On
n’est
capable de considérer
objectivement la vie sociale que
si, à de nombreux points de vue,
on voit clairement la relation
qui existe entre les hommes qui,
dans leur vie en commun,
génèrent la vie sociale et les
institutions à l'intérieur
desquelles ils vivent. En
l’observant sans idée préconçue,
on s’aperçoit qu’en fin de
compte, toutes les institutions
sont issues de mesures prises
par les hommes, de leur volonté.
Quand on parvient à cette façon
de voir, on finit par se
dire : dans la vie sociale,
les choses varient surtout selon
que les hommes se révèlent, par
rapport aux autres hommes, être
sociaux ou antisociaux de par
leurs forces, leurs capacités,
leur mentalité, etc. Les hommes
ayant une mentalité sociale, une
vision sociale de la vie,
formeront des institutions qui
agiront socialement. Et l’on
peut quasiment affirmer que la
possibilité pour l'individu de
gagner ce dont il a besoin pour
vivre dépendra de la façon dont
ses semblables lui fabriqueront
les moyens dont il a besoin pour
vivre, s’ils travaillent pour
lui de façon à lui permettre de
vivre de ce qu’il gagne. La
possibilité pour l'individu de
s’acheter suffisamment de pain –
pour parler de choses très
concrètes – dépendra de ce que
les hommes auront mis en place
des institutions par lesquelles
celui qui travaille, qui fournit
quelque chose, peut échanger le
pain correspondant à son
travail, à ce qu’il a fait. La
possibilité pour l'individu de
mettre réellement son travail en
application, d’être à un poste
où il peut gagner les moyens
dont il a besoin pour vivre,
dépendra là encore de ce que les
hommes parmi lesquels il vit
auront mis en place des
institutions sociales par
lesquelles il peut être à la
place qui lui correspond.
Il
suffit
de regarder sans a priori la vie
de la société pour reconnaître
ce que je viens d’exprimer sous
forme d’axiome, de connaissance
de base de la question sociale.
On aura du mal à prouver ce
principe à celui qui ne le
reconnaît pas, parce qu'il n'a
pas tendance à regarder la vie
sans a priori pour se convaincre
qu’il en est vraiment ainsi – ce
qu’il peut faire pourtant dans
chaque domaine de la vie.
Toutefois,
pour
l’homme actuel, cette façon de
voir a quelque chose
d'extraordinairement
désagréable. Car pour l’homme
actuel, il est très important
qu'on ne touche pas à lui. Il se
laisse facilement convaincre
quand on dit qu’il faudrait
améliorer les institutions, les
transformer, mais il ressent
comme une atteinte à sa dignité
quand on est obligé de dire que
lui aussi devrait changer de
façon d’être, de comportement.
Il se laisse facilement
convaincre quand on dit qu’il
faut des institutions
sociales ; il apprécie
moins quand on parle de la
nécessité pour lui de devenir
social.
Quelque
chose
d'extraordinairement curieux est
ainsi apparu récemment dans
l’évolutions historique de
l'humanité. Au cours du dernier
siècle, comme je l'ai expliqué
dans ma première conférence, la
vie économique a débordé ce que
les hommes ont développé en
termes de conceptions,
particulièrement en conceptions
juridiques et spirituelles de
cette vie économique. Dans ma
première conférence, j'ai attiré
l’attention sur le fait que la
critique de la société exprimée
par Woodrow Wilson équivalait à
dire : la vie économique a
posé ses exigences, a progressé,
a pris certaines formes ;
la vie juridique, spirituelle,
par laquelle nous cherchons à
dominer cette vie de l'économie,
en reste à d’anciens points de
vue, elle n'a pas suivi. Mais
cela exprime un fait
profondément significatif de la
récente évolution de l'humanité.
Avec la complexité
croissante des conditions
techniques et de la situation
capitaliste compliquée devenue
nécessaire, de la situation des
entreprises, la vie économique a
posé ses exigences. Les faits de
la vie économique ont, je
dirais, échappé progressivement
aux hommes ; ils suivent
plus ou moins leur propre cours.
L’homme n'a pas trouvé la force
de dominer cette vie économique
de lui-même, par ses
représentations, par ses idées.
Comme on le voit très bien,
l’homme moderne a
progressivement renoncé à former
ses concepts de droit, ainsi que
ses concepts spirituels, à
partir de la pensée sur les
exigences économiques, de la
pensée sur l'économique. On peut
ainsi dire que l’élément
caractéristique dans l'évolution
de l'humanité de ces derniers
siècles est qu'aussi bien les
concepts du droit par lesquels
les hommes veulent vivre entre
eux que les concepts de la vie
de l'esprit par lesquels ils
veulent développer et façonner
leurs capacités sont devenus à
un haut degré dépendants de la
vie économique.
$On
ne
remarque pas du tout comme tant
dans les temps récents les
représentations humaines et
l'attitude des hommes les uns
aux autres sont devenu dépendant
de la vie économique.
Naturellement les hommes ont
aussi créé eux même les
institutions des derniers
siècles, mais ils ne les ont
pour la grande part pas créé à
partir de représentations et
idées nouvellement fondées, mais
plus à partir d'impulsions
inconscientes, de motivations
inconscientes. Et par cela s'est
montré quelque chose qu'on peut
nommer en réalité un certain
anarchique dans la structure de
l'organisme social. D'après
différents points de vue j'ai,
dans les deux premières
conférences, déjà distingué cet
anarchique. Mais à l'intérieur
de cette structure sociale
anarchique des temps récents se
sont justement développés ces
rapports-là qui ont tout de
suite conduit à la question
prolétarienne. Le prolétaire,
qui a été appelé à partir de son
artisanat, placé à la machine,
parqué dans la fabrique –
qu'a-t-il essentiellement vu en
ce qu'il regardait la vie, qui
se développait autour de
lui ? Il a en premier lieu
vu a sa propre vie comme tout
est dépendant, ce qu'il peut
penser qu'il a de droit
vis-à-vis d'autres hommes, comme
tout cela est déterminé par des
rapports de pouvoirs
économiques, des rapports de
pouvoir économiques qui avant
toutes choses sont donné pour
lui par cela qu'il est le faible
économique vis-à-vis du fort
économique.
