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Collection: GA328 OEUVRES COMPLETES DE RUDOLF STEINER – CONFÉRENCES SUR LA VIE SOCIALE ET LA TRIARTICULATION DE L'ORGANISME SOCIAL - La question sociale



Première conférence
Zurich, 3 février 1919

La forme réelle de la question sociale, saisie des nécessités de la vie de l'humanité présente sur la base de recherches en sciences de l'esprit.

ERSTER VORTRAG
Zürich, 3. Februar 1919

Die wirkliche Gestalt der sozialen Frage, erfaßt aus den Lebensnotwendigkeiten der gegenwärtigen Menschheit auf Grund geisteswissenschaftlicher Untersuchung.

 


 

Les références Rudolf Steiner Oeuvres complètes GA328 (007-023) 1977 03/02/1919

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Original





Traducteur: FG Editeur: SITE

Ce qui s'inclut aujourd'hui dans le mot question sociale est quelque chose qui occupe intensivement l'humanité pensante pour une grande part depuis des décennies, elle occupe parce qu'aujourd'hui, on peut dire que cette question sociale n'est pas seulement pressante pour l'évolution de l'humanité mais elle est devenue brûlante. Mais on a le droit dire qu'en particulier la terrible catastrophe guerrière qui a éclatée dans l'humanité dans les dernières années et a aussi jetée sa lumière sinistre tout de suite sur ce qu'on nomme la question sociale et avec cela le mouvement d'humanité en dépendant dans le présent immédiat.

Parce que je dois placer l'énigme sociale dans tout le mouvement historique des temps récents, j'aurais à parler dans les prochaines conférences sur maintes choses, lesquelles sont en rapport avec cause et déroulement de la terrible catastrophe guerrière. Dans ces exposés introductifs j'aimerais seulement rendre attentif à cela comme déjà au point de départ de la guerre se montrait l'entrée en force de la question sociale dans ces émotions de peur qui sont clairement à percevoir chez ceux qui se tenaient au point de départ de cette guerre.
Certainement beaucoup serait devenu autre en l'année 1914 si ceux qui ici ou là on eu d'importantes décisions à prendre, ne s'étaient tenus sous la peur : qu'arriverait-il si le mouvement social se fait valoir toujours plus et plus ? Beaucoup de ce qui s'est formé de cet ainsi nommée guerre, s'est formé sous la peur d'un côté et sous la pleine incompréhension de maintes personnalité dirigeantes vis-à-vis de la question sociale de l'autre côté. Maint se serait formé autrement, si cette peur et cette incompréhension n'avaient pas été là.


Et à nouveau dans le déroulement de la guerre, nous voyions comme des personnalité qui s'activent à l'intérieur du mouvement social suscitent des espérances près d'elles et d'autres que tout de suite pourrait se montrer la possibilité de venir à tel ou tel compensation des disharmonies, qui se sont installées de manière si terrible dans la vie humaine .
Et maintenant, que ces événements tragiques se sont installés en une sorte de crise, nous voyons comme en particulier dans les pays vaincus est rester comme résultat : la plus contraignante nécessité de prendre position à la question sociale, d'intervenir dans ce qui rentre dans l'histoire du temps comme exigences sociales.

Déjà de tout cela, celui qui embrasse en pensant la vie du regard, qui n'importe comment a seulement l'inclination de se familiariser avec les nécessités du présent, il pourrait voir comment dans la question sociale émerge tout de suite maintenant quelque chose avec quoi tous les membres de la société humaine auront à s'occuper très, très longtemps.
Et tout de suite en cet instant où, comme dit, dans les pays vaincus, la vie exige simplement des tentatives de solution de la question sociale, quelque chose s'accumule maintenant comme tragique sur une grande partie de l'humanité civilisée.

Si on embrasse les prestations spirituelles, la littérature et tout le similaire, qui depuis de nombreuses décennies a émergée à l'intérieur des entretiens, des discussions, des aspirations en rapport à la question sociale, c'est incommensurable en travail humain, en pensée humaine. Mais jamais on s'était tenu si vivant vis-à-vis des problèmes sociaux comme aujourd'hui. Aujourd'hui se montre à la vie elle-même ce qui se présente comme exigence sociale. Cela semble comme si malgré tous les efforts, le penser le plus pénétrant, malgré la meilleure volonté qui s'est fait valoir dans les dernières décennies, ce qui s'en est former de facultés a quand même été insuffisant de part en part pour venir à bout de la question sociale telle qu'elle sera posée aujourd'hui dans sa vraie silhouette. Cela s'accumule comme quelque chose d'extrêmement tragique sur les aspirations de l'humanité présente. Quelque chose sur quoi on s'est si longtemps préparé, cela atteint tout de suite apparemment entièrement non préparés ceux dont on aimerait croire qu'ils seraient déterminants.


Qui ne s'est pas occupé de la question sociale dans les dernières années à partir de points de vue de science théoriques et aussi pas des façons de voir de partis, celui-là a pu trouver que les plus puissantes contradictions de vie sont toujours venues au jour tout de suite sur ce domaine. Et peut être ce qui suit est une des plus remarquables contradictions qui a vu le jour sur le domaine de la vie sociale. On a beaucoup entendu discuter, on a beaucoup pu lire par des gens qui étaient placer par la vie elle-même dans le mouvement social moderne
Partout on avait, tout de suite quand on se tenait peut-être au milieu de la discussion, se tenant au milieu dans la volonté de la compagnie moderne des travailleurs elle-même, partout on avait la sensation : oui, là sera parler de maintes choses, là sera parler sur beaucoup de questions, sur maintes forces de vies. On tente de donner direction à telles ou telles impulsions. Mais en ce qu'on pourrait nommer volonté sociale repose encore quelque chose d' entièrement, entièrement autre que ce qui sera exprimé là. On pourrait à peine avoir aussi clairement une telle sensation vis-à-vis d'un phénomène de la vie : que plus ou moins du sous-conscient, de l'inexprimé, joue un plus grand rôle que ce qui a été publié dans des concepts apparemment clairs , dans de sobres discussions. Ici est le point, où on peut trouver le point de repère pour ne pas désespérer aux tentatives de s'approcher tout de suite de l'énigme sociale d'un certain point de vue.


J'ai donc ici à Zurich, dans d'autres villes de Suisse, tout de suite eu plus souvent la permission de parler sur des questions de science de l'esprit. Du point de vue de cette recherche en science de l'esprit, je cherchais aussi depuis des décennies à m'approcher de l'énigme sociale. Si on entend aujourd'hui maints qui se croient praticiens, alors on pourrait certainement désespérer de pouvoir fournir quelque chose de fructueux du point de vue de la recherche spirituelle pure pour les questions s'y rapportant. Seul tout de suite le contradictoire auquel j'ai rendu attentif dans les aspirations à l'intérieur de la vie sociale, chasse de nouveau ce désespoir. Car on voit comment d'importantes personnalités à l'intérieur du mouvement social sourient quand la parole vient là qu'on voudrait contribuer par tels ou tels efforts spirituels à la solution de la question sociale ; ils sourient de cela comme d'une idéologie, comme grise théorie. A partir des pensées, à partir de la pure vie de l'esprit, ainsi pensent-ils, ne serait certainement pas à pouvoir contribuer aux questions brûlantes du présent. Mais si on voit plus exactement alors cela s'impose à vous comment le nerf réel, la réelle impulsion de fond du mouvement moderne, tout de suite prolétarien, ne repose pas dans ce dont parle le prolétaire actuel, mais repose tout de suite dans des pensées.


Le mouvement prolétarien moderne est, comme peut-être encore aucun mouvement similaire au monde – quand on le regarde plus exactement, cela se montre dans le sens le plus éminent -, un mouvement jaillit de pensées. Je ne dis pas cela purement comme un aperçu. Si cela m'est autorisé de rajouter une remarque personnelle, ainsi ce serait celle-ci : j'ai des années durant donné des cours à l'intérieur d'une école de formation des travailleurs dans les plus différentes branches des travailleurs prolétaires. J'ai appris à connaître ce qui vit et ambitionne dans l'âme des travailleurs prolétaires modernes. Partant de là, j'ai appris à connaître ce qui vit dans les syndicats des différents métiers et orientation professionnelles. Donc ce que je veux dire n'est pas exprimé simplement du point de vue de réflexions théoriques, comme en un aperçu, mais comme le résultat d'une véritable expérience de vie.

Qui – ce qui malheureusement est si peu le cas chez les intellectuels dirigeants -, qui a appris là à connaître le mouvement ouvrier moderne, celui-là sait quel phénomène merveilleux c'est comme tout de suite une certaine orientation de penser, un certain courant de pensées a saisit l'âme de ces humains de la manière la plus intensive. Cela est donc, ce qui rend si difficile aujourd'hui de prendre position à l'énigme sociale, que soit là une si faible possibilité de compréhension, de compréhension mutuelle des classe. Les classes bourgeoises peuvent aujourd'hui si difficilement se transposer dans les âmes des prolétaires, peuvent si difficilement comprendre, comment dans, j'aimerais dire, l'intelligence encore non décadente, dans l'intelligence élémentaire pouvait prendre place un tel – aimerait-on maintenant se tenir au contenu, comme on veut -, un tel système constitué à la plus haute échelle des exigences du penser humain comme le système de penser de Karl Marx.

Certainement le système de penser de Karl Marx pourra être adopté par les uns, réfuté par les autres, peut être les uns avec les mêmes bonnes raisons que les autres. Il pourrait être révisé par ceux qui continuent à regarder la vie sociale après la mort de Marx et son ami Engels. Du contenu de ce système je ne veux pas du tout parler, du contenu de ce système de penser. Cela me semble le moins significatif. Le plus significatif me semble être qu'est disponible le fait : à l'intérieur de la compagnie des travailleurs elle-même, à l'intérieur du monde prolétaire œuvre comme impulsion puissante un système de pensées. On peut pour ainsi dire exprimer la chose de la manière suivante : un mouvement pratique, un simple mouvement de vie avec les revendications humaines les plus quotidiennes ne s'était encore jamais tenu ainsi presque tout seul sur une pure base scientifique, conceptuelle comme ce mouvement prolétarien moderne.
Il est dans une certaine mesure même le premier mouvement du monde de ce genre qui s'est purement placer sur une base scientifique. Malgré tout, quand à nouveau on prend tout cela – je le mentionne déjà -, que le prolétaire moderne a à dire sur son propre penser et vouloir et sentir, ainsi cela ne vous semble absolument pas comme l'important lors d'une observation de vie pénétrante.

