Peut être qu'a maints sera apparu
quelque peu étrange comme aura été
traiter le thème que j'ai donné.
Curieusement je pense d'après la
direction que peut être pourrait être
dit : oui, c'étaient justement
des idées isolées, des pensées sur un
aménagement possible de la structure
sociale et de maintes choses qui dans
le traitement de la question sociale
aujourd'hui seront souvent répétées
aujourd'hui sous forme de slogans qui
a tout de suite été moins à remarquer
dans ces conférences. Certainement, ce
devraient être de pensées et idées
dont il s'agit ici.
Mais je pense avoir
aussi rendu remarquable que je
différencie ces pensées et idées de
maintes autres qui seront exposées en
ce domaine, que dans une certaine
mesure sera dit : oui,il
manquerait une répartition régulière
des biens vitaux. Cela viendrait de
tels ou tels dommages. Ces dommages
devraient être supprimés – et du
genre. Ces paroles on les entend donc
aujourd'hui très souvent. Il me semble
que cela a plus à voir avec ce qu'on
procède sur ce domaine comme
sinon aussi dans la vie pratique.
A-t-on à faire avec un quelque
produit, qui devrait être fabriquer
par une machine et dont l'humain a de
quelque façon besoin pour son besoin,
ainsi cela ne suffit pas qu'on élabore
un programme et dise : maintenant
quelques humains devraient se
rassembler, qui sont organisés ainsi
et ainsi, afin que ce produit soit
produit. - Ainsi sonnent aussi à peu
près différents programmes sociaux qui
sont établis dans le présent.
Pour moi il s'agit beaucoup plus de
cela, de mentionner comme la machine,
dans ce cas l'organisme social,
devrait être articulée et être telle
que pourrait être produit, ce qui est
montré par les exigences sociales plus
ou moins conscientes du présent. Et je
crois, qu'on ne pourra pas dire, ces
conférences n'ont pas traité de
comment pain et charbon ou semblable
devraient être procurés.
À mon avis, elles ont traité de cela.
Elles ont traité de cela, de ce que
sont en fait les bases de l'organisme
social, comment les humains doivent
vivre et travailler ensemble dans cet
organisme social afin que ressorte ce
qui justement repose dans l'exigence
sociale. Je voulais indiquer cela au
préalable, parce que pourrait
peut-être tout de suite se faire un
reproche similaire pour ma conférence
de conclusion.
Celui-là seul
reconnaîtra le problème international
comme un membre de l'entière question
sociale qui voit à travers comment le
prix du petit bout de pain, qui vient
sur la table de tout un chacun dépend
de l'ensemble de l'économie du monde,
comme n'est pas indifférent ce qui se
produit en Australie ou en Amérique,
ce qui est travaillé là par des
humains pour ce qui apparaît ici comme
prix pour un petit bout de pain ou
pour du charbon. Mais ce n'est
aujourd'hui pas tout de suite facile
vis-à-vis de maints jugements et
préjugés, qui vivent là, de parler
tout de suite des problèmes
internationaux. Cette vie
internationale l'humain se l'est donc
conduite ad absurdum dans les cinq
dernières années. La croyance
n'était-elle pas déjà disponible en de
plus larges cercles que sentiment
international, compréhension
internationale avaient pris place dans
la récente humanité ? Où
sommes-nous donc arrivés avec ce
sentiment international, avec cette
compréhension internationale ? À
l'autodestruction des peuples (NDT
Selbstzerfleichung serait
littéralement « auto
étripage ») par delà de
vastes cercles de la
civilisation ! Et ces idées ont
elles-mêmes échoué pour leur propre
façon de voir ces idées et efforts
idéels qui tout de suite ont placé la
plus grande valeur sur leur caractère
international. Nous n'avons besoin que
de penser à cela, comme le
christianisme international – car
international ce devait bien-être – en
ses paroles, en ses remarques a très
souvent accompagné le langage
national-chauviniste. Et nous pouvons
mentionner encore maintes choses
d'impulsions internationales qui ont
enduré le naufrage en ce dernier
temps. Tout de suite alors, peut-être
quand sera parlé de vie internationale
de l'humanité en rapport à
l'économique, ce sera aussi nécessaire
de penser et apprendre maint
autrement. Et il sera aussi nécessaire
de pénétrer jusqu'à cette source de la
nature humaine qui pourra seulement
être trouvée quand on regarde sur
l'esprit et sur l'âme. Et que cela
devrait se passer ici ainsi, que ne
serait pas purement commencé sur les
slogans « esprit » et
« âme », mais sur la
véritable manifestation du spirituel
et psychique, que je crois, les
dernières conférences ont au moins
tenté de montrer.
Par-dessus le monde entier ce que les
humains développent dans leur vivre en
commun, dans leur travailler en
commun, sera dominé par deux
impulsions, sur lesquelles serait
avant toute chose nécessaire que règne
la vérité en nous humains, une vraie,
une non maquillée, une conception non
ornée par toute sorte de slogans. Deux
impulsions vivent dans l'âme humaine,
qui se comportent l'une à l'autre
comme pôle nord et sud d'un aimant.
Ces deux impulsions sont égoïsme et
amour. Toutefois, la façon de voir est
largement répandue que l'éthique
serait seulement quand l'égoïsme
serait surmonté par l'amour, et quand
l'humain se développerait ainsi qu'à
la place de l'égoïsme pénétrerait pur
amour. Comme une exigence éthique,
aujourd'hui aussi comme une exigence
sociale, cela est disponible chez
beaucoup. La compréhension pour ce qui
existe comme opposition de force entre
égoïsme et amour, cela est absolument
moins disponible aujourd'hui.
Quand nous parlons
d'égoïsme, ainsi nous devons avant
toutes choses savoir que cet égoïsme
commence pour l'humain avec son besoin
corporel. Ce qui source des besoins
corporels de l'humain, nous ne pouvons
le comprendre autrement que si nous
nous le pensions poussé de la sphère
de l’égoïsme. Ce dont l'humain a
besoin, cela ressort de son égoïsme.
Maintenant on doit absolument se
penser que cet égoïsme pourrait aussi
être anobli, et pour cela ce n'est pas
bon de former tout de suite ses façons
de voir sur ce domaine avec quelques
slogans. Par ce qu'on dit, l'égoïsme
devrait être surmonté par l'amour, on
n'a pas encore fait grand-chose pour
la compréhension de l'égoïsme. Car il
s'agit par exemple de ce que celui-là,
lequel manifeste à ses semblables pure
et humaine compréhension d'intérêt,
agit autrement que celui ne se soucie
pas de ce qui vit dans les âmes et
cœurs de ces humains, celui-là qui n'a
pas d'intérêt pour son entourage.
C'est pourquoi le premier qui a une
vraie compréhension pour ses
semblables n'a absolument pas déjà
besoin par là d'être non égoïste dans
la vie, car il peut tout de suite
appartenir à son égoïsme de maintenant
servir les humains. Cela peut lui
faire délectation intérieure, cela
peut même lui susciter bien-être,
volupté intérieure, de s'adonner au
service des humains. Et alors pour la
vie extérieure peuvent apparaître de
manière absolument objective des
expressions de vie altruistes d'un
égoïsme apparent, mais qui dans la vie
du sentiment ne pourra absolument pas
être valorisé autrement que comme un
égoïsme.
Mais la question de l'égoïsme devra
encore être déployée encore bien plus
loin. On doit poursuivre l'égoïsme
aussi par l'entière vie d'âme et
d'esprit de l'humain. On doit être
soi-même clair là dessus, comme à
partir de la plus intérieure entité de
l'humain jaillit exactement comme cela
le spirituel et psychique sur maints
domaines comme les besoins corporels.
Ainsi jaillit à partir de l'entité
humaine par exemple tout ce qu'est son
œuvre imaginative. Cela jaillit à
partir de l'entité humaine, ce qu'il
crée sur domaine artistique.
Quand on va non averti à des œuvres et
cherche correcte compréhension pour de
telles choses, alors on devra
dire : ce que crée l'imagination
humaine, ce qui apparaît de
soubassements indéterminés de son
être, cela a la même origine,
seulement sur un niveau supérieur, que
les besoins corporels. La vie de
l'imagination qui est déployée par
exemple dans l'art, repose absolument,
vu subjectivement, sur satisfaction
intérieure, sur une satisfaction, qui
est plus fine, plus noble que par
exemple la satisfaction de la faim,
mais qui qualitativement n'est pas
différente de cela, quand aussi ce qui
par cela sera produit, a pour
l'instant une autre signification.
Mais maintenant tout
l'égoïsme de l'humain est rendu
attentif à ce que l'humain s’accommode
avec ses semblables, que l'humain vit
ensemble et travaille ensemble avec
ses semblables. L'égoïsme lui-même
exige la vie en commun et l’ouvrage en
commun avec les autres humains. Et
ainsi beaucoup de ce que nous
développons en société avec d'autres
humains est construit aussi absolument
sur l'égoïsme et peut même appartenir
aux plus nobles vertus de l'humain.
Nous regardons l'amour maternel :
il est absolument fondé sur l'égoïsme
de la mère, et il a les répercutions
les plus nobles dans la vie en commun
de l'humanité.
Mais ainsi aussi se déploie ce qui en
fait est fondé dans l'égoïsme, parce
que l'humain a un besoin humain tout
de suite pour son égoïsme, sur la vie
commune en famille, ainsi cela se
déploie sur la vie commune d'origine,
ainsi cela se déploie dans la vie
commune de la nation, dans le peuple.
Et de l'art et la manière comme
l'humain se trouve dans le peuple,
dans la nation, elle n'est pas autre
chose qu'un reflet de ce qui apparaît
de lui égoïstement. L'égoïsme sera
certes relevé sur une haute marche
dans l'amour de la patrie, dans le
patriotisme, là il sera anobli, là il
devient ainsi qu'il apparaît comme un
idéal. Mais cet idéal racine donc dans
l'égoïsme humain. Maintenant cet idéal
doit devenir fructueux et se réaliser
afin que tout ce qui pourrait provenir
de la productivité d'un peuple puisse
justement être remis à l'humanité.
Et ainsi nous voyons, comme de
l'impulsion de l'âme humaine
particulière, de l'égoïsme, finalement
se développe tout ce qui vient à
l'expression dans le nationalisme.
Nationalisme est égoïsme vécu en
commun. Le nationalisme est l'égoïsme
porté en haut dans le spirituel. Le
nationalisme est par exemple
complètement abreuvé et complètement
chauffé par la vie d'imagination du
peuple, dans lequel le nationalisme
s'amène à l'expression. Mais cette vie
de l'imagination elle-même est le
développement spirituel plus élevé de
ce que sont les besoins humains. On
doit retourner jusqu'à cette racine,
pour comprendre correctement la chose
par son observation.
D'un caractère tout
autre est cela qui se développe dans
la nature humaine comme
internationalisme. National nous le
devenons par ce que le nationalisme
jaillit de notre propre nature
personnelle. Le nationalisme est une
fleur de la croissance de l'humain
individuel, le sang commun avec son
origine ou par d'autres appartenances
liées a son peuple. Le nationalisme,
il pousse avec l'humain. Il l'a, il
pousse dedans, j'aimerais dire, ainsi
qu'il pousse dans une grandeur de
corps déterminée. L'internationalisme,
on ne l'a pas de cette façon.
Internationalisme se laisse plus tôt
comparer avec ce sentiment que nous
gagnons quand nous nous regardons la
belle nature en vis-à-vis, ce à quoi
nous sommes poussés à l'amour, à
l'admiration, à la reconnaissance
parce que nous la contemplons, parce
qu'elle fait son impression sur nous,
parce que nous nous y adonnons en
liberté.
Pendant que nous nous faisons dans le
peuple particulier, parce que nous
sommes dans une certaine mesure un
membre de lui, nous apprenons à
connaître les autres peuples. Ils
agissent vers nous, j'aimerais dire,
sur les détours de la connaissance, du
comprendre. Nous apprenons à les aimer
de proche en proche, plein de
compréhension et dans la mesure dans
laquelle nous pouvons aimer plein de
compréhension l'humanité dans ses
différents peuples, sur leurs
différents domaines, dans cette mesure
grandit notre internationalisme
intérieur.
Ce sont absolument deux différentes
sources dans la nature humaine qui
reposent à la base du nationalisme et
de l'internationalisme. Le
nationalisme est le plus haut
développement de l'égoïsme.
L'internationalisme est ce qui pénètre
en nous toujours de plus en plus quand
nous pouvons nous adonner à une
conception de l'humain pleine de
compréhension. On devra considérer la
vie en commun humaine en cette lumière
de par la terre civilisée, notamment
quand on veut venir à une
compréhension correcte de ce qui dans
l'internationalisme et nationalisme
pousse l'un sur l'autre.
On doit donc aussi alors, quand sera
cherché à comprendre la vie
économique, renvoyer sur les deux
impulsions, nommées en haut, dans
l'âme humaine. Ce que nous avons
exposé comme élément de vie articulé
triplement de l'humain dans ces
conférences,cela nous reconduit sur
les deux impulsions justement
caractérisées dans l'âme humaine.
Regardons-nous par exemple la vie de
l'économie – nous voulons donc la
regarder après – comme toute vie
commune nationale et internationale de
l'humain la noyaute. Regardons la vie
de l'économie. Nous regardons sur
cette vie de l'économie ainsi que nous
devons reconnaître son point de départ
en fait dans le besoin humain, dans la
consommation. Que le besoin humain
soit satisfait, cela est finalement la
tâche de la vie de l'économie. Pour la
satisfaction du besoin humain ont à
veiller production et circulation de
marchandises, administration, relation
humaine et semblable. Là aussi nous
pouvons nous demander : qu'est-ce
qui repose à la base du besoin, de la
consommation à partir de la nature
humaine ? L'égoïsme repose à la
base du besoin, de la consommation. Et
il s'agit qu'on fasse preuve de
la nécessaire compréhension de ce
fait. Alors, on ne soulèvera pas la
question pour la vie de
l'économie : comment est à
surmonter l'égoïsme ? -
mais : comment est-il possible à
l'altruisme de satisfaire l'égoïsme
justifié ? - Peut être que cette
question sonne moins idéaliste, mais
elle est vraie.
Mais on voit aussitôt
quand on regarde sur la production,
par laquelle la consommation devrait
être satisfaite, par laquelle la
consommation devrait être assouvie,
que là quelque chose d'autre est
nécessaire. Celui-là, qui devrait
produire, il est donc évidemment aussi
un consommateur. Il est nécessaire –
les conférences tenues l'ont
expliqué-, qu'il ait compréhension pas
seulement pour le processus de
production mais pour la vie de ses
semblables ainsi qu'il puisse
s'adonner à son processus de
production ainsi qu'il corresponde aux
besoins de ses semblables. L'humain
doit pouvoir regarder vers, serait-ce
indirectement ou directement par
institutions desquelles nous avons
parlées, ce que les humains
nécessitent dans la consommation.
Alors, l'humain doit de cette
compréhension pleine d'ardeur, aussi
pouvoir se consacrer à telle ou telle
production qui tout de suite repose
dans ses capacités. On a seulement
besoin de décrire cela, alors on devra
voir, quand aussi cela semble sec et
sobre en ce domaine, le moteur
particulier de la production dans
l'amour dévoué à la société humaine.
Et avant qu'on ne comprenne que la
production ne peut être réglée de
manière sociale que par ce que seront
créées des bases par les vies de
l'esprit et de droit, desquelles se
déverserait dans les âmes humaines – à
cause de l'intérêt pour leurs
semblables, à cause de l'intérêt pour
la vie – un amour plein d'ardeur pour
leur branche de production, plus tôt
on ne dira rien de positif sur la
véritable tâche du problème social.
Entre les deux, entre, j'aimerais
dire, la consommation égoïste et la
production faisant preuve d'amour se
tient la circulation de marchandises,
de biens, qui crée la compensation
entre les deux, créée là aujourd'hui
par le hasard du marché, par offre et
demande, devrait être créée dans le
futur par une association humaine
laquelle place la raison à la place du
hasard de marché, ainsi que des
humains seront là, dont ce sera
l'affaire, à partir de l'observation
des besoins de consommation,
d'aménager la production ainsi que le
marché consistera en ce que la raison
de l'organisation concernée sera en
situation de faire à partir de la
production pour la consommation qui
tout d'abord sera correctement
reconnue et observée. On se
débarrassera sur ce domaine absolument
de tous slogans et devra parvenir à la
réalité.
Mais maintenant – qui ne le verrait
pas – le temps récent a toujours de
plus en plus produit quelque chose qui
devait survenir qui devait se répandre
toujours plus largement et largement
sur la terre comme l'horizon de
l'humain. À la place de l'ancienne
économie nationale, l'économie sur des
territoires plus étroits, est apparue
l'économie mondiale. Toutefois, cette
exigence s'est formée si loin que
presque à chaque endroit du monde
civilisé seront utilisés des produits
qui seront produits à d'autres
endroits de ce monde civilisé, il est
indifférent si c'est le même pays ou
un autre. Mais aussi sur ce domaine la
saisie idéelle humaine, l'ambiance
d'âme n'a pas suivi ce qui est entré
comme une exigence des mondes. Partout
nous voyons, comme c'est une exigence
pressante des temps récents de tenir
compte de l'économie mondiale,
d'atteindre des institutions sous
lesquelles l'économie mondiale est
possible.
Sous quelles conditions l'économie
mondiale est elle seule
possible ? Cela on peut vraiment
seulement reconnaître quand on oriente
tout d'abord son regard sur comment -
et je l'ai exposé dans la conférence
d'hier – l'ordre social doit se former
d'après le futur, quant à la place des
anciennes sociétés de pouvoir, des
actuelles sociétés d'échanges, entre
la société commune. Cela est justement
la société dans laquelle sera produit
par les associations, par les contrats
des associations.
Quand on fait vraiment valoir cela, en
quoi se montre alors la différence
réelle entre une telle société
commune, et la pure société d'échanges
qui aujourd'hui est encore celle
qui règne diversement ? La
différence se montre en ce que dans la
société d'échange de préférence
l'individu ou le groupe individuel a à
faire avec l'autre individu ou l'autre
groupe particulier. À quoi
s'intéressent alors cet autre individu
ou ce groupe dans leur rapport les uns
aux autres ? S'ils sont
consommateurs, s'ils sont producteurs
– leur production, leur consommation
se tiennent dans une certaine mesure
séparée par un abîme l'un de l'autre
par le marché de hasard et le marché
de hasard fournit la circulation de
marchandise, fourni le commerce. Comme
sinon aussi on parle de manière
justifiée ou non justifiée sur la
domination du capital, du travail et
du genre, sur la signification du
capital et la signification du
travail, on doit dire :
l'essentiel pour notre société
d'échange est que ce qui domine est la
circulation de marchandises. C'est
elle qui construit le pont entre la
production et la consommation, pendant
que production et consommation sont
séparées l'un de l'autre par l'abîme
du marché, ainsi qu'elles ne sont pas
mises en contact ensemble par la
raison.
Qu'est-ce qui dans la société commune
s'introduira à la place de la
circulation régnante ? Tout le
domaine de la vie de l'économie sera
tiré dedans l'intérêt de chaque
gestionnaire ! Pendant
qu'aujourd'hui le gestionnaire a à
s'intéresser comment il reçoit ses
produits ou écoule ses produits, mais
a à veiller par intérêts à lui même,
ce devra être ainsi dans la société
commune que chaque gestionnaire ait un
plein intérêt pour consommation,
commerce et production, cela signifie
que l'économie d'ensemble se reflète
dans l'intérêt économique de
l'individu. C'est de cela qu’il doit
s'agir avec cette société commune.
Mais avec cette société commune qui
aussi dans l’État particulier est
aujourd'hui encore absolument une
exigence d'avenir, regardons
maintenant comment cela devrait se
comporter en rapport au problème
international. Ce problème
international, comment se
représente-t-il à nous
particulièrement en apport à la vie de
l'économie ? Là nous pouvons
voir, qu'existe d'ailleurs l'exigence
mondiale après une économie mondiale,
mais qu'à l'intérieur de l'ensemble de
l'économie mondiale les États
nationaux particuliers se démembrent.
Ces États nationaux particuliers,
entièrement mis à part les autres
conditions de leur constitution, ils
seront tout d'abord maintenus ensemble
par ce qui monte de l'égoïsme des
humains vivants ensemble. Même dans le
plus noble du national, en
littérature ; art et ainsi de
suite c'est l'imagination montant de
l'égoïsme qui tient les groupe-peuples
ensemble. Ces groupes-peuples ainsi
tenus ensemble se sont placés
maintenant dans le domaine entier de
l'économie mondiale, et ils se
tenaient particulièrement fort,
toujours de plus en plus fort dedans
au cours du 19e siècle et ce se placer
dedans atteignit son apogée au début
du 20e siècle. Voulons-nous en fait
caractériser ce qui se passa là, alors
nous devons dire : pendant
qu'encore d'autres intérêts, qui
ressemblaient bien plus à l'ancienne
société de pouvoir, qui autrefois
régnait entre les États, le principe
de la société d'échange devient tout
de suite prépondérant dans les
relations réciproques dans la vie
internationale des États, ainsi qu'un
apogée fut atteint au début du 20e
siècle. Comme dans les États
particuliers était produit et
consommer, ce qui en d'autres États
était administré ou retiré d'autres
États, cela était absolument tiré dans
l'égoïsme des états particuliers. Pour
cela fut seulement rendu valable ce à
quoi s'intéressait l’État particulier
en tant que tel. Comme on établissait
des relations réciproques sur domaine
économique entre États, cela reposait
entièrement et seulement sur le
principe de commerce, cela reposait
sur le principe que dans la société
d'échange régnait en référence la
circulation de marchandises.
