Dans la deuxième conférence j'ai déjà
esquissé comme un tel façonnement des
vies de l'esprit, droit et économie,
comme je cherchais à les décrire dans
les trois conférences passées, est
seulement accessible par cela que ce
qu'on a pensé jusqu'alors comme un
État unitaire sévèrement formé en lui
même, serait tri-articuler,
deviendrait organisme social
tri-articulé, cela signifie, que tout
ce qui se rapporte sur des rapports
juridiques -politiques, étatiques,
trouve son administration en un
parlement démocratique, que par contre
serait démembré de cette organisation
politique ou de droit tout ce qui se
rapporte à la vie de l'esprit d'un
côté et cette vie de l'esprit serait
administrée autonome dans sa
liberté ; que de l'autre côté se
démembrerait du politique la vie
économique, qui à nouveau à partir de
ses propres rapports, de ses propres
conditions trouverait son
administration, fondée sur
connaissance métier et compétence.
Maintenant sera toujours de nouveau
soulevé l'objection qu'une telle
articulation de l'organisme social
contredirait la nécessitée que de
former la vie en société en une unité,
car toutes les institutions
particulières, tout particulier que
l'humain peut accomplir à l'intérieur
de l'organisme social devrait
concourir à une telle unité. Et une
telle unité serait brisée, ainsi sera
dit, quand on essayerait de faire
éclater l'organisme social en trois
membres. - Une telle objection est
tout à fait compréhensible et
intelligible des habitudes de penser
du présent. Mais elle n'est, comme
nous voulons voir aujourd'hui,
absolument pas justifiée.
Elle est compréhensible parce qu'on a
donc seulement besoin de regarder sur
la vie économique elle-même :
comme dans cette vie économique tout
s'écoule ensemble en le plus
petit ; spirituel, juridique et
en fait économique. Vis-à-vis de cela
on peut déjà dire : comment
devrait là une quelque séparation, une
articulation venir à un salut ?
Prenons
seulement une fois le problème de la
valeur des marchandises, des biens
elle-même, ainsi nous trouverons que
la valeur des biens, des marchandises
porte pour soi déjà trois aspects,
mais trois aspects, qui en ce que le
bien sera produit dans l'organisme
social, circulera, et sera consommé,
se montre comme une unité, j'aimerais
dire, attaché à l'unité du bien, de la
manière suivante : qu'est-ce qui
conditionne la valeur d'un bien par
lequel l'humain peut satisfaire ses
besoins ? - Tout d'abord l'humain
subjectif doit avoir un quelque besoin
pour ce bien. Mais regardons par quoi
un tel besoin se détermine. Cela
dépend premièrement de la constitution
corporelle de l'humain. La
constitution corporelle conditionne en
effet la valeur des plus différents
biens matériels. Mais aussi les biens
matériels seront jugés différemment,
selon que l'humain aura passé par
telle ou telle éducation et a telle ou
telle exigence.
Et d'abord quand il s'agit de biens
spirituels, qui donc souvent ne
pourront pas du tout être séparés de
la sphère des biens physiques
charnels, là nous verrons que
l'entière constitution de l'humain
conditionne absolument l'art et la
manière comme l'un valorise quelque
bien, ce qu'il aimerait fournir comme
travail pour un quelque bien, ce qu'il
aimerait appliquer en prestations
propres pour un tel bien. Là nous
voyons que l'élément spirituel qui vit
dans l'humain est déterminant pour la
valeur d'un bien, pour la valeur d'une
marchandise.
De l'autre
côté nous voyons que donc les
marchandises, en ce qu'elles seront
échangées entre humain et humain, sont
attachées à des rapports de
possession, cela ne signifie pas autre
chose qu'à des rapports de droit. En
ce qu'un quelque humain veut acquérir
un bien d'un autre il butte sur des
droits, que l'autre a à ce bien d'une
quelque manière. Ainsi que la vie de
l'économie, la circulation de
l'économie est absolument traversée de
purs rapports de droit.
Et comme
troisième : un bien a aussi une
valeur objective, pas seulement cette
valeur que nous lui attribuons par
notre besoin et la valorisation
subjective de ce besoin, qui alors se
transfère sur le bien, mais un bien a
sa valeur objective, en ce qu'il est
conservable ou inconservable, durable
ou non durable, en ce qu'il est plus
ou moins utilisable selon sa nature,
en ce qu'il est plus ou moins fréquent
ou plus ou moins rare. Tout cela
conditionne une valeur objective, une
valeur économique particulière, à la
détermination de laquelle est
nécessaire une connaissance objective
de la chose et à la fabrication de
laquelle est nécessaire une objective
compétence.
Mais ces
trois déterminations de valeur sont
unifiées dans le bien en une unité. Et
de cela on peut dire avec droit :
comment devrait donc, ce qui s'unifie
dans le bien, être séparé en trois
domaines d'administration, qui se
rapportent à ce bien, qui ont une
quelque chose à faire avec ce bien
dans sa circulation ?
Maintenant,
tout d'abord il s'agit purement
d'après l'idée, de considérer que
toutefois dans la vie peuvent
s'unifier des choses qui seront
administrées des plus différents
côtés. Pourquoi ne devrait pas d'un
côté ce que l'humain subjectif apporte
en vis-à-vis d'estime des biens à
partir de lui, être déterminé à partir
de son éducation qui a sa propre
administration ? Pourquoi ne
devrait pas être formé à partir de
tout autre côté ce que sont des
rapports de droit dedans la vie
économique et pourquoi ne devrait pas
s'ajouter à tout cela et s'unifier
dans l'objet en une unité ce qui de la
connaissance des choses et compétence
en la matière revient de valeur
objective au bien ? Mais cela est
pour le moment idéel et n'a pas
particulièrement beaucoup de valeur.
Cela devra être bien plus profondément
fondé, ce que veut en fait la
tri-articulation de l'organisme social
dans cette direction.
Et là doit
pour l'instant être dit : cette
tri-articulation de l'organisme social
n'est pas une quelque idée qui sera
saisie aujourd'hui par un ou une paire
d'humains à partir de motivations
subjectives, mais cette impulsion de
la triarticulation de l'organisme
social se montre d'un regard objectif
sur l'évolution de l'humanité dans les
temps récents. Ainsi qu'on peut
dire : en fait déjà depuis des
siècles l'humanité tend inconsciemment
dans les motivations les plus
importantes vers cette
tri-articulation. Elle n'a seulement
jamais trouvé la force de faire
vraiment cette tri-articulation et du
manque à ce développement de force
sont nos situations actuelles, est
apparu le malheur de notre
environnement. Mais aujourd'hui les
choses sont mûres aussi loin qu'on
doit dire : on devra s'attaquer à
cela, ce qui s'est préparé depuis des
siècles pour la formation de
l'organisme social
Tout d'abord, on doit dire : la
vie de l'esprit vraiment libre s'est
en fait déjà depuis longtemps démembré
de la vie de l’État et de la vie de
l'économie. Car la vie de l'esprit qui
est dépendante de la vie économique et
de la vie de droit et d’État, cette
vie de l'esprit n'est absolument pas
une libre. Elle est un bout de vie de
l'esprit, qui a été arrachée détachée
de l'en fait fructueuse vie de
l'esprit libre. Nous pouvons beaucoup
plus dire qu'au début du temps, dans
lequel le capitalisme, dans lequel
l'ordre économique technique moderne
avec sa géniale division du travail
est montée, que dans ce temps la
véritable vie de l'esprit libre –
cette vie de l'esprit, qui se crée
elle-même seulement des motivations de
l'humain, ainsi que je l'ai hier
revendiqué pour la vie de l'esprit
d'ensemble -, que cette vie de
l'esprit libre, mais justement, en
certains domaines de l'art, de la
conception du monde, de la conviction
religieuse s'est détachée de la vie
économique et de la vie d’État et dans
une certaine mesure sera cultivée
entre les lignes de la vie pendant
qu'est arrachée à nouveau de cette
libre vie de l'esprit créant à partir
de la motivation humaine elle-même ce
dont la vie économique a besoin pour
son administration, ce que l’État a
besoin pour son administration.
Ce dont la vie de l'économie a besoin
pour son administration est devenu
dépendant des puissances économiques
elles-mêmes. Aux endroits, dans les
cercles dans lesquels est le pouvoir
économique, la possibilité est
disponible, de former aussi au
préalable les descendances selon la
science économique ainsi qu'à nouveau
elles soient appropriées à atteindre à
nouveau le pouvoir économique. Mais ce
qui là comme science économique
provient de l'économie elle-même, est
seulement une partie de ce qui
pourrait couler dans la vie de
l'économie, si la vie de l'esprit
d'ensemble était rendue féconde pour
la vie de l'économie. C'est seulement
cela qui reste encore de l'économie de
hasard pour la réflexion et ce qui
alors est fait science de l'économie.
Et à
nouveau la vie de l’État : l’État
a besoin de ses fonctionnaires, donc
même ses érudits ainsi qu'ils
correspondent à ses modèles, qu'il a
une fois formés pour ses fonctions. Il
souhaite, réclame que dans les humains
serait formé ce qui s'adresse à
l'environnement de ce qu'il a
déterminé pour sa fonction. Mais cela
est une vie de l'esprit non libre même
quand cela croit être libre. Cela ne
remarque pas sa dépendance, cela ne
remarque pas comme ce sera placer dans
les frontières du modèle de position.
Mais la
véritable vie de l'esprit libre s'est,
indépendamment de la vie de
l'économie, de la vie de l’État,
malgré tout acquis une certaine
position dans le monde. Mais
laquelle ! Je l'ai pour part déjà
caractérisée. Cette vie de l'esprit
qui s'est conservé sa liberté est
devenue étrangère à la vie. Elle a
dans un certain sens accueilli un
caractère abstrait. On n'a besoin
aujourd'hui que de voir ce qui est
disponible de la libre vie de l'esprit
dans l'esthétique, dans le religieux,
même dans les conceptions du monde
orientées scientifiquement, ainsi on
verra : il sera donc dit de
toutes sortes, mais ce qui sera dit
est plus ou moins seulement
prédication pour l'humanité. C'est
là,pour saisir la raison et l'âme (NDT
Gemüt). C'est là, pour jouer un rôle à
l'intérieur de l'humain, pour remplir
l'âme dans l'intérieur de délectation
et sensation de bien-être, mais cela
n'a pas la force, pas la force de
propulsion, de vraiment intervenir
dans la vie extérieure. De cela est
aussi venue l'incroyance à cette vie
de l'esprit, cette incroyance qui là
part de côté socialiste, qui là
dit : jamais une quelque idée
sociale, et si elle est encore si bien
pensée, quand elle est purement née à
partir de l'esprit, transformera la
vie sociale. Pour cela il y a besoin
de forces réelles. – Et aux forces
réelles cette vie de l'esprit
sécessionniste n'est pas du tout
comptée. Comme cela est éloigné – j'ai
déjà aussi exprimé cela – ce
qu'aujourd'hui le commercial, le
fonctionnaire d'État, l'actif
industriel a comme sa vie de
conviction intérieure, religieuse,
même sa scientifique des lois qu'il
applique dans la vie économique, dans
sa position extérieure, dans
l'administration d'affaires
publiques !
Continuellement une reconnaissance
double de la vie ! D'un côté
certains principes de base, mais qui
sont entièrement issus de la vie de
l'économie et de l'État, de l'autre
côté un reste de liberté, de vie de
l'esprit, mais qui est jugé comme
nostalgie vis-à-vis des affaires
extérieures de la vie.
Cela devra être dit d'un côté qu'une
vie de l'esprit libre s'est déjà
démembrée depuis des siècles, mais
parce ce qu'on ne voulait pas le
reconnaître dans la formation de la
vie publique, cette libre vie de
l'esprit est devenue abstraite,
étrangère à la vie. Mais cette vie de
l'esprit revendique aujourd'hui le
retour de son pouvoir, de sa force,
parce qu'on a besoin de l'influence de
l'esprit sur la vie sociale
extérieure. C'est la situation, qui
nous sera donnée aujourd'hui.
La vie du
droit a pris un autre chemin. Pendant
que la vie de l'esprit s'est dans une
certaine mesure, aussi loin que c'est
une libre, émancipée, la vie du droit
s'est complètement laissé fusionner
avec les rapports de pouvoir
économiques. On ne l'a pas du tout
remarqué, mais les deux sont
pleinement devenus un. Ce qu'étaient
intérêts économiques et besoins, cela
a été exprimé en droits publics. Ces
droits publics on les tient pour des
droits de l'humanité. Examinés
exactement ils sont seulement des
intérêts et besoins étatiques et
économiques transposés dans un
caractère de droit. Pendant que d'un
côté la vie de l'esprit revendique sa
force, nous voyons de l'autre côté
comme maintenant un désarroi est entré
en rapport à la relation des
conditions de droit et d'économie. De
par le monde civilisé, de larges
cercles de notre population actuelle
revendiquent en cela qu'ils appellent
la question sociale, des soudures
supplémentaires entre la vie de droit
et la vie de l'économie. Nous voyons,
comme sous des concepts politiques, de
droit, devrait être formé l'ensemble
de la vie de l'économie. Et si nous
considérons les slogans appréciés chez
beaucoup aujourd'hui, que sont-ils
alors d'autre que la dernière
conséquence de la fusion de la vie de
droit avec la vie de l'économie ?
Nous voyons aujourd'hui le parti
radical socialiste tirant de larges
cercles revendiquer – comme je l'ai
déjà exprimé hier - que serait basculé
sur la vie de l'économie un système
politique central, construit
hiérarchisé par dessus, administré
articulé. La vie de l'économie devrait
être entièrement saisie dans de purs
rapports de droit. Nous voyons tout
simplement comme le pouvoir des
rapports de droit devrait être
entièrement et complètement déployé
sur les rapports de l'économie.
Cela est l'autre, qui rentre comme la
crise dans notre temps, ce qu'on peut
exprimer par cela qu'on dit : en
ce que de manière radicale ces
rapports politiques et de droit seront
revendiqués pour la vie de l'économie,
devrait déferlé dans une certaine
mesure la tyrannie de l’État, du
système juridique sur le système
économique. Nous voyons que pour la
vie de l'économie et sa guérison ne
sera pas revendiquée une formation de
la vie économique, qui est formée à
partir de rapports économiques
eux-mêmes, mais qu'est revendiquée une
domination du pouvoir politique à
partir du point de vue d'amener à soi
et dominer la vie de l'économie par ce
pouvoir politique. Dictature du
prolétariat, qu'est-ce d'autre que la
dernière conséquence de la fusion
ensemble de vie de droit ou d’État et
vie de l'économie ?
Ainsi sera ici prouvé, bien sûr d'une
manière négative, comme est
nécessaire aujourd'hui d'aller à
l'ouvrage testant fondamentalement sur
le rapport de vie de droit ou d’État
et la vie de l'économie. Ainsi, on
voit d'un côté que dans une partie de
sa force, la libre vie de l'esprit
s'est émancipé et revendique sa force
originelle ; ainsi, on voit de
l'autre côté que la vie de droit amène
tout l'organisme social en désordre si
elle devait plus longtemps être
toujours étroitement et plus
étroitement liée à la vie de
l'économie.
Cela a duré
assez longtemps que l'organisme social
unitaire a été pensé sous la
suggestion de l’État unitaire.
Aujourd'hui le temps est venu où le
fruit de cette pensée vient vers nous
en un chaos social qui est répandu sur
une grande partie du monde civilisé.
Les conditions économiques exigent au
sens strict de devenir séparées de la
vie du droit parce que s'est montré
quelle bêtise cette vie du droit
elle-même devait présenter de proche
en proche pour la vie économique,
quand la dernière conséquence était
tirée de ce qui s'est formé à partir
de cela dans le cours des derniers
siècles.
L'impulsion de l'organisme social
triarticulé compte avec ces faits. Et
je voudrais vous montrer à un exemple
parlant comme par ce fait tout de
suite a été arraché l'un de l'autre ce
qui dans la vie devait œuvrer comme
une unité. On dit aujourd'hui, la
tri-articulation de l'organisme social
voudrait déchirer l'unité de la vie
sociale. On dira dans le futur :
cette tri-articulation a fondé pour la
première fois cette unité dans le sens
correct. Que l'aspiration abstraite
après l'unité a tout de suite détruit
cette unité, cela on peut justement le
voir à un exemple parlant. Aujourd'hui
certaines personnes sont
extraordinairement fières de faire la
différence théorique entre droit et
morale. La morale est l'estimation de
l'acte d'un humain purement d'après
des points de vue intérieurs de l'âme.
Le jugement d'un acte, s'il est bon ou
mauvais, sera seulement guidé par de
tels points de vue intérieurs de
l'âme.
Et on différencie très soigneusement,
tout de suite dans des questions de
conception du monde, de ce jugement
moral le jugement juridique qui
concerne la vie publique extérieure,
qui doit être déterminée par les
dispositions, par les mesures de la
vie étatique ou autres vies sociales
publiques.
De cette séparation de morale et droit
on ne savait tout le temps rien
jusqu'à un moment où montèrent le
récent développement
technicoéconomique et le récent
capitalisme. Dans les derniers siècles
ont été arrachées l'une de l'autre en
premier les impulsions de droit et de
morale. Et pourquoi ? Parce que
le jugement moral a été déchargé dans
cette libre vie de l'esprit, qui s'est
émancipée, mais qui vis-à-vis de la
vie extérieure est devenue sans
pouvoir de vraiment intervenir dans la
vie, qui dans une certaine mesure
n'est seulement là que pour
prédication et jugement.
Mais ces maximes-là qui peuvent
intervenir dans la vie, elles ont
besoin de motivations économiques
parce qu'elles ne peuvent plus trouver
de pures motivations humaines qui sont
débarrassées sur la morale, et elles
seront alors transposées dans le
droit. Ainsi est au milieu arraché
l'un de l'autre ce qui agit dans la
vie : détermination du droit et
son transchauffage avec morale humaine
– déchiré l'une de l'autre au milieu
en une dualité ce qui tout de suite
devrait être une unité.
C'est
pourquoi qui étudie mieux l'évolution
des États modernes, celui-là trouvera
que tout de suite la suggestion de
l’État unitaire a amené une séparation
des forces, qui en fait devrait
collaborer en une unité. Tout de suite
contre cette séparation l'impulsion de
la triarticulation de l'organisme
social veut œuvrer. Déjà quand on
regarde correctement le véritable
principe de cette impulsion, on verra
que ne peut pas du tout être parlée en
cela d'une fission de la vie.
À la vie de l'esprit, qui devrait
avoir son administration propre –
chaque humain ne se tient pas en
un rapport à cette vie de
l'esprit, quand, comme je l'ai
décrite, elle se développe pleinement
libre ? Il sera éduqué dans cette vie
de l'esprit libre, il laisse à nouveau
éduquer ses enfants, il a ses intérêts
spirituels immédiats pour cette vie de
l'esprit, il est lié avec cette vie de
l'esprit. Et les mêmes humains qui
sont liés avec cette vie de l'esprit
de cette manière, qui tirent leurs
forces de cette vie de l'esprit, se
tiennent dans la vie de droit ou
d’État et déterminent en celle-ci ce
qui œuvre entre eux comme ordre de
droit. Ils déterminent à partir à
partir de l'esprit, car ils
accueillent de cette vie de l'esprit,
cet ordre du droit. Cet ordre du droit
est immédiatement provoqué par ce qui
sera acquis par le rapport à la vie de
l'esprit. Et à nouveau, ce qui sera
développé d'humain à humain
démocratiquement sur le sol de l'ordre
de droit, ce qu'ainsi l'humain
accueille comme l'impulsion de sa
relation à d'autres humains, cela il
porte parce que donc à nouveau ce sont
les mêmes humains qui ont des
relations à la vie de l'esprit, se
tiennent dans la vie de droit et
gèrent, dedans dans la vie de
l'économie.
Les institutions qu'il rencontre,
l'art et la manière comme il s'associe
avec d'autres humains, l'art et la
manière comme absolument il gère, tout
cela est parcouru par ce qu'il
développe dans la vie de l'esprit, ce
qu'il règle comme ordre du droit dans
la vie de l'économie, car ce sont les
mêmes humains qui se tiennent dedans
l'organisme social triarticulé, et pas
par un quelque ordre abstrait, mais
par l'humain vivant lui-même sera
obtenue l'unité. Seulement que chacun
des membres se forme sa propre nature
et essence par son autonomie et ainsi
tout de suite de la manière la plus
pleine de force peut œuvrer à l'unité.
Chacun des membres peut œuvrer ainsi
pendant que nous pouvons justement
voir comme par la suggestion de l’État
unitaire tout de suite ce qui fait
partie de la vie, fait partie même si
intérieurement comme droit et morale
se disloquent.
Donc l'impulsion pour la
triarticulation de l'organisme social,
se fait valoir, pas pour séparer ce
qui va ensemble, mais pour vraiment
amené à collaborer du collaborant ou
ce qui est déterminé à la
collaboration.
La vie de l'esprit que j'ai décrite
hier, celle-là peut seulement se
développer sur son propre sol libre.
