernehmen, wie ein Erbgut zu übernehmen, was sich in der neueren Zeit herausgebildet hat, aus dem Bestreben der leitenden Kreise zu übernehmen, was sich als wissenschaftliche Weltanschauung herausgebildet hat.

Worauf es ankommt, das ist dieses, daß aber nun der moderne Proletarier in ganz anderer Weise reagieren mußte auf diese wissenschaftliche Weltanschauung als alle anderen Kreise, sogar diejenigen, welche unmittelbar diese Weltanschauung ausgebildet hatten. Man kann innerhalb der leitenden und bisher führenden Kreise ein sehr aufgeklärter Mensch sein, ein Mensch, dessen innerste Überzeugung hervorquillt aus den Resultaten, aus den Ergebnissen der modernen Wissenschaft, man kann meinetwillen ein Naturforscher wie Vogt, ein naturwissenschaftlich populärer Forscher wie Büchner sein, dennoch steht man der wissenschaftlich orientierten Weltanschauung anders gegenüber als der moderne Proletarier.

Derjenige, der aus den leitenden Kreisen und ihren Vorurteilen, namentlich ihrem Vorgefühl und ihrer Vorempfindung heraus, sich theoretisch bekennt zu der modernen Bildung über den Menschen und über die Natur, der bleibt deshalb doch stecken innerhalb einer Gesellschaftsordnung, die sich streng abschließt von dem modernen Proletariat, und deren Struktur, deren ganze Organisation nicht herrührt von dem, was moderne Wissenschaft erzählt, sondern herrührt von demjenigen, was vor dieser modernen Wissenschaft die Menschengemüter an religiösen, an rechtlichen und sonstigen Vorstellungen über die Menschenwürde erfüllt hat. Das konnte ich einmal, ich möchte sagen, im unmittelbaren Erlebnis empfinden.

Es war in dem Augenblicke, als ich, zusammen mit der jüngst tragisch untergegangenen Rosa Luxemburg in Spandau stand vor einer Arbeiterversammlung, vor der wir beide sprachen über den modernen Arbeiter und die moderne Wissenschaft. Da mußte man sehen, wie dasjenige, was diese moderne Wissenschaft in die moderne Proletarierseele hineingießen kann, ganz anders wirkt auf den Proletarier als selbst auf den Überzeugtesten der bisher leitenden Menschenklasse, als Rosa Luxemburg den Leuten klarmachte : Da ist nichts, was hinweist auf einen engelgleichen Ursprung der Menschen, nichts, was hinweist auf die hohen Ausgangspunkte, von denen die bürgerliche Weltanschauung noch gern erzählen möchte; da ist von dieser modernen bürgerlichen Weltanschauung selbst behauptet, wie der Mensch als Klettertier einmal begonnen hat, wie er sich hinaufentwickelt hat aus diesen Zuständen. Wer das überdenkt — so sprach dazumal die für ihre Sache begeisterte Arbeiterführerin — wer das durchdenkt, der kann nicht in den Vorurteilen, die die heutigen führenden Kreise haben, verharren in den Vorurteilen von Rangunterschieden, von der Möglichkeit, so abzustufen zwischen den Menschen, die alle einen solchen gleichen Ursprung haben, wie man das innerhalb der führenden Kreise heute tut. — Das schlug anders ein, als bei den Leuten der führenden Kreise. Und das ergänzte dasjenige, was verständnisvoll als Wirtschaftswissenschaft der moderne Proletarier aufnahm.

Dasjenige, was da in die Seelen aufgenommen worden ist, das ist einer Fortentwickelung fähig, und von dieser Fortentwickelung möchte ich Ihnen heute einiges erzählen.


Derjenige, der alles das überblickt, was in Betracht kommt für die
Frage gerade : Wie ist die Arbeitskraft des modernen Proletariers zu dem Sinn einer Ware gekommen? — der sieht sich nach und nach gedrängt, seine Beobachtungen über das Wirtschaftsleben zu dem Punkte zu führen, wo er sich sagen muß : Gerade dadurch, daß der moderne Arbeiter hineingespannt worden ist in dieses bloße Wirtschaftsleben, dadurch ist innerhalb des Wirtschaftslebens auch die Arbeitskraft des modernen Proletariers zur Ware geworden. In dieser Richtung haben wir nur die Fortsetzung dessen, was im Altertum die Sklavenfrage war. Da war der ganze Mensch Ware. Heute ist geblieben von diesem ganzen Menschen nur noch die Arbeitskraft. Aber dieser Arbeitskraft muß der ganze Mensch folgen.

In den Empfindungen der modernen Proletarierseele liegt es, daß das in Zukunft nicht so sein dürfe, daß das der letzte Rest der alten Barbaren-zeit ist, der überwunden werden muß. Überwunden aber wird dies nicht anders werden können, als wenn man nun mit derselben klaren Geisteskraft, mit der das moderne Proletariat die Wirtschafts- und die Menschennatur ergriffen hat, damit auch die Wissenschaft von dem gesunden sozialen Organismus ergreift. Und von dieser Wissenschaft lassen Sie mich Ihnen einige Worte sagen.

Da tritt vor allen Dingen das deutlich auf: Man muß sich fragen: Was macht denn innerhalb des Kreislaufes des modernen Wirtschaftslebens die Arbeitskraft des modernen Proletariers zur Ware? Das macht die wirtschaftliche Gewalt des Kapitalistischen.

In diesem Worte von der Gewalt des Kapitalistischen liegt schon eine Hinweisung auf die gesunde Antwort. Denn: wem ist Gewalt diametral entgegengesetzt ? Gewalt ist diametral entgegengesetzt dem Rechte. Das aber weist darauf hin, daß eine Gesundung mit Bezug auf die Verwertung der menschlichen Arbeitskraft im sozialen Organismus nur dann eintreten kann, wenn die Arbeitskraft herausgehoben wird, wenn überhaupt die Frage nach der Arbeitskraft herausgehoben wird aus dem Wirtschaftsprozeß und wenn sie wird zu einer reinen und lauteren Rechtsfrage.

Damit aber kommen wir dazu, des breiteren nachzudenken, ob denn ein tieferer Unterschied ist zwischen Wirtschaftsfrage und Rechtsfrage. Dieser Unterschied besteht; nur ist man heute noch nicht geneigt, diesen Unterschied tiefgehend genug zu nehmen. Man ist nicht geneigt, tiefgehend genug zu nehmen, was auf der einen Seite die wirksamen Kräfte in allem Wirtschaftsleben sein müssen und auf der anderen Seite die wirksamen Kräfte sein müssen in dem eigentlichen Rechtsleben.

Was wirkt im Wirtschaftsprozesse ? Im Wirtschaftsprozesse wirkt das menschliche Bedürfnis, wirkt die Möglichkeit der Befriedigung dieses menschlichen Bedürfnisses durch die Produktion. Beides ist gegründet auf die Naturgrundlage; das menschliche Bedürfen auf die Naturgrundlage des Menschen, die Produktion auf die klimatischen, geographischen und sonstigen Naturgrundlagen. Dieses Wirtschaftsleben hat unter dem Einflusse der modernen Arbeitsteilung eben geführt zu dem, was der moderne Warenaustausch ist und sein muß, jener Warenaustausch, in dem sich nach dem Bedürfnisse der Menschen die Waren gegenseitig bewerten, und nach ihrer gegenseitigen Bewertung— ich kann das nicht im einzelnen beschreiben, es würde zu lange dauern — auf dem Markte erscheinen und auf dem Markte in den Kreislauf des Wirtschaftsprozesses einziehen.

Innerhalb dieses Kreislaufes des Wirtschaftslebens kann sich als in einem abgeschlossenen Kreislauf nicht zu gleicher Zeit das Rechtsleben entwickeln. Die menschliche Natur läßt ebensowenig zu, daß sich im sozialen Organismus innerhalb des Wirtschaftslebens selbst das Rechtsleben entwickelt, wie sie zuläßt, daß im menschlichen, im natürlichen Menschenorganismus nur ein einziges, in sich zentralisiertes System da ist. Ich will wahrhaftig heute abend nicht spielen mit irgendwelchen Vergleichen aus der Naturwissenschaft; allein ich glaube, daß gerade da ein Punkt ist, wo auch die Naturwissenschaft über dasjenige hinausgehen muß, zu dem sie heute gekommen ist. Ich habe in meinem letzten Buche: «Von Seelenrätseln» hingewiesen, worauf es da ankommt, was Naturwissenschaft heute nicht ordentlich erkannt hat : daß im gesunden menschlichen Organismus drei Systeme vorhanden sind, daß das Sinnes-Nervensystem vorhanden ist, das als Träger des Seelenlebens da ist, das Atmungs- und Herzsystem als Träger des rhythmischen Lebens, das Stoffwechselsystem als Träger des Stoffwechsels, und daß das Ganze den menschlichen Organismus ausmacht. Aber jedes System ist für sich zentralisiert; jedes hat seinen eigenen Ausgang nach der Außenwelt. In diesem Menschenorganismus wird Ordnung und Harmonie dadurch hervorgerufen, daß diese drei Systeme nicht wüst durcheinanderwirken, sondern nebeneinander sich entfalten, und dadurch gerade recht die Kraft des einen in das andere hineinfließen kann.