Sur ce champ, mais en grand, là se
montrait en particulier comment cette
pure société d'échange devait conduire
ad absurdum. Et le
conduire-ad-absurdum, cela était pour
l'essentiel une des raisons
principales, une des causes
principales à ce qui a amené cette
catastrophe guerrière mondiale. Il
devient donc tout de suite après
toujours de plus en plus clair à
l'humain que cette grande différence
existait entre l'exigence après une
économie mondiale et le
placer dans cette économie
mondiale des états particuliers, qui
s'isolent par douanes et autres,
plutôt que de promouvoir l'économie
mondiale, et ce qui pouvait être
résultat de l'économie mondiale, ils
voulaient en profiter pour soi et en
ont aussi profité. Cela conduisit à
cette guerre que nous décrivons comme
la catastrophe guerrière mondiale.
Certainement se mêlent dedans d'autres
causes, mais cela est tout de suite
une des causes principales.
Et ainsi il s'agira de
connaître comme tout de suite
vis-à-vis de la vie internationale est
en toute première ligne nécessaire que
la possibilité sera trouvée,
par-dessus les frontières de gérer
(NDT économiquement) d'après d'autres
principes que sont ceux de la pure
société d'échange.Il doit devenir
possible, tout de suite ainsi comme
dans la société commune l'individu
doit avoir l'intérêt pour la
production, où elle apparaît toujours
intérêt pour consommation quand il
veut collaborer, comme il doit
s'intéresser pour le domaine complet
de l'économie – consommation de
marchandises, production de
marchandises, circulation de
marchandises – ainsi ce doit être
possible, de trouver des impulsions
par lesquelles chaque structure d’État
du monde pourrait avoir un véritable
intérêt intérieur pour chaque autre
structure d’État, ainsi que pas
quelque chose d'autre, de semblable au
marché de hasard se forme entre les
peuples, mais règne une véritable
compréhension intérieure entre les
peuples.
Là nous venons aux
sources plus profondes de ce qui sera
recherché aujourd'hui dans
l'abstraction dans la Société des
Nations ainsi nommée, qui donc part de
ce que seront corrigés certains
dommages qui existent dans le vivre
ensemble des peuples. Seul il surgit
du même principe, duquel aujourd'hui
beaucoup surgit. Qui aujourd'hui
réfléchit sur les dommages de la vie,
il pense très souvent aux prochaines
corrections par lesquelles l'un ou
l'autre pourra être exécuté. Là un
voit que beaucoup de luxe existe, donc
il veut imposer le luxe et du genre.
Il ne pense pas à aller à la source de
ce dont il s'agit, trouver la
structure de la vie en commun sociale
par laquelle un luxe impossible ne
peut apparaître.
Qu'on doive aller à de telles sources,
mais c'est cela dont il s'agit dans la
vie des peuples. C'est pourquoi on ne
devrait pas venir à une vie en commun
intérieure internationale par de
quelconques dispositions qui
corrigeraient simplement, mais par ce
qu'on va vraiment aux sources, par
lesquelles compréhension de peuple
vis-à-vis de compréhension de peuple
pourra être trouvé.
Maintenant, il ne pourra être trouvé
de compréhension de peuple quand
purement on tient à l'un, qui se
montre dans une certaine mesure comme
la croissance elle-même à partir de
l'humain, quand on regarde purement
sur ce qui, comme j'ai montré, doit
conduire au nationalisme, à
l'isolement à l'intérieur de
l'ensemble des peuples. Qu'avons-nous
donc dans la vie spirituelle
aujourd'hui, qui au fond unique et
seul porte un caractère international
et ne l'a seulement pas perdu pendant
cette guerre parce que les humains
n'étaient pas en état le prendre sur
ce domaine ? Car l'auraient-ils
pris, ainsi ils auraient du détruire
le domaine lui -même. Qu'est cela,qui
vraiment est international en fait par
la terre entière ? Pris à la
base, pas autre chose que le domaine
s'étendant sur le monde des sens
extérieur de la science de la nature.
La science intellectualiste – j'ai
montré dans les conférences comment la
science de la nature doit être nommée
intellectualiste -, elle a pris un
caractère international.
Et c'était facile à remarquer dans ces
temps où tant de contraires à la
vérité sont entrés dans le monde.
Quand quiconque a fait du mal à la
science d'en mésuser dans le sens
national, ainsi il se comporta à elle
pour ainsi dire par son vrai
caractère. Mais ne voit-on pas de
l'autre côté tout de suite par le fait
que je devais justement mentionner que
cette sorte de vie de l'esprit, qui se
vit dans l'intellectualisme, n'était
pas en état de fonder une vie
internationale ? On le voit, je
pense assez clairement que cette
nostalgie, que j'ai décrite des plus
différents points de vue pour cette
direction spirituelle
intellectualiste, s'est entièrement
montrée particulièrement à
l'internationalisme dans le
comportement de cette vie de l'esprit
intellectualiste.
La science n'était pas
en état, de verser dans l'âme humaine
de si profondes impulsions
internationales que celles-ci auraient
résisté vis-à-vis des terribles
événements des dernières années. Et
là, où cette science voulait
apparaître, former des impulsions
sociales comme dans
l'internationalisme socialiste, là
s'est montré que ce socialisme
internationaliste ne pouvait aussi pas
se maintenir, mais la plupart du temps
refluait dans le chenal national.
Pourquoi ? Parce que justement il
a tout de suite repris seulement
l'intellectualisme des anciens
héritages de l'humanité et que
l'intellectualisme n'est pas assez
fort pour œuvrer formateur dans la
vie. C'est cela, qui d'un côté atteste
que cette récente direction
scientifique, qui est montée en même
temps que capitalisme et culture
technique, contient certes un élément
international, mais en même temps
atteste qu'elle est comme impuissante
à la fondation d'une véritable vie
internationale de l'humanité.
Vis-à-vis de cela devra
maintenant se faire valoir, ce que
j'ai expliqué dans la quatrième
conférence sur l'orientation de
science de l'esprit, qui repose sur la
façon de voir, sur la connaissance de
l'esprit. Cette façon de voir
l'esprit, elle ne repose pas sur façon
de voir sensorielle plus extérieure,
elle provient de l'évolution de la
nature humaine propre. Elle éclot à
partir de ce dont éclot aussi
l'imagination. Mais elle éclot à
partir de profondeurs plus profondes
de la nature humaine. C'est pourquoi
elle ne se dresse pas purement aux
structures individualistes de
l'imagination, mais aux structures de
connaissance objectives de la réalité
spirituelle du monde. Sous ce rapport,
cette façon de voir spirituelle sera
donc aujourd'hui encore très souvent
mal comprise. Ceux qui ne la
connaissent pas, ils disent :
oui, ce qui de cette manière sera
trouvé par cette façon de voir
spirituelle, cela est donc seulement
subjectif, personne ne peut prouver
cela. – Les connaissances
mathématiques sont aussi subjectives
et ne sont pas démontrables ; et
on ne peut jamais confirmer des
vérités mathématiques par consensus
des humains ! Qui connaît le
théorème pythagoricien , celui-là
sait, qu'il est correct, quand
bien des millions d'humains le
contrediraient. Ainsi vient aussi à un
intérieurement objectif ce qui est
pensé ici avec science de l'esprit.
Mais cela prend le même chemin, que
l'imagination prend et grimpe plus
haut, racine en des profondeurs
objectives et grimpe jusqu'en des
hauteurs objectives. C'est pourquoi
cette façon de voir spirituelle se
maintient par-dessus tout ce qui sinon
rougeoie incandescent comme
imagination par les peuples. Et en
même temps sera cherchée cette façon
de voir de l'esprit dans ce peuple ou
celui-là à partir de cette langue ou
celle-là. Elle est une et la même, à
travers tous les humains, de par la
Terre entière, si seulement elle sera
cherchée assez profondément.
C'est pourquoi cette façon de voir
spirituelle de laquelle je devais
montrer qu'elle peut intervenir
vraiment façonnante dans la vie
pratique sociale, a en même temps la
possibilité d'intervenir dans la vie
internationale, être un lien de peuple
à peuple. Un peuple produira de
manière individuelle, sa poésie, les
particularités de ses domaines
artistiques restants. À partir de
l'individualisme d'un peuple
apparaîtra quelque chose pour la façon
de voir spirituelle qui est
entièrement identique à ce qui
apparaît n'importe où autrement. Les
bases, dont les choses, proviennent
sont à différents endroits dans
lesquels elles trouvent finalement
leur résultats, cela est identique de
par la terre entière. Beaucoup
d'humains parlent aujourd'hui
d'esprit ; ils ne savent
seulement pas que l'esprit devra être
expliqué.Mais quand il sera expliqué
alors il est quelque chose qui ne
sépare pas les humains, mais relie les
humains parce qu'il retourne jusque
dans l'être le plus intérieur de
l'humain, en ce qu'un humain produit
la même chose que l'autre humain, en
ce qu'un humain peut pleinement
comprendre un autre humain.
Alors, quand vraiment,
ce qui sinon vient à l'expression
seulement de manière individualiste
dans l'imagination populaire
particulière, on l'approfondit jusqu'à
la façon de voir spirituelle alors les
révélations de peuple seront seulement
des expressions variées pour ce qui
est unité dans la façon de voir de
l'esprit. Alors, on pourra de par
toute la Terre laisser subsister les
différentes individualités de peuple
parce qu'a besoin de régner non une
unité abstraite, mais parce que
concret l'un qui sera trouvé par la
façon de voir de l'esprit, sera laissé
s'amener à l'expression de la manière
la plus diversifiée. Et par cela l'un
pourra se comprendre dans le spirituel
parmi les nombreux. Alors, vous
trouverez de l'unité de leurs
nombreuses sortes de compréhensions,
la possibilité pour les statuts d'une
société des nations, alors pourra
apparaître aussi du contexte de
l'esprit, à partir de la constitution
spirituelle, la législation qui lie
les peuples.
Et alors prendra de la place dans les
peuples particuliers, ce qui peut être
chez chaque peuple particulier :
intérêt pour production et
consommation d'autres peuples. Alors
pourra se développer vraiment ce qui
est vie de l'esprit des peuples, vie
de droit des peuples, la compréhension
pour d'autres peuples de par la Terre
entière.
Ainsi, on devra aussi sur ce domaine
soit passer à l'esprit ou on devra
renoncer à créer avec encore des
statuts aussi bien pensés quelque
chose de mieux que ce qui a été là
jusqu'à présent. Certainement,
beaucoup d'humains parlent aujourd'hui
de manière compréhensible de leur
incroyance en l'action d'un tel
spirituel ; mais en fait à cause
de ce qu'ils n'ont pas le courage,
d'aller à ce spirituel. On fait donc
véritablement la vie bien dure à ce
spirituel. Mais là, où il peut se
déployer seulement en petits cercles
malgré qu'on lui fasse la vie
difficile, là cela montre déjà que
c'est ainsi, comme je l'ai justement
décrit maintenant. A-t-on appris à
connaître en quelque endroit dans un
des États conduisant auparavant la
guerre, la mentalité des humains, ce
que les humains ont pensé sur d'autres
appartenant à des États ennemis, comme
ils les ont haït, on a appris à
connaître comment était peu
d'international en un tel domaine
conduisant la guerre, alors on a un
jugement là dessus, comme celui, qui
parle devant vous, qui de nouveau et à
nouveau est venu vers cet endroit, que
j'ai déjà mentionné dans ces
conférences, dans le nord-ouest de la
Suisse, où se dresse le lieu du soin
de cette science de l'esprit pensée
ici, le Goetheanum, l'université pour
science de l'esprit. Qu'est-ce que ça
a au fond été comme lieu par toutes
les années de guerre ? En ce lieu
des humains de toutes les nations ont
œuvré ensemble à travers toutes les
années de guerre, sans qu'ils se
soient moins entendus pendant ce temps
qu'autrefois, quand aussi ils ont
conduit maintes discussions inutiles
ou utiles.
Cette compréhension, qui est ressortie
de la saisie commune d'une façon de
voir l'esprit est déjà devenue
réalité. On peut dire : nous
avons pu faire l'expérience en ce
domaine. Nous avons pu montrer que les
humains qui voulaient aller là en ces
temps pouvaient comprendre d'autres
humains.
Mais cette
compréhension, elle n'a pas le droit
d'être cherchée par une indication
abstraite sur l'esprit, mais doit être
cherchée dans le plus étroit, réel
s'élaborer l'esprit. De cela
l'actuelle humanité veut encore peu
savoir : que l'esprit devrait en
fait être travaillé. On parle donc
très souvent aussi aujourd'hui de
l'esprit, que l'esprit devrait venir –
je l'ai de nouveau évoqué hier – et
devrait parcourir ce que sont les
pures exigences sociales
matérialistes.
Mais on n'entend pas beaucoup plus que
l'on devrait appeler à l'esprit. Oui,
quand de tels humains qui sinon sont
donc très bien pensants, sont aussi
unilatéraux, sont aussi traversés par
l'éthique sociale, quand de tels
humains voudraient seulement se
réfléchir ce qui suit, quand ils
aimeraient seulement pouvoir se
dire : oui, nous avons toutefois
eu l'esprit ; mais pouvons-nous
quelque peu appeler aujourd'hui au
même esprit que nous avons eu ?
Cet esprit nous a donc tout de suite
amenés dans la situation dans laquelle
nous sommes ! Donc, n'ayons pas
besoin d'une nouvelle situation par
l'ancien esprit. Celle-là nous ne
pouvons la recevoir par un ancien
esprit. Cela il l'a montré. Nous avons
besoin d'un nouvel esprit – Mais ce
nouvel esprit devra être acquis. Et il
ne pourra être acquis que dans la vie
de l'esprit autonome.
C'est pourquoi nous nous
représentons comme l'exigence après
une économie mondiale s'accomplit– car
elle devra cela par ses propres
nécessités –, ainsi devront se tenir à
l'intérieur de cette économie mondiale
structures sociales à côté de
structures sociales, partout de
manière individuelle, des humains qui
habitent ensemble dans cette
structure, et produisent du spirituel
et du juridique. Mais cela qui sera
produit là de manière individuelle,
cela sera tout de suite le moyen, pour
comprendre les autres structures
sociales et ce sera par là le moyen de
vraiment faire l'économie mondiale.
Mais sinon, si un tel moyen n’est pas
créé, se placeront seulement à nouveau
dans l'économie mondiale, les intérêts
nationaux ainsi nommés et profiteront
à leur fin de ce qui pourra être
aspiré de cette économie mondiale. Là
où chacun veut cela sans compréhension
pour les autres, devrait apparaître
nécessairement à nouveau la
disharmonie.
Mais comment pourra être conduite une
véritable économie mondiale ?
Elle pourra seulement être conduite
par ce que l'organisation spirituelle,
l'organisation juridique ne s'emparent
pas des structures particulières de
cette économie, car celles-ci doivent
avoir forme individuelle. À la
collectivité, à l'unité elles vont
seulement dans la compréhension
spirituelle en ce qu'elles atteignent
ce qui sur toute la terre est l'autre
unité. Que cette terre sera émancipée
des individualismes, cela est sur la
terre entière l'autre unité.
Maintenant c'est tout
autant vrai que quand on descend
suffisamment profond dans la nature
humaine avec l'évolution de l'humain
jusqu'à une hauteur objective, ainsi
qu'on trouve comme façon de voir
l'esprit que chaque autre, chaque
autre nation trouve, ainsi on doit
dire qu'aussi les besoins humains de
consommation sur la terre entière ne
seront pas touchés par les
nationalismes particuliers. Les
besoins humains sont internationaux.
Seulement, ils se tiennent polaires
vis-à-vis de ce qui est l'esprit
international.
L'esprit international doit livrer la
compréhension, doit pouvoir emplir
cette compréhension par amour pour
l'autre nationalité, doit pouvoir
déployer l'amour jusqu'à
l'internationalité au sens de ce qui a
été expliqué auparavant. Mais
l'égoïsme est tout aussi
international. Cela pourra seulement
créer un pont à la production mondiale
quand cette production mondiale est
issue d'une compréhension spirituelle
commune, d'une façon de voir unitaire
spirituelle commune. Jamais ne
pourront apparaître à partir des
égoïsmes de peuples des compréhensions
pour la consommation commune, qui
repose sur l'égoïsme commun.
Mais seul de la façon de voir
spirituelle commune peut se développer
ce qui ne vient pas de l'égoïsme, mais
finalement de l'amour, comme j'ai
expliqué, et qui de ce fait peut
dominer la production.
Par quoi est apparue l'exigence après
une économie mondiale ? Parce ce
que par le devenir compliqué des
rapports de vie humains sur tout le
monde civilisé toujours de plus en
plus les besoins de consommation des
humains se sont unifiés, se montre
toujours de plus en plus comment par
tout le monde civilisé les humains ont
besoin de la même chose.
Comment pourra pousser de ces besoins
unitaires un principe de production
unitaire qui sera actif pour
l'économie du monde de par le monde
entier ? Par cela, qu'on monte à
la vie spirituelle, ainsi que c'est
pensé ici, à véritable façon de voir
spirituelle, qui est suffisamment
puissante pour créer la production
mondiale commune à la consommation
mondiale commune. Mais alors pourra
être créée la compensation, en ce que
l'unité de l'esprit agit vers l'unité
de la consommation, alors sera créer
la compensation dans la circulation,
la médiation entre production et
consommation.
Ainsi, on doit regarder dans le plus
intérieur de l'humain quand on veut
connaître, comme vraiment de beaucoup
d'organismes devrait apparaître un
organisme unitaire sur toute la terre
civilisée. D'aucune autre manière peut
se construire cet organisme unitaire,
cet organisme unitaire, qui doit
contenir les conditions que maintenant
soit créé vraiment un tel rapport
organique entre production et
consommation conformément aux
exigences sociales sur toute la terre,
que le petit bout de pain ou le
charbon dont j'ai besoin pour le
ménage individuel ou pour l'humain
individuel, correspondent vraiment aux
exigences sociales, qui aujourd'hui
sont valables dans la sousconscience
de l'humanité.
Je sais très bien que, quand on pousse
les choses aussi dans une telle sphère
d'observation, beaucoup disent :
oui, mais cela est de l'idéalisme,
cela se dresse en d'idéales
hauteurs ! - Mais dans cela on
trouve unique et seul ce qu'est le
moteur propulsant pour la multiplicité
extérieure. Et pour cette raison que
les humains n'ont pas cherchés tout de
suite après les moteurs, qui pourront
être trouvés seulement de cette
manière, à cause de cela nous sommes
rentrés dans les contextes sociaux et
les contextes politiques du présent
sur tout le monde civilisé. Pas plus
tôt qu'on dira : ceux qui
s'occupent de créer les forces
propulsantes intérieures pour
l'organisme social du monde, ceux-là
sont les vrais praticiens, pendant que
ceux qui se nomment souvent
praticiens, connaissent seulement
rudimentaires leur vrai domaine et
sont abstraits de cela.- pas plus tôt
que jusqu'à ce qu'on connaîtra cela,
la question sociale ne pourra pas se
tenir sur un sol sain.
Un de ceux, pour qui aussi, maintenant
il y a bien longtemps, cela était
sérieux, celui-là a rendu attentif là
dessus, alors qu'il a parlé sur un
certain domaine de la vie humaine, que
les ainsi nommés idéalistes ne sont
pas tout de suite ceux qui ne savent
pas comment les idéaux se comportent à
la vie véritable. Il l'a éprouvé,
comme c'est insensé quand des
praticiens ainsi nommés viennent et
disent aux idéalistes : oui, tes
idéaux sont très beaux, mais la
pratique exige quelque chose de tout
autre ! - L'unique état de fait
est celui-là que tout de suite exige
la pratique de cet idéal, quand il
devrait devenir une véritable
pratique. Et cela empêche la
réalisation de cet idéal que ces
soi-disant praticiens soient ceux-là
qui ne les laissent pas réaliser parce
qu'ils sont trop confortables pour
cela ou ont un autre intérêt de ne pas
les laisser réaliser.
Et le même homme qui a dit : que
les idéaux ne sont pas immédiatement
applicables dans la vie, cela nous le
savons justement aussi bien que les
autres, seulement nous savons que la
vie doit être formée à jamais d'après
ces idéaux. Mais ceux-là qui ne
peuvent s'en convaincre, ceux-là ne
montrent rien d'autre que cela que
justement la vie n'a plus compté sur
leur collaboration dans sa formation,
et ainsi on aimerait leur souhaiter
qu'ils reçoivent au bon moment pluie
et soleil et si possible une bonne
digestion.
C'est cela, par quoi le
rapport de l'idéalisme souvent
catharisé à la véritable pratique de
vie devrait être caractérisé, que vous
avez besoins, quand vous voulez
construire un pont – une tâche,
qu'aussi l'art d'ingénieur maîtrise
absolument d'après des idées non
matérielles : comme tout d'abord tout
le pont doit être idéel et tout de
suite alors quand il est bien calculé
idéellement, il peut devenir un
véritable pont pratique, ainsi doit ce
qui devrait se former de l'idéalisme,
être une idée pratique ressortant de
sens pratique intérieur. Et on doit
avoir l'instinct, le sentiment pour ce
on a à porter dehors comme une telle
légalité objective dans la véritable
pratique de vie. Alors on de demandera
aussi plus : comment porte-t-on
ces choses dedans la pratique de
vie ? - Alors on saura :
quand suffisamment d'humains sont là
qui comprennent les choses, alors la
chose sera immédiatement pratique par
ces humains et leurs actes.
On entend aujourd'hui très
souvent : oui, ces idées sont
donc très souvent très belles, et même
réalisées, elles seraient très belles,
mais les humains ne sont pas mûrs pour
cela. Dans leur masse les humains ne
seraient pas encore mûrs pour cela. -
Oui, qu'est-ce que cela signifie alors
en fait quand on dit, les humains dans
leur masse ne seraient pas encore
mûrs ? Qui connaît le rapport à
la réalité, qui regarde au travers de
la vie pratique d'après son caractère
de réalité, celui-là pense autrement
sur ces humains, celui-là sait
qu'assez d'humains sont dans le
présent, lesquels, quand ils rentrent
seulement assez profondément dans leur
intérieur, peuvent trouver pleine
compréhension pour ce dont il s'agit
ici. Ce qui empêche est le plus
souvent seulement le découragement.