Et
ainsi,
on peut dire : chez les
cercles dirigeants guides s'est
installé un certain reniement de
la vérité de base que les
instituions humaines devraient
provenir de la vie consciente
des hommes eux-mêmes. Les hommes
ont oublié de vraiment utiliser
ces vérités de base dans la vie
sociale. Les cercles dirigeants
guides se sont progressivement
adonnés instinctifs à une vie –
quand aussi pas à une croyance –
qui a rendu l'esprit et le droit
dépendant du moyen de pouvoir
économique. Mais de cela s'est
constituer un dogme, une
conception de vie de
personnalités pensant socialiste
et leurs partisans. La
conception de vie est sortie de
cela que dans l'évolution de
l'humanité, il devrait être
ainsi qu'aucune possibilité
n’est là que l'humain s'organise
de lui-même les rapports de
droit, que l'humain lui-même
s'organise la vie spirituelle,
mais que la vie spirituelle et
la vie de droit doivent se
monter comme un appendice des
réalités économiques, des
branches de productions
économiques et ainsi de suite.
Et
ainsi
se constitua la question sociale
sous le point de vue d'une
certaine exigence chez de larges
cercles. À eux la croyance
reposait à la base : la vie
économique fait la vie de droit,
la vie économique fait la vie de
l'esprit – ainsi la vie
économique doit être transformée
en soi ainsi qu'elle produit une
vie de droit, une vie de
l'esprit comme cela correspond
aux exigences de ces cercles. Ce
qui était devenu habitudes de
vie des cercles dirigeants
guidant, le prolétariat l'a
appris, aussi à le remonter dans
la conscience ; ce que les
autres ont exprimé par leur
vie il l'a fait dogme, et nous
nous tenons aujourd'hui
vis-à-vis de la question sociale
que dans de larges cercles est
répandue la façon de voir :
nous devons seulement
transformer la vie de
l'économie, les institutions
économiques, alors tout le
reste, alors tout le reste, la
vie de droit, la vie de
l'esprit, viendra de soi-même
comment se montreront
elles-mêmes d'institutions
économiquement correctes, bien
formées socialement, ces vies de
droit et de l'esprit.
Sous
l'influence
de ce point de vue a été méconnu
de quoi il s'agit en fait dans
la récente question sociale.
Cela a été dans une certaine
mesure recouvert, voilé par une
grosse erreur, par une puissante
illusion venant de ce dogme. En
effet, il s'agit en fait de
cela : tout de suite cela
est un résultat de la récente
histoire de l'humanité que la
dépendance de la vie de droit et
d'esprit de la vie de l'économie
doit être surmontée. Et pendant
que de larges cercles
socialistes pensent aujourd'hui
que la vie de l'économie devrait
tout d'abord être formée
autrement, alors tout le reste
se donnerait de soi-même, on a à
se poser la question :
quels rapports devraient être
créés sur les domaines du droit,
de la vie de l'esprit en
eux-mêmes afin qu'à partir de la
vie spirituelle renouvelée, de
la vie de droit renouvelée
apparaissent des conditions
économiques qui expriment un
Dasein (NDT être-là) humain
digne ? Pas : comment
faisons-nous toujours plus et
plus la vie de droit, la vie de
l'esprit dépendante de la vie de
l'économie ? - c'est cela
avant toutes choses qui doit
être demandé.
Cette
considération
est une très importante, car
elle nous montre, quels
obstacles sont là pour une façon
de voir de la question sociale
du présent dépourvue d'à priori
et comme un des plus importants
obstacles est un dogme qui s'est
formé au cours des siècles. Et
ce dogme s'est ainsi incrusté
que de nombreux cultivés et non
cultivés du présent, prolétaires
et non prolétaires, vous moquent
tout de suite aujourd'hui quand
on croit que de quelque façon à
partir d'un autre côté que par
la transformation de la vie
économique pourrait aussi venir
une guérison de la vie de droit
et de la vie de l'esprit.
Maintenant
ma
tâche est de parler aujourd'hui
sur la vie de droit,
après-demain sur la vie de
l'esprit. La vie de droit a donc
aussi dans son essence et
signification à placer de
multiple fois les hommes devant
la question : quelle origine a
en fait le droit ? Quelle
origine a ce que dont les hommes
disent dans leur comportement
réciproque, ce serait légitime ?
– Cette question a donc toujours
été pour les hommes une très,
très importante. Seul c'est très
remarquable, que chez un large
cercle de personnalités
observatrices socialement la
question du droit proprement
dite, on aimerait dire, est
tombée dans un trou, n’est plus
du tout là. Certes, des
discussions académiques
théoriques sont aussi
aujourd’hui disponibles sur
l’essence, la signification du
droit et ainsi de suite, mais
dans l’observation sociale de
larges cercles est justement
caractéristique, que la question
du droit est plus ou moins
passée à travers.
Si
je
devais vous discuter cela, je
dois vous rendre attentif à
quelque chose, qui apparaît dans
le présent donc toujours de plus
en plus souvent, pendant qu’il y
a peu de temps ce n'était encore
entièrement pas vu. Les hommes
ont vu monter des conditions
sociales intenables. Aussi ceux,
qui dans leur propre coût de vie
sont restés plus ou moins
épargnés par ces conditions non
sociales, ont essayé d’y
réfléchir.