So muß im gesunden sozialen Organismus eine solche Dreigliederung eintreten. Man muß einsehen, daß, wenn der Mensch im Wirtschaftsorganismus sich betätigt, er dann innerhalb dieses Wirtschaftsprozesses bloß wirtschaften muß. Dann handelt es sich darum, daß die Verwaltung, die Gesetzgebung dieses Wirtschaftsprozesses darauf ausgeht, die gegenseitige Bewertung der Ware in der wirtschaftlichen Wirklichkeit auf den Weg zu bringen, in der zweckmäßigsten Weise die Warenzirkulation einzuleiten, die Warenproduktion einzuleiten, die Warenkonsumtion einzuleiten. Aus diesem bloßen Wirtschaftsprozesse muß aber herausgeholt werden alles dasjenige, was sich nun bezieht nicht auf die Befriedigung des Bedürfnisses des einen Menschen mit dem anderen, sondern was sich bezieht auf das Verhältnis eines jeden Menschen zu jedem anderen Menschen. Dasjenige, worinnen alle Menschen gleich sein müssen, ist etwas radikal Verschiedenes von demjenigen, was sich im Wirtschaftsleben allein entwickeln kann. Daher ist notwendig zur Gesundung des sozialen Organismus, daß herausgeholt werde aus dem bloßen Wirtschaftsleben das Rechtsleben, das eigentliche Rechtsleben. Dieser Entwickelung hat eben gerade die neuere Zeit entgegengestrebt.

Die bisher führenden Klassen -- was haben sie getan? Auf denjenigen Gebieten, auf denen es ihnen bequem war, auf denen es ihnen für ihre Interessen richtig erschien, da haben sie die alte Verschmelzung, die ja schon gewiß auf vielen Gebieten bestanden hat zwischen dem Wirtschaftsleben und dem politischen Staatsleben, weiter durchgeführt. Und so sehen wir, daß in dieser neueren Zeit, gerade unter dem Einflusse der leitenden Kreise der Menschheit, heraufkommt die sogenannte Verstaatlichung für gewisse Wirtschaftszweige. Post-, Telegraphenwesen und ähnliches zu verstaatlichen ist ja gefunden worden als im modernen Fortschritt gelegen und von diesem modernen Fortschritt verlangt.

In gerade entgegengesetzter Richtung muß derjenige denken, der nun nicht auf die Interessen der bisher führenden Kreise sieht, sondern der frägt: Welches sind die Grundlagen eines gesunden sozialen Organismus? —Der muß anstreben, daß immer mehr und mehr gelöst werde aus dem bloßen Wirtschaftsleben das Leben des eigentlich politischen Staates, desjenigen Staates, der zu sorgen hat für Recht und für Ordnung; der zu sorgen hat vor allen Dingen aber dafür, daß von diesem Gebiete aus in das Wirtschaftsleben das entsprechende Rechtsleben hineinfließt. Derjenige unterscheidet im menschlichen Leben nicht richtig, der kein Auge, kein geistiges Auge dafür hat, wie radikal verschieden Wirtschaftsleben und das Leben des eigentlichen politischen Staates ist.

Sehen wir einmal die Dinge an, wie sie sich heute entwickelt haben. Gewisse Menschen sprechen aus dem heutigen sozialen Zustand heraus so, sie sagen, innerhalb dieses sozialen Zustandes haben wir als erstes :

Tausch von Waren gegen Waren. — Gut, das muß sein im Wirtschaftsleben. Davon ist ja gerade eben gesprochen worden. Dann haben wir als zweites, sagen sie und sie sehen das als berechtigt an: Tausch von Waren, beziehungsweise des Repräsentanten von Ware, des Geldes, gegen Arbeitskraft. Und als drittes : Tausch von Waren gegen Rechte.

Was ist das letztere? Über das zweite habe ich ja schon gesprochen. Nun, wir brauchen nur hinzusehen auf das Grundbesitzerverhältnis in der modernen Wirtschaftsordnung, und uns wird sogleich klar werden, was klar sein sollte auf diesem Gebiete für die Zukunft. Wie man sonst auch über das Besitzverhältnis in bezug auf Grund und Boden denken mag — alles andere hat für den realen Vorgang im sozialen Organismus nicht eigentlich eine Bedeutung; eine Bedeutung hat lediglich das, daß der Besitzer von Grund und Boden das Recht hat, ein Stück Grund und Boden allein zu benützen und bei dieser Benützung sein persönliches Interesse geltend zu machen.

Das hat nicht das geringste in seinem Ursprunge mit dem Wirtschaftsprozesse als solchem zu tun. Mit dem Wirtschaftsprozesse hat einzig und allein — dagegen kann nur eine verkehrte Nationalökonomie etwas einwenden— dasjenige zu tun, was auf dem Grund und Boden als Ware oder mit Warenwert erzeugt wird. Benützung des Grund und Bodens beruht auf einem Rechte.

Dieses Recht allerdings verwandelt sich innerhalb der modernen kapitalistischen Wirtschaftsordnung, namentlich durch die Verquickung des Kapitalismus mit den Grundrenten, wiederum in eine Gewalt. Und so haben wir auf der einen Seite die Gewalt, welche ausschließt von solchen Rechten; auf der anderen Seite jene wirtschaftliche Gewalt, welche die menschliche Arbeitskraft zwingen kann, zur Ware zu werden.

Von beiden Seiten her wird nichts anderes, als eine Lebenslüge verwirklicht, wenn nicht angestrebt wird — angestrebt wird aus wirklicher sozialer Einsicht heraus — die Gliederung des sozialen Organismus in einen Wirtschaftsorganismus und in einen Organismus des im engeren Sinne politischen Staates.

Der Wirtschaftsorganismus wird begründet werden müssen auf assoziativer Grundlage, aus den Bedürfnissen der Konsumtion in ihrem Verhältnisse zur Produktion. Aus den verschiedenen Interessen der mannigfaltigsten Berufskreise werden die mannigfaltigsten Genossenschaften — man könnte sie mit einem alten Wort auch Bruderschaften der Menschheit nennen — entwickelt werden müssen, in denen verwaltet werden die Bedürfnisse und ihre Befriedigung.

Was sich innerhalb dieser Assoziationsgrundlage des wirtschaftlichen Organismus herausbildet, das wird immer zu tun haben mit der Befriedigung des einen Kreises von Menschen durch einen anderen Kreis. Auf diesem Gebiete wird maßgebend sein müssen die sachverständige Verwertung erstens der Naturgrundlage, dann aber auch die sachverständige Ausgestaltung der Warenproduktion, -zirkulation und -konsumtion. Da wird geltend sein müssen das menschliche Bedürfnis, das menschliche Interesse.

Dem wird immer gegenüberstehen als etwas radikal Verschiedenes dasjenige, worinnen Mensch und Mensch wesentlich gleich sich gegenüberstehen, wo sie gleich sein müssen, wie man mit einem heute schon trivial gewordenen Worte sagt: Wo sie gleich sein müssen vor jenem Gesetze, das sie sich als gleiche Menschen selber geben.

Auf assoziativer Grundlage wird beruhen müssen der Kreislauf des Wirtschaftsprozesses; auf rein demokratischer Grundlage, auf dem Prinzip der Gleichheit aller Menschen in ihrem Verhältnis zueinander wird ruhen müssen im engeren Sinne die eigentliche politische Organisation. Aus dieser politischen Organisation wird entspringen etwas ganz anderes als die wirtschaftliche Gewalt, welche die Arbeitskraft zur Ware macht. Aus dem vom Wirtschaftsleben getrennten politischen Leben wird entspringen das wahre Arbeitsrecht, wo einzig und allein nach dem, was über Arbeitskraft zwischen Mensch und Mensch als Menschen verhandelt werden kann, Maß und Arbeit und anderes über die Arbeitskraft festgesetzt werden kann.

Wie man auch glauben mag, daß die Dinge in der neueren Zeit schon etwas besser geworden seien : dasjenige, worauf es fundamental ankommt, ist nicht besser geworden. Durch die Art, wie die Arbeitskraft des Proletariers im Wirtschaftsprozesse drinnensteht, wird der Preis der zur Ware gemachten Arbeitskraft von den Preisen der anderen Wirtschaftsprodukte, von den Warenpreisen abhängen. Das sieht jeder, der wirklich tiefer hineinschaut in den Wirtschaftsprozeß. Anders wird die Sache sein, wenn unabhängig von dem Gesetze des Wirtschaftslebens und seiner Verwaltung, aus dem politischen Staate heraus, aus der rein demokratischen Verwaltung und Gesetzgebung des politischen Staates heraus ein Arbeitsrecht existieren wird. Was wird dann eintreten?

