Ce qui s'inclut aujourd'hui dans le mot
question sociale est quelque chose qui
occupe intensivement l'humanité pensante
pour une grande part depuis des décennies,
elle occupe parce qu'aujourd'hui, on peut
dire que cette question sociale n'est pas
seulement pressante pour l'évolution de
l'humanité mais elle est devenue brûlante.
Mais on a le droit dire qu'en particulier
la terrible catastrophe guerrière qui a
éclatée dans l'humanité dans les dernières
années et a aussi jetée sa lumière
sinistre tout de suite sur ce qu'on nomme
la question sociale et avec cela le
mouvement d'humanité en dépendant dans le
présent immédiat.
Parce que je dois placer l'énigme sociale
dans tout le mouvement historique des
temps récents, j'aurais à parler dans les
prochaines conférences sur maintes choses,
lesquelles sont en rapport avec cause et
déroulement de la terrible catastrophe
guerrière. Dans ces exposés introductifs
j'aimerais seulement rendre attentif à
cela comme déjà au point de départ de la
guerre se montrait l'entrée en force de la
question sociale dans ces émotions de peur
qui sont clairement à percevoir chez ceux
qui se tenaient au point de départ de
cette guerre.
Certainement beaucoup serait devenu autre
en l'année 1914 si ceux qui ici ou là on
eu d'importantes décisions à prendre, ne
s'étaient tenus sous la peur :
qu'arriverait-il si le mouvement social se
fait valoir toujours plus et plus ?
Beaucoup de ce qui s'est formé de cet
ainsi nommée guerre, s'est formé sous la
peur d'un côté et sous la pleine
incompréhension de maintes personnalité
dirigeantes vis-à-vis de la question
sociale de l'autre côté. Maint se serait
formé autrement, si cette peur et cette
incompréhension n'avaient pas été là.
Et à nouveau dans le déroulement de la
guerre, nous voyions comme des
personnalité qui s'activent à l'intérieur
du mouvement social suscitent des
espérances près d'elles et d'autres que
tout de suite pourrait se montrer la
possibilité de venir à tel ou tel
compensation des disharmonies, qui se sont
installées de manière si terrible dans la
vie humaine .
Et maintenant, que ces événements
tragiques se sont installés en une sorte
de crise, nous voyons comme en particulier
dans les pays vaincus est rester comme
résultat : la plus contraignante
nécessité de prendre position à la
question sociale, d'intervenir dans ce qui
rentre dans l'histoire du temps comme
exigences sociales.
Déjà de tout cela, celui qui embrasse en
pensant la vie du regard, qui n'importe
comment a seulement l'inclination de se
familiariser avec les nécessités du
présent, il pourrait voir comment dans la
question sociale émerge tout de suite
maintenant quelque chose avec quoi tous
les membres de la société humaine auront à
s'occuper très, très longtemps.
Et tout de suite en cet instant où, comme
dit, dans les pays vaincus, la vie exige
simplement des tentatives de solution de
la question sociale, quelque chose
s'accumule maintenant comme tragique sur
une grande partie de l'humanité civilisée.
Si on embrasse les prestations
spirituelles, la littérature et tout le
similaire, qui depuis de nombreuses
décennies a émergée à l'intérieur des
entretiens, des discussions, des
aspirations en rapport à la question
sociale, c'est incommensurable en travail
humain, en pensée humaine. Mais jamais on
s'était tenu si vivant vis-à-vis des
problèmes sociaux comme aujourd'hui.
Aujourd'hui se montre à la vie elle-même
ce qui se présente comme exigence sociale.
Cela semble comme si malgré tous les
efforts, le penser le plus pénétrant,
malgré la meilleure volonté qui s'est fait
valoir dans les dernières décennies, ce
qui s'en est former de facultés a quand
même été insuffisant de part en part pour
venir à bout de la question sociale telle
qu'elle sera posée aujourd'hui dans sa
vraie silhouette. Cela s'accumule comme
quelque chose d'extrêmement tragique sur
les aspirations de l'humanité présente.
Quelque chose sur quoi on s'est si
longtemps préparé, cela atteint tout de
suite apparemment entièrement non préparés
ceux dont on aimerait croire qu'ils
seraient déterminants.
Qui ne s'est pas occupé de la question
sociale dans les dernières années à partir
de points de vue de science théoriques et
aussi pas des façons de voir de partis,
celui-là a pu trouver que les plus
puissantes contradictions de vie sont
toujours venues au jour tout de suite sur
ce domaine. Et peut être ce qui suit est
une des plus remarquables contradictions
qui a vu le jour sur le domaine de la vie
sociale. On a beaucoup entendu discuter,
on a beaucoup pu lire par des gens qui
étaient placer par la vie elle-même dans
le mouvement social moderne
Partout on avait, tout de suite quand on
se tenait peut-être au milieu de la
discussion, se tenant au milieu dans la
volonté de la compagnie moderne des
travailleurs elle-même, partout on avait
la sensation : oui, là sera parler de
maintes choses, là sera parler sur
beaucoup de questions, sur maintes forces
de vies. On tente de donner direction à
telles ou telles impulsions. Mais en ce
qu'on pourrait nommer volonté sociale
repose encore quelque chose d'
entièrement, entièrement autre que ce qui
sera exprimé là. On pourrait à peine avoir
aussi clairement une telle sensation
vis-à-vis d'un phénomène de la vie :
que plus ou moins du sous-conscient, de
l'inexprimé, joue un plus grand rôle que
ce qui a été publié dans des concepts
apparemment clairs , dans de sobres
discussions. Ici est le point, où on peut
trouver le point de repère pour ne pas
désespérer aux tentatives de s'approcher
tout de suite de l'énigme sociale d'un
certain point de vue.
J'ai donc ici à Zurich, dans d'autres
villes de Suisse, tout de suite eu plus
souvent la permission de parler sur des
questions de science de l'esprit. Du point
de vue de cette recherche en science de
l'esprit, je cherchais aussi depuis des
décennies à m'approcher de l'énigme
sociale. Si on entend aujourd'hui maints
qui se croient praticiens, alors on
pourrait certainement désespérer de
pouvoir fournir quelque chose de fructueux
du point de vue de la recherche
spirituelle pure pour les questions s'y
rapportant. Seul tout de suite le
contradictoire auquel j'ai rendu attentif
dans les aspirations à l'intérieur de la
vie sociale, chasse de nouveau ce
désespoir. Car on voit comment
d'importantes personnalités à l'intérieur
du mouvement social sourient quand la
parole vient là qu'on voudrait contribuer
par tels ou tels efforts spirituels à la
solution de la question sociale ; ils
sourient de cela comme d'une idéologie,
comme grise théorie. A partir des pensées,
à partir de la pure vie de l'esprit, ainsi
pensent-ils, ne serait certainement pas à
pouvoir contribuer aux questions brûlantes
du présent. Mais si on voit plus
exactement alors cela s'impose à vous
comment le nerf réel, la réelle impulsion
de fond du mouvement moderne, tout de
suite prolétarien, ne repose pas dans ce
dont parle le prolétaire actuel, mais
repose tout de suite dans des pensées.
Le mouvement prolétarien moderne est,
comme peut-être encore aucun mouvement
similaire au monde – quand on le regarde
plus exactement, cela se montre dans le
sens le plus éminent -, un mouvement
jaillit de pensées. Je ne dis pas cela
purement comme un aperçu. Si cela m'est
autorisé de rajouter une remarque
personnelle, ainsi ce serait
celle-ci : j'ai des années durant
donné des cours à l'intérieur d'une école
de formation des travailleurs dans les
plus différentes branches des travailleurs
prolétaires. J'ai appris à connaître ce
qui vit et ambitionne dans l'âme des
travailleurs prolétaires modernes. Partant
de là, j'ai appris à connaître ce qui vit
dans les syndicats des différents métiers
et orientation professionnelles. Donc ce
que je veux dire n'est pas exprimé
simplement du point de vue de réflexions
théoriques, comme en un aperçu, mais comme
le résultat d'une véritable expérience de
vie.
Qui – ce qui malheureusement est si peu
le cas chez les intellectuels dirigeants
-, qui a appris là à connaître le
mouvement ouvrier moderne, celui-là sait
quel phénomène merveilleux c'est comme
tout de suite une certaine orientation de
penser, un certain courant de pensées a
saisit l'âme de ces humains de la manière
la plus intensive. Cela est donc, ce qui
rend si difficile aujourd'hui de prendre
position à l'énigme sociale, que soit là
une si faible possibilité de
compréhension, de compréhension mutuelle
des classe. Les classes bourgeoises
peuvent aujourd'hui si difficilement se
transposer dans les âmes des prolétaires,
peuvent si difficilement comprendre,
comment dans, j'aimerais dire,
l'intelligence encore non décadente, dans
l'intelligence élémentaire pouvait prendre
place un tel – aimerait-on maintenant se
tenir au contenu, comme on veut -, un tel
système constitué à la plus haute échelle
des exigences du penser humain comme le
système de penser de Karl Marx.
Certainement le système de penser de
Karl Marx pourra être adopté par les uns,
réfuté par les autres, peut être les uns
avec les mêmes bonnes raisons que les
autres. Il pourrait être révisé par ceux
qui continuent à regarder la vie sociale
après la mort de Marx et son ami Engels.
Du contenu de ce système je ne veux pas du
tout parler, du contenu de ce système de
penser. Cela me semble le moins
significatif. Le plus significatif me
semble être qu'est disponible le
fait : à l'intérieur de la compagnie
des travailleurs elle-même, à l'intérieur
du monde prolétaire œuvre comme impulsion
puissante un système de pensées. On peut
pour ainsi dire exprimer la chose de la
manière suivante : un mouvement
pratique, un simple mouvement de vie avec
les revendications humaines les plus
quotidiennes ne s'était encore jamais tenu
ainsi presque tout seul sur une pure base
scientifique, conceptuelle comme ce
mouvement prolétarien moderne.
Il est dans une certaine mesure même le
premier mouvement du monde de ce genre qui
s'est purement placer sur une base
scientifique. Malgré tout, quand à nouveau
on prend tout cela – je le mentionne déjà
-, que le prolétaire moderne a à dire sur
son propre penser et vouloir et sentir,
ainsi cela ne vous semble absolument pas
comme l'important lors d'une observation
de vie pénétrante.
Maintenant beaucoup ont montrés d'une
manière très sagace comme ce mouvement
social prolétarien moderne s'est constitué
à partir de l'évolution de l'humanité des
derniers siècles. Pertinemment a été
montré comme en particulier par le
développement des techniques modernes, par
le développement du système moderne des
machines, a en fait tout d'abord été créé
le prolétariat dans le sens moderne, comme
par le puissant revirement économique des
temps récents justement s'est constituée
la question sociale moderne.