Mais quand elle se développe sur son
propre sol libre, alors elle ne sera
pas, quand on lui concède qu'elle
aurait même droit à côté des deux
membres restants de l'organisme
social, une structure étrangère à la
vie comme cette vie de l'esprit là qui
s'est développée justement étrangère à
la vie et abstraite depuis des
siècles, mais elle développera la
force de propulsion d'intervenir
immédiatement dans la véritable,
réelle vie extérieure du droit et de
l'économie. Cela pourrait sembler
comme une contradiction paradoxale
quand d'un côté sera prétendu que la
vie de l'esprit devrait devenir
pleinement autonome, devrait se
développer à partir de ses propres
bases ainsi que je l'ai décrit hier et
elle pourrait quand même intervenir
sur les autres côtés dans les domaines
pratiques de la vie. Mais tout de
suite alors quand l'esprit est laissé
à lui même, alors il développe les
impulsions qui peuvent englober toute
la vie. Car cet esprit laissé à lui
même, celui-là n'est pas assigné à
cela, d'écouter sur ce que l'humain
devrait former en soi au but d'un
quelque modèle d’État, il n'est pas
déterminé par cela que seulement
celui-là pourra être formé à qui
revient un certain pouvoir économique,
mais ce sera développer à partir des
conditions de l'individualité humaine,
à partir de l'observation des facultés
humaines, ce qui veut pénétrer au
grand jour en une quelque génération.
Mais ce qui veut pénétrer au grand
jour en une quelque génération, cela
ne sera pas, parce que l'esprit
déploie son intérêt par-dessus toute
la vie, englober seulement la nature
dans ses phénomènes et faits, mais
qu'avant toutes choses cela englobera
la vie humaine elle-même. Nous étions
condamnés à être non pratiques sur
domaine spirituel, parce que nous
étaient laissés pour la vie de
l'esprit libre ces domaines-là qui
n'avaient pas le droit d'intervenir
dans la réalité extérieure. À
l'instant où on le concède à l'esprit,
pas purement d'enregistrer ce que
parlements déterminent comme droit
d’État, mais où de lui même, comme
cela devrait être, il a à déterminer
le droit d’État, en cet instant il
fera le droit d’État à sa création et
il interviendra dans la boite de
vitesse, dans l'ordonnance de
l'économie à l'instant, où on formera
certains points de vue et maximes pour
cette vie de l'économie pas purement
d'après une laissée à elle-même
économie, qui roule plus loin après
ses faits, sans qu'elle soit dominée
par des pensées, mais quand ce sera
laisser à l'esprit, d'intervenir dans
cette vie de l'économie.
Alors, elle s’avérera aussi capable à
la pratique de vie à l'intérieur du
cycle économique. On a seulement
besoin de lui concéder la force
d'intervenir dans la vie pratique,
alors elle le fera. Mais cette façon
de voir la réalité est nécessaire
qu'on n'enferme pas hermétiquement
l'esprit dans l'abstraction, mais
qu'on lui donna l'influence dans la
vie. Alors, il fécondera tout de suite
à partir de lui la vie de l'économie à
tout moment, pendant que sinon cela
reste infécondé ou sera seulement
fécondé par des phénomènes de hasard.
Cela doit
être considéré quand on veut voir
clair, comment dans l'organisme social
triarticulé esprit, droit et état et
économie devraient œuvrer ensemble.
Sur ces choses, des personnalités très
sensées du présent sont aussi
absolument dans la non-clarté.
Ces personnes sensées voient souvent
comme sous la vie de l'économie, dont
l'esprit s'est de lui-même dans une
certaine mesure propulsé au-dehors, se
sont développés des contextes qui
aujourd'hui sont devenus socialement
intenables. Là nous avons par exemple
un penseur sur la vie de l'économie,
très considéré aujourd'hui, qui trouve
par exemple ce qui suit. Il dit :
quand aujourd'hui nous regardons la
vie de l'économie, ainsi nous voyons
avant toutes choses un système de
consommation, qui a un haut degré
conduit à des dommages sociaux. Les
humains, qui le peuvent, consomment
ceci ou cela qui en fait est seulement
du luxe. - Ce penseur rend attentif là
dessus, quel rôle ce qu'il nomme luxe,
joue aujourd'hui dans la vie de
l'humain, quel rôle cela joue aussi
dans la vie économique des humains.
Certainement, on peut cela
facilement ; on a seulement
besoin de rendre attentif à de tels
phénomènes comme, par exemple, quand,
disons, une dame s'achète aujourd'hui
un collier de perles. Cela maints
aujourd'hui le verront toujours encore
pour un très insignifiant luxe. Mais
il ne sera pas considéré pour cela ce
que ce collier de perles a comme
valeur à l'intérieur de la structure
économique actuelle. Pour ce collier
de perles, pour la valeur de ce
collier de perles on peut entretenir
six mois durant cinq familles de
travailleurs ! Cela pend autour
du cou de la dame concernée. Oui, on
peut reconnaître cela et on peut à
partir de l'esprit actuel chercher
après remède. Le penseur estimé, que
j'ai à l’œil ici, celui-là trouve à
partir de cela que ce serait
nécessaire, que l’État – évidemment,
par l’État chacun est suggéré ! -
introduise de hauts impôts sur le
luxe, et d'ailleurs de tels impôts sur
le luxe qu'il passe absolument aux
gens de se procurer un tel luxe. Il ne
laisse pas valoir l'objection que
beaucoup font que quand on impose le
luxe, alors le luxe diminue et l’État
n'aurait rien de ce luxe. Il
dit : non, cela est tout de suite
correct, que le luxe s'arrête, car
l'imposition doit avoir un but
éthique.
La moralité humaine devrait être
promue par l'imposition.
Voyez-vous, ainsi est la pensée. On a
si peu de foi à la force de du
psychisme humain, du spirituel humain
que ce qui devrait jaillir du
psychisme humain, du spirituel humain,
on veut l'établir sur le chemin de
l'imposition, cela signifie le
droit ! Pas de miracle que là
toutefois on ne vient pas à une
articulation unitaire de la vie.
Le même penseur rend attentif alors là
dessus comme acquisition de propriété
devient non droit par cela que dans
notre vie des monopoles sont
possibles, que toujours encore la vie
sociale se tient sous l'influence du
droit successoral et du genre. À
nouveau il fait la proposition, de
régler toutes ces choses par la
législation fiscale. Quand on
imposerait aussi fortement que
possible la propriété héritée, alors
ressortirait, comme il pense, une
justice en rapport à la propriété. On
pourrait justement ainsi par lois
d’État, cela signifie par maximes
juridiques, agir contre les monopoles
et plus du genre.L'étrange est que ce
penseur dit : oui, mais il ne
s'agit pas du tout de cela, que par
des lois d’État, des lois fiscales et
ainsi de suite tout cela, qui place
donc en vue, serait vraiment
déterminé, car il se montrerait donc
que la valeur de telles lois d’État en
serait absolument une contestable, que
de telles lois d’État ne font pas du
tout toujours ce qu'elles devraient
faire. Mais maintenant il dit :
il ne s'agit pas de cela, qu'en fait
ces lois lèvent la moralité, empêchent
les monopoles et ainsi de suite, mais
il s'agirait de la mentalité à partir
de laquelle ces lois seront données.
Maintenant nous sommes donc arrivés
dans le plus absolu tourner en rond.
Un penseur politique estimé du présent
dit à peu près, ce que je vous ai
caractérisé. Il veut susciter
mentalité, mentalité éthique par
législation ; mais il ne s'agit
pas de cela, que les résultats de
cette législation se manifesteraient,
mais que les humains aient la
mentalité à cette législation !
C'est le pur chinois qui veut se
suspendre à sa propre tresse. C'est un
étrange cercle vicieux, mais un cercle
vicieux qui œuvre fondamentalement
dans notre vie sociale actuelle. Car
sous l'influence d'une telle manière
de penser on fait aujourd'hui la vie
publique. Et on ne voit pas que toutes
ces choses conduisent en dernière fin
à cela de reconnaître que les
fondements devront être pour une
véritable nouvelle formation de la vie
sociale : la vie de l'esprit dans
son autonomie, la vie du droit dans
son autonomie, dans son détachement de
l'organisme économique et la libre
formation de l'organisation économique
comme une telle.
De telles choses se montrent à vous
particulièrement clairement
aujourd'hui, quand, comme maintenant
par exemple chez Robert Wilbrandt,
c'est le cas, qui écris dans son livre
sur socialisme, qui justement est
paru, quand on voit là, comme des gens
extraordinairement bien pensants, chez
des gens, qui ont absolument l'éthique
pour une nouvelle formation de la vie
sociale, se montre, j'aimerais dire,
un léger montrer sur l'absolue
nécessité par exemple d'une base
spirituelle de l'édification sociale,
mais comme partout manque la
révélation par laquelle cette base
spirituelle serait à remporter. Robert
Wilbrandt n'est pas un humain qui
simplement parle purement à partir de
la théorie. Premièrement, il parle
d'un cœur chaud et socialement
enthousiaste. Deuxièmement, il a
pratiquement voyagé dans le monde
entier, pour apprendre à connaître les
rapports sociaux, et il décrit
fidèlement dans son livre comme
durement la misère joue aussi encore
sur tout le monde civilisé. Il donne
des exemples parlants de la misère du
prolétariat dans le monde civilisé.
Mais il indique aussi de son point de
vue, comme dans les plus différents
domaines dans lesquels la question
sociale est aujourd'hui devenue
actuelle, les humains ont essayés de
travailler à une reconstruction, mais
comme ils ont soit échoués, ou comme
se montre clairement comme, par
exemple, dans l'actuelle Allemagne,
qu'ils doivent échouer, et Robert
Wilbrandt est pour lui entièrement
clair là dessus qu'échoueront tous les
essais qui seront faits à partir du
sens actuel.
Avec cela il conclut à peu près son
livre. Après que cela ait déjà été
évoqué en différents tons au cours des
textes du livre, le livre entier
résonne alors de cette étrange
manière. Là il dit : les essais
qui là seront faits doivent
échouer ; vous n'arriverez à
nouveau à aucune édification parce
qu'a l'organisme social manque
aujourd'hui l'âme et avant qu'il ne
reçoive l'âme, il ne fournira pas de
travail fructueux. – L'intéressant
est, que le livre se conclu avec cette
tonalité, qu'il ne parle pas de l'art
et la manière comment cette âme
devrait être trouvée.
L'impulsion
pour l'organisme social triarticulé
aimerait justement :pas parler
théoriquement, qu'âme est nécessaire,
et attendre, jusqu'à ce que l'âme se
manifeste d'elle-même, mais rendre
attentif sur comment cette âme se
développera. Elle se développera quand
on détachera de la vie de l’État et de
la vie de l'économie, la vie de
l'esprit. Et alors, cette vie de
l'esprit deviendra forte quand elle
peut seulement suivre les motivations,
que l'humain se donne lui-même pour
l'esprit, pour aussi pouvoir
intervenir dans la vie pratique
restante. Alors se formera cette vie
de l'esprit ainsi que j'essayais hier
de décrire cette vie de l'esprit.
Alors, cette vie de l'esprit
contiendra réalité en elle-même. Et
alors, on pourra dire de cette vie de
l'esprit qu'on est dans la situation
de lui imputer ce qui par exemple lui
sera imputé dans mes « Noyaux
germinatifs de la question sociale
dans les nécessités de vie du présent
et du futur ».
Certainement, on peut aujourd'hui
rendre attentif là dessus – et nous
l'avons fait dans la deuxième
conférence -, sur comment le capital
œuvre aujourd'hui dans le processus
social économique. Seul, quand on
parle purement de cela, que le capital
devrait être supprimé ou être
transféré dans la propriété publique,
ainsi on n'a pas de concept de cela,
comment en fait à l'intérieur de la
vie économique, particulièrement sous
les conditions de production
actuelles, œuvre le capital, comment
c'est nécessaire que les
amoncellements de capital aient lieu,
afin que les humains rendus capables
puissent tout de suite œuvrer au
service public par l'administration de
ces masses de capital.Pour cela au
fond dans mes « Points
fondamentaux de la question sociale »
l'administration du capital a été
faite dépendante de la vie de l'esprit
sous collaboration de l'autonome vie
du droit. Pendant qu'aujourd'hui nous
disons que le capital gère lui-même,
sera réclamé par l'impulsion pour la
triarticulation de l'organisme social
que certes il devrait toujours être
possible de former des amoncellements
de capital, que ce devrait être
possible que cet amoncellement de
capital puisse être administré par
celui qui a développé de la vie de
l'esprit les capacités nécessaires
pour quelque affaire, mais que ces
amoncellements de capital devraient
être administrés par celui qui les a
amoncelés seulement aussi longtemps
qu'il peut les administrer lui-même. A
l'instant, ou au moins bientôt après
cet instant – sur le particulier nous
n'avons pas besoin aujourd'hui d'aller
-, quand le concerné ne peut plus se
tenir lui-même avec ses facultés
derrière l'administration du capital,
il a pour cela à veiller, où s'il se
sent incapable de cela, il y a une
quelque corporation de la vie de
l'esprit qui doit être là pour laisser
veiller à que cette exploitation
puisse passer à nouveau à un plus
capable qui peut l'administrer pour le
service public.
Cela signifie : le transfert
d'une exploitation (NDT ou entreprise)
à une personnalité ou groupe de
personnes n'est pas attaché à l'achat
ou à de tels transferts de capitaux,
mais est attaché à ce qui se présente
à partir des capacités de l'humain
lui-même, des capacités aux capacités,
de ceux, qui peuvent travailler dans
le service de la communauté de la
meilleure manière à ceux qui à nouveau
peuvent travailler au service de la
communauté de la meilleure manière. De
ce transfert dépend la guérison
sociale du futur. Mais ce transfert ne
sera pas un économique, comme c'est
aujourd'hui, mais ce transfert
proviendra d'impulsions de l'humain,
qu'il reçoit de la vie de l'esprit
autonome et de la vie du droit
autonome.
Il y aura même des corporations
disponibles dans la vie de l'esprit,
liées avec tous les autres domaines de
la vie de l'esprit, auxquelles
incombera pour ainsi dire
l'administration du capital.
Ainsi
pourrais-je à la place du transfert
des moyens de production à la
communauté placer la circulation de
moyens de production dans l'organisme
social, le transfert des capables aux
capables, cela signifie la
circulation ; et cette
circulation dépend de l'autonomie de
la vie de l'esprit, à
laquelle elle est dans une
certaine mesure subordonnée, par
laquelle elle sera provoquée.
Ainsi qu'on peut dire : dans ce
qui en un sens le plus éminent se
tient dedans le cycle économique, agi,
ce qui comme force est disponible dans
la vie de l'esprit, est disponible
dans la vie du droit. On ne peut se
penser fermée l'unité dans la vie de
l’économie, comme elle sera obtenue
par de telles mesures. Mais le courant
qui s'articule dans la vie de
l'économie provient de la vie de
l'esprit autonome, de la vie de droit
autonome. L'humain ne sera plus livré
au hasard, qui là œuvre par pure offre
et demande ou par les autres facteurs
qui sinon aujourd'hui sont actifs dans
la vie de l'économie, mais dans cette
vie de l'économie agira dedans raison
et relation de droits entre humain et
humain. Donc coopéreront esprit, droit
et économie, quand aussi ils seront
administrés séparés les uns des
autres, parce que l'humain d'un
domaine dans l'autre – il appartient à
tous les trois – portera dedans ce qui
est à y introduire. Toutefois, les
humains devront se rendre libres de
maints préjugés quand ces choses
devraient venir au grand jour de
proche en proche.
Aujourd'hui on est encore absolument
clair là dessus que moyen de
production, que fond et sol sont des
choses de la vie de l'économie.
L'impulsion de la triarticulation de
l'organisme social réclame que dans la
vie de l'économie seront seulement
administré les valeurs mutuelles,
auxquelles les prix devraient être
rapprochés, ainsi que purement la
détermination de prix est ce qui
finalement sort en fait de
l'administration de l'économie.
Mais faire
de cette détermination de prix une
correcte est impossible quand dedans
la vie de l'économie agit le moyen de
production comme tel et fond et sol (NDT
foncier) comme tel. La
disposition sur fond et sol, qui
aujourd'hui se concentre dans le droit
de propriété de fond et sol, et la
disposition sur les moyens de
production terminés ne peuvent pas
être des affaires économiques, mais
ils devraient être affaire pour part
une spirituelle, pour part une de
droits. Cela signifie, le transfert de
fond et sol d'une personne ou groupe
de personnes à une autre ne devrait
pas avoir lieu par achat ou héritage,
mais par un transfert sur le sol de
droit respectivement à partir des
principes de la vie spirituelle.
Le moyen de production, donc cela par
quoi dans l'industrie ou du genre sera
produit, qui de préférence repose à la
base de la formation de capital, ne
peut coûter quelque chose seulement
aussi longtemps jusqu'à ce que ça soit
terminé. Cela est-il terminé, alors
l'administre celui-là, qui l'a amené à
être, parce qu'il le comprend le
mieux, aussi longtemps que lui-même
peut être avec ses capacités à cette
administration. Mais ce n'est pas plus
loin un bien, qui peut être vendu,
mais pourra être transféré que par
droit seulement – respectivement par
détermination spirituelle, qui sera
réalisée par droit, d'une personne ou
groupe de personne sur une autre
personne ou groupe de personne.
Ainsi, ce
qui aujourd'hui se tient à tord dans
la vie de l'économie, le droit de
disposition de propriété, le droit de
disposition foncier, le droit de
disposition de moyen de production,
sera placé sur le sol autonome du
droit sous participation du sol
autonome de l'esprit.
Ces idées peuvent encore faire l'effet
d'être étrangères aux humains actuels.
Mais c'est donc tout de suite le
triste, l'amer qu'elles font l'effet
d'être étrangères aux humains actuels.
Car d'abord par cela que ces choses
vraiment diffusent dans les esprits
humains, dans les âmes humaines et
aussi dans les cœurs humains, ainsi
que les humains se comportent
socialement dans la vie d'après elles,
premièrement par cela peut venir ce
que tant d'humains veulent amener
d'une tout autre manière, mais ne
pourront jamais amener. C'est cela
qu'on devrait enfin reconnaître :
que maint qu'on devrait enfin
reconnaître : que maint qui
aujourd'hui encore semble paradoxe,
semblera comme quelque chose d'évident
à une vie vraiment sociale.
L'impulsion pour la tri-articulation
de l'organisme social pose ses
revendications pas à partir des
passions, des motivations et émotions
desquelles aujourd'hui souvent seront
placées les revendications sociales.
Il les pose d'une étude de la
véritable évolution de l'humanité dans
les temps récents et jusque dedans le
présent. Il voit par exemple, comme au
cours de longs siècles une forme
sociale a dissout l'autre.
Retournons-nous en arrière dans le
dernier moyen-âge – cela s’est encore
étendu quelque peu dedans le dernier
moyen-âge ; notamment dans le monde
civilisé européen – ainsi, nous
trouvons la vie sociale dans une telle
structure que nous pouvons parler
d’une société de pouvoir. Cette
société de pouvoir était montée, pour
seulement amener un exemple, parce
que, ma foi, un quelque conquérant
s’est fait sédentaire n’importe où
avec une suite, a dans une certaine
mesure fait de sa suite sa classe
laborieuse. Alors par là que le guide
fût considéré en vertu de ses
particularités individuelles,
efficacité individuelle ou efficacité
individuelle supposée, le rapport
social fut amené entre son pouvoir et
le pouvoir de ceux qu'il commanda en
premier et qui alors furent ses
serviteurs, respectivement sa classe
laborieuse.
Là alla dans une certaine mesure
comme donnant la mesure pour
l’organisme social, ce qui jaillissait
dans un individu ou dans un groupe
aristocratique, cela continua à vivre
dans l’ensemble. La volonté, qui était
dans l’ensemble, fut dans une certaine
mesure dans cette société de pouvoir
seulement le décalque, la projection
de la volonté individuelle.
Sous l’influence des
temps récents, de la division du
travail, du capitalisme, de la culture
technique, à la place de cette société
de pouvoir pénétra la société de
l’échange, mais elle poursuit
absolument ses impulsions parmi les
humains et le vivre ensemble humain.
Ce que l’individu produisait, devint
marchandise qu’il échangea avec
l’autre. Car finalement l’économie de
l’argent n’est rien d’autre, aussi
loin qu’elle est circulation avec les
autres individus ou avec les autres
groupes. C’est une circulation
d’échanges. La société est devenue une
société d’échange. Pendant que dans la
société de pouvoir l’ensemble a à
faire avec la volonté de l’individu,
qu’elle absorbe, la société d’échange,
au milieu de laquelle nous sommes
encore et de laquelle une grande
partie de l’humanité aspire à sortir,
a à faire avec la volonté de
l’individu qui se tient contre la
volonté de l’individu, et de l'oeuvrer
ensemble de volonté individuelle à
volonté individuelle, la volonté
d’ensemble apparaît tout d’abord,
comme un résultat du hasard. Là
bourgeonne de ce qui advient de
l’individu à l’individu, ce qui se
forme comme communauté économique, ce
qui se forme comme richesses, ce qui
s'en forme en ploutocratie et ainsi de
suite. Mais dans tout cela agit dedans
ce qui a à faire avec l’affrontement
de la volonté individuelle sur la
volonté individuelle.