Dann wird eintreten, daß dasjenige, was der Mensch durch seine Arbeitskraft dem sozialen Organismus leistet, in einem ebenso lebendigen, durch sich bestimmten Verhältnis steht wie heute die Naturgrundlagen. Man kann innerhalb gewisser Grenzen die technische Fruchtbarmachung des Bodens und dergleichen etwas verschieben, die festen Grenzen der Naturgrundlage etwas verschieben; allein diese Naturgrundlagen bestimmen das Wirtschaftsleben dennoch in ausgiebigstem Maße von der einen Seite her. Ebenso wie von dieser Seite her das Wirtschaftsleben von außerhalb bestimmt wird, so muß von der anderen Seite her das Wirtschaftsleben von außen bestimmt werden, indem es nicht mehr die Arbeitskraft von sich abhängig macht, sondern die aus rein menschlichen Untergründen heraus bestimmte Arbeitskraft dem Wirtschaftsleben dargeboten werden kann. Dann macht die Arbeit den Preis der Ware, dann bestimmt nicht mehr die Ware den Preis der Arbeit !

Dann kann nur höchstens das eintreten, daß, wenn aus irgendwelchem Grunde die Arbeitskraft nicht genügend geleistet werden kann, das Wirtschaftsleben verarmt. Dem muß aber abgeholfen werden dadurch, daß auf rechtlichem Boden die Abhilfe gesucht wird, und nicht aus dem bloßen Wirtschaftsleben.

Zugrunde liegt beim Wirtschaftsleben nur dasjenige, was nach Angebot und Nachfrage frägt. Mit dem Arbeitsrecht, das gestellt wird auf die Grundlage des selbständigen politischen Staates, werden aber notwendig auch alle übrigen Rechte auf diese selben Grundlagen gestellt werden. Kurz, man wird — ich kann das nur andeuten wegen der Kürze der Zeit — notwendigerweise sehen müssen gerade in der Auseinanderschälung der beiden Gebiete : des Rechtslebens und des Wirtschaftslebens, das Ideal eines gesunden sozialen Organismus in der Zukunft.

Und als drittes muß sich angliedern diesem selbständigen Wirtschaftsleben, diesem selbständigen Rechtsleben dasjenige, was man das geistige Leben der Menschheit nennen kann.

Darinnen wird man, indem man von dieser wahren Fortsetzung der proletarischen Weltanschauung spricht, am meisten auf Widerstand stoßen. Denn es ist in die menschlichen Denkgewohnheiten auf diesem Gebiete, mehr noch gerade als in anderes, eingegangen die Meinung, daß nur durch das Aufsaugen des gesamten geistigen Lebens vom Staate das Heil der Menschheit abhängen könne; und man durchschaut noch nicht, wie die Abhängigkeit, in die das geistige Leben vom Staate gekommen ist gerade in der neueren Zeit, aus dem hervorgegangen ist, was man nennen kann das Interesse der bisher führenden Kreise an dem Staate, der eben diese führenden Kreise so recht befriedigt hat. Diese führenden Kreise, sie haben ihre Interessen in diesem Staate befriedigt gefunden; sie haben dasjenige, was sie geistiges Leben nennen, immer mehr und mehr von diesem Staate aufsaugen lassen. Wie der politische Staat durch Zwangssteuergesetze genötigt ist, dasjenige herbeizuschaffen, was die Gleichheit aller Menschen vor dem Gesetze begründen kann, und wie der Staat genötigt ist, durch die Zwangssteuer seine Bedürfnisse zu befriedigen, so muß auf der anderen Seite das geistige Leben wirklich emanzipiert werden von den beiden anderen Gebieten des sozialen Organismus.

Gerade was man auf diesem Gebiete angestrebt hat : die Verquickung des Geisteslebens mit dem Staats- und Wirtschaftsleben, das ist es, was zum Unheil der neueren Zeit ausgeschlagen hat. Denn dasjenige, was im Geistigen leben soll, das kann sich nur entwickeln, wenn es im Lichte der wahren Freiheit sich entwickeln kann. Alles dasjenige, was nicht im Lichte der wahren Freiheit sich entwickeln kann, das verkümmert und lähmt das wirkliche Geistesleben und bringt es außerdem auch auf Abwege, die man in der neueren gesellschaftlichen Ordnung nur leider all-zugut bemerken kann. Was aber notwendig ist auf diesem Gebiete, ist : zu durchschauen, welcher innere Zusammenhang besteht zwischen dem Geistesleben im engsten Sinne, und dem religiösen Leben, dem wissenschaftlichen Leben, dem künstlerischen Leben, dem Leben in einer gewissen Sittlichkeit, welcher Zusammenhang ist zwischen diesem Leben und alledem, was überhaupt hervorgeht aus den individuellen menschlichen Fähigkeiten und Geschicklichkeiten.

Daher muß jetzt, wo über diese Dinge hier in ernstem Sinne gesprochen wird, in ernstem Sinne eines gesunden sozialen Organismus gesprochen wird, gesprochen werden so, daß unter das geistige Leben gezählt wird alles dasjenige, was überhaupt mit der Entfaltung, der Entwickelung der individuellen Fähigkeiten etwas zu tun hat, alles dasjenige, was damit zu tun hat, vom Schulwesen angefangen bis hinauf zum Universitätswesen, bis hinein in das künstlerische, bis in das sittliche Leben, ja, bis auf diejenigen Geisteszweige, die die Grundlage des praktischen, auch des Wirtschaftslebens ausmachen. Auf allen diesen Gebieten muß angestrebt werden Emanzipation des geistigen Lebens. So daß dieses geistige Leben gestellt werden kann in die freie Initiative desjenigen, der die individuellen Fähigkeiten des Menschen hat, und daß dieses freie Geistesleben nur da sein kann dann in entsprechender Weise im gesunden sozialen Organismus, wenn es auch in seiner Geltung beruht auf der freien Anerkennung, auf dem freien Verständnisse derjenigen, die es entgegenzunehmen nötig haben. Das heißt, es darf in Zukunft nicht mehr irgendwie aus der Summe desjenigen, was man in der Tasche hat oder im Geldschrank, oder aus der Bürokratie des Staates heraus das Geistesleben verwaltet werden.

Nicht allein dadurch, daß dieses Geistesleben verwaltet worden ist vom Staate, hat es einen gewissen Charakter angenommen in bezug auf die Persönlichkeiten, die drinnenstehen, in bezug auf die Persönlichkeiten, die es verwalten, sondern dieses geistige Leben, wie wir es heute haben, wie es mit Recht der moderne Proletarier als eine Ideologie empfindet, dieses geistige Leben, das ist doch zu einem Spiegelbilde desjenigen geworden, was sich an Interessen, an Bedürfnissen der führenden, leitenden Kreise für und durch den modernen Staat, den sie sich selbst ihrer eigenen Bequemlichkeit nach gebildet haben, nach diesem Bedürfnisse herausgestaltet hat. Ist es im letzten Grunde richtig, daß alles geistige Leben nur ein Spiegelbild gewissermaßen, nur ein Überbau des wirtschaftlichen oder des staatlichen Lebens ist? Das moderne geistige Leben der führenden Kreise ist nur ein solcher Überbau. Gewiß, Chemie, Mathematik, sie werden nicht leicht ihrem Inhalte nach den Charakter annehmen können, der sich aus den Interessen der führenden Kreise ergibt. Allein schon der Umfang, in dem sie betrieben werden, aber namentlich das Licht, das von den anderen Zweigen des Geisteslebens auf sie fällt, das ist bestimmt durch die Tatsache, daß mit den Interessen der leitenden, der bisher leitenden Kreise der Menschen die Interessen des modernen Staatslebens und damit die Interessen des modernen Geisteslebens im Staate zusammenwachsen.

Ja, dieses moderne Geistesleben, es ist gerade auf den wichtigsten Gebieten, da, wo es eingreifen soll in Menschenseelen, wenn es sich seinen Platz bestimmen soll in der sozialen Ordnung, ein Spielball des Wirtschaftslebens und des politischen Lebens geworden. Man kann es sehen an der Art, wie bis in diese furchtbare kriegerische Katastrophe herein diejenigen Träger des geistigen Lebens, die auf dem Umwege des Kapitalismus verbunden waren mit dem modernen Staatsleben, im Grunde genommen gerade auf den wichtigsten Lebensgebieten des Geistes dasjenige hervorgebracht haben, was in den Dienst des modernen Staates hat gestellt werden können.