Ce que d'autres d'une manière si
pertinente on dit tout de suite sur
l'apparition de la question sociale, je ne
veux pas le répéter ici. Mais il me semble
nécessaire, tout de suite de rendre
attentif à ce qui caractérise les
contradictions de vie disponibles dans ce
mouvement prolétarien moderne. Certes il
est juste que sans puissant revirement,
sans la révolution technique des temps
récents le mouvement social moderne
n'aurait pu venir dans la forme dans
laquelle il s'est maintenant une fois
enfilé vers le haut. Seul aussi
intensivement que sera aussi prétendu qu'à
partir d'impulsions purement économique,
de forces économiques, d'oppositions de
classe, de luttes de classes se soit
montré ce qui dans la vie sociale se
présente aujourd'hui, l'affirmation ne
résiste pas devant une observation
pénétrante de l'âme des prolétaires
moderne, que seraient seulement en jeu des
objets économiques, seulement des forces
économique.
Tout de suite celui-là qui est habitué de
regarder à partir de la science de
l'esprit dans les finesses et intimités de
la vie animique chez tout ce qui est
humain, dont les porteurs souvent
eux-mêmes ne sont pas conscient, tout de
suite à celui là est clair que ce qui a
pris forme techniquement, économiquement,
n'est pas l'essentiel dans la formation de
la question sociale actuelle, mais qu'est
plein de signification le fait qu'à partir
de tous autres rapports de vie certains
humains ont été placés à l'exploitation de
la machine en la manière de la grande
exploitation capitaliste, et que par ce
placement a cru dans ces humains quelque
choses qui ne se tient pas en rapport
immédiat avec ce qui est économiquement
autour d'eux, et en quoi ils sont empêtré
économiquement.
Ce qui a cru là, cela dépend beaucoup plus
des plus profondes habitudes de vie de
l'humanité moderne.
Qui regarde l'histoire seulement ainsi,
comme veut maintenant aussi le faire à
nouveau la science socialiste des temps
récents, qu'on dit toujours que le suivant
proviendrait toujours du précédent, qu'un
effet ramènerait toujours à une cause,
celui là ne tient pas compte que des
forces de changement, des forces de
transformation sont disponibles dans la
réalité vivante, qui forment à certains
points de cette évolution le pur rapport
de cause et effet en révolutionnant,
j'aimerais-dire, le terre-à-terre, sec
rapport de cause et effet.
Regardons vers la seule évolution humaine.
Nous pouvons, quand on à le droit de dire
ainsi, la poursuivre successivement, ma
foi, de la naissance jusqu'à environ la
septième année de vie, où le changement de
dents survient. Cela est une puissante
révolution dans l'évolution de l'organisme
humain. On doit orienter le regard sur ce
qui se passe là tout de suite dans cette
période de la vie. Là n'est pas purement
un rapport en ligne droite de cause à
effet. Alors ça va de nouveau ainsi de la
septième jusque s'approchant de la
quatorze, quinzième année de vie qu'on
peut poursuivre une évolution linéaire de
cause à effet. Mais alors suit à nouveau
une formation révolutionnant l'organisme
humain lors de la maturité sexuelle.
Plus tard de telles transformation sont
moins remarquables, mais elles sont aussi
là. Comme se jouent des choses dans la vie
humaine individuelle qui réduisent à néant
le confortable répété toujours et toujours
, ainsi la parole : la nature ne
ferait pas de bonds est absolument
incorrecte. Comme dans l'organisme
individuel de tels bonds sont disponibles
aussi dans l'évolution historique de
l'humanité. Simplement, à l'intérieur de
ce temps qui se laisse limiter entre les
14, 15e siècle jusqu'aujourd'hui et qui va
courir plus loin, se sont joués de
puissants processus de transformation dans
la conscience humaine elle-même.
Ainsi que l'organisme humain individuel
est un autre qu'il ne l'était avant en une
certaine direction quand il est devenu
mature sexuellement , ainsi l'organisme
social humain est devenu quelque chose
d'autre, après que se sont faites valoir
les impulsions élémentaires,
fondamentales, pas purement à trouver à
l'intérieur de la ligne droite entre cause
et effet. Qui parvient a observer plus
exactement la vie historique, celui-là
sait que devant cette période beaucoup
s'est joué instinctif dans l'humanité qui
dans cette période pénétra dans le plein
être conscient, qui doit être accueilli
par le pleinement conscient. De cela le
mouvement social prend figure en ce temps
pour lequel il est particulièrement
caractéristique, qui vient au jour dans
l'expression déjà souvent utilisée qui ne
sera seulement pas suffisamment
caractérisée intensivement :
conscience de classe prolétarienne. On
devrait faire beaucoup moins attention
dans cette expression « conscience de
classe prolétarienne » à ce qui
indique sur la lutte nécessaire dans
laquelle le prolétaire se croit intriqué
contre les autres classes, on devrait
beaucoup plus rendre attentif sur ce que
quelque chose est entré dans l'âme du
prolétaire dans une époque dans laquelle
se modifient des instincts sociaux qui ont
régné autrefois dans la conscience sociale
.
Autrefois des instincts de classe étaient
disponibles. A présent la conscience de
classe repose à la base du mouvement
social.
Cette conscience de classe, c'est,
j'aimerais dire, décrit seulement d'après
la surface, quand on prend au sérieux le
contenu : conscience de classe
prolétarienne. Ce qui se cache dans ce
mots « conscience de classe
prolétarienne », c'est quelque chose
d'entièrement autre. Et le fait se laisse
peut-être caractériser ainsi quand on veut
brièvement caractériser un fait
important : à l'intérieur de vieux
rapports de profession comme par exemple
ils s'amenèrent à l'expression dans les
vieux artisanats ou autres métiers,
reposaient certains instincts sociaux, qui
éclairaient dedans l'âme humaine, qui
renforçaient dans les âmes humaines.
Ces instincts pouvaient œuvrer ainsi
qu'ils formaient un certain lien personnel
entre ce que l'humain pense, sent, veut,
ce qu'il tient pour son honneur, pour sa
joie, pour son besoin esthétique. Le
travail lui-même donnait quelque chose à
l'humain pour toutes ces choses.
Quand l'humain a été placé à la machine,
alors qu'il a été placé dans la boite de
vitesse absolument impersonnelle du
capitalisme moderne, où la rétribution
apparaissait non plus clairement
transparente pour la prestation humaine,
mais où la multiplication (NDT ou reproduction)
du capital par le capital est l'essentiel,
donc l'humain a été placé dedans d'un côté
dans l'animation ( NDT ou boite de
vitesse) des machines, de l'autre
côté dans le capitalisme moderne et son
ordre économique, là il était arraché hors
de ces rapports au monde et de vie qui lui
donnaient quelque chose pour son
personnel, sa joie personnelle, pour son
honneur personnel, pour son impulsion
volontaire personnelle.
Il a dans une certaine mesure été placé
sur la pointe de sa personnalité à côté de
la machine, à l'intérieur de la pure,
objective, impersonnelle circulation de
marchandise et capital, qui au fond,
humainement-personnellement ne lui allait
pas. Mais l'âme humaine veut toujours
d'une certaine manière œuvrer pleinement,
veut toujours en fait déployer son entière
étendue. Et ainsi le travailleur, qui a
été arraché des autres rapports de vie
caractérisés, qui a été placé dans un
rapport qui est arraché de l' humanité
pleinement vivante, a été rendu attentif
là dessus de réfléchir sur sa dignité
humaine, comprendre sa dignité humaine.
Et ainsi derrière ce qu'on nomme
conscience de classe prolétarienne se
cache en vérité dans l'évolution
historique moderne le paraître à
l'horizon, le briller à l'horizon, d'une
pleine conscience de l'humain créée de
l'être humain, de l'âme humaine elle-même.
Orientation de la conscience sur la
question : que suis-je comme
humain ? - sur la question :
qu'est ce que je signifie comme humain
dans le monde ? - qu'avait à sentir
en cette occasion, celui qui était placé
comme prolétaire à côté de la machine
niant l'humain, à côté du capital niant
l'humain.
Là je crois quand même que toute
l'observation de la question sociale sera
placée sur un autre sol quand on réfléchi
que pendant que les humains restants ont
été poussés hors des anciens instincts
dans la conscience moderne plus ou moins à
partir de rapports de vie qui
n'apportèrent rien d'aussi révolutionnaire
radical , le prolétaire moderne a été
poussé radicalement de la pure
constitution instinctive d'autrefois de la
dignité humaine et de la position sociale
de l'humain particulier dans la société
humaine dans la constitution consciente de
son soi.
Maintenant cette entrée de la conscience
de l'humanité dans l'âme du prolétaire
tombât ensemble avec toutes sortes
d'autres choses qui donc se passaient dans
l'évolution humaine. Cela tomba avec un
certain niveau de la pensée humaine, avec
un certain niveau de l'évolution humaine.
On connaît au fond très mal l'évolution
historique humaine. Car cette évolution de
l'humanité elle sera donc prise à la base
toujours décrite de façon partisane d'un
côté ou de l'autre. Qui sans prévention
regarde sur l'évolution de l'humanité, à
celui-là se présente souvent quelque chose
de tout autre que ce qu'il est habituel de
dire sur l'évolution de l'humanité.
Ainsi on peut aussi dire : qui
aujourd'hui regarde sur ce qui jouit
présentement le plus souvent d'autorité,
la science, celui-là sait qu'aussi cela,
qu'aujourd'hui on garni dans une certaine
mesure avec absolue objectivité, s'est
développé, provient d'une quelque chose et
porte clairement le signe de
reconnaissance de ce que cela prendra à
nouveau d'autres formes.
Regarde-t-on sur cette science dans ses
brillantes méthodes, dans ses infinies,
consciencieuses manières de rechercher,
sur cette science, qui tout simplement est
particulièrement appropriée pour pénétrer
la nature et ses phénomènes, ainsi on
remarque : le plus pénétrant chez
elle, ce qu'elle a à dire, est que prise
fondamentalement elle est bien peu
appropriée pour saisir le plus profond,
intime de la sensation et sentiment
humain, qu'elle a bien peu à dire sur ce
que l'humain veut en fait savoir, quand il
oriente son regard sur connaissance de soi
et saisie de soi. Aussi la science s'est
d'une certaine manière détachée de
l'humain. Elle ne porte plus aucun
caractère personnel et ne parle aussi plus
de ce qui dans l'humain est le spirituel,
le suprasensible, l'éternel.