L'énergie manque, pour vraiment
avancer jusqu'à où on pourrait avancer
quand on pouvait seulement former
pleine conscience en soi.
Ce qui avant toutes
choses nous fait défaut, cela est
quelque chose qui pris au fond chaque
humain individuel pourrait corriger
chez lui quand seulement il
regarderait suffisamment sur la
réalité. Mais pendant que d'un côté on
tombe dans le matérialisme, se
complaît même dans le matérialisme, on
est de l'autre côté amoureux dans
l'abstraction, dans toutes sortes de
principes abstraits et intellectuels
et ne veut absolument pas pénétrer
dans la réalité.
Déjà
dans la vie extérieure on croit
aujourd'hui, être pratique ;
mais on ne se donne pas la peine de
vraiment considérer les choses ainsi
qu'on pourrait les connaître dans
leur caractère de réalité. Qui
aujourd'hui par exemple se voit
présenter une quelque affirmation,
celui-là s'adonne à cette
affirmation. Il prend seulement le
contenu abstrait. Là il peut tout de
suite s'éloigner de la vie, pas se
rapprocher un peu toujours plus de
la vie. Quand aujourd'hui l'un lit
un bel éditorial, ainsi est à dire
là-dessus qu'aujourd'hui écrire un
bel éditorial n'est pas une
difficulté particulière. Car tant a
été pensé dans la civilisation
moderne qu'on n'a seulement besoin
de s'acquérir une routine, ainsi on
peut placer phrase à phrase. Il ne
s'agit pas de cela qu'on est
aujourd'hui d'accord avec le contenu
mot à mot de quelque chose, mais
qu'on s'acquiert un jugement sur
comment ce contenu est en rapport
avec la réalité. Mais là beaucoup
est à corriger dans le présent
d'après la direction qu'on doit
dire : les
humains devraient avant toutes
choses exiger après la vérité, après
cette vérité qui les porte plein de
courage au-devant de la réalité.
.
Pour cela deux exemples. Vous pouvez
en maintes statistiques, disons sur
les États balkaniques, lire – les
humains s'informent donc aujourd'hui
sur les rapports de la vie extérieure,
jugent une quelque situation politique
mondiale ou du genre par statistiques
- : tant et tant de Grecs, tant
et tant de Serbes, tant et tant de
Bulgares ! Et là on peut alors
calculer, quels sont les droits
justifiés de l'élément grec, l'élément
bulgare, l'élément serbe. Regarde-t-on
alors un peu plus exactement après ce
que cela signifie, relie-t-on ce qu'on
a acquis comme connaissance abstraite
par le chiffre des Bulgares, des
Serbes, des Grecs, des Macédoniens
avec l'expérience, alors on découvre
peut être que sont inscrits le père
comme un grec, l'un des fils comme un
bulgare, le deuxième fils comme un
serbe ! Maintenant on aimerait
savoir comme cela ressort avec la
vérité. La famille peut elle vraiment
être ainsi que le père est un grec, un
des fils un bulgare, le deuxième fils
un serbe ? Apprend-on vraiment
quelque chose sur la réalité quand on
a une statistique faite sur de telles
conditions préalables ? La
plupart de ce qui est aujourd'hui
rassemblé en statistique dans le
monde, repose sur de tels
rassemblements, en particulier très
souvent dans la vie d'affaires.
Pour cela, parce que les humains n'ont
pas le besoin de toujours avancer de
ce qui leur sera dit mot pour mot, au
contenu du vrai, de la réalité, pour
cela aujourd'hui sera si souvent jugé
à côté, car il ne sera pas parvenu aux
choses. Les humains sont contents avec
ce qui purement comme une couche
supérieure recouvre les réalités
vraies. Mais commencer sur les vraies
réalités, cela est la première
exigence dans la vie de notre époque,
pas de bavarder si les humains sont
mûrs ou pas mûrs, mais tout de suite
de montrer sur ce que sont les
dommages principaux.
Les humains se comprendront alors
seulement quand ils trouveront
d'autres humains qui se donnent la
peine de découvrir ces dommages
principaux et rendent attentifs
suffisamment fort dessus.
Ou bien : le monde
à début juin 1917 lu – une partie du
monde s'est malgré tout encore
intéressé à cela – le discours du
trône de l'empereur d'Autriche d'alors
Karl. Dans ce discours du trône sera
parler très moderne de démocratie,
toujours de nouveau de démocratie.
Maintenant, ce discours du trône –
j'ai lu maintes choses sur lui :
comme les gens se sont enthousiasmés
pour ce qu'au monde serait annoncé
démocratie, comme beau ce serait, que
là sera dit au monde quelque chose sur
démocratie. Maintenant quand on
prenait le discours du trône du début
à la fin, purement d'après son contenu
mot pour mot – c'était une belle
prestation, feuilletonnesque, quand on
veut purement se réjouir au style, à
la formation des phrases, comme elles
veulent en appeler à la satisfaction
humaine. Beau. Mais on voyait la
vérité. Là on doit placer dans son
milieu ce qui est mot pour mot. Là on
doit demander : qui parle ?
Dans quel entourage parle-t-il ?
Et là on voit se tenir le souverain
moyenâgeux dans le plus ancien
ornement de couronnement de tous les
luxes ostentatoires possibles et de
toutes les superbes possibles,ne
cachant pas une fois ce qui est écrit
dans son élucubration, entouré de ses
paladins brillants et couverts
d'or ; le tout moyenâgeux, que
quand cela a parlé vrai, a parlé
autrement que de démocratie !
Qu'est la parole de démocratie quand
c'est encore aussi beau, mot pour mot,
dans une telle élucubration. Un
mensonge d'histoire mondiale !
On doit repartir du
contenu mot pour mot jusqu'à
l'observation de la réalité. On ne
doit pas purement saisir les choses
avec l'intellect, on doit parvenir à
la façon de voir. C'est tout de suite
ce qu'exige la science de l'esprit.
On ne méconnaît pas la réalité
extérieure sans punition. Qui veut
connaître la réalité spirituelle
correctement dans le sens de la
science de l'esprit, comme cela est
penser ici, veut seulement voir la
réalité spirituelle, celui-là doit
avant toutes choses s'habituer à la
plus absolue vérité dans le monde des
sens : ne s'adonner à aucune
illusion sur ce qui se passe autour de
lui pour ses cinq sens. Tout de suite
qui veut pénétrer dans l'esprit doit
utiliser en vérité ses cinq sens
sains, ne pas s'adonner au fantasme,
auquel s'adonnent tout de suite des
gens d'affaires ainsi nommés, beaucoup
de praticiens qui seront beaucoup
vénérés, auxquels s'adonne presque le
monde entier.
Ce dont nous avons besoin, n'est pas
une lamentation douillette que les
humains ne seraient pas mûrs, ce dont
nous avons besoin, est un rendre
attentif sur ce que nous devons
devenir vrais, intérieurement vrais.
Alors ne résonnera pas par le monde le
racontar sur l'esprit et toujours à
nouveau sur l'esprit contraire à la
vérité. Alors aussi pas ce racontar
contraire à la vérité des différences
entre doit et morale ne résonnera pas
de par le monde, mais alors résonnera
quelque chose d'un travail que devrait
s'acquérir l'esprit. Alors résonnera
quelque chose de ce que comment, quand
l'esprit sera acquis, les humains
vivront en des conditions telles
qu'ils trouveront aussi entre eux le
même droit et alors en premier on
pourra parler de cela comment
l'économie traversée d'esprit et
traversée de droit pourra fonder une
véritable société commune. Cela est
beaucoup plus nécessaire qu'on
considère : il y a suffisamment
d'humains là qui au moins se
maîtrisent seulement intérieurement
pour pouvoir comprendre en eux-mêmes
de telles indications. On ne devrait
seulement pas devenir fatigué de
souligner ces choses toujours de
nouveau et de nouveau. On ne devrait
seulement pas croire que quand on
dit : l'esprit devrait régner -,
cet esprit viendrait dans le monde par
un quelque prodige. Non, seul par le
travail spirituel humain cet esprit
peut venir dans le monde. Aussi en ce
rapport il s'agit de ce qu'on ne
laisse pas toujours résonner au dehors
la contrevérité dans le monde :
l'esprit devrait être, mais laisse la
vérité résonner dehors : l'esprit
sera seulement quand des lieux sont là
dans lesquels ne sera pas travaillé
purement sur la nature extérieure, pas
purement au sens du matérialisme, mais
dans lesquels sera acquise une façon
de voir l'esprit.
Mais de cette façon de
voir l'esprit – je crois cela, avoir
tout de suite montrer dans ces
conférences ce qui donc devaient
seulement être une tentative, une
faible tentative – proviendra aussi
une véritable compréhension sociale
des habitudes de vie de l'humanité
dans le présent et dans le proche
avenir. Que les humains tout de suite
en rapport au spirituel et en rapport
à l'aspiration spirituelle deviennent
vrais, il s'agit de cela. Car l'esprit
peut seulement être trouvé sur le
chemin de la vérité.
C'est seulement un prétexte quand on
dit : oui, les humains ne le
savent pas. - À l'aspiration
spirituelle il s'agit de cela que,
quand le mensonge sera suivi
inconsciemment, ce mensonge agit tout
aussi dommageable dans le monde comme
quand il sera suivit consciemment. Car
l'humain a dans le présent
l'obligation, de remonter le
sousconscient pour éliminer la
contre-vérité dans tous les domaines,
aussi dans le domaine du
sousconscient.
Réponses aux questions après la
sixième conférence.
Tout d'abord est posée
ici une question :
Comment Monsieur le
Docteur Steiner se place-t-il à
l'économie de l'intérêt et au revenu
sans travail ?
J'ai – pas en forme
polémique, mais en forme constructive
– donc traité de cela dans mon livre
« Les fondements de la question
sociale ». Il m'a très souvent
été reproché que l'intérêt ne serait
pas entièrement disparu de ce qui me
plane devant comme structure sociale
de la société humaine. Maintenant il
me semble que c'est plus sincère de se
placer sur le sol de la réalité et de
souligner vraiment le possible et
nécessaire, plutôt que sur un quelque
sol nébuleux sur lequel on dresse
purement des exigences. J'ai dans mes
« Points fondamentaux de la
question sociale » tenté de
montrer que oui absolument le travail
avec capital est nécessaire. On ne
peut pas créer de grosses entreprises
sans gros amas de capital, absolument
pas amener d'économie nationale en
état dans le sens actuel . Si
maintenant ce capital est pensé en
forme d'argent ou en autre forme, cela
est une chose en soi.
La plupart des humains
commettent en ce qu'ils se jettent sur
la question sociale, très souvent
l'erreur, qu'ils saisissent des yeux
seulement le présent dans une certaine
mesure comme un instant unique et pour
cet instant unique
réfléchissent : comment est là à
former la vie de l'économie ? -
Mais gérer (NDT économiquement)
signifie en même temps, avec le géré
en un certain instant, créer une base
par la gestion du futur. Sans qu'on
crée n'importe comment une base pour
le futur, on ne pourrait maintenir la
continuité de la vie de l'économie, la
vie de l'économie s’interromprait
toujours. Mais cela ne fonde pas
d'intérêt à partir des bénéfices de
l'intérêt, mais bien des bénéfices de
l'intérêt parce que la possibilité
doit exister que toujours en un
quelque instant sera ainsi travaillé
autant que de ce travail apparaissent
des prestations, qui peuvent aussi
servir à un travail futur. Cela n'est
pas à penser sans que le concerné pour
ce qu'il fournit pour le futur,
obtienne une sorte d'équivalent, et
cela signifierait une sorte d'intérêt.
J'aurais aussi pu l'appeler autrement,
quand j'aurais voulu flatter ceux-là,
qui aujourd'hui pestent sur intérêt
dans le revenu.
Mais il me semble plus sincère de
nommer ainsi la chose, comme elle est
dans la réalité. Il est nécessaire,
que ceux qui apportent en contribution
une quelque chose à cela – ce sera
donc la plus simple expression pour
des processus compliqués - à cela, que
pourra être utilisé du capital
rassemblé, que ceux qui fournissent
leur travail du passé, du présent dans
l'avenir, le maintiennent de cette
manière valorisé à l'avenir. Intérêt
dans la forme, comme je le décris dans
mes « Points fondamentaux de la
question sociale » n'est rien
d'autre que valorisation de ce qui a
été fourni dans le présent pour le
futur.
Mais maintenant, à de telles choses
vient toujours en considération ce qui
sinon est contenu avec dans
l'organisme social comme un membre
nécessaire. Il s'agit chez l'humain
par exemple qu'il ait tous ses
membres, car ils agissent tous
ensemble. Ainsi, on peut aussi
comprendre un membre seulement à
partir de l'humain d'ensemble. Ainsi,
c'est aussi dans l'organisme social
qu'on ne peut comprendre le
particulier que de l'entier. Quand
vous pouvez vous rappeler à ce que
j'ai expliqué en rapport à cela,
comment est à saisir le rapport de la
fabrication de moyens de production,
ainsi vous verrez qu'il s'agit à cela
que les moyens de production ne
coûtent quelque chose, sont vendable
seulement aussi longtemps qu'ils ne
sont pas terminés. Sont-ils terminés,
ils restent toutefois chez celui qui a
la capacité de les amener à être
terminés ; mais alors, ils vont
par des rapports juridiques, ne sont
donc plus vendables.
Par cela ressortira aussi pour les
actifs en argent un effet entièrement
déterminé. Il ne s'agit pas de ce
qu'on fasse des lois, que l'argent ne
devrait pas porter d'intérêt, mais il
s'agit de cela que des résultats
ressortent qui correspondent à
l'organisme social.
Par cela ce qui existe
comme actifs en argent recevra un
caractère similaire à d'autres biens.
D'autres biens se différencient
aujourd'hui de l'argent par cela
qu'ils disparaissent ou seront
consommés ; mais l'argent n'a pas
besoin de se perdre. Sur de plus longs
espaces de temps, il se perd donc
aussi, mais pas en de cours espaces de
temps. De cela maintes gens croient
qu'aussi en des espaces de temps plus
long il se maintiendrait.
Il y a même eu des
humains, qui ont fait des testaments,
qui ont légué ceci ou cela à quelque
ville. Alors, ils ont calculé, combien
cela fait après quelques siècles. Ce
sont des sommes tellement grosses,
qu'on pourrait alors payer avec les
dettes d’État d’un État très fortement
endetté. Mais la blague est seulement
celle-là que ce n’est alors plus là,
parce que c’est impossible, de
maintenir l’argent dans la génération
d'intérêt sur de si longues durées.
Mais pour cela l’intérêt véritable est
à maintenir pour de plus courtes
durées. Mais si dans le processus
d'économie nationale/politique cela
pénétrait, qu'en fait les moyens de
production ne coûteraient plus rien
quand ils sont là, fond et sol
deviendrait en fait objet de droit –
pas objet d’achat, pas un objet de
circulation économique -, alors
s’introduit pour l'actif monétaire, je
l’ai souvent exprimé, qu’après un
certain temps il commence à avoir une
mauvaise odeur, comme des aliments qui
sont avariés et ont une mauvaise
odeur, ne sont plus utilisables. Cela
s’établit simplement par le processus
économique lui-même que l’argent perd
sa valeur après un certain espace de
temps, qui n’est absolument pas
quelque chose d’injustement court ;
mais c’est justement ainsi.
Par cela vous voyez combien beaucoup
cette impulsion pour la
triarticulation de l’organisme social
est pensée à partir des réalités.
Lorsque vous donnez des lois, vous
donnez des abstractions, par
lesquelles vous voulez maîtriser la
réalité. Pensez-vous sur la réalité,
ainsi vous voulez former la réalité
ainsi que les choses se montrent ainsi
qu’elles expriment la plus profonde
conscience de l’humain.
Tout aussi bien, dans un
organisme tel que je le pense, n'est
absolument pas contenu le revenu sans
travail comme tel. Seulement, on doit
aussi avoir des concepts clairs sur
ces choses. Qu’est finalement un
revenu sans travail ? Dans ce concept
« revenu sans travail » est donc
fourré beaucoup, vraiment beaucoup de
non-clartés, et avec des concepts non
clairs on ne peut véritablement pas
conduire de réformes. Voyez-vous, pour
celui, qui nomme « travail » purement
fendre du bois, pour lui est
certainement un revenu sans travail ce
que quelqu’un reçoit pour un tableau,
qu’il peint, et semblable. C’est juste
exprimé un peu radicalement, mais
ainsi est souvent jugé absolument le
soi-disant « revenu sans travail ». (NDT
: en 1919 est paru un livre sur le
sujet „Die Beseitigung des
arbeitslosen Einkommens“: die
künftige Wirtschaft (Wertschafft) :
deutsches Ideal. Heinrich Dolle. R.
Steiner y fait peut-être référence
ici.) Ce qui fonde des valeurs
économiques s’assemble, justement de
différents facteurs dans la vie. Cela
s’assemble premièrement à partir des
facultés des humains, deuxièmement du
travail, mais troisièmement aussi de
constellations, et c’est une des plus
grandes erreurs, lorsqu’on a à peine
défini, qu’un quelconque bien qui est
dans la circulation économique serait
seulement du « travail cristallisé ».
Cela il ne l’est absolument pas.
Je me suis donc exprimé sur le travail
dans ces conférences. Il s’agit donc
que l’on n’assemble pas d’une
quelconque manière le concept de
travail, comme il est aujourd’hui
diversement assemblé, avec le concept
de revenu. Son revenu, un humain le
reçoit donc véritablement pas purement
parce qu’il mange et boit ou satisfait
sinon quelque besoin corporel ou
psychique, mais aussi parce qu’il
travaille pour d’autres humains. Donc
le processus économique est bien trop
compliqué, pour qu’on veuille
l’englober avec de tels concepts
simples.
Le conférencier
dérive-t-il aussi le surconscient,
les états de transe, l'illumination
et ainsi de suite de
l'égoïsme ?
Maintenant, j'ai donc
bien clairement rendu remarquable que
ce que je nomme les sources de la
façon de voir spirituelle fait certes
le chemin que font les choses qui
viennent de l'égoïsme ; mais
quand deux font le même chemin ainsi
ils n'ont donc quand même pas besoin
pour cela de venir de la même chose.
Les deux vont par l'intérieur de
l'humain, mais l'un grimpe se montrant
à partir de profondeurs objectives,
ai-je dit, et grimpe haut à des
hauteurs objectives. Maintenant je
voudrais aussi ne pas être mal
compris. Les états de transe ne sont
pas du tout un surconscient, mais
absolument un sousconscient, plus
sous-conscient que par exemple de
quelconques émotions et du genre. Et
maint, qu'on nomme
« illuminations », ce qui
vient ainsi de soi-même, cela est la
plupart du temps aussi un très, très
sous-conscient. Ce que je concevrais
comme surconscient,cela vous le trouvé
décrit dans mon livre « Comment
obtient-on des connaissances des
mondes supérieurs ? ».
Comment le
conférencier fonde-t-il ce qu'il a
exprimé dans le vote de la
discussion d'hier de l'avis déviant
de la conception de la moderne
économie nationale, d'après laquelle
seulement fond et sol serait
productif ? Est ce que repose à
la base de cet avis seulement un peu
une autre description du concept de
production, de productivité ?
Je n'ai pas, je crois,
donné aussi seulement une quelque
sorte la raison pour croire que mon
opinion irait là où seulement fond et
sol serait productif. Avec ce concept
« productif », « non
productif » et du genre ce n'est
pas entièrement productif de gérer
beaucoup,mais il s'agit aux choses
donc plus de ce qu'on ne parvienne pas
trop à des concepts terminés. Les
humains parlent aujourd'hui bien trop
en mots. Il ne s'agit pas de ce qu'on
donnerait de telles définitions,
quelque chose serait productif ou
improductif ; là il s'agit
toujours de cela, comment on conçoit
le productif ou l'improductif ;
mais il s'agit de ce qu'on décrive
vraiment les conditions d’après les
contextes. Et là, je tentais hier à
décrire, comme fond-et-sol se place
autrement dedans le processus
d'économie nationale, que par exemple
la production industrielle. Il s'agit
de telles descriptions, de telles
caractéristiques.
Quand seulement une fois on voudrait
se rendre clair, combien seront causés
de dommages par ce que, notamment dans
les sciences, on se tienne trop à de
telles définitions ou détermination de
concept ! Ce qu'on décrit, pour
cela on n'a donc pas besoin de
détermination de concepts. Il règne
aujourd'hui très souvent l'indécence
que quelqu'un dit, il serait pour cela
ou de cet ou tel avis. Là, on doit
premièrement s'entendre là dessus ce
qu'il comprend sous ce prédicat.
Vraisemblablement après de
longues tractations il viendra là
dessus qu'il pense la même chose que
l'autre. Ce qui conduit à véritable
production, quand je veux nommer cela
production, ce qui conduit à une
véritable consommation, quand je parle
là dessus, ainsi je dois saisir des
yeux tous les facteurs particuliers,
des plus élémentaires jusqu'aux plus
compliqués.
Là sera par exemple très difficile, de
monter de ce que donc – toutefois dans
un sens quelque plus large on pourrait
nommer l'économie des animaux. Les
animaux mangent et boivent donc aussi.
Donc il ont, aussi loin qu'ils ne sont
pas apprivoisés, aussi une sorte de
vie économique. Mais il profitent dans
la règle ce qui n'ont pas trop
fortement besoin de se préparer. La
plupart des animaux prennent ce qui
est déjà là. Maintenant, pour eux la
nature est productive, quand nous
voulons utiliser l'expression
productive. Beaucoup de ce que
l'humain savoure se trouve donc aussi
sur ce sol. Quand finalement il
savoure des fruits, ainsi ce n'est pas
beaucoup éloigné – seulement par des
rapports de circulation et propriété
et semblable – de la sorte d'économie
des animaux, mais chez lesquels on
pourrait même trouver aussi des bases
à des rapports de propriété.