Maintenant beaucoup ont montrés d'une manière très sagace comme ce mouvement social prolétarien moderne s'est constitué à partir de l'évolution de l'humanité des derniers siècles. Pertinemment a été montré comme en particulier par le développement des techniques modernes, par le développement du système moderne des machines, a en fait tout d'abord été créé le prolétariat dans le sens moderne, comme par le puissant revirement économique des temps récents justement s'est constituée la question sociale moderne.
Ce que d'autres d'une manière si pertinente on dit tout de suite sur l'apparition de la question sociale, je ne veux pas le répéter ici. Mais il me semble nécessaire, tout de suite de rendre attentif à ce qui caractérise les contradictions de vie disponibles dans ce mouvement prolétarien moderne. Certes il est juste que sans puissant revirement, sans la révolution technique des temps récents le mouvement social moderne n'aurait pu venir dans la forme dans laquelle il s'est maintenant une fois enfilé vers le haut. Seul aussi intensivement que sera aussi prétendu qu'à partir d'impulsions purement économique, de forces économiques, d'oppositions de classe, de luttes de classes se soit montré ce qui dans la vie sociale se présente aujourd'hui, l'affirmation ne résiste pas devant une observation pénétrante de l'âme des prolétaires moderne, que seraient seulement en jeu des objets économiques, seulement des forces économique.

Tout de suite celui-là qui est habitué de regarder à partir de la science de l'esprit dans les finesses et intimités de la vie animique chez tout ce qui est humain, dont les porteurs souvent eux-mêmes ne sont pas conscient, tout de suite à celui là est clair que ce qui a pris forme techniquement, économiquement, n'est pas l'essentiel dans la formation de la question sociale actuelle, mais qu'est plein de signification le fait qu'à partir de tous autres rapports de vie certains humains ont été placés à l'exploitation de la machine en la manière de la grande exploitation capitaliste, et que par ce placement a cru dans ces humains quelque choses qui ne se tient pas en rapport immédiat avec ce qui est économiquement autour d'eux, et en quoi ils sont empêtré économiquement.


Ce qui a cru là, cela dépend beaucoup plus des plus profondes habitudes de vie de l'humanité moderne.

Qui regarde l'histoire seulement ainsi, comme veut maintenant aussi le faire à nouveau la science socialiste des temps récents, qu'on dit toujours que le suivant proviendrait toujours du précédent, qu'un effet ramènerait toujours à une cause, celui là ne tient pas compte que des forces de changement, des forces de transformation sont disponibles dans la réalité vivante, qui forment à certains points de cette évolution le pur rapport de cause et effet en révolutionnant, j'aimerais-dire, le terre-à-terre, sec rapport de cause et effet.


Regardons vers la seule évolution humaine. Nous pouvons, quand on à le droit de dire ainsi, la poursuivre successivement, ma foi, de la naissance jusqu'à environ la septième année de vie, où le changement de dents survient. Cela est une puissante révolution dans l'évolution de l'organisme humain. On doit orienter le regard sur ce qui se passe là tout de suite dans cette période de la vie. Là n'est pas purement un rapport en ligne droite de cause à effet. Alors ça va de nouveau ainsi de la septième jusque s'approchant de la quatorze, quinzième année de vie qu'on peut poursuivre une évolution linéaire de cause à effet. Mais alors suit à nouveau une formation révolutionnant l'organisme humain lors de la maturité sexuelle.

Plus tard de telles transformation sont moins remarquables, mais elles sont aussi là. Comme se jouent des choses dans la vie humaine individuelle qui réduisent à néant le confortable répété toujours et toujours , ainsi la parole : la nature ne ferait pas de bonds est absolument incorrecte. Comme dans l'organisme individuel de tels bonds sont disponibles aussi dans l'évolution historique de l'humanité. Simplement, à l'intérieur de ce temps qui se laisse limiter entre les 14, 15e siècle jusqu'aujourd'hui et qui va courir plus loin, se sont joués de puissants processus de transformation dans la conscience humaine elle-même.


Ainsi que l'organisme humain individuel est un autre qu'il ne l'était avant en une certaine direction quand il est devenu mature sexuellement , ainsi l'organisme social humain est devenu quelque chose d'autre, après que se sont faites valoir les impulsions élémentaires, fondamentales, pas purement à trouver à l'intérieur de la ligne droite entre cause et effet. Qui parvient a observer plus exactement la vie historique, celui-là sait que devant cette période beaucoup s'est joué instinctif dans l'humanité qui dans cette période pénétra dans le plein être conscient, qui doit être accueilli par le pleinement conscient. De cela le mouvement social prend figure en ce temps pour lequel il est particulièrement caractéristique, qui vient au jour dans l'expression déjà souvent utilisée qui ne sera seulement pas suffisamment caractérisée intensivement : conscience de classe prolétarienne. On devrait faire beaucoup moins attention dans cette expression « conscience de classe prolétarienne » à ce qui indique sur la lutte nécessaire dans laquelle le prolétaire se croit intriqué contre les autres classes, on devrait beaucoup plus rendre attentif sur ce que quelque chose est entré dans l'âme du prolétaire dans une époque dans laquelle se modifient des instincts sociaux qui ont régné autrefois dans la conscience sociale .
Autrefois des instincts de classe étaient disponibles. A présent la conscience de classe repose à la base du mouvement social.

Cette conscience de classe, c'est, j'aimerais dire, décrit seulement d'après la surface, quand on prend au sérieux le contenu : conscience de classe prolétarienne. Ce qui se cache dans ce mots « conscience de classe prolétarienne », c'est quelque chose d'entièrement autre. Et le fait se laisse peut-être caractériser ainsi quand on veut brièvement caractériser un fait important : à l'intérieur de vieux rapports de profession comme par exemple ils s'amenèrent à l'expression dans les vieux artisanats ou autres métiers, reposaient certains instincts sociaux, qui éclairaient dedans l'âme humaine, qui renforçaient dans les âmes humaines.
Ces instincts pouvaient œuvrer ainsi qu'ils formaient un certain lien personnel entre ce que l'humain pense, sent, veut, ce qu'il tient pour son honneur, pour sa joie, pour son besoin esthétique. Le travail lui-même donnait quelque chose à l'humain pour toutes ces choses.

Quand l'humain a été placé à la machine, alors qu'il a été placé dans la boite de vitesse absolument impersonnelle du capitalisme moderne, où la rétribution apparaissait non plus clairement transparente pour la prestation humaine, mais où la multiplication (NDT ou reproduction) du capital par le capital est l'essentiel, donc l'humain a été placé dedans d'un côté dans l'animation ( NDT ou boite de vitesse) des machines, de l'autre côté dans le capitalisme moderne et son ordre économique, là il était arraché hors de ces rapports au monde et de vie qui lui donnaient quelque chose pour son personnel, sa joie personnelle, pour son honneur personnel, pour son impulsion volontaire personnelle.
Il a dans une certaine mesure été placé sur la pointe de sa personnalité à côté de la machine, à l'intérieur de la pure, objective, impersonnelle circulation de marchandise et capital, qui au fond, humainement-personnellement ne lui allait pas. Mais l'âme humaine veut toujours d'une certaine manière œuvrer pleinement, veut toujours en fait déployer son entière étendue. Et ainsi le travailleur, qui a été arraché des autres rapports de vie caractérisés, qui a été placé dans un rapport qui est arraché de l' humanité pleinement vivante, a été rendu attentif là dessus de réfléchir sur sa dignité humaine, comprendre sa dignité humaine.


Et ainsi derrière ce qu'on nomme conscience de classe prolétarienne se cache en vérité dans l'évolution historique moderne le paraître à l'horizon, le briller à l'horizon, d'une pleine conscience de l'humain créée de l'être humain, de l'âme humaine elle-même. Orientation de la conscience sur la question : que suis-je comme humain ? - sur la question : qu'est ce que je signifie comme humain dans le monde ? - qu'avait à sentir en cette occasion, celui qui était placé comme prolétaire à côté de la machine niant l'humain, à côté du capital niant l'humain.



Là je crois quand même que toute l'observation de la question sociale sera placée sur un autre sol quand on réfléchi que pendant que les humains restants ont été poussés hors des anciens instincts dans la conscience moderne plus ou moins à partir de rapports de vie qui n'apportèrent rien d'aussi révolutionnaire radical , le prolétaire moderne a été poussé radicalement de la pure constitution instinctive d'autrefois de la dignité humaine et de la position sociale de l'humain particulier dans la société humaine dans la constitution consciente de son soi.


Maintenant cette entrée de la conscience de l'humanité dans l'âme du prolétaire tombât ensemble avec toutes sortes d'autres choses qui donc se passaient dans l'évolution humaine. Cela tomba avec un certain niveau de la pensée humaine, avec un certain niveau de l'évolution humaine. On connaît au fond très mal l'évolution historique humaine. Car cette évolution de l'humanité elle sera donc prise à la base toujours décrite de façon partisane d'un côté ou de l'autre. Qui sans prévention regarde sur l'évolution de l'humanité, à celui-là se présente souvent quelque chose de tout autre que ce qu'il est habituel de dire sur l'évolution de l'humanité.

Ainsi on peut aussi dire : qui aujourd'hui regarde sur ce qui jouit présentement le plus souvent d'autorité, la science, celui-là sait qu'aussi cela, qu'aujourd'hui on garni dans une certaine mesure avec absolue objectivité, s'est développé, provient d'une quelque chose et porte clairement le signe de reconnaissance de ce que cela prendra à nouveau d'autres formes.
Regarde-t-on sur cette science dans ses brillantes méthodes, dans ses infinies, consciencieuses manières de rechercher, sur cette science, qui tout simplement est particulièrement appropriée pour pénétrer la nature et ses phénomènes, ainsi on remarque : le plus pénétrant chez elle, ce qu'elle a à dire, est que prise fondamentalement elle est bien peu appropriée pour saisir le plus profond, intime de la sensation et sentiment humain, qu'elle a bien peu à dire sur ce que l'humain veut en fait savoir, quand il oriente son regard sur connaissance de soi et saisie de soi. Aussi la science s'est d'une certaine manière détachée de l'humain. Elle ne porte plus aucun caractère personnel et ne parle aussi plus de ce qui dans l'humain est le spirituel, le suprasensible, l'éternel.