Parle-t-elle de cela, ainsi elle montre
clairement que de la manière dont elle est
aujourd'hui une mode, elle n'a pas les
méthodes correspondantes, pas les manières
de rechercher correspondantes.
On peut de cette forme de la science
regarder en arrière sur ces temps, où à
l'intérieur de l'évolution de l'humanité
la vie montrait encore un saisie
religieuse du monde en une pleine relation
de sentiment religieux et regard
scientifique. Les deux sortirent l'un de
l'autre. Ce qui était unitaire, se scinda
a peu près dans le même temps, dans lequel
cette révolution objective monta, qui
trouve son expression dans l'époque des
machines et dans le capitalisme moderne. A
cette époque là ce fut aussi alors que ce
bouleversement économique se passait, à
cette époque ce fut aussi où dans une
certaine mesure l'évolution religieuse
voulait demeurer calme, ne voulait
participer à ce qui se donnait à
l'évolution économique. A cette époque là,
comme on jugeait les Galilée, les Giordano
Bruno, là resta en retrait dans une
certaine mesure la sensation et le
sentiment les plus intérieurement humains
devant ce qui veut absolument parler à
partir de l'humain sur la nature, sur le
monde . L'humain perdit la foi en ce qu'il
pouvait pénétrer son savoir avec ardeur
religieuse, avec chaleur religieuse.
Aujourd'hui on est fier de ce qu'on peut
tenir la science libre de tout ce qu'on
veut accorder seulement à la religion.
Dedans ce temps, où la science toujours
plus et plus voulait devenir libre de
religion, libre d'esprit, dedans ce temps
tombe le développement de la conscience
prolétarienne, tombe la saisie de la
conscience d'humanité par le prolétariat.
Ce prolétariat, pressait à la pensée
moderne, à l'intelligence moderne, à la
saisie de ce qui peut être saisi avec les
forces spirituelles humaines. Mais cela
trouva une science qui n'avait plus en
elle la force de propulsion de saisir et
emplir l'humain entier . Et cela a donné à
l'âme du prolétaire moderne la forme
particulière. La conscience spirituelle de
l'humanité, la conscience spirituelle des
classes dirigeantes, qui l'étaient en des
temps passés, avait perdu sa force de
propulsion, avait livré à l'humanité une
science plus ou moins abstraite pour les
affaires humaines.
Ainsi les âmes du prolétariat des temps
récents se virent confrontés à une science
qui n'éveillait pas la confiance qui peut
être donnée à quelque chose par elle qui
comme la plus vraie réalité spirituelle
intérieure vit dans l'activité extérieure
sensorielle et économique. Le prolétaire
avait une telle science devant lui, il se
voyait confronté à une telle science. Il
se vivait en elle.
Et ainsi montât dans son âme quelque chose
de purs soubassement évolutifs spirituels,
qui aujourd'hui sera pris comme une
évidence, comme une absolue vérité, mais
qui sera seulement connu dans sa vraie
entité quand on a un regard pour cela qui
va de soi dans les âmes des humains. Ce
qui remue le plus souvent l'observateur
plus profond, cela est l'art et la
manière, comment le prolétaire moderne
parle sur les affaires spirituelle, sur
les coutumes, sur la morale, l'art, la
religion, même sur la science à
l'intérieur de l'évolution de l'humanité,
qu'il englobe toutes ces choses avec
l'expression idéologie.
Cela remue au plus profond. En particulier
cela remue profondément quand on perçoit
que ce prolétaire moderne croirait pouvoir
être clair sur ce que tout ce que l'humain
pense, ce qu'il forme artistiquement,
ressent religieusement, est en fait
seulement comme une apparence, une
idéologie formée à partir de l'âme
humaine. Mais la vraie réalité sont les
luttes économiques, sont les processus
économiques ; ils représentent une
réalité. Cela qu'ils jettent dedans comme
un reflet dans l'âme humaine, cela est
l'évolution spirituelle de l'humanité,
c'est l'idéologie. Cela jette tout au plus
à nouveau quelque impulsions en retour
dans la réalité purement matérielle des
événements économiques, donc initialement
ayant grandi à partir de ce devenir
économique.
La position à la vie spirituelle, elle vit
comme quelque chose de beaucoup plus
essentiel dans les questions
prolétariennes modernes qu'on ne le pense.
Et pourquoi l'art, la coutume, la morale,
la religion, les autres vies spirituelles
sont sinon devenues idéologie au
prolétaire moderne ? Parce qu'il a
éprouvé de ceux là qui était autrefois les
cercles dirigeants, une science, qui ne
veut plus entretenir un rapport vivant au
véritable monde de l'esprit, une science
qui n'indique plus une quelque impulsion
qui conduit à véritable spiritualité. Une
telle science peut tout au plus conduire à
des concepts abstrait comme lois de la
nature. Elle ne peut aussi conduire à rien
d'autre qu'a une façon de voir le
spirituel comme idéologie. Elle actualise
des méthodes qui justement sont seulement
appropriées d'un côté sur la purement
objective nature extra humaine et à
l'intérieur de la vie de l'humain
seulement pour l’événement économique.
Comme le prolétaire moderne devait assumer
cette direction scientifique, là son
regard a été dirigé par une force
suggestive puissante sur ce sur quoi on ne
peut qu'être seulement conduit, sur la vie
économique.
Et il commença à croire que cette vie de
l'économie serait l'unique réalité,
pendant que la vérité est celle-là que ce
que la classe bourgeoise lui à passé comme
science, peut justement uniquement et
seulement s'orienter sur la vie
économique.
Mais cela a été immensément déterminant,
car cela a donné au mouvement prolétarien
moderne sa propre impulsion
caractéristique. On peut voir comment du
vieil instinctif était encore disponible
dans ce mouvement prolétarien, même jusque
dans les dernières décennies du 19e
siècle. On trouve là dans des programmes
prolétariens particuliers encore de tels
points où est parler d'une conscience de
la dignité humaine, de la prise en compte
de droits, qui conduisent à une telle
véritable dignité humaine. Mais depuis les
années quatre-vingt-dix nous voyons sous
cette influence, dont j'ai justement
parlé, comment le prolétaire et son regard
défenseur érudit a été purement conduit
sur la vie de l'économie comme par une
puissante force suggestive. Et maintenant
il ne croit plus qu’autre part pourrait
reposer une impulsion spirituelle ou
animique à ce qui devait nécessairement
entrer sur le domaine du mouvement social.
Il croit que seul par l'évolution de vie
de l'économie non-spirituelle, non
animique pourra être amené le contexte
qu'il éprouve comme digne de l'humain.
Ainsi son regard a été orienté là dessus
de transformer la vie de l'économie
elle-même ainsi que lui serait prise tous
les dommages qui viennent par l'entreprise
privée, par l'égoïsme des donneurs de
travail particuliers et de l'impossibilité
du donneur de travail particulier de
devenir équitable aux droit à dignité
humaine du côté des preneurs de travail.
Et ainsi le prolétaire commença à voir
le seul salut dans la transmission de
toute possession privée aux moyens de
production en entreprise commune
ou ?? co-propriété . A cela repose à
la base ce qui peut se donner seul quand
on aurait détourné dans une certaine
mesure le regard de tout animique ou
spirituel, quand le spirituel était devenu
pure idéologie, quand on avait une méthode
et reposait sur celle-là comme sur une
pure scientifique, qui ne pouvait donc
être exécutée seulement sur le pur
processus économique.
Mais maintenant se révélait un fait très
étrange, qui justement montre combien de
contradictoire repose dans ce mouvement
prolétarien moderne. Le prolétaire moderne
croit que l'économie, la vie de l'économie
elle-même devrait se développer elle-même
ainsi que finalement lui reviendrait son
plein droit humain. Il lutte pour ce plein
droit humain ainsi qu'il le regarde. Seul
à l'intérieur de son aspiration avance
quelque chose, qui justement jamais ne
peut avancer seule comme une conséquence
sur la vie économique. Cela est un fait
parlant une langue significative,
pénétrante que tout de suite repose au
point central des différentes formations
de la question sociale à partir des
nécessité de la vie de l'humanité actuelle
quelque chose dont on croit que cela
proviendrait de la vie de l'économie
elle-même, mais cela ne pourrait jamais
provenir de la vie de l'économie seule,
qui beaucoup plus repose dans les droites
lignes de développement, qui conduit par
dessus l'ancien système des esclaves par
le système de servage de l'époque féodale
au travail moderne du prolétariat. Comme
se sont formés aussi toujours la
circulation de marchandises, la
circulation d'argent, le système de
capital, la possession, le système de fond
et sol (NDT foncier) et ainsi de suite à
l'intérieur de cette vie moderne s'en est
formé quelque chose qui ne sera pas
clairement exprimé, ne sera aussi pas
exprimé entièrement clairement par le
prolétaire moderne, mais qui seulement
sera bien trop clairement éprouvé comme
l'impulsion de fond réelle de son vouloir
social. C'est celle-ci : L'ordre
économique capitaliste moderne pris à la
base connaît seulement la marchandise à
l'intérieur de son domaine de circulation.
Il connaît formation de valeur de ces
marchandises à l'intérieur de l'organisme
économique. Et quelque chose est devenu
une marchandise à l'intérieur de
l'organisme capitaliste des temps récents,
dont aujourd'hui le prolétaire
ressent : cela n'a pas le droit
d'être marchandise. Mais car son regard
est orienté seulement sur la vie
économique, il ne peut pas se dire
scientifiquement autre chose que :
c'est marchandise. C'est en effet sa
propre force de travail.
Quand on reconnaîtra une fois qu'ici
repose une des impulsions de fond de tout
le mouvement social moderne, que dans les
instincts, dans les ressentis
sous-conscients du prolétaire moderne vit
un dégoût qu'il doit vendre justement
ainsi sa force de travail à l'entrepreneur
du travail, comme on vend des marchandises
sur les marchés, qu'il éprouve un dégoût,
que sur le marche des forces de travail sa
force de travail joue son rôle d'après
offre et demande , comme la marchandise
sur les marché sous offre et demande,
quand on viendra là dessus que ce dégoût
de la marchandise force de travail est la
véritable impulsion de base du mouvement
social moderne, quand on regardera
entièrement non prévenu là dessus que cela
ne sera pas exprimé suffisamment pénétrant
et radical aussi par les théories
socialistes, alors on aura trouvé le point
duquel peut être parti en cela qui s'avère
aussi pressant, donc brûlant en rapport au
mouvement social.
