Si on gagne des façons de voir
à la mesure des choses sur la vie
sociale, cela dépend en beaucoup de
rapport de cela si on est clair pour
soi là dessus quel rapport domine
entre les humains, qui dans leur vie
en commun provoquent donc bien la vie
sociale et les institutions à
l'intérieur desquelles vivent les
humains. Qui se tient dedans non
prévenu dans la vie sociale, celui-là
pourra découvrir que finalement tout
ce que nous avons autour de nous
d'institutions, se constitue par les
mesures, par la volonté des humains.
Qui se résout à cette façon de voir,
celui-là se dira finalement :
dans la vie sociale il s'agit avant
toutes choses si les humains font leur
preuve comme sociaux ou antisociaux de
leurs forces, de leurs capacités, de
leur mentalité à d'autres humains et
ainsi de suite. Des humains avec
mentalité sociale, façon de voir la
vie sociale vont se former des
institutions qui œuvrent socialement.
Et on peut dire en très large
mesure : si l'individu est en
mesure de s'acquérir pour ses
encaissements la subsistance
correspondante, cela dépendra de cela
comme ses semblables lui fabriquent
les moyens pour cette subsistance,
s’il travaille pour lui ainsi qu'il
peut payer sa subsistance de ses
moyens.
Si l'individu peut acheter
suffisamment de pain – quand on
parvient au plus concret -, dépendra
justement de cela si les humains ont
atteint de telles institutions par
lesquelles un tel qui travaille, qui
fourni quelque chose, pour son
travail, pour sa prestation peut
s'échanger le pain correspondant. Et
si l'individu est en mesure d'amener
son travail vraiment à la mise en
œuvre, de se tenir vraiment à la
place, sur laquelle il peut acquérir
les moyens nécessaires pour sa
subsistance, cela dépend à nouveau de
cela si les humains parmi lesquels il
vit on atteint des instituions
sociales par lesquelles il peut venir
à sa place correspondante.
Maintenant, il y a en fait besoin
seulement peu d'un regard non prévenu
dans la vie de société pour
reconnaître ce qui justement a été
exprimé comme un axiome, comme une
connaissance de base de la question
sociale. Et qui ne le reconnaît pas, à
celui-là on pourra lourdement prouver
ce principe parce qu'il n'a pas le
penchant de regarder non prévenu sur
la vie, pour se convaincre – il le
peut de chaque morceau de la vie – que
c'est vraiment ainsi.
Toutefois pour l'humain
actuel cette façon de voir a quelque
chose d'extraordinairement
désagréable. Car l'humain actuel place
une grande valeur là-dessus qu'on ne
tape seulement donc pas à lui-même. Il
le laisse facilement trouver à son
goût, quand on parle de cela
qu'institutions devraient être
améliorées, qu'instituions devraient
être transformées, mais il le ressent
comme une atteinte à sa dignité
d'humain quand on est obligé de parler
de cela que lui-même dans sa
constitution d'âme, dans son
comportement de vie devrait se
soumettre à une transformation. Il le
laisse facilement trouver à son goût,
quand on dit, les institutions doivent
être formées socialement ; il le
laisse difficilement trouver à son
goût quand on place l'exigence, il
devrait se former social lui-même.
Et ainsi est entré
alors quelque chose
d'extraordinairement étrange dans les
récentes évolutions historiques de
l'humanité. La vie économique s'est
dans le cours du dernier siècle, comme
je l'ai expliqué dans la première
conférence, développé vers dehors par
dessus ce que les humains on formés de
façons de voir, particulièrement de
façons de voir juridiques et
spirituelles sur cette vie économique.
J'ai rendu attentif là dessusdans la
première conférence, comme tout de
suite la critique de société de Woodrow
Wilson équivalait à ce qu'il
disait : la vie économique a
placé ses exigences, a progressé, a
prise certaines formes ; la vie
juridique, spirituelle par laquelle
nous cherchons à dominer cette vie de
l'économie, elle se tient encore sur
de vieux points de vue, elle n'a pas
suivi. Mais par cela est exprimé
absolument un fait profondément
significatif de la récente évolution
de l'humanité.
Avec la montée des rapports techniques
compliqués et des rapports
capitalistes compliqués devenus
nécessaires, les rapports
d'entreprise, la vie économique a posé
ses exigences.
Les faits de la vie économique ont,
j'aimerais dire, échappé
progressivement aux humains, ils
prennent plus ou moins leur propre
cours. L'humain n'a pas trouvé la
force de lui-même par ses
représentations, par ses idées de
dominer cette vie économique.
De la pensée sur les exigences
économiques, de la pensée sur
l'économique, comme on l'observe
immédiatement, l'humain récent a
dédaigné à former toujours de plus en
plus ses concepts de droit et aussi
ses concepts spirituels.
Et ainsi, on peut dire : le
caractéristique dans l'évolution de
l'humanité dans les derniers siècles
est qu'aussi bien les concepts de
droit par lesquels les humains veulent
vivre entre eux, comme aussi les
concepts de vie de l'esprit, par
lesquels ils veulent développer et
façonner leurs capacités, sont devenus
à un haut degré dépendant de la vie
économique.
On ne remarque pas du
tout comme tant dans les temps récents
les représentations humaines et
l'attitude des humains les uns aux
autres sont devenu dépendant de la vie
économique. Naturellement les humains
ont aussi créé eux même les
instituions des derniers siècles, mais
ils ne les ont pour la grande part pas
créé à partir de représentations et
idées nouvellement fondées, mais plus
à partir d'impulsions inconscientes,
de motivations inconscientes. Et par
cela s'est montré quelque chose qu'on
peut nommer en réalité un certain
anarchique dans la structure de
l'organisme social. D'après différents
points de vue j'ai, dans les deux
premières conférences, déjà distingué
cet anarchique.
Mais à l'intérieur de
cette structure sociale anarchique des
temps récents se sont justement
développés ces rapports-là qui ont
tout de suite conduit à la question
prolétarienne. Le prolétaire, qui a
été appelé à partir de son artisanat,
placé à la machine, parqué dans la
fabrique – qu'a-t-il essentiellement
vu en ce qu'il regardait la vie, qui
se développait autour de lui ?
Il a en premier lieu vu a sa propre
vie comme tout est dépendant, ce qu'il
peut penser qu'il a de droit vis-à-vis
d'autres humains, comme tout cela est
déterminé par des rapports de pouvoirs
économiques, des rapports de pouvoir
économiques qui avant toutes choses
sont donné pour lui par cela qu'il est
le faible économique vis-à-vis du fort
économique.
Et ainsi, on peut
dire : chez les cercles
dirigeants guides s'est installé un
certain reniement de la vérité de base
que les instituions humaines devraient
provenir de la vie consciente des
humains eux-mêmes. Les humains ont
oublié de vraiment utiliser ces
vérités de base dans la vie sociale.
Les cercles dirigeants guides se sont
progressivement adonnés instinctifs à
une vie – quand aussi pas à une
croyance – qui a rendu l'esprit et le
droit dépendant du moyen de pouvoir
économique. Mais de cela s'est
constituer un dogme, une conception de
vie de personnalités pensant
socialiste et leurs partisans.
La conception de vie est sortie de
cela que dans l'évolution de
l'humanité, il devrait être ainsi
qu'aucune possibilité n’est là que
l'humain s'organise de lui-même les
rapports de droit, que l'humain
lui-même s'organise la vie
spirituelle, mais que la vie
spirituelle et la vie de droit doivent
se monter comme un appendice des
réalités économiques, des branches de
productions économiques et ainsi de
suite.
Et ainsi se constitua la question
sociale sous le point de vue d'une
certaine exigence chez de larges
cercles. À eux la croyance reposait à
la base : la vie économique fait
la vie de droit, la vie économique
fait la vie de l'esprit – ainsi la vie
économique doit être transformée en
soi ainsi qu'elle produit une vie de
droit, une vie de l'esprit comme cela
correspond aux exigences de ces
cercles.
Ce qui était devenu habitudes de vie
des cercles dirigeants guidant, le
prolétariat l'a appris, aussi à le
remonter dans la conscience ; ce
que les autres ont exprimé par
leur vie il l'a fait dogme, et nous
nous tenons aujourd'hui vis-à-vis de
la question sociale que dans de larges
cercles est répandue la façon de
voir : nous devons seulement
transformer la vie de l'économie, les
institutions économiques, alors tout
le reste, alors tout le reste, la vie
de droit, la vie de l'esprit, viendra
de soi-même comment se montreront
elles-mêmes d'institutions
économiquement correctes, bien formées
socialement, ces vies de droit et de
l'esprit.
Sous l'influence de ce
point de vue a été méconnu de quoi il
s'agit en fait dans la récente
question sociale. Cela a été dans une
certaine mesure recouvert, voilé par
une grosse erreur, par une puissante
illusion venant de ce dogme. En effet,
il s'agit en fait de cela : tout
de suite cela est un résultat de la
récente histoire de l'humanité que la
dépendance de la vie de droit et
d'esprit de la vie de l'économie doit
être surmontée. Et pendant que de
larges cercles socialistes pensent
aujourd'hui que la vie de l'économie
devrait tout d'abord être formée
autrement, alors tout le reste se
donnerait de soi-même, on a à se poser
la question : quels rapports
devraient être créés sur les domaines
du droit, de la vie de l'esprit en
eux-mêmes afin qu'à partir de la vie
spirituelle renouvelée, de la vie de
droit renouvelée apparaissent des
conditions économiques qui expriment
un Dasein (NDT être-là) humain digne ?
Pas : comment faisons-nous
toujours plus et plus la vie de droit,
la vie de l'esprit dépendante de la
vie de l'économie ? - c'est cela
avant toutes choses qui doit être
demandé.
Cette considération est une très
importante, car elle nous montre,
quels obstacles sont là pour une façon
de voir de la question sociale du
présent dépourvue d'à priori et comme
un des plus importants obstacles est
un dogme qui s'est formé au cours des
siècles. Et ce dogme s'est ainsi
incrusté que de nombreux cultivés et
non cultivés du présent, prolétaires
et non prolétaires, vous moquent tout
de suite aujourd'hui quand on croit
que de quelque façon à partir d'un
autre côté que par la transformation
de la vie économique pourrait aussi
venir une guérison de la vie de droit
et de la vie de l'esprit.
Maintenant ma tâche est de parler
aujourd'hui sur la vie de droit,
après-demain sur la vie de l'esprit.
La vie de droit a donc aussi dans son
essence et signification à placer de
multiple fois les humains devant la
question : quelle origine a en fait le
droit ? Quelle origine a ce que dont
les humains disent dans leur
comportement réciproque, ce serait
légitime ? – Cette question a donc
toujours été pour les humains une
très, très importante. Seul c'est très
remarquable, que chez un large cercle
de personnalités observatrices
socialement la question du droit
proprement dite, on aimerait dire, est
tombée dans un trou, n’est plus du
tout là. Certes, des discussions
académiques théoriques sont aussi
aujourd’hui disponibles sur l’essence,
la signification du droit et ainsi de
suite, mais dans l’observation sociale
de larges cercles est justement
caractéristique, que la question du
droit est plus ou moins passée à
travers.
Si je devais vous
discuter cela, je dois vous rendre
attentif à quelque chose, qui apparaît
dans le présent donc toujours de plus
en plus souvent, pendant qu’il y a peu
de temps ce n'était encore entièrement
pas vu. Les humains ont vu monter des
conditions sociales intenables. Aussi
ceux, qui dans leur propre coût de vie
sont restés plus ou moins épargnés par
ces conditions non sociales, ont
essayé d’y réfléchir.
Et pendant qu’en un temps relativement
court ce fut vraiment radicalement
ainsi que je vous l’ai justement
affirmé, qu’on a seulement ri, quand
quelque chose était attendu de
question de droit et d’esprit pour les
conditions économiques, vous fait
front aujourd’hui – mais comme de
sombres profondeurs de l’esprit,
pourrait-on dire – toujours plus et
plus l’affirmation : oui, dans le
comportement social réciproque des
humains viendrait en considération
aussi une telle chose comme des
questions d’âme et des questions de
droit ; et beaucoup dans le
désarroi des conditions sociales
reposerait aujourd’hui sur ce qu’on
n'aurait pas suffisamment pris en
considération les rapports d’âmes, les
rapports psychiques et les rapports
juridiques dans leur autonomie. -
Donc, il sera déjà un peu, parce que
c’est tangible, attiré l'attention là
dessus, que le salut devrait venir
d’un autre côté que du pur côté
économique. Mais dans la discussion
pratique de la question, cela ne se
fait encore que peu valoir.
C’est comme un fil rouge qui se tire à
travers tout ce que donnent d’eux les
récents penseurs socialistes, qu’une
structure sociale doit être amenée,
dans laquelle les humains peuvent
vivre d’après leurs capacités et
d’après leurs besoins.
Que cela soit plus ou moins formé
grotesque et radical ou plus d’après
une mentalité conservatrice, il ne
s'agit pas de cela ; nous entendons
partout : les dommages de l’ordre
social actuel reposent en grande
partie sur ce que l’humain ne serait
pas en mesure, à l’intérieur de
l’ordre social actuel, d'utiliser
vraiment pleinement ses capacités ; de
l’autre côté, que cet ordre social
serait tel, qu’il ne pourrait pas
satisfaire ses besoins, notamment que
ne règne pas une certaine régularité
dans la satisfaction des besoins.
En ce qu’on exprime
cela, on revient sur deux éléments de
base de la vie humaine. Capacités,
c’est quelque chose qui se rapporte
plus à la représentation humaine. Car
toutes les capacités surgissent
finalement chez l’humain, là où il
doit agir consciemment, à partir de
ses représentations, de sa volonté de
penser. Certes, le sentiment doit
continuellement enflammer les
capacités de la représentation, les
enthousiasmer ; mais le sentiment
comme tel ne peut rien faire, si la
représentation essentielle n’est pas
là. Donc, quand on parle des
capacités, aussi lorsque l’on parle
des habiletés pratiques, on vient
finalement à la vie des
représentations. Cela alla donc pour
un nombre d’humains, que là devrait
être veillé sur ce que l’humain puisse
amener à faire valoir sa vie de
représentation dans la structure
sociale.
L’autre qui alors sera fait valoir va
plus sur l’élément de vie de la
volonté dans l’humain. La volonté, qui
dépend du désir, du besoin après tel
ou tel produit, est une force
fondamentale de l’être humain.
Et quand on dit, l’humain devrait
pouvoir vivre dans une structure
sociale d’après ses besoins, alors on
regarde vers la volonté.
Sans qu’ils le sachent, les marxistes
eux-mêmes parlent donc de l’humain en
ce qu’ils soulèvent leur question
sociale et en fait aimeraient faire
croire qu’ils ne parlent que
d’institutions. Ils parlent bien
d’institutions, mais ces institutions
ils veulent les former ainsi, que la
vie des représentations, les capacités
humaines, puissent venir à validité,
et que les besoins humains puissent
être satisfaits uniformément, comme
ils sont disponibles.
Maintenant, il y a quelque chose de
très particulier dans cette façon de
voir. Dans cette façon de voir un
élément de vie de l’humain ne vient
notamment pas du tout à validité, et
c'est la vie du sentiment. Voyez-vous,
si on disait : on recherche, on
voudrait obtenir une structure
sociale, dans laquelle les humains
pourraient vivre d’après leurs
facultés, d’après leurs sentiments,
d’après leurs besoins - , ainsi on
atteindrait l’humain entier.Mais de
manière curieuse on laisse de côté la
vie de sentiment de l’humain, en ce
qu’on veut caractériser de manière
englobante ce qu’est le but social
pour l’humain.
Et qui laisse en dehors la vie du
sentiment dans sa vision de
l’humanité, celui-là omet en fait
chaque regard sur les véritables
rapports de droit dans l’organisme
social. Car les rapports de droit
peuvent seulement se développer dans
la vie en commun des humains, comme
dans cette vie en commun des humains
se racle, s’abrase sentiment à
sentiment. Ainsi que les humains se
sentent vis-à-vis les uns des autres,
ainsi se donne ce qu’est droit public.
Et parce que dans la question de base
du mouvement social, on laissait en
fait de côté l’élément de vie du
sentiment, devait, comme je disais,
tomber dans un trou, disparaître la
question du droit. Et il s’agit de
cela qu’on pousse dans la lumière
correcte justement cette question du
droit. Certes, on sait qu’un droit est
disponible, mais on aimerait placer le
droit purement comme un appendice des
conditions économiques.
Et comment se développe
le droit dans la vie en commun humaine
? Voyez-vous, donner une définition du
droit, a été souvent tenté, mais en
fait jamais n’est sortie une
définition satisfaisante du droit.
Justement aussi peu est beaucoup
sorti, quand on a recherché l’origine
du droit, où le droit fait souche.
On voulait répondre à cette question.
Il n’est jamais vraiment sorti quelque
chose en cela.
Pourquoi pas ? C’est tout de suite
ainsi que quand on voulait développer
n’importe comment la langue de la
nature humaine et purement de la
nature humaine. Il a été souvent dit,
et c’est juste : l’humain, qui grandit
sur une île déserte, ne viendrait
jamais à parler, car la langue
s’enflamme aux autres humains, à
l’ensemble de la société humaine.
Ainsi s’enflamme le
droit aussi du sentiment dans le
collaborer le sentiment de l’autre à
l'intérieur de la vie publique. On ne
peut pas dire, le droit provient de
tel ou tel angle de l’humain ou de
l’humanité, mais on peut seulement
dire : les humains viennent par leurs
sentiments, qu’ils développent
mutuellement les uns pour les autres,
dans de tels rapports, qu’ils
définissent, fixent, déterminent cette
relation dans des droits.
Le droit est donc quelque chose, après
quoi devrait être demandé ainsi,
qu’avant toutes choses on considère
son développement à l’intérieur de la
société humaine. Mais par la
considération du droit vient justement
dans l’étroite proximité pour l’humain
moderne, ce qui s’est développé vers
le haut dans l’histoire de l’humanité
récente comme exigence démocratique.
On ne parvient pas prêt
de l'essence de telle exigence, comme
l'est l’exigence démocratique, quand
on ne considère pas l’évolution
humaine elle-même comme une sorte
d’organisme. Mais les actuelles
manières de considérer sont très, très
éloignées de cela. Chaque humain le
ressent, certes comme quelque chose de
très risible et paradoxal, quand on
voudrait expliquer, comment l’humain
se développe de la naissance à la mort
sous l’influence des produits
alimentaires ; quand on voudrait
expliquer, parce que le chou est
ainsi, le blé ainsi, la viande de bœuf
ainsi, l’humain se développe de la
naissance jusqu'à la mort ainsi et
ainsi. Non, personne n’admettra que
cela est une manière de considérer
raisonnable, mais chacun admettra
qu’on doit demander :
Comment est-ce fondé dans la nature
humaine elle-même, que par exemple
autour de la septième année à partir
de cette nature humaine les forces
viennent, qui provoquent le changement
de dents ? On ne peut pas tirer du
chou, de la viande de bœuf, les
conséquences que le changement de dent
se déroule. Tout comme on doit
demander : comment se développe à
partir de l’organisme humain ce qui
par exemple représente la maturité
sexuelle ? – et ainsi de suite. On
doit sur ce qui se développe, parvenir
à sa nature intérieure.
Mais cherchez-vous parmi
les sortes de représentations
actuelles une que l’on peut appliquer
à l’histoire de l’évolution humaine,
laquelle par exemple serait claire
là-dessus qu’en ce que l’humanité se
développe sur la Terre, elle développe
d'elle, à partir de son être, dans les
différentes époques, certaines forces
et capacités, certaines particularités
!
Qui apprend à être adéquat dans
l’observation de la nature peut aussi
transposer cette observation adéquate
à l’observation historique. Et là on
trouve, que provenant des profondeurs
de la nature humaine, depuis le milieu
du 15e siècle s'est justement tout de
suite développée cette exigence après
la démocratie et dans les différentes
régions de la Terre a été plus ou
moins satisfaite cette exigence : que
l’humain dans son comportement aux
autres humains ne peut laisser valoir
que ce qu’il sent lui-même comme le
correct, qu’il sent comme lui étant
adapté. Le principe démocratique est
devenu à partir des profondeurs de la
nature humaine, la signature de
l’aspiration humaine dans les
relations sociales des temps récents.
C’est une exigence élémentaire de
l’humanité récente, ce principe
démocratique.
Qui voit clair dans ces choses,
celui-là doit quand même aussi les
prendre pleinement au sérieux, il doit
se soulever la question : quelle est
la signification et quelles sont les
limites du principe démocratique ? –
Le principe démocratique – je l’ai
justement caractérisé – consiste dans
ce que les humains qui vivent ensemble
dans un organisme social clos
devraient prendre des décisions qui
procèdent de chaque individu.
Alors, elles ne peuvent seulement
naturellement devenir des décisions
liantes pour la société par cela que
se montrent des majorités.
Démocratique sera seulement alors, ce
qui pénètre dans de telles décisions à
majorité, quand chaque humain
particulier se tient vis-à-vis de
l’autre humain particulier comme un
égal.
Mais alors, des décisions ne peuvent
aussi être prises que sur ces choses,
dans lesquelles l’humain individuel
comme égal est en réalité égal à
chaque autre humain. Cela signifie :
sur sol démocratique ne peuvent être
prises que des décisions sur
lesquelles chaque humain devenu
majeur, parce qu’il est devenu majeur,
est capable de jugement. Mais avec
cela vous avez – je pense aussi
clairement que seulement possible –
tracé à la démocratie ses limites. Il
peut donc seulement être décidé sur le
sol de la démocratie, ce qu’on peut
simplement juger, parce qu’on est
devenu un humain majeur.