Parle-t-elle de cela, ainsi elle montre clairement que de la manière dont elle est aujourd'hui une mode, elle n'a pas les méthodes correspondantes, pas les manières de rechercher correspondantes.

On peut de cette forme de la science regarder en arrière sur ces temps, où à l'intérieur de l'évolution de l'humanité la vie montrait encore un saisie religieuse du monde en une pleine relation de sentiment religieux et regard scientifique. Les deux sortirent l'un de l'autre. Ce qui était unitaire, se scinda a peu près dans le même temps, dans lequel cette révolution objective monta, qui trouve son expression dans l'époque des machines et dans le capitalisme moderne. A cette époque là ce fut aussi alors que ce bouleversement économique se passait, à cette époque ce fut aussi où dans une certaine mesure l'évolution religieuse voulait demeurer calme, ne voulait participer à ce qui se donnait à l'évolution économique. A cette époque là, comme on jugeait les Galilée, les Giordano Bruno, là resta en retrait dans une certaine mesure la sensation et le sentiment les plus intérieurement humains devant ce qui veut absolument parler à partir de l'humain sur la nature, sur le monde . L'humain perdit la foi en ce qu'il pouvait pénétrer son savoir avec ardeur religieuse, avec chaleur religieuse. Aujourd'hui on est fier de ce qu'on peut tenir la science libre de tout ce qu'on veut accorder seulement à la religion. Dedans ce temps, où la science toujours plus et plus voulait devenir libre de religion, libre d'esprit, dedans ce temps tombe le développement de la conscience prolétarienne, tombe la saisie de la conscience d'humanité par le prolétariat.


Ce prolétariat, pressait à la pensée moderne, à l'intelligence moderne, à la saisie de ce qui peut être saisi avec les forces spirituelles humaines. Mais cela trouva une science qui n'avait plus en elle la force de propulsion de saisir et emplir l'humain entier . Et cela a donné à l'âme du prolétaire moderne la forme particulière. La conscience spirituelle de l'humanité, la conscience spirituelle des classes dirigeantes, qui l'étaient en des temps passés, avait perdu sa force de propulsion, avait livré à l'humanité une science plus ou moins abstraite pour les affaires humaines.

Ainsi les âmes du prolétariat des temps récents se virent confrontés à une science qui n'éveillait pas la confiance qui peut être donnée à quelque chose par elle qui comme la plus vraie réalité spirituelle intérieure vit dans l'activité extérieure sensorielle et économique. Le prolétaire avait une telle science devant lui, il se voyait confronté à une telle science. Il se vivait en elle.
Et ainsi montât dans son âme quelque chose de purs soubassement évolutifs spirituels, qui aujourd'hui sera pris comme une évidence, comme une absolue vérité, mais qui sera seulement connu dans sa vraie entité quand on a un regard pour cela qui va de soi dans les âmes des humains. Ce qui remue le plus souvent l'observateur plus profond, cela est l'art et la manière, comment le prolétaire moderne parle sur les affaires spirituelle, sur les coutumes, sur la morale, l'art, la religion, même sur la science à l'intérieur de l'évolution de l'humanité, qu'il englobe toutes ces choses avec l'expression idéologie.

Cela remue au plus profond. En particulier cela remue profondément quand on perçoit que ce prolétaire moderne croirait pouvoir être clair sur ce que tout ce que l'humain pense, ce qu'il forme artistiquement, ressent religieusement, est en fait seulement comme une apparence, une idéologie formée à partir de l'âme humaine. Mais la vraie réalité sont les luttes économiques, sont les processus économiques ; ils représentent une réalité. Cela qu'ils jettent dedans comme un reflet dans l'âme humaine, cela est l'évolution spirituelle de l'humanité, c'est l'idéologie. Cela jette tout au plus à nouveau quelque impulsions en retour dans la réalité purement matérielle des événements économiques, donc initialement ayant grandi à partir de ce devenir économique.




La position à la vie spirituelle, elle vit comme quelque chose de beaucoup plus essentiel dans les questions prolétariennes modernes qu'on ne le pense. Et pourquoi l'art, la coutume, la morale, la religion, les autres vies spirituelles sont sinon devenues idéologie au prolétaire moderne ? Parce qu'il a éprouvé de ceux là qui était autrefois les cercles dirigeants, une science, qui ne veut plus entretenir un rapport vivant au véritable monde de l'esprit, une science qui n'indique plus une quelque impulsion qui conduit à véritable spiritualité. Une telle science peut tout au plus conduire à des concepts abstrait comme lois de la nature. Elle ne peut aussi conduire à rien d'autre qu'a une façon de voir le spirituel comme idéologie. Elle actualise des méthodes qui justement sont seulement appropriées d'un côté sur la purement objective nature extra humaine et à l'intérieur de la vie de l'humain seulement pour l’événement économique. Comme le prolétaire moderne devait assumer cette direction scientifique, là son regard a été dirigé par une force suggestive puissante sur ce sur quoi on ne peut qu'être seulement conduit, sur la vie économique.

Et il commença à croire que cette vie de l'économie serait l'unique réalité, pendant que la vérité est celle-là que ce que la classe bourgeoise lui à passé comme science, peut justement uniquement et seulement s'orienter sur la vie économique.


Mais cela a été immensément déterminant, car cela a donné au mouvement prolétarien moderne sa propre impulsion caractéristique. On peut voir comment du vieil instinctif était encore disponible dans ce mouvement prolétarien, même jusque dans les dernières décennies du 19e siècle. On trouve là dans des programmes prolétariens particuliers encore de tels points où est parler d'une conscience de la dignité humaine, de la prise en compte de droits, qui conduisent à une telle véritable dignité humaine. Mais depuis les années quatre-vingt-dix nous voyons sous cette influence, dont j'ai justement parlé, comment le prolétaire et son regard défenseur érudit a été purement conduit sur la vie de l'économie comme par une puissante force suggestive. Et maintenant il ne croit plus qu’autre part pourrait reposer une impulsion spirituelle ou animique à ce qui devait nécessairement entrer sur le domaine du mouvement social. Il croit que seul par l'évolution de vie de l'économie non-spirituelle, non animique pourra être amené le contexte qu'il éprouve comme digne de l'humain. Ainsi son regard a été orienté là dessus de transformer la vie de l'économie elle-même ainsi que lui serait prise tous les dommages qui viennent par l'entreprise privée, par l'égoïsme des donneurs de travail particuliers et de l'impossibilité du donneur de travail particulier de devenir équitable aux droit à dignité humaine du côté des preneurs de travail.

Et ainsi le prolétaire commença à voir le seul salut dans la transmission de toute possession privée aux moyens de production en entreprise commune ou ?? co-propriété . A cela repose à la base ce qui peut se donner seul quand on aurait détourné dans une certaine mesure le regard de tout animique ou spirituel, quand le spirituel était devenu pure idéologie, quand on avait une méthode et reposait sur celle-là comme sur une pure scientifique, qui ne pouvait donc être exécutée seulement sur le pur processus économique.

Mais maintenant se révélait un fait très étrange, qui justement montre combien de contradictoire repose dans ce mouvement prolétarien moderne. Le prolétaire moderne croit que l'économie, la vie de l'économie elle-même devrait se développer elle-même ainsi que finalement lui reviendrait son plein droit humain. Il lutte pour ce plein droit humain ainsi qu'il le regarde. Seul à l'intérieur de son aspiration avance quelque chose, qui justement jamais ne peut avancer seule comme une conséquence sur la vie économique. Cela est un fait parlant une langue significative, pénétrante que tout de suite repose au point central des différentes formations de la question sociale à partir des nécessité de la vie de l'humanité actuelle quelque chose dont on croit que cela proviendrait de la vie de l'économie elle-même, mais cela ne pourrait jamais provenir de la vie de l'économie seule, qui beaucoup plus repose dans les droites lignes de développement, qui conduit par dessus l'ancien système des esclaves par le système de servage de l'époque féodale au travail moderne du prolétariat. Comme se sont formés aussi toujours la circulation de marchandises, la circulation d'argent, le système de capital, la possession, le système de fond et sol (NDT foncier) et ainsi de suite à l'intérieur de cette vie moderne s'en est formé quelque chose qui ne sera pas clairement exprimé, ne sera aussi pas exprimé entièrement clairement par le prolétaire moderne, mais qui seulement sera bien trop clairement éprouvé comme l'impulsion de fond réelle de son vouloir social. C'est celle-ci : L'ordre économique capitaliste moderne pris à la base connaît seulement la marchandise à l'intérieur de son domaine de circulation. Il connaît formation de valeur de ces marchandises à l'intérieur de l'organisme économique. Et quelque chose est devenu une marchandise à l'intérieur de l'organisme capitaliste des temps récents, dont aujourd'hui le prolétaire ressent : cela n'a pas le droit d'être marchandise. Mais car son regard est orienté seulement sur la vie économique, il ne peut pas se dire scientifiquement autre chose que : c'est marchandise. C'est en effet sa propre force de travail.

Quand on reconnaîtra une fois qu'ici repose une des impulsions de fond de tout le mouvement social moderne, que dans les instincts, dans les ressentis sous-conscients du prolétaire moderne vit un dégoût qu'il doit vendre justement ainsi sa force de travail à l'entrepreneur du travail, comme on vend des marchandises sur les marchés, qu'il éprouve un dégoût, que sur le marche des forces de travail sa force de travail joue son rôle d'après offre et demande , comme la marchandise sur les marché sous offre et demande, quand on viendra là dessus que ce dégoût de la marchandise force de travail est la véritable impulsion de base du mouvement social moderne, quand on regardera entièrement non prévenu là dessus que cela ne sera pas exprimé suffisamment pénétrant et radical aussi par les théories socialistes, alors on aura trouvé le point duquel peut être parti en cela qui s'avère aussi pressant, donc brûlant en rapport au mouvement social.