Man könnte da nicht hundertfach, sondern tausend- und abertausendfach die Beweise finden. Sie brauchen nur das eine zu bedenken : Nehmen Sie die deutschen Geschichtsprofessoren, die Träger der geschichtlichen Wissenschaft. Versuchen Sie sich ein Bild zu machen von alledem, was sie produziert haben mit Bezug auf die Geschichte der Hohenzollern, und fragen Sie sich, ob nun jetzt nach diesem weltgeschichtlichen Ereignisse die Geschichte der Hohenzollern ebenso aussehen wird, wie sie vorher ausgesehen hat ? Daran kann man ersehen, wie das geistige Leben durch die Verhältnisse ein bloßes Spiel geworden ist desjenigen, von dem es eben nicht frei gewesen ist.

Frei werden muß das Geistesleben von den beiden anderen Gebieten. Dann aber kann das Geistesleben in seine ihm eigene Gesetzgebung und Verwaltung aufnehmen dasjenige — so sonderbar es klingt und so überraschend es für manchen sein wird, es muß gesagt werden —, was heute einzig und allein aus den kapitalistischen Vorurteilen hervorgehen kann : dann kann das Geistesleben der Überwinder des bloßen wirtschaftlichen proletarischen Interesses wirklich werden. Denn das geistige Leben ist ein einheitliches. Das geistige Leben geht von dem höchsten Zweige des Geisteslebens herunter bis in jene Verzweigungen, die dadurch entstehen, daß irgend jemand aus seinen individuellen Fähigkeiten heraus irgendeine Unternehmung zu leiten hat. So wie er sie heute leitete, so leitete er sie aus dem Wirtschaftsleben heraus unter der Wirkung der Gewalt, der wirtschaftlichen Gewalt. So wie er sie zu leiten hat im gesunden sozialen Organismus, so ist das aus dem Geistesleben heraus. Das Geistesleben hat im gesunden sozialen Organismus seine eigene Gesetzgebung und Verwaltung in bezug auf die höchsten Zweige dieses geistigen Lebens, aber auch mit Bezug auf alles dasjenige, was geistig in den Wirtschaftsprozeß gerade dann hineinwirken wird, wenn das geistige Leben als solches selbständig ist.

Dann wird auftreten in diesem Wirtschaftsprozeß in der richtigen Weise der Einfluß des emanzipierten, des selbständigen Geisteslebens. Dann wird dasjenige, was eben durch das Kapital geleistet werden wird, nicht mehr im Sinne des modernen Kapitalismus geleistet werden können. Dann wird es geleistet werden können allein nach den Impulsen, die das geistige Leben selber gibt.

Nur, man muß sich von diesen Impulsen die richtigen Vorstellungen machen. Wie wird zum Beispiel ein Betrieb unter diesen Impulsen eigentlich ausschauen?

Wer das Geistesleben in seinem Fundament kennt — ich weiß das ganz gut —, der wird mir nicht widersprechen, wenn ich die folgende Schilderung gebe von einem Betrieb, der seine Impulse nicht von der wirtschaftlichen Gewalt, sondern von der Gewalt des Geisteslebens erhält : Da wird derjenige durch das freie Verständnis der mit ihm Mitarbeitenden in die Lage versetzt werden, aus einem gewissen Kapitalfonds heraus dasjenige zu unternehmen, was nun nicht zu seinem Nutzen, sondern wegen des sozialen Verständnisses, das er sich im richtigen Geistesleben angeeignet haben wird, unternommen wird. Dann wird in einem solchen Betriebe gegenüberstehen derjenige, der durch das freie Verständnis seiner Mitarbeiter bis zum letzten Arbeiter herunter, durch das freie Verständnis an seinen Posten gestellt ist, dann wird, weil dann ein Verhältnis des freien Verständnisses eintreten wird zwischen diesem Leiter eines Betriebes und denjenigen, die arbeiten, sich ganz notwendig dasjenige herausbilden, was da macht, daß neben den Arbeitsstunden eingeführt wird innerhalb eines jeden Betriebes und innerhalb der Genossenschaften von Betrieben, die Möglichkeit eines freien Aussprechens über die ganze Art, wie der Wirtschaftsprozeß im sozialen Gesamtorganismus drinnensteht. Dann wird unter dem Einflusse eines solchen Geisteslebens derjenige, der an der Stelle stehen wird, wo heute der kapitalistische Unternehmer steht, sich zu offenbaren haben in bezug auf alles dasjenige, was seine Ware hineinstellt in den gesamten Gesellschaftsprozeß der Menschheit. Dann wird jeder einzelne einsehen, welchen Weg das Produkt nimmt, zu dem er seine Arbeit beisteuert, das Produkt des handwerklichen Arbeiters und desjenigen, der diese handarbeitliche Arbeit durch seine besonderen individuellen Fähigkeiten zu leiten hat. Dann wird allein aber auch dasjenige eintreten können, was dem Arbeiter die Möglichkeit gibt, einen wirklichen Arbeitsvertrag zu schließen. Denn ein wirklicher Arbeitsvertrag kann nicht geschlossen werden, wenn er geschlossen wird auf Grundlage der Voraussetzung, daß Arbeitskraft Ware ist. Ein wahrer Arbeitsvertrag darf gar nicht auf diesen Grundlagen aufgebaut werden; sondern einzig und allein kann ein wirklicher Arbeitsvertrag nur aufgebaut werden auf der Grundlage, daß die Arbeit, die notwendig ist zur Herstellung eines Produktes, auf Grundlage des Rechtes geleistet wird, daß aber mit Bezug auf das Wirtschaftliche das gehörige Zusammenarbeiten zwischen handwerklichem und geistigem Arbeiter entsteht, daß mit Bezug auf das Wirtschaftliche jener Teilungsvorgang zwischen dem handwerklich und geistig Arbeitenden stattfinden muß, der allein aus der freien Einsicht auch des handwerklichen Arbeiters hervorgehen kann, weil dieser handwerklich Arbeitende dann wissen wird aus dem geistigen Zusammenleben mit dem Leitenden, in welchem Grade seine Arbeit dadurch, daß die Leitung da ist, zu seinem eigenen Vorteil einfließt in den sozialen Organismus.

Nur in einem solchen Zusammenarbeiten hört die Möglichkeit auf, daß die Unternehmungen, die auf Kapitalgrundlage gebaut werden müssen, auf den Vorteil, auf den egoistischen Vorteil aufgebaut werden. Dann allein, wenn in dieser Weise der soziale Organismus gesundet, dann allein kann das heutige Profitinteresse ersetzt werden durch das rein sachliche Interesse. Und heraufziehen wird in einem größeren Umfange, als das in früheren Zeiten der Fall war, wiederum der Zusammenhang zwischen dem Menschen und seiner Arbeit.

Sehen wir uns heute diesen Zusammenhang zwischen dem Menschen und seiner Arbeit an. Da ist auf der einen Seite der Unternehmer, der da leistet dasjenige, was er auch als Arbeit ansieht, aber er macht sich so schnell als möglich weg von dieser Arbeit. Er drückt das sogar dadurch aus, daß er, wenn er sich weggedrückt hat von seiner Arbeit, er das Reden über diese Arbeit als «Fachsimpelei» bezeichnet. Er macht sich weg, und er sucht durch allerlei anderes dann zu dem zu kommen, was er als Mensch anstrebt. Gerade durch ein solches Verhältnis des Menschen zu seiner Arbeit drückt sich aus, wie wenig der Mensch mit seiner Arbeit verwachsen ist.

Das aber ist ein ungesundes Verhältnis. Das ist ein ungesundes Verhältnis, welches das andere nach sich ziehen mußte, daß, indem das moderne Proletariat hinweggerissen ist von dem Boden des alten Handwerkes, wo der Mensch mit seinem Beruf verwachsen war, aus seinem Berufe seine Ehre, seine Menschenwürde gezogen hat, und wo er hingestellt worden ist zu der Maschine, eingespannt worden ist in der Fabrik; da wird in ihm jenes Ungesunde erzeugt, daß er kein Verhältnis gewinnen kann zu seiner Arbeit.

Aber derjenige, der das Geistesleben in seiner wahren Grundlage erkennt, der weiß, daß solch ein ungesundes Verhältnis zwischen dem Menschen und seiner Arbeit nur eben unter ungesunden Voraussetzungen auch entstehen kann. Es gibt nichts in einem gesunden Geistesleben, das frei ist vom politischen und frei ist vom Wirtschaftsleben und auf diese nur zurückwirkt, es gibt nichts innerhalb eines solchen Geisteslebens, das nicht unmittelbar interessant ist, und was, wenn es nur richtig gehandhabt wird, den Menschen knüpft an seine Arbeit, weil er weiß: dasjenige, was er arbeitet, wird ein Glied in dem Kreislauf des sozialen Organismus. Das ist nicht etwas, was nur beurteilt werden darf als so, daß es nicht anders sein könne, daß der Mensch auch Uninteressantes tun müsse. Nein, das muß so beurteilt werden, daß gerade jene Grundlage des Geisteslebens aufgesucht wird, welche einzig und allein Interesse, Zusammenhang des Menschen mit seiner Arbeit und Interesse für diese Arbeit auf allen Gebieten, bei jeglicher Arbeit hervorrufen kann.