Par cela s’exclut des règles de mesure
démocratique tout ce qui se rapporte
au développement des facultés humaines
dans la vie publique. Tout ce qui est
système éducatif et d’enseignement, ce
qui absolument est vie spirituelle
exige l'installation de l’humain
individuel – nous parlerons plus
exactement de cela après demain -,
exige avant toutes choses de réelles
connaissances humaines individuelles,
exige dans l’enseigner, dans l’éduquer
des facultés individuelles
particulières qu'absolument l’humain
ne peut faire siennes par cela qu'il
est simplement un humain devenu
majeur.
Soit, on ne le prend pas au sérieux
avec la démocratie : alors, on laisse
décider aussi sur tout, qui dépend de
facultés individuelles ; ou bien on le
prend au sérieux avec la démocratie :
alors, on doit exclure de la
démocratie, l’administration de la vie
de l'esprit d’un côté.
Mais on doit aussi exclure de cette
démocratie, ce qui est vie de
l'économie. Tout ce que j’ai développé
hier, repose sur connaissances
factuelles et compétences factuelles,
que l’individuel acquiert dans le
cercle de vie de type économique dans
lequel il se tient. Jamais simplement
la majorité, la faculté de juger de
chaque humain devenu majeur ne peuvent
décider sur ce qu’on est un bon
paysan, ou un bon industriel ou du
même genre. De cela ne peuvent pas non
plus être prises des décisions
majoritaires par chaque humain devenu
majeur sur ce qui a à se passer dans
le domaine de la vie de l'économie.
Cela signifie, le démocratique doit
être distinguée du sol de la vie de
l’esprit, du sol de la vie de
l'économie.
Alors se montre entre les deux
la véritable vie démocratique d’État,
dans laquelle chaque humain se tient
vis-à-vis de l’autre comme capable de
jugement, majeur, égal, dans laquelle
aussi seulement des décisions de la
majorité peuvent être prises sur ce
qui dépend des mêmes facultés à juger
de tous les humains devenus majeurs.
Qui dit ces choses, que j'ai justement
exprimées, pas simplement pensant
abstrait, mais les mesure à la vie,
celui-là voit que les humains
justement se trompent sur ces choses
parce qu'elles sont en fait
malcommodes à représenter parce qu'on
n'aimerait pas développer le courage
de pénétrer dans les dernières
conséquences de ce représenter humain.
Mais cela, qu'on ne
voudrait pas cela, qu'on n'opposerait
à l'exigence générale après démocratie
pas de tout autres choses, cela a eu
une signification très, très pratique
dans la récente évolution humaine.
J'aimerais vous présenter ces choses
beaucoup moins de principes abstraits
que de l'évolution historique de
l'humanité elle-même.
En ces années, nous
avons vu un État disparaître, on
aimerai dire : disparaître à
partir de ses propres conditions, et
cet État pourra tout simplement être
considéré comme objet
d'expérimentation aussi pour questions
de droit. C'est la vielle
Autriche-Hongrie, n'existant plus. Qui
a suivi les années de guerre, celui-là
sait certes que finalement l'Autriche
est tombée par les purs événements
guerriers, mais la dissolution de cet
État autrichien est survenue en un
deuxième phénomène, comme quelque
chose, qui s'est montré à partir de
ses conditions intérieures. Cet État
s'est disloqué et il se serait
vraisemblablement aussi disloqué quand
les événements guerriers se seraient
produits plus bénins pour l'Autriche.
On peut dire cela, quand on a observé
ces rapports en Autriche pendant des
décennies, – comme cela a été possible
à celui qui ici vous parle ; j'ai
passé trente années de ma vie en
Autriche.
C'était dans les années
soixante du précédent siècle, là
apparu de cette Autriche l'exigence
après démocratie, cela signifie après
une représentation du peuple. Comment
serait maintenant formée cette
représentation du peuple ? Cette
représentation du peuple a été formée
ainsi que les représentants du peuple
se recrutèrent dans le conseil
d'empire autrichien de quatre curies,
quatre curies de pure sorte
économique : premièrement la
curie des gros propriétaires, une
curie ; deuxièmement les villes,
marchés et lieux d'industrie, deuxième
curie ; troisièmement les
chambres de commerce, troisième
curie ; la quatrième curie fut
les communes de pays, mais là vinrent
dans les faits, dans les communes de
pays, seulement en question des
intérêts économiques. Donc selon qu'on
était membre d'une commune rurale,
chambre des métiers et ainsi de suite,
on votait ses représentants dans le
conseil d'empire autrichien. Et là
siégèrent maintenant ensemble les
représentants de purs intérêts
économiques. Les décisions, qu’ils
prenaient, venaient, par majorité,
évidemment, à partir d’humains
particuliers, mais les humains
particuliers représentaient des
intérêts tels qu’ils se présentaient
par leur appartenance économique aux
propriétaires de fond et sol, aux
villes, marchés et lieux industriels,
aux chambres de commerce ou aux
communes territoriales. Et que vinrent
par là à apparaître comme droits
publics, qui furent arrêtés par des
décisions à la majorité ? Il apparut
par là des droits publics qui étaient
seulement des intérêts économiques
transformés. Car évidemment, quand par
exemple les chambres de commerce
étaient unies aux gros propriétaires
sur une chose quelconque, qui leur
apportait des avantages économiques,
alors pouvait être prise une décision
majoritaire contre les intérêts de la
minorité, qui peut-être justement
était concernée par la chose.
On peut toujours rassembler des
majorités qui prennent des décisions à
partir des intérêts économiques quand
des représentations d’intérêts
économiques siègent au parlement, mais
qui n’ont par là rien à voir du tout
avec ce qui règne à partir du
sentiment d’humain à humain comme
conscience du droit.
Ou prenez le fait que
par exemple dans le vieux Reichstag
allemand siégeait un grand parti, qui
se nommait Centre, et qui représentait
de purs intérêts spirituels, notamment
spirituels-catholiques. Ce parti
pouvait s’entendre avec chaque autre,
pour que se donne une majorité, et
ainsi de purs besoins spirituels
étaient transformés en quelque droit
public. Cela s’est passé un nombre
incalculable de fois.
Ce qui vit là dans les parlements
modernes voulant devenir
démocratiques, on l’a souvent
remarqué. Mais on n’en est pas venu à
considérer, ce qui a à se passer : une
pure séparation de ce qui est la vie
juridique de ce qui est la
représentation, l’administration
d’intérêts économiques.
L’impulsion pour la tri-articulation
de l’organisme social doit de ce fait
exiger de manière décisive le
démembrement de la vie de droit, du
sol du droit de l’administration des
conditions économiques, de
l’administration du cycle économique.
À l'intérieur du cycle
économique devraient se former des
associations, comme je l'ai expliqué
hier. Des états professionnels se
feront face, des producteurs et des
consommateurs se feront face les uns
les autres. Ce qui là se passera en
faits et mesures purement économiques,
cela reposera sur contrats que les
associations concluront ensemble.
Dans la vie économique, tout reposera
sur contrats, sur des prestations
réciproques. Là, les corporations se
tiendront vis-à-vis de corporations.
Là, expertise et compétence métier
auront à être déterminants. Là il ne
s'agira pas de ce que j'ai comme
opinion, disons, quand je suis
industriel, quelle validité tout de
suite doit avoir ma branche
d'industrie dans la vie
publique ; non, là-dessus je ne
pourrais pas décider, quand la vie
économique est autonome, mais j'aurais
à fournir dans ma branche d'industrie,
j'aurais à conclure des contrats avec
les associations d'autres branches
d'industrie, et celles-ci auront à me
fournir la contre-prestation.
Si je suis dans la situation de les
tenir en rapport de
contre-prestations, de cela dépendra,
si je peux fixer mes prestations. À la
manière de contrat se conclura une
association de compétence. C'est cela
que sont les faits.
La vie doit se
dérouler autrement sur le sol du
droit. Sur le sol du droit il ne peut
s'agir de la détermination de lois qui
justement règlent les droits publics
par décisions majoritaires.
Certes, beaucoup d'humains
disent : mais qu'est finalement
le droit public ? Ce n'est donc
pas autre chose qui, saisit en mots,
apporte en loi, ce qui vit dans les
conditions économiques ! - C'est
en beaucoup de rapports ainsi. Mais
cela laisse l'idée de la
triarticulation de l'organisme social,
comme elle ne laisse absolument pas la
réalité non prise en compte,
absolument pas hors attention :
ce qui se montre comme droits par les
décisions sur sol démocratique, cela
portent évidements les humains, qui
font l'économie, dedans la vie de
l'économie.
Seulement, ils ne devraient pas le
porter dehors et le faire d'abord
comme droit. Ils le portent dedans la
vie de l'économie.
Les abstraits, ils
disent : oui, mais n'est pas dans
la vie extérieure ce que l'un gère
économiquement avec l'autre, quand il
arrête un changement ou semblable et
ce qui se montre là dans la
législation cambiaire, entièrement
contenue dans l'action de la vie
économique ? Cela n'est-il pas
une pleine unité ? Et tu viens,
triarticuleur, et veux maintenant
démonter ce qui dans la vie est une
pleine unité !
Comme s'il n'y avait pas
dans la vie – tout de suite dans la
vie où l'humain n'a aucun accès avec
ses opinions et qu'il ne peut rien
gâter par là - beaucoup de domaines,
où des courants de forces se relient
en une unité à partir de différents
côtés ! Supposez une fois chez
l'humain qui grandit : il a
différentes particularités, qu'il a
reçues par hérédité. Elles adhèrent à
lui. Alors, il a certaines
particularités, qui lui seront amenées
par l'éducation. De deux côtés
l'humain grandissant reçoit des
particularités : par l'hérédité,
par éducation.
Mais faites quelque chose quand vous
êtes devenus âgés de quinze ans, ainsi
vous ne pouvez pas dire que ce ne
serait pas une unité, ce que vous
faites !
Le résultat de votre hérédité et le
résultat de votre éducation, ils
coulent ensemble en une unité. Par
cela une unité vit dedans, mais
seulement par cela correctement une
unité que cela coule ensemble de deux
côtés.
Tout de suite par cela ce sera une
saine unité, que cela coule ensemble
de deux côtés.
Ainsi se montre de la
réalité de la vie pour l'idée de
l'organisme social triarticulé qu'une
saine unité pour l'action dans
l'économique apparaît seulement aussi
loin que des concepts de droits seront
inclus là dedans par cela que les
mesures économiques seront
administrées indépendamment de points
de vue économiques et que les droits
seront créés sur le sol de droit
démocratique.
Les humains portent alors cela
ensemble en une unité. Cela œuvre
ensemble, pendant qu'ils font
caricatures ces droits, quand ils
laissent se constituer eux-mêmes les
droits des intérêts de la vie de
l'économie. Le droit est alors
seulement une photographie, seulement
une empreinte des intérêts économique.
Le droit n'est pas du tout là.
Seulement par que vous laissez le
droit apparaître originellement et
initialement sur son sol autonome
démocratique, vous pouvez le porter
dedans la vie de l'économie.
On devrait croire, cela
serait clair sans plus, qu'on n'aurait
pas besoin en fait de l'expliquer de
manière étendue. Mais notre temps a
tout de suite le particulier que les
plus claires vérités ont été
assombries par la vie récente et qu'on
déforme les plus claires vérités. On
pense aujourd'hui sur le sol sur
lequel se développent beaucoup de
façons de voir socialistes que
la dépendance de la vie de droit de la
vie de l'économie devrait tout de
suite être poursuivie. Je vous ai
esquissé hier comment une sorte de
hiérarchie devrait être fondée d'après
modèle politique et comment la vie de
l'économie devrait être réglée et
administrée d'après cela. Là,
pense-t-on, ceux-là, qui administrent
la vie de l'économie, développeront
ainsi en plus aussi les droits.
On a, en ce qu'on prétend cela, aucun
sens pour la vie concrète, véritable.
La vie de l'économie dans laquelle on
a avant toutes choses à être capable
pour la formation des rapports de
production ne peut pas produire les
rapports de droit, mais ceux-là
doivent être produits à côté de la vie
de l'économie de leur propre source.
Ils ne seront jamais purement produits
de la réflexion, mais par cela que se
développe à côté du cycle économique
un élément étatique, dans lequel
l'humain individuel particulier se
tient vis-à-vis de l'autre humain
individuel.
Il ne s'agit donc pas de cela, qu'à
partir d'une quelque conscience
originelle on produise comme
gestionnaire économique aussi des lois
du droit, mais de ce qu'on créé
d'abord le sol concret sur lequel les
humains viennent en tels rapports par
leurs sentiments qu'ils puissent
transformer ces rapports en des
rapports de droit.
Il s'agit de cela qu'on créé une
réalité à côté de la vie de
l'économie. Alors, le droit ne sera
pas une pure superstructure par dessus
la vie de l'économie, mais sera alors
se tenant là comme une entité autonome
se formant.
Alors, on ne surmontera pas par une
réponse théorique l'erreur de base, la
superstition de la question sociale
comme si on avait besoin seulement de
transformer la vie de l'économie pour
parvenir à d'autres concepts de droit,
alors on créera simplement la réalité
dans l'organisme social triarticulé
par là qu'on créé le sol de droit
autonome, la réalité à partir de
laquelle par circulation humaine et
rapport humain se constitue cette
forte force de propulsion de la vie de
droit qui peut maîtriser la vie de
l'économie.
Et finalement
l'observation historique des temps
récents montre encore à partir d'un
autre côté, comment ce que justement
j'explique est encore prouvé. Regardez
en arrière sur les motivations que les
humains ont encore eues pour leurs
travaux artisanaux et autres jusqu'au
13, 14e siècle. Il sera souvent
accentué par les penseurs socialistes
modernes que l'humain serait séparé de
ses moyens de production. Cela il
l'est à un si haut degré comme c'est
maintenant devenu le cas par les
rapports économiques modernes. Il est
séparé notamment de ses produits. Le
travailleur, qui travaille dans la
fabrique, combien de part a-t-il alors
à ce que l'entrepreneur vend ?
Que sait-il donc de cela ? Que
sait-il du chemin que cela fait dans
le monde ? Un petit bout d'un
grand contexte ! Il ne reçoit
peut-être jamais l'occasion de voir le
grand contexte.
Pensez -vous ce que cela est comme
puissante différence vis-à-vis du
vieil artisanat, où le travailleur
particulier avait sa joie à ce qu'il
produisait, – qui connaît l'histoire
sait, comme cela est le cas ;
pensez au rapport personnel d'un
humain à la production d'une clef de
porte, une serrure et semblable.
Quand on vient en des contées
primitives, on peut faire encore de
très gentilles expériences dans ce
rapport, mais où les contrées sont
moins primitives, là on ne fait plus
de telles expériences. Je vins une
fois – pardonnez-moi que je raconte
quelque chose de si personnel, mais
peut-être cela sert-il à la
caractérisation – dans une telle
contrée et fut vraiment
extraordinairement ravi alors que je
rentrais dans une boutique de coiffeur
et que le commis coiffeur avait sa
claire joie à ce qu'il il pouvait
bellement couper les cheveux à un
humain !
Il avait sa claire joie à ce qu'il
accomplissait. De tels rapports
personnels entre l'humain et son
produit sont toujours de moins en
moins là. Que ce rapport n'est plus
là, cela est simplement une exigence
de la vie de l'économie moderne. Cela
ne peut être autrement sous les
rapports compliqués où nous devons
travailler sous division du travail.
Et n'aurions-nous pas la division du
travail, nous n'aurions pas la vie
moderne avec tout ce que nous avons
pour nécessaire, n'aurions-nous pas de
progrès. Il n'est pas possible que les
vieux rapports entre l'humain et son
produit soient là.
Mais l'humain a besoin
d'un rapport à son travail. L'humain a
besoin que puisse exister joie entre
lui et son travail, une certaine
ardeur à son travail.
La vielle ardeur, l'immédiat être
ensemble avec l'objet produit, cela
n'est plus, mais cela doit être
remplacé par autre chose. Car ce n'est
pas supportable pour la nature humaine
que ne serait pas là une
motivation au travail semblable à
celle qui a été là par la joie à
l'immédiat produire de l'objet. Cela
doit être remplacé par autre chose.
Par quoi cela peut-il être
remplacé ? Cela peut seul être
remplacé par cela que l'horizon de
l'humanité sera agrandi, que les
humains seront appeler vers le dehors
sur un plan sur lequel ils se
rencontreront avec leurs semblables en
grands cercles – finalement avec tous
les semblables, qui habitent avec eux
le même organisme social –, pour comme
humain développer de l'intérêt pour
les humains.
Cela doit arriver que même celui qui
dans le coin le plus dérobé travaille
à une unique vis pour un grand
contexte, n'a pas besoin avec son
rapport personnel de s'ouvrir à
l'instant à cette vis, mais qu'il
puisse porter dedans son atelier, ce
qu'il a accueilli comme sentiment pour
les autres humains, qu'il le trouve à
nouveau, quand il sort de son atelier
qu'il a une vivante façon de voir son
rapport avec la société humaine qu'il
puisse travailler aussi quand il ne
travaille pas avec joie pour le
produit immédiat, de la raison qu'il
se sent un digne membre à l'intérieur
du cercle des ses semblables.
Et de ce besoin est issue l'exigence
moderne après démocratie et cette
façon moderne d'établir le droit, le
droit public de manière démocratique.
Les choses dépendent intérieurement
avec l'essence de l'évolution de
l'humanité. Et ces choses peut
seulement voir clair qui a
l'inclination de regarder vraiment
dedans l'essence du développement de
l'humanité, comme elle se joue sur sol
social. On doit sentir comment
l'horizon des humains devrait être
élargi, comment ils devraient
sentir : certes, je ne sais pas
ce que je fais à mes semblables, en ce
que je fabrique cette vis ici, mais je
sais que par les rapports vivants dans
lesquels je viens à eux par le droit
public, à l'intérieur de l'ordre de
société je suis un membre digne, un
parmi les autres membres valant
également.
C'est cela qui doit
reposer à la base de la démocratie
moderne et ce qui doit reposer à la
base comme sensation à sensation
oeuvrant entre humains, du moderne
public statut de droit. Et seulement
par cela qu'on regarde dedans la
structure intérieure de l'humain on
vient à de véritables concepts
modernes de ce qui doit se développer
comme droit public sur tous les
domaines. Nous aurons encore à parler
de cela plus exactement dans la
cinquième conférence. P94-96 Mais
maintenant pour la fin je veux encore
vous montrer comment le domaine de la
recherche du droit applicable joue du
le sol particulier du droit sur le sol
de l'esprit.
On peut voir , en ce
qu'on regarde simplement à travers les
relations que je vous aie maintenant
caractérisées, comment apparaissent
les lois par émoussage de sensation à
sensation entre des humains également
justifiés sur sol démocratique,
pendant qu'apparaissent sur sol
économique les contrats entre
coalisions ou aussi entre les humains
particuliers.
À partir de l'instant où il s'agit de
ce que l'individu a à chercher ou à
trouver son droit civilement, ou
autrement de quelque manière aussi
pénale, a cet instant le droit va du
sol d'origine du droit sur le sol de
la vie de l'esprit.
La repose à nouveau un point –
exactement comme pour la législation
fiscale – où la représentation humaine
moderne ne s 'accoutumera encore
longtemps pas de ce qui en fait, quand
on arrive sur les relations
fondamentales se montre comme une
évidence.
Voyez-vous, quand il
s'agit de juger comment une loi qui
est donnée est à appliquer à l'humain
particulier, là vient en considération
le jugement individuel de cet humain
particulier ; là, vient en
considération qu'on puisse arriver par
ses facultés spirituelles à cet humain
particulier.
Le soin du droit pénal,
le soin du droit civil, celui-là ne
peut se tenir sur le sol du droit
général, il doit être poussé sur le
sol dont je vous déposerai claires les
plus profondes particularité
après-demain dans l'entretien sur la
vie de l'esprit. Il ne peut devenir
seulement acte-droit par là que
chacun, qui devient juge, soit aussi
placé dans la situation de juger à
partir des facultés individuelles, oui
des rapports individuels aux humains
sur lesquels il a à juger. Peut-être
pourrait-on se penser que quelque
chose de tel pourrait être érigé des
plus différentes manières. J'ai rendu
attentif sur comment cela pourra être
atteint d'une manière dans mes
« Noyaux germinatifs de la
question sociale ».
Il réside dans
l'organisme social triarticulé,
l'administration économique autonome
que je vous ai caractérisée hier, il
réside le sol de droit
démocratique,que j'ai esquissé
aujourd'hui, et que je vous exposerai
plus loin dans la cinquième conférence
dans ses interactions avec les autres
domaines. Mais il réside aussi le
domaine autonome de la vie de
l'esprit, où avant toutes choses le
système d'enseignement et d'éducation
sera administré de la manière, comme
je l'ai évoqué hier et exposerait plus
loin après demain.Ceux maintenant qui
sont les administrateurs de la vie de
l'esprit auront en même temps à placer
les juges, et chaque humain aura le
droit et la possibilité – disons même
purement pour une durée – de se
déterminer de quel juge il veut être
jugé s'il vient dans la situation
d'être jugé pour une quelque chose de
droit civil ou pénal.
Là l'humain se
déterminera son juge à partir des
véritables conditions individuelles.
Là le juge qui n'est pas un
bureaucrate juridique, mais qui sera
placé à partir de l'organisme
spirituel, d'après les rapports dans
lesquels il est en relation sociale
avec son environnement, pourra aussi
déterminer comment est à juger celui
qui est à juger à partir de
l'environnement social. Il s'agit de
ce que non de besoins étatiques le
juge soit placé, mais que les bases à
partir desquelles on place un juge
soient semblables à celles qu'on fait
valoir dans la libre vie de l'esprit
lorsqu'on amène le meilleur éducateur
à une quelconque place. Le devenir
juge sera quelque chose de semblable
comme devenir enseignant ou éducateur.