Dans l'antiquité il y avait des
esclaves. L'humain entier était vendu
comme une marchandise. Quelque chose de
moins a été vendu de l'humain, mais encore
toujours a peu de chose près l'humain
entier dans le servage. Le capital est
devenu le pouvoir qui profite encore
quelque peu de l'humain, à savoir sa force
de travail. Les méthodes doivent être
cherchées par lesquelles la marchandise
force de travail pourra être séparée des
circulations de marchandises restantes. On
regardera premièrement au travers ce qui
est fiché derrière ce fait quand on ne
regardera pas suggestif sur la vie de
l'économie qui doit être saisie d'après de
toutes autres méthodes que l'humain
lui-même, quand on saura que non à partir
de cette vie de l'économie, mais d'un tout
autre vécu dans l'organisme social doit
couler vers dehors la manière comment à la
force de travail humaine pourrait être
retirer le caractère de marchandise. On
devra reconnaître – et la recherche en
science de l'esprit donnera la base pour
cela -, que la croyance est fausse qu'on
pourrait par l'observation du pur système
économique, à quoi seul convient la
méthode de science de la nature, découvrir
les chemins par lesquels la force de
travail de l'humain particulier pourrait
s'articuler dans l'organisme social.
C'est tout d'abord quand on comprendra que
la croyance que la force de travail
appartiendrait au système économique
équivaut aux autres croyances auxquelles
on s'adonne, qu'on voudrait regarder de
même façon ce qui dans le système
cœur-poumon, dans le système de
circulation va de soi, comme ce qui dans
le système nerveux de la tête va de soi,
qu'on est sur le chemin correct. Le
système nerveux et sensoriel, comme il est
centralisé dans la tête, est dans
l'organisme humain un membre particulier,
indépendant, existant pour lui-même. Ce
qui est disponible comme système
cœur-poumon, comme système de circulation
est à nouveau un membre qui existe pour
soi, indépendant. Ainsi justement le
système métabolisme. Vous pouvez vérifier
cela plus exactement dans mon livres
« Des énigmes de l'âme ». C'est
le caractéristique dans l'organisme humain
que ses systèmes tout de suite par là
qu'ils déploient leurs corrects
épanouissement et efficacité, parce qu'ils
ne sont pas centralisés, mais qu'ils
demeurent les uns à côté des autres et
œuvrent librement ensemble. Ne peut-on
aujourd'hui une fois pas comprendre
l'organisme humain de cette manière
englobante, pénétrante, ainsi on ne peut
pas comprendre d'abord correctement
l'organisme social avec la science qui
n'est pas encore réformée, mais qui doit
être réformée dans un sens de science de
l'esprit,. On croit aujourd'hui que
l'organisme humain est quelque chose de
centralisé, pendant qu'il est un
être-triarticulé (NDT eine
Dreigliedigkeit).
Et ainsi l'organisme social est aussi un
être-triarticulé. Ce qui aujourd'hui sous
une puissante suggestion sera regardé
comme organisme social unique, le système
de l'économie, cela est seulement un
membre. Un autre membre est cela de quoi
doit jaillir la compréhension pour la
fonction de la force de travail humaine
dans toute la structure de l'organisme
social. Les deux systèmes doivent se tenir
l'un à côté de l'autre. Et le caractère de
la marchandise sera seulement alloué à la
force de travail dans la récente pensée
fausse.
Et cette pensée récente étroite de cœur,
cela a de l'autre côté fait pure idéologie
le troisième, la vie de l'esprit qui doit
se placer autonome dans l'organisme social
entier. L'avis théorique que le spirituel
est pure idéologie, il est le moins
dangereux. Le plus important est que dans
un humain, qui a la façon de voir que le
spirituel ne racinerai pas dans une
réalité spirituelle reposant à la base de
toutes choses, mais en une pure idéologie,
ne peut être disponible la force de
propulsion spirituelle véritable. Un tel
humain n'a pas d'intérêt à accorder à la
vie spirituelle son rôle correct dans le
monde.
Si on regarde tout de suite ce qui s'est
joué sur le domaine de la conscience
prolétarienne, ainsi on trouve qu'on ne
pouvait pas gagner un aperçu dans les
trois membres de l'organisme social. A
celui-là s'est perdu quelque chose. On
aspire à étatisation parce qu'on croit
qu'un seul organisme social pourrait tout
assumer.
La conscience de science de l'esprit
doit ouvrir un horizon plus large en
rapport à la question sociale , que sera
souvent donné aujourd'hui même dans cette
époque brûlante par des dirigeants
compétents. Il devra être rendu attentif
là dessus que ne devrait pas être voulu
seulement du nouveau, mais que nous avons
besoin, de penser nouveau, que nous avons
besoins pas seulement d'une observation
scientifique de la vie sociale, laquelle
entreprend la science traditionnelle, mais
que nous avons besoin de la reconstruction
d'une science qui amène dans la conscience
de l'humanité de nouvelles pensées, qui
tout d'abord seront des pensées de réalité
de l'organisme social.
Cela devra conduire à ce que les raisons
pour tant de malheur dans les temps récent
seront une fois mises de côté par la
conscience de l'humanité. Aussi celui qui
agit non pas en théorique, mais à partir
de la vie, comme je crois aussi l'avoir
fait en cette heure, aussi celui-là sera
aujourd'hui expédié et rendu la plupart du
temps inoffensif par ceux qui se pensent
les véritablement praticiens, en ce qu'ils
disent : ah, de tels choses
théoriques ne vient rien de fructueux dans
le monde en quelque manière. Ces
« praticiens de la vie », qui
sont les vrais abstraits, ces praticiens
de la vie, dont la pratique ne consiste en
rien d'autre que dans la limitation de
leurs sens sur les plus étroites
frontières, ce sont ces praticiens de la
vie, qui très souvent ont amenés le
malheur et la catastrophe des temps
récents. Pourront-ils continuer à gérer
sur toutes les tendances de partis le
malheur n'ira pas à sa fin, le malheur
s'étendra seulement dans
l'incommensurable.
Les véritables praticiens de la vie
doivent maintenir leur position méritée
dans l'efficacité publique, ceux qui
parlent des possibilité d'évolution, qui
reposent spatialement dans l'organisme
social et dans l'évolution temporelle,
comme par exemple dans l'organisme humain
particulier.
Ces vrais praticiens de la vie, qui
parlent de la réalité reposant plus
profondément, ce sont eux sur qui devrait
aujourd'hui être compté. Ce sont eux qui
n'ont pas besoin de désespérer à leur
propre savoir. Il voient toutefois à leur
grand regret et à leur consternation
comment ce que les praticiens de la vie,
aussi les praticiens de la vie
socialistes, croient devoir faire de
l'autre côté uniquement et seulement,
comme cela ne peut conduire à quelque
chose d'autre qu'au pillage de la vie.
Celui-là qui veut œuvrer à partir de
l'esprit comme praticien de la vie, veut
aspirer de la réalité à des réalités
capables de vie.
Dans quels sens des tentatives de solution
peuvent se montrer pour les questions que
j'ai tenté de décrire dans leur vraie
forme à partir des récentes habitudes de
vie, comment à partir de cela peuvent se
montrer des tentatives de solution sur
base d'une exploration de la réalité de la
vie sociale et de la structure de société
de l'humanité, de cela je m'autoriserais à
parler ici après demain.
|
Was sich heute
einschließt in das Wort soziale Frage,
ist etwas, das die denkende Menschheit
zu einem großen Teile intensiv seit
Jahrzehnten beschäftigt, beschäftigt
weil diese soziale Frage heute, man kann
sagen, nicht nur drängend ist für die
Entwickelung der Menschheit, sondern
brennend geworden ist. Insbesondere aber
darf man sagen, daß die furchtbare
kriegerische Katastrophe, welche in den
letzten Jahren über die Menschheit
hereingebrochen ist, auch ihr düsteres
Licht geworfen hat gerade auf das, was
man die soziale Frage und die damit
zusammenhängende Menschheitsbewegung der
unmittelbaren Gegenwart nennt.
Da ich
das soziale Rätsel in die ganze
geschichtliche Bewegung der neueren Zeit
hineinstellen muß, werde ich in den
nächsten Vorträgen über mancherlei
Dinge, welche mit Ursache und Verlauf
der furchtbaren kriegerischen
Katastrophe zusammenhängen, zu sprechen
haben. In diesen einleitenden
Ausführungen möchte ich nur darauf
hinweisen, wie schon im Ausgangspunkt
des Krieges sich zeigte das
Hereinkraften der sozialen Frage in
jenen Angstemotionen, die deutlich
wahrzunehmen sind bei denjenigen, welche
am Ausgangspunkt dieses Krieges standen.
Gewiß wäre vieles anders geworden im
Jahre 1914, wenn diejenigen, die da oder
dort wichtige Entscheidungen zu treffen
gehabt haben, nicht unter der Angst
gestanden hätten: Was soll werden, wenn
die soziale Bewegung immer mehr und mehr
sich geltend macht ? Vieles, was sich in
diesem sogenannten Kriege
herausgestaltet hat, hat sich
herausgestaltet unter der Furcht auf der
einen Seite und unter dem vollen
Mißverständnis von seiten mancher
führender Persönlichkeiten gegenüber der
sozialen Frage auf der anderen Seite.
Manches hätte sich anders gestaltet,
wäre diese Furcht und dieses
Mißverständnis nicht dagewesen. Und
wiederum, im Verlaufe des Krieges sehen
wir, wie Persönlichkeiten, die innerhalb
der sozialen Bewegung sich betätigen,
Hoffnungen hervorrufen bei
sich und
anderen, daß gerade die Möglichkeit sich
zeigen könnte, zu diesem oder jenem
Ausgleich der Disharmonien zu kommen,
die in so schrecklicher Weise in das
Menschenleben eingezogen sind. Und
jetzt, da diese tragischen Ereignisse in
eine Art von Krise eingezogen sind,
sehen wir, wie insbesondere in den
besiegten Ländern zurückgeblieben ist
als Ergebnis : drängendste
Notwendigkeit, zu der sozialen Frage
Stellung zu nehmen, in dasjenige
einzugreifen, was als soziale
Forderungen in die Zeitgeschichte
eintritt.
Schon
aus alledem könnte derjenige, der das
Leben der Gegenwart denkend überblickt,
der nur irgendwie die Neigung hat, sich
bekanntzumachen mit den
Lebensgewohnheiten der Gegenwart, er
könnte ersehen, wie in der sozialen
Frage gerade jetzt etwas auftaucht,
womit sich alle Glieder der menschlichen
Gesellschaft werden lange, sehr, sehr
lange zu beschäftigen haben. Und gerade
in diesem Zeitpunkt, wo, wie gesagt, in
den besiegten Ländern das Leben einfach
Lösungsversuche der sozialen Frage
fordert, lagert jetzt etwas wie Tragik
über einem großen Teile der
zivilisierten Menschheit.