Dans l'antiquité il y avait des esclaves. L'humain entier était vendu comme une marchandise. Quelque chose de moins a été vendu de l'humain, mais encore toujours a peu de chose près l'humain entier dans le servage. Le capital est devenu le pouvoir qui profite encore quelque peu de l'humain, à savoir sa force de travail. Les méthodes doivent être cherchées par lesquelles la marchandise force de travail pourra être séparée des circulations de marchandises restantes. On regardera premièrement au travers ce qui est fiché derrière ce fait quand on ne regardera pas suggestif sur la vie de l'économie qui doit être saisie d'après de toutes autres méthodes que l'humain lui-même, quand on saura que non à partir de cette vie de l'économie, mais d'un tout autre vécu dans l'organisme social doit couler vers dehors la manière comment à la force de travail humaine pourrait être retirer le caractère de marchandise. On devra reconnaître – et la recherche en science de l'esprit donnera la base pour cela -, que la croyance est fausse qu'on pourrait par l'observation du pur système économique, à quoi seul convient la méthode de science de la nature, découvrir les chemins par lesquels la force de travail de l'humain particulier pourrait s'articuler dans l'organisme social.

C'est tout d'abord quand on comprendra que la croyance que la force de travail appartiendrait au système économique équivaut aux autres croyances auxquelles on s'adonne, qu'on voudrait regarder de même façon ce qui dans le système cœur-poumon, dans le système de circulation va de soi, comme ce qui dans le système nerveux de la tête va de soi, qu'on est sur le chemin correct. Le système nerveux et sensoriel, comme il est centralisé dans la tête, est dans l'organisme humain un membre particulier, indépendant, existant pour lui-même. Ce qui est disponible comme système cœur-poumon, comme système de circulation est à nouveau un membre qui existe pour soi, indépendant. Ainsi justement le système métabolisme. Vous pouvez vérifier cela plus exactement dans mon livres « Des énigmes de l'âme ». C'est le caractéristique dans l'organisme humain que ses systèmes tout de suite par là qu'ils déploient leurs corrects épanouissement et efficacité, parce qu'ils ne sont pas centralisés, mais qu'ils demeurent les uns à côté des autres et œuvrent librement ensemble. Ne peut-on aujourd'hui une fois pas comprendre l'organisme humain de cette manière englobante, pénétrante, ainsi on ne peut pas comprendre d'abord correctement l'organisme social avec la science qui n'est pas encore réformée, mais qui doit être réformée dans un sens de science de l'esprit,. On croit aujourd'hui que l'organisme humain est quelque chose de centralisé, pendant qu'il est un être-triarticulé (NDT eine Dreigliedigkeit).

Et ainsi l'organisme social est aussi un être-triarticulé. Ce qui aujourd'hui sous une puissante suggestion sera regardé comme organisme social unique, le système de l'économie, cela est seulement un membre. Un autre membre est cela de quoi doit jaillir la compréhension pour la fonction de la force de travail humaine dans toute la structure de l'organisme social. Les deux systèmes doivent se tenir l'un à côté de l'autre. Et le caractère de la marchandise sera seulement alloué à la force de travail dans la récente pensée fausse.

Et cette pensée récente étroite de cœur, cela a de l'autre côté fait pure idéologie le troisième, la vie de l'esprit qui doit se placer autonome dans l'organisme social entier. L'avis théorique que le spirituel est pure idéologie, il est le moins dangereux. Le plus important est que dans un humain, qui a la façon de voir que le spirituel ne racinerai pas dans une réalité spirituelle reposant à la base de toutes choses, mais en une pure idéologie, ne peut être disponible la force de propulsion spirituelle véritable. Un tel humain n'a pas d'intérêt à accorder à la vie spirituelle son rôle correct dans le monde.


Si on regarde tout de suite ce qui s'est joué sur le domaine de la conscience prolétarienne, ainsi on trouve qu'on ne pouvait pas gagner un aperçu dans les trois membres de l'organisme social. A celui-là s'est perdu quelque chose. On aspire à étatisation parce qu'on croit qu'un seul organisme social pourrait tout assumer.

 

La conscience de science de l'esprit doit ouvrir un horizon plus large en rapport à la question sociale , que sera souvent donné aujourd'hui même dans cette époque brûlante par des dirigeants compétents. Il devra être rendu attentif là dessus que ne devrait pas être voulu seulement du nouveau, mais que nous avons besoin, de penser nouveau, que nous avons besoins pas seulement d'une observation scientifique de la vie sociale, laquelle entreprend la science traditionnelle, mais que nous avons besoin de la reconstruction d'une science qui amène dans la conscience de l'humanité de nouvelles pensées, qui tout d'abord seront des pensées de réalité de l'organisme social.

Cela devra conduire à ce que les raisons pour tant de malheur dans les temps récent seront une fois mises de côté par la conscience de l'humanité. Aussi celui qui agit non pas en théorique, mais à partir de la vie, comme je crois aussi l'avoir fait en cette heure, aussi celui-là sera aujourd'hui expédié et rendu la plupart du temps inoffensif par ceux qui se pensent les véritablement praticiens, en ce qu'ils disent : ah, de tels choses théoriques ne vient rien de fructueux dans le monde en quelque manière. Ces « praticiens de la vie », qui sont les vrais abstraits, ces praticiens de la vie, dont la pratique ne consiste en rien d'autre que dans la limitation de leurs sens sur les plus étroites frontières, ce sont ces praticiens de la vie, qui très souvent ont amenés le malheur et la catastrophe des temps récents. Pourront-ils continuer à gérer sur toutes les tendances de partis le malheur n'ira pas à sa fin, le malheur s'étendra seulement dans l'incommensurable.

Les véritables praticiens de la vie doivent maintenir leur position méritée dans l'efficacité publique, ceux qui parlent des possibilité d'évolution, qui reposent spatialement dans l'organisme social et dans l'évolution temporelle, comme par exemple dans l'organisme humain particulier.
Ces vrais praticiens de la vie, qui parlent de la réalité reposant plus profondément, ce sont eux sur qui devrait aujourd'hui être compté. Ce sont eux qui n'ont pas besoin de désespérer à leur propre savoir. Il voient toutefois à leur grand regret et à leur consternation comment ce que les praticiens de la vie, aussi les praticiens de la vie socialistes, croient devoir faire de l'autre côté uniquement et seulement, comme cela ne peut conduire à quelque chose d'autre qu'au pillage de la vie. Celui-là qui veut œuvrer à partir de l'esprit comme praticien de la vie, veut aspirer de la réalité à des réalités capables de vie.



Dans quels sens des tentatives de solution peuvent se montrer pour les questions que j'ai tenté de décrire dans leur vraie forme à partir des récentes habitudes de vie, comment à partir de cela peuvent se montrer des tentatives de solution sur base d'une exploration de la réalité de la vie sociale et de la structure de société de l'humanité, de cela je m'autoriserais à parler ici après demain.

Was sich heute einschließt in das Wort soziale Frage, ist etwas, das die denkende Menschheit zu einem großen Teile intensiv seit Jahrzehnten beschäftigt, beschäftigt weil diese soziale Frage heute, man kann sagen, nicht nur drängend ist für die Entwickelung der Menschheit, sondern brennend geworden ist. Insbesondere aber darf man sagen, daß die furchtbare kriegerische Katastrophe, welche in den letzten Jahren über die Menschheit hereingebrochen ist, auch ihr düsteres Licht geworfen hat gerade auf das, was man die soziale Frage und die damit zusammenhängende Menschheitsbewegung der unmittelbaren Gegenwart nennt.

Da ich das soziale Rätsel in die ganze geschichtliche Bewegung der neueren Zeit hineinstellen muß, werde ich in den nächsten Vorträgen über mancherlei Dinge, welche mit Ursache und Verlauf der furchtbaren kriegerischen Katastrophe zusammenhängen, zu sprechen haben. In diesen einleitenden Ausführungen möchte ich nur darauf hinweisen, wie schon im Ausgangspunkt des Krieges sich zeigte das Hereinkraften der sozialen Frage in jenen Angstemotionen, die deutlich wahrzunehmen sind bei denjenigen, welche am Ausgangspunkt dieses Krieges standen. Gewiß wäre vieles anders geworden im Jahre 1914, wenn diejenigen, die da oder dort wichtige Entscheidungen zu treffen gehabt haben, nicht unter der Angst gestanden hätten: Was soll werden, wenn die soziale Bewegung immer mehr und mehr sich geltend macht ? Vieles, was sich in diesem sogenannten Kriege herausgestaltet hat, hat sich herausgestaltet unter der Furcht auf der einen Seite und unter dem vollen Mißverständnis von seiten mancher führender Persönlichkeiten gegenüber der sozialen Frage auf der anderen Seite. Manches hätte sich anders gestaltet, wäre diese Furcht und dieses Mißverständnis nicht dagewesen. Und wiederum, im Verlaufe des Krieges sehen wir, wie Persönlichkeiten, die innerhalb der sozialen Bewegung sich betätigen, Hoffnungen hervorrufen bei sich und anderen, daß gerade die Möglichkeit sich zeigen könnte, zu diesem oder jenem Ausgleich der Disharmonien zu kommen, die in so schrecklicher Weise in das Menschenleben eingezogen sind. Und jetzt, da diese tragischen Ereignisse in eine Art von Krise eingezogen sind, sehen wir, wie insbesondere in den besiegten Ländern zurückgeblieben ist als Ergebnis : drängendste Notwendigkeit, zu der sozialen Frage Stellung zu nehmen, in dasjenige einzugreifen, was als soziale Forderungen in die Zeitgeschichte eintritt.

Schon aus alledem könnte derjenige, der das Leben der Gegenwart denkend überblickt, der nur irgendwie die Neigung hat, sich bekanntzumachen mit den Lebensgewohnheiten der Gegenwart, er könnte ersehen, wie in der sozialen Frage gerade jetzt etwas auftaucht, womit sich alle Glieder der menschlichen Gesellschaft werden lange, sehr, sehr lange zu beschäftigen haben. Und gerade in diesem Zeitpunkt, wo, wie gesagt, in den besiegten Ländern das Leben einfach Lösungsversuche der sozialen Frage fordert, lagert jetzt etwas wie Tragik über einem großen Teile der zivilisierten Menschheit.