Naturellement la
recherche du droit applicable découle
de la fixation du droit, qui croit sur
des chemins démocratiques. Nous voyons
tout de suite à cet exemple comment à
partir de la démocratie croit ce
qu'est l'affaire individuelle de
l'humain, ce qui doit aussi être jugé
de manière individuelle.
La fixation du droit est donc dans un
sens le plus éminent une affaire
sociale. À l'instant où on est
contraint de se tourner vers un juge
on a en règle à faire avec une affaire
sur- ou anti-sociale (NDT peut
être « asociale » plutôt
que « sur-sociale »),
avec quelque chose, qui tombe en
dehors de la vie sociale. De telles
affaires sont au fond toutes les
affaires individuelles de l'humain.
De telles affaires sont les branches
d'administration de la vie
spirituelle, et sous elles aussi de
l'administration de la recherche du
droit applicable. La recherche du
droit applicable croit vers dehors,
par-dessus les frontières de la
démocratie.
Ainsi, il s'agit de
cela, d'établir en réalité ce que
provoque comme réalité la vie de droit
entre les humains. Alors, cette vie de
droit ne sera pas une superstructure
de la vie de l'économie, mais alors
cette vie de droit agira dedans la vie
de l'économie. Jamais on ne viendra
par une pure façon de voir théorique
sur ce qui a à se passer sur ce
domaine, mais seul par cela qu'on
regarde dedans la vie pratique et se
dit : une véritable vie de droit
avec une force de propulsion
correspondante peut seulement se
constituer quand on créé un sol
autonome du droit. Ce sol de droit
autonome a disparu sous la vie de
l'économie inondant tout. La vie du
droit est devenue un appendice de la
vie économique. Elle doit à nouveau
devenir autonome, comme aussi la vie
de l'esprit doit être émancipée de la
vie de l'économie. La grosse erreur
doit être surmontée pour voir clair
dans la question sociale – la grosse
erreur, qu'on aurait purement à
transformer les institutions
économiques, alors se montrerait tout
le reste de soi-même.
Cette erreur est apparue par cela que
la vie économique dans les temps
récents est seule devenue puissante.
On se laisse influencer suggestivement
par la seule puissance de la vie de
l'économie. On ne sera par cela jamais
amené à une solution de ce qu'est la
question sociale. Les humains
s'adonneront à des illusions, tout de
suite celles du prolétariat. Ils
voudront sucer de la vie de l'économie
ce qu'ils nomment la « juste
répartition des biens ». Mais la
juste répartition des biens sera faite
seulement quand dans l'organisme
social se tiennent des humains qui ont
les capacités de créer les
institutions correspondantes par
lesquelles les exigences économiques
pourront être satisfaites. Cela peut
seulement se passer quand on
reconnaîtra : il s'agit à la
satisfaction des exigences sociales
pas seul de la transformation de la
vie de l'économie, mais de cela, de
répondre à la question :
qu'est-ce qui doit être placé près de
la vie de l'économie afin qu'en
permanence cette vie de l'économie
soit formée sociale par les humains
sociaux qui dans la vie du droit, dans
la vie de l'esprit, deviennent des
humains sociaux ?
Cela doit s'opposer comme vérité à une
superstition, un dogme. Et ceux-là qui
dans la vie de l'économie cherchent le
seul médicament pour une guérison de
la vie sociale doivent être renvoyés
sur l'esprit et sur le droit. Ils ne
devraient pas rêver de cela comme si
le droit n’était qu'une fumée, qui
monte au-dessus de la vie de
l'économie, mais à la mesure de la
réalité penser : tout de suite
parce que le droit et la conscience du
droit se sont retirés dans les temps
récents par l'inondation de la vie de
l'économie, nous avons besoin pour la
formation de notre organisme de
société de la réelle création d'un
organisme de droit avec la force de
propulsion correspondante.
Réponses
aux questions après la troisième
conférence
Il y a maintenant un
nombre de questions qui m'ont été
posées. La première :
Comment pourra être
réglé le système économique par un
droit fermé sur sol autonome ?
Maintenant il est seulement nécessaire
qu'on prenne en compte, combien
différente est la triarticulation de
l'organisme social qui est pensée ici
de ce qu'on trouve dans l'État
platonique comme triarticulation des
humains en trois castes : l'état
nourricier, l'état de défense, l'état
d'enseignement.
J'ai aussi dû rencontrer en maints
malentendus que des gens ont dit :
Oui, cette triarticulation en un
organisme spirituel, en un organisme
de droit ou d'État, et en un organisme
économique, cela n'est que le
réchauffé du principe platonicien
d'état d'enseignement identique à
l'organisme spirituel — on croit
ainsi, état de défense identique à
organisme étatique juridique, état
nourricier identique à organisme
économique. Ce n'est absolument pas
ainsi. C'est le contraire de cela.
Avec la triarticulation de l'organisme
social il s'agit notamment de ce que
les administrations des différentes
branches de la vie humaine soient
séparées les unes des autres, de
manière non pas à ce que les humains
soient répartis en états, mais que ce
qui est isolé des humains,
l'administration des institutions, se
divise en trois membres, qui ont à
coopérer justement par les humains
vivants. Le vivant humain se tient
donc dans tous les trois.
La conscience est apparue de proche en
proche dans l'humanité qu'il n'est
finalement pas de la dignité humaine
de développer des différences de
classe, d'état et ainsi de suite.
Dans la réalité celles-ci seront
surmontées, lorsqu'on articulera
l'organisme social selon ce qui est
objectif, d'après, ce qui est séparé
de l'humain.
Ainsi, on doit se
représenter par exemple ce qui suit.
J'aurais à vous parler encore sur
semblable dans la cinquième
conférence. Qui gagne une idée de la
vie de l'esprit vraiment libre,
celui-là pourra voir à travers comme
cette vraiment libre vie de l'esprit
n'a pas du tout cette abstraction,
qu'a diversement la vie de l'esprit
actuelle. Vous connaissez aujourd'hui,
ou vous pourriez au moins connaître,
toutes sortes de conceptions du monde
philosophiques, religieuses et
semblables. Pensez seulement comme ces
conceptions du monde sont devenues
abstraites, comme étrangères à la vie.
On n'a besoin que de se souvenir de
cela comme aujourd'hui un humain peut
avoir sa façon de voir éthique,
esthétique, scientifique, religieuse
comme commercial, comme industriel,
comme agriculteur et à côté de cela il
a l'administration de sa fonction, son
économie et ainsi de suite. Oui, les
deux marchent dans une certaine mesure
l'un à côté de l'autre. L'un ne
s'élève pas dans l'autre. Cela
provient de ce que pris à la base
aujourd'hui encore toujours sur le
domaine de la vie de l'esprit nous
avons la poursuite de la vieille vie
de l'esprit grecque, qui est sortie
d'entièrement autres rapports. Cela
les humains ne le savent pas pour une
grande part, mais nous avons
réellement dans notre mentalité
sociale la poursuite de la vie de
l'esprit grecque, qui reposait sur
cela que ne conduit un être-là plein
dignement humain que celui-là qui en
fait ne travaille pas, qui prend soin
seulement de la politique et au plus
surveille l'agriculture et de ce
genre. Celui-là qui travaille, il
n'appartenait en fait en réalité pas
aux humains qui viennent en
considération en un sens plus haut.
Chez le grec cela reposait dans une
certaine mesure dans le sang de se
placer ainsi au règne humain et
d'après cela s'aménageait toute sa vie
de l'esprit. La vie de l'esprit
grecque n'est pas pensable autrement,
alors comme formation supérieure
par-dessus une large sous formation de
gens qui ne pouvaient prendre part à
cette vie de l'esprit, qui n'avaient
pas la vie de l'esprit grecque en tant
que telle.
Mais cette façon de voir
de la vie de l'esprit est restée dans
notre sensation. On n'a pas besoin de
véritablement juger avec passion sur
de telles choses, mais on peut les
considérer : les cercles
dirigeants, guidants se sont souvent
occupés de manière très abstraite avec
ce qu'est fraternité humaine, l'amour
du prochain et ainsi de suite.
Prenons un exemple drastique. Dans le
milieu du 19e siècle où les gens ont
réfléchi aussi du point de vue de leur
conception du monde religieuse,
éthique sur l'amour du prochain, sur
la fraternité, on a fait un
enregistrement statistique sur les
dommages du travail à la mine en
Angleterre.
Là s'est établi que dans le travail de
mine, dans le fait, des enfants de
neuf, onze, treize ans était descendus
du levé du soleil et seulement
remontés après le coucher du soleil,
ainsi que les pauvres enfants n'ont
pas vu le soleil par tout le jour, par
toute la semaine, seulement le
dimanche.
Oui, aux charbons qui de cette manière
ont été étaler au grand jour en des
chambres bien chauffées, les classes
cultivées se sont alors entretenues en
leurs conceptions du monde étrangères
à la vie sur fraternité, sur amour du
prochain, ont développé leurs avis
éthiques, ont même développés qu'un
humain éthique est seulement celui qui
sans différence d'état et ainsi de
suite aime tout ses semblables.
Mais une telle vie de l'esprit – et
pris au fond ce train va par toute
notre vie de l'esprit – est une vie de
l'esprit étrangère à la vie.
C'est la vie de l'esprit qu'on conduit
dans l'intérieur, qui n'a pas la force
de propulsion de s'étendre jusque dans
la vie. Réfléchissez à quel fossé
réside entre ce que le commercial fait
vivre en sa formation esthétique,
religieuse et ce qu'il notifie dans
son livre de caisse. La est d'ailleurs
aussi écrit sur la première
page : « Avec Dieu »,
mais c'est peu familier avec le Dieu
que là il vénère dans son cœur.
Maintenant, voyez-vous,
là vous avez le profond fossé entre la
vie de l'esprit abstraite et la
concrète réalité extérieure. À ce
fossé on s'est aujourd'hui habitué
comme à quelque chose d'évident. Il y
a des philosophes, des moralistes qui
traitent de bienveillance, qui
traitent de bonté, d'amour du prochain
et tout le possible. Mais prenez un
tel livre philosophique et
demandez-vous comment on devrait par
exemple former la banque. Une vie de
l'esprit qui est vraiment émancipée,
est placée sur ses propres pieds, elle
reliera à nouveau pratique de vie avec
activité spirituelle, avec ce qui est
vie de l'esprit.
Qui notamment entendra
ma conférence d'après demain ne croira
pas que dans une quelque nuance je
veux donner seulement à la vie de
l'esprit un train matérialiste. Vous
verrez tout de suite que le contraire
sera le cas. Mais tout de suite quand
on ne veut pas cela, quand on veut
placer la vie de l'esprit sur ses
fondements spirituels, alors cela ne
peut pas inciter l'un à cela de
traiter la vie matérielle comme
quelque chose d'étranger à la vie de
l'esprit, mais de traiter l'esprit
ainsi qu'il peut s'immerger dans
l'immédiate réalité. Là-dessus, des
humains sont aujourd'hui déjà étonnés
quand on leur parle ainsi dans le
concret.
Par exemple, un
industriel me demanda :
« oui, donc, vous voulez que par
exemple au praticien, qui travaille
dans un métier pratique, s'y connaît,
quand il a l'aptitude – quand
l'administration spirituelle trouve
qu'il a l'aptitude -, serait-il vieux
de trente-cinq, quarante ans, suive
l'appel, bien égal sur quel domaine de
savoir c'est, maintenant d'apprendre à
quelque haute ou basse école un
certain nombre d'années ». Alors,
il sort de nouveau de la
pratique ! La vie de l'esprit est
séparée de la vie de l'économie. Mais
celui qui fait l'économie utilise tout
de suite ce qu'il s'approprie dans la
vie de l'esprit séparée : un
continuel va-et-vient par dessus.
« Mais c'est donc ainsi que
l'humain doit être placé d'après ses
capacités sur un poste limité,
voyez-vous, j'ai dans ma fabrique,
dans mon affaire, un humain qui est
entièrement fait ainsi qu'il exige
toujours que je devrais installer pour
lui un laboratoire chimique, dans
lequel unique et seul il peut faire
des expériences. Les humains sont
justement de différentes sortes
! » Ils le sont, ils sont
assortis différemment parce qu'ils
sont éduqués ainsi par les rapports
des temps récents. En vérité, personne
ne peut vraiment se tenir dedans la
vie de l'esprit, qui ne peut aussi
placer son homme dans la vie pratique.
Alors seulement quand on peut porter
l'esprit partout dans la vie pratique,
alors on peut aussi placer son homme
dans la vie de l'esprit.
Ainsi, sera tout de
suite par cela que ce qui de l'humain
est séparé, sera triarticué, le séparé
sera rassemblé par l'humain. Quand
donc dans le système d’État
démocratique apparaît le droit, ainsi
les humains, qui alors sont actifs
dans la vie de l'économie,
introduiront le droit dans la vie de
l'économie, feront de telles
institutions qui expriment le droit.
Par les vivants humains ce sera porté
dedans, pas par des mesures abstraites
et du même genre. C'est cela de quoi
il s'agit : à nouveau placer les
institutions sociales sur la base du
vivant humain. J'ai aimé répondre cela
sur cette question.
Voyez-vous, aussi sur
les domaines particuliers se montrera
que le savoir peut être vraiment fait
fécond à la vie. Voyez aujourd'hui un
grand nombre d'universités. Là sera
aussi enseignée la pédagogie.
Maintenant donc, ainsi en matière
annexe les philosophes enseignent la
pédagogie dont ils comprennent peu en
règle générale. Dans un organisme
social sain un quelque maître d'école
approprié, qui comprend à se servir
pratiquement du cours, a deux ou trois
ans à enseigner ; alors, il
retournera à nouveau à sa matière
pratique. Ainsi, ce sera dans toute la
vie. Par cela que cela qui des humains
est séparé, est articulé triple, par
cela on sera tout de suite en
situation que l'humain apporte dans
chacun de ces domaines ce qui se vit
dans son autonomie dans l'autre
domaine.
Deuxième
question :
Qui juge dans les
affaires de tribunal de commerce,
volontiers pas des conseils du
domaine culturel seuls, qui sont
dénués de connaissances en la
matière, pas des experts en la
matière seuls ?
Pris à la base,
beaucoup est déjà répondu de cette
question avec ce que j'ai justement
dit maintenant. Par la formation de
notre vie de l'esprit l'un est ainsi
préparé comme il doit être afin qu'il
soit un stagiaire correct, afin qu'il
soit un commercial correct et du
genre. Il s'agit de ce que justement
dans l'organisme social triarticulé,
avec la vie de l'esprit autonome, ne
sera pas enseigné ainsi, mais que
l'humain en fait par l'art et la
manière comme la vie de l'esprit pose
ses propres conditions, viendra à une
certaine pratique de vie, et qu'il
pourra aussi former cette pratique de
vie.
On n'a donc absolument pas à avoir un
jugement conforme aux choses sur tous
les domaines. C'est cela tout de suite
qui ne peut être et sur quoi n'a pas
le droit d'être compté.
Que l'humain correct siège dans un
tribunal de commerce, pour cela sera
toutefois à veiller à partir de
l'administration spirituelle, parce
que dans l'administration spirituelle
dedans siégeront aussi ces humains-là
qui comprennent quelque chose des lois
du commerce. Ce qui est savoir, ne
sera pas centralisé en matière de la
manière dont c'est aujourd'hui, mais
ce sera par cela comment les humains
sont entre eux dans les corporations
de l'organisation spirituelle,
possible de rassembler un tel tribunal
de manière correspondante, de
rassembler a la mesure de la chose,
pas à partir d'un quelconque besoin
économique ou du genre.
Comment peut-on
apprécier correctement les besoins
d'un humain ou mesurer la véritable
valorisation d'un objet produit par
lui, alors que les besoins en
marchandises des humains sont si
différents ?
Tout de suite parce
qu'ils sont différents, doivent être
créées de réelles institutions, qui
existent en ce que des humains sont
là, qui étudient ces besoins,
apprennent à connaître ces besoins. De
telles choses ne pendent pas en l'air,
de telles choses peuvent être posées
sur un sol réel. Je peux vous
présenter un petit exemple. Il existe
une société, elle est en plus inscrite
sur les affiches : la société
anthroposophique.
Elle s'est, à côté de ce à quoi ici
beaucoup d'humains souscrivent, aussi
occupée de vraies affaires pratiques,
qui se tiennent absolument dans la
ligne, aussi en petit, de ce que j'ai
expliqué ici sur la question sociale.
Ainsi se trouva au sein de la société
anthroposophique un monsieur qui
pouvait fabriquer du pain. Comme on
avait justement à disposition une
corporation d'humains qui
naturellement sont aussi des
consommateurs de pain, une corporation
d'anthroposophes, on a pu introduire à
peu près une association entre le
monsieur comme fabricant de pain et
ces consommateurs ; cela signifie
qu'il a pu orienter sa production
d'après les besoins de la
consommation, ainsi qu'on connaît les
besoins et qu'on peut organiser
absolument la production d'après les
besoins existants.
Cela le marché ne le fera pas, qui
organise le tout anarchiquement, cela
ne peut se passer que si des
institutions sont là par les humains,
qui étudient vraiment les besoins,
dirigent la production d'après les
besoins, les règlent par les
associations.
Les penseurs socialistes voudraient
faire aujourd'hui la mise en évidence
des besoins par la statistique. Cela
ne peut être fait par la statistique.
La vie vivante ne se laisse pas former
par la statistique, mais seul par le
sens de l'observation directe de
l'humain. Des humains doivent être mis
dans l'organisme économique par les
contextes sociaux à des fonctions
précises ou semblables, qui sont là
pour la répartition à la production
des connaissances concernant les
besoins.
Tout de suite parce que les besoins
sont différents, il s'agit non pas
d'appeler une tyrannie des besoins,
qui très certainement apparaîtrait sur
la base des programmes
sociaux-démocrates actuels, mais il
s'agit de connaître les besoins
vivants, comment ils devraient être
satisfaits . Que certains besoins ne
puissent être satisfaits, ressortira
aussi de la pratique en tant que
telle. Il ne saurait être décidé à
partir d'un dogme, parce que quiconque
pense, ceci ou cela n'est pas un
véritable besoin humain.
Mais si un nombre d'humains ont des
besoins, qui appellent des biens à la
production desquels des humains
devraient être utilisés — cela se
produira tout de suite dans la vie
économique vivante, reposant sur ses
propres pieds —, on ne pourra pas
produire ces biens pour ceux qui ont
des besoins individuels.
Il s'agira justement pour cela de
jauger, si les besoins peuvent être
vraiment considérés sans négligence,
sans dommage pour les forces humaines.
Question : Comment
Dr Steiner pense-t-il la réalisation
pratique de la triarticulation ?
Est-il possible d’agir dans le
Bundesrat ? Ou doit avoir lieu un
referendum après une diffusion
suffisante du concept ? Ou doit-on
attendre jusqu’à ce que révolution
et guerre civile aient mis bas
l’ordre actuel ?
Pour le moment il s’agit
donc de prendre au sérieux, qu’ici une
nouvelle méthode, au moins
relativement nouvelle méthode
vis-à-vis des méthodes, qui sinon sont
respectées, doit être mise en œuvre.
Il s’agit de ce que, pas comme c’est
le cas chez les vieux parlements, soit
visé des buts, mais que de la chose
elle-même, j’aimerai dire, à partir
des tendances de la vie moderne, soit
saisi ce qu’en fait les humains
promeuvent dans leurs sous conscience,
quand aussi ils ne sont pas clairs
là-dessus. Et alors, quand on est en
mesure, de rendre cela compréhensible,
ce dont il s’agit, alors un nombre
d’humains sera là, qui comprendra, ce
qui a à se passer.
Et quand un grand nombre suffisant
d’humains est là, qui ont de la
compréhension, pour ce qui doit se
passer, là, je crois, les chemins se
donneront. J’ai dans mes « Noyaux
germinatifs de la question sociale »
justement exposé, comment en fait à
chaque point de la vie peut être
commencé avec cette triarticulation,
si seulement on veut, si seulement on
comprend son sens.
Que n’est pas envisager, par une
quelque révolution, de provoquer ce
qui vit dans la triarticulation, cela
repose aussi sur une considération
historique. J’ai ceci justement à dire
que donc des transformations sur des
domaines spirituels – que l’on prenne
seulement le christianisme – ont eu
lieu en Occident, qu'aussi sur des
domaines politiques ont eu lieu des
transformations.
Mais déjà sur domaines politiques les
transformations laissent certains
restes. Aujourd’hui, les humains
pensent à des révolutions économiques
– nous auront encore à parler sur
toute la question dans la cinquième
conférence, dans les prochaines
conférences absolument -, mais de
telles révolutions auront toutes le
destin que la révolution de l’Est
européen aura certainement : seulement
générer de la déconstruction, pas de
construction, que la révolution
hongroise avait, que particulièrement
la révolution allemande du 9 novembre
1918 a, qui donc est complètement dans
l’ensablement, qui est dans
l’ensablement du fait, que se montre
clairement qu’aujourd’hui il ne s’agit
véritablement pas de produire un
quelconque bouleversement puissant,
mais d’avoir des idées, par lesquelles
des contextes normaux durables peuvent
être provoqués.
Se reconnaît un
suffisamment grand nombre d’humains à
la compréhension de telles choses,
alors se présentent les voies. Car
l’idée de la triarticulation de
l’organisme social n’est pas seulement
un but, mais elle est elle-même un
chemin. Mais il s’agit que l’on ne se
pose pas quelque chose sur le sol, sur
lequel tant de gens se posent. Je l’ai
par exemple vécu dans certains
domaines, lorsque j’ai expliqué la
triarticulation, que les gens ont
aussi lu mon livre « les fondements de
l’organisme social ». Ils ont trouvé
cela plausible, ce qui est dedans.