Maintenant il s'agit de cela, de
maintenant suivre le processus plus
loin, comme l'humain commence tout
d'abord à traiter, ce qui est apporté
par la nature, alors amener plus loin
par le commerce (NDT Verkehr)
dans la circulation et ainsi de suite.
Là, commence une poursuite du concept,
qui commence à la nature. Alors on
vient à ce qui est production pour le
plus extérieur luxe, ce qui ne
correspond plus à de véritables
besoins, cela signifie, correspond à
des besoins justifiés ou raisonnables.
Oui, limiter de quelque manière le
concept, cela serait productif ou non
productif, cela est absolument quelque
chose, qui pris à la base, conduit en
premier dans le nébuleux. Évidemment,
on peut, quand on l'aime, se remuer
dans de tels concepts nébuleux,
discuter longuement là dessus, comme
les physiocrates ont pensé que seul le
travail du sol serait productif. On
peut opposer à cela : aussi quand
quelqu'un fait du commerce, ainsi cela
est productif, et on peut produire de
très belles preuves pour cela.
L'erreur est celle-là, qu'on établit
une définition : cela est
improductif, cela est productif !
- mais on doit pouvoir embrasser du
regard tout le processus de la vie
économique vraiment conformément aux
choses.
Donc, je prie de ne pas
comprendre ce que j'ai exposé, comme
si cela devait aussi tomber dans une
telle façon de définir, mais cela
devrait être description conforme aux
choses de ce qui se passe vraiment
dans la vie de l'économie. Et là je
crois avoir rendu attentif en fait à
une différence factuelle, comment se
place autrement fond et sol dans le
processus économique que par exemple,
disons les moyens industriels de
production , machines et du genre.
Mais se place aussi autrement dans le
processus économique que par exemple
le commerce, ce qui est sur base de
fond et sol. On a besoin d'être ni
mercantiliste unilatéral, ni
physiocrate unilatéral. On devra
reconnaître que dans l'instant où on
est porté sur de telles choses comme
« productif », « improductif »,
alors justement ont lieu de tels avis
unilatéraux comme mercantilisme,
physiocratisme et ainsi de suite. Cela
devrait être tout de suite représenté
ici : qu'on ne se place pas sur
des unilatéralités, mais des
multiplicités.
Maintenant fut encore posée une
question :
Qu'altruisme,
égoïsme, amour conçu
psychologiquement sont à la base une
seule et même chose, et que de fait
l'un ou l'autre n'ont pas besoin
d'être surmontés.
Oui, jusqu'où le concept
de surmonter est un faux, j'ai donc
exposé dans la conférence elle-même.
Mais c'est un grand danger, quand on
pousse ce concept de l'unité de tout
le possible hors du concret dans
l'abstrait. Là il s'agit seulement
alors de nouveau de ce qu'on a à l’œil
comme abstraction. Voyez-vous, on doit
être clair là dessus, que, quand on
reste debout dans l'abstrait – et à
cette question, repose à la base une
manière de penser très abstraite -,
alors pris à la base, on a raison avec
une affirmation et aussi avec
l'affirmation opposée. Des humains,
qui pensent dans le concret, ceux-là
savent beaucoup chérir la remarque de
Goethe : on ne peut en fait pas
exprimer la vérité en un mot ou en une
phrase, mais on exprime l'un, exprime
l'autre, et la vérité est gagnée au
problème, qui repose entre les deux.
On doit alors pouvoir gagner un
rapport vivant à la vérité.
Il y a des gens, qui sont portés là
dessus comme mystiques, de
définir : ils portent Dieu en
eux-mêmes ; le Dieu serait dans
l'intérieur de l'humain, le divin
serait dans l'intérieur de l'humain.
Ils trouvent cela comme l'unique
définition possible. D'autres trouvent
cette définition entièrement fausse,
ils disent : Dieu rempli tout et
nous, comme humains, sommes en Dieu.
Oui, il y a exactement d'aussi bonnes
preuves pour l'un comme il y a de
bonnes preuves pour l'autre. Mais là
vaut justement le dicton
goethéen : la vérité repose au
milieu, dedans entre les affirmations
opposées, tout de suite ainsi que
l'arbre réel repose au milieu entre
deux prises photographiques, que je
fais d'un côté et de l'autre. Dans ce
rapport on doit tout simplement rendre
attentif sur les dangers de la pensée
unilatérale. Il ne s'agit pas du tout
si quelqu'un dit, altruisme, égoïsme,
amour seraient une seule et même
chose, et pour cela cela n'a pas
besoin d'être surmonté. Comme dit,
comme cela se tient avec le surmonté,
j'ai donc moi-même expliqué dans la
conférence. Mais il s'agit de ce que
quand on explique vraiment quelque
chose comme ça, on tente, comme je le
fais toujours, de formuler
soigneusement les questions. Je n'ai
absolument pas prétendu ici n'importe
comment que quand on aspire vers une
certaine unité, on ne pouvait pas
parvenir à une unification d'égoïsme
et amour ou égoïsme et altruisme. On a
seulement besoin de monter jusqu'à une
abstraction nécessaire, alors on vient
à cela. Mais dans la vie extérieure
concrète égoïsme et altruisme se
distinguent justement quand même ainsi
qu'on peut dire, comme j'ai dit dans
la conférence, dit consciemment : ce
sont les deux motivations à partir
desquelles l'humain commerce.
Quand je dis, là-haut sur telle ou
telle montagne, là est une source, et
deux heures après cela, là est une
autre source, de ces deux sources
l'adduction d'eau d'un quelque endroit
sera alimentée, ainsi cela se laisse
comparer avec ce que j'ai dit
aujourd'hui sur égoïsme et amour. J'ai
rendu attentif aux deux sources.
Alors, personne n'a le droit de rendre
attentif et dire : oui, voit une
fois, dans une des sources est de
l'eau, dans l'autre aussi, c'est donc
la même. - Il s'agit de cela, que,
quand on insiste pédant sur
l'abstraction, on peut partout voir la
même chose.
Mais tout de suite à la recherche de
l'unité il s'agit de cela que par
exemple on comprenne quelque chose
ainsi que la métamorphose goethéenne.
Quand on suit la métamorphose
goethéenne, ainsi on sait comment
Goethe montre que la feuille de plante
verte et le pétale de fleur rouge est
une et la même, seulement qu'une est
transformée de l'autre. Mais il sait
en même temps que les deux, en ce
qu'elles sont les même, en même temps
sont une différente, une formation
infinie. Il s'agit de ce que dans la
recherche d'unité on deviendra
toujours conscient, comment dans la
vie concrète l'unitaire varie toujours
à la diversité et que dans
l'aspiration vers l'unité on doit
savoir ne pas ne pas voir la
multiplicité.
Il y a une société qui
se nomme « Société
théosophique ». La Société
théosophique parle de cela qu'elle
cherche l'unité dans toutes les
confessions religieuses. Toutes les
confessions religieuses surgissent à
partir des autres, seraient prises
fondamentalement une et la même. Elle
enseigne, toutes les confessions
religieuses contiennent une et même
chose. Cette affirmation n'est
toujours apparue comme quand quelqu'un
prétend, qu'il voudrait caractériser
ce qui est sur la table seulement
d'après son unité. On a seulement
besoin de choisir une abstraction,
disons « additif
alimentaire », additif
alimentaire :cela est sel, cela
est poivre, cela est aussi paprika.
Oui, certes, tout est un et le même,
notamment additif alimentaire. Mais
quand on dit, à la place de saler la
soupe : oh, c'est la même chose,
additif alimentaire, quand je prends
poivre -, ainsi vous ne serez pas si
content avec cela. Ainsi il s'agit
aussi de ce qu'on n'accepte pas une
telle unité comme celle qui de la
Société théosophique sera transmis
dogmatiquement, comme : toutes
les confessions religieuses contienne
une seule et même chose. Cette unité
des religions de la Société
théosophique m'apparaissait toujours
comme l'affirmation : poivre, sel
et paprika seraient une seule et même
chose.
Comme dit, je reconnais
absolument l'aspiration justifiée
après l'unité. Mais cette aspiration
justifiée vers unité n'a pas le droit
de venir à l'abstraction de la
réalité.
Maintenant est encore une question
ici.
Turmbau de Baden. Le
national appartient à tout le
significatif spirituel et culturel.
Toutes les religions sont adaptées
aux races. Le tempérament des
différentes nations, races pour art
et science est différent. La langue
et les superficialités de
l'environnement forcent à une forme
d'expression. L'essentiel est
toujours international, la forme
toujours art national. Le plus
international la musique. Aime ton
prochain comme toi-même.
Maintenant je ne sais en fait pas bien
ce que je devrais faire avec cette
question. Car un « édifice tour
de Baden » - je connais bien un
édifice tour de Babel, mais pas un de
Baden. Je ne sais pas s'il y a aussi
quelque édifice tour ici en
Bade ?
« Le national
appartient au significatif spirituel
et culturel. » Oui, certainement,
on peut dire cela : mais je ne
sais pas comment ça vient à la
conférence d'aujourd'hui.
« Toutes les
religions sont adaptées aux races. Le
tempérament des différentes nations,
races », ce sont deux choses
différentes, « pour art et
science est différent. »
Certainement.
« La langue et les
superficialités de l'environnement
forcent à une forme d'expression.
L'essentiel est toujours
international... » Oui,
l'essentiel de l'international, on
doit chercher cela en premier ;
car quand l'essentiel serait vraiment
là, alors ne serait pas tant
d'anti-international parmi les
humains. Cela est naturellement
absolument à considérer.
« ...la forme
toujours art national. Le plus
international la musique. » J'ai,
ce qui ici repose à la base, indiqué
doucement dans la conférence en ce que
j'ai dit, l'imagination se manifeste
nationalement, toutefois sur certains
domaines de l'art seulement en
certaines nuances. Mais les nuances,
celui qui a compréhension pour
cela,les trouvera déjà aussi dans la
musique. Il trouvera cela aussi là où
apparemment est entièrement de
l'international, repose aussi un
national, et quand cela consiste
seulement là-dedans qu'un peuple est
simplement plus musical que l'autre,
et pourra être compris
internationalement, quand aussi cela
pourrait seulement être produit chez
un peuple particulier.
Mais ce dont il s'agit
est qu'on trouve maintenant un quelque
contenu dans l'humain lui-même, de
l'observable spirituellement se
trouvant dans chaque humain, qui ainsi
peut agir internationalement, comme je
l'ai exposé dans la conférence.
Maintenant, comme je
crois, avec cela, les questions
actuelles sont épuisées, et je crois
aussi que la soirée est avancée aussi
loin que je n'aimerai pas tenir une
allocution de conclusion détaillée.
Mais j'aimerais encore souligner en
cinq mots : que cela me serait
particulièrement opportun si ces
conférences étaient vérifiées par la
suite sur dans quelle mesure elles ne
sont pas en quelque chose d'inventer,
de programmatique, mais dans quelle
mesure elles sont seulement la
tentative, la tentative à ses débuts
toutefois, de gagner à partir de la
vie elle-même une idée sociale ou une
somme d'idées sociales.
Oui, de telles idées,
qui comme forces agissantes sont
écoutées de la vie, elles exposent
tout simplement ce qui partout sur
tous les domaines pourra accouché, que
je vous ai caractérisé ici comme
véritable façon de voir spirituelle.
Je sais que beaucoup, qu'on
caractérise aujourd'hui comme façon de
voir spirituelle, sera confondu, comme
je rends attentif déjà dans les
conférences, avec ce qui ici tout de
suite est pensé comme façon de voir
spirituelle. Mais cela valait la peine
donc très facilement, de parvenir tout
de suite une fois au caractère de
réalité de cette façon de voir
spirituelle. J'ai, lorsque le moment
fut venu au cours de cette terrible
catastrophe guerrière, où on pouvait
croire, que du besoin du temps quelque
chose pourrait être reconnu de ce qui
des profondeurs de l'humain veut se
hisser à la surface, rendu attentif
maints humains responsables sur ce
qu'en fait le temps exige, et ai,
avant que je sois entré dans le
public, il y a des années, dans les
années difficiles, parlé à maints de
cette tri-articulation, dans la pleine
conscience de ce qu'elle devrait avoir
pour effet quant à partir de tel
esprit la tentative aurait été faite
de parvenir au bout de ce terrible
massacre, l'adoucir, l'arrêter.
Et j'ai dans le temps dit : au
moins existe l'effort , avec ce qui
est pensé avec cette impulsion, de ne
pas donner une quelque idée
programmatique, mais ce qui dans les
trente ou vingt ou quinze ou même dix
années veut se réaliser.
Et je disais à maints : on peut
donc aujourd'hui, quand on veut, nier
de telles choses, on peut être trop
confortable pour cela. Mais qui le
prend au sérieux avec la vie, celui-là
devrait se dire : On aurait le
choix, ou bien entendre raison ou
aller au-devant de tristes temps de
révolution et de cataclysmes sociaux.
Je disais cela en des temps, dans
lesquels ces récentes révolutions,
aussi la russe, n'étaient encore
longtemps pas survenues.
Et il s'agit toujours de
ce qu'il est déjà imposer aux humains,
de ne pas vivre dormant dans le jour,
mais de se faire des représentations
sur la manière dont cela doit
continuer. Car l'humain a donc cela
d'avance devant les autres êtres
terrestres qu'il est appelé à agir
avec une certaine prévoyance. Mais on
peut seulement intervenir avec une
certaine prévoyance dans l'action,
quand on a un instinct pour le
vraiment possible. A-t-on eu un
véritable instinct dans le temps de la
première moitié de l'année 1914 dans
le domaine du monde civilisé ?
Dans une des discussions passées, je
vous ai exposé des exemples de ce que
les gens ont dit sur ce qui viendrait.
Alors est venu le grand massacre.
Les humains ne devraient-ils pas
apprendre des faits ?
Maintenant, c'est tout
de suite la tâche présente des
humains : apprendre des
événements. Car les événements
montrent par la grandeur, la rapidité
avec lesquelles ils se déroulent que
les humains devraient apprendre d'eux,
que les humains devraient saisir
certains événements comme signes des
temps. Sinon pourrait s'introduire
quelque chose, qui en rapport à
beaucoup de choses s'est introduit
dans les dernières années. Maint à
ainsi atteint les gens qu'ils ont
dits : aurions-nous su cela plus
tôt – maintenant il est trop tard. -
Mais il n'est pas toujours nécessaire
d'attendre jusqu'à ce qu'il soit trop
tard !
Dans l'opinion seront en
particulier exposées les idées de la
tri-articulation de l'organisme
social. Et ainsi que ce sera tenté
ici, comme ce sera tenté dans notre
revue ici en Suisse, « Avenir
social », comme cela a été tenté
dans mes « Noyaux germinatifs de
la question sociale » :
elles seront exposées à partir de
l'opinion qu'elles aimeraient être
conçues, aimeraient être prises pour
l'action pratique, avant qu'il ne soit
trop tard.
Afin qu'on ne doive pas dire plus tard
sur des choses importantes que ce
serait trop tard, c'est pourquoi on se
secoue et tente de fonder, si en ces
choses qui ont été exposées ici, sont
seulement des pensées ou si c'est
extrait de la réalité.
J'accentue toujours de
nouveau : c'est une faible
tentative. Mais je crois donc :
cette faible tentative sera-t-elle
accueillie par un suffisamment grand
nombre d'humains, alors ce sera
peut-être quelque chose de plus
intelligent que ce qu'un individu peut
faire de lui-même. Mais elle devrait
être accueillie, et elle peut être
accueillie, car elle est de la réalité
et pourra être éprouvée de la réalité.
Je voulais encore ajouter ces quelques
mots à ce qui a été dit. |
Es wird
vielleicht manchem etwas sonderbar
erschienen sein, wie von mir das
angegebene Thema behandelt worden ist.
Sonderbar meine ich nach der Richtung
hin, daß vielleicht gesagt werden
könnte: Ja, das waren eben einzelne
Ideen, Gedanken über eine mögliche
Einrichtung der sozialen Struktur, und
von manchem, was gerade in der
Behandlung der sozialen Frage heute
oftmals schlagwortartig wiederholt
wird, ist in diesen Vorträgen weniger
zu bemerken gewesen. Gewiß, Gedanken
und Ideen mußten es zunächst sein, um
die es sich hier handelte.
Aber ich meine, auch
bemerkbar gemacht zu haben, daß sich
diese Gedanken und diese Ideen
unterscheiden von manchem anderen, das
auf diesem Gebiete vorgebracht wird
dadurch, daß gewissermaßen gesagt
wird: Ja, es fehle an einer
gleichmäßigen Verteilung der
Lebensgüter. Das rühre von diesen oder
jenen Schäden her. Diese Schäden
müßten abgeschafft werden — und
dergleichen. Diese Worte hört man ja
heute vielfach. Mir scheint es mehr
darum zu tun zu sein, daß man auch auf
diesem Gebiete so verfahre wie auch
sonst im praktischen Leben. Hat man es
zu tun mit irgendeinem Produkte, das
durch eine Maschine erzeugt werden
soll und das der Mensch irgendwie
braucht für seinen Bedarf, so genügt
es nicht, daß man ein Programm
entwirft und sagt: Nun, es müssen sich
halt einige Menschen zusammentun, die
so und so organisiert sind, damit dieses
Produkt hervorgebracht werde. —
So ungefähr klingen auch verschiedene
soziale Programme, die in der
Gegenwart aufgestellt werden. Mir
handelt es sich vielmehr darum,
anzugeben, wie die Maschine, in diesem
Fall der soziale Organismus,
gegliedert und beschaffen sein müsse,
damit dasjenige hervorgebracht werden
könne, was durch die mehr oder weniger
bewußten oder unbewußten sozialen
Forderungen der Gegenwart gegeben ist.
Und ich glaube, daß man nicht wird
sagen können, diese Vorträge haben
nicht gehandelt von dem, wie Brot oder
Kohle oder dergleichen beschafft
werden soll. Sie haben meiner Ansicht
nach davon gehandelt. Sie haben davon
gehandelt, welches die eigentlichen
Grundlagen des sozialen Organismus
sind, wie Menschen in diesem sozialen
Organismus zusammen leben und arbeiten
müssen, damit das herauskomme, was
eben in den sozialen Forderungen
liegt. Ich wollte dieses
vorausschicken, weil vielleicht gerade
für meinen heutigen Schlußvortrag sich
ein ähnlicher Vorwurf erheben könnte.
Derjenige allein wird
das internationale Problem als ein
Glied der ganzen sozialen Frage
erkennen, der durchschaut, wie der
Preis des Stückchens Brot, das auf den
Tisch eines jeden kommt, mit der
gesamten Weltwirtschaft zusammenhängt,
wie nicht gleichgültig ist, was in
Australien oder in Amerika vor sich
geht, was dort von Menschen er
arbeitet wird für das, was hier als
Preis für ein Stückchen Brot oder für
Kohlen entsteht. Aber es ist heute
nicht gerade leicht gegenüber
mancherlei Urteilen und Vorurteilen,
die da leben, gerade von dem
internationalen Problem zu sprechen.
Hat doch dieses internationale Leben
der Menschen sich in einer
merkwürdigen Weise in den letzten fünf
Jahren ad absurdum geführt. War nicht
in weitesten Kreisen bereits der
Glaube vorhanden, daß internationales
Fühlen, internationales Verständnis in
der neueren Menschheit Platz gegriffen
habe? Wohin sind wir mit diesem
internationalen Gefühl, mit diesem
internationalen Verständnis nun
eigentlich gekommen? Zur
Selbstzerfleischung der Völker über
weite Kreise der zivilisierten Welt
hin! Und versagt haben selbst für ihre
eigene Anschauung diejenigen Ideen und
Ideenbestrebungen, die gerade auf
ihren internationalen Charakter den
allergrößten Wert gelegt haben. Wir
brauchen nur daran zu denken, wie das
internationale Christentum — denn
international sollte es wohl sein --
in seinen Worten, in seinen
Aussprüchen und Anschauungen die
national-chauvinistische Sprache
vielfach mitgeführt hat. Und wir
könnten noch manches von
internationalen Impulsen anführen, das
Schiffbruch erlitten hat in dieser
letzten Zeit. Gerade dann vielleicht,
wenn vom internationalen Leben der
Menschheit in bezug auf das
Wirtschaftliche gesprochen wird, wird
es auch nötig sein, mancherlei
umzudenken und umzulernen. Und nötig
wird es auch sein, bis in jene Quellen
der Menschennatur hineinzugehen, die
nur gefunden werden können, wenn man
auf den Geist und auf die Seele
hinsieht. Und daß das hier so
geschehen soll, daß nicht bloß auf die
Schlagworte «Geist» und «Seele»
losgegangen werde, sondern auf das
wirkliche Walten des Geistigen und des
See lischen, das, glaube ich, haben
die letzten Vorträge wenigstens zu
zeigen versucht.
Über die ganze Welt hin
wird das, was die Menschen in ihrem
Zusammenleben, in ihrem
Zusammenarbeiten entwickeln, von zwei
Impulsen beherrscht, von zwei
Impulsen, über die es vor allen Dingen
notwendig wäre, daß Wahrheit in uns
Menschen herrsche, eine wahre, eine
ungeschminkte, eine nicht durch
allerlei Schlagworte verunzierte
Auffassung. Zwei Impulse leben in der
menschlichen Seele, die wie Nord-und
Südpol eines Magneten sich zueinander
verhalten. Diese zwei Impulse sind
Egoismus und Liebe. Weitverbreitet ist
allerdings die Anschauung, ethisch sei
es nur, wenn der Egoismus überwunden
werde durch die Liebe, und wenn die
Menschen sich so entwickeln, daß an
die Stelle des Egoismus lautere Liebe
trete. Als eine ethische Forderung,
heute auch als eine soziale Forderung
ist das bei vielen vorhanden.
Verständnis, was eigentlich für ein
Kraftgegensatz besteht zwischen
Egoismus und Liebe, das ist durchaus
weniger heute vorhanden.