Überblickt
man die geistigen Leistungen, die
Literatur und alles ähnliche, das seit
vielen Jahrzehnten aufgetaucht ist
innerhalb der Besprechungen, der
Diskussionen, der Bestrebungen in bezug
auf die soziale Frage, es ist ein
Unermeßliches an Menschenarbeit, an
Menschendenken. Aber niemals stand man
den sozialen Problemen so lebendig
gegenüber wie heute. Heute zeigt sich am
Leben selbst, was als soziale Forderung
auftritt. Es scheint, als ob trotz aller
Anstrengungen, eindringlichstem Denken,
trotz bestem Wollen, das sich geltend
gemacht hat in den letzten Jahrzehnten,
doch das, was sich an Fähigkeiten
herausgebildet hat, durch und durch
ungenügend war, um die soziale Frage, so
wie sie in ihrer wahren Gestalt heute
durch das Leben vor die Menschenseele
gestellt wird, zu bewältigen. Das lagert
wie etwas ungeheuer Tragisches über den
Bestrebungen der gegenwärtigen
Menschheit. Etwas, worauf man sich so
lange vorbereitet hat, es trifft gerade
diejenigen, von denen man glauben
möchte, daß sie maßgebend wären,
anscheinend ganz unvorbereitet.
Wer
nicht vom Gesichtspunkte theoretischer
Wissenschaft, nicht aus bloßen Begriffen
heraus und auch nicht aus einseitigen
Parteianschauungen heraus in den letzten
Jahrzehnten sich mit der sozialen Frage
beschäftigt hat, der hat finden können,
daß die mächtigsten Lebenswidersprüche
gerade auf diesem Gebiete immer zutage
getreten sind. Und vielleicht ist der
folgende einer der bemerkenswertesten
Widersprüche, die auf dem Gebiete des
sozialen Lebens zutage getreten sind.
Vieles hat man diskutieren hören, über
vieles hat man lesen können durch Leute,
die vom Leben selbst hineingestellt
waren in die moderne soziale Bewegung.
Überall hatte man, gerade wenn man
vielleicht mitten drinnen stand in der
Diskussion, mitten drinnen stand in dem
Wollen der modernen Arbeiterschaft
selbst, überall hatte man das Gefühl:
Ja, da wird mancherlei gesprochen, da
wird über viele Fragen, über mancherlei
Lebenskräfte gesprochen. Man versucht,
diesen oder jenen Impulsen Richtungen zu
geben. Aber in dem, was man nennen
könnte soziales Wollen, liegt noch etwas
ganz, ganz anderes als das, was da
ausgesprochen wird. Kaum irgendeiner
Lebenserscheinung gegenüber konnte man
so deutlich das Gefühl haben : das mehr
oder weniger Unterbewußte,
Unausgesprochene, spielt eine größere
Rolle als das, was in scheinbar klare
Begriffe, in nüchterne Diskussionen
hineinverlegt worden ist. Hier ist der
Punkt, wo man den Anhalt dafür finden kann, nicht
zu verzweifeln bei den Versuchen, gerade
von einem bestimmten Gesichtspunkte aus
den sozialen Rätseln sich zu nähern.
Ich
habe ja hier in Zürich, in anderen
Städten der Schweiz, öfter gerade über
Fragen der Geisteswissenschaft sprechen
dürfen. Vom Standpunkte dieser
geisteswissenschaftlichen Forschung
suchte ich mich auch seit Jahrzehnten
den sozialen Rätseln zu nähern. Hört man
heute manche, die sich Praktiker
dünken, dann könnte man gewiß
verzweifeln daran, irgend etwas
Ersprießliches leisten zu können für die
einschlägigen Fragen vom Gesichtspunkte
der bloßen geistigen Forschung aus.
Allein gerade das Widerspruchsvolle, auf das ich hinzudeuten
habe in den Bestrebungen innerhalb des
sozialen Lebens, das treibt diese
Verzweiflung wieder weg. Denn man sieht,
wie wichtige Persönlichkeiten innerhalb
der sozialen Bewegung lächeln, wenn die
Rede darauf kommt, man wolle durch diese
oder jene geistigen Bestrebungen etwas
beitragen zur Lösung der sozialen Frage;
sie belächeln das als Ideologie, als
eine graue Theorie. Aus dem Gedanken
heraus, aus dem bloßen Geistesleben
heraus, so meinen sie, werde gewiß
nichts beigetragen werden können zu den
brennenden sozialen Fragen der
Gegenwart. Aber sieht man genauer zu,
dann drängt es sich einem auf, wie der
eigentliche Nerv, der eigentliche
Grundimpuls der modernen, gerade
proletarischen Bewegung nicht in dem
liegt, wovon der heutige Proletarier
spricht, sondern gerade liegt in
Gedanken.
Die
moderne proletarische Bewegung ist, wie
vielleicht noch keine ähnliche Bewegung
der Welt — wenn man sie genauer
anschaut, zeigt sich dies im
eminentesten Sinne —, eine Bewegung aus
Gedanken entsprungen. Dies sage ich
nicht bloß wie ein Aperçu. Wenn es mir
gestattet ist, eine persönliche
Bemerkung einzufügen, so sei es diese :
Ich habe jahrelang innerhalb einer
Arbeiterbildungsschule in den
verschiedensten Zweigen proletarischen
Arbeitern Unterricht erteilt. Ich habe
kennengelernt, was in der Seele des
modernen proletarischen Arbeiters lebt
und strebt. Von da ausgehend habe ich
kennengelernt, was in den Gewerkschaften
der verschiedenen Berufe und
Berufsrichtungen lebt. Also nicht bloß
vom Gesichtspunkte theoretischer
Erwägungen, wie in einem Aperçu, ist das
ausgesprochen, was ich sagen will,
sondern als Ergebnis wirklicher
Lebenserfahrung.
Wer —
was bei den führenden Intellektuellen
leider so wenig der Fall ist —, wer die
moderne Arbeiterbewegung da
kennengelernt hat, wo sie von Arbeitern
getragen wird, der weiß, welch
wunderbares Phänomen dieses ist, wie
eine gewisse Gedankenrichtung, eine
gewisse Gedankenströmung die Seele
gerade dieser Menschen in der
intensivsten Weise ergriffen hat. Das
ist ja das, was es so schwierig macht
heute, zu den sozialen Rätseln Stellung
zunehmen, daß eine so geringe
Möglichkeit des Verständnisses, des
gegenseitigen Verständnisses der Klassen
da ist. Die bürgerlichen Klassen können
heute sich so schwer in die Seele des
Proletariers hineinversetzen, können so
schwer verstehen, wie in der, ich möchte
sagen, noch undekadenten Intelligenz, in
der elementarischen Intelligenz Platz
greifen konnte ein solches — mag man nun
zum Inhalte stehen, wie man will —, ein
solches, an menschliche Denkforderungen
höchste Maßstäbe anlegendes System, wie
das Denksystem von Karl
Marx.
Gewiß,
Karl Marxens Denksystem kann von dem
einen angenommen, von dem anderen
widerlegt werden, vielleicht das eine
mit denselben guten Gründen wie das
andere. Es konnte revidiert werden von
denen, die das soziale Leben weiter
betrachten nach Marxens und seines
Freundes Engels
Tode.
Von dem Inhalt dieses Systems will ich
gar nicht sprechen, von dem Inhalt
dieses Gedankensystems. Der scheint mir
das allerwenigst Bedeutungsvolle. Das
Bedeutungsvollste erscheint mir, daß die
Tatsache vorliegt : Innerhalb der
Arbeiterschaft selbst, innerhalb der
proletarischen Welt wirkt als
mächtigster Impuls ein Gedankensystem.
Man kann geradezu die Sache in der
folgenden Art aussprechen: Eine
praktische Bewegung, eine reine
Lebensbewegung mit alleralltäglichsten
Menschheitsforderungen stand noch
niemals so fast ganz allein auf einer
rein wissenschaftlichen, gedanklichen
Grundlage wie diese moderne
Proletarierbewegung. Sie ist
gewissermaßen sogar die erste derartige
Bewegung der Welt, die sich rein auf
eine wissenschaftliche Grundlage
gestellt hat. Dennoch, wenn man wiederum
alles das nimmt — ich deutete es schon
an —, was der moderne Proletarier über
sein eigenes Meinen und Wollen und
Empfinden zu sagen hat, so scheint einem
das bei eindringlicher Lebensbeobachtung
durchaus nicht als das Wichtige.
Nun
haben viele in einer sehr scharfsinnigen
Weise gezeigt, wie diese moderne
proletarische soziale Bewegung heraus
entstanden ist aus der
Menschheitsentwickelung der letzten
Jahrhunderte. Scharfsinnig gezeigt
worden ist, wie insbesondere durch die
Entwickelung der modernen Technik, durch
die Entwickelung des modernen
Maschinenwesens eigentlich das
Proletariat im modernen Sinne erst
geschaffen worden ist, wie durch den
gewaltigen wirtschaftlichen Umschwung
der neueren Zeit eben die moderne
soziale Frage entstanden ist. Was andere
in einer so scharfsinnigen Weise gerade
über diese Entstehung der sozialen Frage
gesagt haben, ich will es hier nicht
wiederholen. Aber mir scheint es
notwendig, gerade auf das hinzuweisen,
was die vorhandenen Lebenswidersprüche
in dieser modernen proletarischen
Bewegung charakterisiert. Gewiß ist es
richtig, daß ohne den gewaltigen
Umschwung, ohne die technische
Revolution der neueren Zeit die moderne
soziale Bewegung nicht in der Gestalt
hätte kommen können, in der sie nun
einmal heraufgezogen ist. Allein so
intensiv es auch behauptet wird, daß
bloß aus wirtschaftlichen Impulsen, aus
ökonomischen Kräften, aus
Klassengegensätzen, aus Klassenkämpfen
heraus sich dasjenige ergeben habe, was
im sozialen Leben heute sich zeigt, vor
einer eindringlichen Seelenbeobachtung
des modernen Proletariers hält die
Behauptung, daß nur wirtschaftliche
Gegensätze, nur wirtschaftliche Kräfte
dabei im Spiele seien, nicht stand.
Gerade derjenige, der gewöhnt ist aus
der Geisteswissenschaft heraus, bei
allem Menschlichen hinzublicken auf die
Feinheiten und Intimitäten des
seelischen Lebens, die dem Träger dieses
Seelenlebens oftmals selbst nicht bewußt
sind, gerade dem ist es klar, daß nicht
das, was sich technisch, wirtschaftlich
herausgebildet hat, das Wesentliche ist
in der Gestaltung der heutigen sozialen
Frage, sondern daß die Tatsache
bedeutungsvoll ist, daß aus ganz anderen
Lebenszusammenhängen heraus gewisse
Menschen zu dem Betrieb der Maschine in
der Art des großkapitalistischen
Betriebes hingestellt worden sind, und
daß durch dieses Hinstellen in diesen
Menschen etwas erwacht ist, was nicht in
unmittelbarem Zusammenhange mit dem
steht, was wirtschaftlich um sie ist,
und in das sie wirtschaftlich verstrickt
sind. Was da erwacht ist, das hängt
vielmehr zusammen mit den tiefsten
Lebensgewohnheiten der modernen
Menschheit.