Ce n’est pas un miracle
que la vieille société de pouvoir ne
pouvait pas aspirer à une quelque
émancipation du spirituel. Car celui
qui fut le guide fut aussi reconnu en
vertu de son efficacité comme guide du
spirituel et comme guide de l’ordre du
droit. Mais c’est aussi
compréhensible, que le principe
politique, de droit, d’état, a
particulièrement pris la main dans la
société d’échange.
Avons-nous donc vu sur quoi en fait le
droit veut reposer, quand aussi ce
vouloir ne vient pas à correcte
expression dans l’ordre social actuel.
Le droit a en fait à faire avec ce que
l’humain individuel comme égal a à
définir vis-à-vis de l’autre, qui lui
est égal.
Dans la société d’échange l’individu a
à faire avec l’individu. Ainsi la
société des échanges a l’intérêt de
transformer sa vie économique où aussi
l’individu a à faire avec l’individu,
en une vie du droit, cela signifie, de
transformer en statuts de droit ce que
sont des intérêts économiques.
Tout comme la vieille
société de pouvoir est passée en une
société des échanges, ainsi la société
des échanges aspire aujourd’hui
d’impulsion les plus intérieures de
l’évolution humaine à une nouvelle
société, notamment sur sol économique.
Car la société des échanges est de
proche en proche, en ce qu’elle s’est
appropriée la vie de l’esprit, l’a
fait non libre, l’a fait étrangère à
la vie, devenue une pure société de
l’économie, et elle sera exigée comme
telle par certains socialistes
radicaux.
Mais de plus profondes impulsions de
l’humanité actuelle cette société des
échanges, notamment sur domaine
économique, veut se changer en ce que
je voudrai nommer – quand aussi le nom
boîte un peu, mais c’est justement une
chose nouvelle, et on n’a en règle
générale pas de descriptions
pertinentes, qui donc devront être
formées de la langue – la société
commune/collective (NDT
: Gemeingessellschaft).
La société des échanges doit passer
dans la société commune.
Comment sera formée la
société commune ? Tout comme dans la
société de pouvoir la volonté
individuelle ou volonté d’une
aristocratie, donc aussi une sorte de
volonté individuelle agit loin dans
l’ensemble, ainsi que les individus
dans leurs volitions n’interprètent
que des transpositions de la volonté
de l’individu, et comme la société des
échanges a à faire avec l’affrontement
de volonté individuelle sur volonté
individuelle, ainsi l’ordre économique
de la société commune aura à faire
avec une sorte de volonté d’ensemble,
qui maintenant agit en retour à
l’envers sur la volonté individuelle.
Car je l’ai expliqué, dans la deuxième
conférence comment des associations
des différentes branches de production
doivent apparaître sur le domaine de
la vie économique, associations des
différentes branches de production
avec les consommants, ainsi que
partout devraient se grouper les
faisants l’économie et aussi les
consommants économiquement.
Les associations passeront des
contrats les unes avec les autres. Il
se formera à l’intérieur de groupes,
qui sont plus grands ou plus petits,
une sorte de volonté d’ensemble. Vers
cette volonté d’ensemble aspirent donc
beaucoup de se languissants
socialistes. Seulement, ils se
représentent souvent la chose d’une
manière au plus non claire, de manière
absolument non sensée.
Tout de suite comme dans la société
de pouvoir, dans la société de
puissance la volonté unique a agi dans
l’ensemble, ainsi dans la société
commune du futur une volonté
conjointe, une volonté globale devra
agir dans l’individu.
Mais comment cela
sera-t-il possible ? Qu'est-ce qui
doit dans la volonté d'ensemble – elle
doit donc apparaître par l'agir
ensemble des volontés uniques, les
volontés uniques doivent engendrer
quelque chose, qui n’est pas tyrannie,
n’est pas tyrannie démocratique pour
l’individu, à l’intérieur de quoi
l'individu peut se sentir libre – donc
être fiché dans cette volonté
d'ensemble ? Dans cette volonté
d'ensemble doit être fiché ce que
l’âme individuelle et l’esprit humain
individuel peuvent accueillir, avec
quoi ils peuvent se déclarer d’accord,
ce dans quoi ils peuvent s’acclimater.
Cela signifie, ce qui vit dans
l’humain individuel, esprit et âme,
cela doit vivre dans la volonté
d'ensemble de la société commune. Cela
n’est pas autrement possible que quand
ceux qui façonnent cette volonté
d'ensemble, à partir de la volonté
particulière portent en eux dans leur
volonté, dans leur sentiment, dans
leur représentation la pleine
compréhension pour l’humain
particulier. Dans cette volonté
d’ensemble doit s’écouler ce que
l’humain particulier ressent comme son
propre spirituel et psychique et
corporel. Alors, cela doit être déposé
dedans.
Ce fut autrement dans
l’instinctive société de pouvoir, où
l’individu était reconnu de l’ensemble
parce que les individus ne faisaient
pas valoir leur volonté propre ; ce
fut autrement dans la société des
échanges, où la volonté individuelle
est percutée et une sorte de point
commun de hasard en est sortie ; mais
cela doit être autrement quand une
volonté d'ensemble organisée devrait
agir sur l’individu. Alors, personne
n’a le droit, qui prend part au
façonnement de cette volonté
d'ensemble, d’être déraisonnable
vis-à-vis de ce qu’est le vraiment
humain.
Alors, on n’a pas le droit de se
rapprocher de la vision de la vie avec
une science de la nature abstraite,
qui est purement orientée sur la
nature extérieure et ne peut jamais
comprendre tout l’humain.
Alors, on doit se rapprocher de la
vision de la vie avec science de
l’esprit, avec cette science de
l'esprit qui, parce qu’elle englobe
l’humain entier d’après corps, âme et
esprit, suscite aussi une
compréhension pour ces humains
individuels à la mesure du sentiment
et à la mesure de la volonté.
Veut-on par là
susciter un ordre économique
communautaire, on ne pourra seulement
le susciter quand on pourra le doter
d'âme à partir de la vie de l’esprit
autonome. Ainsi, sera seulement
possible de former un avenir prospère
quand d'autre part pourra se passer
que rayonne en retour de la vie
économique ce qui est pensé dans la
vie libre de l'esprit.
Et cette vie libre de l'esprit ne
s’avérera pas non pratique, elle
s’avérera comme très pratique.
Seulement qui séjourne dans la vie non
libre de l'esprit peut vivre ainsi
qu'il réfléchit sur le bien, qu'il
réfléchi sur le mal, sur le correct et
sur le vrai, sur le beau et sur le
laid et cela seulement réside dans
l'intérieur de son âme. Mais celui-là
qui regarde l'esprit comme quelque
chose de vivant saisit par
connaissance de science de l'esprit,
celui-là devient pratique dans tous
ses actes en particulier en rapport à
la vie humaine.
Ce qu'il prend en lui de la vision de
l'esprit, cela va immédiatement dans
les mains, cela passe dans chaque
tâche de vie, cela se forme vraiment
ainsi que cela peut se vivre dedans
dans la vie pratique immédiate.
Seulement une culture de l'esprit
évincée de la vie pratique deviendra
étrangère à la vie. Une culture de
l'esprit à qui on autorise de
l'influence sur la vie pratique,
celle-là se développe à la pratique.
J'aimerais dire :
Qui connais vraiment la vie
spirituelle, celui-là sait comme peu
chaque élément spirituel qui est
laissé à sa motivation propre se tient
étranger à la vie pratique. J'aimerais
dire : celui-là n'est pas un bon
philosophe qui ne peut aussi fendre du
bois à l'instant correct, car qui veut
fonder une philosophie, sans qu'il
puisse mettre la main à la vie
immédiatement pratique, celui-là ne
fonde aucune philosophie de vie,
celui-là fonde une philosophie
étrangère à la vie. La véritable vie
de l'esprit est pratique.
Sous les influences, qui
au cours des siècles sont montées, on
peut le comprendre quand aujourd'hui
tout de suite des humains qui se
tiennent à l'intérieur de la vie de
culture actuelle, des vies
spirituelles dirigeantes actuelles
comme, par exemple, Robert Wilbrandt,
qui a écrit sa socialisation à partir
d'une véritable bonne mentalité, d'une
véritable éthique sociale, disent
quand même : il ne peut pas être
fourni de travail innovateur parce que
l'âme manque -, quand ils ne peuvent
pas prendre leur essor à cela, de
demander après la réalité de la
formation d'âme, du façonnement d'âme,
ne peuvent se décider de
demander : que provoque une vie
véritablement libre de l'esprit pour
la vie d’État et aussi pour la vie de
l'économie ? Cette vie de
l'esprit libre collaborera de manière
correcte, comme je l'ai montré, avec
la vie de l'économie. Mais alors la
vie de l'économie qui peut collaborer
avec la vie de l’État et de l'esprit,
pourra à tout moment former de tels
humains qui à nouveau peuvent donner
l'impulsion à la vie de l'esprit.
Un vivre ensemble libre, immédiatement
réel sera provoqué par la
tri-articulation de l'organisme
social. C'est pourquoi on aimerai
rétorquer aux humains qui aujourd'hui
à partir d'un instinct, mais
absolument pas à partir d'un véritable
courage de vie, réclament après une
âme indéterminée, après un esprit
indéterminé : apprenez à connaître ce
qu'est la réalité de l'esprit, priez
l'esprit, ce qu'est l'esprit, priez
l'âme, ce qu'est l'âme, et il
apparaîtra aussi la vie de l'économie
qui est l'économie.
Réponse
aux questions après la cinquième
conférence
Ici est
tout d'abord posée la question :
Je crains
que par la triarticulation de
l'organisme social sera produit un
éternel schématisme, comme celui de
l'idéalisme allemand, spécialement
Kant l'était, qui a pressé le riche
ensemble de vie de l'esprit dans le
schéma de la nature triarticulée de
pensée, sentir et vouloir
Pardonnez-moi quand j'indique d'abord
sur quelque chose de personnel. Je me
suis placé la tâche dans les plus
différents livres – et c'est donc une
grosse série que j'ai écrite, une bien
trop grosse -, d'expliquer le non
correct, l'erroné dans un certain
rapport même du kantisme dans la
conception du monde. C'est aujourd'hui
encore une affaire bien impopulaire.
Et j'ai en particulier toujours à
nouveau du rendre attentif au malsain
de la manière de penser kantienne pour
la raison que je sentais comment une
pensée formée et façonnée à partir de
la réalité est exactement opposée à la
kantienne. On aimerait dire : la
pensée kantienne est tant aimée parce
qu'elle schématise. Qui a suivi mes
exposés ici, celui-là trouvera que je
dois d'ailleurs aussi utiliser des
mots, mais ne pourrait trouver
qu'esprit schématique dans ces mots,
dans ces explications qui lui-même le
porterait d'abord dedans. Dans l'art
et la manière comme je tente de
regarder la réalité, ne repose
vraiment rien de schématisant, mais
quand absolument on parle – là on peut
tenir la parole pour inutile, cela
font donc seulement peu d'humains
aujourd'hui -, ainsi on doit se servir
de mots et alors il s'agit seulement
de ce qu'on sera compris de la manière
correcte.
Je ne parle pas ainsi que j'ai à l’œil
un quelque thème philosophique, mais
j'aimerai saisir des yeux toute la
vie.
À
l'occasion il est déjà nécessaire, de
toucher quelque chose de personnel.
J'ai donc bientôt accompli ma sixième
décennie de vie et ai en fait
traverser maintes choses, ai été porté
par mon destin dans toutes sortes de
domaines de vie, ai pu apprendre à
connaître ce que l'humain actuel vit
dans les différentes classes, états et
d'ailleurs appris à connaître ainsi
que là véritablement aucun schématisme
ne reposait à la base, mais que
justement je pouvais accepter la
pleine vie. Et à partir de cette
pleine vie se sont montrées à moi des
façons de voir que maints humains ne
trouvent pas aussitôt compréhensibles
pour la raison que justement tout de
suite le schématisme qui est tant
apprécié aujourd'hui ne suffit pas à
leur compréhension, mais parce qu'on a
besoin d'un certain instinct de vie,
pour savoir ces choses de la manière
correcte. Toutefois une chose – malgré
que j'ai appris à connaître des hommes
de parti de la droite la plus
extérieure aux radicaux les plus à
gauche et aussi dans le centre – je
n'ai pas mené à terme :
appartenir moi-même à un parti.
Peut-être dois-je tout de suite à
cette circonstance – au moins d'après
ma propre croyance c'est ainsi – une
certaine impartialité.
Maintenant ce que j'expose pour la
tri-articulation de l'organisme social
ne devrait véritablement pas
correspondre à un quelque schématisme,
mais partout, où on saisit la vie,
cela se montre dans cette
triarticulation. Vérifiez dans mon
livre « Des énigmes de
l'âme » : là il ne s'agit
pas d'un schématisme, après lequel je
veux répartir à peu près tout
l'organisme naturel humain, comme Kant
a réparti si finement soigneux la vie
de l'esprit dans ses trois sections,
mais là c'est ainsi que vraiment trois
membres œuvrent l'un dans l'autre.
Cela n'est pas schématisme, quand on
décrit une quelque chose de la
réalité, où il s'agit des trois
membres et fait en cela ces trois
membres nommables. C'est quelque chose
de tout autre quand on réparti d'après
des points de vue subjectifs, que
quand on tente de rendre la réalité.
Et cela repose tout de suite à la base
de la manière de penser, qui ici sera
faite valant ; que la réalité en
tant que telle sera prise, que ne sera
pas prétendu ce qui ne sera pas tout
de suite dicté par la réalité
elle-même.
J'aimerais vous le faire clair par un
exemple. J'ai une fois dans une petite
ville d'Allemagne du Sud tenu une
conférence sur la sagesse du
christianisme. Là étaient aussi deux
prêtres catholiques. Et parce la
conférence ne contenait pas ce qu'il
pouvaient contester quand au contenu,
ainsi ils vinrent à moi après et
dirent : oui, voyez-vous nous ne
pouvons rien dire contre ce que vous
avez exposé aujourd'hui, mais vous
exposez cela ainsi que vous parlez
seulement à quelques humains qui tout
de suite par leur formation sont
prédestinés à écouter ces choses,
pendant que nous parlons à tous les
humains. - Je disais en ce
temps-là : oui, savez-vous, que
vous et moi, nous nous imaginons
quelque peu que nous parlons à tous
les humains, cela est subjectif, cela
au fond chaque humain peut se
l'imaginer ; car pourquoi
devrait-il sinon absolument parler à
des humains, s'il ne croyait pas que
ce qu'il dit est universellement
valable et éclairant. Mais de ce
subjectif il ne s'agit pas du tout. Il
s'agit de cela si les faits objectifs
parlent et si on se comporte au sens
de ces faits objectifs. Et maintenant
je leur demande : vous dites,
vous parlez à tous les humains, cela
est votre opinion subjective, aussi
votre aspiration subjective, ma foi,
mais tous les humains vont-ils chez
vous dans l'église ? Cela serait
la preuve que vous parlez à tous les
humains. Là ils ne pouvaient
naturellement pas dire : oui, ce
serait ainsi. Car là parlent les
faits, pas les opinions subjectives.
Maintenant je disais : cela nous
le prenons maintenant comme un fait,
et à ceux, qui ne vont pas chez vous à
l'église, à ceux-là je parle, car
ceux-là ont aussi un droit d'entendre
du Christ.
Ainsi, on
laisse parler la réalité. Là on ne
schématise véritablement pas, ne
s'oriente absolument pas d'après
subjectif, mais tente d'interpréter ce
que sont les véritables impulsions du
temps. À partir de telles véritables
impulsions du temps veut être parlé.
Vous pensez-vous la
triarticulation de l'organisme
social mise à exécution à
l'intérieur des États existants ou
comment ? Cela signifie,
l'actuel État est-il le cadre avec
ses frontières politiques aussi dans
le nouvel ordre ?
Maintenant
il est seulement possible, de former
une quelque chose fructueuse quand ne
veut pas taper court et petit, mais
quand on est centré sur la véritable
évolution, quand on travaille au sens
de la véritable évolution. Vous avez
peut être déjà pu remarquer, comme
tout de suite à l'intérieur des idées
d'organisme social triarticulé sera
recherché après une organisation de la
vie à partir de bases de science de
l'esprit. Ces bases de science de
l'esprit montreront aussi ce que des
penseurs estimés négligent, notamment
une véritable science de l'économie.
Ce qui aujourd'hui est nommé science
de l'économie, cela sont donc
seulement des morceaux portés ensemble
d'observations isolées. Cela n'est pas
quelque chose qui vraiment pourrait
devenir une impulsion pour la volonté
sociale.Une véritable science de
l'économie peut justement seulement
grandi de bases de science de
l'esprit.
Là se
montreront maintes choses en rapport à
la délimitation des organisations
sociales. Par exemple, des lois se
donnerons d'elles-mêmes à partir de la
vie de l'économie, comment domaines
économiques, territoires économiques
devraient être délimités en eux-mêmes,
ainsi qu'on puisse jeter un regard sur
un futur sur lequel on devrait parler
quelque peu de la manière suivante.
Une véritable science de l'économie
montre : quand les associations,
desquelles je vous ai parlé dans la
deuxième conférence et dans celle
d'aujourd'hui, deviendront trop
grosses, alors elles ne sont aussi
plus possibles économiquement, quand
elles deviennent trop petites elles ne
sont aussi plus possibles
économiquement. Par les conditions
intérieures d'un territoire
économique, par la production variée,
par les branches variées, domaines
variés, qui sont là, la grandeur de ce
territoire est aussi déterminée. Si je
voulais exprimer la loi pour cette
grandeur, ainsi je devrais dire à peu
près : de trop petits domaines
économiques œuvrent par là
dommageable, qu'ils ne laissent aucune
place aux humains associés, dans une
certaine mesure laissent mourir de
faim les humains associés, de trop
grands territoires économiques par
contre œuvrent ainsi qu'elles nuisent
à ceux se trouvant en dehors du
territoire, les laissent mourir de
faim. On peut en fait pour de plus
petits points de vue économiques et
aussi pour de plus grands points de
vue économiques laisser déterminer la
grandeur du territoire économique à
partir de lois internes. Et il n'est
aussi pas du tout requis – j'aurai
encore à parler de cela -, quand
l'organisme social est vraiment
tri-articulé, que les frontières de
l'esprit tombent ensemble avec les
frontières de l'économie ou avec les
frontières du droit. Une grande partie
du malheur dans le présent qui s'est
déchargé en cette terrible catastrophe
guerrière mondiale – qui, comme je
l'ai expliqué à la fin de la
conférence d'hier, n'est absolument
pas finie -, repose là dessus, que
justement sous l'état unitaire on a
laissé tomber partout ensemble
frontières culturelles spirituelles,
politiques, et économiques. Il s'agit
donc de ce que d'une légalité interne,
à partir de la vie vivante elle-même
se montrera la grandeur des
territoires.
Mais on
doit compter avec l'évolution. C'est
pourquoi le début devra tout d'abord
être fait avec le donné. Et là on peut
dire : tout d'abord, s'établira
toutefois que les corporations et
structures historiques doivent évoluer
d'après cette impulsion de
triarticulation de l'organisme social.
Mais alors, quand elles ont de
manières saines, je ne veux pas dire,
mis à exécution, mais ont en soi,
alors des lois de la vie se produira
bien l'autre qui se montre alors.
Donc
n'aurait pas le droit d'être répondu
théoriquement à ces choses, mais à la
mesure de la vie. Ainsi qu'on
dit : ce qui se montre à peu près
demain, cela sera premièrement la base
pour après demain. Donc, il s'agit de
de rendre attentif à une vie, pas
d'inventer de quelconques programmes.
De tels programmes sont terriblement
bon marché, et ont déjà été
véritablement assez inventés.
Le
traitement des moyens de production
agraires se différenciera-t-il de ceux
industriels ?
Le traitement des moyens
de production agraires, donc de
préférence fond et sol – car aussi
loin que viennent en considération
d'autres moyens de production, ils
sont donc aussi des moyens industriels
de production -, se présente à l'un
aujourd'hui sur le sol ce combat qui
sera conduit par les réformateurs
fonciers. Vous pouvez donc facilement
vous approprier ce qui vient là en
considération, quand vous remontez sur
le réformateur foncier originel, sur
Henry Georges « Progrès et
pauvreté » et sur son souci de
faire équilibrer, supprimer, par
l'ainsi nommée « single
tax » les injustices de
l'ordonnance sociale qui pourront être
créées par la valorisation du sol.
Celui qui a la possession du sol peut
gagner sans le moindre travail à
fournir sous certaines circonstances.
Ainsi sera tenté de ce côté là, de
placer tout d'abord, au moins en
certaines limites, les moyens de
production agraires au service du
commun.
Maintenant il y a
beaucoup d'années, j'avais une fois
une discussion avec Damaschke, qui
donc en certains sens repose sur Henry
George, et je lui disais cette
fois-là : les moyens de
production agraires n'ont pas, sans
plus, le droit d'être confondus avec
les moyens de production industriels,
car il existe une différence
considérable de l'un et l'autre qui
conditionne tout l'ordre social.