Wenn wir vom Egoismus
sprechen, so müssen wir vor allen
Dingen wissen, daß dieser Egoismus für
den Menschen mit seinen leiblichen
Bedürfnissen beginnt. Was aus des
Menschen leiblichen Bedürfnissen
hervorquillt, können wir nicht anders
verstehen, als wenn wir es uns in die
Sphäre des Egoismus gerückt denken.
Wessen der Mensch bedarf, das geht aus
seinem Egoismus hervor. Nun muß man
sich durchaus denken, daß dieser
Egoismus auch veredelt sein könnte,
und deshalb ist es nicht gut, gerade
auf diesem Gebiete mit irgendwelchen
Schlagworten seine Anschauungen zu
bilden. Dadurch, daß man sagt, es
solle der Egoismus durch Liebe
überwunden werden, hat man noch nicht
viel für das Verständnis des Egoismus
getan. Denn es handelt sich
zum Beispiel darum, daß derjenige,
welcher seinen Mitmenschen das reine
menschliche Interessenverständnis
entgegenbringt, anders handelt als
derjenige, der enge Interessen hat,
der sich nicht kümmert um das, was in
den Seelen und Herzen dieser
Mitmenschen lebt, der kein Interesse
für seine Umgebung hat. Deshalb
braucht der erstere, der wahres
Verständnis für seine Mitmenschen hat,
durchaus nicht schon dadurch
unegoistischer zu sein im Leben, denn
es kann gerade zu seinem Egoismus
gehören, nun den Menschen zu dienen.
Das kann ihm innerliches Wohlbehagen
machen, das kann ihm sogar innerliches
Wohlgefühl, Wollust hervorrufen, dem
Dienst der Menschen sich hinzugeben.
Und dann können für das äußere Leben
in objektiver Weise durchaus
altruistische Lebensäußerungen aus
einem scheinbaren Egoismus
hervorkommen, der aber im Gefühlsleben
durchaus nicht anders gewertet werden
kann als ein Egoismus.
Aber die Frage des
Egoismus muß noch viel weiter
ausgedehnt werden. Man muß den
Egoismus auch verfolgen durch das
ganze Seelen-und Geistesleben des
Menschen. Man muß sich klar darüber
sein, wie aus des Menschen innerer
Wesenheit heraus genau ebenso
entspringt das Geistige und Seelische
auf manchen Gebieten, wie die
leiblichen Bedürfnisse. So entspringt
aus des Menschen Wesenheit heraus zum
Beispiel alles, was sein
Phantasieschaffen ist. Es entspringt
aus des Menschen Wesenheit heraus, was
er auf künstlerischem Gebiete schafft.
Wenn man unbefangen zu Werke geht und
richtiges Verständnis sucht für solche
Sachen, dann wird man sagen müssen:
Was des Menschen Phantasie schafft,
was aus unbestimmten Untergründen
seines Wesens her vorkommt, das hat
denselben Ursprung, nur auf einer
höheren Stufe, wie die leiblichen
Bedürfnisse. Das Phantasieleben, das
entfaltet wird zum Beispiel in der
Kunst, beruht durchaus, subjektiv
angesehen, auf innerer Befriedigung
des Menschen, auf einer Befriedigung,
die feiner, edler ist als zum Beispiel
die Befriedigung des Hungers, die aber
qualitativ für den Menschen selbst
nicht davon verschieden ist, wenn auch
das, was dadurch hervorgebracht wird,
für die Welt zunächst eine andere
Bedeutung hat.
Nun aber ist aller
Egoismus des Menschen darauf
angewiesen, daß der Mensch mit seinen
Mitmenschen sich abfindet, daß der
Mensch mit seinen Mitmenschen
zusammenlebt und zusammenarbeitet. Der
Egoismus selber erfordert das
Zusammenleben und Zusammenwirken mit
den anderen Menschen. Und so ist auch
vieles von dem, was wir
gemeinschaftlich mit anderen Menschen
entwickeln, durchaus auf den Egoismus
gebaut und kann sogar zu den edelsten
Tugenden des Menschen gehören. Wir
sehen die Mutterliebe an: sie ist
durchaus auf den Egoismus der Mutter
begründet, und sie wirkt Edelstes aus
im Zusammen leben der Menschheit.
So aber auch dehnt sich
das, was eigentlich im Egoismus
gegründet ist, weil der Mensch des
Menschen bedarf gerade für seinen
Egoismus, auf das Zusammenleben in der
Familie, so dehnt es sich aus auf das
Zusammenleben im Stamme, so dehnt es
sich aus auf das Zusammenleben in der
Nation, im Volke. Und die Art und
Weise, wie sich der Mensch im Volke,
in der Nation findet, sie ist nichts
anderes als ein Spiegelbild
desjenigen, was egoistisch aus ihm
hervorkommt. Da wird in der
Vaterlandsliebe, im Patriotismus der
Egoismus gewiß auf eine hohe Stufe
heraufgehoben, da wird er veredelt, da
wird er so, daß er als ein Ideal
erscheint, mit Recht als ein Ideal
erscheint. Aber dieses Ideal wurzelt
doch im menschlichen Egoismus. Nun muß
dieses Ideal aus dem menschlichen
Egoismus ersprießen und sich erfüllen,
damit alles, was aus der Produktivität
eines Volkes hervorgehen könne, eben
der Menschheit übergeben werden kann.
Und so sehen wir, wie aus dem Impuls
der einzelnen menschlichen Seele, aus
dem Egoismus, zuletzt sich alles das
jenige entwickelt, was im
Nationalismus zum Ausdrucke kommt.
Nationalismus ist gemeinsam
durchlebter Egoismus. Nationalismus
ist ins Geistige heraufgetragener
Egoismus. Der Nationalismus ist zum
Beispiel durchtränkt und durchwärmt
von dem Phantasieleben des Volkes, in
dem sich der Nationalismus zum
Ausdrucke bringt. Aber dieses
Phantasieleben selbst ist die geistig
höhere Ausbildung dessen, was
menschliche Bedürfnisse sind. Man muß
bis zu dieser Wurzel zurück gehen, um
die Sache durch ihre Betrachtung
richtig zu verstehen.
Ganz andersgeartet ist
dasjenige, was sich in der
menschlichen Natur entwickelt als
Internationalismus. National werden
wir dadurch, daß der Nationalismus aus
unserer eigenen persönlichen Natur
aufsprießt. Der Nationalismus ist eine
Blüte des Wachstums des einzelnen
Menschen, der gemeinsamen Blutes mit
seinem Stamme oder durch eine andere
Zusammengehörigkeit an sein Volk
gebunden ist. Nationalismus, er wächst
mit dem Menschen. Er hat ihn, er
wächst hinein, ich möchte sagen, so
wie er in eine bestimmte Leibesgröße
hineinwächst. Internationalismus hat
man nicht in dieser Art.
Internationalismus läßt sich eher
vergleichen mit jenem Gefühl, das wir
gewinnen, wenn wir uns der schönen
Natur gegenüber sehen, wozu wir zur
Liebe, zur Verehrung, zur Anerkennung
getrieben werden dadurch, daß wir es
anschauen, dadurch, daß es seinen
Eindruck auf uns macht, dadurch, daß
wir in Freiheit uns ihm hingeben.
Während wir in das eigene Volk
hineinwachsen, weil wir gewissermaßen
ein Glied von ihm sind, lernen wir die
anderen Völker kennen. Sie wirken, ich
möchte sagen, auf dem Umwege des
Erkennens, des Verstehens zu uns. Wir
lernen sie nach und nach
verständnisvoll lieben, und in dem
Maße, in dem wir die Menschheit in
ihren verschiedenen Völkern auf ihren
verschiedenen Gebieten verständnisvoll
lieben können, in dem Maße wächst
unser innerer Internationalismus.
Es sind durchaus zwei
verschiedene Quellen in der
menschlichen Natur, die zugrunde
liegen dem Nationalismus und dem
Internationalismus. Der Nationalismus
ist die höchste Ausbildung des
Egoismus. Der Internationalismus ist
dasjenige, was in uns immer mehr und
mehr hereindringt, wenn wir uns
verständnisvoller Menschenauffassung
hingeben können. Man wird in diesem
Lichte das menschliche Zusammen leben
ansehen müssen über die zivilisierte
Erde hin, namentlich wenn man zu einem
richtigen Verständnis desjenigen
kommen will, was im Internationalismus
und Nationalismus aufeinanderstößt.
Muß man doch auch dann,
wenn das wirtschaftliche Leben zu
begreifen gesucht wird, zurückweisen
auf die oben genannten zwei Impulse in
der menschlichen Seele. Was wir als
das dreifach gegliederte Lebenselement
des Menschen in diesen Vorträgen
angeführt haben, es führt uns zurück
auf die beiden eben charakterisierten
Impulse in der menschlichen Seele.
Sehen wir uns das Wirtschaftsleben zum
Beispiel an — wir wollen es ja nachher
betrachten —, wie es alles
nationale und internationale
Zusammenleben der Menschen durchsetzt.
Sehen wir uns dieses Wirtschaftsleben
an. Wir blicken auf dieses
Wirtschaftsleben so, daß wir seinen
Ausgangspunkt anerkennen müssen
eigentlich im menschlichen Bedarf, in
der Konsumtion. Daß der menschliche
Bedarf befriedigt werde, das ist
schließlich im Grunde die Aufgabe des
Wirtschaftslebens. Zur Befriedigung
des menschlichen Bedarfes haben
Produktion und Warenzirkulation,
Verwaltung, menschlicher Verkehr und
der gleichen zu sorgen. Auch da können
wir uns fragen: Was liegt aus der
menschlichen Natur heraus dem Bedarf,
der Konsumtion zugrunde? Der Egoismus
liegt dem Bedarf, der Konsumtion
zugrunde. Und es handelt sich darum,
daß man dieser Tatsache das nötige
Verständnis entgegenbringt. Dann wird
man nicht für das Wirtschaftsleben die
Frage aufwerfen: Wie ist der Egoismus
zu überwinden? — sondern: Wie ist es
dem Altruismus möglich, den
berechtigten Egoismus zu befriedigen?
— Vielleicht klingt diese Frage
weniger idealistisch, aber wahr ist
sie.
Man sieht aber
sogleich, wenn man auf die Produktion
hinsieht, durch die die Konsumtion
befriedigt, durch die der Konsumtion
entsprochen werden soll, daß da etwas
anderes notwendig ist. Derjenige, der
produzieren soll, er ist ja
selbstverständlich zu gleicher Zeit
auch ein Konsument. Er hat notwendig —
die gehaltenen Vorträge haben es
ausgeführt —, daß er Verständnis habe
nicht nur für den Produktionsprozeß,
sondern für das Leben seiner
Mitmenschen, so daß er seinem
Produktionsprozesse sich so hingeben
könne, wie es entspricht dem Bedürfnis
seiner Mitmenschen. Hinschauen muß der
Mensch können, sei es mittelbar oder
unmittelbar durch Einrichtungen, von
denen wir gesprochen haben, auf das,
was die Menschen bedürfen in der
Konsumtion. Dann muß der Mensch aus
diesem hingebungsvollen Verständnisse
auch dieser oder jener Produktion, die
gerade in seinen Fähigkeiten liegt,
sich widmen können. Man braucht das
nur zu schildern, dann wird man, wenn
es auch auf diesem Gebiete trocken und
nüchtern erscheint, den eigentlichen
Motor der Produktion sehen müssen in
der hingebungsvollen Liebe an die
menschliche Gesellschaft. Und ehe man
nicht begreifen wird, daß die
Produktion nur dadurch in sozialer
Weise geregelt werden kann, daß
Grundlagen geschaffen werden durch
Geistes- und Rechtsleben, aus denen
sich in die menschliche Seele
hineinergieße — wegen des Interesses
für ihre Mitmenschen, wegen des
Interesses für das Leben —
hingebungsvolle Liebe für ihre
Produktionszweige, eher wird man
nichts Positives sagen über die
eigentliche Aufgabe des sozialen
Problems.
Zwischen beiden,
zwischen, ich möchte sagen, der
egoistischen Konsumtion und der
liebedurchwalteten Produktion steht
die Waren-, die Güterzirkulation, die
den Ausgleich zwischen beiden schafft,
schafft heute durch den Zufall des
Marktes, durch Angebot und Nachfrage,
schaffen soll in der Zukunft durch
eine menschliche Assoziation, welche
die Vernunft an die Stelle des
Zufallsmarktes setzt, so daß Menschen
da sein werden, deren Angelegenheit es
sein wird, aus der Beobachtung der
Konsumtionsbedürfnisse heraus die
Produktion einzurichten, so daß der
Markt bestehen wird in dem, was die
Vernunft der betreffenden Organisation
aus der Produktion heraus für die
Konsumtion, die zuerst richtig erkannt
und beobachtet wird, zu schaffen in
der Lage sein wird. Man wird sich auf
diesem Felde durchaus aller
Schlagworte entschlagen und auf die
Wirklichkeiten eingehen müssen.
Nun aber — wer sollte
es nicht sehen — hat die neuere Zeit
immer mehr und mehr etwas
hervorgebracht, das auftreten mußte,
als der Horizont der Menschen immer
weiter und weiter über die Erde sich
verbreitete. An die Stelle der alten
Nationalwirtschaften, der Wirtschaft
auf engeren Territorien, ist die
Weltwirtschaft getreten. Allerdings
ist diese Weltwirtschaft zunächst bloß
als eine Art Forderung vorhanden.
Gewiß, diese Forderung hat sich so
weit ausgebildet, daß fast an jedem
Orte der zivilisierten Welt Produkte
verbraucht werden, die an anderen
Orten, gleichgültig ob es das
gleiche oder ein anderes Land ist,
dieser zivilisierten Welt produziert
werden. Aber auch auf diesem Gebiete
ist das menschliche ideelle Erfassen,
ist die menschliche Seelenstimmung dem
nicht nachgekommen, was als eine
Weltenforderung aufgetreten ist.
Überall sehen wir, wie es dringende
Forderung der neueren Zeit ist, der
Weltwirtschaft Rechnung zu tragen,
Einrichtungen zu treffen, unter denen
die Weltwirtschaft möglich ist.
Unter welchen
Bedingungen ist allein die
Weltwirtschaft möglich? Das kann man
wahrlich nur einsehen, wenn man
zunächst seinen Blick darauf richtet,
wie sich — und ich habe das im
gestrigen Vortrage ausgeführt — die
soziale Ordnung gegen die Zukunft hin
gestalten muß, wenn an die Stelle der
alten Gewaltgemeinschaft,
Gewaltgesellschaft, der gegenwärtigen
Tauschgesellschaft, die
Gemeingesellschaft tritt. Das ist eben
die Gesellschaft, in welcher von den
Assoziationen, durch die Verträge der
Assoziationen produziert wird.
Wenn man das wirklich
geltend macht, worin zeigt sich dann
der reale Unterschied einer solchen
Gemeingesellschaft von der bloßen
Tauschgesellschaft, die heute noch
vielfach die herrschende ist? Der
Unterschied zeigt sich darinnen, daß
es in der Tauschgesellschaft
vorzugsweise der einzelne oder die
einzelne Gruppe mit dem anderen
einzelnen oder der anderen Gruppe zu
tun haben. Wofür interessieren sich
dann dieser andere einzelne oder diese
Gruppe in ihrem Verhältnis zueinander?
Ob sie Konsumenten sind, ob sie
Produzenten sind — ihre Produktion,
ihre Konsumtion stehen gewissermaßen
durch einen Abgrund voneinander
getrennt durch den Zufallsmarkt, und
der Zufalls markt vermittelt die
Warenzirkulation, vermittelt den
Handel. Wie man auch sonst, in
berechtigter oder unberechtigter
Weise, über die Herrschaft des
Kapitals, der Arbeit und dergleichen,
über Bedeutung des Kapitals und
Bedeutung der Arbeit spricht, man muß
sagen: Das Wesentliche für unsere
Tauschgesellschaft ist, daß das
Herrschende die Warenzirkulation ist.
Die ist es, welche die Brücke baut
zwischen der Produktion und der
Konsumtion, während Produktion und
Konsumtion durch den Abgrund des
Marktes voneinander geschieden sind,
so daß sie nicht durch die Vernunft
miteinander vermittelt sind.
Was wird in der
Gemeingesellschaft an die Stelle der
herrschenden Zirkulation treten? Das
ganze Gebiet des Wirtschaftslebens
wird in das Interesse jedes
Wirtschaftenden hereingezogen! Während
sich heute der Wirtschaftende zu
interessieren hat, wie er seine
Produkte bekommt oder seine Produkte
absetzt, dafür zu sorgen hat aber aus
Interesse an sich selber, wird es in
der Gemeingesellschaft so sein müssen,
daß jeder Wirtschaftende ein volles
Interesse für Konsumtion, Handel und
Produktion habe, das heißt, daß das
gesamte Wirtschaften sich widerspiegle
in den Wirtschaftsinteressen des
einzelnen. Das ist es, um was es sich
bei der Gemeingesellschaft handeln
muß.
Sehen wir uns aber
jetzt an, wie es sich mit dieser
Gemeingesellschaft, die auch im
einzelnen Staate heute durchaus noch
eine Zukunftsforderung ist, in bezug
auf das internationale Problem
verhalten müssen Dieses internationale
Problem, wie stellt es sich uns denn
besonders mit Bezug auf das
Wirtschaftsleben dar? Da können wir
sehen, daß zwar die Weltforderung
besteht nach Weltwirtschaft, daß sich
aber innerhalb der gesamten
Weltwirtschaft die einzelnen
Nationalstaaten abgliedern. Diese
einzelnen Nationalstaaten, ganz
abgesehen von den anderen historischen
Bedingungen ihres Entstehens, sie
werden zunächst zusammengehalten durch
das, was aus dem Egoismus der
beisammen-lebenden Menschen aufsteigt.
Selbst im Edelsten des Nationalen, in
Literatur, Kunst und so weiter, ist es
die aus dem Egoismus aufsteigende
Phantasie, die die Volksgruppen
zusammenhält. Diese so zusammen
gehaltenen Volksgruppen stellten sich
nun in das ganze Gebiet der
Weltwirtschaft hinein, und sie
stellten sich besonders stark, immer
stärker und stärker hinein im Laufe
des 19. Jahrhunderts, und dieses
Hineinstellen erreichte seinen
Höhepunkt im Beginn des 20.
Jahrhunderts. Wollen wir
charakterisieren, was da eigentlich
geschah, dann müssen wir sagen:
Während noch andere Interessen,
Interessen, die viel mehr ähnelten der
alten Gewaltgesellschaft, früher
zwischen den Staaten herrschten, wurde
das Prinzip der Tauschgesellschaft
gerade im gegenseitigen Verkehre im
internationalen Leben der Staaten
vorwiegend, so daß ein Höhepunkt
erreicht wurde im Beginne des 20.
Jahrhunderts. Wie in den einzelnen
Staaten produziert und konsumiert
wurde, was an andere Staaten
verabreicht oder von anderen Staaten
bezogen wurde, das war durchaus
hineinbezogen in den Egoismus der
einzelnen Staaten. Dafür wurde nur
geltend gemacht, wofür der einzelne
Staat als solcher sich interessierte.
Wie man gegenseitige Beziehungen auf
wirtschaftlichem Gebiete zwischen den
Staaten herstellte, das beruhte ganz
und gar auf dem Handelsprinzip, das
beruhte auf dem Prinzip, das in der
Tauschgesellschaft bezüglich der
Warenzirkulation waltete.
Auf diesem Felde, aber
im großen, da zeigte sich
insbesondere, wie sich die bloße
Tauschgesellschaft ad absurdum führen
mußte. Und das Ad-absurdum-Führen, das
war im wesentlichen eine der
Hauptveranlassungen, Hauptursachen zu
dem, was diese Weltkriegskatastrophe
herbeigeführt hat. Es wird ja
nachgerade den Menschen immer klarer
und klarer, daß dieser große Gegensatz
bestand zwischen der Forderung nach
Weltwirtschaft und dem Hineinstellen
der einzelnen Staaten in diese
Weltwirtschaft, die sich abschlossen,
statt in ihren Grenzen die
Weltwirtschaft zu fördern, durch Zölle
und anderes, und das, was Ergebnis der
Weltwirtschaft sein konnte, für sich
in Anspruch nehmen wollten und auch in
Anspruch nahmen. Das führte zu jener
Krise, die wir als die
Weltkriegskatastrophe bezeichnen.
Gewiß mischen sich andere Ursachen
hinein, aber das ist gerade eine der
Hauptursachen.
Und so wird es sich
darum handeln, zu erkennen, wie gerade
gegen über dem internationalen Leben
in allererster Linie nötig ist, daß
die Möglichkeit gefunden werde, über
die Grenzen hinüber nach anderen
Prinzipien zu wirtschaften, als die
der bloßen Tauschgesellschaft sind.
Möglich muß es werden, geradeso wie in
der Gemeingesellschaft der einzelne
das Interesse für Produktion, wo sie
immer auftritt, das Interesse für
Konsumtion, wo sie immer auftritt,
haben muß, wenn er mitarbeiten will,
wie er sich für das gesamte Gebiet der
Wirtschaft — Waren konsumtion,
Warenproduktion, Warenzirkulation —
interessieren muß, so muß es möglich
sein, Impulse zu finden, durch die ein
jedes Staatsgebilde der Welt ein
wirkliches inneres, wahrhaftiges
Interesse haben könne für jedes andere
Staatsgebilde, so daß nicht etwas
anderes, dem Zufallsmarkt Ähnliches
sich gestaltet zwischen den Völkern,
sondern ein wirklich inneres
Verständnis zwischen den Völkern
walte.