Mais des gens de l’aile radicale de la
Gauche ont trouvés : oui, cette
triarticulation est très bien, mais là
doit d’abord se faire avant
révolution, dictature du prolétariat,
alors nous nous ressaisirons de la
triarticulation – et cela a été dit de
bien bonne volonté - ; mais maintenant
nous la combattons jusqu’au couteau !
– Cela fut la conséquence : parce
qu’on est en fait d’accord, on la
combat jusqu’au couteau ! Cela m’est
donc diversement venu en vis-à-vis.
Ces choses reposent en fait absolument
sur une fausse pensée : que l’on peut
faire une quelconque chose, avant que
compréhension ne soit arrivée pour.
Particulièrement
caractéristique est un petit épisode :
j’ai à un endroit d’Allemagne du sud
parlé sur ces choses. La intervint un
communiste. L’homme était en fait un
très gentil humain. Mais dans le cours
de son exposé, il dit à peu près la
chose suivante à ses auditeurs, il
était aussi un humain très intelligent
d’après sa conscience supérieure, dans
la sous-conscience nettement moins,
moins intelligent :Voyez-vous, je suis
un réparateur de souliers. Je sais
très bien, que je suis un réparateur
de souliers, que je ne suis pas en
mesure dans la future société sociale
de devenir un officier d’État civil.
Pour officier d’État civil, là, on a
besoin d’un qui est formé pour cela. –
Mais l’homme, il avait auparavant en
toute diligence développé ses plans
sur l’ordre social desquels ressortait
: à ministre dans l’État futur, à cela
il se sentait volontiers appelé – à
l’officier d’État civil pas, mais
volontiers à ministre !
Que telle manière de penser règne,
cela je pourrais encore vous le
prouver à maints autres gentils
exemples. Mais cela montre justement
qu’il s’agit que vraiment d’abord une
fois une compréhension prenne place
pour ce qui est le contenu de la
triarticulation. Alors se présenteront
des chemins. Et l’on devrait espérer,
que cette compréhension pourrait
pendre place, avant qu’il ne soit trop
tard. Si seulement un peu l’humain
actuel pouvait se secouer à la
compréhension de ce qui est
nécessaire, alors cela y viendrait
quand même. Alors, on ne demanderait
pas aussi en fait, si on doit
s’adresser au Bundesrat par un
referendum ou semblable, mais on
saurait : aussitôt que suffisamment
d’humains sont là, la chose est aussi
là – quand suffisamment d’humains la
comprennent. C’est, pris
fondamentalement, ce qui est le secret
d’une société, qui aspire à la
démocratie : que la chose est là,
quand elle trouve vraiment
compréhension intérieure et qu’elle
est véritablement claire
intérieurement. C’est de cela qu’il
s’agit.
Maintenant est
déposée la question :
Le principe du
droit pénal n'est-il pas un
vestige ?
Et :
L'idée du punir
a-t-elle elle une justification
vis-à-vis de l'idée de
l'amélioration éducative ?
L'idée du punir est en fait une des
plus difficile, et toutes les réponses
possibles ont justement été données au
cours de l'observation historique. Sur
un tel sol dont proviennent les idées
de la triarticulation de l'organisme
social, se présentent aussi certaines
conséquences, qui sur un autre sol ne
se présentent pas.
Tout le particulier qui se passe à
l'intérieur d'un ordre social, est,
pris fondamentalement, quand même une
conséquence de l'ordre social entier.
Ainsi que chaque morceau de pain, que
je peux acquérir est une conséquence
de tout l'organisme social, ainsi les
motivations au punir sont fondées dans
toute la structure de l'organisme
social.
Et tout de suite à la circonstance que
des punitions deviennent nécessaires,
justement là dedans se montre que dans
tout l'organisme social est quelque
chose qui ne devrait pas être dedans.
Quand on, je ne dis pas maintenant,
représente l'organisme social en tant
que tel, mais absolument de telles
impulsions développent une vision du
monde pratique, à partir de laquelle
on gagne l'idée de l'organisme
tri-articulé, alors se montre
véritablement la façon de voir que de
toute façon en rapport à peine et
régime pénitentiaire on viendra à
d'autres choses, et la nécessité de la
peine se présentera bien moins,
lorsque de telles choses sont
socialement véritables comme elles ont
par exemple été promues dans la
conférence d'aujourd'hui. Le droit
pénal, qui comme l'ombre en fait
accompagne des conditions non
sociales, pourra être réduit à un
minimum dans des conditions sociales.
De cela les questions qui aujourd'hui
émergent vis-à-vis du droit pénal, si
c'est un vestige et semblable, seront
posées sur une tout autre base si un
tel bouleversement se passe vraiment.
J'aimerai dire : quand l'humain
est malade, ainsi il fait certaines
choses ; quand il est sain, il
fait d'autres choses. Ainsi en est-il
aussi ici. La nécessité de punir
indique vers certains symptômes de
maladie à l'intérieur de l'organisme
social entier. Quand on aspire de
rendre l'organisme social sain, alors
les concepts sur peine, droit pénal,
régime pénitentiaire pourront
justement être placés sur un tout
autre sol. Donc j'aimerais dire :
on doit essayer de chercher la réponse
dans toute l'explication sur la
transformation sociale sur ce qui
devient aussi alors à partir du
particulier comme, par exemple, droit
pénal ou régime pénitentiaire.
Repose-t-il dans la
capacité à juger de chaque humain de
déterminer, combien de temps de
travail exige une certaine branche
de production ?
Oui, être capable de
jugement avec d’autres humains de
décider sur de telles questions est
quelque chose d’autre que de rester
couché dans l’arbitraire de l’humain
particulier. Si vous lisez mes «
Noyaux germinatifs de la question
sociale » - et je reviendrais encore
sur le droit du travail dans les
conférences – alors vous verrez, que
dans l’organisme social triarticulé la
régulation de la manière du travail,
du temps de travail doit devenir une
affaire du droit public, que donc ce
qui sera demandé ici doit justement
être réglé sur le sol juridique
démocratique. Là il s’agit donc de ce
qu’une telle question soit réglée par
chaque humain ensemble avec tous les
humains de l’organisme social. À cela,
l’humain est capable de jugement,
qu’il peut ensemble avec les autres
prévoir une convention sur de telles
questions.
Donc, il n’est pas justifié de
demander : Repose-t-il dans la
capacité à juger de chaque humain de
déterminer, combien de temps de
travail exige une certaine branche de
production ? – Cela ne repose très
certainement pas chez l’humain
particulier, dans son arbitraire ;
mais cela repose dans la possibilité,
d’obtenir un jugement public par
convention démocratique et majorité
démocratique sur une telle base
juridique, comme je vous l’ai décrit
aujourd’hui.
Ne devons-nous pas
tout d'abord clarifier le psychique
dans l'humain avant que nous allions
aux mises en œuvre en grand dans cet
État ?
Maintenant, beaucoup de
ce qui ici est pensé sera donc tout de
suite l'objet de la prochaine
conférence. Mais, voyez-vous, l'idée
de la triarticuation de l'organisme
social est une idée pratique. C'est
pourquoi elle voit aussi toutes choses
d'un point de vue conforme à la
réalité.
Il y a aujourd'hui beaucoup d'humains
qui disent simplement :
maintenant nous avons la question
sociale donc elle doit être
solutionnée, donc on doit réfléchir à
un programme, par cela la question
sociale sera solutionnée ;
aujourd'hui nous avons des conditions
sociales qui ne sont pas souhaitables,
nous devrons trouver une solution de
la question sociale ; alors s'en
formeront demain des conditions
sociales, qui sont socialement
souhaitables.- Mais la chose ne repose
pas ainsi. Dans chaque évolution de
l'humanité que j'ai aujourd'hui
décrite la question sociale s'est
justement montrée de certaines
constitutions d'âme, constitutions de
corps et des conséquences de cela en
rapport à la vie sociale. Elle est là,
la question sociale, et on ne peut pas
la résoudre théoriquement, ne peut pas
donner des lois par lesquelles la
question sociale sera résolue. Elle
est là et restera là. Elle sera chaque
jour soulevée sur le nouveau. Pour
cela doivent aussi toujours être là
des institutions, par lesquelles elle
doit chaque jour être résolue sur le
nouveau. Donc il ne s'agit pas qu'on
répartît la chose si joliment :
tout d'abord, nous faisons l'âme
humaine appropriée, alors nous
amènerons des conditions sociales
souhaitables. Non, il s'agit de cela
qu'on reconnaisse la question sociale,
qu'on essaye, dans la réalité de
réaliser quelque chose ainsi, comme,
par exemple, l'est le sol de droit
autonome ou le sol d'esprit autonome,
ce par quoi la question sociale peut
être en permanence résolue.
Je me suis, dans mon livre « Les
noyaux germinatifs de la question
sociale », gardé contre cela
qu'on considère ce que j'ai dit sur la
similarité entre l'organisme humain
particulier et l'organisme social en
rapport à la triarticulation de
l'organisme social comme un oiseux jeu
d'analogie. Je ne voulais
véritablement pas faire un quelque jeu
d'analogie comme Meray ou plus
anciennement Schäffle entre
l'organisme humain et l'organisme
social. Mais ce que j'ai expliqué dans
mon livre « Des énigmes de
l'Âme », qu'une véritable
observation de la nature vient à cela
de considérer l'organisme humain comme
une collaboration de trois membres
autonomes, cela exige une pensée et
une manière de regarder qui alors
féconde pourra être utilisé aussi sur
l'organisme social, mais pas par
transfert, mais tout de site par
observation non prévenue du social
comme de l'organisme naturel. Là est
maint qu'on peut apprendre à l'un ou à
l'autre.
N'est-ce pas, les
humains aimeraient regarder
l'organisme social ainsi que là des
institutions sont contenues, que donc
tout sera fait de la meilleure
manière. Il n'est jamais demandé si
cela est aussi possible. Les gens
aimeraient fonder une vie de
l'économie dans laquelle sont des
institutions par lesquelles jamais ne
peuvent apparaître des dommages. On ne
remarque pas que dans la vie il s'agit
justement de vie et non
d'abstractions ! Dans les
humains, dans l'organisme naturel, est
par exemple l'institution que nous
inspirions l'oxygène ; celui-là
sera transformé en acide carbonique.
L'acide carbonique joue un rôle dans
l'organisme humain par certains
organes, qui l'amènent ainsi en
liaison avec d'autres substances, que
certaines fonctions de l'organisme
humain puissent aller de soi. Oui, là
doivent être là certains organes,
lesquels font l'un. Ne serait là
qu'eux, ainsi des dommages
surviendraient dans l'organisme. Ces
dommages on doit aussi les laisser
survenir, mais dans leur apparition
ils devront être empêchés. Cela est
l'essence du vivant. Ceux-là qui
disent : nous avons un organisme
économique, façonnons-le ainsi, qu'il
fonctionne par lui-même ; alors,
nous avons besoin à côté de celui-là
un organisme de droit ou d'esprit –
ceux-là parlent exactement comme ceux
qui disent : ce serait donc bien
mieux de la part du créateur ou des
forces de la nature quand on aurait
simplement besoin de manger une fois
dans la vie et qu'alors l'organisme
humain serait organisé ainsi que cela
n’est pas toujours à nouveau détruit
et toujours de nouveau mangé à neuf.
- Quand il s'agit du vivant, il s'agit
de montée et descente des processus.
Une vie de l'économie, qui est
économiquement correctement organisée,
cela laisse apparaître des dommages
tout de suite par sa compétence ;
et dans l'apparition, dans le status
nascendi, on doit en même temps
annuler ces dommages. Cela on ne l'a
pas par l'organisme économique
lui-même, mais le se tenir à côté
d'organismes de droit et d'esprit.
Ceux-là doivent être là afin qu'ils
retiennent les dommages de l'organisme
économique dans leur apparition. Cela
est le caractère du vivant, que les
choses se tiennent en intense
interdépendance.
Une telle observation est toutefois plus
incommode, mais en est une qui compte
avec les réalités, qui ne veut pas
réformer l'organisme économique ainsi
qu'il se retient lui-même, se détruit
lui-même. Il est facile de dire tel et
tels dommages sont apparu de la
production moderne, donc on la supprime,
en institue une autre. - Il ne s'agit
pas de simplement exiger une quelque
chose, mais d'étudier les possibilités
d'une existence vivante. Et une
possibilité est celle-là que dans ce
membre-là cela appelle d'un côté
certaines choses qui si elles
poursuivaient le processus unilatéral
conduiraient partie de cet organisme à
la mort de l'organisme concerné.
D'autres membres de l'organisme œuvrent
contre et déjà dans le status nascendi,
dans le contexte d'apparition, sera
exercé correction par l'autre. Ainsi,
les trois membres doivent exercer le
corriger l'un l'autre. Ainsi, c'est
penser conformément à la réalité.
Et qui veut aujourd'hui vraiment
s'occuper avec la question sociale,
celui-là doit s'habituer à une pensée à
la mesure de la réalité. Nous faisons
voile dans les pires contextes quand la
pensée tordue, caricaturée, qui n'a pas
à faire avec réalité, fait le programme
à partir des passions, émotions
humaines, prend partout place. Mais une
pensée conforme à la réalité créera de
la réalité. C'est pourquoi il s'agit
tout d'abord de gagner une pensée
conforme à la réalité. |
Ob man
sachgemäße Anschauungen über das
soziale Leben gewinnt, das hängt in
vieler Beziehung davon ab, ob man sich
klar darüber ist, welche Beziehung
herrscht zwischen den Menschen, die in
ihrem Zusammenleben ja doch das
soziale Leben bewirken, und den
Einrichtungen, innerhalb welcher die
Menschen leben. Wer unbefangen in das
soziale Leben hineinsieht, der wird
entdecken können, daß zuletzt alles,
was wir um uns herum an Einrichtungen
haben, durch die Maßnahmen, durch den
Willen der Menschen entsteht. Wer sich
zu dieser Anschauung durchringt, der
wird zuletzt sich sagen: Im sozialen
Leben kommt es vor allen Dingen darauf
an, ob die Menschen aus ihren Kräften,
aus ihren Fähigkeiten, aus ihrer
Gesinnung zu anderen Menschen und so
weiter sich als soziale oder als
unsoziale Menschen bewähren. Menschen
mit sozialer Gesinnung, sozialer
Lebensanschauung werden sich
Einrichtungen gestalten, welche sozial
wirken. Und man kann in sehr weitem
Umfange sagen: Ob der einzelne in der
Lage ist, sich für seine Einnahmen den
entsprechenden Lebensunterhalt zu
erwerben, das wird davon abhängen, wie
ihm seine Mitmenschen die Mittel zu
diesem Lebensunterhalte herstellen, ob
sie für ihn so arbeiten, daß er seinen
Lebensunterhalt von seinen Mitteln
bestreiten kann. Ob der einzelne
genügend Brot kaufen kann -- wenn man
in das Allerkonkreteste eingeht —,
wird eben davon abhängen, ob die
Menschen solche Einrichtungen
getroffen haben, durch die ein
jeglicher, der arbeitet, der etwas
leistet, für seine Arbeit, für seine
Leistung sich das entsprechende Brot
eintauschen kann. Und ob der einzelne
in der Lage ist, seine Arbeit wirklich
zur Anwendung zu bringen, wirklich an
der Stelle zu stehen, auf der er die
nötigen Mittel für seinen Unterhalt
erwerben kann, das hängt wiederum
davon ab, ob die Menschen, innerhalb
welchen er lebt, soziale Einrichtungen
getroffen haben, durch die er an
seinen entsprechenden Platz kommen
kann.
Nun, es bedarf
eigentlich nur wenig von einem
unbefangenen Blicke in das
gesellschaftliche Leben, um das, was
eben ausgesprochen worden ist wie ein
Axiom, wie eine Grunderkenntnis der
sozialen Frage, anzuerkennen. Und wer
es nicht anerkennt, dem wird man
dieses Prinzip schwer beweisen können,
weil er nicht die Neigung hat,
unbefangen auf das Leben hinzuschauen,
um sich -- aus jedem Stück des Lebens
kann er es — zu überzeugen, daß es
wirklich so ist.
Allerdings für den
gegenwärtigen Menschen hat diese
Anschauung etwas außerordentlich
Unangenehmes. Denn der gegenwärtige
Mensch legt großen Wert darauf, daß
man nur ja nicht an ihn selbst
herantippt. Er läßt es sich leicht
gefallen, wenn man davon spricht, daß
Einrichtungen verbessert werden
sollen, daß Einrichtungen umgewandelt
werden sollen, aber er empfindet es
wie ein Antasten seiner Menschenwürde,
wenn man davon zu sprechen genötigt
ist, daß er selber in seiner
Seelenverfassung, in seinem
Lebensverhalten sich einer Umwandelung
unterziehen soll. Er läßt es sich
leicht gefallen, wenn man sagt, die
Einrichtungen sollen sozial gestaltet
werden; er läßt es sich schwer
gefallen, wenn man das Verlangen
stellt, er solle sich selber sozial
gestalten.
Und so ist denn etwas
außerordentlich Merkwürdiges in der
neueren Geschichtsentwickelung der
Menschheit eingetreten. Es hat sich im
Laufe der letzten Jahrhunderte das
wirtschaftliche Leben, wie ich bereits
im ersten Vortrag auseinandergesetzt
habe, hinausentwickelt über dasjenige,
was die Menschen an Anschauungen,
namentlich an rechtlichen und
geistigen Anschauungen über dieses
wirtschaftliche Leben ausgestaltet
haben. Ich habe im ersten Vortrage
darauf hingewiesen, wie gerade die
Gesellschaftskritik des Woodrow
Wilson darauf hinauslaufe, daß
er sagt: Das wirtschaftliche Leben hat
seine Forderungen gestellt, ist
fortgeschritten, hat gewisse Formen
angenommen; das rechtliche, das
geistige Leben, durch das wir dieses
Wirtschaftsleben zu beherrschen
suchen, das steht noch auf alten
Standpunkten, das ist nicht
nachgekommen. Dadurch aber ist
überhaupt eine tief bedeutsame
Tatsache der neueren
Menschheitsentwickelung ausgesprochen.
Mit dem Heraufkommen
der komplizierten technischen
Verhältnisse und der dadurch notwendig
gewordenen komplizierten
kapitalistischen Verhältnisse, der
Unternehmungsverhältnisse, hat das
wirtschaftliche Leben seine
Forderungen gestellt. Die Tatsachen
des wirtschaftlichen Lebens sind, ich
möchte sagen, den Menschen allmählich
entschlüpft; sie nehmen mehr oder
weniger ihren eigenen Gang. Der Mensch
hat nicht die Kraft gefunden, von sich
aus durch seine Vorstellungen, durch
seine Ideen dieses wirtschaftliche
Leben zu beherrschen. Aus dem Denken
über die ökonomischen Forderungen, aus
dem Denken über das Wirtschaftliche,
wie man es unmittelbar beobachtet, hat
sich der neuere Mensch herbeigelassen,
immer mehr und mehr seine
Rechtsbegriffe und auch seine
geistigen Begriffe zu gestalten. Und
so kann man sagen: Das
Charakteristische in der Entwickelung
der Menschheit in den letzten
Jahrhunderten ist, daß sowohl die
Rechtsbegriffe, durch welche die
Menschen miteinander in Frieden leben
wollen, wie auch die Begriffe vom
Geistesleben, durch die sie ihre
Fähigkeiten entwickeln und gestalten
wollen, im hohen Grade abhängig
geworden sind vom wirtschaftlichen
Leben.
Man bemerkt gar nicht,
wie sehr in dieser neueren Zeit die
menschlichen Vorstellungen und das
Verhalten der Menschen zueinander von
dem wirtschaftlichen Leben abhängig
geworden sind. Natürlich haben die
Menschen auch die Einrichtungen der
letzten Jahrhunderte selbst
geschaffen, aber sie haben sie zum
großen Teile nicht aus neugegründeten
Vorstellungen und Ideen heraus
geschaffen, sondern mehr aus
unbewußten Impulsen, unbewußten
Antrieben heraus. Und dadurch hat sich
etwas ergeben, was man in Wirklichkeit
ein gewisses Anarchisches in der
Struktur des sozialen Organismus
nennen kann. Nach verschiedenen
Gesichtspunkten habe ich in den zwei
ersten Vorträgen dieses Anarchische
schon auseinandergehalten.
Aber innerhalb dieser
anarchischen sozialen Struktur der
neueren Zeit haben sich eben
diejenigen Verhältnisse entwickelt,
die zu der modernen Gestalt gerade der
proletarischen Frage geführt haben.
Der Proletarier, der hinweggerufen
worden ist von seinem Handwerk, an die
Maschine gestellt worden ist, in die
Fabrik gepfercht worden ist — was hat
er hauptsächlich gesehen, indem er
sich das Leben, das sich um ihn herum
entwickelte, ansah? Er hat vorzüglich
an seinem eigenen Leben gesehen, wie
abhängig alles ist, was er denken
kann, was er an Recht hat gegenüber
anderen Menschen, wie alles das
bestimmt ist von wirtschaftlichen
Machtverhältnissen, von den
wirtschaftlichen Machtverhältnissen,
die vor allen Dingen für ihn dadurch
gegeben sind, daß er der
wirtschaftlich Schwache gegenüber dem
wirtschaftlich Starken ist.