Le sol a une grandeur déterminée, le
sol n'est pas élastique. Quand deux
maisons se trouvent l'une à côté de
l'autre, se font limite l'une l'autre,
ainsi on ne peut pas aussi, étirer le
sol sur lequel elles sont, ainsi que
là entre, pourra être construite une
troisième maison.
Par contre, des moyens de production
industriels pourront, j'aimerais dire,
être maintenus en élasticité, pourront
être multipliés. Cela provoque une
grosse différence. C'est pourquoi les
deux devront être traités
différemment. Il n'est pas droit de
transférer quelque peu sans plus sur
le moyen de production fond et sol la
théorie sociale démocrate, qui est de
préférence taillée pour les moyens de
production industriels. Ce dont il
s'agit est ce que j'ai tout de suite
dit aujourd'hui dans la
conférence : que fond et sol,
aussi bien que le moyen de production
terminé, ne devraient pas être un
objet de gestion (NDT économique),
mais un objet du transfert de droit à
partir de points de vue spirituels.
Quand cela est le cas chez les deux,
alors les différences ne se montrent
pas de manière théorique, mais de la
vie immédiate. Pensez par exemple
seulement le suivant :
Les moyens industriels de
production s'usent, ils doivent
toujours être rénovés. Chez les moyens
de production agraires, cela est déjà
à nouveau quelque peu autre, pas
seulement, qu'ils ne sont pas
élastiques, mais ils ne s'usent
seulement que dans une mesure bien
moindre, ils devront au moins être
traités tout autrement que les moyens
de production industriels.
Mais il existe encore un
rapport essentiellement autre entre
moyen de production agraire et moyen
industriel de production. On aimerait
penser à cela que, oui, une partie du
rendement de l'industrie devra être
utilisé pour amener l'industrie plus
haut, pour la façonner toujours plus
et plus. Là nous voyons qu'une partie
de cela, que nous pouvons nommer
l'administration du capital de
l'industrie, sera à nouveau avalée par
l'industrie.
Cela n'est pas le cas de la même
manière chez les moyens de production
agraires. Les livres (NDT
comptables), s'ils étaient
conduits comme livres d'ensembles pour
une vie économique, indiqueraient deux
pôles : l'un des pôles
indiquerait à peu près vers la
production de charbon, là on aurait,
partant de la production de charbon, à
peu près tous ces postes qui se
promènent dedans l'industriel. L'autre
pôle va vers le pain, si on écrivait
ensemble tous les postes qui se
rapportent au pain – au sens plus
large évidemment, comme montrent les
autres produits alimentaires qui
seront créés par fond et sol -, si on
les inscrivait, ainsi on verrait à peu
près en ressortir ce que fournit fond
et sol.
Maintenant beaucoup de
ce qui dans ce livre d'ensemble serait
fiché, quand fond et sol aussi bien
que les moyens de production de
l'économie seraient sortis et
attribués à l'ordonnance du droit, à
l'ordonnance de l'esprit, beaucoup de
cela est recouvert par ce que
l'industrie sera confondue avec
l'administration de fond et sol.
On a donc seulement besoin d'être
industriel et avoir des hypothèques
sur fond et sol, ainsi la confusion
est déjà là. Mais encore par
nombreuses autres choses. Si cela
n'était pas le cas, on verrait
purement que l'économie mondiale se
tient aujourd'hui ainsi – aussi
paradoxal que cela semble pour maints
aujourd'hui -, que fond et sol sont
vraiment productifs, que l'ensemble de
l'industrie n'estpas productive, mais
est en vérité obtenue par les
rendements de fond et sol. Aussi
curieux que cela sonne aujourd'hui
pour maintes gens, c'est malgré tout
ainsi le cas.
Chaque entreprise industrielle est au
fond ce qu'on nomme dans l'agriculture
un bien qui broute (NDT fressendes
Gut), cela signifie un bien qui en
fait grignote ses bénéfices.
On ne regarde absolument
pas aujourd'hui l'économie d'ensemble.
Elle est recouverte par les
circonstances les plus variées. Mais
dans la vie réelle se montreraient les
points de vue qui peuvent donner la
mesure lors du transfert aussi bien
des moyens agraires de production d'un
côté, comme des moyens industriels de
production de l'autre côté.
Au pôle industriel ce
sera donc de préférence les capacités
spirituelles individuelles des
humains, ce qu'ils peuvent, ont
appris, ce à quoi ils sont adaptés,
qui viennent en considération à ce
transfert. Au transfert agraire vient
autre chose en considération, là vient
par exemple en considération
l'avoir-grandi-ensemble de l'humain
avec fond et sol. Là devra absolument
être tenu compte que celui-là, qui a
les meilleures capacités pour
continuer à travailler fond et sol, ne
pourra être choisi de manière
abstraite d'après son tempérament
spirituel, mais devra d'une certaine
manière avoir grandi ensemble avec
sol. Quand de la manière correcte tout
de suite dehors à la campagne pourrait
être fait compris le sens de la
triarticulation, ainsi l'ensemble de
la paysannerie y souscrirait.
Évidemment, quand un quelconque sort
qui se tient dans le mauvais
appel d'un cultivé ; alors, les
gens naturellement ne l'écouteront
pas, alors il n'a rien à dire, mais
quand la chose sera amenée aux gens de
la manière correcte, ils n'auront rien
du tout contre. Car en fait sera donc
agit d'après ce principe, tout de
suite parmi les gens de la terre (NDT
Agrariertum). Pas dans la grande
propriété foncière, mais dans la
paysannerie sera, aussi loin que
l’État n'intervient pas gênant, penser
et agit absolument pour l'essentiel en
ce sens.
Il s'agit donc de ce que
les points de vue se montrent dans le
concret et à partir de cela. Des
programmes n'auront pas le droit
d'être faits pour un ordre social
capable de vie, mais il s'agit de
caractériser ainsi que la vie peut
réussir. La vie a alors encore quelque
chose à faire.
Voyez-vous, cette impulsion de la
triarticulation sociale qui ici sera
exposée se différencie de toute sorte
de programmes qui donc aujourd'hui en
fait sont bon marché comme des mûres.
Ces programmes sociaux, ils
échafaudent : premièrement,
deuxièmement, troisièmement et ainsi
de suite. En fait, ils schématisent
tout. Cette omniscience, l'idée de la
tri-articulation ne se l'attribue
absolument pas, mais elle veut que les
humains puissent oeuvrer ensemble à
partir d'eux-mêmes ainsi qu'ils
viennent à former l'organisme social
approprié.
Elle aimerait seulement amener les
humains dans de tels rapports que de
cela peut apparaître une ordonnance
sociale correspondante. Quand on ne
comprendrait que cela, que cela est
une différence principale entre
l'impulsion de la tri-articulation et
l'autre, qui aujourd'hui apparaît,
ainsi on verrait, comme cette
tri-articulation tout de suite crée
justement à partir de la pleine
réalité.
J'ai pour cela souvent
dit aux gens : il ne s'agit pas
du tout de si ça ou cet autre devrait
être ainsi ou autrement. Ma foi,
j'aimerais même dire radical : on
attaquerait la chose, peut être s'en
montre que ne reste plus une pierre
sur l'autre, mais il naîtra quelque
chose qui très certainement a
stabilité parce que la réalité est
saisie à un coin. Tout de suite quand
on saisit la réalité, ainsi se montre
peut-être quelque chose de tout autre
à ce qu'on a tout d'abord dit de
programmatique. Mais il s'agit de
cela, non pas d'installer un
programme, mais d'indiquer comme on a
à saisir la réalité.
Au début des réponses aux
questions, un visiteur avait pris la
parole pour de plus longs exposés.
Dr Steiner répond là dessus.
Maintenant
encore quelques mots en rapport à ce
qu'a dit le cher Monsieur orateur
précédent. Il disait par exemple, la
triarticulation a toujours existé. Je
comprenais très bien qu'il a exprimé
cela, car il a, ce que j'ai dit,
confondu avec quelque chose d'autre.
Il a aussi clairement évoqué qu'il le
confond : il parlait toujours de
la « triarticulation du
socialisme », si je l'ai entendu
correctement.
Je ne parlerais naturellement jamais
de la « triarticulation du
socialisme ». Cela m'apparait
comme une complète impossibilité. Car
le socialisme peut naturellement comme
conception du monde être seulement
quelque chose d'unitaire. Et seulement
quand on pense si abstrait, on est
tenté de dire : maintenant la vie
était donc toujours tripartite,
pourquoi doit-on premièrement parler
de cette triarticulation, tripartition
de la vie ?
Oui, cela
est tout de suite de quoi il
s'agit ! Certainement, la vie
était toujours tripartite, et il ne
s'agit pas de cela qu'on
tripartitionne tout de suite la vie.
Cela se partage de soi-même. Il s'agit
de cela que dans l'administration de
la vie on a pas toujours atteint la
manière correcte, justement pour
administrer, pour ordonner, pour
orienter la vie triarticulée. C'est
donc une évidence que la vie est
triarticulée. C'est donc de cela qu'on
parle tout de suite ! Parce que
la vie est triarticulée, on
demande : comment devrions-nous
le faire, quand une unité devrait en
sortir, que celle-ci en sorte
vraiment ? - Elle n'est pas
sortie pour les derniers siècles et le
présent. Donc, à cause de cela il
s'agit de trouver un nouveau chemin.
C'est au plus haut sens – quand elle
croit aussi être bienveillante à la
réalité – une manière de penser
abstraite, étrangère à la vie quand on
veut écarter avec des évidences ce qui
absolument compte avec ces évidences,
mais tout de suite à partir de ces
évidences reconnaît la nécessité que
justement la vie devrait être formée
conformément à ces évidences.
Dans la vie cela arrive justement
seulement trop souvent qu'on pousse de
telles évidences dans un faux chenal
et de cela proviennent alors les
crises de vie. C'est cela sur quoi
j'aimais en particulier rendre
attentif.
Justement ainsi c'est vraiment une
pire façon de parler quand on
dit : de l'économie ensemble avec
l'esprit vient le droit. Maintenant,
certes, cela vient déjà si une fois
l'organisme triarticulé est là, alors
viendra aussi le droit. Mais cela
viendra justement de la manière dont
on trouve comment, cela devrait venir.
Les humains doivent l'instituer. Donc
on doit réfléchir sur la méthode,
comment ils devraient l'instituer.
Alors ont
encore été dites maintes autres choses
dignes d'être suivi sur le
rattachement de vie spirituelle et
travail pratique. Je n'aimerais pas
arriver sur personnel, sinon je
pourrais facilement prouver au cher
orateur précédent comment je me suis
efforcé durant toute ma vie, de relier
travail pratique avec vie de l'esprit.
Mais on a seulement pas le droit
d'exiger de moi ce qu'on a exigé de
moi dans maintes discussions :
que dans ce domaine la vie pratique
devrait consister en ce qu'on
collabore dans le cadre d'un quelque
parti. Cela maints l'on notamment
compris avec le « travailler
social pratique ». Ce travailler
social pratique est parfois un
travailler social très théorique et
non pratique. Donc on n'a absolument
pas le droit de le confondre avec
véritable pratique de la vie.
Alors a été
dit que quand devait se montrer
vraiment une amélioration, une
guérison des conditions, il s'agirait
de ce que la compagnie des
travailleurs ( NDT
Arbeiterschaft) s'occupe
vraiment avec les fondements
spirituels de la vie sociale. Je suis
complètement d'accord avec cela, mais
crois aussi avoir déjà évoqué dans ces
conférences les moyens corrects par
lesquels les travailleurs peuvent
justement s'occuper avec les questions
spirituelles. J'ai déjà rendu attentif
là dessus que des années durant j'ai
été professeur à une école de
formation de travailleurs, que j'ai
très bien trouvé là la compagnie des
travailleurs, aussi le ton pour tout
de suite parler scientifiquement aux
cœurs des travailleurs. Seul alors les
dirigeants sont venus, ceux-là m'ont
foutu dehors, si je devais dire cela
en allemand, parce qu'ils voulaient
qu'eux seulement soient écoutés et que
seulement sera écouté ce qu'ils
ordonnent que serait représenté. Je
vous ai déjà raconté cela précédemment
dans ces conférences. Alors que je
disais : si la liberté d'enseigner ne
devait pas régner ici,
où doit-elle donc régner ? - Là
répondit un des dirigeants :
liberté d'enseignement, cela ne peut
être chez nous, une contrainte
raisonnable, c'est cela dont il
s'agit !
Oui,
voyez-vous, je pourrais vous exposer
beaucoup ensemble avec ce qui serait
un bon moyen par lequel les
travailleurs actuels pourraient venir
en fait à la saisie des bases
spirituelle pour une réorganisation
sociale. Ce moyen serait
celui-là : se dire détaché de la
plupart des actuels dirigeants, qui
absolument n'ont pas à l’œil d'amener
de manière sincère une réorganisation
sociale, mais qui ont quelque chose de
tout à fait autre à l’œil, mais
auxquels sera encore beaucoup plus
obéit sous beaucoup de rapports – cela
a tout de suite montré la pratique de
l'oeuvrer dans la triarticulation
sociale -, que sera obéit par les
catholiques à leur archevêque. Cela
est quelque chose qui devrait pris à
coeur. Et je suis convaincu de cela.
Il règne aujourd'hui tant de sens sain
dans les larges masses du peuple que
dans l'instant où maint dirigeant
tomberait, apparaîtrait beaucoup de
véritable saine raison sociale. Nous
avons aujourd'hui besoin que les
humains se cristallisent à nouveau
autour d'idées, autour de véritables
impulsions idéelles, à partir
desquelles la vie pourra être formée,
afin que les vieux modèles de partis
et programmes de partis soient
surmontés, car ce sont eux, qui
principalement empêchent une raison
saine et aussi une activité saine au
sens d'une telle raison.
On doit seulement aussi là, à partir
de la pleine réalité, rechercher ce
qui peut conduire au salut. La pure
revendication ne le fait pas, tout de
suite aussi peu que le fait la pure
revendication : abolition du
capital – mais comment on doit voir,
comment le capital devrait œuvrer.
Alors « abolition », cela
est facile. Cela signifie, ce n'est
pas facile à cause de ce que cela
conduit à la ruine. Mais quand on
devrait sortir par dessus les dommages
du capitalisme, alors quelque chose
d'autre est nécessaire. Comme c'est
nécessaire, sur ce domaine concret de
regarder dans la réalité, ainsi il est
déjà aussi nécessaire, dans l'actuelle
vie humaine de regarder dedans la
pleine réalité de se dire que les
partis ne vivent très souvent encore
que des abstraites continuations de
leurs programmes, mais qu'elles ne
correspondent plus avec la vie. Mais
cela est nécessaire en particulier là,
où il s'agit d'une véritable nouvelle
organisation sur le domaine de la vie
sociale.
C'est cela que j'aimais dire aujourd'hui
bien que pour l'éclaircissement de
telles questions maint devrait encore
être souligné. |
Im zweiten
Vortrage habe ich bereits skizziert,
wie eine solche Gestaltung des
Geistes-, Rechts- und
Wirtschaftslebens, wie ich sie zu
schildern versuchte in den drei
vorangegangenen Vorträgen, nur
erreichbar ist dadurch, daß dasjenige,
was man bisher als einen streng in
sich gestalteten Einheitsstaat gedacht
hat, dreigegliedert werde, zum
dreigliederigen sozialen Organismus
werde, das heißt, daß alles, was sich
auf Rechts-, politische,
Staatsverhältnisse bezieht, in einem
demokratischen Parlamente seine Verwaltung
finde, daß dagegen abgegliedert werde
von dieser politischen oder
Rechtsorganisation alles, was sich auf
das Geistesleben bezieht einerseits
und dieses Geistesleben in seiner
Freiheit selbständig verwaltet werde;
daß sich andererseits abgliedere vom
politischen das wirtschaftliche Leben,
das wiederum aus seinen eigenen
Verhältnissen heraus, aus seinen
eigenen Bedingungen heraus seine
Verwaltung finde, begründet auf
Sachkenntnis und Fachtüchtigkeit.
Nun wird ja immer
wieder der Einwand erhoben, daß eine
solche Gliederung des sozialen
Organismus der Notwendigkeit
widerspreche, das gesellschaftliche
Leben zu einer Einheit zu formen, denn
alle einzelnen Einrichtungen, alles
einzelne, was der Mensch vollbringen
kann innerhalb des sozialen
Organismus, müsse zusammenstreben zu
einer solchen Einheit. Und eine solche
Einheit würde durchbrochen, so wird
gesagt, wenn man versuche, den
sozialen Organismus in drei Glieder zu
zersprengen. — Ein solcher Einwand ist
aus den Denkgewohnheiten der Gegenwart
heraus ganz begreiflich und
verständlich. Aber er ist, wie wir
heute sehen wollen, durchaus nicht
gerechtfertigt. Er ist verständlich,
weil man ja nur zunächst hinzuschauen
braucht auf das wirtschaftliche Leben
selbst: wie in diesem wirtschaftlichen
Leben im kleinsten alles
zusammenfließt, Geistiges, Rechtliches
und eigentlich Wirtschaftliches.
Demgegenüber kann man schon sagen: Wie
soll da irgendeine Trennung, eine
Gliederung zu einem Heil kommen?
Nehmen wir nur einmal
das Wertproblem der Waren, der Güter
selbst, so werden wir finden, daß der
Güter-, der Warenwert für sich schon
Dreifaches zeitigt, Dreifaches aber,
das, indem das Gut im sozialen
Organismus produziert wird, zirkuliert
und konsumiert wird, sich als eine
Einheit, ich möchte sagen, gebunden an
die Einheit des Gutes, zeigt in der
folgenden Weise: Was bedingt den Wert
eines Gutes, durch das der Mensch
seine Bedürfnisse befriedigen kann? —
Zunächst muß der Mensch subjektiv
irgendwelchen Bedarf für dieses Gut
haben. Sehen wir aber zu, wodurch sich
ein solcher Bedarf bestimmt. Das hängt
zusammen, erstens, selbstverständlich
mit der leiblichen Artung des
Menschen. Die leibliche Artung bedingt
namentlich den Wert der
verschiedensten materiellen Güter.
Aber auch materielle Güter werden
verschieden beurteilt, je nachdem der
Mensch diese oder jene Erziehung
durchgemacht und diese oder jene
Ansprüche hat. Und erst, wenn es sich
um geistige Güter handelt, die ja oft
gar nicht getrennt werden können von
der Sphäre der leiblichen, physischen
Güter, da werden wir sehen, daß die
ganze Verfassung des Menschen durchaus
die Art und Weise bedingt, wie einer
irgendein Gut bewertet, was er für
irgendein Gut für eine Arbeit leisten
möchte, was er aufbringen möchte an
eigenen Leistungen für solch ein Gut.
Da sehen wir, daß das geistige
Element, das im Menschen lebt,
bestimmend ist für den Wert eines
Gutes, für den Wert einer Ware.
Auf der anderen Seite
sehen wir, daß ja die Waren, indem sie
ausgetauscht werden zwischen Mensch
und Mensch, gebunden sind an
Besitzverhältnisse, das heißt auch
nichts anderes als an
Rechtsverhältnisse. Indem irgendein
Mensch von einem anderen ein Gut
erwerben will, stößt er auf Rechte,
die der andere in irgendeiner Weise an
diesem Gut hat. So daß das
Wirtschaftsleben, die
Wirtschaftszirkulation durchaus
durchdrungen ist von lauter
Rechtsverhältnissen.
Und zum dritten: Ein
Gut hat auch einen objektiven Wert,
nicht nur denjenigen Wert, den wir ihm
beilegen durch unsere Bedürfnisse und
die subjektive Bewertung dieser
Bedürfnisse, die sich dann auf das Gut
überträgt, sondern ein Gut hat einen
objektiven Wert, indem es haltbar oder
unhaltbar, dauerhaft oder nicht
dauerhaft ist, indem es durch seine
Natur mehr oder weniger brauchbar ist,
indem es mehr oder weniger häufig oder
mehr oder weniger selten ist. Das
alles bedingt einen objektiven, einen
eigentlich wirtschaftlichen Wert, zu
dessen Bestimmung eine objektive
Sachkenntnis und zu dessen Herstellung
eine objektive Fachtüchtigkeit
notwendig ist.
Aber diese drei
Wertbestimmungen sind in dem Gute zu
einer Einheit vereinigt. Und daher
kann man mit Recht sagen: Wie soll
also, was in dem Gute sich vereinigt,
in drei Verwaltungsgebiete getrennt
werden, die sich auf dieses Gut
beziehen, die mit diesem Gute in
seinen Zirkulationen irgend etwas zu
schaffen haben?
Nun, zunächst handelt
es sich, rein der Idee nach, darum,
einzusehen, daß sich allerdings im
Leben Dinge vereinigen können, die von
den verschiedensten Seiten her
verwaltet werden. Warum sollte nicht
auf der einen Seite das, was der
Mensch subjektiv von sich aus an
Wertschätzung den Gütern
entgegenbringt, von seiner Erziehung
aus, die ihre selbständige Verwaltung
hat, bestimmt sein? Warum sollte nicht
von ganz anderer Seite her das in das
wirtschaftliche Leben hinein-gestaltet
werden, was Rechtsverhältnisse sind,
und warum sollte nicht hinzukommen zu
alldem und sich im Objekte zu einer
Einheit vereinigen, was aus der
Sachkenntnis und Fachtüchtigkeit an
objektivem Werte dem Gute zukommt?