Wer die
Geschichte nur so betrachtet, wie es nun
auch die sozialistische Wissenschaft der
neueren Zeit wiederum tun will, daß man
immer sagt, das Folgende gehe aus dem
Vorhergehenden hervor, Wirkung führe
immer auf eine Ursache zurück, der
berücksichtigt nicht, daß Wandelkräfte,
Umgestaltungskräfte in der lebendigen
Wirklichkeit vorhanden sind, die den
bloßen Zusammenhang von Ursache und
Wirkung, ich möchte sagen: des
nüchternen, trockenen Zusammenhangs von
Ursache und Wirkung, an bestimmten
Punkten dieser Entwickelung
revolutionierend gestalten.
Sehen
wir hin auf die einzelne menschliche
Entwickelung. Wir können sie, wenn man
so sagen darf, sukzessive verfolgen,
meinetwillen von der Geburt bis zum
siebenten Lebensjahre ungefähr, wo der
Zahnwechsel eintritt. Da ist eine
mächtige Revolution in der Entwickelung
des menschlichen Organismus. Man muß den
Blick hinrichten auf das, was da gerade
in dieser Periode des Lebens geschieht.
Da ist nicht bloß ein geradliniger
Zusammenhang von Ursache und
Wirkung. Dann geht es wiederum
vom siebenten bis annähernd in das
vierzehnte, fünfzehnte Jahr hinein so,
daß man eine geradlinige Entwickelung
von Ursache und Wirkung verfolgen kann.
Dann aber folgt wiederum eine
revolutionierende Gestaltung im
menschlichen Organismus bei der
Geschlechtsreife. Weniger bemerkbar sind
später solche Umwandlungen, aber sie
sind auch da. Wie so im einzelnen
menschlichen Leben solche Dinge sich
abspielen, welche zuschanden machen das
immer und immer wiederholte bequeme,
aber durchaus unrichtige Wort, die Natur
mache keine Sprünge, wie im einzelnen
Organismus solche Sprünge vorhanden
sind, so auch in der geschichtlichen
Entwickelung der Menschheit. Einfach
haben sich innerhalb derjenigen Zeit,
die sich etwa begrenzen läßt von der
Mitte des 14., 15. Jahrhunderts bis
heute, die weiter laufen wird, mächtige
Umwandlungsprozesse im menschlichen
Bewußtsein selber abgespielt.
So wie
der einzelne menschliche Organismus ein
anderer ist, wenn er geschlechtsreif
geworden ist, als er vorher war in einer
gewissen Richtung, so ist der
menschliche soziale Organismus etwas
anderes geworden, nachdem die
elementaren, grundlegenden, nicht bloß
innerhalb der geraden Linie von Ursache
und Wirkung aufzufindenden Impulse sich
geltend gemacht haben. Wer genauer das
geschichtliche Leben zu beobachten
vermag, der weiß, daß vor diesem
Zeitraum in der Menschheit vieles
instinktiv sich abgespielt hat, was in
diesem Zeitraum eintritt in die volle Bewußtheit,
was aufgenommen werden muß von der
vollen Bewußtheit. Daher nimmt die
soziale Bewegung in dieser Zeit, für die
sie besonders charakteristisch ist, die
Gestalt an, die in dem ja oft
gebrauchten Wort, das nur nicht intensiv
genug charakterisiert wird, zutage
tritt: proletarisches Klassenbewußtsein.
Bei diesem Wort «proletarisches
Klassenbewußtsein» sollte man viel
weniger darauf Rücksicht nehmen, daß es
hindeutet auf den notwendigen Kampf, in
den sich der Proletarier gegen die
anderen Klassen verstrickt glaubt, man
sollte vielmehr darauf hinweisen, daß
etwas eingezogen ist in die Seele des
Proletariers in einem Zeitalter, in dem
soziale Instinkte, die früher gewaltet
haben, in soziales Bewußtsein sich
umgestalten. Früher waren
Klasseninstinkte vorhanden. Nunmehr
liegt zugrunde der sozialen Bewegung
Klassenbewußtsein.
Dieses
Klassenbewußtsein, es ist, ich möchte
sagen, nur der Oberfläche nach
bezeichnet, wenn man den Wortlaut ernst
nimmt : proletarisches
Klassenbewußtsein. Das, was sich in
diesem Wort «proletarisches
Klassenbewußtsein» versteckt, das ist
etwas ganz anderes. Und es läßt sich
vielleicht, wenn man kurz eine wichtige
Tatsache charakterisieren will, diese
Tatsache so charakterisieren : Innerhalb
alter Berufszusammenhänge, wie sie sich
zum Beispiel im alten Handwerk oder in
anderen Berufen zum Ausdrucke brachten,
lagen gewisse soziale Instinkte, die in
die menschliche Seele hereinleuchteten,
die in der menschlichen Seele krafteten.
Diese Instinkte konnten wirken, so daß
sie ein gewisses persönliches Band
bildeten zwischen dem, was der Mensch
denkt, fühlt, will, was er für seine
Ehre, für seine Freude, für sein
ästhetisches Bedürfnis hält. Die Arbeit
selbst gab den Menschen für alle diese
Dinge etwas.
Als der
Mensch an die Maschine gestellt worden
war, als er in das durchaus
unpersönliche Getriebe des modernen
Kapitalismus hineingestellt wurde, wo
nicht mehr klar durchsichtig für die
verfertigte Menschenleistung das Entgelt
auftritt, sondern wo die Vermehrung des
Kapitals durch das Kapital das
Wesentliche ist, also der Mensch
hineingestellt worden ist auf der einen
Seite in das Maschinengetriebe, auf der
anderen Seite in den modernen
Kapitalismus und seine
Wirtschaftsordnung, da war er
herausgerissen aus denjenigen Welt- und
Lebenszusammenhängen, die ihm etwas
gaben für sein Persönliches, für seine
persönliche Freude, für seine
persönliche Ehre, für seine persönlichen
Willensimpulse. Er war gewissermaßen auf
die Spitze seiner Persönlichkeit
gestellt neben der Maschine, innerhalb
der rein objektiven, unpersönlichen
Zirkulation von Ware und Kapital, die
ihn menschlich-persönlich im Grunde
nichts anging. Aber die menschliche
Seele will immer in einer gewissen Weise
voll wirken, will immer ihren ganzen
Umfang eigentlich entfalten. Und so
wurde der Arbeiter, der entrissen wurde
aus den charakterisierten anderen
Lebenszusammenhängen, der hineingestellt
wurde in einen Zusammenhang, der
losgerissen ist von der voll-lebendigen Menschlichkeit, darauf
hingewiesen, über seine Menschenwürde
nachzusinnen, seine Menschenwürde
nachzuempfinden.
Und so
verbirgt sich hinter dem, was man proletarisches Klassenbewußtsein nennt,
in der modernen geschichtlichen
Entwickelung in Wahrheit ein
Heraufdämmern, ein Heraufglänzen eines
vollen, aus dem Menschenwesen, aus der
menschlichen Seele selbst geschöpften
Menschenbewußtseins. Hinlenkung des
Bewußtseins auf die Frage : Was bin ich
als Mensch ? — auf die Frage : Was
bedeute ich als Mensch in der Welt? —
das zu empfinden hatte derjenige
Gelegenheit, der als Proletarier
hingestellt war neben die den Menschen
verleugnende Maschine, neben das den
Menschen verleugnende Kapital.
Da
glaube ich doch, daß die ganze
Betrachtung der sozialen Frage auf einen
anderen Boden gestellt wird, wenn man
bedenkt, daß, während die übrigen
Menschen mehr oder weniger aus
Lebenszusammenhängen heraus, die nicht
so radikal Revolutionierendes brachten,
aus den alten Instinkten in das moderne
Bewußtsein hineingetrieben worden sind,
der moderne Proletarier radikal in die
bewußte Auffassung seiner selbst
hineingetrieben wurde aus der früher
bloß instinktiven Auffassung der
Menschenwürde und der sozialen Stellung
des einzelnen Menschen in der
menschlichen Gesellschaft.
Nun
fiel dieses Eintreten des
Menschheitsbewußtseins in die Seele des
Proletariers zusammen mit allerlei
anderem, das ja vorging in der
menschlichen Entwickelung. Es fiel
zusammen mit einer gewissen Stufe des
menschlichen Denkens, mit einer gewissen
Stufe der menschlichen Entwickelung. Man
kennt heute im Grunde genommen die
geschichtliche Entwickelung der
Menschheit sehr schlecht. Denn diese
geschichtliche Entwickelung der
Menschheit, sie wird ja im Grunde
genommen immer von der einen Seite oder
von der anderen Seite parteiisch
dargestellt. Wer unbefangen hinblickt
auf die Entwickelung der Menschheit, dem
stellt sich oftmals etwas ganz anderes
heraus als das, was üblich ist zu sagen
über diese Entwickelung der Menschheit.
So kann man auch sagen: Wer heute auf
das hinsieht, was gegenwärtig am meisten
Autorität genießt, die Wissenschaft, der
weiß, daß auch das, was man heute
gewissermaßen mit absoluter Objektivität
belegt, sich entwickelt hat, aus irgend
etwas hervorgegangen ist und deutlich in
sich die Kennzeichen davon trägt, daß es
auch wiederum andere Gestalten annehmen
werde. Sieht man auf diese Wissenschaft
hin in ihren glänzenden Methoden, in
ihren unendlich gewissenhaften
Forschungsweisen, auf diese
Wissenschaft, die geradezu besonders
geeignet ist, die Natur und ihre
Erscheinungen zu durchdringen, so merkt
man : das Eindringlichste an ihr, was
sie zu sagen hat, ist, daß sie im Grunde
genommen recht wenig geeignet ist, zu
ergreifen das tiefste, intimste
menschliche Fühlen und Empfinden, daß
sie recht wenig zu sagen hat über das,
was der Mensch eigentlich wissen will,
wenn er seinen Blick richtet auf
Selbsterkenntnis und Selbsterfassung.
Auch die Wissenschaft hat sich in
gewisser Weise losgerissen vom Menschen.