Und so kann man sagen:
Bei den leitenden führenden Kreisen
hat sich eine gewisse Verleugnung der
Grundwahrheit eingestellt, daß die
menschlichen Einrichtungen von den
Menschen selber aus ihrem bewußten
Leben herauskommen sollen. Die
Menschen haben vergessen, diese
Grundwahrheit im sozialen Leben
wirklich anzuwenden. Die leitenden
führenden Kreise haben sich allmählich
instinktiv einem Leben hingegeben —
wenn auch nicht einem Glauben —, das
den Geist und das Recht abhängig
gemacht hat von den wirtschaftlichen
Machtmitteln. Daraus aber ist
entstanden ein Dogma, eine
Lebensauffassung sozialistisch
denkender Persönlichkeiten und ihres
Anhanges. Die Lebensauffassung ist
daraus hervorgegangen, es müsse in der
Menschheitsentwickelung so sein, daß
keine Möglichkeit da ist, daß der
Mensch von sich selber aus
Rechtsverhältnisse organisiere, daß
der Mensch selber sich das geistige
Leben organisiere, sondern daß das
geistige Leben und das Rechtsleben
sich wie ein Anhängsel ergeben müssen
aus den wirtschaftlichen Realitäten,
aus den wirtschaftlichen
Produktionszweigen und so weiter.
Und so entstand die
soziale Frage unter dem Gesichtspunkte
einer bestimmten Forderung bei weiten
Kreisen. Ihnen lag der Glaube
zugrunde: Das wirtschaftliche Leben
macht das Rechtsleben, das
wirtschaftliche Leben macht das
Geistesleben — also muß das
wirtschaftliche Leben für sich so
umgestaltet werden, daß es ein
Rechtsleben, ein Geistesleben
hervorbringt, wie es den Anforderungen
dieser Kreise entspricht. Was zu
Lebensgewohnheiten der leitenden
führenden Kreise geworden war, hat das
Proletariat gelernt, auch ins
Bewußtsein heraufzuholen; was die
anderen instinktiv dargelebt haben,
hat es zum Dogma gemacht, und wir
stehen heute der sozialen Frage so
gegenüber, daß in weitesten Kreisen
die Anschauung verbreitet ist: Wir
müssen nur das Wirtschaftsleben
umgestalten, die wirtschaftlichen
Einrichtungen, dann wird alles andere,
das Rechtsleben, das Geistesleben, von
selber so kommen, wie aus
wirtschaftlich richtig, gut, sozial
gestalteten Einrichtungen dieses
Geistes- und dieses Rechtsleben sich
ergeben werden.
Unter dem Einflusse
dieses Gesichtspunktes ist verkannt
worden, um was es sich eigentlich
handelt in der neueren sozialen Frage.
Es ist gewissermaßen durch eine große
Täuschung, durch eine gewaltige
Illusion von diesem Dogma zugedeckt,
verhüllt worden. Es handelt sich
nämlich eigentlich darum: Gerade
dieses ist ein Ergebnis der neueren
Geschichte der Menschheit, daß die
Abhängigkeit des Rechts- und
Geisteslebens vom Wirtschaftsleben
überwunden werden muß. Und während
weite sozialistische Kreise heute
denken, das Wirtschaftsleben müsse
zunächst anders gestaltet werden, dann
ergebe sich alles andere von selbst,
hat man sich die Frage vorzulegen:
Welche Verhältnisse müssen auf dem
Gebiete des Rechtes, des Geisteslebens
für sich geschaffen werden, damit aus
dem erneuerten geistigen, aus dem
erneuerten Rechtsleben heraus
wirtschaftliche Zustände entstehen,
die den Forderungen eines
menschenwürdigen Daseins entsprechen?
Nicht: Wie machen wir immer mehr und
mehr das Rechtsleben, das Geistesleben
abhängig vom Wirtschaftsleben? —
sondern: Wie kommen wir heraus aus der
Abhängigkeit? — das ist es vor allen
Dingen, was gefragt werden muß.
Diese Betrachtung ist
eine sehr wichtige, denn sie zeigt
uns, welche Hindernisse da sind für
eine vorurteilslose Auffassung der
sozialen Frage der Gegenwart, und wie
eines der wichtigsten Hindernisse ein
Dogma ist, das sich im Lauf der
Jahrhunderte herausgebildet hat. Und
dieses Dogma hat sich so festgesetzt,
daß zahlreiche Gebildete und
Ungebildete der Gegenwart, Proletarier
und Nichtproletarier, einen heute
geradezu auslachen, wenn man glaubt,
daß irgendwie von einer anderen Seite
her als durch eine Umgestaltung des
Wirtschaftslebens auch eine Gesundung
des Rechtslebens und des Geisteslebens
kommen könne.
Nun ist heute meine
Aufgabe, über das Rechtsleben,
übermorgen, über das Geistesleben zu
sprechen.
Das Rechtsleben hat ja auch in seiner
eigenen Wesenheit und Bedeutung die
Menschen vielfach vor die Frage
gestellt: Welchen Ursprung hat
eigentlich das Recht? Welchen Ursprung
hat das, wovon die Menschen in ihrem
gegenseitigen Verhalten sagen, es sei
rechtens? — Diese Frage ist ja immer
für die Menschen eine sehr, sehr
wichtige gewesen. Allein es ist sehr
merkwürdig, daß bei einem weiten
Kreise sozial betrachtender
Persönlichkeiten die eigentliche
Rechtsfrage, man möchte sagen, in ein
Loch gefallen ist, gar nicht mehr da
ist. Gewiß, akademisch theoretische
Erörterungen sind auch heute viele
vorhanden über Wesen, Bedeutung des
Rechtes und so weiter, aber in der
sozialen Betrachtung weiter Kreise ist
gerade dieses das Charakteristische,
daß die Rechtsfrage mehr oder weniger
durchgefallen ist.
Wenn ich Ihnen das
erörtern soll, muß ich Sie auf etwas
aufmerksam machen, das in der
Gegenwart ja schon immer häufiger und
häufiger hervortritt, während es noch
vor kurzer Zeit ganz übersehen worden
ist. Die Menschen haben unhaltbare
soziale Zustände heraufkommen sehen.
Auch diejenigen, die in ihrer eigenen
Lebenshaltung mehr oder weniger
unberührt geblieben sind von diesen
unsozialen Zuständen, haben versucht,
darüber nachzudenken. Und während vor
verhältnismäßig kurzer Zeit es
wirklich radikal so war, wie ich es
eben ausgesprochen habe, daß man
eigentlich nur gelacht hat, wenn etwas
erwartet worden ist von Rechts- und
Geistesfragen für die wirtschaftlichen
Zustände, tritt einem heute — aber wie
aus dunklen Geistestiefen, könnte man
sagen — schon immer mehr und mehr die
Behauptung entgegen: Ja, im
gegenseitigen sozialen Verhalten der
Menschen komme doch auch so etwas in
Betracht wie seelische Fragen und
Rechtsfragen; und vieles in der
Verwirrung der sozialen Zustände rühre
heute davon her, daß man die
seelischen Verhältnisse der Menschen,
die psychischen Verhältnisse und die
rechtlichen Verhältnisse in ihrer
Selbständigkeit zu wenig
berücksichtigt habe. — Also es wird
schon ein wenig, weil es handgreiflich
ist, darauf hingewiesen, daß von einer
anderen als von der rein
tatsächlichen, wirtschaftlichen Seite
her das Heil kommen müßte. Aber in der
praktischen Besprechung der Frage
kommt das noch wenig zur Geltung.
Es ist wie ein roter
Faden, der sich durch alles, was
neuere sozialistisch Denkende von sich
geben, hindurchzieht: daß eine
gesellschaftliche Struktur
herbeigeführt werden müsse, in welcher
die Menschen leben können nach ihren
Fähigkeiten und nach ihren
Bedürfnissen. Ob das mehr oder weniger
grotesk radikal ausgestaltet wird oder
mehr nach konservativer Gesinnung,
darauf kommt es nicht an; wir hören
überall: Die Schäden der gegenwärtigen
sozialen Ordnung beruhten zum großen
Teile darauf, daß der Mensch nicht in
der Lage sei, innerhalb der
gegenwärtigen gesellschaftlichen
Ordnung seine Fähigkeiten wirklich
voll anzuwenden; auf der anderen
Seite, daß diese gesellschaftliche
Ordnung eine solche sei, daß er seine
Bedürfnisse nicht befriedigen könne,
namentlich daß nicht eine gewisse
Gleichmäßigkeit in der Befriedigung
der Bedürfnisse herrsche.
Man geht, indem man
dieses ausspricht, auf zwei
Grundelemente des menschlichen Lebens
zurück. Fähigkeiten, das ist etwas,
das sich mehr bezieht auf das
menschliche Vorstellen. Denn alle
Fähigkeiten entspringen zuletzt beim
Menschen, da er bewußt handeln muß,
aus seiner Vorstellung, aus seinem
Denkwillen. Gewiß, das Gefühl muß
fortwährend die Fähigkeiten des
Vorstellens anfeuern, sie begeistern;
aber das Gefühl als solches kann
nichts machen, wenn nicht die
grundlegende Vorstellung da ist. Also
wenn man von den Fähigkeiten spricht,
auch wenn man von den praktischen
Geschicklichkeiten spricht, kommt man
zuletzt auf das Vorstellungsleben. Das
ging also einer Anzahl von Menschen
auf, daß da gesorgt werden müsse
dafür, daß der Mensch in der sozialen
Struktur sein Vorstellungsleben zur
Geltung bringen könne. Das andere, was
dann geltend gemacht wird, geht mehr
auf das Lebenselement des Wollens im
Menschen. Das Wollen, das mit dem
Begehren, mit der Bedürftigkeit nach
diesen oder jenen Erzeugnissen
zusammenhängt, ist eine Grundkraft des
menschlichen Wesens. Und wenn man
sagt, der Mensch solle leben können in
einer sozialen Struktur nach seinen
Bedürfnissen, so sieht man auf das
Wollen.
Ohne daß sie es wissen,
reden also selbst die Marxisten vom
Menschen, indem sie ihre soziale Frage
aufwerfen und eigentlich glauben
machen möchten, daß sie nur von
Einrichtungen sprechen. Sie sprechen
wohl von Einrichtungen, aber diese
Einrichtungen wollen sie so gestalten,
daß das Vorstellungsleben, die
menschlichen Fähigkeiten, zur Geltung
kommen können, und daß die
menschlichen Bedürfnisse gleichmäßig
befriedigt werden können, so wie sie
vorhanden sind.
Nun gibt es etwas sehr
Eigentümliches in dieser Anschauung.
In dieser Anschauung kommt nämlich ein
Lebenselement des Menschen gar nicht
zur Geltung, und das ist das
Gefühlsleben. Sehen Sie, wenn man
sagen würde: Man bezwecke, man wolle
erzielen eine soziale Struktur, in der
die Menschen leben können nach ihren
Fähigkeiten, nach ihren Gefühlen, nach
ihren Bedürfnissen —, so würde man den
ganzen Menschen treffen. Aber
kurioserweise läßt man, indem man in
umfänglicher Weise charakterisieren
will, welches das soziale Ziel für den
Menschen ist, das Gefühlsleben des
Menschen aus. Und wer das Gefühlsleben
in seiner Menschheitsbetrachtung
ausläßt, der läßt eigentlich jede
Betrachtung über die wirklichen
Rechtsverhältnisse im sozialen
Organismus aus. Denn die
Rechtsverhältnisse können sich nur so
entwickeln im Zusammenleben der
Menschen, wie sich in diesem
Zusammenleben der Menschen Gefühl an
Gefühl abstreift, abschleift. So wie
die Menschen gegenseitig zueinander
fühlen, so ergibt sich, was
öffentliches Recht ist. Und daher
mußte, weil man in der Grundfrage der
sozialen Bewegung das Lebenselement
des Gefühls wegließ, die Rechtsfrage
eigentlich, wie ich sagte, in ein Loch
fallen, verschwinden. Und es handelt
sich darum, daß man gerade diese
Rechtsfrage in das richtige Licht
rückt. Gewiß, man weiß, daß ein Recht
vorhanden ist, aber man möchte das
Recht bloß als ein Anhängsel der
wirtschaftlichen Verhältnisse
hinstellen.
Und wie entwickelt sich
im menschlichen Zusammenleben das
Recht? Sehen Sie, eine Definition des
Rechtes zu geben, ist oftmals versucht
worden, aber niemals ist eigentlich
eine befriedigende Definition des
Rechtes herausgekommen. Ebensowenig
ist viel herausgekommen, wenn man den
Ursprung des Rechtes untersucht hat,
wo das Recht herstammt. Man wollte
diese Frage beantworten. Es ist
niemals richtig etwas dabei
herausgekommen. Warum nicht? Es ist
geradeso wie wenn man irgendwie aus
der menschlichen Natur und bloß aus
der menschlichen Natur die Sprache
entwickeln wollte. Es ist oftmals
gesagt worden, und es ist richtig: Der
Mensch, der auf einer einsamen Insel
aufwächst, würde niemals zum Sprechen
kommen, denn die Sprache entzündet
sich an den anderen Menschen, an der
ganzen menschlichen Gesellschaft.
So entzündet sich aus
dem Gefühl im Zusammenwirken mit dem
Gefühl des anderen innerhalb des
öffentlichen Lebens das Recht. Man
kann nicht sagen, es entspringe das
Recht aus diesem oder jenem Winkel des
Menschen oder der Menschheit, sondern
man kann nur sagen: Die Menschen
kommen durch ihre Gefühle, die sie
gegenseitig füreinander entwickeln, in
solche Beziehungen, daß sie diese
Beziehungen in Rechten festlegen,
festsetzen. Das Recht ist also etwas,
nach welchem so gefragt werden sollte,
daß man vor allen Dingen auf seine
Entwickelung innerhalb der
menschlichen Gesellschaft hinsieht.
Dadurch aber kommt die
Rechtsbetrachtung für den modernen
Menschen gerade in unmittelbare Nähe
dessen, was sich herauf entwickelt hat
in der Geschichte der neueren
Menschheit als die demokratische
Forderung.
Man kommt dem Wesen
solcher Forderungen, wie es die
demokratische Forderung ist, nicht
nahe, wenn man nicht die menschliche
Entwickelung selber wie eine Art
Organismus ansieht. Aber davon sind
die gegenwärtigen Betrachtungsweisen
sehr, sehr weit entfernt. Jeder Mensch
empfindet es gewiß als etwas sehr
Lächerliches und Paradoxes, wenn man
erklären wollte, wie der Mensch von
der Geburt bis zum Tode sich
entwickelt unter dem Einfluß der
Nahrungsmittel; wenn man erklären
wollte, weil der Kohl so ist, der
Weizen so ist, das Rindfleisch so ist,
entwickelt sich der Mensch von seiner
Geburt bis zum Tode so und so. Nein,
niemand wird zugeben, daß das eine
vernünftige Betrachtungsweise ist,
sondern jeder wird zugestehen, daß man
fragen muß: Wie ist es in der
menschlichen Natur selbst begründet,
daß zum Beispiel um das siebente Jahr
herum aus dieser menschlichen Natur
heraus die Kräfte kommen, die den
Zahnwechsel bewirken? Man kann nicht
aus dem Kohl, aus dem Rindfleisch die
Konsequenzen ziehen, daß der
Zahnwechsel sich vollzieht. Ebenso muß
man fragen: Wie entwikkelt sich aus
dem menschlichen Organismus heraus
dasjenige, was zum Beispiel die
Geschlechtsreife darstellt? — und so
weiter. Man muß auf das, was sich
entwickelt, auf seine innere Natur
eingehen.
Suchen Sie sich unter
den heutigen Vorstellungsarten aber
eine, welche das auf die menschliche
Entwickelungsgeschichte anwenden kann,
welche sich zum Beispiel klar darüber
wäre, daß, indem die Menschheit auf
der Erde sich entwickelt, sie aus
sich, aus ihrem Wesen heraus in den
verschiedenen Zeitaltern gewisse
Kräfte und Fähigkeiten, gewisse
Eigentümlichkeiten entwickelt!
Wer lernt, sachgemäß zu
sein in der Naturbetrachtung, kann
diese sachgemäße Betrachtungsweise
auch übertragen auf die
Geschichtsbetrachtung. Und da findet
man, daß aus den Tiefen der
Menschennatur hervorgehend seit der
Mitte des 15. Jahrhunderts eben gerade
diese Forderung nach Demokratie sich
entwickelt hat und in den
verschiedenen Gegenden der Erde mehr
oder weniger befriedigt worden ist,
diese Forderung: daß der Mensch in
seinem Verhalten zu anderen Menschen
nur dasjenige gelten lassen kann, was
er selbst als das Richtige, als das
ihm Angemessene empfindet. Das
demokratische Prinzip ist aus den
Tiefen der Menschennatur heraus die
Signatur des menschlichen Strebens in
sozialer Beziehung in der neueren Zeit
geworden. Es ist eine elementare
Forderung der neueren Menschheit,
dieses demokratische Prinzip.
Wer diese Dinge
durchschaut, der muß sie aber auch
völlig ernst nehmen, der muß sich dann
die Frage aufwerfen: Welches ist die
Bedeutung und welches sind die Grenzen
des demokratischen Prinzipes? — Das
demokratische Prinzip — ich habe es
eben charakterisiert — besteht
darinnen, daß die in einem
geschlossenen sozialen Organismus
zusammenlebenden Menschen Beschlüsse
fassen sollen, welche aus jedem
einzelnen hervorgehen. Dann können sie
natürlich nur für die Gesellschaft
bindende Beschlüsse dadurch werden,
daß sich Majoritäten ergeben.
Demokratisch wird, was in solche
Majoritätsbeschlüsse einläuft, nur
dann sein, wenn jeder einzelne Mensch
als einzelner Mensch dem anderen
einzelnen Menschen als ein gleicher
gegenübersteht. Dann aber können auch
nur über diejenigen Dinge Beschlüsse
gefaßt werden, in denen der einzelne
Mensch als gleicher jedem anderen
Menschen in Wirklichkeit gleich ist.
Das heißt: Es können nur Beschlüsse
gefaßt werden auf demokratischem
Boden, über die jeder mündig gewordene
Mensch dadurch, daß er mündig geworden
ist, urteilsfähig ist. Damit aber
haben sie -- ich meine so klar als nur
möglich — der Demokratie ihre Grenzen
gezogen. Es kann ja nur dasjenige auf
dem Boden der Demokratie beschlossen
werden, was man einfach dadurch
beurteilen kann, daß man ein mündig
gewordener Mensch ist.
Dadurch schließt sich
aus von demokratischen Maßregeln
alles, was sich auf die Entwickelung
der menschlichen Fähigkeiten im
öffentlichen Leben bezieht. Alles, was
Erziehung und Unterrichtswesen, was
geistiges Leben überhaupt ist,
erfordert die Einsetzung des
individuellen Menschen — wir werden
übermorgen im genaueren davon sprechen
—, erfordert vor allen Dingen
wirkliche individuelle
Menschenkenntnis, erfordert in dem
Unterrichtenden, in dem Erziehenden
besondere individuelle Fähigkeiten,
die durchaus nicht dem Menschen
dadurch eignen können, daß er einfach
ein mündig gewordener Mensch ist.
Entweder nimmt man es mit der
Demokratie nicht ernst: dann läßt man
sie beschließen auch über alles, was
an individuellen Fähigkeiten hängt;
oder man nimmt es mit der Demokratie
ernst: dann muß man ausschließen von
der Demokratie die Verwaltung des
Geisteslebens auf der einen Seite. Man
muß aber auch ausschließen von dieser
Demokratie, was Wirtschaftsleben ist.
Alles was ich gestern entwickelt habe,
beruht auf Sachkenntnis und
Fachtüchtigkeit, die sich der einzelne
erwirbt in dem Lebenskreis
wirtschaftlicher Art, in dem er
drinnensteht. Niemals kann einfach die
Mündigkeit, die Urteilsfähigkeit jedes
mündig gewordenen Menschen darüber
entscheiden, ob man ein guter
Landwirt, ob man ein guter
Industrieller und dergleichen ist.
Daher können auch nicht
Majoritätsbeschlüsse gefaßt werden von
jedem mündig gewordenen Menschen über
dasjenige, was auf dem Gebiete des
Wirtschaftslebens zu geschehen hat.
Das heißt, das
Demokratische muß ausgesondert werden
von dem Boden des Geisteslebens, von
dem Boden des Wirtschaftslebens. Dann
ergibt sich zwischen beiden das
eigentliche demokratische Staatsleben,
in dem ein jeder Mensch dem anderen
als urteilsfähiger, mündiger, gleicher
Mensch gegenübersteht, in dem aber
auch nur Majoritätsbeschlüsse gefaßt
werden können über das, was abhängt
von der gleichen Urteilsfähigkeit
aller mündig gewordenen Menschen.
Wer diese Dinge, die
ich eben ausgesprochen habe, nicht
einfach abstrakt denkend sagt, sondern
sie am Leben abmißt, der sieht, daß
die Menschen gerade deshalb sich über
diese Dinge täuschen, weil sie
eigentlich unbequem vorzustellen sind,
weil man nicht den Mut entwickeln
möchte, in die letzten Konsequenzen
dieses menschlichen Vorstellens
einzudringen.
Das aber, daß man das
nicht wollte, daß man der allgemeinen
Forderung nach Demokratie nicht ganz
andere Dinge entgegenstellte, das
hatte in der neueren
Menschheitsentwickelung eine sehr,
sehr praktische Bedeutung. Ich möchte
Ihnen diese Dinge viel weniger aus
abstrakten Prinzipien als aus der
historischen Entwickelung der
Menschheit selber heraus gestalten.