Aber das ist zunächst ideell und hat
nicht viel besonderen Wert. Es muß
vielmehr tiefer begründet werden, was
in dieser Richtung die Dreigliederung
des sozialen Organismus eigentlich
will.
Und da muß zunächst
gesagt werden: Diese Dreigliederung
des sozialen Organismus ist nicht
irgendeine Idee, die heute aus
subjektiven Antrieben eines oder ein
paar Menschen heraus gefaßt wird,
sondern dieser Impuls von der
Dreigliederung des sozialen Organismus
ergibt sich aus einer objektiven
Betrachtung der geschichtlichen
Entwickelung der Menschheit in der
neueren Zeit. So daß man sagen kann:
Eigentlich schon seit Jahrhunderten
tendiert unbewußt die Menschheit in
den wichtigsten Antrieben nach dieser
Dreigliederung. Sie hat nur niemals
die Kraft gefunden, diese
Dreigliederung wirklich durchzuführen,
und aus dem Mangel an dieser
Kraftentwickelung sind unsere heutigen
Zustände, ist das Unheil unserer
Umgebung entstanden. Heute aber sind
die Dinge so weit reif, daß man sagen
muß: Es muß in Angriff genommen
werden, was sich seit Jahrhunderten
für die Gestaltung des sozialen
Organismus vorbereitet hat.
Zunächst muß man sagen:
Es hat sich ja eigentlich seit langer
Zeit das wirklich freie Geistesleben
abgegliedert von dem Staatsleben und
von dem Wirtschaftsleben. Denn das
Geistesleben, das abhängig ist vom
Wirtschaftsleben und vom Rechts- und
Staatsleben, dieses Geistesleben ist
eben durchaus kein freies. Es ist ein
Stück Geistesleben, das losgerissen
worden ist von dem eigentlich
fruchtbaren freien Geistesleben. Wir
können vielmehr sagen, daß im Beginne
der Zeit, in der der Kapitalismus, in
der die moderne technische
Wirtschaftsordnung mit ihrer
großartigen Arbeitsteilung
heraufgekommen ist, daß in dieser Zeit
das eigentlich freie Geistesleben —
jenes Geistesleben, das nur aus den
Antrieben der Menschen selbst heraus
schafft, so wie ich es gestern für das
gesamte Geistesleben gefordert habe —,
daß dieses freie Geistesleben, aber
eben nur als ein Teil des
Geisteslebens, in gewissen Gebieten
der Kunst, der Weltanschauung, der
religiösen Überzeugungen sich
losgelöst hat vom Wirtschaftsleben und
vom Staatsleben und gewissermaßen
zwischen den Zeilen des Lebens
getrieben wird, während wiederum
losgerissen ist von diesem freien, aus
den menschlichen Antrieben selbst
heraus schaffenden Geistesleben, was
das Wirtschaftsleben zu seiner
Verwaltung braucht, was der Staat zu
seiner Verwaltung braucht.
Was das
Wirtschaftsleben zu seiner Verwaltung
braucht, ist abhängig geworden von den
wirtschaftlichen Mächten selbst. In
den Stellen, in den Kreisen, in denen
wirtschaftliche Macht ist, ist die
Möglichkeit vorhanden, die Nachkommen
auch wirtschaftswissenschaftlich
vorzubilden, so daß sie wiederum
geeignet sind, wirtschaftliche Macht
zu erringen. Aber was da als
Wirtschaftswissenschaft aus der
Wirtschaft selbst hervorgeht, ist nur
ein Teil desjenigen, was hineinfließen
könnte in das Wirtschaftsleben, wenn
das gesamte Geistesleben für das
Wirtschaftsleben fruchtbar gemacht
würde. Es ist nur das, was von der
Zufallswirtschaft noch für das
Nachdenken übrigbleibt, und was dann
zur Wirtschaftswissenschaft gemacht
wird.
Und wiederum das
Staatsleben: Der Staat braucht seine
Beamten, ja selbst seine Gelehrten so,
daß sie den Schablonen entsprechen,
die er einmal für seine Stellungen
ausgebildet hat. Er wünscht, verlangt,
daß in dem Menschen das herangebildet
werde, was sich hineinschickt in den
Umkreis dessen, was er für seine
Stellungen bestimmt hat. Das aber ist
ein unfreies Geistesleben, selbst wenn
es wähnt, frei zu sein. Es bemerkt
nicht seine Abhängigkeit, es bemerkt
nicht, wie es in die Grenze der
Stellungsschablonen hineingestellt
wird.
Das eigentlich freie
Geistesleben aber hat sich, unabhängig
vom Wirtschaftsleben, vom Staatsleben,
immerhin eine gewisse Stellung in der
Welt erworben. Aber was für eine! Ich
habe sie zum Teil schon
charakterisiert. Es ist dieses
Geistesleben, das sich seine Freiheit
bewahrt hat, lebensfremd geworden. Es
hat in einem gewissen Sinn einen
abstrakten Charakter angenommen. Man
braucht nur heute zu sehen, was in den
ästhetischen, in den religiösen,
selbst in den wissenschaftlich
orientierten Weltanschauungen des
freien Geisteslebens vorhanden ist, so
wird man sehen: Es wird ja mancherlei
gesagt, aber was gesagt wird, ist mehr
oder weniger nur Predigt für die
Menschheit. Es ist da, um den Verstand
und das Gemüt zu ergreifen. Es ist da,
um im Inneren des Menschen eine Rolle
zu spielen, die Seele mit innerem
Wohlbehagen und Wohlgefühl zu
erfüllen, aber es hat nicht die Kraft,
nicht die Stoßkraft, wirklich ins
äußere Leben einzugreifen. Daher ist
auch der Unglaube an dieses
Geistesleben gekommen, jener Unglaube,
den ich auch charakterisiert habe, der
da ausgeht von sozialistischer Seite,
der da sagt: Niemals wird irgendeine
soziale Idee, und wenn sie noch so gut
gemeint ist, wenn sie bloß aus dem
Geiste heraus geboren ist, das soziale
Leben umgestalten. Dazu bedarf es
realer Kräfte. -- Und zu den realen
Kräften wird eben dieses abgespaltene
Geistesleben gar nicht gerechnet. Wie
weit entfernt ist das — ich habe das
auch schon ausgesprochen was heute als
sein inneres, religiöses, selbst sein
wissenschaftliches Überzeugungsleben
der Kaufmann, der Staatsbeamte, der
industriell Tätige hat, von den
Gesetzen, die er anwendet im
wirtschaftlichen Leben, in seiner
äußeren Stellung, in der Verwaltung
öffentlicher Angelegenheiten!
Vollständig eine zweifache Würdigung
des Lebens! Auf der einen Seite
gewisse Grundsätze, die aber ganz
hervorgegangen sind aus Wirtschafts-
und Staatsleben, auf der anderen Seite
ein Rest von Freiheit, von
Geistesleben, der aber zur Ohnmacht
gegenüber den äußeren Angelegenheiten
des Lebens verurteilt ist.
Das muß auf der einen
Seite gesagt werden, daß sich ein
einheitliches freies Geistesleben
schon seit Jahrhunderten abgegliedert
hat, daß aber, weil man es nicht
anerkennen wollte in der Gestaltung
des öffentlichen Lebens, dieses freie
Geistesleben abstrakt, lebensfremd
geworden ist. Es fordert dieses
Geistesleben aber heute, weil man den
Einfluß des Geistes auf das äußere
soziale Leben braucht, seine Macht,
seine Kraft zurück. Das ist die
Situation, die uns heute gegeben wird.
Einen anderen Weg hat
das Rechtsleben genommen. Während das
Geistesleben sich gewissermaßen,
insoferne es ein freies ist,
emanzipiert hat, hat das Rechtsleben
sich im Laufe der letzten Jahrhunderte
vollständig verschmelzen lassen mit
den wirtschaftlichen
Machtverhältnissen. Man hat es gar
nicht bemerkt, aber beide sind völlig
eins geworden. Was wirtschaftliche
Interessen und Bedürfnisse waren, das
wurde in öffentlichen Rechten
ausgedrückt. Diese öffentlichen Rechte
hält man oftmals für
Menschheitsrechte. Genau besehen sind
sie nur in den Rechtscharakter
umgesetzte wirtschaftliche und
staatliche Interessen und Bedürfnisse.
Während das Geistesleben auf der einen
Seite seine Kraft fordert, sehen wir
auf der anderen Seite, wie nun eine
Verwirrung eingetreten ist mit Bezug
auf die Beziehung von Rechts- und
Wirtschaftsverhältnissen. Weite Kreise
unserer heutigen Bevölkerung durch die
zivilisierte Welt hindurch fordern in
dem, was sie die soziale Frage nennen,
weitere Zusammenschweißung des
Rechtslebens und des
Wirtschaftslebens. Wir sehen, wie
unter politischen, unter
Rechtsbegriffen das gesamte
Wirtschaftsleben gestaltet werden
soll. Und wenn wir die bei vielen
heute beliebten Schlagworte ansehen,
was sind sie denn anderes als die
letzte Konsequenz der Verschmelzung
des Rechtslebens mit dem
Wirtschaftsleben? Wir sehen heute die
weite Kreise ziehende
radikalsozialistische Partei fordern,
daß — wie ich es hier schon
ausgesprochen habe -- über das
Wirtschaftsleben ein politisches
System zentral, hierarchisch
übergebauter, gegliederter
Verwaltungen gestülpt werde. Ganz
eingefaßt werden soll das
Wirtschaftsleben in lauter
Rechtsverhältnisse. Wir sehen
geradezu, wie die Macht der
Rechtsverhältnisse ganz und gar
ausgedehnt werden soll über die
Wirtschaftsverhältnisse.
Das ist das andere, was
als die Krisis in unserer Zeit
eintritt, was man dadurch aussprechen
kann, daß man sagt: Indem in radikaler
Weise diese politischen und
Rechtsverhältnisse für das
Wirtschaftsleben gefordert werden,
soll gewissermaßen die Tyrannis des
Staates, des Rechtssystems über das
wirtschaftliche Wesen hereinbrechen.
Wir sehen, daß für das
Wirtschaftsleben und seine Heilung
nicht eine Gestaltung des
Wirtschaftslebens gefordert wird, die
aus wirtschaftlichen Verhältnissen
heraus selber gebildet ist, sondern
daß Eroberung der politischen Macht
gefordert wird, aber Eroberung der
politischen Macht von dem
Gesichtspunkte aus, das
Wirtschaftsleben durch diese
politische Macht an sich zu bringen
und zu beherrschen. Diktatur des
Proletariats, was ist es anderes, als
die letzte Konsequenz der
Zusammenschweißung von Rechts- oder
Staatsleben und Wirtschaftsleben?
So wird hier, freilich
auf eine negative Art, bewiesen, wie
nötig es heute ist, über das
Verhältnis von Rechts- oder
Staatsleben und Wirtschaftsleben
gründlich nachprüfend zu Werke zu
gehen. So sieht man auf der einen
Seite, daß das in einem Teil seiner
Kraft freie Geistesleben sich
emanzipiert hat und seine
ursprüngliche Kraft fordert; so sieht
man auf der anderen Seite, daß das
Rechtsleben, wenn es weiter immer
enger und enger an das
Wirtschaftsleben gebunden werden soll,
den ganzen sozialen Organismus in
Unordnung bringt.
Genügend lange hat es
gewährt, daß unter der Suggestion des
Einheitsstaates, des einheitlichen
sozialen Organismus gedacht wurde.
Heute ist die Zeit gekommen, wo die
Frucht dieses Denkens uns
entgegentritt in dem sozialen Chaos,
das über einen großen Teil der
zivilisierten Welt ausgegossen ist.
Die wirtschaftlichen Zustände fordern
im strengsten Sinne, getrennt zu
werden von dem Rechtsleben, weil es
sich gezeigt hat, welchen Unfug dieses
Rechtsleben selber nach und nach für
das Wirtschaftsleben anrichten müßte,
wenn die letzte Konsequenz von dem
gezogen würde, was sich im Lauf der
letzten Jahrhunderte herausgebildet
hat.
Mit diesen Tatsachen
rechnet der Impuls vom dreigliederigen
sozialen Organismus. Und ich möchte
Ihnen an einem anschaulichen Beispiel
zeigen, wie durch diese Tatsache
gerade dasjenige auseinandergerissen
worden ist, was im Leben als eine
Einheit wirken sollte. Man sagt heute,
die Dreigliederung des sozialen
Organismus wolle die Einheit des
sozialen Lebens zerreißen. Man wird in
der Zukunft sagen: Diese
Dreigliederung begründet erst im
rechten Sinne diese Einheit. Daß das
abstrakte Streben nach der Einheit
gerade diese Einheit zerstört hat, das
kann man eben an einem anschaulichen
Beispiel sehen. Heute sind gewisse
Leute außerordentlich stolz darauf,
den theoretischen Unterschied zu
machen zwischen Recht und Moral. Moral
ist die Schätzung einer Handlung eines
Menschen rein nach inneren
Gesichtspunkten der Seele. Die
Beurteilung einer Handlung, ob sie gut
oder böse ist, wird nur von solchen
inneren Gesichtspunkten der Seele
geleitet. Und man unterscheidet sehr
sorgfältig, gerade in
Weltanschauungsfragen, von dieser
moralischen Beurteilung die rechtliche
Beurteilung, die das äußere
öffentliche Leben angehe, die bestimmt
sein soll durch die Verfügungen, durch
die Maßnahmen des staatlichen oder
sonstigen sozialen öffentlichen
Lebens.
Von dieser Trennung von
Moral und Recht wußte man die ganze
Zeit nichts bis zu jenem Zeitpunkte,
als die neuere technische
wirtschaftliche Entwickelung und der
neuere Kapitalismus heraufzogen. Erst
in den letzten Jahrhunderten wurden
die Impulse des Rechtes und der Moral
auseinandergerissen. Und warum? Weil
die moralische Beurteilung abgewälzt
wurde in jenes freie Geistesleben
hinein, das sich emanzipiert hat, das
aber gegenüber dem äußeren Leben
machtlos geworden ist, das
gewissermaßen nur zum Predigen, zum
Beurteilen da ist, dem aber die Kraft
geschwunden ist, wirklich einzugreifen
in das Leben. Diejenigen Maximen aber,
die in das Leben eingreifen können,
die brauchen, weil sie rein
menschliche Antriebe nicht mehr finden
können, die auf die Moral abgeschoben
sind, wirtschaftliche Antriebe, und
die werden dann in das Recht
umgesetzt. So ist mitten
auseinandergerissen, was im Leben
wirkt: Rechtsbestimmung und ihre
Durchwärmung mit menschlicher Moral —
mitten auseinandergerissen zu einer
Zweiheit, was gerade eine Einheit sein
sollte.
Wer daher die
Entwickelung der modernen Staaten
genauer studiert, der wird finden, daß
gerade die Suggestion des
Einheitsstaates eine Trennung der
Kräfte herbeigeführt hat, die
eigentlich zu einer Einheit
zusammenwirken sollen. Gerade gegen
diese Trennung will der Impuls von der
Dreigliederung des sozialen Organismus
wirken. Schon wenn man das eigentliche
Prinzip dieses Impulses richtig
betrachtet, wird man sehen, daß von
einer Spaltung des Lebens dabei gar
nicht die Rede sein kann.
Das Geistesleben, das
seine eigene Verwaltung haben soll —
steht nicht jeder Mensch zu diesem
Geistesleben, wenn es so, wie ich es
geschildert habe, völlig frei sich
entwickelt, in einer Beziehung? Er
wird in diesem freien Geistesleben
erzogen, er läßt wiederum seine Kinder
erziehen, er hat seine unmittelbaren
geistigen Interessen bei diesem
Geistesleben, er ist mit diesem
Geistesleben verbunden. Und dieselben
Menschen, die auf diese Weise mit
diesem Geistesleben verbunden sind,
die ihre Kraft aus diesem Geistesleben
ziehen, stehen im Rechts- oder
Staatsleben und bestimmen in diesem,
was als Rechtsordnung zwischen ihnen
wirkt. Sie bestimmen aus dem Geiste
heraus, den sie aus diesem
Geistesleben aufnehmen, diese
Rechtsordnung. Diese Rechtsordnung ist
unmittelbar bewirkt durch das, was
durch die Beziehung zum Geistesleben
erworben wird. Und wiederum, was von
Mensch zu Mensch demokratisch auf dem
Boden der Rechtsordnung entwickelt
wird, das, was so der Mensch aufnimmt
als den Impuls seiner Beziehung zu
anderen Menschen, das trägt er, weil
es ja wiederum dieselben Menschen
sind, die zum Geistesleben Beziehungen
haben, im Rechtsleben drinnen-stehen
und wirtschaften, hinein in das
Wirtschaftsleben. Die Einrichtungen,
die er trifft, die Art und Weise, wie
er sich mit anderen Menschen
assoziiert, die Art und Weise, wie er
überhaupt wirtschaftet, das alles ist
durchdrungen von dem, was er im
Geistesleben ausbildet, was er als
Rechtsordnung regelt im
Wirtschaftsleben, denn dieselben
Menschen sind es, die in dem
dreigegliederten sozialen Organismus
drinnen-stehen, und nicht durch
irgendeine abstrakte Ordnung, sondern
durch den lebendigen Menschen selber
wird die Einheit bewirkt. Nur daß
jedes der Glieder seine eigene Natur
und Wesenheit durch seine
Selbständigkeit sich ausbilden und so
gerade in der kraftvollsten Weise zur
Einheit wirken kann. Jedes der Glieder
kann so wirken, während wir eben sehen
können, wie durch die Suggestion des
Einheitsstaates gerade das, was im
Leben zusammengehört, selbst was so
innerlich zusammengehört wie Recht und
Moral, auseinanderfällt. Also nicht um
Zusammengehöriges zu trennen, sondern
um Zusammenwirkendes oder dasjenige,
was zum Zusammenwirken bestimmt ist,
wirklich zum Zusammenwirken zu
bringen, macht sich der Impuls für die
Dreigliederung des sozialen Organismus
geltend.
Das Geistesleben, das
ich gestern geschildert habe, das kann
nur auf seinem eigenen freien Boden
sich entwickeln. Aber wenn es sich auf
seinem eigenen freien Boden
entwickelt, dann wird es, wenn man ihm
zugesteht, daß es gleiches Recht habe
neben den beiden übrigen Gliedern des
sozialen Organismus, nicht ein
lebensfremdes Gebilde sein wie
dasjenige Geistesleben, das sich seit
Jahrhunderten eben lebensfremd und
abstrakt entwickelt hat, sondern es
wird die Stoßkraft entwickeln,
unmittelbar in das wirkliche,
äußerlich wirkliche Rechts- und
Wirtschaftsleben einzugreifen. Es
könnte als ein grotesker, als ein
paradoxer Widerspruch erscheinen, wenn
auf der einen Seite behauptet wird,
das Geistesleben solle völlig
selbständig werden, solle sich aus
seinen eigenen Grundlagen heraus, so
wie ich es gestern geschildert habe,
entwickeln, und es könne doch auf der
anderen Seite eingreifen in die
praktischsten Gebiete des Lebens. Aber
gerade dann, wenn der Geist sich
selber überlassen ist, dann entwickelt
er die Impulse, die das ganze Leben
umfassen können. Denn dieser sich
selbst überlassene Geist, der ist
nicht darauf angewiesen, hinzuhorchen
auf das, was der Mensch in sich
ausbilden soll zum Zwecke irgendeiner
Staatsschablone; er ist nicht bestimmt
dadurch, daß nur derjenige ausgebildet
werden kann, dem eine gewisse
wirtschaftliche Macht zusteht, sondern
es wird aus den Bedingungen
der menschlichen Individualität
heraus, aus der Beobachtung der
menschlichen Fähigkeiten heraus
entwickelt, was zutage treten will in
irgendeiner Generation.
Das aber, was so zutage
treten will in irgendeiner Generation,
das wird, weil der Geist sein
Interesse über das ganze Leben hin
ausdehnt, nicht nur die Natur in ihren
Erscheinungen und Tatsachen umfassen,
sondern das wird vor allen Dingen das
Menschenleben selbst umfassen. Wir
waren verurteilt, unpraktisch zu sein
auf geistigem Gebiete, weil uns für
das freie Geistesleben nur diejenigen
Gebiete überlassen waren, die nicht
eingreifen durften in die äußere
Wirklichkeit. In dem Augenblicke, wo
man dem Geiste es zugestehen wird,
nicht bloß zu registrieren, was
Parlamente als Staatsrecht bestimmen,
sondern wo er von sich aus, wie es
sein soll, das Staatsrecht zu
bestimmen hat, in diesem Augenblicke
wird er das Staatsrecht zu seiner
Schöpfung machen und er wird
eingreifen in das Getriebe, in die
Ordnung der Wirtschaft in dem
Augenblicke, wo man nicht bloß nach
einer sich selbst überlassenen
Wirtschaft, die nach ihren Tatsachen
weiterrollt, ohne daß sie von Gedanken
beherrscht wird, gewisse
Gesichtspunkte und Maximen ausbilden
wird für dieses Wirtschaftsleben,
sondern wenn es dem Geiste überlassen
wird, in dieses Wirtschaftsleben
einzugreifen. Dann wird er sich auch
fähig erweisen zur Lebenspraxis
innerhalb des Wirtschaftskreislaufes.