Et
pendant
qu’en un temps relativement
court ce fut vraiment
radicalement ainsi que je vous
l’ai justement affirmé, qu’on a
seulement ri, quand quelque
chose était attendu de question
de droit et d’esprit pour les
conditions économiques, vous
fait front aujourd’hui – mais
comme de sombres profondeurs de
l’esprit, pourrait-on dire –
toujours plus et plus
l’affirmation : oui, dans le
comportement social réciproque
des hommes viendrait en
considération aussi une telle
chose comme des questions d’âme
et des questions de droit ;
et beaucoup dans le désarroi des
conditions sociales reposerait
aujourd’hui sur ce qu’on
n'aurait pas suffisamment pris
en considération les rapports
d’âmes, les rapports psychiques
et les rapports juridiques dans
leur autonomie. - Donc, il sera
déjà un peu, parce que c’est
tangible, attiré l'attention là
dessus, que le salut devrait
venir d’un autre côté que du pur
côté économique. Mais dans la
discussion pratique de la
question, cela ne se fait encore
que peu valoir. C’est comme un
fil rouge qui se tire à travers
tout ce que donnent d’eux les
récents penseurs socialistes,
qu’une structure sociale doit
être amenée, dans laquelle les
hommes peuvent vivre d’après
leurs capacités et d’après leurs
besoins. Que cela soit plus ou
moins formé grotesque et radical
ou plus d’après une mentalité
conservatrice, il ne s'agit pas
de cela ; nous entendons partout
: les dommages de l’ordre social
actuel reposent en grande partie
sur ce que l’humain ne serait
pas en mesure, à l’intérieur de
l’ordre social actuel,
d'utiliser vraiment pleinement
ses capacités ; de l’autre côté,
que cet ordre social serait tel,
qu’il ne pourrait pas satisfaire
ses besoins, notamment que ne
règne pas une certaine
régularité dans la satisfaction
des besoins.
En
ce
qu’on exprime cela, on revient
sur deux éléments de base de la
vie humaine. Capacités, c’est
quelque chose qui se rapporte
plus à la représentation
humaine. Car toutes les
capacités surgissent finalement
chez l’humain, là où il doit
agir consciemment, à partir de
ses représentations, de sa
volonté de penser. Certes, le
sentiment doit continuellement
enflammer les capacités de la
représentation, les
enthousiasmer ; mais le
sentiment comme tel ne peut rien
faire, si la représentation
essentielle n’est pas là. Donc,
quand on parle des capacités,
aussi lorsque l’on parle des
habiletés pratiques, on vient
finalement à la vie des
représentations. Cela alla donc
pour un nombre d’hommes, que là
devrait être veillé sur ce que
l’humain puisse amener à faire
valoir sa vie de représentation
dans la structure sociale.
L’autre qui alors sera fait
valoir va plus sur l’élément de
vie de la volonté dans l’humain.
La volonté, qui dépend du désir,
du besoin après tel ou tel
produit, est une force
fondamentale de l’être humain.
Et quand on dit, l’humain
devrait pouvoir vivre dans une
structure sociale d’après ses
besoins, alors on regarde vers
la volonté.
Sans
qu’ils
le sachent, les marxistes
eux-mêmes parlent donc de
l’humain en ce qu’ils soulèvent
leur question sociale et en fait
aimeraient faire croire qu’ils
ne parlent que d’institutions.
Ils parlent bien d’institutions,
mais ces institutions ils
veulent les former ainsi, que la
vie des représentations, les
capacités humaines, puissent
venir à validité, et que les
besoins hommes puissent être
satisfaits uniformément, comme
ils sont disponibles.
Maintenant,
il
y a quelque chose de très
particulier dans cette façon de
voir. Dans cette façon de voir
un élément de vie de l’humain ne
vient notamment pas du tout à
validité, et c'est la vie du
sentiment. Voyez-vous, si on
disait : on recherche, on
voudrait obtenir une structure
sociale, dans laquelle les
hommes pourraient vivre d’après
leurs facultés, d’après leurs
sentiments, d’après leurs
besoins - , ainsi on atteindrait
l’humain entier. Mais de manière
curieuse on laisse de côté la
vie de sentiment de l’humain, en
ce qu’on veut caractériser de
manière englobante ce qu’est le
but social pour l’humain. Et qui
laisse en dehors la vie du
sentiment dans sa vision de
l’humanité, celui-là omet en
fait chaque regard sur les
véritables rapports de droit
dans l’organisme social. Car les
rapports de droit peuvent
seulement se développer dans la
vie en commun des hommes, comme
dans cette vie en commun des
hommes se racle, s’abrase
sentiment à sentiment. Ainsi que
les hommes se sentent vis-à-vis
les uns des autres, ainsi se
donne ce qu’est droit public. Et
parce que dans la question de
base du mouvement social, on
laissait en fait de côté
l’élément de vie du sentiment,
devait, comme je disais, tomber
dans un trou, disparaître la
question du droit. Et il s’agit
de cela qu’on pousse dans la
lumière correcte justement cette
question du droit. Certes, on
sait qu’un droit est disponible,
mais on aimerait placer le droit
purement comme un appendice des
conditions économiques.
Et
comment
se développe le droit dans la
vie en commun humaine ?
Voyez-vous, donner une
définition du droit, a été
souvent tenté, mais en fait
jamais n’est sortie une
définition satisfaisante du
droit. Justement aussi peu est
beaucoup sorti, quand on a
recherché l’origine du droit, où
le droit fait souche. On voulait
répondre à cette question. Il
n’est jamais vraiment sorti
quelque chose en cela. Pourquoi
pas ? C’est tout de suite ainsi
que quand on voulait développer
n’importe comment la langue de
la nature humaine et purement de
la nature humaine. Il a été
souvent dit, et c’est juste :
l’humain, qui grandit sur une
île déserte, ne viendrait jamais
à parler, car la langue
s’enflamme aux autres hommes, à
l’ensemble de la société
humaine.
Ainsi
s’enflamme
le droit aussi du sentiment dans
le collaborer le sentiment de
l’autre à l'intérieur de la vie
publique. On ne peut pas dire,
le droit provient de tel ou tel
angle de l’humain ou de
l’humanité, mais on peut
seulement dire : les hommes
viennent par leurs sentiments,
qu’ils développent mutuellement
les uns pour les autres, dans de
tels rapports, qu’ils
définissent, fixent, déterminent
cette relation dans des
droits.
Le droit est donc quelque chose,
après quoi devrait être demandé
ainsi, qu’avant toutes choses on
considère son développement à
l’intérieur de la société
humaine. Mais par la
considération du droit vient
justement dans l’étroite
proximité pour l’humain moderne,
ce qui s’est développé vers le
haut dans l’histoire de
l’humanité récente comme
exigence démocratique.