Überblickt man die geistigen Leistungen, die Literatur und alles ähnliche, das seit vielen Jahrzehnten aufgetaucht ist innerhalb der Besprechungen, der Diskussionen, der Bestrebungen in bezug auf die soziale Frage, es ist ein Unermeßliches an Menschenarbeit, an Menschendenken. Aber niemals stand man den sozialen Problemen so lebendig gegenüber wie heute. Heute zeigt sich am Leben selbst, was als soziale Forderung auftritt. Es scheint, als ob trotz aller Anstrengungen, eindringlichstem Denken, trotz bestem Wollen, das sich geltend gemacht hat in den letzten Jahrzehnten, doch das, was sich an Fähigkeiten herausgebildet hat, durch und durch ungenügend war, um die soziale Frage, so wie sie in ihrer wahren Gestalt heute durch das Leben vor die Menschenseele gestellt wird, zu bewältigen. Das lagert wie etwas ungeheuer Tragisches über den Bestrebungen der gegenwärtigen Menschheit. Etwas, worauf man sich so lange vorbereitet hat, es trifft gerade diejenigen, von denen man glauben möchte, daß sie maßgebend wären, anscheinend ganz unvorbereitet.


Wer nicht vom Gesichtspunkte theoretischer Wissenschaft, nicht aus bloßen Begriffen heraus und auch nicht aus einseitigen Parteianschauungen heraus in den letzten Jahrzehnten sich mit der sozialen Frage beschäftigt hat, der hat finden können, daß die mächtigsten Lebenswidersprüche gerade auf diesem Gebiete immer zutage getreten sind. Und vielleicht ist der folgende einer der bemerkenswertesten Widersprüche, die auf dem Gebiete des sozialen Lebens zutage getreten sind. Vieles hat man diskutieren hören, über vieles hat man lesen können durch Leute, die vom Leben selbst hineingestellt waren in die moderne soziale Bewegung. Überall hatte man, gerade wenn man vielleicht mitten drinnen stand in der Diskussion, mitten drinnen stand in dem Wollen der modernen Arbeiterschaft selbst, überall hatte man das Gefühl: Ja, da wird mancherlei gesprochen, da wird über viele Fragen, über mancherlei Lebenskräfte gesprochen. Man versucht, diesen oder jenen Impulsen Richtungen zu geben. Aber in dem, was man nennen könnte soziales Wollen, liegt noch etwas ganz, ganz anderes als das, was da ausgesprochen wird. Kaum irgendeiner Lebenserscheinung gegenüber konnte man so deutlich das Gefühl haben : das mehr oder weniger Unterbewußte, Unausgesprochene, spielt eine größere Rolle als das, was in scheinbar klare Begriffe, in nüchterne Diskussionen hineinverlegt worden ist. Hier ist der Punkt, wo man den Anhalt dafür finden kann, nicht zu verzweifeln bei den Versuchen, gerade von einem bestimmten Gesichtspunkte aus den sozialen Rätseln sich zu nähern.

Ich habe ja hier in Zürich, in anderen Städten der Schweiz, öfter gerade über Fragen der Geisteswissenschaft sprechen dürfen. Vom Standpunkte dieser geisteswissenschaftlichen Forschung suchte ich mich auch seit Jahrzehnten den sozialen Rätseln zu nähern. Hört man heute man­che, die sich Praktiker dünken, dann könnte man gewiß verzweifeln daran, irgend etwas Ersprießliches leisten zu können für die einschlägigen Fragen vom Gesichtspunkte der bloßen geistigen Forschung aus. Allein gerade das Widerspruchsvolle, auf das ich hinzudeuten habe in den Bestrebungen innerhalb des sozialen Lebens, das treibt diese Verzweiflung wieder weg. Denn man sieht, wie wichtige Persönlichkeiten innerhalb der sozialen Bewegung lächeln, wenn die Rede darauf kommt, man wolle durch diese oder jene geistigen Bestrebungen etwas beitragen zur Lösung der sozialen Frage; sie belächeln das als Ideologie, als eine graue Theorie. Aus dem Gedanken heraus, aus dem bloßen Geistesleben heraus, so meinen sie, werde gewiß nichts beigetragen werden können zu den brennenden sozialen Fragen der Gegenwart. Aber sieht man genauer zu, dann drängt es sich einem auf, wie der eigentliche Nerv, der eigentliche Grundimpuls der modernen, gerade proletarischen Bewegung nicht in dem liegt, wovon der heutige Proletarier spricht, sondern gerade liegt in Gedanken.

Die moderne proletarische Bewegung ist, wie vielleicht noch keine ähnliche Bewegung der Welt — wenn man sie genauer anschaut, zeigt sich dies im eminentesten Sinne —, eine Bewegung aus Gedanken entsprungen. Dies sage ich nicht bloß wie ein Aperçu. Wenn es mir gestattet ist, eine persönliche Bemerkung einzufügen, so sei es diese : Ich habe jahrelang innerhalb einer Arbeiterbildungsschule in den verschiedensten Zweigen proletarischen Arbeitern Unterricht erteilt. Ich habe kennengelernt, was in der Seele des modernen proletarischen Arbeiters lebt und strebt. Von da ausgehend habe ich kennengelernt, was in den Gewerkschaften der verschiedenen Berufe und Berufsrichtungen lebt. Also nicht bloß vom Gesichtspunkte theoretischer Erwägungen, wie in einem Aperçu, ist das ausgesprochen, was ich sagen will, sondern als Ergebnis wirklicher Lebenserfahrung.

Wer — was bei den führenden Intellektuellen leider so wenig der Fall ist —, wer die moderne Arbeiterbewegung da kennengelernt hat, wo sie von Arbeitern getragen wird, der weiß, welch wunderbares Phänomen dieses ist, wie eine gewisse Gedankenrichtung, eine gewisse Gedankenströmung die Seele gerade dieser Menschen in der intensivsten Weise ergriffen hat. Das ist ja das, was es so schwierig macht heute, zu den sozialen Rätseln Stellung zunehmen, daß eine so geringe Möglichkeit des Verständnisses, des gegenseitigen Verständnisses der Klassen da ist. Die bür­gerlichen Klassen können heute sich so schwer in die Seele des Proletariers hineinversetzen, können so schwer verstehen, wie in der, ich möchte sagen, noch undekadenten Intelligenz, in der elementarischen Intelligenz Platz greifen konnte ein solches — mag man nun zum Inhalte stehen, wie man will —, ein solches, an menschliche Denkforderungen höchste Maßstäbe anlegendes System, wie das Denksystem von Karl Marx.

Gewiß, Karl Marxens Denksystem kann von dem einen angenommen, von dem anderen widerlegt werden, vielleicht das eine mit denselben guten Gründen wie das andere. Es konnte revidiert werden von de­nen, die das soziale Leben weiter betrachten nach Marxens und seines Freundes Engels Tode. Von dem Inhalt dieses Systems will ich gar nicht sprechen, von dem Inhalt dieses Gedankensystems. Der scheint mir das allerwenigst Bedeutungsvolle. Das Bedeutungsvollste erscheint mir, daß die Tatsache vorliegt : Innerhalb der Arbeiterschaft selbst, innerhalb der proletarischen Welt wirkt als mächtigster Impuls ein Gedankensystem. Man kann geradezu die Sache in der folgenden Art aussprechen: Eine praktische Bewegung, eine reine Lebensbewegung mit alleralltäglichsten Menschheitsforderungen stand noch niemals so fast ganz allein auf einer rein wissenschaftlichen, gedanklichen Grundlage wie diese moderne Proletarierbewegung. Sie ist gewissermaßen sogar die erste derartige Bewegung der Welt, die sich rein auf eine wissenschaftliche Grundlage gestellt hat. Dennoch, wenn man wiederum alles das nimmt — ich deutete es schon an —, was der moderne Proletarier über sein eigenes Meinen und Wollen und Empfinden zu sagen hat, so scheint einem das bei eindringlicher Lebensbeobachtung durchaus nicht als das Wichtige.

Nun haben viele in einer sehr scharfsinnigen Weise gezeigt, wie diese moderne proletarische soziale Bewegung heraus entstanden ist aus der Menschheitsentwickelung der letzten Jahrhunderte. Scharfsinnig gezeigt worden ist, wie insbesondere durch die Entwickelung der modernen Technik, durch die Entwickelung des modernen Maschinenwesens eigentlich das Proletariat im modernen Sinne erst geschaffen worden ist, wie durch den gewaltigen wirtschaftlichen Umschwung der neueren Zeit eben die moderne soziale Frage entstanden ist. Was andere in einer so scharfsinnigen Weise gerade über diese Entstehung der sozialen Frage gesagt haben, ich will es hier nicht wiederholen. Aber mir scheint es notwendig, gerade auf das hinzuweisen, was die vorhandenen Lebenswidersprüche in dieser modernen proletarischen Bewegung cha­rakterisiert. Gewiß ist es richtig, daß ohne den gewaltigen Umschwung, ohne die technische Revolution der neueren Zeit die moderne soziale Bewegung nicht in der Gestalt hätte kommen können, in der sie nun einmal heraufgezogen ist. Allein so intensiv es auch behauptet wird, daß bloß aus wirtschaftlichen Impulsen, aus ökonomischen Kräften, aus Klassengegensätzen, aus Klassenkämpfen heraus sich dasjenige ergeben habe, was im sozialen Leben heute sich zeigt, vor einer eindringlichen Seelenbeobachtung des modernen Proletariers hält die Behauptung, daß nur wirtschaftliche Gegensätze, nur wirtschaftliche Kräfte dabei im Spiele seien, nicht stand. Gerade derjenige, der gewöhnt ist aus der Geisteswissenschaft heraus, bei allem Menschlichen hinzublicken auf die Feinheiten und Intimitäten des seelischen Lebens, die dem Träger dieses Seelenlebens oftmals selbst nicht bewußt sind, gerade dem ist es klar, daß nicht das, was sich technisch, wirtschaftlich herausgebildet hat, das Wesentliche ist in der Gestaltung der heutigen sozialen Frage, sondern daß die Tatsache bedeutungsvoll ist, daß aus ganz anderen Lebenszusammenhängen heraus gewisse Menschen zu dem Betrieb der Maschine in der Art des großkapitalistischen Betriebes hingestellt worden sind, und daß durch dieses Hinstellen in diesen Menschen etwas erwacht ist, was nicht in unmittelbarem Zusammenhange mit dem steht, was wirtschaftlich um sie ist, und in das sie wirtschaftlich verstrickt sind. Was da erwacht ist, das hängt vielmehr zusammen mit den tiefsten Lebensgewohnheiten der modernen Menschheit.