Da wird sich zeigen, daß, wenn das emanzipierte freie Geistesleben aus geistigen Impulsen heraus bis in die einzelnsten Verzweigungen hinein das staatliche und das Wirtschaftsleben in seinen Verwaltern versorgt, daß dann allein dasjenige eintreten kann, was ein wirkliches, sachliches Interesse an allem wird und nicht ein bloßes kaufmännisches, nicht ein bloß äußeres Wirtschafts- und Vorteilsverhältnis begründet.

Allerdings muß einem solchen Geistesleben die Grundlage geschaffen werden. Diese Grundlage kann nur geschaffen werden, wenn alles Schulwesen in die Verwaltung des geistigen Lebens selbst gestellt wird, wenn der unterste Lehrer nicht mehr zu fragen hat : Was verlangt der politische Staat von mir? —, sondern wenn er hinaufzuschauen hat zu denjenigen, zu denen er Vertrauen hat, wenn er hinschaut zu dem das Geistesleben nach ihren eigenen Grundsätzen verwaltenden Gebiete des sozialen Organismus.

So wirkt in vieler Beziehung dasjenige, wovon ich glaube, daß es sich naturgemäß ergibt. Gerade aus einer wahren Fortsetzung der proletarischen Weltanschauung wirkt es den Denkgewohnheiten entgegen. Denn während man es als Erbgut übernommen hat gerade von der bürgerlichen Wissenschaft : Geistesleben, Staat, Wirtschaftsleben miteinander zu verschmelzen, handelt es sich darum, daß zur Gesundung des sozialen Organismus angestrebt werden muß die Verselbständigung der angeführten drei Gebiete. Nur dadurch, daß gewissermaßen jedes dieser Gebiete — wenn ich mich jetzt gangbarer Ausdrücke bedienen darf— sein eigenes Parlament und seine eigene Verwaltung hat, die zueinander stehen wie die Regierungen souveräner Staaten, nur durch Delegationen miteinander verhandeln, nur ihre gemeinsamen Bedürfnisse im Verkehre austauschen, dann allein kann der soziale Organismus gesunden. Und die Frage ist heute die Grundfrage, die aus allen Tatsachen hervorgeht: Wie kann der soziale Organismus gesunden? Das ist mit Händen zu greifen: er ist krank, dieser soziale Organismus !

Diejenigen, die aus ihrem Klassenbewußtsein heraus die berechtigte Forderung aufstellen müssen, daß dieser soziale Organismus gesunde, die haben gerade nötig, die proletarische Weltanschauung zu verfolgen auf ihre fruchtbaren Keime hin und sie in entsprechender Weise weiterzubilden.

Ich gebe zu, daß es zunächst manchem gegen dasjenige sprechen kann, was er als das Richtige heute anschaut, wenn gesagt wird : Es muß die Richtung genommen werden nach dieser sozialen Dreigliederung, dieser Dreigliederung des sozialen Organismus. —Aber so sehr dies den Denkgewohnheiten von manchem in der Gegenwart widerspricht, die Wirklichkeit darf sich nicht nach unserer Bequemlichkeit richten, nicht nach dem, was die glauben, die sich bisher für Lebenspraktiker gehalten haben. Die Wirklichkeit muß sich nach dem richten, was man aus einem ehrlichen, gesunden Wahrheitssinn heraus für das Richtige erkennen kann.

Das, was ich auseinandergesetzt habe, bezieht sich nicht auf irgendein Wolkenkuckucksheim. Oh, die Zeiten sind da, wo mancher, der sich, weil er nur das Einfache überschauen konnte und danach sich seine Denkgewohnheiten bildete, der sich dadurch für einen Lebenspraktiker hielt, wird zugeben müssen, daß die verpönten, so sehr verpönten Idealisten, die aus Entwickelungsnotwendigkeiten der Menschheit heraus denken, die wahren Lebenspraktiker sind. Dasjenige, was ich Ihnen angegeben habe, ist nicht ein Wolkenkuckucksheim; es ist entnommen gerade aus dem, was die unmittelbarsten, alltäglichsten Lebensbedürfnisse der Menschheit sind.

Ich kann natürlich nicht auf alle einzelnen Gebiete mich einlassen; ich will zum Schlusse ein einziges Gebiet berühren, ein Gebiet, an dem sich, wenn ich es auch nur flüchtig berühren kann, zeigen wird, wie dasjenige, was ich scheinbar von dem Urgedanken des sozialen Lebens hergeleitet habe, in das Allerärgste eingreift. Was ist im Leben das Allerärgste ? Das Allerallerärgste ist, daß wir etwas, was wir Geld nennen, in unserer Tasche haben müssen. Aber Sie wissen auch, was an diesem Gelde hängt. Sie wissen, wie dieses Geld eingreift in alles Leben. Wenn man die Entwickelung des gesunden sozialen Organismus ins Auge faßt: welchem Gliede kommt denn die Verwaltung des Geldes zu? Diese Verwaltung des Geldes hat bisher aus gewissen Entwickelungskräften, die sehr alt sind, der Staat besorgt. Das Geld aber ist ebensowahr in einem gesunden Organismus Ware, wie die Arbeitskraft nicht Ware ist. Und alles Ungesunde, das von der Seite des Geldes aus eingreift in den sozialen Organismus, besteht darinnen, daß das Geld des Warencharakters dadurch entkleidet wird, daß es heute mehr beruht auf der Abstempelung von irgendeiner Marke durch den politischen Staat, als auf dem, worauf es ja noch, weil es da nicht anders geht im internationalen Verkehr, beruhen muß : auf seinem Warenwert. Die Nationalökonomen haben heute einen komischen Streit, einen Streit, der auf den Einsichtigen wirklich komisch wirkt. Sie fragen, ob das Geld eine Ware ist, nur eine beliebte Ware, für die man immer andere Waren eintauschen kann, während man sonst, wenn man zum Beispiel gerade das Unglück hat, nur Tische und Stühle zu fabrizieren, umherziehen müßte mit Tischen und Stühlen und warten, ob einer einem dafür Gemüse gibt, kann man, indem man zuerst Tische und Stühle für Geld eintauscht, für die Ware Geld Dinge bekommen, die einem gerade recht sind, nach denen man gerade Bedarf hat. Während die einen sagen: Dieses Geld ist eine Ware oder wenigstens der Repräsentant der Ware, für das da sein muß, auch wenn es Papiergeld ist, der entsprechende Gegenwert in Waren, sagen die anderen : Das Geld ist überhaupt nur dasjenige, was entsteht, indem der Staat durch ein Gesetz eine gewisse Marke abstempelt. Und nun forschen sie nach, diese nationalökonomischen Gelehrten, sie forschen nach: Was ist das Richtige? Ist das Geld Ware, oder etwas, was durch eine bloße Abstempelung entsteht ? Ist es eine bloße Anweisung auf die Ware?

Die Antwort auf diese Fragen ist einfach diese : daß das Geld weder das eine noch das andere ist, sondern heute beides ist. Das eine ist es dadurch, daß der Staat eben gewisse Marken abstempelt; das andere ist, daß im internationalen Verkehre oder in gewisser Beziehung auch im nationalen Verkehre das Geld nur als Ware in der Warenzirkulation mit-zirkulieren kann.

Der gesunde soziale Organismus wird das Geld jedes Rechtscharakters entkleiden; er wird es derjenigen Verwaltung und Gesetzgebung zuweisen, durch seinen eigenen, natürlichen Prozeß, auch die Hineinstellung des Geldes, Prägung des Geldes, Wertbestimmung des Geldes innerhalb des Wirtschaftskreislaufes, diesem selben Parlament, dieser selben Verwaltung, die den übrigen Wirtschaftsorganismus verwaltet.

Erst dann kann, wenn so etwas eintritt, dasjenige, was vom modernen Proletariat erstrebt werden muß, auf eine gesunde Basis gestellt werden. Jenes merkwürdige Verhältnis, das da besteht zwischen dem Arbeitslohn und der Warennatur, dieses Verhältnis, es beruht ebenfalls eigentlich auf einer Lebenslüge. Während auf der einen Seite der Arbeiter glaubt, durch seine Forderung nach höherem Lohn, wenn er diese befriedigt erhält, dann gesündere Lebensverhältnisse zu erlangen, steigt immer auf der anderen Seite der Preis der Waren, solange nicht emanzipiert wird der Wirtschaftskreislauf von dem Rechtskreislauf des politischen Staates. Diese Dinge werden alle erst auf eine gesunde Basis gestellt werden können, wenn diese Dreigliederung eintreten wird.