On
ne
parvient pas prêt de l'essence
de telle exigence, comme l'est
l’exigence démocratique, quand
on ne considère pas l’évolution
humaine elle-même comme une
sorte d’organisme. Mais les
actuelles manières de considérer
sont très, très éloignées de
cela. Chaque humain le ressent,
certes comme quelque chose de
très risible et paradoxal, quand
on voudrait expliquer, comment
l’humain se développe de la
naissance à la mort sous
l’influence des produits
alimentaires ; quand on voudrait
expliquer, parce que le chou est
ainsi, le blé ainsi, la viande
de bœuf ainsi, l’humain se
développe de la naissance
jusqu'à la mort ainsi et ainsi.
Non, personne n’admettra que
cela est une manière de
considérer raisonnable, mais
chacun admettra qu’on doit
demander : Comment est-ce fondé
dans la nature humaine
elle-même, que par exemple
autour de la septième année à
partir de cette nature humaine
les forces viennent, qui
provoquent le changement de
dents ? On ne peut pas tirer du
chou, de la viande de bœuf, les
conséquences que le changement
de dent se déroule. Tout comme
on doit demander : comment se
développe à partir de
l’organisme humain ce qui par
exemple représente la maturité
sexuelle ? – et ainsi de suite.
On doit sur ce qui se développe,
parvenir à sa nature intérieure.
Mais
cherchez-vous
parmi les sortes de
représentations actuelles une
que l’on peut appliquer à
l’histoire de l’évolution
humaine, laquelle par exemple
serait claire là-dessus qu’en ce
que l’humanité se développe sur
la Terre, elle développe d'elle,
à partir de son être, dans les
différentes époques, certaines
forces et capacités, certaines
particularités !
Qui
apprend
à être adéquat dans
l’observation de la nature peut
aussi transposer cette
observation adéquate à
l’observation historique. Et là
on trouve, que provenant des
profondeurs de la nature
humaine, depuis le milieu du 15e
siècle s'est justement tout de
suite développée cette exigence
après la démocratie et dans les
différentes régions de la Terre
a été plus ou moins satisfaite
cette exigence : que l’humain
dans son comportement aux autres
hommes ne peut laisser valoir
que ce qu’il sent lui-même comme
le correct, qu’il sent comme lui
étant adapté. Le principe
démocratique est devenu à partir
des profondeurs de la nature
humaine, la signature de
l’aspiration humaine dans les
relations sociales des temps
récents. C’est une exigence
élémentaire de l’humanité
récente, ce principe
démocratique. Qui voit clair
dans ces choses, celui-là doit
quand même aussi les prendre
pleinement au sérieux, il doit
se soulever la question : quelle
est la signification et quelles
sont les limites du principe
démocratique ? – Le principe
démocratique – je l’ai justement
caractérisé – consiste dans ce
que les hommes qui vivent
ensemble dans un organisme
social clos devraient prendre
des décisions qui procèdent de
chaque individu. Alors, elles ne
peuvent seulement naturellement
devenir des décisions liantes
pour la société par cela que se
montrent des majorités.
Démocratique sera seulement
alors, ce qui pénètre dans de
telles décisions à majorité,
quand chaque humain particulier
se tient vis-à-vis de l’autre
humain particulier comme un
égal. Mais alors, des décisions
ne peuvent aussi être prises que
sur ces choses, dans lesquelles
l’humain individuel comme égal
est en réalité égal à chaque
autre humain. Cela signifie :
sur sol démocratique ne peuvent
être prises que des décisions
sur lesquelles chaque humain
devenu majeur, parce qu’il est
devenu majeur, est capable de
jugement. Mais avec cela vous
avez – je pense aussi clairement
que seulement possible – tracé à
la démocratie ses limites. Il
peut donc seulement être décidé
sur le sol de la démocratie, ce
qu’on peut simplement juger,
parce qu’on est devenu un humain
majeur.
Par
cela
s’exclut des règles de mesure
démocratique tout ce qui se
rapporte au développement des
facultés humaines dans la vie
publique. Tout ce qui est
système éducatif et
d’enseignement, ce qui
absolument est vie spirituelle
exige l'installation de l’humain
individuel – nous parlerons plus
exactement de cela après demain
-, exige avant toutes choses de
réelles connaissances humaines
individuelles, exige dans
l’enseigner, dans l’éduquer des
facultés individuelles
particulières qu'absolument
l’humain ne peut faire siennes
par cela qu'il est simplement un
humain devenu majeur. Soit, on
ne le prend pas au sérieux avec
la démocratie : alors, on laisse
décider aussi sur tout, qui
dépend de facultés individuelles
; ou bien on le prend au sérieux
avec la démocratie : alors, on
doit exclure de la démocratie,
l’administration de la vie de
l'esprit d’un côté. Mais on doit
aussi exclure de cette
démocratie, ce qui est vie de
l'économie. Tout ce que j’ai
développé hier, repose sur
connaissances factuelles et
compétences factuelles, que
l’individuel acquiert dans le
cercle de vie de type économique
dans lequel il se tient. Jamais
simplement la majorité, la
faculté de juger de chaque
humain devenu majeur ne peuvent
décider sur ce qu’on est un bon
paysan, ou un bon industriel ou
du même genre. De cela ne
peuvent pas non plus être prises
des décisions majoritaires par
chaque humain devenu majeur sur
ce qui a à se passer dans le
domaine de la vie de l'économie.
Cela signifie, le démocratique
doit être distinguée du sol de
la vie de l’esprit, du sol de la
vie de l'économie. Alors se
montre entre les deux la
véritable vie démocratique
d’État, dans laquelle chaque
humain se tient vis-à-vis de
l’autre comme capable de
jugement, majeur, égal, dans
laquelle aussi seulement des
décisions de la majorité peuvent
être prises sur ce qui dépend
des mêmes facultés à juger de
tous les hommes devenus majeurs.
Qui dit ces choses, que j'ai
justement exprimées, pas
simplement pensant abstrait,
mais les mesure à la vie,
celui-là voit que les hommes
justement se trompent sur ces
choses parce qu'elles sont en
fait malcommodes à représenter
parce qu'on n'aimerait pas
développer le courage de
pénétrer dans les dernières
conséquences de ce représenter
humain.