Wer die Geschichte nur so betrachtet, wie es nun auch die sozialistische Wissenschaft der neueren Zeit wiederum tun will, daß man immer sagt, das Folgende gehe aus dem Vorhergehenden hervor, Wirkung führe immer auf eine Ursache zurück, der berücksichtigt nicht, daß Wandelkräfte, Umgestaltungskräfte in der lebendigen Wirklichkeit vorhanden sind, die den bloßen Zusammenhang von Ursache und Wirkung, ich möchte sagen: des nüchternen, trockenen Zusammenhangs von Ursache und Wirkung, an bestimmten Punkten dieser Entwickelung revolutionierend gestalten.

Sehen wir hin auf die einzelne menschliche Entwickelung. Wir können sie, wenn man so sagen darf, sukzessive verfolgen, meinetwillen von der Geburt bis zum siebenten Lebensjahre ungefähr, wo der Zahnwechsel eintritt. Da ist eine mächtige Revolution in der Entwickelung des menschlichen Organismus. Man muß den Blick hinrichten auf das, was da gerade in dieser Periode des Lebens geschieht. Da ist nicht bloß ein geradliniger Zusammenhang von Ursache und Wirkung. Dann geht es wiederum vom siebenten bis annähernd in das vierzehnte, fünfzehnte Jahr hinein so, daß man eine geradlinige Entwickelung von Ursache und Wirkung verfolgen kann. Dann aber folgt wiederum eine revolutionierende Gestaltung im menschlichen Organismus bei der Geschlechtsreife. Weniger bemerkbar sind später solche Umwandlungen, aber sie sind auch da. Wie so im einzelnen menschlichen Leben solche Dinge sich abspielen, welche zuschanden machen das immer und immer wiederholte bequeme, aber durchaus unrichtige Wort, die Natur mache keine Sprünge, wie im einzelnen Organismus solche Sprünge vorhanden sind, so auch in der geschichtlichen Entwickelung der Menschheit. Einfach haben sich innerhalb derjenigen Zeit, die sich etwa begrenzen läßt von der Mitte des 14., 15. Jahrhunderts bis heute, die weiter laufen wird, mächtige Umwandlungsprozesse im menschlichen Bewußtsein selber abgespielt.

So wie der einzelne menschliche Organismus ein anderer ist, wenn er geschlechtsreif geworden ist, als er vorher war in einer gewissen Richtung, so ist der menschliche soziale Organismus etwas anderes geworden, nachdem die elementaren, grundlegenden, nicht bloß innerhalb der geraden Linie von Ursache und Wirkung aufzufindenden Impulse sich geltend gemacht haben. Wer genauer das geschichtliche Leben zu beobachten vermag, der weiß, daß vor diesem Zeitraum in der Menschheit vieles instinktiv sich abgespielt hat, was in diesem Zeitraum eintritt in die volle Bewußtheit, was aufgenommen werden muß von der vollen Bewußtheit. Daher nimmt die soziale Bewegung in dieser Zeit, für die sie besonders charakteristisch ist, die Gestalt an, die in dem ja oft gebrauchten Wort, das nur nicht intensiv genug charakterisiert wird, zutage tritt: proletarisches Klassenbewußtsein. Bei diesem Wort «proletarisches Klassenbewußtsein» sollte man viel weniger darauf Rücksicht nehmen, daß es hindeutet auf den notwendigen Kampf, in den sich der Proletarier gegen die anderen Klassen verstrickt glaubt, man sollte vielmehr darauf hinweisen, daß etwas eingezogen ist in die Seele des Proletariers in einem Zeitalter, in dem soziale Instinkte, die früher gewaltet haben, in soziales Bewußtsein sich umgestalten. Früher waren Klasseninstinkte vorhanden. Nunmehr liegt zugrunde der sozialen Bewegung Klassenbewußtsein.

Dieses Klassenbewußtsein, es ist, ich möchte sagen, nur der Oberfläche nach bezeichnet, wenn man den Wortlaut ernst nimmt : proletarisches Klassenbewußtsein. Das, was sich in diesem Wort «proletarisches Klassenbewußtsein» versteckt, das ist etwas ganz anderes. Und es läßt sich vielleicht, wenn man kurz eine wichtige Tatsache charakterisieren will, diese Tatsache so charakterisieren : Innerhalb alter Berufszusammenhänge, wie sie sich zum Beispiel im alten Handwerk oder in anderen Berufen zum Ausdrucke brachten, lagen gewisse soziale Instinkte, die in die menschliche Seele hereinleuchteten, die in der menschlichen Seele krafteten. Diese Instinkte konnten wirken, so daß sie ein gewisses persönliches Band bildeten zwischen dem, was der Mensch denkt, fühlt, will, was er für seine Ehre, für seine Freude, für sein ästhetisches Bedürf­nis hält. Die Arbeit selbst gab den Menschen für alle diese Dinge etwas.

Als der Mensch an die Maschine gestellt worden war, als er in das durchaus unpersönliche Getriebe des modernen Kapitalismus hineingestellt wurde, wo nicht mehr klar durchsichtig für die verfertigte Menschenleistung das Entgelt auftritt, sondern wo die Vermehrung des Kapitals durch das Kapital das Wesentliche ist, also der Mensch hineingestellt worden ist auf der einen Seite in das Maschinengetriebe, auf der anderen Seite in den modernen Kapitalismus und seine Wirtschaftsordnung, da war er herausgerissen aus denjenigen Welt- und Lebenszusammenhängen, die ihm etwas gaben für sein Persönliches, für seine persönliche Freude, für seine persönliche Ehre, für seine persönlichen Willensimpulse. Er war gewissermaßen auf die Spitze seiner Persönlichkeit gestellt neben der Maschine, innerhalb der rein objektiven, unpersön­lichen Zirkulation von Ware und Kapital, die ihn menschlich-persönlich im Grunde nichts anging. Aber die menschliche Seele will immer in einer gewissen Weise voll wirken, will immer ihren ganzen Umfang eigentlich entfalten. Und so wurde der Arbeiter, der entrissen wurde aus den charakterisierten anderen Lebenszusammenhängen, der hineingestellt wurde in einen Zusammenhang, der losgerissen ist von der voll-lebendigen Menschlichkeit, darauf hingewiesen, über seine Menschenwürde nachzusinnen, seine Menschenwürde nachzuempfinden.

Und so verbirgt sich hinter dem, was man proletarisches Klassenbe­wußtsein nennt, in der modernen geschichtlichen Entwickelung in Wahrheit ein Heraufdämmern, ein Heraufglänzen eines vollen, aus dem Menschenwesen, aus der menschlichen Seele selbst geschöpften Men­schenbewußtseins. Hinlenkung des Bewußtseins auf die Frage : Was bin ich als Mensch ? — auf die Frage : Was bedeute ich als Mensch in der Welt? — das zu empfinden hatte derjenige Gelegenheit, der als Proleta­rier hingestellt war neben die den Menschen verleugnende Maschine, neben das den Menschen verleugnende Kapital.

Da glaube ich doch, daß die ganze Betrachtung der sozialen Frage auf einen anderen Boden gestellt wird, wenn man bedenkt, daß, während die übrigen Menschen mehr oder weniger aus Lebenszusammenhängen heraus, die nicht so radikal Revolutionierendes brachten, aus den alten Instinkten in das moderne Bewußtsein hineingetrieben worden sind, der moderne Proletarier radikal in die bewußte Auffassung seiner selbst hineingetrieben wurde aus der früher bloß instinktiven Auffassung der Menschenwürde und der sozialen Stellung des einzelnen Menschen in der menschlichen Gesellschaft.

Nun fiel dieses Eintreten des Menschheitsbewußtseins in die Seele des Proletariers zusammen mit allerlei anderem, das ja vorging in der menschlichen Entwickelung. Es fiel zusammen mit einer gewissen Stufe des menschlichen Denkens, mit einer gewissen Stufe der menschlichen Entwickelung. Man kennt heute im Grunde genommen die geschichtliche Entwickelung der Menschheit sehr schlecht. Denn diese geschichtliche Entwickelung der Menschheit, sie wird ja im Grunde genommen immer von der einen Seite oder von der anderen Seite parteiisch dargestellt. Wer unbefangen hinblickt auf die Entwickelung der Menschheit, dem stellt sich oftmals etwas ganz anderes heraus als das, was üblich ist zu sagen über diese Entwickelung der Menschheit. So kann man auch sagen: Wer heute auf das hinsieht, was gegenwärtig am meisten Autorität genießt, die Wissenschaft, der weiß, daß auch das, was man heute gewissermaßen mit absoluter Objektivität belegt, sich entwickelt hat, aus irgend etwas hervorgegangen ist und deutlich in sich die Kennzeichen davon trägt, daß es auch wiederum andere Gestalten annehmen werde. Sieht man auf diese Wissenschaft hin in ihren glänzenden Methoden, in ihren unendlich gewissenhaften Forschungsweisen, auf diese Wissenschaft, die geradezu besonders geeignet ist, die Natur und ihre Erscheinungen zu durchdringen, so merkt man : das Eindringlichste an ihr, was sie zu sagen hat, ist, daß sie im Grunde genommen recht wenig geeignet ist, zu ergreifen das tiefste, intimste menschliche Fühlen und Empfinden, daß sie recht wenig zu sagen hat über das, was der Mensch eigentlich wissen will, wenn er seinen Blick richtet auf Selbsterkenntnis und Selbsterfassung. Auch die Wissenschaft hat sich in gewisser Weise losgerissen vom Menschen. Sie trägt keinen persönlichen Charakter mehr, und sie spricht auch nicht mehr von dem, was im Menschen das Geistige, das Übersinnliche, das Ewige ist. Spricht sie davon, so zeigt sie deutlich, daß sie in der Art, wie sie heute Mode ist, nicht die entsprechenden Methoden, nicht die entsprechenden Forschungsweisen hat.