Ebenso wird man, wenn man die notwendige Selbständigkeit des Geisteslebens einsehen wird, einsehen, daß keine Notwendigkeit besteht, die kapitalistischen Betriebe als solche hervorzurufen, sondern die Art und Weise, wie im Laufe der neueren Zeit das Kapital verwaltet worden ist, wie es verwendet worden ist dadurch, daß es allein im Wirtschaftsprozeß drinnensteht, das ist es, was das Kapital in seiner Wirksamkeit zu den Schäden gebracht hat, mit denen soviel Elend verknüpft ist.

Man wird einsehen müssen : Solange nicht der Arbeitsvertrag auf die Teilung desjenigen sich bezieht, was gemeinsam der Handarbeiter mit dem Geistesarbeiter hervorbringt, sondern solange sich der Arbeitsvertrag auf die Entlohnung der Arbeit bezieht, so lange ist es unmöglich, daß dies auf eine gesunde Basis gestellt wird.

Einzig und allein dadurch, daß dem Geistesleben seine gesunde Wirklichkeit gegeben wird, wird aufgedeckt werden in jedem Falle, in dem es notwendig ist in dem Verhältnis zwischen Arbeiter und geistigem Lenker, daß da, wo der Arbeiter übervorteilt ist, er nicht durch die Wirtschaft bloß übervorteilt ist, sondern dadurch übervorteilt ist, daß derjenige, der der Unternehmer ist, seine individuellen Eigenschaften, seine geistigen Eigenschaften in einer nicht richtigen Weise, in einer nicht rechtlichen, in einer nicht menschenwürdigen Weise verwertet. Der Arbeiter wird nicht durch das Wirtschaftsleben ausgebeutet, der Arbeiter wird durch jene Lebenslüge ausgebeutet, die dadurch entsteht, daß im heutigen gesellschaftlichen Organismus die individuellen Fähigkeiten gerade verwendet werden können zur Übervorteilung des Arbeiters, weil sie innerhalb des Wirtschaftsprozesses nicht gesehen werden können von beiden Seiten; innerhalb des gesunden Geisteslebens werden sie von beiden Seiten gesehen und kontrolliert werden.

Wie gesagt, ich kann es gut einsehen, daß dasjenige, was ich hier angeführt habe gerade zur Gesundung des sozialen Organismus, heute auch noch manchem Proletariergemüte widerstreben kann. Ich kann es einsehen. Ich habe seit Jahren unter Arbeitern, mit Arbeitern über diese Dinge gesprochen. Ich habe ja nicht nur einzelne Zweige des Unterrichts innerhalb der Arbeiterbildungsschule verwaltet, ich habe mit den Arbeitern auch Redeübungen getrieben. In den Übungen, die zur Redeübung getrieben wurden, wurde mancherlei auch von seiten der Arbeiter vorgebracht in dieser Gemeinschaft, was so recht zeigte, welche besondere Färbung, welche besondere Artung die Forderungen des modernen Proletariats haben. Da bekommt man schon die Fähigkeit, nicht nur so, wie die Angehörigen der heutigen leitenden Kreise oder der bisher leitenden Kreise es tun, nur über den Proletarier denken — nein, man erlangt die Fähigkeit, mit dem Proletarier zu denken. Das ist es, was ich Ihnen heute sagen wollte : mit dem Proletarier zu denken, nicht nur über ihn zu denken !

Meinem Wollen nach gedacht, ist es so — das möchte ich, daß Sie das verstanden haben —, daß man vielleicht mit Bezug auf den Inhalt der Meinungen da oder dort voneinander abweichen könne, daß es aber zunächst im heutigen weltgeschichtlichen Augenblicke nicht darauf ankommt, ob man in der einen oder in der anderen Meinung abweicht, sondern ob man zusammenstimmt in jener ehrlichen Forderung, die sein muß die Forderung des modernen Proletariats. Allein dadurch, daß man sich zu dieser Übereinstimmung bequemt, zu der Übereinstimmung in dem ehrlichen Wollen, einzig und allein dadurch können die Keime gefunden werden, die in der proletarischen Weltanschauung zur Weiterbildung liegen. Denn der Zeitpunkt ist vorüber, wo bloß diskutiert werden kann ; der Zeitpunkt ist vorüber, wo Leute, die nur ihrem Interesse dienen wollen, von Verständigung sprechen durften. Der Zeitpunkt ist gekommen, wo die jahrzehntelangen, bloß aus den Unterströmungen hervorgehenden Forderungen des modernen Proletariers auf den weltgeschichtlichen Plan treten, wo sie wirklich zu dem allerwichtigsten, allerbedeutungsvollsten Ereignis der neueren Zeit werden.

Was aus dem Chaos des modernen Wirtschaftskrieges, des modernen Weltkrieges sich herausgebildet hat, was lange Zeit, ja was vielleicht für die Zukunft immer mehr die Zukunft erfüllen wird, das wird die soziale Frage sein. Nicht eine unwirkliche, nicht eine theoretische Lösung oder den Versuch einer solchen wollte ich Ihnen heute vorführen; auf das wollte ich aufmerksam machen, daß nun einmal die Zeit angebrochen ist, wo die soziale Frage da ist, wo die Menschen in ihrem sozialen Zusammenwirken so gegliedert werden müssen in Staats-, Wirtschaftsund geistige Organe, daß aus dieser gesunden Gliederung eine fortdauernde Lösung der sozialen Frage hervorgehen kann.

Diese soziale Frage wird nicht von heute auf morgen gelöst werden, nachdem sie einmal da ist; sondern weil sie immer da sein wird, wie das Leben seine Konflikte immer neu erzeugt, so wird immerzu auch jene Gliederung der Menschheit da sein müssen, welche nach der Lösung der im sozialen Leben aufgehenden Konflikte in ehrlicher Weise strebt. Ob man versuchen wird, in weitesten Kreisen darauf aufmerksam zu werden, daß in einer solchen Fortentwickelung der proletarischen Weltanschauung die Gesundung in die Zukunft hinein liegen wird, davon wird es abhängen, wohin der Ausgangspunkt der modernen proletarischen Bewegung führen wird. Und er muß eigentlich dahin führen, aus all den berechtigten Forderungen der Lohnfrage, der Brotfrage heraus sich zu erheben zu jener mächtigen, weltgeschichtlichen Umwälzung, die aus dem Bewußtsein des modernen Arbeiters heraus übergehen wird in das allgemeine Menschheitsbewußtsein, die aus der Würde, aus der empfindungsgemäßen Würde des modernen Proletariers heraus begründen wird die wahre Menschenwürde für alle Menschen, die die anderen bisher nicht begründen konnten.

***

In der sich anschließenden Diskussion äußerten sich mehrere Redner. Den Abschluß bildete das folgende Schlußwort Rudolf Steiners :

Rudolf Steiner: Ja, ich muß zunächst einmal mit Bezug auf den verehrten ersten Einredner etwas wie eine prinzipielle Bemerkung machen. Man ist sehr häufig, wenn man redet, in der Lage, sagen zu müssen, daß man eigentlich nicht recht versteht, warum Dinge, wie sie von dem ersten Redner gesagt worden sind, just in der Form gesagt werden müssen, als wenn es eine Widerlegung dessen wäre, was man selbst gesagt hat. Der erste Redner hat so gesprochen, als wenn er in die Notwendigkeit versetzt wäre, mich gewissermaßen in allen Stücken — wenn er auch manches anerkannt hat, so wenigstens in bezug auf die ganze Haltung — eigentlich bekämpfen zu müssen. Ich bin nicht in der Lage, ihn bekämpfen zu müssen, sondern ich muß sagen, daß ich eigentlich meine, daß derjenige, der mir recht zugehört hat, gar nicht soviel haben wird gegen dasjenige, was der erste Redner gesagt hat. Ich bin in der Lage, in vielem mehr anerkennen zu können, auch in bezug auf das Inhaltliche, das, was er ausgesprochen hat, als er dasjenige irgendwie ins Auge zu fassen scheint, was ich eigentlich gewollt habe.

Nun, eines scheint mir wichtig zu sein in den Einzelheiten. Es ist merkwürdig, daß der erste Herr Redner glaubte, hervorheben zu müssen, daß dasjenige, was ich gesagt habe, entstanden sei dadurch, daß ich nur mit Arbeitern gesprochen habe, nicht mit Arbeitern mitgewirkt habe. Ja, nun, natürlich kann jeder nur auf seinem Gebiet wirken; aber die Art und Weise, wie ich mit Arbeitern zusammengewirkt habe, war schon so, daß man nicht sagen kann, daß es bloß mit Arbeitern gesprochen war. Ich glaube auch, daß derjenige, der vielleicht mehr eingeht auf das, was auch den heutigen Vortrag durchsetzte, auf das ganze Wollen es begreiflich finden wird, daß ich jahrelang nicht so angesprochen worden bin, obwohl ich es begreife, daß ich heute so angesprochen werde. Ich bin nicht immer so angesprochen worden, allein das glaube ich, aus dem einfachen Grunde, weil dazumal die Arbeiter schon gefühlt haben, daß dasjenige, was ich zu sagen habe, nicht heraus gesprochen ist aus dem bloßen Reden mit den Arbeitern.