Sie trägt keinen persönlichen Charakter
mehr, und sie spricht auch nicht mehr
von dem, was im Menschen das Geistige,
das Übersinnliche, das Ewige ist.
Spricht sie davon, so zeigt sie
deutlich, daß sie in der Art, wie sie
heute Mode ist, nicht die entsprechenden
Methoden, nicht die entsprechenden
Forschungsweisen hat.
Man
kann von dieser Gestalt der Wissenschaft
zurückblicken auf jene Zeiten, wo
innerhalb der Menschheitsentwickelung
das Leben noch in vollem Zusammenhang
zeigte religiöse Erfassung der Welt,
religiöses Empfinden und
wissenschaftliches Anschauen. Die beiden
traten auseinander. Was einheitlich war,
spaltete sich ungefähr in derselben
Zeit, in der jene objektive Revolution
heraufkam, die im Maschinenzeitalter und
im modernen Kapitalismus ihren Ausdruck
findet. Damals war es auch, als diese
wirtschaftliche Umwälzung geschah,
damals war es auch, wo gewissermaßen die
religiöse Entwickelung stillestehen
wollte, nicht mitmachen wollte das, was
der wissenschaftlichen Entwickelung sich
ergab. Damals, als man die Galilei, die Giordano
Bruno verurteilte,
da blieb in einer gewissen Weise das
innerste menschliche Empfinden und
Fühlen zurück vor demjenigen, was aus
dem Menschen heraus über die Natur, über
die Welt überhaupt sprechen will. Der
Mensch verlor den Glauben daran, daß er
durchdringen könne sein Wissen mit
religiöser Glut, mit religiöser Wärme.
Heute ist man stolz darauf, daß man die
Wissenschaft freihalten kann von alldem,
was man nur der Religion zuerteilen
will. In diese Zeit hinein, wo die
Wissenschaft immer mehr und mehr
religionsfrei, geistfrei werden wollte,
in diese Zeit hinein fällt die
Entwickelung des proletarischen
Bewußtseins, fällt die Ergreifung des
Menschheitsbewußtseins durch das
Proletariat.
Dieses
Proletariat drängte hin zum modernen
Denken, zur modernen Intelligenz, zum
Erfassen desjenigen, was erfaßt werden
kann mit den menschlichen
Geisteskräften. Es fand aber eine
Wissenschaft, die nicht mehr in sich die
Stoßkraft hatte, den ganzen Menschen zu
ergreifen und zu erfüllen. Und das hat
der Seele des modernen Proletariers die
besondere Gestalt gegeben. Das geistige
Bewußtsein der Menschheit, das geistige
Bewußtsein der führenden Klassen, die es
in früheren Zeiten waren, hatte seine
Stoßkraft verloren, hatte der Menschheit
eine mehr oder weniger für die
menschlichen Angelegenheiten abstrakte
Wissenschaft geliefert. So sahen sich
die Seelen des Proletariats der neueren
Zeit einer Wissenschaft
gegenübergestellt, die nicht das
Vertrauen erweckte, daß durch sie etwas
gegeben werden kann, was als wahrste
innerste Geistwirklichkeit in der
äußeren sinnlichen und wirtschaftlichen
Tätigkeit lebt. Eine solche Wissenschaft
hatte der Proletarier vor sich, einer
solchen Wissenschaft sah er sich
gegenübergestellt. In sie lebte er sich
ein. Und so trat in seiner Seele etwas
aus rein geistigen
Entwickelungsuntergründen auf, was heute
wie als eine Selbstverständlichkeit, wie
als eine absolute Wahrheit genommen
wird, was aber nur in seiner wahren
Wesenheit erkannt wird, wenn man einen
Blick hat für das, was in den Seelen der
Menschen vor sich geht. Was den tieferen
Beobachter am meisten berührt, das ist
die Art und Weise, wie der moderne
Proletarier über die eigentlichen
geistigen Angelegenheiten, über Sitte,
Sittlichkeit, Kunst, Religion, selbst
über Wissenschaft innerhalb der
Menschheitsentwickelung redet, daß er
alle diese Dinge mit dem Ausdruck
Ideologie umfaßt. Das berührt einen
am allertiefsten. Insbesondere berührt
es einen tief, wenn man vernimmt, dieser
moderne Proletarier glaube sich klar
sein zu können, daß alles das, was der
Mensch denkt, was er künstlerisch
ausbildet, was er religiös empfindet,
eigentlich nur wie ein aus der
menschlichen Seele heraus gebildetes Scheinbild,
eine Ideologie ist. Die wahre
Wirklichkeit aber sind die
wirtschaftlichen Kämpfe, sind die
ökonomischen Vorgänge; die stellen eine
Wirklichkeit dar. Das, was sie wie einen
Abglanz hineinwerfen in die menschliche
Seele, das ist geistige Entwickelung der
Menschheit, das ist Ideologie. Das wirft
höchstens wiederum einige Impulse zurück
in die rein materielle Wirklichkeit des
ökonomischen Geschehens. Aber es ist auch, wenn es
wieder zurückwirkt in das ökonomische
Geschehen, doch ursprünglich aus diesem
ökonomischen Geschehen herausgewachsen.
Diese
Stellung zum geistigen Leben, die lebt
in der modernen proletarischen Frage als
etwas viel Wesentlicheres, als man
denkt. Und warum, warum ist Kunst,
Sitte, Sittlichkeit, Religion, sonstiges
geistiges Leben dem modernen Proletarier
zur Ideologie geworden? Weil er
empfangen hat von denjenigen, die früher
die führenden Kreise waren, eine
Wissenschaft, die nicht mehr einen
lebendigen Zusammenhang unterhalten will
zu der wirklichen Geistwelt, eine
Wissenschaft, die nicht mehr aufweist
irgendeinen Impuls, der zu wirklicher Geistigkeit
führt. Eine solche Wissenschaft kann
höchstens zu abstrakten Begriffen als
Naturgesetze führen. Sie kann auch zu
nichts anderem führen, als zu einer
Anschauung des Geistigen als Ideologie.
Sie zeitigt Methoden, die eben nur
geeignet sind auf der einen Seite für
die rein objektive, außermenschliche
Natur, und innerhalb des Menschenlebens
nur für das wirtschaftliche Geschehen.
Als der moderne Proletarier diese
Wissenschaftsrichtung übernehmen mußte,
da wurde sein Blick wie durch eine
mächtige suggestive Kraft hingelenkt auf
das, worauf man durch solche
Wissenschaft nur hingelenkt werden kann,
auf das Wirtschaftsleben. Und er fing an
zu glauben, daß dieses Wirtschaftsleben
die einzige Wirklichkeit sei, während
die Wahrheit die ist, daß das, was ihm
die bürgerlichen Klassen als
Wissenschaft übergeben haben, eben
einzig und allein sich richten kann auf
das wirtschaftliche Leben.
Das
aber war ein ungeheuer
Ausschlaggebendes, denn das gab der
modernen proletarischen Bewegung ihren
eigentlichen charakteristischen Impuls.
Man kann sehen, wie altes Instinktives
in dieser proletarischen Bewegung noch
vorhanden war, selbst bis in die letzten
Jahrzehnte des 19. Jahrhunderts hinein.
Man findet da in einzelnen
proletarischen Programmen noch solche
Punkte, wo gesprochen wird von einem
Bewußtsein der Menschenwürde, von der
Inanspruchnahme von Rechten, die zu
solcher wahren Menschenwürde führen.
Seit den neunziger Jahren aber sehen wir
unter dem Einfluß derjenigen Impulse,
von denen ich eben gesprochen habe, wie
des Proletariers und seines gelehrten
Verfechters Blick wie durch eine
mächtige suggestive Kraft bloß
hingelenkt worden ist auf das
Wirtschaftsleben. Und nun glaubt er
nicht mehr, daß anderswo in einem
Geistigen oder Seelischen ein Anstoß
liegen könne zu dem, was notwendig
eintreten müßte auf dem Gebiete der
sozialen Bewegung. Er glaubt allein, daß
durch die Entwickelung des ungeistigen,
unseelischen Wirtschaftslebens der
Zustand herbeigeführt werden kann, den
er als den menschenwürdigen empfindet.
So wurde sein Blick darauf gerichtet,
das Wirtschaftsleben selber so
umzugestalten, daß ihm genommen werde
all der Schaden, der von der privaten
Unternehmung, von dem Egoismus des
einzelnen Arbeitgebers herrührt und der Unmöglichkeit des
einzelnen Arbeitgebers, gerecht zu
werden den Ansprüchen auf Menschenwürde von
seiten der Arbeitnehmer. Und so fing der
Proletarier an, das einzige Heil zu
sehen in der Überführung alles
Privatbesitzes an Produktionsmitteln in
gemeinschaftlichen Betrieb oder gar
gemeinschaftliches Eigentum. Dabei liegt
zugrunde das, was sich allein ergeben
konnte, wenn man gewissermaßen den Blick
abgelenkt hatte von allem Seelischen und
Geistigen, wenn das Geistige rein zur
Ideologie geworden war, wenn man eine
Methode hatte und auf diese als eine
rein wissenschaftliche fußte, die doch
nur hingerichtet sein konnte auf den
rein ökonomischen Prozeß.
Nun
stellte sich aber eine sehr merkwürdige
Tatsache heraus, die eben zeigt, wieviel
Widerspruchsvolles in dieser modernen
proletarischen Bewegung liegt. Der
moderne Proletarier glaubt, daß die
Wirtschaft, das Wirtschaftsleben selbst
sich so entwickeln müsse, daß ihm
zuletzt sein volles Menschenrecht werde.
Um dies volle Menschenrecht, so wie er
es anschaut, kämpft er. Allein innerhalb
seines Strebens tritt etwas auf, was
eben niemals aus dem wirtschaftlichen
Leben allein als eine Folge auftreten
kann. Das ist eine bedeutende, eine
eindringliche Sprache redende Tatsache,
daß geradezu im Mittelpunkte der
verschiedenen Gestaltungen der sozialen
Frage aus den Lebensnotwendigkeiten der
gegenwärtigen Menschheit heraus etwas
liegt, von dem man glaubt, daß es aus
dem Wirtschaftsleben selbst hervorgehe,
dieses aber niemals aus dem
Wirtschaftsleben allein hervorgehen
konnte, was vielmehr in der geraden
Fortentwickelungslinie liegt, die über
das alte Sklavenwesen durch das
Leibeigenwesen der Feudalzeit zu dem
modernen Arbeitsproletariat heraufführt.