Man kann von dieser Gestalt der Wissenschaft zurückblicken auf jene Zeiten, wo innerhalb der Menschheitsentwickelung das Leben noch in vollem Zusammenhang zeigte religiöse Erfassung der Welt, religiöses Empfinden und wissenschaftliches Anschauen. Die beiden traten auseinander. Was einheitlich war, spaltete sich ungefähr in derselben Zeit, in der jene objektive Revolution heraufkam, die im Maschinenzeitalter und im modernen Kapitalismus ihren Ausdruck findet. Damals war es auch, als diese wirtschaftliche Umwälzung geschah, damals war es auch, wo gewissermaßen die religiöse Entwickelung stillestehen wollte, nicht mitmachen wollte das, was der wissenschaftlichen Entwickelung sich ergab. Damals, als man die Galilei, die Giordano Bruno verurteilte, da blieb in einer gewissen Weise das innerste menschliche Empfinden und Fühlen zurück vor demjenigen, was aus dem Menschen heraus über die Natur, über die Welt überhaupt sprechen will. Der Mensch verlor den Glauben daran, daß er durchdringen könne sein Wissen mit religiöser Glut, mit religiöser Wärme. Heute ist man stolz darauf, daß man die Wissenschaft freihalten kann von alldem, was man nur der Religion zuerteilen will. In diese Zeit hinein, wo die Wissenschaft immer mehr und mehr religionsfrei, geistfrei werden wollte, in diese Zeit hinein fällt die Entwickelung des proletarischen Bewußtseins, fällt die Ergreifung des Menschheitsbewußtseins durch das Proletariat.

Dieses Proletariat drängte hin zum modernen Denken, zur modernen Intelligenz, zum Erfassen desjenigen, was erfaßt werden kann mit den menschlichen Geisteskräften. Es fand aber eine Wissenschaft, die nicht mehr in sich die Stoßkraft hatte, den ganzen Menschen zu ergreifen und zu erfüllen. Und das hat der Seele des modernen Proletariers die besondere Gestalt gegeben. Das geistige Bewußtsein der Menschheit, das geistige Bewußtsein der führenden Klassen, die es in früheren Zeiten waren, hatte seine Stoßkraft verloren, hatte der Menschheit eine mehr oder weniger für die menschlichen Angelegenheiten abstrakte Wissenschaft geliefert. So sahen sich die Seelen des Proletariats der neueren Zeit einer Wissenschaft gegenübergestellt, die nicht das Vertrauen erweckte, daß durch sie etwas gegeben werden kann, was als wahrste innerste Geistwirklichkeit in der äußeren sinnlichen und wirtschaftlichen Tätigkeit lebt. Eine solche Wissenschaft hatte der Proletarier vor sich, einer solchen Wissenschaft sah er sich gegenübergestellt. In sie lebte er sich ein. Und so trat in seiner Seele etwas aus rein geistigen Entwickelungsuntergründen auf, was heute wie als eine Selbstverständlichkeit, wie als eine absolute Wahrheit genommen wird, was aber nur in seiner wahren Wesenheit erkannt wird, wenn man einen Blick hat für das, was in den Seelen der Menschen vor sich geht. Was den tieferen Beobachter am meisten berührt, das ist die Art und Weise, wie der moderne Proletarier über die eigentlichen geistigen Angelegenheiten, über Sitte, Sittlichkeit, Kunst, Religion, selbst über Wissenschaft innerhalb der Menschheitsentwickelung redet, daß er alle diese Dinge mit dem Ausdruck Ideologie umfaßt. Das berührt einen am allertiefsten. Insbesondere berührt es einen tief, wenn man vernimmt, dieser moderne Proletarier glaube sich klar sein zu können, daß alles das, was der Mensch denkt, was er künstlerisch ausbildet, was er religiös empfindet, eigentlich nur wie ein aus der menschlichen Seele heraus gebildetes Scheinbild, eine Ideologie ist. Die wahre Wirklichkeit aber sind die wirtschaftlichen Kämpfe, sind die ökonomischen Vorgänge; die stellen eine Wirklichkeit dar. Das, was sie wie einen Abglanz hineinwerfen in die menschliche Seele, das ist geistige Entwickelung der Menschheit, das ist Ideologie. Das wirft höchstens wiederum einige Impulse zurück in die rein materielle Wirklichkeit des ökonomischen Geschehens. Aber es ist auch, wenn es wieder zurückwirkt in das ökonomische Geschehen, doch ursprünglich aus diesem ökonomischen Geschehen herausgewachsen.

Diese Stellung zum geistigen Leben, die lebt in der modernen proletarischen Frage als etwas viel Wesentlicheres, als man denkt. Und warum, warum ist Kunst, Sitte, Sittlichkeit, Religion, sonstiges geistiges Leben dem modernen Proletarier zur Ideologie geworden? Weil er empfangen hat von denjenigen, die früher die führenden Kreise waren, eine Wissen­schaft, die nicht mehr einen lebendigen Zusammenhang unterhalten will zu der wirklichen Geistwelt, eine Wissenschaft, die nicht mehr aufweist irgendeinen Impuls, der zu wirklicher Geistigkeit führt. Eine solche Wissenschaft kann höchstens zu abstrakten Begriffen als Naturgesetze führen. Sie kann auch zu nichts anderem führen, als zu einer Anschauung des Geistigen als Ideologie. Sie zeitigt Methoden, die eben nur geeignet sind auf der einen Seite für die rein objektive, außermenschliche Natur, und innerhalb des Menschenlebens nur für das wirtschaftliche Geschehen. Als der moderne Proletarier diese Wissenschaftsrichtung übernehmen mußte, da wurde sein Blick wie durch eine mächtige suggestive Kraft hingelenkt auf das, worauf man durch solche Wissenschaft nur hingelenkt werden kann, auf das Wirtschaftsleben. Und er fing an zu glauben, daß dieses Wirtschaftsleben die einzige Wirklichkeit sei, während die Wahrheit die ist, daß das, was ihm die bürgerlichen Klassen als Wissenschaft übergeben haben, eben einzig und allein sich richten kann auf das wirtschaftliche Leben.

Das aber war ein ungeheuer Ausschlaggebendes, denn das gab der modernen proletarischen Bewegung ihren eigentlichen charakteristischen Impuls. Man kann sehen, wie altes Instinktives in dieser proletarischen Bewegung noch vorhanden war, selbst bis in die letzten Jahrzehnte des 19. Jahrhunderts hinein. Man findet da in einzelnen proletarischen Programmen noch solche Punkte, wo gesprochen wird von einem Bewußtsein der Menschenwürde, von der Inanspruchnahme von Rechten, die zu solcher wahren Menschenwürde führen. Seit den neunziger Jahren aber sehen wir unter dem Einfluß derjenigen Impulse, von denen ich eben gesprochen habe, wie des Proletariers und seines gelehrten Verfechters Blick wie durch eine mächtige suggestive Kraft bloß hingelenkt worden ist auf das Wirtschaftsleben. Und nun glaubt er nicht mehr, daß anderswo in einem Geistigen oder Seelischen ein Anstoß liegen könne zu dem, was notwendig eintreten müßte auf dem Gebiete der sozialen Bewegung. Er glaubt allein, daß durch die Entwickelung des ungeistigen, unseelischen Wirtschaftslebens der Zustand herbeigeführt werden kann, den er als den menschenwürdigen empfindet. So wurde sein Blick darauf gerichtet, das Wirtschaftsleben selber so umzugestalten, daß ihm genommen werde all der Schaden, der von der privaten Unternehmung, von dem Egoismus des einzelnen Arbeitgebers herrührt und der Unmöglichkeit des einzelnen Arbeitgebers, gerecht zu werden den Ansprüchen auf Menschenwürde von seiten der Arbeitnehmer. Und so fing der Proletarier an, das einzige Heil zu sehen in der Überführung alles Privatbesitzes an Produktionsmitteln in gemeinschaftlichen Betrieb oder gar gemeinschaftliches Eigentum. Dabei liegt zugrunde das, was sich allein ergeben konnte, wenn man gewissermaßen den Blick abgelenkt hatte von allem Seelischen und Geistigen, wenn das Geistige rein zur Ideologie geworden war, wenn man eine Methode hatte und auf diese als eine rein wissenschaftliche fußte, die doch nur hingerichtet sein konnte auf den rein ökonomischen Prozeß.

Nun stellte sich aber eine sehr merkwürdige Tatsache heraus, die eben zeigt, wieviel Widerspruchsvolles in dieser modernen proletarischen Bewegung liegt. Der moderne Proletarier glaubt, daß die Wirtschaft, das Wirtschaftsleben selbst sich so entwickeln müsse, daß ihm zuletzt sein volles Menschenrecht werde. Um dies volle Menschenrecht, so wie er es anschaut, kämpft er. Allein innerhalb seines Strebens tritt etwas auf, was eben niemals aus dem wirtschaftlichen Leben allein als eine Folge auftreten kann. Das ist eine bedeutende, eine eindringliche Sprache redende Tatsache, daß geradezu im Mittelpunkte der verschiedenen Gestaltungen der sozialen Frage aus den Lebensnotwendigkeiten der gegenwärtigen Menschheit heraus etwas liegt, von dem man glaubt, daß es aus dem Wirtschaftsleben selbst hervorgehe, dieses aber niemals aus dem Wirtschaftsleben allein hervorgehen konnte, was vielmehr in der geraden Fortentwickelungslinie liegt, die über das alte Sklavenwesen durch das Leibeigenwesen der Feudalzeit zu dem modernen Arbeitsproletariat heraufführt. Wie auch immer die Warenzirkulation, die Geldzirkulation, das Kapitalwesen, der Besitz, das Wesen von Grund und Boden und so weiter sich gestaltet haben, innerhalb dieses modernen Lebens hat sich etwas herausgebildet, was nicht deutlich ausgesprochen wird, auch von dem modernen Proletarier nicht ganz deutlich ausgesprochen wird, was aber nur allzu deutlich empfunden wird als der eigentliche Grundimpuls seines sozialen Wollens. Das ist dieses : die moderne kapitalistische Wirtschaftsordnung kennt im Grunde genommen nur Ware innerhalb ihres Zirkulationsgebietes. Sie kennt Wertbildung dieser Waren innerhalb des wirtschaftlichen Organismus. Und es ist innerhalb des kapitalistischen Organismus der neueren Zeit etwas zu einer Ware geworden, von dem heute der Proletarier empfindet : es darf nicht Ware sein. Aber er kann sich wissenschaftlich, da sein Blick nur auf das ökonomische Leben gerichtet ist, doch nichts anderes sagen, als : es ist Ware. Das ist nämlich seine eigene Arbeitskraft.