Wenn es mir möglich geworden ist, in einer solchen Weise zu reden, wie ich auch heute wieder reden mußte, so ist das wahrhaftig nichts Angelerntes. Denn, werfen wir einmal die Frage auf: Wer darf sich denn eigentlich zu den Proletariern rechnen? Derjenige der mit den Proletariern, zu den Proletariern reden darf dadurch, daß er durch sein Schicksal und durch eigene Kraft sich dazu durchgerungen hat, so zu reden, wie ich es heute aber auch nur als freier Redner kann. Denn in den Kreisen, mit denen mir vorgeworfen worden ist, Gemeinschaft zu haben, ja, da bin ich vielleicht schon genau ebenso, vielleicht noch viel übler behandelt worden, als ich heute abend hier behandelt worden bin. Es ist doch etwas anderes, wenn man sich, wie ich, ja auch entsprechend durchgerungen hat; ich werde es auch weiter in dem kurzen Leben, das mir noch zur Verfügung steht. Ich habe mich aber jahrelang durchgerungen dadurch, daß ich mit den Proletariern gesprochen, mit den Proletariern gearbeitet, mit dem Proletariat mitgehungert habe. Ich habe nicht «Postbeamte gefragt, wieviel sie haben, um dabei verhungern zu können», sondern ich habe selbst mithungern müssen. Denn diejenige Familie, aus der ich herausgewachsen bin, war in einer viel übleren Lage, als vielleicht jene «Postbeamten» alle, die man heute fragen kann. Ich habe nicht allein gelernt, den Proletarier zu verstehen dadurch, daß ich über ihn denken lernte, sondern ich habe gelernt, den Proletarier dadurch zu verstehen, daß ich selber mit ihnen, mit den Proletariern gelebt habe, daß ich herausgewachsen bin aus dem Proletariat, mit dem Proletariat auch hungern lernte und mußte. Aus diesen Untergründen heraus spürte man schon dazumal, als ich jahrelang mit Arbeitern zusammenarbeiten konnte, daß ich nicht aus der Theorie, sondern aus einer ganz gehörigen Praxis heraus zu sprechen in der Lage bin. Ich glaube, das kann auch eine Grundlage dazu abgeben, ob man ein gewisses Recht hat, zu Proletariern zu sprechen oder nicht.

Das ist es, was ich zu der einen Sache sagen möchte.

Dann bezog sich ein großer Teil dessen, was der erste Redner vorgebracht hat, ja eigentlich gar nicht auf mich, es bezog sich auf die Intellektuellen. Ja, da hat bereits der Vorsitzende gesagt : Wenn irgendeiner davon reden kann, daß er mit Schmutz beworfen worden ist, von den Intellektuellen mit Schmutz beworfen worden ist, dann darf ich es. Denn wahrhaft, wenn Sie nachgehen würden der Art und Weise, wie ich mit Schmutz beworfen worden bin, und namentlich der Art und Weise, wie dieser Schmutz ausschaut, dann würden Sie mich wahrscheinlich um den Umgang, wie ich ihn genossen habe mit den Intellektuellen, nicht beneiden.

Das ist eine persönliche Bemerkung ; es sind überhaupt dies persönliche Bemerkungen. Aber dasjenige, was mir erwidert worden ist, geht ja auch im Grunde auf das Persönliche, und deshalb mußte schon diese Bemerkung gemacht werden.

Nun, ein großer Teil bezog sich selbstverständlich überhaupt nicht auf mich, bezog sich auf die Studentenschaft. In bezug auf das letztere : Glauben Sie, daß ich es durchaus nicht verkenne, daß ein großer Teil der heutigen Studentenschaft von dem Vorwurf mit Recht getroffen wird, daß nun sein Ideal das des untersten Lohnarbeiters nicht erreicht ! Da könnte man selbstverständlich über dieses Kapitel sehr viel reden. Aber gerade der moderne Arbeiter sollte auf der anderen Seite verstehen, daß schließlich so, wie aus den Verhältnissen heraus die anderen Menschenklassen sich gebildet haben, so schließlich auch der moderne Student sich aus den Verhältnissen heraus gebildet hat. Wer unbefangen vergleichen kann das Streben innerhalb der modernen Studentenschaft, als Streben, mit demjenigen, was zum Beispiel innerhalb der Studentenschaft angetroffen worden ist, als ich selbst — es ist lange her — unter dieser Studentenschaft noch war, der wird sagen, daß allerdings mit Bezug auf die Gründlichkeit, in der gerade in den Niedergangserscheinungen des Bürgertums die moderne Professorenschaft drinnensteckte, von der die Studentenschaft selbstverständlich abhängig sein muß — mit Bezug auf dasjenige, was da als Beispiel voranleuchtete der modernen Studentenschaft, kann man doch für alle die Blüten, die immerhin gerade in der modernen Studentenschaft aufgehen nach dem Besseren hin, auch eine gewisse Befriedigung haben. Es werden ganz gewiß — wenn auch die Sache heute so ausschaut, als ob die Studentenschaft den Arbeitern in den Rücken fällt — gerade aus der Studentenschaft Mitarbeiter für die sozialen Ideale, ich glaube sogar in sehr reicher Zahl, hervorgehen. Der Student hat heute mancherlei zu überwinden. Man muß nicht vergessen, wie eisern die Klammern sind, mit denen man festgehalten ist. Ich habe gerade in letzter Zeit mannigfaltige Gelegenheit gehabt, auch mit jungen Studenten über Dinge zu sprechen, die vielleicht deren unmittelbaren Ideal ferner liegen, aber die naheliegen demjenigen, was sich als ein gesundes Geistesleben im allgemeinen aus dem kranken Geistesleben heute herausentwickeln muß. Ich weiß, welche Empfänglichkeit in der Jugend für eine Erneuerung des Geisteslebens ist. Ich weiß aber auch, wie groß die Versuchung ist, wenn man die Begeisterung der Jugend hinter sich hat, die das Diplom erreicht hat und notwendig hat, innerhalb der modernen bürgerlichen Gesellschaft eine Stelle zu suchen, wie nahe da die Versuchung liegt, dann wiederum hinein zu versumpfen in das Philistertum, in das Spießertum.

Wir kommen natürlich nicht von heute auf morgen zu einer endgültigen Lösung desjenigen, was wir erhoffen und ersehnen. Aber das müßte doch erkannt werden, daß überall dort, wo eine solche Sehnsucht, ein solches verständiges Ersehnen desjenigen, was mit Recht der moderne Proletarier fordert, Platz greift, man es nicht niederdrücken sollte dadurch, daß man in einer gewissen fanatischen, dogmatischen Weise das eine mit dem anderen zusammenwirft. Ich glaube doch, daß dieses Dogmatische wenigstens bis zu einem gewissen Grade — wenn auch im modernen Kampfe die Mittel nicht allzu glimpflich gewählt werden können — weichen müßte der Gesinnung, von der ich in meinem Vortrage gesprochen habe : daß es weniger ankommen sollte auf die Verschiedenheit der Gedanken, sondern auf die Gleichheit des ehrlichen Wollens.

Nun, fragen Sie einmal, wie viele von denjenigen, von denen Sie sagen, daß sie einem in den Rücken fallen, abhängig von den Verhältnissen sind, in die der moderne Student hineingestellt ist, und fragen Sie auf der anderen Seite aber auch, wieviel ehrliches Wollen gerade in der heutigen Jugend sich geltend macht. Pflegen Sie es lieber, statt daß Sie es dadurch, daß Sie ins Dogmatische fallen, geradezu lähmen.

Nun, was dann der zweite Redner zunächst vorgebracht hat, da kann ich ja sagen: Ich bin einverstanden mit dem Rufe, der da links gefallen ist, daß ja im Grunde genommen das nicht so sehr verschieden ist von demjenigen, was ich selber gesagt habe; und ich versteife mich nicht so sehr darauf, daß die Dinge gerade so gesagt werden, wie ich sie gesagt habe. Wenn irgend etwas, sagen wir, heute zur Besserung helfen kann, so bin ich erfreut darüber. Und ich will deshalb auch nicht mit etwas anderem so scharf ins Gericht gehen, was vom zweiten Redner gesagt worden ist; ich möchte nur aber etwas richtigstellen, was immerhin darauf hinweisen kann, daß dieser Redner doch die Sache nicht so ganz genau genommen hat. Er hat zum Beispiel meinen Hinweis darauf, daß ich jahrelang in der Arbeiterbildungsschule gelehrt habe in Berlin, dahin verdächtigt, daß er sagte: Das wird wohl nur ein liberaler Bildungsverein gewesen sein. — Ich habe ausdrücklich gesagt, es war die von dem alten Liebknecht, von Wilhelm Liebknecht begründete Arbeiterbildungsschule ! Nun glaube ich nicht, daß Sie zuschieben dem alten Liebknecht, daß er einen x-beliebigen Bildungsverein für die Arbeiterschaft begründete, wie ihn die Arbeiterschaft in der damaligen Zeit auch gar nicht entgegengenommen hätte. Die Zuhörer waren nicht Menschen aus den «gewöhnlichen bürgerlichen Liberalen», sondern lediglich Arbeiter, lediglich aus den Kreisen der Proletarier und durch die Bank organisierte Sozialdemokraten!