Wir haben in diesen
Jahren einen Staat zugrunde gehen
sehen, man möchte sagen: aus seinen
eigenen Bedingungen heraus zugrunde
gehen sehen, und dieser Staat kann
geradezu als Experimentierobjekt auch
für Rechtsfragen angesehen werden. Es
ist das alte, nicht mehr bestehende
Österreich-Ungarn. Wer die Kriegsjahre
verfolgt hat, der weiß zwar, daß
zuletzt Österreich gefallen ist durch
die rein kriegerischen Ereignisse,
aber die Auflösung dieses
österreichischen Staates ist erfolgt
als eine zweite Erscheinung, als
etwas, was sich aus seinen inneren
Zuständen heraus ergeben hat. Dieser
Staat ist auseinandergefallen, und er
wäre wahrscheinlich auch
auseinandergefallen, wenn die
kriegerischen Ereignisse für
Österreich glimpflicher ausgefallen
wären. Das kann man sagen, wenn man
diese Verhältnisse in Österreich — wie
es dem möglich war, der hier vor Ihnen
spricht; dreißig Jahre meines Lebens
habe ich in Österreich zugebracht —
durch Jahrzehnte hindurch sachgemäß
beobachtet hat.
Es war in den sechziger
Jahren des vorigen Jahrhunderts, da
trat aus diesem Österreich die
Forderung hervor nach Demokratie, das
heißt nach einer Volksvertretung. Wie
wurde nun diese Volksvertretung
gestaltet? Diese Volksvertretung wurde
so gestaltet, daß die Volksvertreter
sich rekrutierten im österreichischen
Reichsrat aus vier Kurien, vier Kurien
rein wirtschaftlicher Art: erstens die
Kurie der Großgrundbesitzer, eine
Kurie; zweitens die Städte, Märkte und
Industrialorte, zweite Kurie; drittens
die Handelskammern, dritte Kurie; die
vierte Kurie waren die Landgemeinden,
aber da kamen auch in den
Landgemeinden nur eigentlich
wirtschaftliche Interessen in Frage.
Je nachdem man also Angehöriger einer
Landgemeinde, Handelskammer und so
weiter war, wählte man seine Vertreter
in den österreichischen Reichsrat. Und
da saßen nun die Vertreter
rein wirtschaftlicher Interessen
beisammen. Die Beschlüsse, die sie
faßten, kamen, durch Majorität
selbstverständlich, aus einzelnen
Menschen heraus zustande, aber die
einzelnen Menschen vertraten solche
Interessen, wie sie sich ihnen ergaben
aus ihrer wirtschaftlichen
Zugehörigkeit zu den Grund- und
Bodenbesitzern, zu den Städten,
Märkten und Industrialorten, zu den
Handelskammern oder zu den
Landgemeinden. Und was kamen für
öffentliche Rechte, die durch
Majoritätsbeschlüsse gefaßt worden
sind, dadurch zum Vorschein? Es kamen
dadurch öffentliche Rechte zum
Vorschein, die nur umgewandelte
Wirtschaftsinteressen waren. Denn
selbstverständlich, wenn zum Beispiel
die Handelskammern mit den
Großgrundbesitzern einig waren über
irgend etwas, was ihnen
wirtschaftliche Vorteile brachte, so
konnte ein Majoritätsbeschluß gefaßt
werden gegen die Interessen der
Minderheit, die vielleicht gerade die
Sache anging. Man kann immer, wenn
Interessenvertretungen
wirtschaftlicher Art in den
Parlamenten sitzen, Majoritäten
zusammenbringen, die aus den
wirtschaftlichen Interessen heraus
Beschlüsse fassen, dadurch Rechte
schaffen, die aber gar nichts zu tun
haben mit dem, was aus dem Gefühl
heraus von Mensch zu Mensch als
Rechtsbewußtsein waltet.
Oder nehmen Sie die
Tatsache, daß zum Beispiel in dem
alten deutschen Reichstag eine große
Partei saß, die sich Zentrum nannte,
und die rein geistige Interessen,
nämlich katholisch-geistige Interessen
vertrat. Diese Partei konnte sich
zusammenschließen mit jeder anderen,
um eine Majorität zu ergeben, und so
wurden rein geistige Bedürfnisse in
irgendwelche öffentlichen Rechte
umgewandelt. Unzählige Male ist dies
geschehen.
Was da lebt in den
demokratisch werden wollenden modernen
Parlamenten, hat man oftmals bemerkt.
Aber man ist nicht darauf gekommen,
einzusehen, was zu geschehen hat: Eine
reinliche Abscheidung desjenigen, was
das Rechtsleben ist, von dem, was die
Vertretung, die Verwaltung
wirtschaftlicher Interessen ist. Der
Impuls für die Dreigliederung des
sozialen Organismus muß daher in
entschiedenster Weise die Abgliederung
des Rechtslebens, des Rechtsbodens von
der Verwaltung der wirtschaftlichen
Verhältnisse, von der Verwaltung des
Wirtschaftskreislaufes fordern.
Innerhalb des
Wirtschaftskreislaufes sollen sich
Assoziationen bilden, wie ich gestern
auseinandergesetzt habe. Es werden
Berufsstände einander gegenüberstehen,
es werden Produzenten und Konsumenten
einander gegenüberstehen. Was da
geschehen wird an rein
wirtschaftlichen Tatsachen und
Maßnahmen, das wird beruhen auf
Verträgen, die die Assoziationen
miteinander schließen. Im
Wirtschaftsleben wird alles auf
Verträgen, alles auf gegenseitigen
Leistungen beruhen. Da werden
Korporationen Korporationen
gegenüberstehen. Da wird Sachkenntnis
und Fachtüchtigkeit den Ausschlag zu
geben haben. Da wird es sich nicht
darum handeln, was ich für eine
Meinung habe, sagen wir, wenn ich
Industrieller bin, welche Geltung
gerade mein Industriezweig im
öffentlichen Leben haben soll; nein,
darüber werde ich nichts beschließen
können, wenn das Wirtschaftsleben
selbständig ist, sondern ich werde zu
leisten haben in meinem
Industriezweige, werde Verträge zu
schließen haben mit den Assoziationen
anderer Industriezweige, und die
werden mir die Gegenleistungen zu
bieten haben. Ob ich in der Lage bin,
sie zu Gegenleistungen zu verhalten,
davon wird es abhängen, ob ich meine
Leistungen anbringen kann.
Vertragsweise wird sich eine
Tüchtigkeitsassoziation abschließen.
Das ist es, was Tatsachen sind.
Anders muß sich das
Leben abspielen auf dem Rechtsboden.
Auf dem Rechtsboden kann der Mensch
dem Menschen gegenüberstehen. Auf dem
Rechtsboden kann es sich nur handeln
um die Festlegung von Gesetzen, die
eben die öffentlichen Rechte durch
Majoritätsbeschlüsse regeln. Gewiß,
sehr viele Menschen sagen: Aber was
ist denn schließlich das öffentliche
Recht? Es ist ja nichts anderes als
dasjenige, was, in Worte gefaßt, in
Gesetze bringt, was in den
wirtschaftlichen Zuständen lebt! — Es
ist in vieler Beziehung so. Aber das
läßt die Idee von der Dreigliederung
des sozialen Organismus, wie sie die
Wirklichkeit überhaupt nicht
unberücksichtigt läßt, durchaus nicht
außer acht: Was sich durch die
Beschlüsse auf demokratischem Boden
als rechtens ergibt, das tragen
selbstverständlich die Menschen, die
wirtschaften, in das Wirtschaftsleben
hinein. Nur sollen sie es nicht
heraustragen und zum Rechte erst
machen. Sie tragen es in das
Wirtschaftsleben hinein.
Abstraktlinge, die
sagen: Ja, aber ist denn nicht im
äußeren Leben dasjenige, was der eine
mit dem anderen wirtschaftet, wenn er
einen Wechsel ausstellt oder
dergleichen, und was sich da im
Wechselrecht ergibt, ganz in der
Handlung des wirtschaftlichen Lebens
drinnen enthalten? Ist denn das nicht
eine völlige Einheit? Und du kommst,
Dreigliederer, und willst das, was im
Leben eine völlige Einheit ist, jetzt
auseinandernehmen!
Als ob es nicht im
Leben — gerade in dem Leben, wo der
Mensch keinen Zutritt hat mit seinen
Meinungen und das er dadurch nicht
verderben kann — viele Gebiete gäbe,
wo sich Kräfteströmungen von
verschiedenen Seiten her zu einer
Einheit verbinden! Nehmen Sie einmal
bei dem Menschen, der heranwächst, an:
er hat verschiedene Eigenschaften, die
er durch Vererbung bekommen hat. Die
haften ihm an. Dann hat er gewisse
Eigenschaften, die ihm anerzogen
werden. Von zwei Seiten her bekommt
der heranwachsende Mensch
Eigenschaften: durch Vererbung, durch
Erziehung. Aber tun Sie etwas, wenn
Sie fünfzehn Jahre alt geworden sind,
so können Sie nicht sagen, es sei
keine Einheit, was Sie tun! Es fließen
als eine Einheit zusammen das Ergebnis
Ihrer Vererbung und das Ergebnis Ihrer
Erziehung. Dadurch lebt eine Einheit
drinnen, aber nur dadurch richtig als
eine Einheit, daß es von zwei Seiten
zusammenströmt. Gerade dadurch wird es
eine gesunde Einheit, daß es von zwei
Seiten zusammenströmt.
So ergibt sich aus der
Wirklichkeit des Lebens für die Idee
des sozialen dreigegliederten
Organismus, daß eine gesunde Einheit
für das Handeln im Wirtschaftlichen
nur entsteht, insofern Rechtsbegriffe
darinnen inbegriffen werden, dadurch,
daß die wirtschaftlichen Maßnahmen aus
wirtschaftlichen Gesichtspunkten
selbständig verwaltet werden, und daß
auf dem demokratischen Rechtsboden die
Rechte geschaffen werden. Die Menschen
tragen das dann zu einer Einheit
zusammen. Es wirkt zusammen, während
Sie, wenn Sie die Rechte aus den
Interessen des Wirtschaftens selber
heraus entstehen lassen, diese Rechte
zu Karikaturen machen. Es ist dann das
Recht nur eine Photographie, nur ein
Abdruck des wirtschaftlichen
Interesses. Es ist das Recht gar nicht
da. Nur dadurch, daß Sie das Recht
ursprünglich und uranfänglich
entstehen lassen auf seinem
selbständigen demokratischen Boden,
können Sie es hineintragen in das
Wirtschaftsleben.
Man sollte glauben,
dies wäre so ohne weiteres klar, daß
man es eigentlich nicht weitläufig
auseinanderzusetzen brauchte. Aber
unsere Zeit hat gerade das
Eigentümliche, daß die klarsten
Wahrheiten durch das neuere Leben
verdunkelt worden sind und daß man
eigentlich die klarsten Wahrheiten
verzerrt. Man denkt heute auf dem
Boden, auf dem sich viele
sozialistische Anschauungen
entwickeln, die Abhängigkeit des
Rechtslebens von dem Wirtschaftsleben
müsse gerade fortgesetzt werden. Ich
habe Ihnen gestern angedeutet, wie
eine Art Hierarchie begründet werden
soll nach politischem Muster, und wie
das Wirtschaftsleben danach geregelt
und verwaltet werden soll. Da, denkt
man, werden diejenigen, die das
Wirtschaftsleben verwalten, schon so
nebenbei auch die Rechte entwickeln.
Man hat, indem man das behauptet,
keinen Sinn für das konkrete,
wirkliche Leben. Nicht das
Wirtschaftsleben, in dem man vor allen
Dingen tüchtig zu sein hat für die
Gestaltung der
Produktionsverhältnisse, kann die
Rechtsverhältnisse hervorbringen,
sondern diese müssen neben dem
Wirtschaftsleben aus ihrer eigenen
Quelle hervorgebracht werden. Sie
werden niemals bloß aus dem Nachdenken
hervorgebracht, sondern dadurch, daß
sich konkret neben dem
Wirtschaftskreislauf ein staatliches
Element entwickelt, in dem der
einzelne individuelle Mensch dem
anderen individuellen Menschen
gegenübersteht.
Es handelt sich ja
nicht darum, daß man aus irgendeinem
ursprünglichen Bewußtsein heraus als
Wirtschafter auch Rechtsgesetze
hervorbringt, sondern darum, daß man
erst den konkreten Boden schafft, auf
dem die Menschen durch ihre Gefühle in
solche Verhältnisse kommen, daß sie
diese Verhältnisse in rechtliche
Verhältnisse umgestalten können. Es
handelt sich darum, daß man eine
Realität schafft neben dem
Wirtschaftsleben. Dann wird nicht das
Recht ein bloßer Überbau über dem
Wirtschaftsleben sein, sondern dann
wird das Recht dastehen als eine
selbständig sich gestaltende
Wesenheit. Dann wird man nicht durch
eine theoretische Antwort den
Grundirrtum, den Aberglauben der
sozialen Frage überwinden, als ob man
nur das Wirtschaftsleben umzugestalten
brauchte, um zu anderen
Rechtsbegriffen zu kommen, dann wird
man die Realität im dreigegliederten
sozialen Organismus einfach dadurch
schaffen, daß man den selbständigen
Rechtsboden schafft, die Realität, aus
der heraus durch Menschenverkehr und
Menschenbeziehung diejenige starke
Stoßkraft des Rechtslebens entsteht,
die das Wirtschaftsleben meistern
kann.
Und schließlich zeigt
auch noch die geschichtliche
Betrachtung der neueren Zeit von einer
anderen Seite her, wie das, was ich
eben auseinandersetzte, noch bewiesen
ist. Blicken Sie zurück auf die
Antriebe, die die Menschen bis zum
13., 14. Jahrhundert noch gehabt haben
für ihre handwerklichen und sonstigen
Arbeiten. Es wird oftmals betont von
den modernen sozialistischen Denkern,
daß der Mensch getrennt sei von seinen
Produktionsmitteln. Das ist er in so
hohem Grade, wie es jetzt der Fall
ist, erst durch die modernen
Wirtschaftsverhältnisse geworden.
Namentlich ist er getrennt von seinen
Produkten. Der Arbeiter, der in der
Fabrik arbeitet, wieviel Anteil hat er
denn an dem, was dann der Unternehmer
verkauft? Was weiß er denn davon? Was
weiß er von dem Weg, den das macht in
die Welt? Ein kleines Stück von einem
großen Zusammenhang! Er bekommt
vielleicht den großen Zusammenhang
niemals zu Gesicht. Denken Sie sich,
was das für ein gewaltiger Unterschied
ist gegenüber dem alten Handwerk, wo
der einzelne Arbeiter an dem, was er
hervorbrachte, seine Freude hatte --
wer die Geschichte kennt, weiß, wie
das der Fall ist; denken Sie an die
persönliche Beziehung eines Menschen
zu der Hervorbringung eines
Türschlüssels, eines Schlosses und
dergleichen. Wenn man in primitive
Gegenden kommt, kann man in dieser
Beziehung noch recht nette Erfahrungen
machen, aber wo die Gegenden weniger
primitiv sind, da macht man solche
Erfahrungen nicht mehr. Ich kam einmal
-- verzeihen Sie, daß ich so etwas
Persönliches erzähle, aber vielleicht
dient es zur Charakteristik — in eine
solche Gegend und war wirklich
außerordentlich entzückt, als ich in
einen Friseurladen hineinging und der
Friseurgehilfe seine helle Freude
daran hatte, wie er einem Menschen
schön die Haare schneiden konnte! Er
hatte seine helle Freude an dem, was
er leistete. Es ist immer weniger und
weniger von solchen persönlichen
Zusammenhängen zwischen dem Menschen
und seinem Produkte da. Daß dieser
Zusammenhang nicht da ist, das ist
einfach eine Forderung des modernen
Wirtschaftslebens. Das kann nicht
anders sein unter den komplizierten
Verhältnissen, wo wir unter
Arbeitsteilung arbeiten müssen. Und
hätten wir die Arbeitsteilung nicht,
so hätten wir das moderne Leben mit
alldem, was wir notwendig haben,
nicht, hätten wir keinen Fortschritt.
Es ist nicht möglich, daß die alte
Beziehung zwischen dem Menschen und
seinem Produkte da ist.
Aber der Mensch braucht
eine Beziehung zu seiner Arbeit. Der
Mensch hat nötig, daß Freude zwischen
ihm und seiner Arbeit, daß eine
gewisse Hingabe an seine Arbeit
bestehen kann. Die alte Hingabe, das
unmittelbare Beisammensein mit dem
hervorgebrachten Objekte, das ist
nicht mehr, das muß aber durch etwas
anderes ersetzt werden. Denn das ist
nicht erträglich für die menschliche
Natur, daß nicht ein ähnlicher Antrieb
zur Arbeit da sei, wie er da war durch
die Freude am unmittelbaren
Hervorbringen des Objektes. Das muß
durch etwas anderes ersetzt werden.
Durch was kann es ersetzt werden? Es
kann allein dadurch ersetzt werden,
daß der Horizont der Menschen
vergrößert wird, daß die Menschen
herausgerufen werden auf einen Plan,
auf den sie mit ihren Mitmenschen in
großem Kreise — zuletzt mit allen
Mitmenschen, die den gleichen sozialen
Organismus mit ihnen bewohnen —
zusammentreffen werden, um als Mensch
für den Menschen Interesse zu
entwickeln. Das muß eintreten, daß
selbst derjenige, der in dem
verborgensten Winkel an einer
einzelnen Schraube für einen großen
Zusammenhang arbeitet, mit seinem
persönlichen Verhältnisse nicht in dem
Anblick dieser Schraube aufzugehen
braucht, sondern daß er hineintragen
kann in seine Werkstätte, was er als
Gefühle für die anderen Menschen
aufgenommen hat, daß er es wiederum
findet, wenn er herausgeht aus seiner
Werkstatt, daß er eine lebendige
Anschauung hat von seinem Zusammenhang
mit der menschlichen Gesellschaft, daß
er arbeiten kann, auch wenn er nicht
für das unmittelbare Produkt mit
Freude arbeitet, aus dem Grunde, weil
er sich als ein würdiges Glied
innerhalb des Kreises seiner
Mitmenschen fühlt.
Und aus diesem Drange
ist hervorgegangen die moderne
Forderung nach Demokratie und die
moderne Art, auf demokratische Weise
das Recht, das öffentliche Recht
festzulegen. Die Dinge hängen
innerlich mit dem Wesen der
Menschheitsentwickelung zusammen. Und
diese Dinge kann nur durchschauen, wer
in das Wesen der
Menschheitsentwickelung, wie sie sich
auf sozialem Boden abspielt, wirklich
hineinzuschauen die Neigung hat. Man
muß fühlen, wie der Horizont der
Menschen erweitert werden müßte, wie
Sie fühlen müßten: Gewiß, ich weiß
nicht, was ich meinen Mitmenschen tue,
indem ich diese Schraube hier
fabriziere, aber ich weiß, daß ich
durch die lebendigen Beziehungen, in
die ich durch das öffentliche Recht
mit ihnen komme, innerhalb der
gesellschaftlichen Ordnung ein
würdiges Mitglied, ein mit allen
anderen gleich geltendes Mitglied bin.
Das ist es, was
zugrunde liegen muß der modernen
Demokratie, und was zugrunde liegen
muß, als von Gefühl zu Gefühl zwischen
Menschen wirkend, den modernen
öffentlichen Rechtssatzungen. Und nur
dadurch, daß man so in das innere
Gefüge des Menschen hineinschaut,
kommt man zu wirklich modernen
Begriffen von dem, was sich als
öffentliches Recht auf allen Gebieten
entwickeln muß. Im Genaueren werden
wir darüber noch im fünften Vortrag zu
sprechen haben. Jetzt aber will ich
Ihnen zum Schlusse noch zeigen, wie
das Gebiet der Rechtsfindung
hinüberspielt von dem eigentlichen
Rechtsboden auf den Geistesboden.
Man kann, indem man
einfach die Verhältnisse durchblickt,
die ich Ihnen jetzt charakterisiert
habe, sehen, wie durch das Abschleifen
von Gefühl an Gefühl zwischen
gleichberechtigten Menschen auf
demokratischem Boden die Gesetze
entstehen, während dem auf dem
Wirtschaftsboden die Verträge zwischen
den Koalitionen oder auch zwischen den
einzelnen Menschen entstehen. Von dem
Augenblicke an, wo es sich darum
handelt, daß der einzelne
zivilrechtlich, privatrechtlich oder
sonst irgendwie, auch strafrechtlich,
sein Recht zu suchen hat oder zu
finden hat, in diesem Augenblicke geht
das Recht über von dem eigentlichen
Rechtsboden auf den Boden des
Geisteslebens. Da liegt wiederum ein
Punkt — geradeso wie bei der
Steuergesetzgebung —, wo das moderne
menschliche Vorstellen sich noch lange
nicht anbequemen wird an das, was sich
eigentlich, wenn man auf die
Grundverhältnisse eingeht, als ein
Selbstverständliches ergibt.
Sehen Sie, wenn es sich
darum handelt, zu beurteilen, wie ein
Gesetz, das gegeben ist, auf den
einzelnen Menschen anzuwenden ist, da
kommt die individuelle Beurteilung
dieses einzelnen Menschen in Betracht;
da kommt in Betracht, daß man wirklich
durch seine geistigen Fähigkeiten
eingehen kann auf diesen einzelnen
Menschen. Die Strafrechtspflege, die
Zivilrechtspflege, die kann nicht auf
dem allgemeinen Rechtsboden stehen,
die muß auf den Boden gerückt werden,
dessen tiefere Eigentümlichkeit ich
übermorgen bei der Besprechung des
Geisteslebens klarlegen werde. Sie
kann nur dadurch Rechts-Tat werden,
daß jeder, der zum Richter wird,
wirklich auch in die Lage versetzt
wird, aus den individuellen
Fähigkeiten, ja den individuellen
Beziehungen zu dem Menschen, über den
er zu richten hat, heraus zu richten.
Vielleicht könnte man sich denken, daß
so etwas auf die verschiedenste Art
erreicht werden kann. Ich habe in
meinen «Kernpunkten der sozialen
Frage» darauf aufmerksam gemacht, wie
es auf eine Art erreicht
werden kann.