Wenn man einmal einsehen wird, daß hier einer der Grundimpulse der ganzen modernen sozialen Bewegung liegt, daß in den Instinkten, in den unterbewußten Empfindungen des modernen Proletariers ein Abscheu davor lebt, daß er seine Arbeitskraft dem Arbeitsunternehmer ebenso verkaufen muß, wie man auf dem Markte Waren verkauft, daß er einen Abscheu empfindet, daß auf dem Arbeitskräftemarkt nach Angebot und Nachfrage seine Arbeitskraft ihre Rolle spielt, wie die Ware auf dem Markte unter Angebot und Nachfrage, wenn man darauf kommen wird, daß dieser Abscheu vor der Ware Arbeitskraft der eigentliche Grundimpuls der modernen sozialen Bewegung ist, wenn man ganz unbefangen darauf blicken wird, daß dies eindringlich und radikal auch von den sozialistischen Theorien nicht hinlänglich ausgesprochen wird, dann wird man den Punkt gefunden haben, von dem ausgegangen werden kann in dem, was sich heute so drängend, ja brennend erweist mit Bezug auf die soziale Bewegung.

Im Altertum gab es Sklaven. Der ganze Mensch wurde wie eine Ware verkauft. Etwas weniger vom Menschen wurde verkauft, aber noch immer nahezu der ganze Mensch, in der Leibeigenschaft. Das Kapital ist die Macht geworden, die noch etwas vom Menschen als eine Ware in Anspruch nimmt, nämlich seine Arbeitskraft. Die Methoden müssen gesucht werden, durch die getrennt werden kann von der übrigen Warenzirkulation die Ware Arbeitskraft. Man wird erst durchschauen, was hinter dieser Tatsache steckt, wenn man nicht suggestiv auf das Wirtschaftsleben hinsieht, das nach ganz anderen Methoden begriffen werden muß als der Mensch selber, wenn man wissen wird, daß nicht aus diesem Wirtschaftsleben heraus, sondern aus einem ganz anderen Erleben im sozialen Organismus herausfließen muß die Art, wie die menschliche Arbeitskraft dem Charakter der Ware entzogen werden könne. Man wird einsehen müssen — und geisteswissenschaftliche Forschung wird dazu die Grundlage geben —, daß der Glaube falsch ist, man könne durch die Betrachtung des bloßen Wirtschaftssystems, auf das allein die naturwissenschaftliche Methode paßt, die Wege herausfinden, wie die Arbeitskraft des einzelnen Menschen in den sozialen Organismus sich eingliedern könne. Erst wenn man verstehen wird, daß der Glaube, Arbeitskraft gehöre dem wirtschaftlichen System an, dem anderen Glauben gleicht, dem man sich hingibt, wollte man, was im mensch­lichen Lungen- und Herzsystem, im Zirkulationssystem vor sich geht, in gleicher Art betrachten wie das, was im Nervensystem des Kopfes vor sich geht, ist man auf dem rechten Weg. Das Nerven- und Sinnessystem, wie es im Kopfe zentralisiert ist, ist im menschlichen Organismus ein eigenes, für sich bestehendes, selbständiges Glied. Was als Lungen- und Herzsystem, als Zirkulationssystem vorliegt, ist wiederum ein für sich bestehendes, selbständiges Glied. Ebenso das Stoffwechselsystem. Das Genauere können Sie in meinem Buch «Von Seelenrätseln» nachlesen. Das ist das Charakteristische im menschlichen Organismus, daß seine Systeme gerade dadurch ihre rechte Entfaltung und Wirksamkeit entfalten, daß sie nicht zentralisiert sind, sondern daß sie nebeneinander bestehen und frei zusammenwirken. Kann man heute nicht einmal in dieser umfassenden, eindringlichen Weise den menschlichen Organismus begreifen, so kann man mit der Wissenschaft, die noch nicht reformiert ist, die aber in geisteswissenschaftlichem Sinne reformiert werden muß, den sozialen Organismus erst recht nicht verstehen. Man glaubt heute, der menschliche Organismus ist etwas Zentralisiertes, während er eine Dreigliedrigkeit ist.


Und so ist auch der soziale Organismus eine Dreigliedrigkeit. Was heute unter einer mächtigen Suggestion als einziger sozialer Organismus angesehen wird, das Wirtschaftssystem, das ist nur ein Glied. Ein anderes Glied ist dasjenige, aus dem heraus entspringen muß das Verständnis für die Funktion der menschlichen Arbeitskraft in der ganzen Struktur des sozialen Organismus. Die beiden Systeme müssen nebeneinanderstehen. Und der Charakter der Ware wird der Arbeitskraft nur im falschen neuzeitlichen Denken verliehen.

Und dieses engherzige neuzeitliche Denken, das hat auf der anderen Seite das dritte, das sich selbständig in den ganzen sozialen Organismus hineinstellen muß, das geistige Leben, zur bloßen Ideologie gemacht. Die theoretische Ansicht, daß das Geistige bloß Ideologie ist, sie ist das Ungefährlichste. Das Wichtigste ist, daß in einem Menschen, der die Anschauung hat, das Geistige wurzele nicht in einer allen Dingen zugrunde liegenden geistigen Wirklichkeit, sondern in einer bloßen Ideologie, nicht die geistige wirkliche Stoßkraft vorhanden sein kann. Ein solcher Mensch hat kein Interesse daran, dem geistigen Leben seine rich­tige Rolle in der Welt zuzuerteilen.

Betrachtet man gerade nach den Lebensnotwendigkeiten der neueren Zeit das, was sich auf dem Gebiete des proletarischen Bewußtseins abgespielt hat, so findet man, daß man nicht einen Einblick gewinnen konnte in die drei Glieder des sozialen Organismus. Der ist einem verlorengegangen. Nach Verstaatlichung strebt man, weil man glaubt, daß ein ein­ziger sozialer Organismus alles übernehmen könne.

Geisteswissenschaftliches Bewußtsein muß einen weiteren Horizont eröffnen, als heute selbst in dieser brennenden Zeit von berufenen Führern oftmals gegeben wird mit Bezug auf die soziale Frage. Es muß hingewiesen werden darauf, daß nicht nur Neues gewollt werden soll, sondern daß wir nötig haben, neu zu denken, daß wir nötig haben nicht nur eine wissenschaftliche Betrachtung des sozialen Lebens, welche die traditionelle Wissenschaft übernimmt, sondern daß wir nötig haben den Neuaufbau einer Wissenschaft, die neue Gedanken, die erst Wirklichkeitsgedanken sein werden vom sozialen Organismus, in das Bewußt­sein der Menschheit hineinbringt.

Das wird dazu führen müssen, daß die Gründe für soviel Unglück in der neueren Zeit einmal durch das Menschheitsbewußtsein beseitigt werden. Auch derjenige, der nicht theoretisch, sondern aus dem Leben heraus wirkt, wie ich glaube, es auch in dieser Stunde getan zu haben, auch der wird heute abgefertigt und unschädlich gemacht zumeist von denjenigen, die sich die eigentlichen Praktiker denken, indem sie sagen: Ach, von solchen theoretischen Sachen kommt doch nichts irgendwie Ersprießliches in die Welt. Diese «Lebenspraktiker», die die wahren Abstraktlinge sind, diese Lebenspraktiker, deren Praxis in nichts anderem besteht als in der Beschränkung ihres Sinnes auf die engste Grenze, diese Lebenspraktiker sind es, die vielfach das Unglück und die Katastrophe der neueren Zeit herbeigeführt haben. Werden sie weiter wirtschaften können auf allen Parteirichtungen, wird das Unglück nicht zu Ende gehen, wird das Unglück sich nur ins Unermeßliche erweitern. Die wirklichen Lebenspraktiker müssen ihre gebührende Stellung in der öffentlichen Wirksamkeit erhalten, diejenigen, die von den Entwickelungsmöglichkeiten sprechen, die im sozialen Organismus räumlich und in der zeitlichen Entwickelung liegen, wie zum Beispiel im einzelnen menschlichen Organismus. Diese wahren Lebenspraktiker, die aus der tiefer liegenden Wirklichkeit heraus sprechen, die sind es, auf welche in Wahrheit heute gerechnet werden sollte. Sie sind es, die nicht zu verzweifeln brauchen an ihrem eigenen Wissen. Sie sehen allerdings zu ihrem Leidwesen und zu ihrem Bedauern, wie das, was die Lebenspraktiker, auch die sozialistischen Lebenspraktiker, auf der anderen Seite einzig und allein tun zu müssen glauben, wie das nirgends zu etwas anderem als zum Raubbau des Lebens führen kann. Derjenige, der aus dem Geiste heraus als Lebenspraktiker wirken will, will aus der Wirklichkeit für lebensfähige Wirklichkeit streben.

In welchem Sinne Lösungsversuche sich ergeben können für die Fragen, die ich versucht habe, heute aus den neueren Lebensgewohnheiten heraus in einer wahren Gestalt darzustellen, wie daraus Lösungsversuche sich ergeben können auf Grundlage einer Wirklichkeitsuntersuchung des sozialen Lebens und der gesellschaftlichen Struktur der Menschheit, davon werde ich mir dann erlauben, übermorgen hier zu sprechen.