Mais
cela,
qu'on ne voudrait pas cela,
qu'on n'opposerait à l'exigence
générale après démocratie pas de
tout autres choses, cela a eu
une signification très, très
pratique dans la récente
évolution humaine. J'aimerais
vous présenter ces choses
beaucoup moins de principes
abstraits que de l'évolution
historique de l'humanité
elle-même.
En
ces
années, nous avons vu un État
disparaître, on aimerai
dire : disparaître à partir
de ses propres conditions, et
cet État pourra tout simplement
être considéré comme objet
d'expérimentation aussi pour
questions de droit. C'est la
vielle Autriche-Hongrie,
n'existant plus. Qui a suivi les
années de guerre, celui-là sait
certes que finalement l'Autriche
est tombée par les purs
événements guerriers, mais la
dissolution de cet État
autrichien est survenue en un
deuxième phénomène, comme
quelque chose, qui s'est montré
à partir de ses conditions
intérieures. Cet État s'est
disloqué et il se serait
vraisemblablement aussi disloqué
quand les événements guerriers
se seraient produits plus bénins
pour l'Autriche. On peut dire
cela, quand on a observé ces
rapports en Autriche pendant des
décennies, – comme cela a été
possible à celui qui ici vous
parle ; j'ai passé trente
années de ma vie en Autriche.
C'était dans les années soixante
du précédent siècle, là apparu
de cette Autriche l'exigence
après démocratie, cela signifie
après une représentation du
peuple. Comment serait
maintenant formée cette
représentation du peuple ?
Cette représentation du peuple a
été formée ainsi que les
représentants du peuple se
recrutèrent dans le conseil
d'empire autrichien de quatre
curies, quatre curies de pure
sorte économique :
premièrement la curie des gros
propriétaires, une curie ;
deuxièmement les villes, marchés
et lieux d'industrie, deuxième
curie ; troisièmement les
chambres de commerce, troisième
curie ; la quatrième curie
fut les communes de pays, mais
là vinrent dans les faits, dans
les communes de pays, seulement
en question des intérêts
économiques. Donc selon qu'on
était membre d'une commune
rurale, chambre des métiers et
ainsi de suite, on votait ses
représentants dans le conseil
d'empire autrichien. Et là
siégèrent maintenant ensemble
les représentants de purs
intérêts économiques. Les
décisions, qu’ils prenaient,
venaient, par majorité,
évidemment, à partir d’hommes
particuliers, mais les hommes
particuliers représentaient des
intérêts tels qu’ils se
présentaient par leur
appartenance économique aux
propriétaires de fond et sol,
aux villes, marchés et lieux
industriels, aux chambres de
commerce ou aux communes
territoriales. Et que vinrent
par là à apparaître comme droits
publics, qui furent arrêtés par
des décisions à la majorité ? Il
apparut par là des droits
publics qui étaient seulement
des intérêts économiques
transformés. Car évidemment,
quand par exemple les chambres
de commerce étaient unies aux
gros propriétaires sur une chose
quelconque, qui leur apportait
des avantages économiques, alors
pouvait être prise une décision
majoritaire contre les intérêts
de la minorité, qui peut-être
justement était concernée par la
chose. On peut toujours
rassembler des majorités qui
prennent des décisions à partir
des intérêts économiques quand
des représentations d’intérêts
économiques siègent au
parlement, mais qui n’ont par là
rien à voir du tout avec ce qui
règne à partir du sentiment
d’humain à humain comme
conscience du droit.
Ou
prenez
le fait que par exemple dans le
vieux Reichstag allemand
siégeait un grand parti, qui se
nommait Centre, et qui
représentait de purs intérêts
spirituels, notamment
spirituels-catholiques. Ce parti
pouvait s’entendre avec chaque
autre, pour que se donne une
majorité, et ainsi de purs
besoins spirituels étaient
transformés en quelque droit
public. Cela s’est passé un
nombre incalculable de fois. Ce
qui vit là dans les parlements
modernes voulant devenir
démocratiques, on l’a souvent
remarqué. Mais on n’en est pas
venu à considérer, ce qui a à se
passer : une pure séparation de
ce qui est la vie juridique de
ce qui est la représentation,
l’administration d’intérêts
économiques. L’impulsion pour la
tri-articulation de l’organisme
social doit de ce fait exiger de
manière décisive le démembrement
de la vie de droit, du sol du
droit de l’administration des
conditions économiques, de
l’administration du cycle
économique.
À
l'intérieur du cycle économique
devraient se former des
associations, comme je l'ai
expliqué hier. Des états
professionnels se feront face,
des producteurs et des
consommateurs se feront face les
uns les autres. Ce qui là se
passera en faits et mesures
purement économiques, cela
reposera sur contrats que les
associations concluront
ensemble. Dans la vie
économique, tout reposera sur
contrats, sur des prestations
réciproques. Là, les
corporations se tiendront
vis-à-vis de corporations. Là,
expertise et compétence métier
auront à être déterminants. Là
il ne s'agira pas de ce que j'ai
comme opinion, disons, quand je
suis industriel, quelle validité
tout de suite doit avoir ma
branche d'industrie dans la vie
publique ; non, là-dessus
je ne pourrais pas décider,
quand la vie économique est
autonome, mais j'aurais à
fournir dans ma branche
d'industrie, j'aurais à conclure
des contrats avec les
associations d'autres branches
d'industrie, et celles-ci auront
à me fournir la
contre-prestation.
Si je suis dans la situation de
les tenir en rapport de
contre-prestations, de cela
dépendra, si je peux fixer mes
prestations. À la manière de
contrat se conclura une
association de compétence. C'est
cela que sont les faits.