Da kommen wir zu den
tieferen Quellen dessen, was heute in
der Abstraktheit in dem sogenannten
Völkerbund gesucht wird, der ja darauf
ausgeht, daß gewisse Schäden, die im
Volkszusammenleben bestehen,
korrigiert werden. Allein er
entspringt aus demselben Prinzip, aus
dem heute sehr vieles entspringt. Wer
heute nachdenkt über die Schäden des
Lebens, er denkt vielfach an die
nächsten Korrekturen, durch die das
eine oder andere ausgeführt werden
kann. Da sieht einer, daß viel Luxus
existiert, also will er den Luxus
besteuern und dergleichen. Er denkt
nicht daran, an die Quellen desjenigen
zu gehen, um was es sich handelt, die
Struktur des sozialen Zusammenlebens
zu finden, durch die ein unmöglicher
Luxus nicht entstehen kann. Daß man an
solche Quellen gehen muß, das ist es
aber, worauf es auch im Völkerleben
ankommt. Daher wird man nicht durch
irgendwelche Bestimmungen, die bloß
korrigierend wirken sollen, zu einem
internationalen innerlichen
Zusammenleben kommen, sondern dadurch,
daß man wirklich an die Quellen
herangeht, durch die Volksverständnis
gegenüber Volksverständnis gefunden
werden kann.
Nun, es kann kein
Volksverständnis gefunden werden, wenn
man bloß auf das eine hält, das sich
gewissermaßen wie das Wachstum selber
aus dem Menschen heraus ergibt, wenn
man bloß auf dasjenige sieht, was, wie
ich gezeigt habe, zum Nationalismus,
zur Abschließung innerhalb der
Volkheit führen muß. Was haben wir
denn im geistigen Leben heute, das im
Grunde einzig und allein einen
internationalen Charakter trägt und
ihn nur während dieses Krieges deshalb
nicht verloren hat, weil die Menschen
nicht imstande waren, ihn auf diesem
Gebiete zu nehmen? Denn hätten sie ihn
genommen, so hätten sie das Gebiet
selber vernichten müssen. Was ist da,
das wirklich heute über die ganze Erde
eigentlich international ist? Nichts
anderes im Grunde genommen, als das
Gebiet der auf die äußere Sinneswelt
gehenden Naturwissenschaft. Die
intellektualistische Wissenschaft —
ich habe in den Vorträgen gezeigt, wie
die Naturwissenschaft
intellektualistisch genannt werden muß
—, die hat einen internationalen
Charakter angenommen. Und leicht war
es zu bemerken in diesen Zeiten, wo so
viel Unwahres in die Welt getreten
ist: Wenn irgend jemand der
Wissenschaft das Leid angetan hat, sie
im nationalen Sinne zu mißbrauchen, so
benahm er ihr sozusagen dadurch ihren
wahren Charakter. Aber sieht man nicht
auf der anderen Seite, gerade durch
die Tatsache, die ich eben anführen
mußte, daß diese Art des
Geisteslebens, die sich im
Intellektualismus auslebt, nicht
imstande war, ein internationales
Leben zu begründen? Man sieht es,
denke ich, klar genug, daß jene
Ohnmacht, die ich von den
verschiedensten Gesichtspunkten aus
für diese intellektualistische
Geistesrichtung geschildert habe, sich
ganz besonders deutlich gezeigt hat in
dem Verhältnis dieses
intellektualistischen Geisteslebens
zum Internationalismus.
Die Wissenschaft war
nicht imstande, so tiefe
internationale Impulse in die
Menschenseele hineinzugießen, daß
diese standgehalten hätten gegenüber
den furchtbaren Ereignissen der
letzten Jahre. Und da, wo diese
Wissenschaft auftreten wollte,
Sozialimpulse zu bilden wie im
sozialistischen Internationalismus, da
hat sich gezeigt, daß dieser
internationalistische Sozialismus sich
auch nicht halten konnte, sondern
zumeist ins nationale Fahrwasser
abströmte. Warum? Weil er eben gerade
von den alten Erbgütern der Menschheit
nur den Intellektualismus übernommen
hat, und der Intellektualismus nicht
stark genug ist, um ins Leben hinein
gestaltend zu wirken. Das ist es, was
auf der einen Seite bezeugt, daß diese
neuere wissenschaftliche Richtung, die
zugleich mit Kapitalismus und
Kulturtechnik heraufgekommen ist, zwar
ein internationales Element enthält,
aber zu gleicher Zeit bezeugt, wie
ohnmächtig zur Begründung eines
wirklichen internationalen Lebens der
Menschheit sie ist.
Demgegenüber muß nun
geltend gemacht werden, was ich im
vierten Vortrage über die
geisteswissenschaftliche Richtung
auseinandergesetzt habe, die auf der
Anschauung, auf der Erkenntnis des
Geistes beruht. Diese
Geistesanschauung, sie beruht nicht
auf äußerer Sinnesanschauung; sie geht
hervor aus der Entwickelung der
eigenen Menschennatur. Sie sprießt aus
dem heraus, woraus auch die Phantasie
sprießt. Aber sie sprießt aus tieferen
Tiefen der Menschennatur heraus.
Deshalb erhebt sie sich nicht bloß zu
den individualistischen Gebilden der
Phantasie, sondern zu dem objektiven
Erkenntnisgebilde der geistigen
Wirklichkeit der Welt. In dieser
Beziehung wird ja diese
Geistanschauung heute noch vielfach
mißverstanden. Die sie nicht kennen,
die sagen: Ja, was auf diese Weise
durch die Geistesanschauung gefunden
wird, das ist ja nur subjektiv, das
kann niemand beweisen. -- Die
mathematischen Erkenntnisse sind auch
subjektiv und sind nicht beweisbar;
und niemals kann man durch
Übereinstimmung der Menschen
mathematische Wahrheiten erhärten! Wer
den pythagoräischen Lehrsatz kennt,
der weiß, daß er richtig ist, und wenn
ihm Millionen Menschen widersprechen
würden. So kommt auch zu einem
innerlich Objektiven, was mit
Geisteswissenschaft hier gemeint ist.
Aber es nimmt denselben Weg, den die
Phantasie nimmt, und steigt höher
hinauf, wurzelt in objektiven Tiefen
der Menschennatur und steigt bis zu
objektiven Höhen hinauf. Daher erhebt
sich diese geistige Anschauung über
alles, was sonst als Phantasie die
Völker durchglüht. Und gleichzeitig
wird in diesem oder jenem Volke aus
diesen oder jenen Sprachen heraus
diese Geistesanschauung gesucht. Sie
ist ein und dieselbe, durch alle
Menschen hindurch, über die ganze Erde
hin, wenn sie nur tief genug gesucht
wird.
Daher begründet diese
Geistesanschauung, von der ich zeigen
mußte, daß sie wirklich gestaltend in
das praktische, in das soziale Leben
ein greifen kann, zugleich die
Möglichkeit, einzugreifen in das
internationale Leben, ein Band zu sein
von Volk zu Volk. Seine Dichtung, die
Eigentümlichkeiten auch seiner übrigen
Kunstgebiete wird ein Volk auf
individualistische Art hervorbringen.
Aus dem Individualismus des Volkes
heraus wird für die Geistanschauung
etwas entstehen, was ganz gleich ist
dem, was irgendwo anders entsteht. Die
Grundlagen, aus denen die Dinge
hervorgehen, sind an verschiedenen
Orten; worinnen sie zuletzt ihre
Ergebnisse finden, das ist über die
ganze Erde hin gleich. Es reden heute
viele Menschen vom Geiste; sie wissen
nur nicht, daß der Geist erklärt
werden muß. Wenn er aber erklärt wird,
dann ist er etwas, was nicht Menschen
trennt, sondern Menschen verbindet,
weil es zurückgeht bis auf das
innerste Wesen des Menschen, indem ein
Mensch dasselbe hervorbringt wie der
andere Mensch, indem ein Mensch den
anderen Menschen völlig verstehen
kann.
Dann aber, wenn man
wirklich, was sonst nur
individualistisch in der einzelnen
Volksphantasie zum Ausdrucke kommt,
bis zur Geistanschauung vertieft, dann
werden die einzelnen
Volksoffenbarungen nur mannigfaltige
Ausdrücke sein für das, was in der
Geistanschauung eine Einheit ist. Dann
wird man über die ganze Erde hin
bestehen lassen können die
verschiedenen Volksindividualitäten,
weil nicht eine abstrakte Einheit zu
herrschen braucht, sondern weil sich
das konkrete eine, das gefunden wird
durch die Geistanschauung, in der
mannigfaltigsten Weise wird zum
Ausdruck bringen lassen. Und dadurch
werden sich in dem geistigen einen die
vielen verstehen können. Dann werden
sie aus ihrem vielartigen Begreifen
des Einheitlichen die Möglichkeit
finden von Satzungen für ein Bündnis
der Nationen, dann wird aus dem
Geisteszustand, aus der geistigen
Verfassung heraus auch die
Rechtssatzung entstehen können, welche
die Völker verbindet. Und dann wird
Platz greifen in den einzelnen
Völkern, was bei jedem einzelnen Volke
sein kann: Interesse für Produktion
und Konsumtion anderer Völker. Dann
wird, was Geistesleben der Völker, was
Rechts leben der Völker ist, das
Verständnis für andere Völker über die
ganze Erde hin wirklich entwickeln
können.
So wird man entweder
auch auf diesem Gebiete zum Geiste
übergehen müssen, oder man wird darauf
verzichten müssen, mit noch so gut
gemeinten Satzungen etwas Besseres zu
schaffen, als bisher dagewesen ist.
Gewiß, heute reden in begreiflicher
Weise sehr viele Menschen von ihrem
Unglauben an die Wirkung eines solchen
Geistigen; aber eigentlich deshalb,
weil sie nicht den Mut haben, an
dieses Geistige heran zugehen. Man
macht ja diesem Geistigen wahrhaftig
das Leben recht schwer. Aber da, wo es
sich, trotzdem man ihm das Leben
schwer macht, nur in kleinem Kreise
entfalten kann, da zeigt es schon, daß
es so ist, wie ich es eben jetzt
dargestellt habe. Hat man
kennengelernt irgendwo in einem der
vorhin kriegführenden Staaten die
Stimmung der Menschen, das, was die
Menschen über andere feindliche Staats
angehörige gedacht haben, wie sie sie
gehaßt haben, hat man kennen gelernt,
wie wenig Internationales in einem
solchen kriegführenden Gebiete war,
dann hat man ein Urteil darüber, wie
der, der vor Ihnen spricht, der immer
wieder und wiederum nach diesem Orte
gekommen ist, den ich schon erwähnte
in diesen Vorträgen, im Nordwesten der
Schweiz, wo sich die Pflegestätte
dieser hier gemeinten
Geisteswissenschaft erhebt, das
Goetheanum, die Hochschule für
Geisteswissenschaft. Was war das im
Grunde genommen durch die ganzen
Kriegsjahre hin durch für eine Stätte?
An dieser Stätte haben immer durch die
ganzen Kriegsjahre hindurch Menschen
aller Nationen zusammengewirkt, ohne
daß sie sich im geringsten weniger
verstanden hätten während dieser Zeit
als früher, wenn sie auch manche
unnötige oder nötige Diskussion
geführt haben. Dieses Verständnis, das
hervorgegangen ist aus dem gemeinsamen
Ergreifen einer Geistesanschauung, ist
schon zur Wirklichkeit geworden, wenn
es auch erst in einem kleinen Kreise
zur Wirklichkeit geworden ist. Man
kann sagen: Das Experiment haben wir
auf diesem Gebiete machen können. Wir
haben zeigen können, daß die Menschen,
die zu Zeiten dahin gehen
wollten, andere Menschen
verstehen können.
Aber dieses
Verständnis, es darf nicht durch ein
abstraktes Hinweisen auf den Geist
gesucht werden, sondern es muß gesucht
werden im engsten, wirklichen
Sich-Erarbeiten des Geistes. Davon
will die heutige Menschheit noch wenig
wissen: daß der Geist eigentlich
erarbeitet werden müsse. Man redet ja
vielfach auch heute vom Geiste, daß
der Geist kommen müßte — ich habe es
gestern wieder erwähnt — und das, was
bloß die materialistischen sozialen
Forderungen sind, durchdringen müsse.
Aber man hört nicht viel mehr, als daß
an den Geist appelliert werden soll.
Ja, wenn solche Menschen, die sonst ja
ganz gut meinend sind, auch einsichtig
sind, auch vom sozialen Ethos
durchdrungen sind, wenn solche
Menschen sich nur das Folgende
überlegen möchten, wenn sie sich nur
sagen möchten: Ja, wir haben
allerdings den Geist gehabt; aber
können wir denn an denselben Geist,
den wir gehabt haben, heute
appellieren? Dieser Geist hat uns ja
gerade in die Lage hineingebracht, in
der wir sind! Also brauchen wir nicht
durch den alten Geist eine neue Lage.
Die können wir nicht bekommen durch
einen alten Geist. Das hat er gezeigt.
Wir brauchen einen neuen Geist. —
Dieser neue Geist aber muß erarbeitet
werden. Und erarbeitet werden kann er
nur in dem selbständigen Geistesleben.
Daher stellen wir uns
vor, wie — denn das wird sie durch
ihre eigene Notwendigkeit müssen — die
Forderung nach Weltwirtschaft sich
erfüllt, so wird innerhalb dieser
Weltwirtschaft drinnen stehen soziales
Gebilde neben sozialem Gebilde,
überall auf individuelle Art aus den
Menschen, die in diesen Gebilden
zusammenwohnen, Geistiges und
Rechtliches hervorbringend. Aber dies,
was da hervorgebracht wird auf
individuelle Art, das wird gerade das
Mittel sein, um die anderen sozialen
Gebilde zu verstehen, und es wird
dadurch das Mittel sein, wirklich
Weltwirtschaft zu treiben. Sonst aber,
wenn solches Mittel nicht geschaffen
wird, werden sich nur immer wiederum
die sogenannten Nationalinteressen
hineinstellen in die Weltwirtschaft
und werden dasjenige, was aus dieser
Weltwirtschaft herausgesogen werden
kann, für sich in Anspruch nehmen. Da
jeder das will ohne Verständnis für
den anderen, wird notwendig wiederum
Disharmonie auftreten müssen.
Wie aber wird allein
eine wirkliche Weltwirtschaft geführt
werden können? Nur dadurch wird sie
geführt werden können, daß sich nicht
die geistige Organisation, die
rechtliche Organisation der einzelnen
Gebilde dieser Wirtschaft bemächtigen,
denn die müssen ja individuelle
Gestalt haben. Zur Allgemeinheit, zur
Einheit dringen Sie nur im geistigen
Verständnis, indem Sie erringen, was
über die ganze Erde hin die andere
Einheit ist. Daß diese Erde
emanzipiert werde von den
Individualismen, das ist über die
ganze Erde hin die andere Einheit.
Nun, ebenso wie es wahr
ist, daß man, wenn man nur tief genug
in die menschliche Natur hinuntergeht,
mit der Entwickelung des Menschen bis
zu einer objektiven Höhe hinaufsteigen
kann, so daß man als Geistanschauung
findet, was jeder andere jeder anderen
Nation findet, so muß man sagen, daß
auch die menschlichen
Konsumbedürfnisse über die ganze Welt
hin nicht berührt werden von den
einzelnen Nationalismen. Die
menschlichen Bedürfnisse sind
international. Nur stehen sie
polarisch gegenüber demjenigen, was
das Internationale des Geistes ist.
Das Internationale des Geistes muß das
Verständnis liefern, muß in Liebe
durchdringen können dieses Verständnis
für die andere Nationalität, muß die
Liebe ausdehnen können bis zur
Internationalität im Sinne des vorhin
Auseinandergesetzten. Der Egoismus
aber ist ebenso international. Er wird
nur eine Brücke schaffen können zu der
Weltproduktion, wenn diese
Weltproduktion aus einem gemeinsamen
geistigen Verständnis, aus einer
gemeinsamen geistigen
Einheitsanschauung hervorgeht. Niemals
werden aus den
Volksegoismen heraus Verständnisse für
die gemeinsame Konsumtion entstehen
können, die auf dem gemeinsamen
Egoismus beruht. Allein aber aus der
gemeinsamen Geistanschauung kann sich
das entwickeln, was nicht aus dem
Egoismus, was schließlich aus der
Liebe kommt, wie ich
auseinandergesetzt habe, und was daher
die Produktion beherrschen kann.
Wodurch ist die
Forderung nach Weltwirtschaft
entstanden? Weil durch das Kompliziert
werden der menschlichen
Lebensverhältnisse über die ganze
zivilisierte Welt hin immer mehr und
mehr sich die Konsumbedürfnisse der
Menschen vereinheitlicht haben, sich
immer mehr und mehr zeigt, wie über
die ganze zivilisierte Welt hin die
Menschen dasselbe bedürfen. Wie wird
diesem einheitlichen Bedürfnisse ein
einheitliches Produktionsprinzip
erwachsen können, das über die ganze
Welt hin für die Weltwirtschaft
wirksam sein wird? Dadurch, daß man
aufsteigt zum geistigen Leben, so wie
es hier gemeint ist, zur wirklichen
Geistanschauung, die mächtig genug
ist, um zur gemeinsamen Weltkonsumtion
die gemeinsame Weltproduktion zu
schaffen. Dann aber wird der Ausgleich
geschaffen werden können, indem
Einheit des Geistes zur Einheit der
Konsumtion hinwirkt, dann wird der
Ausgleich geschaffen werden in der
Zirkulation, in der Vermittelung
zwischen Produktion und Konsumtion.
So muß man in das
Innere des Menschen hineinschauen,
wenn man erkennen will, wie über die
ganze zivilisierte Erde hin wirklich
aus vielen Organismen ein
einheitlicher Organismus entstehen
soll. Auf keine andere Weise kann sich
dieser einheitliche Organismus
aufbauen, dieser einheitliche
Organismus, der die Bedingungen
enthalten soll, daß nun wirklich den
sozialen Forderungen gemäß über die
ganze Erde hin ein solcher organischer
Zusammenhang geschaffen werde zwischen
Produktion und Konsumtion, daß das
Stückchen Brot oder die Kohle, die ich
brauche für den einzelnen Haushalt
oder für den einzelnen Menschen,
wirklich den sozialen Forderungen
entspricht, die heute im
Unterbewußtsein der Menschheit geltend
sind.
Ich weiß sehr gut, daß,
wenn man die Dinge auch in eine solche
Betrachtungssphäre rückt, viele sagen:
Ja, das ist aber Idealismus, das
erhebt sich in ideale Höhen! — Aber in
diesen findet man einzig und allein,
was der treibende Motor für die äußere
Vielheit ist. Und gerade aus dem
Grunde, weil die Menschen nicht nach
den Motoren gesucht haben, die nur auf
diese Weise gefunden werden können,
deshalb sind wir in die sozialen
Zustände und in die politischen
Zustände der Gegenwart über die ganze
zivilisierte Welt hineingekommen.
Nicht früher, als bis man sagen wird:
Diejenigen, welche sich damit
befassen, wirklich die innerlich
treibenden Kräfte für den sozialen
einzelnen Organismus und für den
sozialen Organismus der Welt zu
schaffen, die sind die wahren
Praktiker, während diejenigen, die
sich oftmals Praktiker nennen, nur
rudimentär ihr wahres Gebiet kennen
und deshalb abstrakt sind — nicht
eher, als bis man das erkennen wird,
wird die soziale Frage auf einem
gesunden Boden stehen können.
Einer derjenigen, dem
es auch, nun vor recht langer Zeit,
ernst war, der hat, als er auf einem
gewissen Gebiete des menschlichen
Lebens gesprochen hat, darauf
aufmerksam gemacht, daß die
sogenannten Idealisten nicht gerade
diejenigen sind, die nicht wissen, wie
sich Ideale zu wirklichem Leben
verhalten. Er hat es empfunden, wie
unsinnig es ist, wenn sogenannte
Praktiker kommen und dem Idealisten
sagen: Ja, deine Ideale sind sehr
schön, aber die Praxis fordert ganz
anderes! — Der einzig wirkliche
Tatbestand ist der, daß die Praxis
diese Ideale gerade fordert, wenn sie
eine wirkliche Praxis werden soll. Und
das verhindert die Verwirklichung
dieser Ideale, daß diese angeblichen
Praktiker diejenigen sind, die sie
nicht verwirklichen lassen, weil sie
zu bequem dazu sind oder ein anderes
Interesse haben, sie nicht
verwirklichen zu lassen. Und derselbe
Mann, der hat gesagt: Daß Ideale im
Leben nicht unmittelbar anwendbar
sind, das wissen wir ebensogut wie die
anderen, nur wissen wir, daß das Leben
immerdar geformt werden muß nach
diesen Idealen. Diejenigen aber, die
sich davon nicht überzeugen können,
die zeigen nichts anderes, als daß das
Leben in seiner Gestaltung eben auf
ihre Mitwirkung nicht mehr gerechnet
hat, und so möge man ihnen wünschen,
daß sie zur rechten Zeit Regen und
Sonnenschein und wenn möglich eine
gute Verdauung bekommen.
Das ist es, wodurch das
Verhältnis des oftmals verketzerten
Idealismus zu der wirklichen
Lebenspraxis charakterisiert werden
soll, das Sie brauchen, wenn Sie eine
Brücke bauen wollen — eine Aufgabe,
die durchaus nach nicht materiellen
Ideen auch die Ingenieurkunst
meistert: Wie zuerst die ganze Brücke
ideell sein muß, und gerade dann, wenn
sie gut ideell errechnet ist, eine
wirkliche praktische Brücke werden
kann, so muß das, was aus Idealismus
sich gestalten soll, aus innerem
praktischem Sinn heraus eine
praktische Idee sein. Und man muß den
Instinkt, das Gefühl dafür haben, wie
man eine solche objektive
Gesetzmäßigkeit in die wirkliche
Lebenspraxis hineinzutragen hat. Dann
wird man auch nicht mehr fragen: Wie
trägt man diese Dinge in die
Lebenspraxis hinein? — Dann wird man
wissen: Wenn genügend Menschen da
sind, die die Dinge verstehen, dann
wird durch diese Menschen und ihre
Handlungen die Sache unmittelbar
praktisch.