Man braucht ihm nur die Kraft
zuzugestehen, ins praktische Leben
einzugreifen, dann wird er es tun.
Aber diese Wirklichkeitsanschauung ist
notwendig, daß man den Geist nicht
hermetisch abschließe in die
Abstraktion, sondern daß man ihm den
Einfluß in das Leben gebe. Dann wird
er aus sich heraus jederzeit das
Wirtschaftsleben gerade befruchten,
während es sonst unbefruchtet bleibt
oder nur durch Zufallserscheinungen
befruchtet wird.
Das muß berücksichtigt
werden, wenn man klar sehen will, wie
im dreigliederigen sozialen Organismus
Geist, Recht und Staat und Wirtschaft
zusammenwirken sollen. Über diese
Dinge sind auch sehr einsichtige
Persönlichkeiten der Gegenwart
durchaus im unklaren. Diese
einsichtigen Persönlichkeiten sehen
oftmals, wie sich unter dem
Wirtschaftsleben, das gewissermaßen
von sich den Geist herausgetrieben
hat, Zustände entwickelt haben, die
heute sozial unhaltbar geworden sind.
Da haben wir einen heute sehr
angesehenen Denker über das
Wirtschaftsleben, der findet zum
Beispiel das Folgende. Er sagt: Wenn
wir uns heute das Wirtschaftsleben
anschauen, so sehen wir vor allen
Dingen ein Verbrauchssystem, das im
höchsten Grade zu sozialen Schäden
führt. Die Menschen, die es können,
die verbrauchen dies oder jenes, was
eigentlich nur Luxus ist. — Dieser
Denker weist darauf hin, weiche Rolle
das, was er Luxus nennt, im Leben der
Menschen heute spielt, welche Rolle
das auch spielt im wirtschaftlichen
Leben der Menschen. Gewiß, man kann
das leicht; man braucht nur auf solche
Erscheinungen hinzuweisen, wie zum
Beispiel, wenn sich, sagen wir, heute
eine Dame eine Perlenkette kauft. Das
werden manche heute noch immer für
einen ganz geringen Luxus ansehen.
Aber es wird dabei nicht bedacht, was
innerhalb der heutigen
wirtschaftlichen Struktur diese
Perlenkette eigentlich wert ist. Für
diese Perlenkette, für den Wert dieser
Perlenkette kann man sechs Monate
hindurch fünf Arbeiterfamilien
erhalten! Das hängt die betreffende
Dame um den Hals. Ja, man kann das
einsehen, und man kann aus dem
heutigen Geiste heraus nach Abhilfe
suchen. Der angesehene Denker, den ich
hier im Auge habe, der findet heraus,
daß es notwendig sei, daß der Staat —
selbstverständlich, vom Staat ist
jeder suggeriert! — hohe Luxussteuern
einführe, und zwar solche
Luxussteuern, daß es den Leuten
überhaupt vergeht, solchen Luxus sich
anzuschaffen. Er läßt den Einwand
nicht gelten, den sehr viele machen,
daß wenn man den Luxus besteuere, dann
ja der Luxus nachlasse und der Staat
nichts habe von diesem Luxus. Er sagt:
Nein, das ist gerade richtig, daß der
Luxus aufhört, denn das Besteuern soll
einen sittlichen Zweck haben. Die
menschliche Sittlichkeit soll durch
die Besteuerung gefördert werden.
Sehen Sie, so ist das
Denken. So wenig Glauben hat man an
die Kraft des menschlichen Seelischen,
des menschlichen Geistigen, daß man
das, was aus dem menschlichen
Seelischen, aus dem menschlichen
Geistigen heraussprießen soll,
herstellen will auf dem Wege der
Besteuerung, das heißt des Rechtes!
Kein Wunder, daß man da allerdings
nicht zu einer einheitlichen
Gliederung des Lebens kommt.
Derselbe Denker weist
dann darauf hin, wie Besitzerwerbung
dadurch Unrecht wird, daß in unserem
Leben Monopole möglich sind, daß noch
immer das soziale Leben unter dem
Einflusse des Erbrechtes steht und
dergleichen. Wiederum macht er den
Vorschlag, diese Dinge alle durch die
Steuergesetzgebung zu regeln. Wenn man
vererbten Besitz so stark als möglich
besteuere, dann werde eine
Gerechtigkeit in bezug auf den Besitz,
wie er meint, herauskommen. Ebenso
könnte man durch Staatsgesetze, das
heißt durch rechtliche Maximen, gegen
die Monopole wirken und dergleichen
mehr. Das Merkwürdige ist, daß dieser
Denker sagt: Ja, aber es komme gar
nicht darauf an, daß durch
Staatsgesetze, Steuergesetze und so
weiter dies alles, was er ja in
Aussicht stellt, wirklich bestimmt
werde, denn es zeige sich ja, daß der
Wert solcher Staatsgesetze ein
durchaus anfechtbarer sei, daß solche
Staatsgesetze gar nicht immer das
bewirken, was sie bewirken sollen.
Aber nun sagt er: Darauf komme es
nicht an, daß diese Gesetze
tatsächlich die Sittlichkeit heben,
die Monopole verhindern und so weiter,
sondern es käme auf die Gesinnung an,
aus welcher heraus diese Gesetze
gegeben werden.
Jetzt sind wir ja nun
doch wirklich bei dem absolutesten
Drehen im Kreise angelangt. Ein
angesehener politischer Denker der
Gegenwart sagt ungefähr, was ich Ihnen
hier charakterisiert habe. Gesinnung,
ethische Gesinnung will er durch die
Gesetzgebung hervorrufen; aber es
komme nicht darauf an, daß die Erfolge
dieser Gesetzgebung einträten, sondern
daß die Menschen die Gesinnung zu
dieser Gesetzgebung haben! Es ist der
reine Chinese, der sich an seinem
eigenen Zopfe auffangen will. Es ist
ein merkwürdiger Zirkelschluß, aber
ein Zirkelschluß, der gründlich in
unserem heutigen sozialen Leben
drinnen wirkt. Denn unter dem
Einflusse einer solchen Denkweise
macht man heute das öffentliche Leben.
Und man sieht nicht, daß alle diese
Dinge letzten Endes doch dahin führen,
anzuerkennen, daß die Grundlagen
werden müssen für eine wirkliche
Neugestaltung des sozialen Lebens: das
Geistesleben in seiner
Selbständigkeit, das Rechtsleben in
seiner Selbständigkeit, in seiner
Losgelöstheit vom
Wirtschaftsorganismus, und die freie
Ausgestaltung der
Wirtschaftsorganisation als eine
solche.
Solche Dinge treten
einem besonders deutlich heute
entgegen, wenn man, wie es jetzt zum
Beispiel bei Robert Wilbrandt der
Fall ist, der sein Buch über
Sozialismus schrieb, das eben
erschienen ist, wenn man da sieht, wie
bei außerordentlich wohlmeinenden
Leuten, bei Leuten, die durchaus das
Ethos haben für eine Neugestaltung des
sozialen Lebens, auftritt, ich möchte
sagen, ein leises Hindeuten auf die
absolute Notwendigkeit zum Beispiel
einer geistigen Grundlage des sozialen
Aufbaues, wie aber überall die
Einsicht fehlt, wodurch diese geistige
Grundlage zu erringen sei. Robert
Wilbrandt ist kein Mensch, der bloß
rein aus der Theorie heraus redet.
Erstens redet er aus einem warmen und
sozial begeisterten Herzen heraus.
Zweitens hat er schier die ganze Welt
bereist, um die sozialen Verhältnisse
kennenzulernen, und er schildert in
seinem Buche treulich, wie hart das
Elend dem Menschen heute noch
mitspielt über die ganze zivilisierte
Welt hin. Er gibt anschauliche
Beispiele von dem Elend des
Proletariats in der zivilisierten
Welt. Er deutet aber auch von seinem
Gesichtspunkte an, wie in den
verschiedensten Gebieten, in denen
heute die soziale Frage aktuell
geworden ist, die Leute versucht
haben, an einem Neuaufbau zu arbeiten,
wie sie aber entweder gescheitert
sind, oder wie es sich deutlich zeigt,
wie zum Beispiel im heutigen
Deutschland, daß sie scheitern müssen;
und Robert Wilbrandt ist sich ganz
klar darüber, daß alle die Versuche,
die aus dem heutigen Sinne heraus
gemacht werden, scheitern müssen.
Damit schließt er ungefähr sein Buch.
Nachdem das schon in verschiedenen
Tönen im Verlauf des Textes des Buches
angedeutet worden ist, klingt dann das
ganze Buch in dieser merkwürdigen
Weise aus. Da sagt er: Scheitern
müssen diese Versuche, die da gemacht
werden; zu keinem Aufbau werden sie
wiederum kommen, weil dem sozialen
Organismus heute die Seele fehlt, und
ehe er die Seele bekommt, wird er
keine fruchtbare Arbeit leisten. --
Das Interessanteste ist, daß das Buch
mit diesem Tone schließt, daß es nicht
spricht von der Art und Weise, wie
diese Seele gefunden werden soll.
Das möchte eben der
Impuls für den dreigliederigen
sozialen Organismus: nicht theoretisch
reden, daß Seele notwendig ist, und
warten, bis die Seele von selber sich
einstellt, sondern hinweisen darauf,
wie diese Seele sich entwickeln wird.
Sie wird sich entwickeln, wenn man
herauslöst aus dem Staatsleben und aus
dem Wirtschaftsleben das Geistesleben.
Und dann wird dieses Geistesleben,
wenn es nur den Antrieben folgen kann,
die der Mensch sich selbst für den
Geist gibt, stark werden, um auch in
das übrige praktische Leben eingreifen
zu können. Dann wird sich dieses
Geistesleben so gestalten, wie ich das
Geistesleben gestern zu schildern
versuchte. Dann wird dieses
Geistesleben Wirklichkeit in sich
selber enthalten. Und dann wird man
von diesem Geistesleben sagen können,
daß man in der Lage ist, ihm
aufzubürden, was ihm zum Beispiel
aufgebürdet wird in meinen
«Kernpunkten der sozialen Frage in den
Lebensnotwendigkeiten der Gegenwart
und Zukunft».
Gewiß, man kann heute
hinweisen darauf — und wir haben es im
zweiten Vortrage getan —, wie das
Kapital im sozialen wirtschaftlichen
Prozeß heute wirkt. Allein, wenn man
bloß davon spricht, daß das Kapital
abgeschafft werden soll oder in
Gemeineigentum übergeführt werden
soll, so hat man keinen Begriff davon,
wie eigentlich im wirtschaftlichen
Leben drinnen, besonders unter den
heutigen Produktionsverhältnissen, das
Kapital wirkt, wie es notwendig ist,
daß die Kapitalansammlungen
stattfinden, damit die befähigten
Menschen durch die Verwaltung dieser
Kapitalmassen gerade zum Gemeindienste
wirken können. Deshalb wurde im Grunde
genommen in meinen «Kernpunkten der
sozialen Frage» die Kapitalverwaltung
abhängig gemacht von dem Geistesleben
unter Mitwirkung des selbständigen
Rechtslebens. Während wir heute sagen,
daß das Kapital selber wirtschaftet,
wird verlangt von dem Impuls für die
Dreigliederung des sozialen
Organismus, daß es zwar immer möglich
sein müsse, Kapitalansammlung zu
bilden, daß es möglich sein müsse, daß
diese Kapitalansammlung verwaltet
werden könne von demjenigen, der für
irgendeinen Betrieb die nötigen
Fähigkeiten aus dem geistigen Leben
heraus entwickelt hat, daß aber diese
Kapitalansammlungen nur so lange von
demjenigen, der sie angesammelt hat,
verwaltet werden sollen, als er sie
selbst verwalten kann. In dem
Augenblicke, oder wenigstens bald nach
diesem Augenblicke — auf das einzelne
brauchen wir heute nicht einzugehen —,
wenn der Betreffende nicht mehr mit
seinen Fähigkeiten selbst hinter der
Verwaltung des Kapitals stehen kann,
hat er dafür zu sorgen, oder wenn er
sich dazu unfähig fühlt, hat er
irgendeine Korporation des
Geisteslebens, die da sein muß, dafür
sorgen zu lassen, daß dieser Betrieb
wiederum an einen Fähigsten, der ihn
verwalten kann zum Gemeindienste,
übergehen könne. Das heißt: Die
Überleitung eines Betriebes an eine
Persönlichkeit oder Personengruppe ist
nicht gebunden an Kauf oder an
sonstigen Kapitalübergang, sondern ist
gebunden an das, was sich aus den
Fähigkeiten der Menschen selbst
ergibt, von den Fähigen an die
Fähigen, von denjenigen, die im
Gemeinschaftsdienste arbeiten können
an diejenigen, die wiederum im
Gemeinschaftsdienste in der besten
Weise arbeiten können. Von diesem
Übergange hängt das soziale Heil der
Zukunft ab. Dieser Übergang wird aber
nicht ein wirtschaftlicher sein, wie
er es jetzt ist, sondern
dieser Übergang wird aus Impulsen der
Menschen erfolgen, die er bekommt aus
dem selbständigen Geistesleben und aus
dem selbständigen Rechtsleben. Es
werden sogar Korporationen im
Geistesleben vorhanden sein, verbunden
mit allen anderen Gebieten des
Geisteslebens, denen sozusagen die
Verwaltung des Kapitals obliegt.
So konnte ich an die
Stelle des Übergangs der
Produktionsmittel an die Gemeinschaft
die Zirkulation der Produktionsmittel
im sozialen Organismus setzen, den
Übergang vom Fähigen zum Fähigen, das
heißt, die Zirkulation; und diese
Zirkulation hängt ab von der
Selbständigkeit des Geisteslebens, der
sie gewissermaßen untersteht, von der
sie bewirkt wird. So daß man sagen
kann: In dem, was im eminentesten
Sinne im Wirtschaftskreislauf
drinnensteht, wirkt, was als Kraft im
Geistesleben vorhanden ist, im
Rechtsleben vorhanden ist. Man kann
sich die Einheit im Wirtschaftsleben
nicht geschlossener denken, als sie
bewirkt wird durch solche Maßnahmen.
Aber die Strömung, die sich dem
Wirtschaftsleben eingliedert, kommt
aus dem selbständigen Geistesleben,
aus dem selbständigen Rechtsleben her.
Der Mensch wird nicht mehr dem Zufall
preisgegeben sein, der da wirkt durch
bloßes Angebot und Nachfrage oder
durch die sonstigen Faktoren, die
heute im Wirtschaftsleben tätig sind,
sondern in dieses Wirtschaftsleben
wird hereinwirken Vernunft und
rechtliche Beziehung zwischen Mensch
und Mensch. Also zusammenwirken wird
Geist, Recht und Wirtschaft, wenn sie
auch getrennt voneinander verwaltet
werden, weil der Mensch aus einem
Gebiete in das andere — er gehört
allen dreien an -- dasjenige
hineintragen wird, was hineinzutragen
ist. Allerdings werden sich die
Menschen von manchem Vorurteil frei
machen müssen, wenn diese Dinge nach
und nach zustande kommen sollen.
Heute ist man sich noch
durchaus klar darüber, daß
Produktionsmittel, daß Grund und Boden
Dinge des Wirtschaftslebens sind. Der
Impuls der Dreigliederung des sozialen
Organismus verlangt, daß im
Wirtschaftsleben nur verwaltet werden
die gegenseitigen Werte, an die
angenähert werden sollen die Preise,
so daß bloß die Preisbestimmung
dasjenige ist, was eigentlich zuletzt
aus der Wirtschaftsverwaltung
herauskommt.
Diese Preisbestimmung
aber zu einer gerechten zu machen, ist
unmöglich, wenn im Wirtschaftsleben
drinnen wirkt das Produktionsmittel
als solches und der Grund und Boden
als solcher. Die Verfügung über Grund
und Boden, was sich heute im
Eigentumsrecht von Grund und Boden
konzentriert, und die Verfügung über
die fertigen Produktionsmittel können
keine wirtschaftliche Angelegenheit
sein, sondern die sollen zum Teil eine
geistige, zum Teil eine rechtliche
Angelegenheit sein. Das heißt, die
Überleitung von Grund und Boden von
einer Person oder Personengruppe auf
eine andere soll nicht durch Kauf oder
Erbschaft, sondern durch eine
Übertragung auf dem Rechtsboden
beziehungsweise aus den Prinzipien des
geistigen Lebens heraus erfolgen. Das
Produktionsmittel, also dasjenige,
wodurch in der Industrie oder
dergleichen produziert wird, das
vorzugsweise der Kapitalbildung
zugrunde liegt, kann nur solange etwas
kosten, bis es fertig ist. Ist es
fertig, dann verwaltet es derjenige,
der es zustande gebracht hat, weil er
es am besten versteht, so lange als er
selbst mit seinen Fähigkeiten bei
dieser Verwaltung dabei sein kann.
Aber es ist ferner nicht ein Gut, das
verkauft werden kann, sondern das nur
durch Rechts- beziehungsweise durch
geistige Bestimmung, die durch das
Recht realisiert wird, von einer
Person oder Personengruppe auf eine
andere Person oder Personengruppe
übertragen werden kann.
So wird dasjenige, was
heute zu Unrecht im Wirtschaftsleben
drinnensteht, das
Eigentumsverfügungsrecht, das Grund-
und Bodenverfügungsrecht, das
Verfügungsrecht über die
Produktionsmittel, gestellt auf den
selbständigen Rechtsboden unter
Mitwirkung des selbständigen
Geistesbodens.
Fremd mögen den
heutigen Menschen noch diese Ideen
anmuten.Aber das ist ja gerade das
Traurige, das Bittere, daß sie den
gegenwärtigen Menschen fremd anmuten.
Denn erst dadurch, daß diese Dinge
wirklich einziehen in die
Menschengeister, in die Menschenseelen
und auch in die Menschenherzen, so daß
sich die Menschen sozial im Leben nach
ihnen verhalten, erst dadurch kann
dasjenige kommen, was so viele
Menschen auf ganz andere Art
herbeiführen wollen, aber niemals
werden herbeiführen können. Das ist
es, was man endlich einsehen sollte:
daß manches, was heute noch paradox
erscheint, einem wirklich gesundenden
sozialen Leben als etwas
Selbstverständliches erscheinen wird.
Nicht aus den Leidenschaften, aus den
Antrieben und Emotionen heraus, aus
denen heute oftmals soziale
Forderungen gestellt werden, stellt
der Impuls für die Dreigliederung des
sozialen Organismus seine sozialen
Forderungen. Er stellt sie aus einem
Studium der wirklichen Entwickelung
der Menschheit in der neueren Zeit und
bis in die Gegenwart herein. Er sieht
zum Beispiel, wie im Laufe langer
Jahrhunderte eine soziale Form die
andere abgelöst hat. Gehen wir zurück
hinter das letzte Mittelalter — es hat
sich noch etwas hineinerstreckt ins
letzte Mittelalter, namentlich in der
europäischen zivilisierten Welt —, so
finden wir das gesellschaftliche Leben
in einer solchen Struktur, daß wir
sprechen können von einer
Machtgesellschaft. Diese
Machtgesellschaft war dadurch
heraufgekommen, daß, um nur ein
Beispiel anzuführen, meinetwillen
irgendein Eroberer mit einer
Gefolgschaft sich irgendwo seßhaft
gemacht, seine Gefolgschaft
gewissermaßen zu seiner Arbeiterschaft
gemacht hat. Dann wurde dadurch, daß
der Führer angesehen wurde vermöge
seiner individuellen Eigenschaften,
individuellen Tüchtigkeit oder
vermeintlichen individuellen
Tüchtigkeit, das soziale Verhältnis
zustande gebracht zwischen seiner
Macht und der Macht derer, die er erst
anführte und die dann seine Diener
beziehungsweise seine Arbeiterschaft
waren. Da ging gewissermaßen als das
Maßgebliche für den sozialen
Organismus dasjenige, was in einem
entsprang oder in einer
aristokratischen Gruppe, auf die
Gesamtheit über, das lebte in der
Gesamtheit weiter. Der Wille, der in
der Gesamtheit war, war gewissermaßen
in dieser Machtgesellschaft nur die
Abzeichnung, die Projektion des
Einzelwillens.
Unter dem Einflusse der
neueren Zeit, der Arbeitsteilung, des
Kapitalismus, der technischen Kultur,
trat an die Stelle dieser
Machtgesellschaft, aber durchaus ihre
Impulse fortsetzend unter den Menschen
und dem menschlichen Zusammenleben,
die Tauschgesellschaft. Was der
einzelne hervorbrachte, wurde zur
Ware, die er mit dem anderen
austauschte. Denn schließlich ist die
Geldwirtschaft auch nichts anderes,
insofern sie Verkehr mit dem anderen
einzelnen oder mit der anderen Gruppe
ist. Es ist ein Tauschverkehr. Die
Gesellschaft ist eine
Tauschgesellschaft geworden. Während
in der Machtgesellschaft die
Gesamtheit es zu tun hat mit dem
Willen des einzelnen, den sie
aufnimmt, hat es die
Tauschgesellschaft, in der wir noch
mitten drinnen sind und aus der ein
großer Teil der heutigen Menschheit
herausstrebt, zu tun mit dem Willen
des einzelnen, der gegen den Willen
des einzelnen steht, und aus dem
Zusammenwirken von Einzelwille zu
Einzelwille entsteht erst, wie ein
Zufallsergebnis, der Gesamtwille. Da
sprießt auf aus dem, was von einzelnem
zu einzelnem geschieht, was sich
bildet als Wirtschaftsgemeinschaft,
was sich bildet als Reichtümer, was
sich herausbildet in der Plutokratie
und so weiter. In all dem wirkt aber
dasjenige drinnen, was zu tun hat mit
dem Aufeinanderprallen von
Einzelwillen auf Einzelwillen.