La
vie
doit se dérouler autrement sur
le sol du droit. Sur le sol du
droit il ne peut s'agir de la
détermination de lois qui
justement règlent les droits
publics par décisions
majoritaires. Certes, beaucoup
d'hommes disent : mais
qu'est finalement le droit
public ? Ce n'est donc pas
autre chose qui, saisit en mots,
apporte en loi, ce qui vit dans
les conditions
économiques ! - C'est en
beaucoup de rapports ainsi. Mais
cela laisse l'idée de la
triarticulation de l'organisme
social, comme elle ne laisse
absolument pas la réalité non
prise en compte, absolument pas
hors attention : ce qui se
montre comme droits par les
décisions sur sol démocratique,
cela portent évidements les
hommes, qui font l'économie,
dedans la vie de l'économie.
Seulement, ils ne devraient pas
le porter dehors et le faire
d'abord comme droit. Ils le
portent dedans la vie de
l'économie.
Les
abstraits,
ils disent : oui, mais
n'est pas dans la vie extérieure
ce que l'un gère économiquement
avec l'autre, quand il arrête un
changement ou semblable et ce
qui se montre là dans la
législation cambiaire,
entièrement contenue dans
l'action de la vie
économique ? Cela n'est-il
pas une pleine unité ? Et
tu viens, triarticuleur, et veux
maintenant démonter ce qui dans
la vie est une pleine
unité !
Comme
s'il
n'y avait pas dans la vie – tout
de suite dans la vie où l'humain
n'a aucun accès avec ses
opinions et qu'il ne peut rien
gâter par là - beaucoup de
domaines, où des courants de
forces se relient en une unité à
partir de différents
côtés ! Supposez une fois
chez l'humain qui grandit :
il a différentes particularités,
qu'il a reçues par hérédité.
Elles adhèrent à lui. Alors, il
a certaines particularités, qui
lui seront amenées par
l'éducation. De deux côtés
l'humain grandissant reçoit des
particularités : par
l'hérédité, par éducation.
Mais faites quelque chose quand
vous êtes devenus âgés de quinze
ans, ainsi vous ne pouvez pas
dire que ce ne serait pas une
unité, ce que vous faites !
Le résultat de votre hérédité et
le résultat de votre éducation,
ils coulent ensemble en une
unité. Par cela une unité vit
dedans, mais seulement par cela
correctement une unité que cela
coule ensemble de deux côtés.
Tout de suite par cela ce sera
une saine unité, que cela coule
ensemble de deux côtés.
Ainsi
se
montre de la réalité de la vie
pour l'idée de l'organisme
social triarticulé qu'une saine
unité pour l'action dans
l'économique apparaît seulement
aussi loin que des concepts de
droits seront inclus là dedans
par cela que les mesures
économiques seront administrées
indépendamment de points de vue
économiques et que les droits
seront créés sur le sol de droit
démocratique. Les hommes portent
alors cela ensemble en une
unité. Cela œuvre ensemble,
pendant qu'ils font caricatures
ces droits, quand ils laissent
se constituer eux-mêmes les
droits des intérêts de la vie de
l'économie. Le droit est alors
seulement une photographie,
seulement une empreinte des
intérêts économique. Le droit
n'est pas du tout là. Seulement
par que vous laissez le droit
apparaître originellement et
initialement sur son sol
autonome démocratique, vous
pouvez le porter dedans la vie
de l'économie.
On
devrait
croire, cela serait clair sans
plus, qu'on n'aurait pas besoin
en fait de l'expliquer de
manière étendue. Mais notre
temps a tout de suite le
particulier que les plus claires
vérités ont été assombries par
la vie récente et qu'on déforme
les plus claires vérités. On
pense aujourd'hui sur le sol sur
lequel se développent beaucoup
de façons de voir socialistes
que la dépendance de la vie de
droit de la vie de l'économie
devrait tout de suite être
poursuivie. Je vous ai esquissé
hier comment une sorte de
hiérarchie devrait être fondée
d'après modèle politique et
comment la vie de l'économie
devrait être réglée et
administrée d'après cela. Là,
pense-t-on, ceux-là, qui
administrent la vie de
l'économie, développeront ainsi
en plus aussi les droits.
On
a,
en ce qu'on prétend cela, aucun
sens pour la vie concrète,
véritable. La vie de l'économie
dans laquelle on a avant toutes
choses à être capable pour la
formation des rapports de
production ne peut pas produire
les rapports de droit, mais
ceux-là doivent être produits à
côté de la vie de l'économie de
leur propre source.
Ils ne seront jamais purement
produits de la réflexion, mais
par cela que se développe à côté
du cycle économique un élément
étatique, dans lequel l'humain
individuel particulier se tient
vis-à-vis de l'autre humain
individuel. Il ne s'agit donc
pas de cela, qu'à partir d'une
quelque conscience originelle on
produise comme gestionnaire
économique aussi des lois du
droit, mais de ce qu'on créé
d'abord le sol concret sur
lequel les hommes viennent en
tels rapports par leurs
sentiments qu'ils puissent
transformer ces rapports en des
rapports de droit. Il s'agit de
cela qu'on créé une réalité à
côté de la vie de l'économie.
Alors, le droit ne sera pas une
pure superstructure par dessus
la vie de l'économie, mais sera
alors se tenant là comme une
entité autonome se formant.
Alors, on ne surmontera pas par
une réponse théorique l'erreur
de base, la superstition de la
question sociale comme si on
avait besoin seulement de
transformer la vie de l'économie
pour parvenir à d'autres
concepts de droit, alors on
créera simplement la réalité
dans l'organisme social
triarticulé par là qu'on créé le
sol de droit autonome, la
réalité à partir de laquelle par
circulation humaine et rapport
humain se constitue cette forte
force de propulsion de la vie de
droit qui peut maîtriser la vie
de l'économie.
Et
finalement
l'observation historique des
temps récents montre encore à
partir d'un autre côté, comment
ce que justement j'explique est
encore prouvé. Regardez en
arrière sur les motivations que
les hommes ont encore eues pour
leurs travaux artisanaux et
autres jusqu'au 13, 14e siècle.
Il sera souvent accentué par les
penseurs socialistes modernes
que l'humain serait séparé de
ses moyens de production. Cela
il l'est à un si haut degré
comme c'est maintenant devenu le
cas par les rapports économiques
modernes. Il est séparé
notamment de ses produits. Le
travailleur, qui travaille dans
la fabrique, combien de part
a-t-il alors à ce que
l'entrepreneur vend ? Que
sait-il donc de cela ? Que
sait-il du chemin que cela fait
dans le monde ? Un petit
bout d'un grand contexte !