Man hört heute
vielfach: Ja, diese Ideen sind ja
vielfach sehr schön, und sogar
verwirklicht gedacht wären sie sehr
schön, aber die Menschen sind ja noch
nicht reif dazu. In ihrer Masse seien
die Menschen noch nicht reif dazu. —
Ja, was heißt denn das eigentlich,
wenn man sagt, die Menschen in ihrer
Masse seien noch nicht reif? Wer das
Verhältnis der Idee zur Wirklichkeit
kennt, wer das praktische Leben nach
seinem Wirklichkeitscharakter
durchschaut, der denkt anders über
diese Menschen, der weiß, daß genügend
Menschen in der Gegenwart sind,
welche, wenn sie nur tief genug in ihr
Inneres hineingehen, volles
Verständnis aufbringen können für das,
um was es sich hier handelt. Was
abhält, ist zumeist nur die
Mutlosigkeit. Die Energie fehlt, zu
dem wirklich vorzudringen, bis zu dem
man vordringen könnte, wenn man nur
volles Selbstbewußtsein in sich
ausbilden könnte.
Was uns vor allen
Dingen not tut, das ist etwas, was im
Grunde genommen jeder einzelne Mensch
heute bei sich selber korrigieren
könnte, wenn er nur genügend auf die
Wirklichkeit hinschaute. Aber während
man auf der einen Seite in
Materialismus verfällt, sogar sich
gefällt im Materialismus, ist man auf
der anderen Seite in die Abstraktheit
verliebt, in allerlei abstrakte und
intellektuelle Sätze, und will
durchaus nicht in die Wirklichkeit
eindringen.
Schon im äußeren Leben
glaubt man heute, praktisch zu sein;
aber man gibt sich nicht Mühe, die
Dinge wirklich so anzusehen, daß man
sie in ihrem Wirklichkeitscharakter
erkennen könnte. Wer heute zum
Beispiel irgendeine Behauptung
vorgesetzt bekommt, der gibt sich
dieser Behauptung hin. Er nimmt nur
den abstrakten Inhalt. Da kann er sich
gerade vom Leben entfernen, nicht etwa
immer mehr dem Leben nähern. Wenn
heute einer einen schönen Leitartikel
liest, so ist darüber zu sagen, daß
heute einen schönen Leitartikel
schreiben keine besondere
Schwierigkeit ist. Denn so viel ist
gedacht worden in der modernen
Zivilisation, daß man sich nur einige
Routine zu erwerben braucht, so kann
man Phrase an Phrase setzen. Nicht
darum handelt es sich, daß man mit dem
wortwörtlichen Inhalt von etwas heute
einverstanden ist, sondern daß man
sich ein Urteil darüber erwirbt, wie
dieser Inhalt zusammenhängt mit der
Wirklichkeit. Da ist aber vieles in
der Gegenwart nach der Richtung hin zu
korrigieren, daß man sagen muß : Nach
Wahrheit sollten die Menschen heute
vor allen Dingen verlangen, nach jener
Wahrheit, die sie mutvoll der
Wirklichkeit entgegenträgt.
Dafür zwei Beispiele.
Sie können in mancher Statistik, sagen
wir über die Balkanstaaten, lesen --
die Menschen unterrichten sich ja
heute über die Verhältnisse der
Außenwelt, beurteilen irgendeine
weltpolitische Lage oder dergleichen
durch Statistiken —: So und so viele
Griechen, so und so viele Serben, so
und so viele Bulgaren! Und da kann man
dann errechnen, welches die
berechtigten Ansprüche des
griechischen Elementes, des
bulgarischen Elementes, des serbischen
Elementes sind. Sieht man dann etwas
genauer nach, das heißt, verbindet
man, was man als abstrakte Erkenntnis
erworben hat über die Zahl der
Bulgaren, der Serben, der Griechen in
Mazedonien mit der Erfahrung, dann
entdeckt man vielleicht, daß der Vater
als ein Grieche, der eine Sohn als ein
Bulgare, der zweite Sohn als ein Serbe
eingetragen ist! Nun möchte man
wissen, wie das mit der Wahrheit
herauskommt. Kann die Familie wirklich
so beschaffen sein, daß der Vater ein
Grieche, der eine Sohn ein Bulgare,
der zweite ein Serbe ist? Erfährt man
wirklich etwas über die Wirklichkeit,
wenn man eine aus solchen
Voraussetzungen gemachte Statistik
hat? Das meiste, das heute in der Welt
in Statistiken zusammengestellt ist,
beruht auf solchen Zusammenstellungen,
insbesondere im geschäftlichen Leben
sehr häufig. Deshalb, weil die
Menschen nicht das Bedürfnis haben,
immer vorzudringen von dem, was ihnen
wortwörtlich gesagt wird, zum Inhalte
des Wahren, der Wirklichkeit, deshalb
wird heute so vielfach
vorbeigeurteilt, denn es wird nicht
eingegangen auf die Dinge. Die
Menschen sind zufrieden mit dem, was
bloß als eine Oberschichte des Lebens
die wahren Wirklichkeiten zudeckt.
Aber auf die wahren Wirklichkeiten
losgehen, das ist die erste Forderung
im Leben unserer Zeit, nicht zu
schwatzen, ob die Menschen reif oder
unreif seien, sondern gerade
hinzudeuten auf das, was Hauptschäden
sind. Die Menschen werden sie dann
begreifen, wenn sich nur andere
Menschen finden, die sich die Mühe
nehmen, diese Hauptschäden aufzudecken
und genügend stark darauf hinzuweisen.
Oder: Die Welt hat
Anfang Juni 1917 gelesen — ein Teil
der Welt hat sich immerhin noch dafür
interessiert — die Thronrede des
damaligen österreichischen Kaisers Karl.
In dieser Thronrede wird sehr
zeitgemäß von Demokratie gesprochen,
immer wieder von Demokratie. Nun,
diese Thronrede — ich habe manches
über sie gelesen: wie sich die Leute
enthusiasmiert haben dafür, daß der
Welt von Demokratie verkündigt werde,
wie schön es sei, daß da der Welt über
Demokratie etwas gesagt wird. Nun,
wenn man die Thronrede vom Anfang bis
zum Ende nahm, bloß ihrem äußeren
wortwörtlichen Inhalte nach — es war
eine schöne Leistung,
feuilletonistisch, wenn man sich bloß
an dem Stil, an der Gestaltung der
Sätze, wie sie das menschliche
Wohlgefallen hervorrufen wollen,
erfreuen will. Schön. Aber man sehe
die Wahrheit. Da muß man das, was
wortwörtlich ist, hineinstellen in
sein Milieu. Da muß man fragen: Wer
redet das? In welcher Umgebung redet
er das? Und da sieht man im uralten
Krönungsornat, von allem möglichen
prunkend und von allem möglichen
glänzend, den mittelalterlichen
Herrscher stehen, nicht einmal es
verbergend vor dem, was in seinem
Elaborat steht, umgeben von seinen
glänzenden, goldbetreßten Paladinen;
das ganz Mittelalterliche, das, wenn
es wahr gesprochen hat, anders
gesprochen hat als von Demokratie! Was
ist das Reden von Demokratie, wenn es
noch so schön ist, wortwörtlich, in
einem solchen Elaborat? Eine
weltgeschichtliche Lüge!
Man muß von dem
wortwörtlichen Inhalt der heutigen
Dinge zurückgehen bis zur Anschauung
der Wirklichkeit. Man muß nicht bloß
mit dem Intellekt die Dinge auffassen,
man muß eingehen auf die Anschauungen.
Gerade das ist es, was
Geisteswissenschaft fordert. Nicht
ungestraft verkennt man die äußere
Wirklichkeit. Wer richtig im
geisteswissenschaftlichen Sinne, wie
es hier gemeint ist, die geistige
Wirklichkeit erkennen will, nur die
geistige Welt sehen will, der muß sich
vor allen Dingen absoluteste Wahrheit
in der Sinneswelt angewöhnen: keiner
Täuschung sich hinzugeben über
dasjenige, was um ihn herum für seine
fünf Sinne vorgeht. Gerade wer in den
Geist eindringen will, muß seine
gesunden fünf Sinne in Wahrheit
anwenden, sich nicht der Phantasterei
hingeben, der sich gerade sogenannte
Geschäftsleute, viele Praktiker
hingeben, die viel verehrt werden, der
sich fast die ganze Welt hingibt.
Was wir brauchen, ist
nicht ein wehleidiges Jammern, daß die
Menschen nicht reif seien, was wir
brauchen, ist ein Hinweisen darauf,
wie wir wahr, innerlichst wahr werden
müssen. Dann wird auch nicht das
unwahre Gerede von dem Geiste und
immer wiederum dem Geiste durch die
Welt tönen. Dann wird auch nicht
dieses unwahre Gerede von dem
Unterschiede zwischen Recht und Moral
durch die Welt tönen, sondern dann
wird etwas tönen von einer Arbeit, die
sich den Geist erarbeiten soll. Dann
wird etwas tönen von dem, wie, wenn
der Geist erarbeitet wird, die
Menschen in einem solchen
Zusammenhange leben werden, daß sie
auch unter sich das gleiche Recht
finden werden, und dann erst wird man
davon reden können, wie die
durchgeistigte und durchrechtete
Wirtschaft eine wirkliche
Gemeingesellschaft wird begründen
können. Das ist viel notwendiger, daß
man einsähe: es sind genügend Menschen
da, die sich wenigstens nur innerlich
zusammennehmen, solche Hinweise in
sich selber begreifen zu können. Man
soll nur nicht müde werden, diese
Dinge immer wieder und wieder zu
betonen. Man soll nur nicht glauben,
daß wenn man sagt: Der Geist soll
herrschen —, dieser Geist durch
irgendeinen Zauber in die Welt kommen
werde. Nein, durch die menschliche
Geistesarbeit allein kann dieser Geist
in die Welt kommen. Auch in dieser
Beziehung handelt es sich darum, daß
man wahr werde, daß man nicht immer
wieder die Unwahrheit hinaustönen läßt
in die Welt, Geist müsse sein, sondern
die Wahrheit hinaustönen läßt: Geist
wird nur sein, wenn Stätten da sind,
in denen nicht bloß über die äußere
Natur, nicht bloß im Sinne des
Materialismus gearbeitet wird, sondern
in denen eine Geistanschauung
erarbeitet wird.
Aus dieser
Geistanschauung aber wird -- das
glaube ich, gerade in diesen Vorträgen
gezeigt zu haben, die ja nur ein
Versuch sein sollen, ein schwacher
Versuch — hervorgehen auch ein
wirkliches soziales Verständnis der
Lebensgewohnheiten der Menschheit in
der Gegenwart und in der nächsten
Zukunft. Daß die Menschen gerade in
bezug auf das Geistige und in bezug
auf das geistige Streben wahr werden,
darum handelt es sich. Denn der Geist
kann nur auf dem Wege der Wahrheit
gefunden werden.
Es ist nur eine
Ausrede, wenn man sagt: Ja, die
Menschen wissen es nicht. — Beim
Geistesstreben handelt es sich darum,
daß, wenn der Lüge unbewußt gefolgt
wird, diese Lüge ebenso schädlich in
der Welt wirkt, wie wenn ihr bewußt
gefolgt wird. Denn der Mensch hat in
der Gegenwart die Verpflichtung, das
Unterbewußte heraufzuheben, um die
Unwahrheit auf allen Gebieten, auch
auf dem Gebiete des Unterbewußten,
auszutilgen.
Fragenbeantwortung
nach dem sechsten Vortrag
Zunächst ist hier eine
Frage gestellt:
Wie stellt sich Herr
Dr. Steiner zur Zinswirtschaft und zum
arbeitslosen Einkommen?
Ich habe -- nicht in
polemischer Form, aber in aufbauender
Form — ja darüber gehandelt in meinem
Buche «Die Kernpunkte der sozialen
Frage». Mir ist vielfach vorgeworfen
worden, daß der Zins nicht ganz
geschwunden sei aus dem, was mir als
soziale Struktur der menschlichen
Gesellschaft vorschwebt. Nun scheint
es mir, daß es ehrlicher ist, auf den
Boden der Wirklichkeit sich zu stellen
und das Mögliche und Notwendige
wirklich zu betonen, als auf
irgendeinen nebulosen Boden, auf dem
man bloß Forderungen aufstellt. Ich
habe in meinen «Kern punkten der
sozialen Frage» versucht zu zeigen,
daß ja durchaus das Arbeiten mit
Kapital notwendig ist. Man kann nicht
ohne Kapitalansammlungen große
Betriebe schaffen, überhaupt im
heutigen Sinne keine Volkswirtschaft
zustande bringen. Ob nun dieses
Kapital in Geldform gedacht wird oder
in anderer Form, das ist ja eine Sache
für sich.
Die meisten Menschen
begehen, indem sie sich über die
soziale Frage hermachen, sehr häufig
den Fehler, daß sie nur die Gegenwart
gewisser maßen wie einen einzigen
Augenblick ins Auge fassen und für
diesen einzigen Augenblick nachdenken:
Wie ist da das Wirtschaftsleben zu
gestalten? — Aber wirtschaften heißt
zu gleicher Zeit, mit dem in einem
gewissen Zeitpunkt Gewirtschafteten
eine Grundlage für das Wirtschaften
der Zukunft schaffen. Ohne daß man
irgendwie eine Grundlage für die
Zukunft schafft, würde man die
Kontinuität des Wirtschaftslebens
nicht aufrechterhalten können, das
Wirtschaftsleben würde immer abreißen.
Das begründet aber nicht Zins aus
Zinserträgnissen, wohl aber
Zinserträgnis, weil die Möglichkeit
bestehen muß, daß immer in irgendeinem
Zeitpunkt so viel gearbeitet wird, daß
aus dieser Arbeit Leistungen
entstehen, die auch einer zukünftigen
Arbeit wieder dienen können. Das ist
nicht zu denken, ohne daß der
Betreffende für das, was er für die
Zukunft leistet, eine Art von
Äquivalent erhält, und das würde eine
Art von Zins bedeuten. Ich hätte es
auch anders nennen können, wenn ich
hätte schmeicheln gewollt denen, die
heute wettern über Zins im Einkommen.
Aber es schien mir ehrlicher, die
Sache so zu benennen, wie sie in der
Wirklichkeit ist. Es ist notwendig,
daß diejenigen, welche irgend etwas
dazu beisteuern -- das wird ja der
einfachste Ausdruck für komplizierte
Vorgänge sein — dazu, daß Kapital
angesammelt, verwendet werden kann,
daß diese ihre Arbeit, die sie aus der
Vergangenheit, aus der Gegenwart her
in die Zukunft leisten, auf diese
Weise in die Zukunft vergütet
erhalten. Zins in der Form, wie ich es
schildere in meinen «Kernpunkten der
sozialen Frage», ist nichts anderes
als Vergütung desjenigen, was in der
Gegenwart geleistet worden ist, für
die Zukunft.
Nun, bei solchen Dingen
kommt aber natürlich immer in
Betracht, was sonst im sozialen
Organismus als ein notwendiges Glied
mitenthalten ist. Es kommt beim
Menschen zum Beispiel darauf an, daß
er alle seine Glieder hat, denn sie
wirken alle zusammen. So kann man ein
Glied auch nur verstehen aus dem
gesamten Menschen heraus. So ist es
auch im sozialen Organismus, daß man
das Einzelne nur aus dem Ganzen
verstehen kann. Wenn Sie sich an das
erinnern können, was ich mit Bezug
darauf auseinandergesetzt habe, wie
aufzufassen ist das Verhältnis des
Bearbeitens von Produktionsmitteln, so
werden Sie sehen, daß es sich dabei
darum handelt, daß Produktionsmittel
nur so lange etwas kosten, nur so
lange verkäuflich sind, als sie nicht
fertig sind. Sind sie fertig, bleiben
sie allerdings bei dem, der die
Fähigkeit hat, sie fertig zu bringen;
dann aber gehen sie durch rechtliche
Verhältnisse über, sind also nicht
mehr verkäuflich. Dadurch wird auch
für das Geldvermögen eine ganz
bestimmte Wirkung herauskommen. Es
kommt nicht darauf an, daß man Gesetze
macht, das Geld solle keine Zinsen
tragen, sondern es kommt darauf an,
daß Ergebnisse herauskommen, die dem
sozialen Organismus entsprechen.
Dadurch wird das, was
als Geldvermögen existiert, einen
ähnlichen Charakter bekommen wie
andere Güter. Andere Güter
unterscheiden sich heute vom Gelde
dadurch, daß sie zugrunde gehen oder
verbraucht werden; das Geld aber
braucht nicht zugrunde zu gehen. Über
längere Zeiträume geht es ja auch
zugrunde, aber in kürzeren
Zeiträumen nicht. Daher
glauben manche Leute, auch in längeren
Zeiträumen halte es sich.
Es hat sogar Menschen
gegeben, die haben Testamente gemacht,
daß sie irgendeiner Stadt das oder
jenes vermacht haben. Dann haben sie
ausgerechnet, wieviel das nach ein
paar Jahrhunderten ist. Das sind so
große Summen, daß man dann damit die
Staatsschulden eines sehr stark
verschuldeten Staates zahlen könnte.
Aber der Witz ist nur der, daß es dann
nicht mehr da ist, weil es unmöglich
ist, über so lange Zeiten das Geld in
der Verzinsung zu erhalten. Dafür aber
ist die regelrechte Verzinsung für
kürzere Zeit aufrechtzuerhalten. Aber
wenn im volkswirtschaftlichen Prozeß
das einträte, daß tatsächlich
Produktionsmittel nichts mehr kosten,
wenn sie da sind, Grund und Boden
tatsächlich Rechtsobjekte werden —
nicht ein Kaufobjekt, nicht ein
Wirtschafts Zirkulationsobjekt —, dann
tritt für das Geldvermögen ein, daß
es, ich habe es öfter ausgedrückt,
nach einer bestimmten Zeit anfängt
einen üblen Geruch zu haben, wie
Speisen, die verdorben sind und einen
üblen Geruch haben, nicht mehr
brauchbar sind. Einfach durch den
wirtschaftlichen Prozeß selber stellt
es sich heraus, daß Geld seinen Wert
verliert nach einem bestimmten
Zeitraume, der durchaus nicht etwa
ungerecht kurz ist; aber es ist eben
so. Dadurch sehen Sie, wie sehr dieser
Impuls für den dreigliederigen
sozialen Organismus aus den Realitäten
heraus gedacht ist. Wenn Sie Gesetze
geben, so geben Sie Abstraktionen,
durch die Sie die Wirklichkeit
beherrschen wollen. Denken Sie über
die Wirklichkeit, so wollen Sie die
Wirklichkeit so gestalten, daß sich
die Dinge so ergeben, wie sie dem
tieferen Bewußtsein des Menschen
entsprechen.
Ebenso ist in einem
solchen Organismus, wie ich ihn denke,
durchaus nicht das arbeitslose
Einkommen als solches enthalten. Nur
muß man über diese Dinge auch klare
Begriffe haben. Was ist denn
schließlich ein arbeitsloses
Einkommen? In diesem Begriff
«arbeitsloses Einkommen» steckt ja
sehr, sehr viel von Unklarheiten
drinnen, und mit unklaren Begriffen
kann man wahrhaftig keine Reformen
durchführen. Sehen Sie, für
denjenigen, der «Arbeit» bloß
Holzhacken nennt, für den ist ganz
sicher ein arbeitsloses Einkommen
dasjenige, was jemand für ein Bild
erhält, das er malt, und dergleichen.
Es ist nur etwas radikal aus
gesprochen, aber so wird oftmals das
sogenannte «arbeitslose Einkommen»
durchaus beurteilt. Es setzt sich das,
was wirtschaftliche Werte begründet,
eben aus verschiedenen Faktoren im
Leben zusammen. Es setzt sich zusammen
erstens aus den Fähigkeiten der
Menschen, zweitens aus der Arbeit,
drittens aber auch aus
Konstellationen, und es ist einer der
größten Irrtümer, wenn man gar
definiert hat, daß irgendein Gut, das
in der wirtschaftlichen Zirkulation
ist, nur «kristallisierte Arbeit» sei.
Das ist es durchaus nicht.
Über Arbeit habe ich mich ja in diesen
Vorträgen ausgesprochen. Es kommt also
darauf an, daß man überhaupt den
Begriff der Arbeit nicht in
irgendeiner Weise zusammen bringt, wie
er heute vielfach zusammengebracht
wird, mit dem Begriff des Einkommens.
Sein Einkommen bekommt ja ein Mensch
wahrhaftig nicht bloß dafür, daß er
ißt und trinkt oder sonst irgendwelche
leiblichen oder seelischen Bedürfnisse
befriedigt, sondern auch dafür, daß er
für andere Menschen arbeitet. Also es
ist der wirtschaftliche Prozeß ein
viel zu komplizierter, als daß man ihn
mit so einfachen Begriffen sollte
umfassen wollen.
Leitet der
Referent auch das überbewußte,
Trancezustände, Erleuchtung und so
weiter aus dem Egoismus her?
Nun, ich habe ja wohl
deutlich bemerkbar gemacht, daß
dasjenige, was ich die Quellen der
geistigen Anschauung nenne, zwar den
Weg macht, den die Dinge machen, die
aus dem Egoismus kommen; aber wenn
zwei denselben Weg machen, so brauchen
sie ja doch deshalb nicht aus
demselben herzukommen. Es geht beides
durch das Innere des Menschen; aber
das eine steigt aus objektiven Tiefen,
habe ich gesagt, hervor und steigt zu
objektiven Höhen empor. Nur möchte ich
auch nicht mißverstanden sein.
Trancezustände sind ganz und gar kein
Überbewußtes, sondern durchaus ein
Unterbewußtes, ein sehr Unterbewußtes,
viel unterbewußter als zum Beispiel
irgendwelche Emotionen und
dergleichen. Und manches, was man
«Erleuchtungen» nennt, was so von
selber kommt, das ist zumeist auch ein
sehr, sehr Unterbewußtes. Was ich als
Überbewußtes auffassen würde, das
finden Sie geschildert in meinem Buche
«Wie erlangt man Erkenntnisse der
höheren Welten?».