Es ist kein Wunder, daß
die alte Machtgesellschaft nicht nach
irgendeiner Emanzipation des Geistigen
streben konnte. Denn derjenige, der
der Führer war, wurde vermöge seiner
Tüchtigkeit auch anerkannt als der
Führer des Geistigen und als der
Führer der Rechtsordnung. Es ist aber
auch begreiflich, daß das Rechts-, das
Staats-, das politische Prinzip in der
Tauschgesellschaft besonders
überhandgenommen hat. Haben wir doch
gesehen, worauf das Recht eigentlich
beruhen will, wenn auch dieses Wollen
nicht zum richtigen Ausdrucke kommt in
der heutigen sozialen Ordnung. Das
Recht hat es eigentlich zu tun mit
dem, was der einzelne Mensch als ein
gleicher dem anderen gegenüber, der
ihm gleich ist, auszumachen hat. In
der Tauschgesellschaft hat der
einzelne mit dem einzelnen zu tun. So
hat die Tauschgesellschaft das
Interesse, ihr Wirtschaftsleben, wo
auch der einzelne mit dem einzelnen zu
tun hat, in ein Rechtsleben
umzuwandeln, das heißt, zu
Rechtssatzungen umzugestalten, was
wirtschaftliche Interessen sind.
Geradeso wie die alte
Machtgesellschaft übergegangen ist in
eine Tauschgesellschaft, so strebt
heute aus innersten Impulsen der
Menschheitsentwickelung heraus diese
Tauschgesellschaft in eine neue
Gesellschaft hinein, namentlich auf
wirtschaftlichem Boden. Denn die
Tauschgesellschaft ist nach und nach,
indem sie sich angeeignet hat das
Geistesleben, es unfrei gemacht hat,
lebensfremd gemacht hat, eine bloße
Wirtschaftsgesellschaft geworden, und
sie wird als solche gefordert von
gewissen radikalen Sozialisten. Aber
aus tiefsten Impulsen der heutigen
Menschheit heraus will diese
Tauschgesellschaft, namentlich auf
wirtschaftlichem Gebiete, in das
übergehen, was ich nennen möchte —
wenn auch der Name etwas hinkt, es ist
aber eben eine neue Sache, und man hat
in der Regel für die neuen Sachen
nicht zutreffende Bezeichnungen, die
ja aus der Sprache heraus gebildet
werden müssen — die
Gemeingesellschaft. Es muß übergehen
die Tauschgesellschaft in die
Gemeingesellschaft.
Wie wird diese
Gemeingesellschaft gestaltet sein?
Geradeso wie in der Machtgesellschaft
der Einzelwille oder der Wille einer
Aristokratie, also auch eine Art
Einzelwille, gewissermaßen fortwirkt
in der Gesamtheit, so daß die
einzelnen in ihren Wollungen nur
darstellen Fortsetzungen des Willens
der einzelnen, und wie die
Tauschgesellschaft zu tun hatte mit
dem Aufeinanderprallen von Einzelwille
auf Einzelwille, so wird es die
wirtschaftliche Ordnung der
Gemeingesellschaft zu tun haben mit
einer Art von Gesamtwille, der nun
umgekehrt auf den Einzelwillen
zurückwirkt. Denn ich habe es im
zweiten Vortrage auseinandergesetzt,
wie auf dem Gebiete des
Wirtschaftslebens Assoziationen der
verschiedenen Produktionszweige
auftreten sollen, Assoziationen von
Produktionszweigen mit den
Konsumierenden, so daß überall sich
die Wirtschaftenden und auch die
wirtschaftlich Konsumierenden
zusammenschließen sollen. Die
Assoziationen werden Verträge
miteinander schließen. Es wird sich
innerhalb von Gruppen, die größer oder
kleiner sind, eine Art von Gesamtwille
bilden. Nach diesem Gesamtwillen
streben ja viele sozialistisch sich
Sehnende. Nur stellen sie sich die
Sache oftmals in einer höchst
unklaren, durchaus nicht vernünftigen
Weise vor.
Geradeso wie in der
Gewaltgesellschaft, in der
Machtgesellschaft der Einzelwille in
der Gesamtheit gewirkt hat, so wird in
der Gemeingesellschaft der Zukunft ein
gemeinsamer Wille, ein Gesamtwille in
dem einzelnen wirken müssen.
Wie aber wird das
möglich sein? Was muß in dem
Gesamtwillen — er muß ja entstehen
durch das Zusammenwirken der
Einzelwillen, die Einzelwillen müssen
etwas ergeben, was keine Tyrannis ist,
keine demokratische Tyrannis ist für
den einzelnen, innerhalb dessen sich
der einzelne frei fühlen kann —, was
muß denn drinnenstecken in diesem
Gesamtwillen? In diesem Gesamtwillen
muß drinnenstecken, was die einzelne
Seele und der einzelne menschliche
Geist aufnehmen können, womit sie sich
einverstanden erklären können,
worinnen sie sich einleben können. Das
heißt, das, was im einzelnen Menschen
lebt, Geist und Seele, das muß im
Gesamtwillen der Gemeingesellschaft
leben. Das ist nicht anders möglich,
als wenn diejenigen, die diesen
Gesamtwillen ausgestalten, aus dem
Einzelwillen heraus in sich tragen in
ihrem Wollen, in ihrem Empfinden, in
ihrem Vorstellen das völlige
Verständnis für den einzelnen
Menschen. Einfließen muß in diesen
Gesamtwillen, was der einzelne Mensch
als sein eigenes Geistiges und
Seelisches und Leibliches empfindet.
Dann muß es aber hineingelegt werden.
Anders war das in der
instinktiven Machtgesellschaft, wo der
einzelne anerkannt wurde von der
Gesamtheit, weil die einzelnen in der
Gesamtheit nicht geltend machten ihren
eigenen Willen; anders war es in der
Tauschgesellschaft, wo der Einzelwille
aufgeprallt ist und eine Art
Zufallsgemeinsamkeit herausgekommen
ist; anders aber muß es sein, wenn ein
organisierter Gesamtwille auf den
einzelnen wirken soll. Dann darf
niemand, der an der Gestaltung dieses
Gesamtwillens teilnimmt, unverständig
sein gegenüber dem, was das wahrhaft
Menschliche ist. Dann darf man nicht
mit einer abstrakten
Naturwissenschaft, mit einer
Naturwissenschaft, die bloß auf die
äußere Natur gerichtet ist und die
niemals den ganzen Menschen verstehen
kann, heranrücken an die
Lebensanschauung. Dann muß man mit
Geisteswissenschaft an die
Lebensanschauung heranrücken, mit
jener Geisteswissenschaft, die, weil
sie den ganzen Menschen umfaßt nach
Leib, Seele und Geist, auch
empfindungsgemäß und willensgemäß ein
Verständnis hervorruft für diesen
einzelnen Menschen.
Will man daher eine
gemeinschaftliche Wirtschaftsordnung
hervorrufen, wird man sie nur
hervorrufen können, wenn man sie wird
beseelen können aiu dem selbständigen
Geistesleben heraus. So wird nur
möglich sein, eine gedeihliche Zukunft
zu gestalten, wenn es andererseits
wird geschehen können, daß
widerstrahlt, was in freiem
Geistesleben gedacht ist, aus dem
Wirtschaftsleben heraus. Und dieses
freie Geistesleben wird sich nicht als
unpraktisch erweisen, es wird sich als
sehr praktisch erweisen. Nur wer im
unfreien Geistesleben verweilt, kann
so leben, daß er nachdenkt über das
Gute, daß er nachdenkt über das Böse,
über das Richtige und über das Wahre,
über das Schöne und über das Häßliche,
und das nur im Inneren seiner Seele
besteht. Derjenige aber, der den Geist
als etwas Lebendiges durch
Geisteswissenschaft anschaut, durch
geisteswissenschaftliche Erkenntnis
ergreift, der wird insbesondere in
bezug auf das Menschenleben praktisch
in allen seinen Handlungen. Was er aus
der Geistanschauung in sich aufnimmt,
das geht unmittelbar in die Hände, das
geht in jede Lebensverrichtung über,
das gestaltet sich wirklich so, daß es
sich hineinleben kann in das
unmittelbare praktische Leben. Nur
eine aus dem praktischen Leben
verdrängte Geisteskultur wird
lebensfremd. Eine Geisteskultur, der
man Einfluß gestattet auf das
praktische Leben, die entwickelt sich
zur Praxis. Ich möchte sagen: Wer das
geistige Leben wirklich kennt, der
weiß, wie wenig jenem geistigen
Element, das seinem eigenen Antrieb
überlassen ist, das praktische Leben
fernsteht. Ich möchte sagen: Der ist
kein guter Philosoph, der nicht im
richtigen Augenblicke auch Holz hacken
kann, denn wer eine Philosophie
begründen will, ohne daß er Hand
anlegen kann an das unmittelbar
praktische Leben, der begründet keine
Lebensphilosophie, der begründet eine
lebensfremde Philosophie. Praktisch
ist das wirkliche Geistesleben.
Unter den Einflüssen,
die im Laufe der Jahrhunderte
heraufgezogen sind, kann man es
begreifen, wenn heute gerade Menschen,
die innerhalb des heutigen
Kulturlebens, des heutigen führenden
Geisteslebens stehen wie zum Beispiel
Robert Wilbrandt, der seine
Sozialisierung aus einer wirklichen
guten Meinung heraus, aus einem
wirklichen sozialen Ethos heraus
geschrieben hat, doch sagen: Es kann
keine praktische Aufbauarbeit
geleistet werden, weil die Seele fehlt
—, wenn sie sich nicht dazu
aufschwingen können, nach der Realität
der Seelenbildung, der
Seelengestaltung zu fragen, sich nicht
entschließen können zu fragen: Was
bewirkt ein wirkliches freies
Geistesleben auch für das Staats-,
auch für das Wirtschaftsleben? Dieses
freie Geistesleben wird in der
richtigen Weise zusammenwirken, wie
ich gezeigt habe, mit dem
Wirtschaftsleben. Dann aber wird auch
das Wirtschaftsleben, das mit dem
Staats- und Geistesleben
zusammenwirken kann, jederzeit solche
Menschen ausbilden können, die
wiederum die Anregung geben dem
Geistesleben.
Ein freies, unmittelbar
wirkliches Zusammenleben wird durch
die Dreigliederung des sozialen
Organismus bewirkt. Daher möchte man
den Menschen, die heute aus einem
Instinkt heraus, aber durchaus nicht
aus einem wirklichen Lebensmute
heraus, nach einer unbestimmten Seele,
nach einem unbestimmten Geist
verlangen, entgegenrufen: Lernet
erkennen, was die Wirklichkeit des
Geistes ist; gebet dem Geiste, was des
Geistes ist, gebet der Seele, was der
Seele ist, und es wird auch dem
Wirtschaftsleben erscheinen, was der
Wirtschaft ist.
Fragenbeantwortung nach dem
fünften Vortrag
Hier ist zunächst die
Frage gestellt:
Ich fürchte, daß durch
die Dreigliederung des sozialen
Organismus ein ewiger Schematismus
erzeugt werden wird, wie derjenige des
deutschen Idealismus, speziell Kants
war, der das gesamte reiche
Geistesleben in das Schema der
Dreigliedrigkeit von Denken, Fühlen
und Wollen hineingepreßt hat.
Verzeihen Sie,
wenn ich zunächst auf etwas
Persönliches hinweise. Ich habe mir in
den verschiedensten Büchern — und es
ist ja eine große Reihe, die ich
geschrieben habe, eine viel zu große —
die Aufgabe gestellt, das Unrichtige,
das Verwerfliche in einer gewissen
Beziehung sogar des Kantianismus in
der Weltanschauung darzulegen. Es ist
das heute noch ein recht unpopuläres
Geschäft. Und ich habe insbesondere
immer wiederum auf das Ungesunde der
kantianischen Denkweise aus dem Grunde
hinweisen müssen, weil ich fühlte, wie
ein aus der Wirklichkeit heraus
gestaltetes und geformtes Denken dem
kantischen genau entgegengesetzt ist.
Man möchte sagen: Das kantische Denken
ist deshalb so beliebt, weil es
schematisiert. Wer meine Vorträge hier
verfolgt hat, der wird finden, daß ich
ja zwar auch Worte gebrauchen muß, daß
aber schematischen Geist in diesen
Worten, in diesen Auseinandersetzungen
nur finden könnte, wer ihn selbst erst
hineinträgt. In der Art und Weise, wie
ich versuche, die Wirklichkeit
anzusehen, liegt wirklich nichts
Schematisierendes, sondern, wenn man
überhaupt redet — man kann da das
Reden für unnütz halten, das tun ja
doch nur wenige Menschen heute —, so
muß man sich der Worte bedienen, und
dann handelt es sich nur darum, daß
man in der richtigen Weise verstanden
wird. Ich spreche nicht so, daß ich
irgendein philosophisches Thema im
Auge habe, sondern ich möchte das
Ganze des Lebens ins Auge fassen.
Bei der Gelegenheit ist
es schon notwendig, etwas Persönliches
zu berühren. Ich habe ja mein sechstes
Lebensjahrzehnt bald vollendet und
habe tatsächlich manches durchgemacht,
bin durch mein Schicksal getragen
worden in mancherlei Lebensgebiete,
habe kennenlernen können, was in den
verschiedensten Klassen, Ständen der
heutigen Menschen lebt, und zwar so
kennenlernen, daß da wahrhaftig kein
Schematismus zugrunde lag, sondern daß
ich eben das volle Leben hinnehmen
konnte. Und aus diesem vollen Leben
heraus haben sich mir deshalb
Anschauungen ergeben, die manche
Menschen aus dem Grunde nicht gleich
verständlich finden, weil eben gerade
der Schematismus, der heute so beliebt
ist, nicht genügt zu ihrem
Verständnisse, sondern weil man einen
gewissen Lebensinstinkt braucht, um
diese Dinge in der richtigen Weise zu
wissen. Allerdings, eines habe ich --
trotzdem ich kennengelernt habe
Parteimänner von der äußersten Rechten
zur radikalsten Linken und auch in der
Mitte -- nie fertiggebracht: selber
einer Partei anzugehören. Vielleicht
verdanke ich gerade diesem Umstande —
wenigstens nach meinem eigenen Glauben
ist es so — eine gewisse
Unbefangenheit.
Nun soll das, was ich
für die Dreigliederung des sozialen
Organismus vorbringe, wahrhaftig nicht
irgendeinem Schematismus entsprechen,
sondern überall, wo man das Leben
anfaßt, zeigt es sich in dieser
Dreigliederung. Lesen Sie in meinem
Buche «Von Seelenrätseln» nach: da
handelt es sich nicht um einen
Schematismus, nach dem ich etwa den
ganzen menschlichen natürlichen
Organismus einteilen will, wie Kant so
fein säuberlich das Geistesleben in
seine drei Abteilungen eingeteilt hat,
sondern da ist es so, daß da wirklich
drei Glieder ineinanderwirken. Das ist
nicht Schematismus, wenn man irgend
etwas von der Wirklichkeit beschreibt,
wo es ankommt auf die drei Glieder und
dabei diese drei Glieder namhaft
macht. Es ist etwas ganz anderes, wenn
man einteilt nach subjektiven
Gesichtspunkten, als wenn man
versucht, die Wirklichkeit
wiederzugeben. Und das liegt gerade
der Denkweise zugrunde, die hier
geltend gemacht wird: daß die
Wirklichkeit als solche genommen wird,
daß nichts behauptet wird, was nicht
gerade von der Wirklichkeit selber
diktiert wird.
Ich möchte es Ihnen
durch ein Beispiel klarmachen: Ich
habe in einer kleinen süddeutschen
Stadt einmal einen Vortrag gehalten
über die Weisheit des Christentums. Da
waren auch zwei katholische Pfarrer.
Und weil der Vortrag gerade nichts
enthielt, was sie inhaltlich anfechten
konnten, so kamen sie nachher zu mir
und sagten: Ja, sehen Sie, wir können
ja nichts sagen gegen das, was Sie
heute vorgebracht haben; aber Sie
bringen das so vor, daß Sie nur zu
einigen Menschen sprechen, die gerade
durch ihre Bildung prädestiniert sind,
sich diese Dinge anzuhören, während
wir zu allen Menschen sprechen. — Ich
sagte damals: Ja, wissen Sie, daß Sie
und ich, daß wir uns etwa einbilden,
wir sprechen zu allen Menschen, das
ist subjektiv, das wird sich im Grunde
genommen jeder Mensch einbilden
können; denn warum sollte er denn
sonst überhaupt zu Menschen sprechen,
wenn er nicht glaubte, daß das
allgemein gültig und einleuchtend ist,
was er sagt. Aber auf dieses
Subjektive kommt es gar nicht
an. Es kommt darauf an, ob die
objektiven Tatsachen sprechen und man
im Sinne dieser objektiven Tatsachen
sich verhält. Und nun frage ich Sie:
Sie sagen, Sie sprechen zu allen
Menschen; das ist Ihre subjektive
Meinung, auch Ihr subjektives
Bestreben meinetwillen; aber gehen
alle Menschen zu Ihnen in die Kirche?
Das würde der Beweis sein, daß Sie zu
allen Menschen sprechen. — Da konnten
sie natürlich nicht sagen: Ja, das sei
so. Denn da sprachen die Tatsachen,
nicht die subjektiven Meinungen. Nun
sagte ich: Das nehmen wir jetzt als
eine Tatsache, und zu denen, die nicht
zu Ihnen in die Kirche gehen, zu denen
spreche ich, denn die haben auch ein
Recht, vom Christus zu hören.
So läßt man die
Wirklichkeit sprechen. Da
schematisiert man wahrhaftig nicht,
richtet sich überhaupt nicht nach
Subjektivem, sondern versucht zu
deuten, was wirkliche Zeitimpulse
sind. Aus solchen wirklichen
Zeitimpulsen heraus will gesprochen
werden.
Denken Sie sich
die Dreigliederung der sozialen
Ordnung innerhalb der bestehenden
Staaten durchgeführt oder wie? Das
heißt, ist der heutige Staat der
Rahmen mit seinen politischen
Grenzen auch in der neuen Ordnung?
Nun,es ist nur möglich,
irgend etwas fruchtbar zu
gestalten,wenn man nicht alles kurz
und klein schlagen will, sondern wenn
man auf die wirkliche Entwickelung
bedacht ist, wenn man im Sinn der
wirklichen Entwickelung arbeitet. Sie
haben vielleicht schon bemerken
können, wie gerade innerhalb der Ideen
vom dreigliederigen sozialen
Organismus hingearbeitet wird nach
einer Ausgestaltung des Lebens aus
geisteswissenschaftlichen Grundlagen
heraus. Diese
geisteswissenschaftlichen Grundlagen
werden auch das ergeben, was
angesehene Denker heute vermissen,
nämlich eine wirkliche
Wirtschaftswissenschaft. Was heute
Wirtschaftswissenschaft genannt wird,
das sind ja nur zusammengetragene
Brocken aus einzelnen Beobachtungen.
Das ist nicht etwas, was wirklich ein
Impuls für das soziale Wollen werden
könnte. Eine wirkliche
Wirtschaftswissenschaft kann eben nur
aus geisteswissenschaftlichen
Grundlagen erwachsen.
Da wird sich mancherlei ergeben in
bezug auf die Übergrenzung der
sozialen Organisationen. So werden
sich zum Beispiel Gesetze aus dem
Wirtschaftsleben heraus selbst
ergeben, wie Wirtschaftsgebiete,
Wirtschaftsterritorien in sich
abgegrenzt werden sollen, so daß man
auf eine Zukunft blicken kann, über
die man etwa in der folgenden Art
sprechen müßte. Eine wirkliche
Wirtschaftswissenschaft zeigt: Wenn
die Assoziationen, von denen ich im
zweiten und im heutigen Vortrage
gesprochen habe, zu groß werden, dann
sind sie nicht mehr wirtschaftlich
möglich; wenn sie zu klein werden,
sind sie auch nicht mehr
wirtschaftlich möglich. Durch die
inneren Bedingungen eines
Wirtschaftsterritoriums, durch die
mannigfaltige Produktion, durch die
mannigfaltigen Zweige, mannigfaltigen
Gebiete, die da sind, ist auch die
Größe dieses Territoriums bestimmt.