Es besteht im
dreigliederigen sozialen Organismus
die selbständige, Ihnen gestern
charakterisierte
Wirtschaftsverwaltung, es besteht der
demokratische Rechtsboden, den ich
heute skizziert habe und den ich im
fünften Vortrag weiter auszuführen
haben werde in seiner Wechselwirkung
mit den anderen Gebieten. Es besteht
aber auch das selbständige
Geistesleben, wo vor allen Dingen das
Unterrichts- und Erziehungswesen
verwaltet wird in der Weise, wie ich
es gestern angedeutet habe und
übermorgen weiter ausführen werde.
Diejenigen nun, die die Verwalter des
Geisteslebens sind, werden zu gleicher
Zeit die Richter zu stellen haben, und
jeder Mensch wird das Recht und die
Möglichkeit haben -- sagen wir sogar
bloß für Zeitdauer — sich zu
bestimmen, von welchem Richter er
abgeurteilt sein will, wenn er in die
Lage kommt, für irgend etwas Zivil-
oder Strafrechtliches abgeurteilt zu
werden. Da wird aus den wirklichen
individuellen Verhältnissen heraus der
Mensch sich seinen Richter bestimmen.
Da wird der Richter, der nicht ein
juristischer Bürokrat ist, sondern der
aus dem geistigen Organismus heraus
bestellt wird, aus den Zusammenhängen,
in die er mit seiner Umgebung in
sozialer Beziehung versetzt ist, auch
feststellen können, wie aus der
sozialen Umgebung heraus derjenige zu
beurteilen ist, über den zu richten
ist. Es wird sich darum handeln, daß
nicht aus staatlichen Bedürfnissen
heraus die Richter bestellt werden,
sondern daß die Gründe, aus denen
heraus man einen Richter bestellt,
ähnliche sind wie die, die man im
freien Geistesleben geltend macht
dafür, daß man den besten Erzieher an
irgendeinen Platz hinbringt. Das
Richterwerden wird etwas ähnliches
sein wie das Lehrer- und
Erzieherwerden.
Natürlich drängt sich
dadurch die Rechtsfindung ab von der
Feststellung des Rechtes, die auf
demokratischem Wege erwächst. Wir
sehen gerade an diesem Beispiel der
Strafrechtspflege, wie aus der
Demokratie dasjenige herauswächst, was
individuelle Angelegenheit des
Menschen ist, was auch
individuellerweise beurteilt werden
muß. Die Feststellung des Rechtes ist
ja im eminentesten Sinne eine soziale
Angelegenheit. In dem Augenblicke, wo
man genötigt ist, sich an einen
Richter zu wenden, hat man es in der
Regel mit einer über- oder
antisozialen Angelegenheit zu tun, mit
etwas, was aus dem sozialen Leben
herausfällt. Solche Angelegenheiten
sind im Grunde genommen alle
individuellen Angelegenheiten der
Menschen. Solche Angelegenheiten sind
die Verwaltungszweige des geistigen
Lebens, und unter diesen auch die
Verwaltung der Rechtsfindung. Die
Rechtsfindung wächst heraus, über die
Grenzen der Demokratie hinweg.
So handelt es sich
darum, in Realität herzustellen, was
zwischen Menschen als Realität das
Rechtsleben bewirkt. Dann wird dieses
Rechtsleben kein Überbau sein des
Wirtschaftslebens, sondern dann wird
dieses Rechtsleben hineinwirken in das
Wirtschaftsleben. Niemals wird man
durch eine bloße theoretische
Betrachtungsweise auf das kommen, was
auf diesem Gebiete zu geschehen hat,
sondern allein dadurch, daß man ins
praktische Leben hineinschaut und sich
sagt: Ein wirkliches Rechtsleben mit
einer entsprechenden Stoßkraft kann
nur entstehen, wenn man einen
selbständigen Rechtsboden schafft.
Dieser Rechtsboden ist verschwunden
unter dem alles überflutenden
Wirtschaftsleben. Das Rechtsleben ist
ein Anhängsel des Wirtschaftslebens
geworden. Es muß wiederum selbständig
werden, wie auch das Geistesleben
emanzipiert werden muß vom
Wirtschaftsleben. Der große Irrtum muß
überwunden werden zum Klarsehen in der
sozialen Frage — der große Irrtum, daß
man bloß die wirtschaftlichen
Einrichtungen umzugestalten habe, dann
ergäbe sich alles übrige von selbst.
Dieser Irrtum ist dadurch entstanden,
daß das wirtschaftliche Leben in der
neueren Zeit allein mächtig geworden
ist. Man läßt sich suggestiv
beeinflussen von der einzigen Macht
des Wirtschaftslebens. Man wird
dadurch niemals zu einer Lösung
bringen, was die soziale Frage ist.
Die Menschen werden sich Illusionen
hingeben, gerade die vom Proletariat.
Sie werden aus dem Wirtschaftsleben
heraussaugen wollen, was sie «gerechte
Verteilung der Güter» nennen. Die
gerechte Verteilung der Güter wird
aber nur bewirkt werden, wenn im
sozialen Organismus Menschen
drinnenstehen, die Fähigkeiten haben,
die entsprechenden Einrichtungen,
durch die die wirtschaftlichen
Forderungen befriedigt werden können,
zu schaffen. Das kann nur geschehen,
wenn man einsehen wird: Es handelt
sich zur Befriedigung der sozialen
Forderung nicht allein um die
Umgestaltung des Wirtschaftslebens,
sondern darum, die Frage zu
beantworten: Was muß neben das
Wirtschaftsleben hingestellt werden,
damit fortdauernd dieses
Wirtschaftsleben von den sozialen
Menschen, die im Rechtsleben, im
Geistesleben soziale Menschen werden,
sozial gestaltet werde?
Das muß sich als die
Wahrheit einem Aberglauben, einem
Dogma entgegensetzen. Und diejenigen,
die im Wirtschaftsleben die alleinigen
Heilmittel suchen für eine Gesundung
des sozialen Lebens, müssen verwiesen
werden auf den Geist und auf das
Recht. Nicht träumen sollen sie davon,
als ob das Recht nur ein Rauch wäre,
der aufsteigt aus dem
Wirtschaftsleben, sondern
wirklichkeitsgemäß denken: Gerade weil
das Recht und das Rechtsbewußtsein
zurückgetreten sind in der neueren
Zeit durch die Überflutung des
Wirtschaftslebens, haben wir zur
sozialen Gestaltung unseres
gesellschaftlichen Organismus nötig
die reale Schöpfung eines
Rechtsorganismus mit der
entsprechenden sozialen Stoßkraft.
Fragenbeantwortung nach dem
dritten Vortrag
Es sind nun noch eine
Anzahl von Fragen an mich gestellt
worden. Die erste:
Wie kann durch ein
auf selbständigem Boden
beschlossenes Recht das
Wirtschaftswesen geregelt werden?
Nun ist es nur
notwendig, daß man berücksichtigt, wie
verschieden der hier gedachte
dreigliederige Organismus ist von dem,
was man im platonischen Staat findet
als die Gliederung der Menschen eines
sozialen Organismus in drei Stände: in
den Nährstand, Wehrstand, Lehrstand.
Ich habe es unter den mancherlei
Mißverständnissen auch treffen müssen,
daß Leute gesagt haben: Ja, diese
Dreigliederung in einen geistigen
Organismus, in einen Rechts- oder
Staatsorganismus und in einen
Wirtschaftsorganismus, das sei ja nur
ein Aufwärmen des platonischen
Prinzips von Lehrstand gleich
geistiger Organismus — so glaubt man,
Wehrstand gleich staatlicher
rechtlicher Organismus, Nährstand
gleich wirtschaftlicher Organismus.
Das ist durchaus nicht so. Es ist das
Gegenteil davon. Bei der
Dreigliederung des sozialen Organismus
handelt es sich nämlich darum, daß die
Verwaltungen der betreffenden Zweige
des menschlichen Lebens voneinander
getrennt werden, daß also nicht etwa
die Menschen gegliedert werden in
Stände, sondern daß dasjenige, was vom
Menschen abgesondert ist, die
Verwaltung der Einrichtungen, in drei
Glieder zerfällt, die ja
zusammenzuwirken haben gerade durch
den lebendigen Menschen. Der lebendige
Mensch steht ja in allen drei Gebieten
drinnen. Es ist nach und nach in der
Menschheit das Bewußtsein entstanden,
daß es eigentlich nicht menschenwürdig
ist, Klassenunterschiede,
Standesunterschiede und so weiter zu
entwickeln. In der Realität werden
diese nur überwunden werden, wenn man
den sozialen Organismus nach dem
Objektiven gliedert, nach dem, was vom
Menschen abgesondert ist.
So muß man sich zum
Beispiel folgendes vorstellen. Ich
werde im fünften Vortrag über
Ähnliches noch zu sprechen haben. Wer
eine Anschauung von dem wirklich
freien Geistesleben gewinnt, der wird
durchschauen können, wie dieses
wirklich freie Geistesleben gar nicht
jene Abstraktheit hat, die vielfach
das heutige Geistesleben hat. Sie
kennen heute, oder könnten sie
wenigstens kennen, allerlei
philosophische, religiöse
Weltanschauungen und dergleichen.
Denken Sie nur, wie abstrakt, wie
lebensfremd diese Weltanschauungen
geworden sind. Man braucht sich nur
daran zu erinnern, wie heute ein
Mensch seine ethischen, ästhetischen,
wissenschaftlichen, religiösen
Anschauungen haben kann als Kaufmann,
als Staatsmann, als Industrieller, als
Landwirt, und daneben hat er die
Verwaltung seines Amtes, seiner
Wirtschaft und so weiter. Ja, beides
läuft gewissermaßen nebeneinander her.
Eines ragt nicht in das andere hinein.
Das rührt davon her, daß wir im Grunde
genommen heute noch immer auf dem
Gebiete des Geisteslebens die
Fortsetzung des alten griechischen
Geisteslebens haben, das aus ganz
anderen sozialen Verhältnissen
hervorgegangen ist. Das wissen die
Menschen zum großen Teile nicht, aber
wir haben tatsächlich in unserer
sozialen Gesinnung die Fortsetzung des
griechischen Geisteslebens, das darauf
beruhte, daß ein vollständig
menschenwürdiges Dasein nur derjenige
führt, der eigentlich nicht arbeitet,
der nur für Politik sorgt und
höchstens Landwirtschaft beaufsichtigt
und dergleichen. Derjenige, der
arbeitete, der gehörte eigentlich
nicht in Wirklichkeit zu den Menschen,
die im höheren Sinne in Betracht
kommen. Beim Griechen lag es
gewissermaßen im Blute, sich so zum
Menschtum zu stellen, und danach
richtete sich sein ganzes Geistesleben
ein. Das griechische Geistesleben ist
nicht anders denkbar, denn als
Oberbildung über eine breite
Unterbildung von Leuten, die nicht an
diesem Geistesleben teilnehmen
konnten, die nicht das griechische
Geistesleben als solches hatten.
Aber diese Anschauung
vom Geistesleben ist in unserem Gefühl
geblieben. Man braucht über solche
Dinge wahrhaftig nicht mit
Leidenschaft zu urteilen, aber man
kann sie berücksichtigen: die
leitenden, führenden Kreise haben sich
oftmals in sehr abstrakter Weise mit
dem beschäftigt, was menschliche
Brüderlichkeit ist, Nächstenliebe ist
und so weiter. Nehmen wir ein
drastisches Beispiel. In der Mitte des
19. Jahrhunderts, wo die Leute auch
vom Standpunkt ihrer religiösen, ihrer
ethischen Weltanschauung aus über
Nächstenliebe, über Brüderlichkeit
nachgedacht haben, hat man eine
statistische Aufnahme gemacht über die
Schäden der Bergarbeit in England. Da
hat sich herausgestellt, daß in der
Tat in die Bergschächte neun-, elf-,
dreizehnjährige Kinder vor dem Aufgang
der Sonne hinuntergelassen und nach
dem Untergang der Sonne erst wieder
heraufgeholt worden sind, so daß die
armen Kinder den ganzen Tag über nicht
das Sonnenlicht gesehen haben, die
ganze Woche nicht, nur am Sonntag. Ja,
bei den Kohlen, die auf diese Weise
zutage gefördert worden sind, in gut
geheizten Zimmern, haben sich dann die
gebildeten Klassen unterhalten in
ihrer lebensfremden Weltanschauung
über Brüderlichkeit, über
Nächstenliebe, haben ihre ethischen
Ansichten entwickelt, haben sogar
entwickelt, daß ein ethischer Mensch
nur derjenige ist, welcher ohne
Unterschied des Standes und so weiter
alle seine Mitmenschen liebt.
Aber ein solches
Geistesleben — und im Grunde genommen
geht dieser Zug durch unser ganzes
Geistesleben — ist ein lebensfremdes
Geistesleben. Das ist das
Geistesleben, das man im Inneren
führt, das nicht die Stoßkraft hat,
bis ins Leben hinein sich zu
erstrecken. Bedenken Sie, welche Kluft
besteht zwischen dem, was der Kaufmann
darlebt in seiner ästhetischen, seiner
religiösen Bildung, und dem, was er
notifiziert in seinem Kassenbuch. Da
steht zwar auch auf der ersten Seite:
«Mit Gott», aber es ist wenig bekannt
mit dem Gott, den er da in seinem
Herzen verehrt.
Nun, sehen Sie, da
haben Sie die tiefe Kluft zwischen dem
abstrakten Geistesleben und der
äußeren konkreten Wirklichkeit. An
diese Kluft hat man sich heute gewöhnt
als an etwas Selbstverständliches. Es
gibt Philosophen, Ethiker, die
behandeln Wohlwollen, die behandeln
Güte, Nächstenliebe und alles
mögliche. Aber nehmen Sie ein solches
philosophisches Buch und fragen Sie,
wie man zum Beispiel irgendeine Bank
gestalten soll, so können Sie daraus
nicht irgendeine Anleitung haben, wie
man die Bank gestalten soll. Ein
Geistesleben, das wirklich emanzipiert
ist, auf seine eigenen Füße gestellt
ist, das wird wiederum verbinden
Lebenspraxis mit dem geistigen
Betriebe, mit demjenigen, was
Geistesleben ist.
Wer namentlich den
übermorgigen Vortrag hören wird von
mir, wird nicht glauben, daß ich in
irgendeiner Nuance nur dem
Geistesleben einen materialistischen
Zug geben will. Das gerade Gegenteil,
werden Sie sehen, wird der Fall sein.
Aber gerade wenn man das nicht will,
wenn man das Geistesleben auf seine
geistigen Grundlagen stellen will,
dann kann das einen nicht dazu
verleiten, das materielle Leben wie
etwas dem Geistesleben Fremdes zu
behandeln, sondern den Geist so zu
behandeln, daß er untertauchen kann in
die unmittelbare Wirklichkeit. Darüber
sind heute schon Menschen erstaunt,
wenn man zu ihnen im Konkreten so
spricht.
Zum Beispiel fragte
mich ein Industrieller: «Ja, also, Sie
wollen, daß zum Beispiel an den
Praktiker, der in einem praktischen
Beruf arbeitet, drinnen sich auskennt,
wenn er die Eignung hat — wenn die
geistige Verwaltung findet, daß er die
Eignung hat —, mag er fünfunddreißig,
vierzig Jahre alt sein, der Ruf
ergeht, ganz gleichgültig auf welchem
Wissensgebiete es ist, nun zu lehren
an irgendeiner höheren oder niedereren
Schule eine gewisse Zahl von Jahren.»
Dann tritt er wieder aus der Praxis
heraus! Das Geistesleben ist getrennt
vom Wirtschaftsleben. Aber der
Wirtschaftende verwendet gerade
dasjenige, was er sich aneignet im
getrennten Geistesleben: Ein
fortwährendes Hinüber und Herüber.
«Aber es ist doch so,
daß der Mensch seinen Fähigkeiten nach
auf einen eingeschränkten Posten
gestellt werden muß. Sehen Sie, ich
habe einen Menschen in meinem
Geschäft, in meiner Fabrik, der ist
ganz so geschaffen, daß er immer
fordert, ich soll für ihn ein
chemisches Laboratorium einrichten, in
dem er einzig und allein Experimente
machen kann. Die Menschen sind eben
verschiedenartig!» Sie sind es, sie
sind verschieden geartet, weil sie
durch die Verhältnisse der neueren
Zeit so erzogen sind. In Wahrheit kann
niemand wirklich im Geistesleben
drinnenstehen, der nicht auch im
praktischen Leben seinen Mann stellen
kann. Nur dann, wenn man den Geist
überall hineintragen kann ins
praktische Leben, dann kann man auch
im Geistesleben seinen Mann stellen.
So wird gerade dadurch,
daß dasjenige, was vom Menschen
getrennt ist, dreigliederig wird, das
Getrennte durch den Menschen
zusammengeführt. Wenn also im
demokratischen Staatswesen das Recht
entsteht, so werden die Menschen, die
dann im Wirtschaftsleben tätig sind,
das Recht hineintragen ins
Wirtschaftsleben, werden solche
Einrichtungen machen, die dem Rechte
entsprechen. Durch die lebendigen
Menschen wird es hineingetragen, nicht
durch die abstrakten Maßnahmen und
dergleichen. Das ist es, um was es
sich handelt: wiederum die sozialen
Einrichtungen auf die Grundlage des
lebendigen Menschen zu stellen. Das
möchte ich auf diese Frage erwidern.
Sehen Sie, auch auf den
einzelnen Gebieten wird sich ergeben,
daß das Wissen wirklich dem Leben
fruchtbar gemacht werden kann. Sehen
Sie sich heute eine große Anzahl von
Universitäten an. Da wird auch
Pädagogik gelehrt. Nun ja, so im
Nebenfach lehren die Philosophen
Pädagogik, wovon sie in der Regel
wenig verstehen. In einem gesunden
sozialen Organismus wird irgendein
geeigneter Schullehrer, der praktisch
den Unterricht zu handhaben versteht,
zwei oder drei Jahre Pädagogik zu
lehren haben; dann wird er wiederum
zurückkehren zu seinem praktischen
Fach. So wird es im ganzen Leben sein.
Dadurch, daß dasjenige, was vom
Menschen getrennt ist, dreifach
gegliedert ist, dadurch wird man
gerade in der Lage sein, daß der
Mensch in jedes dieser Gebiete
dasjenige hineinträgt, was sich in
seiner Selbständigkeit im anderen
Gebiete auslebt.
Die zweite Frage:
Wer richtet in
handelsgerichtlichen
Angelegenheiten, wohl nicht Räte aus
dem Kulturgebiet allein, die der
Fachkenntnisse ermangeln, nicht
Fachexperten allein?
Im Grunde genommen ist
viel von dieser Frage schon
beantwortet mit dem, was ich eben
jetzt gesagt habe. Durch die
Gestaltung unseres Geisteslebens wird
einer so vorgebildet, wie er sein muß,
damit er ein richtiger Referendar ist,
damit er ein richtiger Kaufmann ist
und dergleichen. Es handelt sich
darum, daß eben im dreigliederigen
sozialen Organismus, mit dem
selbständigen Geistesleben, nicht so
unterrichtet werden wird, sondern daß
der Mensch tatsächlich durch die Art
und Weise, wie das Geistesleben seine
eigenen Bedingungen stellt, zu einer
gewissen Lebenspraxis kommen wird, und
daß er diese Lebenspraxis auch wird
ausgestalten können. Man braucht ja
durchaus nicht ein sachgemäßes Urteil
auf jedem Gebiete zu haben. Das ist es
gerade, was nicht sein kann und worauf
nicht gerechnet werden darf. Daß der
richtige Mensch in einem
Handelsgerichte sitzt, dafür wird
allerdings aus der geistigen
Verwaltung heraus zu sorgen sein, weil
in der geistigen Verwaltung drinnen
auch diejenigen Menschen sitzen
werden, die etwas von den
Handelsgesetzen verstehen. Es wird,
was Wissen ist, nicht in Fächern in
dieser Weise zentralisiert wie heute,
sondern es wird durch dasjenige, wie
die Menschen untereinander sind in den
Korporationen der geistigen
Organisation, möglich sein, solch ein
Gericht in der entsprechenden Weise
zusammenzusetzen, sachgemäß
zusammenzusetzen, nicht aus
irgendwelchem wirtschaftlichem
Bedürfnis heraus und dergleichen.
Wie kann man richtig
die Bedürfnisse eines Menschen
feststellen oder die richtige
Wertschätzung eines von ihm erzeugten
Gegenstandes bemessen, wo doch die
Warenbedürfnisse des Menschen so
verschieden sind?
Gerade weil sie
verschieden sind, müssen reale
Einrichtungen geschaffen werden,
welche darinnen bestehen, daß Menschen
da sind, welche diese Bedürfnisse
studieren, diese Bedürfnisse
kennenlernen. Solche Dinge hängen
nicht in der Luft, solche Dinge können
durchaus auf einen realen Boden
gestellt werden. Ein kleines Beispiel
könnte ich Ihnen ja anführen. Es gibt
eine Gesellschaft, sie steht sogar
unterschrieben auf den Plakaten: die
Anthroposophische Gesellschaft. Sie
hat sich neben dem, was ihr manche
Menschen zuschreiben, auch mit recht
praktischen Angelegenheiten schon
beschäftigt, die durchaus in der Linie
liegen, wenn auch im kleinen, von dem,
was ich hier über die soziale Frage
auseinandergesetzt habe. So fand sich
innerhalb der Anthroposophischen
Gesellschaft ein Mann, der Brot
erzeugen konnte. Weil man gerade zur
Verfügung hatte eine Korporation von
Menschen, die ja natürlich auch
Brotkonsumenten sind, eine Korporation
von Anthroposophen, konnte man
gewissermaßen eine Assoziation
herbeiführen zwischen dem Mann als
Broterzeuger und diesen Konsumenten;
das heißt, er konnte sich in seiner
Produktion nach den Bedürfnissen des
Konsums richten, so, daß man die
Bedürfnisse kennt und nach den
vorhandenen Bedürfnissen die
Produktion durchaus einrichten kann.