Il ne reçoit peut-être jamais
l'occasion de voir le grand
contexte.
Pensez
-vous
ce que cela est comme puissante
différence vis-à-vis du vieil
artisanat, où le travailleur
particulier avait sa joie à ce
qu'il produisait, – qui connaît
l'histoire sait, comme cela est
le cas ; pensez au rapport
personnel d'un humain à la
production d'une clef de porte,
une serrure et semblable. Quand
on vient en des contées
primitives, on peut faire encore
de très gentilles expériences
dans ce rapport, mais où les
contrées sont moins primitives,
là on ne fait plus de telles
expériences. Je vins une fois –
pardonnez-moi que je raconte
quelque chose de si personnel,
mais peut-être cela sert-il à la
caractérisation – dans une telle
contrée et fut vraiment
extraordinairement ravi alors
que je rentrais dans une
boutique de coiffeur et que le
commis coiffeur avait sa claire
joie à ce qu'il il pouvait
bellement couper les cheveux à
un humain ! Il avait sa
claire joie à ce qu'il
accomplissait. De tels rapports
personnels entre l'humain et son
produit sont toujours de moins
en moins là. Que ce rapport
n'est plus là, cela est
simplement une exigence de la
vie de l'économie moderne. Cela
ne peut être autrement sous les
rapports compliqués où nous
devons travailler sous division
du travail. Et n'aurions-nous
pas la division du travail, nous
n'aurions pas la vie moderne
avec tout ce que nous avons pour
nécessaire, n'aurions-nous pas
de progrès. Il n'est pas
possible que les vieux rapports
entre l'humain et son produit
soient là.
Mais
l'humain
a besoin d'un rapport à son
travail. L'humain a besoin que
puisse exister joie entre lui et
son travail, une certaine ardeur
à son travail. La vielle ardeur,
l'immédiat être ensemble avec
l'objet produit, cela n'est
plus, mais cela doit être
remplacé par autre chose. Car ce
n'est pas supportable pour la
nature humaine que
ne serait pas là une
motivation au travail semblable
à celle qui a été là par la joie
à l'immédiat produire de
l'objet. Cela doit être remplacé
par autre chose. Par quoi cela
peut-il être remplacé ?
Cela peut seul être remplacé par
cela que l'horizon de l'humanité
sera agrandi, que les hommes
seront appeler vers le dehors
sur un plan sur lequel ils se
rencontreront avec leurs
semblables en grands cercles –
finalement avec tous les
semblables, qui habitent avec
eux le même organisme social –,
pour comme humain développer de
l'intérêt pour les hommes.
Cela doit arriver que même celui
qui dans le coin le plus dérobé
travaille à une unique vis pour
un grand contexte, n'a pas
besoin avec son rapport
personnel de s'ouvrir à
l'instant à cette vis, mais
qu'il puisse porter dedans son
atelier, ce qu'il a accueilli
comme sentiment pour les autres
hommes, qu'il le trouve à
nouveau, quand il sort de son
atelier qu'il a une vivante
façon de voir son rapport avec
la société humaine qu'il puisse
travailler aussi quand il ne
travaille pas avec joie pour le
produit immédiat, de la raison
qu'il se sent un digne membre à
l'intérieur du cercle des ses
semblables.
Et
de
ce besoin est issue l'exigence
moderne après démocratie et
cette façon moderne d'établir le
droit, le droit public de
manière démocratique. Les choses
dépendent intérieurement avec
l'essence de l'évolution de
l'humanité. Et ces choses peut
seulement voir clair qui a
l'inclination de regarder
vraiment dedans l'essence du
développement de l'humanité,
comme elle se joue sur sol
social. On doit sentir comment
l'horizon des hommes devrait
être élargi, comment ils
devraient sentir : certes,
je ne sais pas ce que je fais à
mes semblables, en ce que je
fabrique cette vis ici, mais je
sais que par les rapports
vivants dans lesquels je viens à
eux par le droit public, à
l'intérieur de l'ordre de
société je suis un membre digne,
un parmi les autres membres
valant également.
C'est
cela
qui doit reposer à la base de la
démocratie moderne et ce qui
doit reposer à la base comme
sensation à sensation oeuvrant
entre hommes, du moderne public
statut de droit. Et seulement
par cela qu'on regarde dedans la
structure intérieure de l'humain
on vient à de véritables
concepts modernes de ce qui doit
se développer comme droit public
sur tous les domaines. Nous
aurons encore à parler de cela
plus exactement dans la
cinquième conférence. P94-96
Mais maintenant pour la fin je
veux encore vous montrer comment
le domaine de la recherche du
droit applicable joue du le sol
particulier du droit sur le sol
de l'esprit.
On
peut
voir , en ce qu'on regarde
simplement à travers les
relations que je vous aie
maintenant caractérisées,
comment apparaissent les lois
par émoussage de sensation à
sensation entre des hommes
également justifiés sur sol
démocratique, pendant
qu'apparaissent sur sol
économique les contrats entre
coalisions ou aussi entre les
hommes particuliers. À partir de
l'instant où il s'agit de ce que
l'individu a à chercher ou à
trouver son droit civilement, ou
autrement de quelque manière
aussi pénale, a cet instant le
droit va du sol d'origine du
droit sur le sol de la vie de
l'esprit. La repose à nouveau un
point – exactement comme pour la
législation fiscale – où la
représentation humaine moderne
ne s 'accoutumera encore
longtemps pas de ce qui en fait,
quand on arrive sur les
relations fondamentales se
montre comme une évidence.
Voyez-vous, quand il s'agit de
juger comment une loi qui est
donnée est à appliquer à
l'humain particulier, là vient
en considération le jugement
individuel de cet humain
particulier ; là, vient en
considération qu'on puisse
arriver par ses facultés
spirituelles à cet humain
particulier.