Wollte ich das Gesetz für diese Größe
aussprechen, so müßte ich etwa sagen:
zu kleine Wirtschaftsgebiete
irgendwelcher Art wirken dadurch
schädlich, daß sie die assoziierten
Menschen nicht aufkommen lassen,
gewissermaßen die assoziierten
Menschen verhungern lassen; zu große
Wirtschaftsterritorien dagegen wirken
so, daß sie die außerhalb des
Territoriums Befindlichen schädigen,
verhungern lassen. Man kann
tatsächlich für kleinere
Wirtschaftsgesichtspunkte und auch für
größere Wirtschaftsgesichtspunkte aus
inneren Gesetzen heraus die Größe der
Wirtschaftsterritorien bestimmen
lassen. Und es ist auch gar nicht
geboten — ich werde davon noch zu
sprechen haben —, wenn der soziale
Organismus wirklich dreigegliedert
ist, daß die Geistesgrenzen mit den
Wirtschaftsgrenzen oder mit den
Rechtsgrenzen zusammenfallen. Ein
großer Teil des Unheiles in der
Gegenwart, das sich entladen hat in
dieser furchtbaren
Weltkriegskatastrophe — die, wie ich
am Ende des gestrigen Vortrages
auseinandergesetzt habe, durchaus
nicht zu Ende ist —, beruht darauf,
daß man eben unter dem Einheitsstaat
überall wirtschaftliche, politische
und Geisteskulturgrenzen hat
zusammenfallen lassen. Es handelt sich
also darum, daß aus einer inneren
Gesetzmäßigkeit, aus dem lebendigen
Leben selbst heraus die Größe der
Territorien sich ergeben wird.
Aber man muß mit der
Entwickelung rechnen. Deshalb muß
zunächst der Anfang gemacht werden mit
dem Gegebenen. Und da kann man sagen:
Zunächst wird sich allerdings
herausstellen, daß die historischen
Körperschaften und Gebilde hinarbeiten
müssen nach diesem Impuls der
Dreigliederung des sozialen
Organismus. Dann aber, wenn sie diese
in gesunder Weise, ich will nicht
sagen, durchgeführt haben, sondern in
sich haben, dann wird aus dem Gesetze
des Lebens, das sich dann ergibt,
schon das andere hervorgehen.
Also diese Dinge
dürften nicht theoretisch beantwortet
werden, sondern lebensgemäß. So daß
man sagt: Was sich etwa morgen ergibt,
das wird erst die Grundlage sein für
das Übermorgen. Also es handelt sich
darum, auf ein Leben hinzuweisen,
nicht irgendwelche Programme zu
erfinden. Solche Programme sind
furchtbar billig, und es sind ihrer
wahrhaftig schon genug erfunden
worden.
Wird sich wesentlich
die Behandlung der agrarischen
Produktionsmittel von derjenigen der
industriellen unterscheiden?
Die Behandlung der
agrarischen Produktionsmittel, also
vorzugsweise des Grundes und Bodens —
denn insoferne andere
Produktionsmittel in Betracht kommen,
sind sie ja auch industrielle
Produktionsmittel —, tritt einem
besonders heute auf dem Boden
desjenigen Kampfes entgegen, der
geführt wird von den Bodenreformern.
Sie können ja leicht das, was da in
Betracht kommt, sich aneignen, wenn
Sie zurückgehen auf den zunächst
originellsten Bodenreformer, auf Henry
Georges «Fortschritt und
Armut» und auf sein Bestreben, durch
die sogenannte «single tax» die
Ungerechtigkeiten der
gesellschaftlichen Ordnung, welche
durch die Bodenverteuerung bewirkt
werden können, auszugleichen,
auszumerzen. Gewinnen kann unter
Umständen derjenige, der am
Bodenbesitz nicht die geringste Arbeit
geleistet hat. So wird von dieser
Seite her versucht, zunächst die
agrarischen Produktionsmittel, in
gewissen Grenzen wenigstens, in den
Dienst der Gemeinsamkeit zu stellen.
Nun hatte ich einmal
vor vielen Jahren eine Diskussion mit
Damaschke, der ja in
gewissem Sinne durchaus auf Henry
George fußt, und ich sagte ihm
dazumal: Es dürfen nicht ohne weiteres
die agrarischen Produktionsmittel mit
den industriellen Produktionsmitteln
verwechselt werden, denn es besteht
ein beträchtlicher Unterschied, der
einen Unterschied in der Wirkung der
Produktionsmittel, des einen und des
anderen, für die ganze soziale Ordnung
bedingt. Der Boden hat eine bestimmte
Größe, der Boden ist nicht elastisch.
Wenn zwei Häuser nebeneinanderstehen,
aneinandergrenzen, so kann man auch
nicht den Boden, auf dem sie stehen,
auseinanderziehen, so daß zwischen sie
ein drittes Haus gebaut werden kann.
Dagegen können industrielle
Produktionsmittel, ich möchte sagen,
in Elastizität gehalten werden, können
vermehrt werden. Das bewirkt einen
großen Unterschied. Deshalb muß beides
verschieden behandelt werden. Es darf
also nicht etwa die
sozialdemokratische Theorie, die
vorzugsweise zugeschnitten ist auf die
industriellen Produktionsmittel, ohne
weiteres auf das Produktionsmittel
Grund - und Boden übergeleitet werden.
Worauf es ankommt, ist das, was ich
gerade heute im Vortrag gesagt habe:
daß Grund und Boden sowohl wie das
fertige Produktionsmittel kein
Gegenstand des Wirtschaftens sein
soll, sondern ein Gegenstand der
Rechtsübertragung aus geistigen
Gesichtspunkten heraus. Wenn das bei
beiden der Fall ist, dann ergeben sich
die Unterschiede nicht auf
theoretische Art, sondern aus dem
unmittelbaren Leben. Denken Sie zum
Beispiel nur das Folgende: Die
industriellen Produktionsmittel nützen
sich ab; sie müssen immer erneuert
werden. Bei den agrarischen
Produktionsmitteln ist das schon
wiederum etwas anders; nicht nur, daß
sie nicht elastisch sind, sondern sie
nützen sich nur in viel geringerem
Maße ab, müssen wenigstens ganz anders
behandelt werden als die industriellen
Produktionsmittel.
Aber es besteht noch
ein wesentlich anderes Verhältnis
zwischen agrarischen
Produktionsmitteln und industriellen
Produktionsmitteln. Man mag daran
denken, daß ja ein Teil des
Erträgnisses der Industrie dazu
verwendet werden muß, um diese
Industrie höher zu bringen, um sie
immer mehr und mehr auszugestalten. Da
sehen wir, daß ein Teil desjenigen,
was wir die Kapitalverwaltung der
Industrie nennen können, von der
Industrie wiederum verschluckt wird.
Das ist in derselben Art nicht der
Fall bei den agrarischen
Produktionsmitteln. Die Bücher, wenn
sie geführt würden als Gesamtbücher
für ein Wirtschaftsleben, würden zwei
Pole aufweisen: Der eine Pol würde
ungefähr hinweisen nach der
Kohlenproduktion; da würde man von der
Kohlenproduktion ausgehend ungefähr
alle diejenigen Posten haben, welche
in das Industrielle hineinwandern. Der
andere Pol geht zu dem Brot; wenn man
alle Posten zusammenschreiben würde,
welche sich auf das Brot — im
weitesten Sinne selbstverständlich,
wie die anderen Nahrungsmittel zeigen,
die durch Grund und Boden beschaffen
werden — beziehen, wenn man die
aufschreiben würde, so würde man
ungefähr das herausbekommen, was der
Grund und Boden leistet.
Nun ist vieles von dem,
was in diesem Gesamtbuch stecken
würde, wenn Grund und Boden sowohl wie
die Produktionsmittel aus der
Wirtschaft heraußen wären und
zugeteilt würden der Rechtsordnung,
der Geistesordnung, vieles davon ist
heute dadurch verdeckt, daß die
Industrie mit der Verwaltung von Grund
und Boden konfundiert wird. Man
braucht ja nur Industrieller zu sein
und Hypotheken zu haben auf Grund und
Boden, so ist die Konfundierung schon
da. Aber noch durch zahlreiche andere
Dinge. Wenn das nicht der Fall wäre,
würde man reinlich sehen, daß die
Weltwirtschaft heute so steht — so
paradox das für manchen heute noch
scheint —, daß wirklich produktiv
Grund und Boden ist; nicht produktiv,
sondern erhalten aus den Erträgnissen
in Wahrheit von Grund und Boden, ist
die gesamte Industrie. So sonderbar
das für manchen heute klingt, so ist
es dennoch so der Fall. Es ist jedes
industrielle Unternehmen im Grunde
genommen das, was man in der
Landwirtschaft nennt ein fressendes
Gut, das heißt ein Gut, das seine
Erträgnisse eigentlich aufzehrt.
Man betrachtet heute
durchaus nicht die Gesamtwirtschaft.
Sie ist verdeckt durch die
mannigfaltigsten Umstände. Im
wirklichen Leben aber würden sich die
Gesichtspunkte ergeben, welche bei der
Übertragung sowohl der agrarischen
Produktionsmittel einerseits, wie der
industriellen Produktionsmittel
andererseits maßgebend sein können.
Bei dem industriellen
Pol wird ja vorzugsweise die
individuelle geistige Fähigkeit der
Menschen, dasjenige, was sie können,
gelernt haben, wozu sie veranlagt
sind, bei dieser Übertragung in
Betracht kommen. Bei der agrarischen
Übertragung kommt anderes in Betracht;
da kommt zum Beispiel in Betracht das
Zusammengewachsensein des Menschen mit
Grund und Boden. Da muß durchaus
berücksichtigt werden, daß derjenige,
der die besten Fähigkeiten hat, um den
Grund und Boden weiter zu bearbeiten,
nicht in abstrakter Weise gewählt
werden kann nach seiner geistigen
Veranlagung, sondern in einer gewissen
Weise mit dem Boden zusammengewachsen
sein muß. Wenn in der richtigen Weise
gerade auf dem Land draußen der Sinn
der Dreigliederung klargemacht werden
könnte, so würde das gesamte Bauerntum
zustimmen. Selbstverständlich, wenn
irgendeiner hinauskommt, der in dem
üblen Ruf eines Gelehrten steht, dann
werden ihn die Leute natürlich nicht
anhören, dann hat er nichts zu sagen;
aber wenn in der richtigen Weise die
Sache an die Leute herangebracht wird,
werden sie gar nichts dagegen haben.
Denn eigentlich wird ja nach diesem
Prinzip gehandelt, gerade im
Agrariertum. Nicht im Großgrundbesitz,
aber im Bauerntum wird im
wesentlichen, insofern nicht der Staat
störend eingreift, durchaus in diesem
Sinne gedacht und gehandelt.
Es handelt sich also
darum, daß sich die Gesichtspunkte im
Konkreten und aus diesem heraus
ergeben. Programme dürfen bei einer
lebensfähigen sozialen Ordnung nicht
gemacht werden, sondern darum handelt
es sich, so zu charakterisieren, daß
das Leben bestehen kann. Das Leben hat
dann noch etwas zu tun.
Sehen Sie, dadurch
unterscheidet sich dieser Impuls der
sozialen Dreigliederung, der hier
vorgetragen wird, von mancherlei
Programmen, die ja heute eigentlich
billig wie Brombeeren sind. Diese
sozialen Programme, die stellen auf:
Erstens, zweitens, drittens und so
weiter. Die schematisieren eigentlich
alles. Diese Allwissenheit, die
schreibt sich die Idee von der
Dreigliederung des sozialen Organismus
durchaus nicht zu, sondern sie will,
daß die Menschen aus sich heraus so
zusammenwirken können, daß sie dazu
kommen, den sozialen Organismus
entsprechend zu gestalten. Sie möchte
nur die Menschen in solche
Verhältnisse bringen, daß daraus eine
entsprechende soziale Ordnung
entstehen kann. Wenn man nur das
begreifen würde, daß dies ein
prinzipieller Unterschied ist zwischen
dem Impuls der Dreigliederung und dem
anderen, was heute auftritt, so würde
man sehen, wie diese Dreigliederung
eben gerade aus der vollen
Wirklichkeit heraus schöpft.
Ich habe deshalb
oftmals zu den Leuten gesagt: Es kommt
gar nicht darauf an, ob das eine oder
das andere so oder anders sein soll.
Meinetwillen sogar, möchte ich radikal
sagen: Man nehme die Sache in Angriff,
vielleicht stellt sich heraus, daß
kein Stein auf dem anderen bleibt,
aber es wird etwas entstehen, was ganz
gewiß Standfestigkeit hat, weil die
Wirklichkeit an einem Zipfel angefaßt
ist. Gerade wenn man die Wirklichkeit
anfaßt, so ergibt sich vielleicht
etwas ganz anderes, als man
programmatisch zunächst gesagt hat.
Aber es handelt sich darum, kein
Programm aufzustellen, sondern
hinzuweisen, wie man die Wirklichkeit
anzufassen hat.
Zu Beginn der
Fragebeantwortung hatte ein Besucher
zu längeren Ausführungen das Wort
ergriffen. Dr. Steiner antwortete
darauf:
Nun noch ein paar Worte
mit Bezug auf das, was der verehrte
Herr Vorredner gesagt hat. Er sagte
zum Beispiel, es habe die
Dreigliederung immer bestanden. Ich
verstand sehr gut, daß er das
ausgesprochen hat, denn er hat das,
was ich gesagt habe, mit etwas anderem
verwechselt. Er hat auch deutlich
angedeutet, daß er es verwechselt: er
sprach nämlich immer von der
«Dreigliederung des Sozialismus», wenn
ich ihn richtig gehört habe.
Ich würde natürlich
niemals von der «Dreigliederung des
Sozialismus» sprechen. Das erscheint
mir als eine völlige Unmöglichkeit.
Denn der Sozialismus kann natürlich
als Weltanschauung nur etwas
Einheitliches sein. Und nur, wenn man
so abstrakt denkt, ist man versucht,
zu sagen: Nun, das Leben war ja immer
dreigeteilt, warum soll man denn erst
von dieser Dreigliederung, Dreiteilung
des Lebens reden?
Ja, das ist es ja
gerade, worum es sich handelt! Gewiß,
das Leben war immer dreigeteilt, und
es handelt sich nicht darum, daß man
das Leben gerade dreiteilt. Das teilt
sich von selber. Es handelt sich
darum, daß man in der Verwaltung des
Lebens nicht immer das Richtige
getroffen hat, um das dreigliederige
Leben eben in der richtigen Weise zu
verwalten, zu ordnen, zu orientieren.
Es ist ja eine Selbstverständlichkeit,
daß das Leben dreigliederig ist. Darum
redet man ja gerade! Weil das Leben
dreigliederig ist, frägt man: Wie soll
man es machen, wenn eine Einheit
herauskommen soll, daß diese wirklich
herauskommt? — Sie ist nicht
herausgekommen für die letzten
Jahrhunderte und die Gegenwart. Also
darum handelt es sich, einen neuen Weg
zu finden. Es ist eine im höchsten
Sinne — wenn sie auch glaubt, der
Wirklichkeit freundlich zu sein —
abstrakte, lebensfremde Denkweise,
wenn man mit Selbstverständlichkeiten
abtun will, was durchaus mit diesen
Selbstverständlichkeiten rechnet, aber
gerade aus diesen
Selbstverständlichkeiten heraus die
Notwendigkeit einsieht, daß eben das
Leben diesen Selbstverständlichkeiten
gemäß gestaltet werden müßte. Im Leben
kommt es eben nur zu häufig vor, daß
man solche Selbstverständlichkeiten in
ein falsches Fahrwasser rückt, und
daraus kommen dann die Lebenskrisen.
Das ist es, worauf ich im besonderen
aufmerksam machen möchte.
Ebenso ist es wirklich
eine bloße Redensart, wenn man sagt:
Aus der Wirtschaft mit dem Geist
zusammen kommt das Recht. Nun, ganz
gewiß, es kommt schon; wenn einmal der
dreigliederige Organismus da sein
wird, dann wird auch das Recht kommen.
Aber es wird eben auf die Art kommen,
daß man findet, wie es kommen soll.
Die Menschen müssen es einrichten.
Also muß man über die Methode
nachdenken, wie sie es einrichten
sollen.
Dann ist noch manches
andere Beherzigenswerte gesagt worden
über die Verbindung von geistigem
Leben und praktischer Arbeit. Ich
möchte nicht auf Persönliches
eingehen, sonst könnte ich dem
verehrten Vorredner leicht beweisen,
wie ich mich bemüht habe mein ganzes
Leben lang, praktische Arbeit zu
verbinden mit dem Geistesleben. Aber
man darf mir nur nicht zumuten, was
man mir in manchen Diskussionen
zugemutet hat, daß das praktische
Leben auf diesem Gebiete darinnen
bestehen soll, daß man im Rahmen
irgendeiner Partei mitarbeitet. Das
haben nämlich manche mit dem
«praktischen sozialen Arbeiten»
verstanden. Dieses praktische soziale
Arbeiten ist manchmal ein sehr
theoretisches und unpraktisches
soziales Arbeiten. Also diese Dinge
darf man durchaus nicht mit wirklicher
Lebenspraxis verwechseln.
Dann wurde gesagt, daß
wenn wirklich eine Besserung, eine
Gesundung der Verhältnisse eintreten
solle, es sich darum handle, daß die
Arbeiterschaft sich wirklich mit den
geistigen Grundlagen des sozialen
Lebens befasse. Ich bin vollständig
damit einverstanden, glaube aber auch,
in diesen Vorträgen schon das richtige
Mittel angedeutet zu haben, wodurch
sich die Arbeiterschaft eben befassen
kann mit den geistigen Fragen. Ich
habe bereits darauf hingedeutet, daß
ich durch Jahre hindurch Lehrer an
einer Arbeiterbildungsschule war, daß
ich da sehr wohl die Arbeiterschaft
gefunden habe, auch den Ton, um gerade
in Arbeiterherzen hinein
wissenschaftlich zu sprechen. Allein
dann sind die Führer gekommen; die
haben mich herausgeschmissen, wenn ich
das auf deutsch sagen soll, weil sie
wollten, daß nur auf sie gehört werde
und nur das gehört werde, was sie
befehlen, daß es vertreten werde. Ich
habe Ihnen das in diesen Vorträgen ja
schon früher erzählt. Als ich sagte:
Wenn nicht einmal hier Lehrfreiheit
herrschen soll, wo soll sie denn
herrschen? — Da erwiderte einer der
Führer: Lehrfreiheit, das kann nicht
sein bei uns, ein vernünftiger Zwang,
das ist es, um was es sich handelt!
Ja, sehen Sie, mit
diesem zusammen könnte ich Ihnen
vieles anführen, was ein gutes Mittel
wäre, wodurch die gegenwärtige
Arbeiterschaft tatsächlich zum
Ergreifen der geistigen Grundlagen für
eine soziale Neugestaltung kommen
würde. Dieses Mittel wäre dieses: sich
loszusagen von den meisten der
gegenwärtigen Führer, die durchaus
nicht im Auge haben, in ehrlicher
Weise einen sozialen Neuaufbau
herbeizuführen, sondern die etwas ganz
anderes im Auge haben, denen aber in
vieler Beziehung heute noch viel mehr
gehorcht wird — das hat gerade die
Praxis des Wirkens in der sozialen
Dreigliederung ergeben —, als von den
Katholiken ihren Erzbischöfen gehorcht
wird. Das ist etwas,was beherzigt
werden sollte. Und ich bin überzeugt
davon: Es herrscht heute so viel
gesunder Sinn in den breiten Massen
des Volkes, daß in dem Augenblicke, wo
mancher Führer fiele, viel wirkliche
gesunde soziale Einsicht eintreten
würde. Wir haben es heute nötig, daß
die Menschen sich wiederum
kristallisieren um Ideen, um wirkliche
ideelle Impulse, aus denen heraus das
Leben gestaltet werden kann, daß die
alten Parteischablonen und
Parteiprogramme überwunden werden,
denn die sind es, was hauptsächlich
eine gesunde Einsicht und auch ein
gesundes Wirken im Sinne einer solchen
Einsicht hindert. Man muß nur auch da
aus der vollen Wirklichkeit heraus das
aufsuchen, was zum Heile führen
könnte. Die bloße Forderung tut es
nicht, geradesowenig wie es die bloße
Forderung tut: Abschaffung des
Kapitals — sondern wie man sehen muß,
wie das Kapital wirken soll. Denn
«Abschaffung», das ist leicht. Das
heißt, es ist deshalb nicht leicht,
weil es zum Ruin führt. Aber wenn man
hinauskommen soll über die Schäden des
Kapitalismus, dann ist etwas anderes
notwendig. Wie es notwendig ist, auf
diesem konkreten Gebiete in die
Wirklichkeit hineinzuschauen, so ist
es schon auch notwendig, im heutigen
Menschenleben in die volle
Wirklichkeit hineinzuschauen und sich
zu sagen, daß die Parteien vielfach
nur noch leben von den abstrakten
Fortführungen ihrer Programme, daß sie
aber mit dem Leben nicht mehr
zusammenhängen. Das aber ist
insbesondere da notwendig, wo es sich
um einen wirklichen Neuaufbau auf dem
Gebiete des sozialen Lebens handelt.
Das ist es, was ich heute sagen möchte,
obwohl zur Aufhellung solcher Fragen
noch manches gestreift werden müßte.
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