Wie auch immer die Warenzirkulation, die
Geldzirkulation, das Kapitalwesen, der
Besitz, das Wesen von Grund und Boden
und so weiter sich gestaltet haben,
innerhalb dieses modernen Lebens hat
sich etwas herausgebildet, was nicht
deutlich ausgesprochen wird, auch von
dem modernen Proletarier nicht ganz
deutlich ausgesprochen wird, was aber
nur allzu deutlich empfunden wird als
der eigentliche Grundimpuls seines
sozialen Wollens. Das ist dieses : die
moderne kapitalistische
Wirtschaftsordnung kennt im Grunde
genommen nur Ware innerhalb ihres
Zirkulationsgebietes. Sie kennt
Wertbildung dieser Waren innerhalb des
wirtschaftlichen Organismus. Und es ist
innerhalb des kapitalistischen
Organismus der neueren Zeit etwas zu
einer Ware geworden, von dem heute der
Proletarier empfindet : es darf nicht
Ware sein. Aber er kann sich
wissenschaftlich, da sein Blick nur auf
das ökonomische Leben gerichtet ist,
doch nichts anderes sagen, als : es ist
Ware. Das ist nämlich seine eigene
Arbeitskraft.
Wenn
man einmal einsehen wird, daß hier einer
der Grundimpulse der ganzen modernen
sozialen Bewegung liegt, daß in den
Instinkten, in den unterbewußten
Empfindungen des modernen Proletariers
ein Abscheu davor lebt, daß er seine
Arbeitskraft dem Arbeitsunternehmer
ebenso verkaufen muß, wie man auf dem
Markte Waren verkauft, daß er einen
Abscheu empfindet, daß auf dem
Arbeitskräftemarkt nach Angebot und
Nachfrage seine Arbeitskraft ihre Rolle
spielt, wie die Ware auf dem Markte
unter Angebot und Nachfrage, wenn man
darauf kommen wird, daß dieser Abscheu
vor der Ware Arbeitskraft der
eigentliche Grundimpuls der modernen
sozialen Bewegung ist, wenn man ganz
unbefangen darauf blicken wird, daß dies
eindringlich und radikal auch von den
sozialistischen Theorien nicht
hinlänglich ausgesprochen wird, dann
wird man den Punkt gefunden haben, von
dem ausgegangen werden kann in dem, was
sich heute so drängend, ja brennend
erweist mit Bezug auf die soziale
Bewegung.
Im
Altertum gab es Sklaven. Der ganze
Mensch wurde wie eine Ware verkauft.
Etwas weniger vom Menschen wurde
verkauft, aber noch immer nahezu der
ganze Mensch, in der Leibeigenschaft.
Das Kapital ist die Macht geworden, die
noch etwas vom Menschen als eine Ware in
Anspruch nimmt, nämlich seine
Arbeitskraft. Die Methoden müssen
gesucht werden, durch die getrennt
werden kann von der übrigen
Warenzirkulation die Ware Arbeitskraft.
Man wird erst durchschauen, was hinter
dieser Tatsache steckt, wenn man nicht
suggestiv auf das Wirtschaftsleben
hinsieht, das nach ganz anderen Methoden
begriffen werden muß als der Mensch
selber, wenn man wissen wird, daß nicht
aus diesem Wirtschaftsleben heraus,
sondern aus einem ganz anderen Erleben
im sozialen Organismus herausfließen muß
die Art, wie die menschliche
Arbeitskraft dem Charakter der Ware
entzogen werden könne. Man wird einsehen
müssen — und geisteswissenschaftliche
Forschung wird dazu die Grundlage geben
—, daß der Glaube falsch ist, man könne
durch die Betrachtung des bloßen
Wirtschaftssystems, auf das allein die
naturwissenschaftliche Methode paßt, die
Wege herausfinden, wie die Arbeitskraft
des einzelnen Menschen in den sozialen
Organismus sich eingliedern könne. Erst wenn man verstehen
wird, daß der Glaube, Arbeitskraft
gehöre dem wirtschaftlichen System an,
dem anderen Glauben gleicht, dem man
sich hingibt, wollte man, was im
menschlichen Lungen- und Herzsystem, im
Zirkulationssystem vor sich geht, in
gleicher Art betrachten wie das, was im
Nervensystem des Kopfes vor sich geht,
ist man auf dem rechten Weg. Das Nerven- und
Sinnessystem, wie es im Kopfe
zentralisiert ist, ist im menschlichen
Organismus ein eigenes, für sich
bestehendes, selbständiges Glied. Was
als Lungen- und Herzsystem, als
Zirkulationssystem vorliegt, ist
wiederum ein für sich bestehendes,
selbständiges Glied. Ebenso das
Stoffwechselsystem. Das Genauere können
Sie in meinem Buch «Von Seelenrätseln»
nachlesen. Das ist das Charakteristische
im menschlichen Organismus, daß seine
Systeme gerade dadurch ihre rechte
Entfaltung und Wirksamkeit entfalten,
daß sie nicht zentralisiert sind,
sondern daß sie nebeneinander bestehen
und frei zusammenwirken. Kann man heute
nicht einmal in dieser umfassenden,
eindringlichen Weise den menschlichen
Organismus begreifen, so kann man mit
der Wissenschaft, die noch nicht
reformiert ist, die aber in
geisteswissenschaftlichem Sinne
reformiert werden muß, den sozialen
Organismus erst recht nicht verstehen.
Man glaubt heute, der menschliche
Organismus ist etwas Zentralisiertes,
während er eine Dreigliedrigkeit ist.
Und so
ist auch der soziale Organismus eine
Dreigliedrigkeit. Was heute unter einer
mächtigen Suggestion als einziger
sozialer Organismus angesehen wird, das
Wirtschaftssystem, das ist nur ein
Glied. Ein anderes Glied ist dasjenige,
aus dem heraus entspringen muß das
Verständnis für die Funktion der
menschlichen Arbeitskraft in der ganzen
Struktur des sozialen Organismus. Die
beiden Systeme müssen
nebeneinanderstehen. Und der Charakter
der Ware wird der Arbeitskraft nur im
falschen neuzeitlichen Denken verliehen.
Und
dieses engherzige neuzeitliche Denken,
das hat auf der anderen Seite das
dritte, das sich selbständig in den
ganzen sozialen Organismus hineinstellen
muß, das geistige Leben, zur bloßen
Ideologie gemacht. Die theoretische
Ansicht, daß das Geistige bloß Ideologie
ist, sie ist das Ungefährlichste. Das
Wichtigste ist, daß in einem Menschen,
der die Anschauung hat, das Geistige
wurzele nicht in einer allen Dingen
zugrunde liegenden geistigen
Wirklichkeit, sondern in einer bloßen
Ideologie, nicht die geistige wirkliche
Stoßkraft vorhanden sein kann. Ein
solcher Mensch hat kein Interesse daran,
dem geistigen Leben seine richtige
Rolle in der Welt zuzuerteilen.
Betrachtet
man gerade nach den
Lebensnotwendigkeiten der neueren Zeit
das, was sich auf dem Gebiete des
proletarischen Bewußtseins abgespielt
hat, so findet man, daß man nicht einen
Einblick gewinnen konnte in die drei
Glieder des sozialen Organismus. Der ist
einem verlorengegangen. Nach
Verstaatlichung strebt man, weil man
glaubt, daß ein einziger sozialer
Organismus alles übernehmen könne.
Geisteswissenschaftliches
Bewußtsein muß einen weiteren Horizont
eröffnen, als heute selbst in dieser
brennenden Zeit von berufenen Führern
oftmals gegeben wird mit Bezug auf die
soziale Frage. Es muß hingewiesen werden
darauf, daß nicht nur Neues gewollt
werden soll, sondern daß wir nötig
haben, neu zu denken, daß wir nötig
haben nicht nur eine wissenschaftliche
Betrachtung des sozialen Lebens, welche
die traditionelle Wissenschaft
übernimmt, sondern daß wir nötig haben
den Neuaufbau einer Wissenschaft, die
neue Gedanken, die erst
Wirklichkeitsgedanken sein werden vom
sozialen Organismus, in das Bewußtsein
der Menschheit hineinbringt.
Das
wird dazu führen müssen, daß die Gründe
für soviel Unglück in der neueren Zeit
einmal durch das Menschheitsbewußtsein
beseitigt werden. Auch derjenige, der
nicht theoretisch, sondern aus dem Leben
heraus wirkt, wie ich glaube, es auch in
dieser Stunde getan zu haben, auch der
wird heute abgefertigt und unschädlich
gemacht zumeist von denjenigen, die sich
die eigentlichen Praktiker denken, indem
sie sagen: Ach, von solchen
theoretischen Sachen kommt doch nichts
irgendwie Ersprießliches in die Welt.
Diese «Lebenspraktiker», die die wahren
Abstraktlinge sind, diese
Lebenspraktiker, deren Praxis in nichts
anderem besteht als in der Beschränkung
ihres Sinnes auf die engste Grenze,
diese Lebenspraktiker sind es, die
vielfach das Unglück und die Katastrophe
der neueren Zeit herbeigeführt haben.
Werden sie weiter wirtschaften können
auf allen Parteirichtungen, wird das
Unglück nicht zu Ende gehen, wird das
Unglück sich nur ins Unermeßliche
erweitern. Die wirklichen
Lebenspraktiker müssen ihre gebührende
Stellung in der öffentlichen Wirksamkeit
erhalten, diejenigen, die von den
Entwickelungsmöglichkeiten sprechen, die
im sozialen Organismus räumlich und in
der zeitlichen Entwickelung liegen, wie
zum Beispiel im einzelnen menschlichen
Organismus. Diese wahren
Lebenspraktiker, die aus der tiefer
liegenden Wirklichkeit heraus sprechen,
die sind es, auf welche in Wahrheit
heute gerechnet werden sollte. Sie sind
es, die nicht zu verzweifeln brauchen an
ihrem eigenen Wissen. Sie sehen
allerdings zu ihrem Leidwesen und zu
ihrem Bedauern, wie das, was die
Lebenspraktiker, auch die
sozialistischen Lebenspraktiker, auf der
anderen Seite einzig und allein tun zu
müssen glauben, wie das nirgends zu
etwas anderem als zum Raubbau des Lebens
führen kann. Derjenige, der aus dem
Geiste heraus als Lebenspraktiker wirken
will, will aus der Wirklichkeit für
lebensfähige Wirklichkeit streben.
In
welchem Sinne Lösungsversuche sich
ergeben können für die Fragen, die ich
versucht habe, heute aus den neueren
Lebensgewohnheiten heraus in einer
wahren Gestalt darzustellen, wie daraus
Lösungsversuche sich ergeben können auf
Grundlage einer
Wirklichkeitsuntersuchung des sozialen
Lebens und der gesellschaftlichen
Struktur der Menschheit, davon werde ich
mir dann erlauben, übermorgen hier zu
sprechen.
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