Le
soin
du droit pénal, le soin du droit
civil, celui-là ne peut se tenir
sur le sol du droit général, il
doit être poussé sur le sol dont
je vous déposerai claires les
plus profondes particularité
après-demain dans l'entretien
sur la vie de l'esprit. Il ne
peut devenir seulement
acte-droit par là que chacun,
qui devient juge, soit aussi
placé dans la situation de juger
à partir des facultés
individuelles, oui des rapports
individuels aux hommes sur
lesquels il a à juger. Peut-être
pourrait-on se penser que
quelque chose de tel pourrait
être érigé des plus différentes
manières. J'ai rendu attentif
sur comment cela pourra être
atteint d'une manière dans mes
« Noyaux germinatifs de la
question sociale ».
Il
réside
dans l'organisme social
triarticulé, l'administration
économique autonome que je vous
ai caractérisée hier, il réside
le sol de droit démocratique,
que j'ai esquissé aujourd'hui,
et que je vous exposerai plus
loin dans la cinquième
conférence dans ses interactions
avec les autres domaines. Mais
il réside aussi le domaine
autonome de la vie de l'esprit,
où avant toutes choses le
système d'enseignement et
d'éducation sera administré de
la manière, comme je l'ai évoqué
hier et exposerait plus loin
après demain.Ceux maintenant qui
sont les administrateurs de la
vie de l'esprit auront en même
temps à placer les juges, et
chaque humain aura le droit et
la possibilité – disons même
purement pour une durée – de se
déterminer de quel juge il veut
être jugé s'il vient dans la
situation d'être jugé pour une
quelque chose de droit civil ou
pénal.
Là
l'humain
se déterminera son juge à partir
des véritables conditions
individuelles. Là le juge qui
n'est pas un bureaucrate
juridique, mais qui sera placé à
partir de l'organisme spirituel,
d'après les rapports dans
lesquels il est en relation
sociale avec son environnement,
pourra aussi déterminer comment
est à juger celui qui est à
juger à partir de
l'environnement social. Il
s'agit de ce que non de besoins
étatiques le juge soit placé,
mais que les bases à partir
desquelles on place un juge
soient semblables à celles qu'on
fait valoir dans la libre vie de
l'esprit lorsqu'on amène le
meilleur éducateur à une
quelconque place.
Le
devenir
juge sera quelque chose de
semblable comme devenir
enseignant ou éducateur.
Naturellement
la
recherche du droit applicable
découle de la fixation du droit,
qui croit sur des chemins
démocratiques. Nous voyons tout
de suite à cet exemple comment à
partir de la démocratie croit ce
qu'est l'affaire individuelle de
l'humain, ce qui doit aussi être
jugé de manière individuelle.
La fixation du droit est donc
dans un sens le plus éminent une
affaire sociale. À l'instant où
on est contraint de se tourner
vers un juge on a en règle à
faire avec une affaire sur- ou
anti-sociale (NDT peut être
« asociale » plutôt
que « sur-sociale »),
avec quelque chose, qui tombe en
dehors de la vie sociale. De
telles affaires sont au fond
toutes les affaires
individuelles de l'humain. De
telles affaires sont les
branches d'administration de la
vie spirituelle, et sous elles
aussi de l'administration de la
recherche du droit applicable.
La recherche du droit applicable
croit vers dehors, par-dessus
les frontières de la démocratie.
Ainsi,
il
s'agit de cela, d'établir en
réalité ce que provoque comme
réalité la vie de droit entre
les hommes. Alors, cette vie de
droit ne sera pas une
superstructure de la vie de
l'économie, mais alors cette vie
de droit agira dedans la vie de
l'économie. Jamais on ne viendra
par une pure façon de voir
théorique sur ce qui a à se
passer sur ce domaine, mais seul
par cela qu'on regarde dedans la
vie pratique et se dit :
une véritable vie de droit avec
une force de propulsion
correspondante peut seulement se
constituer quand on créé un sol
autonome du droit. Ce sol de
droit autonome a disparu sous la
vie de l'économie inondant tout.
La vie du droit est devenue un
appendice de la vie économique.
Elle doit à nouveau devenir
autonome, comme aussi la vie de
l'esprit doit être émancipée de
la vie de l'économie. La grosse
erreur doit être surmontée pour
voir clair dans la question
sociale – la grosse erreur,
qu'on aurait purement à
transformer les institutions
économiques, alors se montrerait
tout le reste de soi-même.
Cette
erreur
est apparue par cela que la vie
économique dans les temps
récents est seule devenue
puissante. On se laisse
influencer suggestivement par la
seule puissance de la vie de
l'économie. On ne sera par cela
jamais amené à une solution de
ce qu'est la question sociale.
Les hommes s'adonneront à des
illusions, tout de suite celles
du prolétariat. Ils voudront
sucer de la vie de l'économie ce
qu'ils nomment la « juste
répartition des biens ».
Mais la juste répartition des
biens sera faite seulement quand
dans l'organisme social se
tiennent des hommes qui ont les
capacités de créer les
institutions correspondantes par
lesquelles les exigences
économiques pourront être
satisfaites. Cela peut seulement
se passer quand on
reconnaîtra : il s'agit à
la satisfaction des exigences
sociales pas seul de la
transformation de la vie de
l'économie, mais de cela, de
répondre à la question :
qu'est-ce qui doit être placé
près de la vie de l'économie
afin qu'en permanence cette vie
de l'économie soit formée
sociale par les hommes sociaux
qui dans la vie du droit, dans
la vie de l'esprit, deviennent
des hommes sociaux ?
Cela
doit
s'opposer comme vérité à une
superstition, un dogme. Et
ceux-là qui dans la vie de
l'économie cherchent le seul
médicament pour une guérison de
la vie sociale doivent être
renvoyés sur l'esprit et sur le
droit. Ils ne devraient pas
rêver de cela comme si le droit
n’était qu'une fumée, qui monte
au-dessus de la vie de
l'économie, mais à la mesure de
la réalité penser : tout de
suite parce que le droit et la
conscience du droit se sont
retirés dans les temps récents
par l'inondation de la vie de
l'économie, nous avons besoin
pour la formation de notre
organisme de société de la
réelle création d'un organisme
de droit avec la force de
propulsion correspondante.
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