So glaube ich, daß auch manche andere von mir gesprochenen Worte gerade von diesem Herrn Redner nicht in der richtigen Weise aufgefaßt worden sind, wie ich es eigentlich gewollt habe, und wie man es doch auch auffassen kann, wenn man nicht von vornherein mit einem Vorurteil nicht nur dann kommt, wenn der andere eine andere Meinung hat, sondern sogar, wenn er das, was man selber meint, nur in einer etwas anderen Form ausspricht, weil er glaubt, daß es eben notwendig ist, daß heute in diesem weltgeschichtlichen Augenblick die Dinge umfassender genommen werden müssen, und weil er glaubt, daß nicht jeder heute ein Praktiker genannt werden könnte, der nur nach dem Allernächsten urteilt, sondern derjenige der wahre Praktiker ist, der größere Verhältnisse überschaut.

Was die Auffassung der Frage des «Aufrufes» betrifft, wo darauf hingewiesen worden ist, daß das fast wörtlich übereinstimme mit dem, was ich Ihnen heute Abend gesagt habe — Sie werden sich nicht wundern darüber, da Sie ja gehört haben, daß der «Aufruf» von mir selber verfaßt worden ist, und Sie werden nicht von mir verlangen, daß ich, wenn ich da oder dort etwas spreche, wenn ich also etwa spreche zu Bürgerlichen, daß das anders lauten soll als das, was ich hier sage vom Podium aus.

Einwurf: Entweder überall gleich, oder...

Das sage ich ja gerade : Ich sage : in dem «Aufruf» steht dasselbe, was ich hier gesagt habe. In jenem «Aufruf» steht nirgendwo etwas anderes, als was ich hier gesagt habe.

Mir kommt es darauf an, daß dasjenige, was ich sage, in meinem Sinne die Wahrheit ist, und ich werde die Wahrheit an jedem Orte sagen, wo es mir gestattet ist, die Wahrheit zu sagen. Ich spreche nur die Wahrheit aus, darauf kommt es mir an. Das ist es, was ich in dieser Beziehung zu sagen habe. Ich werde niemanden ausschließen von irgend etwas, wenn er es mit seiner Überzeugung vereinen kann und zu dem Ja sagt, was ich selber sage. Denn ich glaube, dadurch kommen wir allein auf einen grünen Zweig, daß wir die Wahrheit aussprechen, unbekümmert darüber, welchen Eindruck sie auf die Menschen macht, ob sie unterschreiben oder nicht. Das ist es, was ich dazu sagen wollte.

Und dann möchte ich nur noch zum Schlusse das eine bemerken, das sich bezieht auf das, was der nächste Redner gesagt hat : Ich hätte nichts über die Kampfesweise gesagt. — Aber aus meinen Worten konnten Sie überall entnehmen, wie ich über diese Kampfesweise eigentlich denke. Ich glaube es genugsam angedeutet zu haben, daß es nicht meine Meinung ist, daß es heute auf eine oberflächliche Verständigung, oder wie die schönen Dinge alle heißen, ankommen kann. Heute sind wir eingerückt in ein Tatsachenstadium, wo in der Tat nichts anderes möglich ist, als daß wir nicht bloß zu leeren Anschauungen kommen, wie die Dinge gewandelt werden müssen, sondern dadurch, daß wir zur Anschauung kommen, welche neuen Gedanken wirklich möglich sind, in die Seelen der Menschen hineinzubringen. Denn die alten Gedanken haben eben gezeigt, was für eine soziale Ordnung sie zustande bringen können, und diesen alten Gedanken ist damit der Beweis geliefert, daß sie unbrauchbar sind. Deshalb glaube ich, daß es sich zunächst, zu allernächst, für das allernächst Praktische darauf ankommt, daß diejenigen, die ehrliches soziales Wollen haben, sich vor allen Dingen einmal verständigen über dasjenige, was geschehen kann.

Wir stehen heute in der Schweiz — ich weiß nicht, ob man da sagen soll «Gott sei Dank» oder «leider» — noch in Verhältnissen drinnen, die nicht so sind, wie in mittel- und osteuropäischen Verhältnissen es ist. Mittel-und Osteuropa steht ja in Verhältnissen drinnen, die wirklich nur bewältigt werden können durch Anknüpfen an die Urgedanken des sozialen Organismus. Und wenn da nicht der Versuch gemacht wird, daß zunächst unter dem Proletariat selber die fundamentalen Fragen besprochen werden, wie nun aus diesem Chaos heraus durch die einfachsten Organisationen, die aber alle den Charakter tragen müssen, meiner Ansicht nach, jener Dreigliederung des sozialen Organismus — wenn nicht unter dem Proletariate selbst die Gesundung dadurch herbeigeführt wird, daß Organisationen neu geschaffen werden, nach neuen Gedanken, so sehe ich überhaupt zunächst für Jahrzehnte hinaus kein Heil.

Beginnen wird man müssen zunächst vor allen Dingen mit dem, was Ihnen vielleicht als unwesentlicher Punkt erscheint : Zuerst müssen wir einsehen, daß wir nicht nur gegenüberstehen bürgerlichen Einrichtungen, bürgerlichen Zuständen, sondern daß wir gegenüberstehen einer bürgerlichen Wissenschaft.

Das habe ich im Berliner Gewerkschaftshaus vor sechzehn Jahren gesagt, und das wurde selbst innerhalb des Proletariats richtig verstanden. Das Proletariat hat noch die Aufgabe, dasjenige, was in seinem Denken von bürgerlicher Wissenschaft ist, zunächst auszutreiben, und nicht im Sinne der bürgerlichen Wissenschaft irgendwelche Einrichtungen zu treffen, sondern im Sinne gerade jener Art neuer Gedanken, die vielleicht nur von dem Proletariat eben gefunden werden können, weil das Proletariat emanzipiert ist von allen übrigen menschlichen Zusammenhängen, in denen leider die bürgerlichen Menschen drinnenstehen.

Daher handelt es sich heute vor allen Dingen darum, daß das, was Ihnen vielleicht als das Unwesentlichste erscheint, die Emanzipation des geistigen Lebens, die Freiheitsentwickelung des geistigen Lebens, durchgeführt werde. Kommen wir dazu, ein wirklich freies Geistesleben zu haben, kommen wir dazu, daß nicht mehr eine Wissenschaft, die dem Kapitalismus tributpflichtig ist, den Ton angeben kann, bis in die Kreise des Proletariats hinein den Ton angeben kann, dann erst gehen wir einer Gesundung entgegen. Nicht eine Verengerung im bürgerlichen Sinne, nicht eine Verengerung will ich, sondern gerade eine Erweiterung der proletarischen Aufgaben.

Und ich habe den festen Glauben — mögen Menschen, die von dem Gesichtspunkte aus, den ich ganz gut verstehen kann, reden, wie der zweite Redner, noch soviel dagegen einwenden, daß man nicht versteht Satz für Satz, was ich gesagt habe —, ich habe den festen Glauben, den ich mir durch ein langes Leben unter dem Proletariat erworben habe, daß dasjenige, was ich gesagt habe, zunächst nicht von den anderen Klassen, sondern gerade vom Proletariat verstanden werden wird. Und es muß leider gewartet werden, bis es vom Proletariat verstanden werden wird. Ich glaube aber, da wird es verstanden werden können.

Und in diesem Gedanken, möchte ich sagen, kann ich auch mit einer gewissen Zufriedenheit zurückblicken auf dasjenige, was heute abend von mir erreicht werden wollte. Ich habe Sie wahrhaftig nicht bis ins Wort hinein in allen Einzelheiten überzeugen wollen. Dazu achte ich zu sehr Ihre freie Persönlichkeit; dazu achte ich zu sehr eines jeden freies Einverständnis. Aber ich habe den Glauben, daß unter Ihnen viele sind, die noch anders denken werden über dasjenige, was ich gesagt habe, als Sie schon heute gedacht haben. Und dieser Glaube ist es eben, wovon ich annehme, daß er dazugehört zur Gesundung des sozialen Organismus.