Das wird nicht der Markt tun, der das
Ganze anarchisch zufällig gestaltet,
sondern das kann nur geschehen, wenn
Einrichtungen da sind, durch die
Menschen, die die Bedürfnisse wirklich
studieren, nach den Bedürfnissen die
Produktion lenken, sie mit den
Assoziationen regeln.
Diese Feststellung der
Bedürfnisse möchten sozialistische
Denker heute nach der Statistik
machen. Das kann nicht nach der
Statistik gemacht werden. Das
lebendige Leben läßt sich nie nach der
Statistik formen, sondern allein nach
dem unmittelbaren Beobachtungssinn der
Menschen. Es müssen also innerhalb des
Wirtschaftsorganismus die Menschen
durch die sozialen Zustände in gewisse
Ämter oder dergleichen gebracht
werden, die da sind zur Verteilung der
Bedürfniserkenntnisse an die
Produktion. Gerade weil die
Bedürfnisse verschieden sind, handelt
es sich darum, nicht etwa eine
Tyrannisierung der Bedürfnisse
hervorzurufen, die ganz gewiß
entstehen würde auf Grundlage des
heutigen sozialdemokratischen
Programms, sondern es handelt sich
darum, aus den lebendigen Bedürfnissen
zu erkennen, wie diese Bedürfnisse
befriedigt werden sollen. Daß
selbstverständlich gewisse Bedürfnisse
dann nicht befriedigt werden können,
das wird auch die Praxis als solche
ergeben. Aus einem Dogma heraus, weil
irgend jemand meint, dies oder das sei
kein richtiges menschliches Bedürfnis,
darf darüber nicht entschieden werden.
Aber wenn eine Anzahl von Menschen
Bedürfnisse haben, die nach Gütern
rufen, zu deren Herstellung Menschen
ausgenützt werden müßten — das wird
sich gerade im lebendigen
Wirtschaftsleben ergeben, das auf
seine eigenen Füße gestellt ist wird
man diese Güter nicht herstellen
können, für die einzelne Bedürfnisse
haben. Es wird sich gerade darum
handeln, zu erfassen, ob die
Bedürfnisse ohne Vernachlässigung,
ohne Schaden für die menschlichen
Kräfte wirklich berücksichtigt werden
können.
Wie denkt Dr.
Steiner sich die praktische
Verwirklichung der Dreigliederung?
Ist es möglich, beim Bundesrat
einzuwirken? Oder soll nach
genügender Verbreitung der Gedanken
ein Referendum stattfinden? Oder
wird man abwarten müssen, bis
Revolution und Bürgerkrieg die
gegenwärtige Ordnung gestürzt haben
werden?
Zunächst handelt es
sich doch darum, ernst zu nehmen, daß
hier eine neue Methode, wenigstens
relativ neue Methode gegenüber den
Methoden, die sonst eingehalten
werden, eingeschlagen werden muß. Es
handelt sich darum, daß nicht so, wie
das bei den alten Parlamenten der Fall
ist, Ziele angestrebt werden, sondern
daß aus der Sache selbst heraus, ich
möchte sagen, aus den Tendenzen des
modernen Lebens heraus, erfaßt werde,
was eigentlich die Menschen in ihrem
Unterbewußtsein fordern, wenn sie sich
auch nicht darüber klar sind. Und
dann, wenn man in der Lage ist, das
verständlich zu machen, um was es sich
handelt, dann werden eine Anzahl von
Menschen da sein, welche verstehen
werden, was zu geschehen hat. Und wenn
eine genügend große Anzahl von
Menschen da ist, welche Verständnis
dafür haben, was zu geschehen hat,
dann werden sich, glaube ich, die Wege
ergeben. Ich habe in meinen
«Kernpunkten der sozialen Frage»
gerade ausgeführt, wie an jedem Punkt
des Lebens eigentlich angefangen
werden kann mit dieser Dreigliederung,
wenn man nur will, wenn man nur ihren
Sinn wirklich versteht.
Daß nicht beabsichtigt
wird, durch irgendeine Revolution
herbeizuführen, was in der
Dreigliederung lebt, das beruht auch
auf einer geschichtlichen Betrachtung.
Ich habe dabei eben das zu sagen, daß
ja Umwandelungen auf geistigen
Gebieten -- man nehme nur das
Christentum — im Abendlande
stattgefunden haben, daß auch auf
politischen Gebieten Umwandelungen
stattgefunden haben. Aber schon auf
politischen Gebieten lassen die
Umwandelungen gewisse Reste übrig.
Heute denken die Menschen an
wirtschaftliche Revolutionen — wir
werden über die ganze Frage im fünften
Vortrage noch zu sprechen haben,
überhaupt in den nächsten Vorträgen —,
aber solche Revolutionen werden alle
das Schicksal haben, das die
Revolution des europäischen Ostens
ganz gewiß haben wird: nur Abbau zu
treiben, nicht Aufbau, das die
ungarische Revolution hatte, das
besonders die deutsche Revolution vom
9. November 1918 hat, die ja
vollständig im Versanden ist, die im
Versanden ist aus dem Grunde, weil
sich deutlich zeigt, daß es heute
wahrhaftig nicht darauf ankommt,
irgendwelche gewaltigen Umwälzungen
herbeizuführen, sondern Ideen zu
haben, durch welche normale haltbare
Zustände herbeigeführt werden.
Bekennt sich eine
genügend große Anzahl von Menschen zum
Verständnisse einer solchen
Sache, dann ergeben sich die Wege.
Denn die Idee von der Dreigliederung
des sozialen Organismus ist nicht nur
ein Ziel, sondern sie ist eben selbst
ein Weg. Aber es handelt sich darum,
daß man nicht etwa sich auf den Boden
stellt, auf den sich so manche Leute
stellen. Ich habe es zum Beispiel in
gewissen Gebieten erlebt, als ich die
Dreigliederung auseinandergesetzt
habe, daß die Leute auch mein Buch
«Die Kernpunkte der sozialen Frage»
gelesen haben. Sie haben das plausibel
gefunden, was drinnensteht. Aber Leute
aus dem radikalen Flügel der Linken
haben gefunden: Ja, diese
Dreigliederung ist sehr gut, aber da
muß zuerst Revolution, Diktatur des
Proletariats vorausgehen, dann werden
wir auf die Dreigliederung
zurückgreifen -- und recht wohlwollend
ist das gesagt worden —; jetzt aber
bekämpfen wir sie bis aufs Messer! --
Das war die Folgerung: Weil man
eigentlich einverstanden ist, bekämpft
man sie bis aufs Messer! Das ist mir
ja vielfach entgegengetreten. Diese
Dinge beruhen eigentlich durchaus auf
einem falschen Denken: daß man irgend
etwas machen kann, bevor Verständnis
dafür geschaffen ist.
Besonders
charakteristisch ist eine kleine
Episode: Ich habe an einem Orte
Süddeutschlands über diese Dinge
gesprochen. Da trat ein Kommunist auf.
Der Mann war eigentlich ein ganz
netter Mensch. Aber er sagte ungefähr
im Laufe seines Vortrags das Folgende
zu seinen Zuhörern, er war auch ein
ganz bescheidener Mensch nach seinem
Oberbewußtsein, im Unterbewußtsein
sehr, sehr erheblich weniger
bescheiden: Sehen Sie, ich bin ein
Schuhflicker. Ich weiß ganz gut, da
ich ein Schuhflicker bin, daß ich
nicht imstande bin, in der zukünftigen
sozialen Gesellschaft ein
Standesbeamter zu werden. Zum
Standesbeamten, da braucht man einen,
der dazu vorgebildet ist. — Aber der
Mann, der hatte vorher in aller
Ausführlichkeit seine Pläne entwickelt
über die soziale Ordnung, woraus
hervorging: zum Minister in dem
Zukunftsstaate, dazu fühlte er sich
wohl berufen — zum Standesbeamten
nicht, wohl aber zum Minister!
Daß solche Denkweise
herrscht, das könnte ich Ihnen noch
aus manchem anderen netten Beispiel
beweisen. Aber es zeigt eben, daß es
sich darum handelt, daß zunächst
einmal wirklich Verständnis Platz
greife für dasjenige, was der Inhalt
der Dreigliederung ist. Dann werden
sich die Wege ergeben. Und man sollte
hoffen, daß dieses Verständnis Platz
greifen könnte, ehe es zu spät ist.
Wenn nur ein wenig die heutigen
Menschen sich aufrütteln könnten zu
dem Verständnis desjenigen, was
notwendig ist, dann würde es schon
dahin kommen. Dann würde man auch
nicht eigentlich fragen, ob man beim
Bundesrat vorstellig werden soll durch
ein Referendum und dergleichen,
sondern man würde wissen: Sobald
genügend viel Menschen da sind, ist
die Sache auch da — wenn genügend viel
Menschen sie verstehen. Das ist es im
Grunde genommen, was das Geheimnis
gerade einer Gesellschaft ist, die
nach Demokratie strebt: daß die Sache
da ist, wenn sie wirklich inneres
Verständnis findet und wenn sie
wirklich innerlich klar ist. Das ist
es, worauf es ankommt.
Nun liegt die
Frage vor:
Ist das Prinzip
des Strafrechts nicht ein
Überbleibsel?
Weiter:
Hat der Gedanke
des Strafens eine Berechtigung
gegenüber dem Gedanken der
pädagogischen Besserung?
Es ist tatsächlich der
Gedanke des Strafens einer der
allerschwierigsten, und alle möglichen
Antworten sind im Laufe der
geschichtlichen Betrachtung gerade auf
diese Frage gegeben worden. Auf einem
solchen Boden, aus dem Ideen
hervorgehen wie die der Dreigliederung
des sozialen Organismus, ergeben sich
auch gewisse Konsequenzen, die sich
auf einem anderen Boden nicht ergeben.
Alles einzelne, was innerhalb einer
sozialen Ordnung geschieht, ist im
Grunde genommen doch eine Konsequenz
der ganzen sozialen Ordnung. So wie
jedes Stück Brot, das ich erwerben
kann, mit seinem Preis eine Konsequenz
der ganzen sozialen Ordnung ist, so
sind auch die Antriebe beim Strafen in
der ganzen Struktur des sozialen
Organismus drinnen begründet. Und
gerade an dem Umstande, daß Strafen
notwendig werden, gerade darinnen
zeigt sich, daß im ganzen sozialen
Organismus etwas ist, was eigentlich
nicht drinnen sein soll. Wenn man, ich
sage jetzt nicht, den dreigliederigen
sozialen Organismus als solchen
vertritt, sondern überhaupt aus
solchen Impulsen eine praktische
Weltanschauung entwickelt, aus der
heraus man die Idee vom
dreigliederigen sozialen Organismus
gewinnt, dann ergibt sich eigentlich
die Anschauung, daß man allerdings mit
Bezug auf Strafe und Strafvollzug zu
anderen Dingen kommen wird, und die
Notwendigkeit des Strafens wird viel
weniger eintreten, wenn solche Dinge
sozial wirklich sind, wie sie zum
Beispiel gerade in dem heutigen
Vortrage gefordert worden sind. Das
Strafrecht, das wie der Schatten
eigentlich unsoziale Zustände
begleitet, wird in sozialen Zuständen
auf ein Minimum herunter reduziert
werden können. Daher werden die
Fragen, die heute auftauchen gegenüber
dem Strafrecht, ob es ein Überbleibsel
ist und dergleichen, auf einen ganz
neuen Boden gestellt werden, wenn eine
solche Umwälzung wirklich geschieht.
Ich möchte sagen: Wenn der Mensch
krank ist, so tut er gewisse Dinge;
wenn er gesund ist, tut er andere
Dinge. So ist es auch hier. Es weist
hin die Notwendigkeit, zu strafen, auf
gewisse Krankheitssymptome innerhalb
des ganzen sozialen Organismus. Wenn
man anstrebt, den sozialen Organismus
gesund zu machen, so werden die
Begriffe über Strafe, Strafrecht,
Strafvollzug eben doch auf einen ganz
anderen Boden gestellt werden können.
Also ich möchte sagen: Man muß
versuchen, in der ganzen
Auseinandersetzung über die soziale
Umwandelung die Antwort zu suchen auf
dasjenige, was dann auch aus dem
einzelnen, wie zum Beispiel Strafrecht
oder Strafvollzug, wird.
Liegt es in der
Urteilsfähigkeit jedes Menschen, zu
bestimmen, wieviel Arbeitszeit ein
bestimmter Produktionszweig
erfordert?
Ja, urteilsfähig zu
sein mit anderen Menschen zusammen,
über solche Fragen zu entscheiden, ist
etwas anderes, als das Liegen
in der Willkür eines einzelnen
Menschen. Wenn Sie meine «Kernpunkte
der sozialen Frage» lesen — und ich
werde ja auf das Arbeitsrecht noch
zurückkommen in den Vorträgen —, dann
werden Sie sehen, daß im
dreigliederigen sozialen Organismus
die Regelung von Art der Arbeit, von
Zeit der Arbeit eine Angelegenheit des
öffentlichen Rechtes werden soll, daß
also das, was hier gefragt wird,
geregelt werden soll gerade auf dem
demokratischen Rechtsboden. Da handelt
es sich also darum, daß eine solche
Frage geregelt wird von jedem Menschen
mit allen anderen Menschen des
sozialen Organismus zusammen. Dazu ist
der Mensch urteilsfähig, daß er mit
den anderen zusammen über eine solche
Frage eine Regelung vornehmen kann.
Also es ist nicht berechtigt zu
fragen: Liegt es in der
Urteilsfähigkeit jedes Menschen, zu
bestimmen, wieviel Arbeitszeit ein
bestimmter Produktionszweig erfordert?
— Das liegt ganz gewiß nicht beim
einzelnen Menschen, in seiner Willkür;
aber es liegt in der Möglichkeit,
darüber ein öffentliches Urteil zu
gewinnen durch demokratische Regelung
und demokratische Majorität auf einem
solchen Rechtsboden, wie ich ihn heute
geschildert habe.
Müssen wir nicht
zuerst das Seelische im Menschen
abklären, bevor wir an die
Ausführungen im großen in diesem
Staate gehen?
Nun, vieles von dem,
was hier gemeint ist, wird ja gerade
Gegenstand des nächsten Vortrages
sein. Aber, sehen Sie, die Idee der
Dreigliederung des sozialen Organismus
ist eine praktische Idee. Daher sieht
sie auch alle Dinge von einem
wirklichkeitsgemäßen Gesichtspunkte
an. Es gibt heute viele Menschen, die
sagen einfach: Nun, wir haben die
soziale Frage, also muß sie gelöst
werden, also muß man über ein Programm
nachdenken, durch das die soziale
Frage gelöst wird; heute haben wir
soziale Zustände, die nicht
wünschenswert sind, wir werden eine
Lösung der sozialen Frage finden; dann
werden sich morgen soziale Zustände
herausbilden, die sozial wünschenswert
sind. — So liegt die Sache aber nicht.
In jener Entwickelung der Menschheit,
die ich heute geschildert habe, hat
sich eben die soziale Frage ergeben
aus gewissen Seelenverfassungen,
Leibesverfassungen und den
Konsequenzen davon in bezug auf das
soziale Leben. Sie ist da, die soziale
Frage, und man kann sie nicht
theoretisch lösen, kann nicht Gesetze
geben, durch die die soziale Frage
gelöst wird. Sie ist da und wird da
bleiben. Sie wird immer da sein. Sie
wird jeden Tag aufs neue aufgeworfen
werden. Dafür müssen auch immer
Einrichtungen da sein, durch die sie
jeden Tag aufs neue gelöst werden
wird. Also es handelt sich nicht
darum, daß man die Sache so hübsch
einteilt: Zuerst machen wir die
Menschenseelen geeignet, dann werden
wir sozial wünschenswerte Zustände
herbeiführen. — Nein, es handelt sich
darum, daß man die soziale Frage
anerkennt, daß man versucht, in der
Realität so etwas zu verwirklichen,
wie es zum Beispiel der selbständige
Rechtsboden oder der selbständige
Geistesboden ist, wodurch die soziale
Frage fortdauernd gelöst werden kann.
Ich habe in meinem
Buche «Die Kernpunkte der sozialen
Frage» mich dagegen verwahrt, daß man
das, was ich gesagt habe über die
Ähnlichkeit zwischen dem einzelnen
menschlichen Organismus und dem
sozialen Organismus mit Bezug auf die
Dreigliederung als ein müßiges
Analogiespiel ansieht. Ich wollte
wahrhaftig nicht irgendein dem Meray
oder dem älteren Schäffle
entsprechendes Analogiespiel
treiben zwischen dem menschlichen
Organismus und dem sozialen
Organismus. Aber was ich in meinem
Buche «Von Seelenrätseln» ausgeführt
habe, daß eine wirkliche
Naturbetrachtung dazu kommt, den
menschlichen Organismus als eine
Zusammenwirkung von drei selbständigen
Gliedern anzusehen, das erfordert ein
Denken und eine Betrachtungsweise, die
dann fruchtbar auch auf den sozialen
Organismus angewendet werden können,
aber nicht durch Übertragung, sondern
gerade durch unbefangene Betrachtung
des sozialen wie des natürlichen
Organismus. Da ist manches, was man an
dem einen und an dem anderen lernen
kann.
Nicht wahr, die
Menschen möchten den sozialen
Organismus so betrachten, daß da
Einrichtungen enthalten sind, die ja
alles in Idealzuständen erhalten, daß
alles in der besten Weise gemacht
wird. Es wird nie gefragt, ob das auch
möglich ist. Die Leute möchten ein
Wirtschaftsleben begründen, in dem
Einrichtungen sind, durch die nie
Schäden entstehen können. Man bedenkt
nicht, daß es sich im Leben eben um
Leben handelt und nicht um
Abstraktionen! Im Menschen, im
natürlichen Organismus, ist zum
Beispiel die Einrichtung, daß wir den
Sauerstoff einatmen; der wird
umgewandelt in Kohlensäure. Der
Sauerstoff spielt eine Rolle im
menschlichen Organismus durch gewisse
Organe, die ihn so in Verbindung
bringen mit anderen Stoffen, daß
gewisse Funktionen des menschlichen
Organismus vor sich gehen können. Ja,
da müssen besondere Organe da sein,
welche das eine tun. Würden nur sie da
sein, so würden Schäden im Organismus
entstehen. Diese Schäden muß man auch
entstehen lassen, aber im Entstehen
müssen sie verhindert werden. Das ist
das Wesen des Lebendigen. Diejenigen,
die sagen: Wir haben einen
Wirtschaftsorganismus, gestalten wir
ihn so, daß er durch sich selber
funktioniert; dann brauchen wir neben
diesem einen Rechts- oder einen
Geistesorganismus — die reden geradeso
wie diejenigen, die sagen: Es wäre
doch viel besser von dem Schöpfer oder
den Naturkräften, wenn man bloß einmal
im Leben zu essen brauchte
und dann der menschliche Organismus so
eingerichtet wäre, daß das nicht immer
wiederum zerstört wird und immer
wieder von neuem gegessen werden muß.
— Wenn es sich ums Lebendige handelt,
handelt es sich um Absteigen und
Aufsteigen der Prozesse. Ein
Wirtschaftsleben, das wirtschaftlich
richtig eingerichtet ist, das läßt
Schäden entstehen gerade durch seine
Tüchtigkeit; und im Entstehen, im
Status nascendi, muß man gleichzeitig
diese Schäden aufheben. Das kann man
nicht durch den Wirtschaftsorganismus
selber, sondern durch den
danebenstehenden Geistes- und
Rechtsorganismus. Die müssen da sein,
damit sie im Entstehen die Schäden des
Wirtschaftsorganismus aufheben. Das
ist der Charakter des Lebendigen, daß
die Dinge in reger Wechselbeziehung
stehen.
Eine solche Betrachtung ist freilich
viel unbequemer, ist aber eine solche,
die mit den Wirklichkeiten rechnet, die
nicht den Wirtschaftsorganismus so
reformieren will, daß er sich selber
aufhebt, selber zerstört. Es ist leicht
zu sagen: Diese und jene Schäden sind
entstanden aus der modernen Produktion,
also schafft man sie ab, setzt eine
andere ein. -- Nicht darum handelt es
sich, einfach irgend etwas zu fordern,
sondern zu studieren die Möglichkeiten
eines lebendig Bestehenden. Und eine
Möglichkeit ist diese, daß es in diesem
einen Gliede, auf der einen Seite,
gewisse Dinge hervorruft, die, wenn sie
den einseitigen Prozeß nur verfolgen
würden von diesem Organsystem aus, zum
Tod des betreffenden Organismus führen
würden. Andere Glieder des Organismus
wirken entgegen, und schon im Status
nascendi, im Entstehungszustande, wird
Korrektur geübt durch das andere. So
müssen die drei Glieder das Korrigieren
aneinander üben. So ist es
wirklichkeitsgemäß gedacht. Und wer sich
wirklich heute mit der sozialen Frage
beschäftigen will, der muß sich an
wirklichkeitsgemäßes Denken gewöhnen.
Wir segeln in die furchtbarsten Zustände
hinein, wenn das verrenkte, karikierte
Denken, das nichts zu tun hat mit
Wirklichkeit, das Programme macht aus
den menschlichen Leidenschaften,
Emotionen heraus, überall Platz greift.
Ein wirklichkeitsgemäßes Denken wird
aber Wirklichkeit schaffen. Daher
handelt es sich zunächst darum, ein
wirklichkeitsgemäßes Denken zu gewinnen.
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