Wie begründet der
Vortragende die im gestrigen
Diskussionsvotum geäußerte, von der
Auffassung der modernen
Nationalökonomie abweichende
Ansicht, wonach nur der Grund und
Boden produktiv sei? Liegt diesem
Ausspruch etwa nur eine andere
Umschreibung des Begriffes der
Produktion, der Produktivität
zugrunde?
Ich habe nicht, glaube
ich, irgendwie auch nur Veranlassung
gegeben dazu, zu glauben, daß meine
Meinung dahin gehe, daß nur der Grund
und Boden produktiv sei. Mit diesem
Begriff «produktiv», «unproduktiv» und
dergleichen ist es nicht ganz
produktiv, viel zu wirtschaften,
sondern es handelt sich bei den Dingen
doch mehr darum, daß man nicht zu
stark auf fertiggemachte Begriffe
eingehe. Die Menschen reden heute viel
zu sehr in Worten. Es kommt nicht
darauf an, daß man solche Definitionen
gebe, irgend etwas sei produktiv oder
unproduktiv; da kommt es immer darauf
an, wie man das produktiv oder
unproduktiv auffaßt; sondern darauf
kommt es an, daß man die Verhältnisse
nach Zusammenhängen wirklich
schildert. Und da versuchte ich
gestern zu schildern, wie anders sich
der Grund und Boden hineinstellt in
den nationalökonomischen Prozeß, als
zum Beispiel die industrielle
Produktion. Auf solche Schilderung,
auf Charakteristik kommt es an. Wenn
man nur einmal sich klar werden
wollte, wieviel dadurch Schaden
angerichtet wird, namentlich in den
Wissenschaften, daß man sich zu sehr
an solche Definitionen oder
Begriffsbestimmungen hält! Was man
beschreibt, dafür braucht man ja nicht
Begriffsbestimmungen. Es herrscht
heute vielfach die Unsitte, daß jemand
sagt, er sei über das oder jenes
dieser oder jener Ansicht. Da muß man
sich erst verständigen darüber, was er
nun unter diesem Prädikat versteht.
Wahrscheinlich nach langem
Verständigen wird er darauf kommen,
daß er dasselbe meint wie der andere.
Was zur wirklichen Produktion führt,
wenn ich das Produktion nennen will,
was zu einem wirklichen Konsum führt,
wenn ich darüber spreche, so muß ich
ja alle einzelnen Faktoren, von dem
allerelementarsten bis zu dem
kompliziertesten, ins Auge fassen.
Da wird es zum Beispiel
sehr schwierig, aufzusteigen von dem,
was man doch — allerdings in einem
etwas weiteren Sinne die Wirtschaft
der Tiere nennen könnte. Die Tiere
essen und trinken ja auch. Also die
haben, insofern sie nicht gezähmt
sind, auch eine Art Wirtschaftsleben.
Aber sie genießen in der Regel, was
sie sich nicht sehr stark zuzubereiten
brauchen. Die meisten Tiere nehmen,
was schon da ist. Nun, für die ist die
Natur produktiv, wenn wir den Ausdruck
produktiv anwenden wollen. Vieles von
dem, was der Mensch genießt, gehört ja
auch auf diesen Boden. Wenn er
schließlich Obst genießt, so ist das
nicht viel entfernt -- nur durch
Verkehrs- und Besitzverhältnisse und
dergleichen entfernt — von der Art der
Wirtschaft der Tiere, bei denen man
aber sogar auch Ansätze zu
Besitzverhältnissen finden könnte. Nun
handelt es sich darum, jetzt weiter
den Prozeß zu verfolgen, zu verfolgen,
wie der Mensch anfängt, dasjenige, was
von der Natur hergegeben ist, zuerst
zu verarbeiten, dann durch den Verkehr
weiter in die Zirkulation zu bringen
und so fort. Da beginnt eine
Fortsetzung des Begriffes, der bei der
Natur anfängt. Dann kommt man zu
demjenigen, was Produktion für den
äußersten Luxus ist, was nicht mehr
wirklichen Bedürfnissen entspricht,
das heißt, gerechtfertigten oder
vernünftigen Bedürfnissen entspricht.
Ja, den Begriff, das sei produktiv
oder nicht produktiv, irgendwie zu
begrenzen, das ist durchaus etwas, was
im Grunde genommen zuerst ins Nebulose
führt. Selbstverständlich kann man,
wenn man es liebt, sich in solchen
nebulosen Begriffen zu bewegen, lange
darüber diskutieren, wie die
Physiokraten gemeint haben, daß nur
die Bearbeitung des Bodens produktiv
sei. Man kann dagegensetzen: Auch wenn
jemand Handel treibt, so ist das
produktiv, und kann sehr schöne
Beweise dafür erbringen. Der Fehler
ist der, daß man eine Definition
aufstellt: Das ist unproduktiv, das
ist produktiv! — sondern man muß den
ganzen Vorgang des Wirtschaftslebens
wirklich sachgemäß überschauen können.
Also ich bitte, dies
was ich vorgebracht habe, nicht so
aufzufassen, als wenn es auch
hineinfallen sollte in eine solche Art
des Definierens, sondern es sollte
eine sachgemäße Schilderung dessen
sein, was im Wirtschaftsleben wirklich
vorgeht. Und da glaube ich, in der Tat
hingewiesen zu haben auf einen
sachlichen Unterschied, wie sich in
den Wirtschaftsprozeß anders
hineinstellt Grund und Boden als zum
Beispiel, sagen wir, industrielle
Produktionsmittel, Maschinen und
dergleichen. Aber auch anders stellt
sich in den Wirtschaftsprozeß hinein,
was auf der Grundlage des Grund und
Bodens ist, als zum Beispiel der
Handel. Man braucht weder einseitiger
Merkantilist zu sein, noch einseitiger
Physiokrat. Man wird einsehen müssen,
daß in dem Augenblick, wo man
versessen ist auf solche Dinge wie
«produktiv», «unproduktiv», dann eben
solche einseitigen Ansichten wie
Merkantilismus, Physiokratismus und so
weiter zustande kommen. Das sollte
gerade hier vertreten worden sein: daß
man sich nicht auf Einseitigkeiten
stellt, sondern auf Allseitigkeit
stellt.
Nun wurde noch
eine Frage gestellt:
Daß Altruismus,
Egoismus, Liebe, psychologisch
aufgefaßt, im Grunde genommen ein
und dasselbe sind, und daß daher das
eine oder das andere nicht
überwunden zu werden braucht.
Ja, inwiefern der
Begriff des Überwindens ein falscher
ist, habe ich ja im Vortrage selber
ausgeführt. Aber es ist eine große
Gefahr, wenn man diesen Begriff der
Einheit von allem möglichen aus dem
Konkreten ins Abstrakte hineintreibt.
Da handelt es sich nur dann wieder um
darum, was man für eine Abstraktion im
Auge hat. Sehen Sie, man muß sich klar
darüber sein, daß man, wenn man im
Abstrakten stehen bleibt — und dieser
Frage liegt eine sehr abstrakte
Denkweise zugrunde —, dann im Grunde
genommen mit der einen Behauptung
Recht hat und auch mit der
entgegengesetzten Behauptung Recht
hat. Menschen, die im Konkreten
denken, die wissen den Ausspruch Goethes
sehr zu schätzen: Man kann
eigentlich die Wahrheit nicht
unmittelbar in einem Worte oder in
einem Satze aussprechen, sondern man
spricht das eine aus, spricht das
andere aus, und die Wahrheit wird am
Problem gewonnen, das zwischen beiden
liegt. Man muß dann ein lebendiges
Verhältnis zur Wahrheit gewinnen
können.
Es gibt Leute, die sind
als Mystiker darauf versessen, zu
definieren: sie tragen Gott in sich
selber; der Gott sei im Inneren des
Menschen, das Göttliche sei im Inneren
des Menschen. Sie finden dies als die
einzig mögliche Definition. Andere
finden diese Definition ganz falsch;
sie sagen: Gott erfüllt alles und wir
als Menschen sind in Gott. Ja, es gibt
genau ebenso gute Beweise für das
eine, wie es gute Beweise gibt für das
andere. Aber da gilt eben der
Goethesche Satz: Die Wahrheit liegt
mitten drinnen zwischen den
entgegengesetzten Behauptungen,
geradeso wie der wirkliche Baum mitten
drinnen liegt zwischen zwei
photographischen Aufnahmen, die ich
von der einen oder von der anderen
Seite mache. In dieser Beziehung muß
man geradezu auf die Gefahren des
einseitigen Denkens hinweisen. Es
kommt gar nicht darauf an, ob jemand
sagt, Altruismus, Egoismus, Liebe
seien ein und dasselbe, und deshalb
braucht es nicht überwunden zu werden.
Wie gesagt, wie es mit dem Überwinden
steht, habe ich ja im Vortrag selber
auseinandergesetzt. Aber darum handelt
es sich, daß man wirklich, wenn so
etwas auseinanderzusetzen ist,
versucht, wie ich es immer tue, die
Sätze sorgfältig zu formulieren. Ich
habe durchaus hier nicht irgendwie
behauptet, daß man nicht, wenn man
nach einer gewissen Einheit hinstrebt,
zu einer Vereinheitlichung von
Egoismus und Liebe oder Egoismus und
Altruismus kommen könne. Man braucht
nur bis zu dem nötigen Abstraktum
aufzusteigen, dann kommt man dazu.
Aber im äußerlichen konkreten Leben
unterscheiden sich Egoismus und
Altruismus eben doch so, daß man sagen
kann, wie ich im Vortrage gesagt habe,
bewußt gesagt habe: sie sind die zwei
Antriebe, aus denen der Mensch heraus
handelt. Wenn ich sage, da oben auf
diesem oder jenem Berge, da ist eine
Quelle, und zwei Stunden davon, da ist
eine andere Quelle, aus diesen zwei
Quellen wird die Wasserleitung von
irgendeinem Orte gespeist, so läßt
sich dieses vergleichen mit dem, was
ich heute gesagt habe über Egoismus
und Liebe. Ich habe auf die zwei
Quellen hingewiesen. Dann darf niemand
hinweisen und sagen: Ja, sieh einmal,
in der einen Quelle ist Wasser, in der
anderen auch, es ist ja dasselbe. — Es
handelt sich darum, daß, wenn man
pedantisch auf das Abstraktum besteht,
man überall dasselbe sehen kann.
Aber gerade beim
Einheitsuchen handelt es sich darum,
daß man zum Beispiel so etwas versteht
wie die Goethesche Metamorphose. Wenn
man die Goethesche Metamorphose
verfolgt, so weiß man, wie Goethe
zeigt, daß das grüne Pflanzenblatt und
das rote Blumenblatt ein und dasselbe
ist, nur das eine umgewandelt aus dem
anderen. Aber er weiß zu gleicher
Zeit, daß die beiden, indem sie
dasselbe sind, zu gleicher Zeit ein
Mannigfaltiges, ein Verschiedenes, ein
unendlich Gestaltetes sind. Darauf
kommt es an, daß man sich im
Einheitsuchen immer bewußt werde, wie
im konkreten Leben das Einheitliche
immer zur Vielheit hin variiert, und
daß man im Streben nach Einheit wissen
muß, nicht die Vielheit zu übersehen.
Es gibt eine
Gesellschaft, die sich die
«Theosophische Gesellschaft» nennt.
Die Theosophische Gesellschaft spricht
davon, daß sie die Einheit in allen
Religionsbekenntnissen suche. Alle
Religionsbekenntnisse entspringen aus
den anderen heraus, seien im Grunde
genommen ein und dasselbe. Sie lehrt,
alle Religionsbekenntnisse enthalten
ein und dasselbe. Mir ist diese
Behauptung immer erschienen, wie wenn
jemand behauptet, er wolle das, was
auf dem Tisch steht, nur nach seiner
Einheit charakterisieren. Man braucht
nur eine Abstraktion zu wählen, sagen
wir «Speisezusatz», Speisezusatz: das
ist Salz, das ist Pfeffer, das ist
auch Paprika. Ja, gewiß, alles ist ein
und dasselbe, nämlich Speise-Zusatz.
Aber wenn man, statt daß man die Suppe
salzt, sagt: Oh, es ist dasselbe,
Speisezusatz, wenn ich Pfeffer nehme
—, so werden Sie nicht sehr zufrieden
damit sein. So handelt es sich auch
darum, daß man nicht eine solche
Einheit, wie die, die von der
Theosophischen Gesellschaft dogmatisch
tradiert wird, als: Alle
Religionsbekenntnisse enthalten ein
und dasselbe — hinnimmt. Mir erschien
immer diese Einheit der Religionen der
Theosophischen Gesellschaft wie die
Behauptung: Pfeffer, Salz und Paprika
seien ein und dasselbe.
Wie gesagt, ich erkenne
durchaus an das berechtigte Streben
nach Einheit. Aber dieses berechtigte
Streben nach Einheit darf nicht zum
Abstrahieren von der Wirklichkeit
kommen.
Nun ist noch eine
Frage hier.
Turmbau von Baden.
Es gehört Nationales zu allem
geistig und kulturell Bedeutenden.
Alle Religionen sind den Rassen
angepaßt. Die Veranlagung der
verschiedenen Nationen, Rassen für
Kunst und Wissenschaft ist
verschieden. Die Sprache und alle
Äußerlichkeiten der Umgebung zwingen
zu einer Ausdrucksform. Das
Wesentliche ist immer international,
die Form immer nationale Kunst. Am
internationalsten die Musik. Liebe
Deinen Nächsten wie Dich selbst.
Nun weiß ich eigentlich
nicht recht, was ich mit dieser Frage
machen soll. Denn einen «Turmbau von
Baden» — ich kenne wohl einen Turmbau
von Babel, nicht aber einen von Baden.
Ich weiß nicht, ob es hier in Baden
etwa auch einen Turmbau gibt?
«Es gehört Nationales
zu allem geistig und kulturell
Bedeutenden.» Ja, gewiß, das kann man
sagen: aber ich weiß nicht, wie es zu
dem heutigen Vortrage kommt.
«Alle Religionen sind
den Rassen angepaßt. Die Veranlagung
der verschiedenen Nationen, Rassen»,
das sind zwei verschiedene Dinge, «für
Kunst und Wissenschaft ist
verschieden.» Gewiß.
«Die Sprache und alle
Äußerlichkeiten der Umgebung zwingen
zu einer Ausdrucksform. Das
Wesentliche ist immer international
... » Ja, das Wesentliche des
Internationalen, das muß man erst
suchen; denn wenn das Wesentliche
wirklich da wäre, dann wäre nicht so
viel Anti Internationales unter den
Menschen. Das ist natürlich durchaus
zu berücksichtigen.
«... die Form immer
nationale Kunst. Am internationalsten
die Musik.» Ich habe das, was hier
zugrunde liegt, im Vortrage leise
angedeutet, indem ich gesagt habe, die
Phantasie prägt sich national aus,
allerdings auf gewissen Gebieten der
Kunst nur in gewissen Nuancierungen.
Aber die Nuancierungen wird derjenige,
der für dieses Verständnis hat, schon
auch in der Musik finden. Er wird
finden, daß auch da, wo scheinbar ganz
Internationales ist, auch ein
Nationales drinnen liegt, und wenn es
nur darinnen besteht, daß das eine
Volk einfach mehr musikalisch ist als
das andere, und international
verstanden werden kann, wenn es auch
nur bei einem einzelnen Volke
hervorgebracht werden konnte.
Aber das, worum es sich
handelt, ist, daß man nun irgendeinen
Inhalt im Menschen selbst findet, in
jedem Menschen befindliches geistig
Anschaubares, das so international
wirken kann, wie ich es im Vortrage
dargestellt habe.
Nun, damit sind die
heutigen Fragen, wie ich glaube,
erschöpft, und ich glaube auch, daß
der Abend soweit vorgeschritten ist,
daß ich nicht eine ausführliche
Schlußrede halten möchte. Aber das
eine möchte ich nur noch in fünf
Worten hervorheben: daß es mir
besonders daran gelegen wäre, wenn
diese Vorträge daraufhin geprüft
würden, inwiefern sie nicht irgend
etwas Ausgedachtes, Programmatisches
sind, sondern inwiefern sie nur der
Versuch sind, der anfängliche Versuch
allerdings, aus dem Leben selbst
heraus eine soziale Idee oder eine
Summe von sozialen Ideen zu gewinnen.
Ja, solche Ideen, die
als praktisch wirksame Kräfte dem
Leben abgelauscht sind, die stellen
geradezu das dar, was überall auf
allen Gebieten aus dem herausgeboren
werden kann, was ich Ihnen hier als
eigentliche Geistesanschauung
charakterisiert habe. Ich weiß, daß
vieles, was man heute als
Geistesanschauung charakterisiert,
verwechselt wird, wie ich schon in den
Vorträgen andeutete, mit dem, was hier
gerade als Geistesanschauung gemeint
ist. Aber es verlohnte sich viel
leicht doch, gerade auf den
Wirklichkeitscharakter dieser
Geistesanschauung einmal einzugehen.
Ich habe, als der Zeitpunkt heran
getreten war im Verlaufe dieser
furchtbaren Kriegskatastrophe, wo man
glauben konnte, daß aus der Not der
Zeit heraus etwas eingesehen werden
könnte von dem, was sich aus
Menschentiefen an die Oberfläche
ringen will, manche verantwortlichen
Menschen aufmerksam gemacht auf
dasjenige, was eigentlich die Zeit
fordert, und habe, bevor ich in die
Öffentlichkeit getreten bin, vor
Jahren, in den schweren Jahren, zu
manchem gesprochen von dieser
Dreigliederung, in dem vollen
Bewußtsein, was es für eine Wirkung
haben müßte, wenn aus solchem Geiste
heraus der Versuch gemacht worden
wäre, diesem schrecklichen Morden
beizukommen, es mildernd, es endend.
Und ich habe dazumal gesagt:
Wenigstens liegt die Bemühung vor, mit
dem, was in diesem Impulse gemeint
ist, nicht irgendeine programmatische
Idee zu geben, sondern dasjenige, was
sich in den nächsten dreißig oder
zwanzig oder fünfzehn Jahren, sogar
zehn Jahren verwirklichen will. Und
ich sagte manchem: Man kann ja heute,
wenn man will, solche Dinge ableugnen,
man kann zu bequem dazu sein. Aber wer
es mit dem Leben ernst nimmt, der
sollte sich sagen: Man habe die Wahl,
entweder Vernunft anzunehmen oder
traurigen Zeiten der Revolutionen und
sozialen Kataklysmen entgegenzugehen.
— Das sagte ich in Zeiten, in denen
diese neueren Revolutionen, auch die
russische, noch lange nicht
heraufgekommen waren.
Und es handelt sich
immer darum, daß es schon den Menschen
auferlegt ist, nicht schlafend in den
Tag hineinzuleben, sondern sich über
die Art, wie es weitergehen kann,
Vorstellungen zu machen. Denn der
Mensch hat ja das voraus vor anderen
Erdenwesen, daß er mit einer gewissen
Voraussicht zu handeln berufen ist.
Aber man kann nur mit einer gewissen
Voraussicht in das Handeln eingreifen,
wenn man einen Instinkt für das
wirklich Mögliche hat. Hat man einen
wirklichen Instinkt für das Mögliche
gehabt in der Zeit der ersten Hälfte
des Jahres 1914 auf dem Gebiete der
zivilisierten Welt? Ich habe Ihnen
Beispiele angeführt in einer der
früheren Diskussionen, was die Leute
gesagt haben über das, was kommen
werde. Dann ist das große Morden
gekommen. Müßten nicht die Menschen
von den Tatsachen lernen?
Nun, das ist gerade die
gegenwärtige Aufgabe der Menschen: von
den Ereignissen zu lernen. Denn die
Ereignisse zeigen durch die Größe,
durch die Schnelligkeit, mit der sie
sich abwickeln, daß die Menschen von
ihnen lernen sollen, daß die Menschen
gewisse Ereignisse als Zeichen der
Zeit auffassen sollen. Sonst könnte
etwas eintreten, was in bezug auf
viele Dinge in den letzten Jahren
eingetreten ist. Manches hat die Leute
so getroffen, daß sie gesagt haben:
Hätten wir das früher gewußt — jetzt
ist es zu spät. — Aber es ist nicht
immer nötig, zu warten, bis es zu spät
ist!
In der Gesinnung werden
insbesondere die Ideen von der
Dreigliederung des sozialen Organismus
vorgetragen. Und so, wie es hier
versucht wird, wie es in unserer
Zeitschrift hier in der Schweiz, der
«Sozialen Zukunft» versucht wird, wie
es in meinen «Kernpunkten der sozialen
Frage» versucht worden ist: aus der
Gesinnung heraus werden sie
vorgetragen, daß sie begriffen,
aufgefaßt werden mögen, genommen
werden mögen zum praktischen Handeln,
ehe es zu spät ist. Damit man über
wichtige Dinge des Lebens nicht später
wird sagen müssen, es sei zu spät,
deshalb rüttle man sich auf und
versuche zu ergründen, ob in diesen
Dingen, die hier vorgetragen worden
sind, nur Gedanken sind, oder ob es
Extrakt der Wirklichkeit ist.
Ich betone immer
wieder: Es ist ein schwacher Versuch.
Aber ich glaube doch: Wird dieser
schwache Versuch von einer genügend
großen Anzahl von Menschen
aufgenommen, dann wird er vielleicht
etwas viel Gescheiteres, als ein
einzelner aus ihm machen kann. Aber er
müßte aufgenommen werden, und
er kann aufgenommen werden, denn er
ist aus der Wirklichkeit und kann aus
der Wirklichkeit erprobt werden.
Diese paar Worte wollte ich zu dem
Gesagten noch hinzufügen.
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