Des façons de voir qui
ont grandit vis-à-vis des faits de
l'évolution sociale des temps récents,
comme hier j'ai essayé de les
expliquer, est apparu ce que vous
trouvez répertorié dans mon livre «
Les noyaux germinatifs de la question
sociale », est apparue l'idée de
triarticulation de l'organisation
sociale. Cette idée de triarticulation
de l'organisme social veut être une
idée de vie absolument pratique et non
contenir en soi une quelque chose un
peu utopique. C'est pourquoi la
condition préalable pour la rédaction
de mon livre a été, que ce sera
accepté avec un certain instinct pour
les faits véritables, que ce ne sera
pas jugé à partir de théories
présaisies, d'opinions de parti pré
saisies. Toutefois, quand est correct
– et c'est sans doute correct, ce que
j'ai introduit hier -, que
progressivement les faits sociaux sont
devenus si compliqués dans les
rapports de vie des humains, qu'ils se
laissent seulement embrasser du regard
extraordinairement difficilement, une
méthode particulière deviendra
nécessaire lors de la discussion de ce
qui aujourd'hui doit conduire à la
volonté.
C'est donc vis-à-vis de
cette complexité des faits seulement
évidents que l'humain a tout d'abord
une certaine compréhension pour cela,
nommément aux phénomènes économiques,
qui reposent dans ses cercles de vie.
Seul tout, qui en eux reposent, est
dépendant de toute l'économie
restante, et aujourd'hui pas seulement
de l'économie d'un pays, mais de toute
l'économie du monde. Là l'individu
viendra bien souvent dans la situation
évidente et compréhensible de vouloir
juger les nécessités pour l'économie
mondiale d'après les expériences de
son cercle de vie le plus proche. Il
fera naturellement erreur en cela. Qui
est familier avec les exigences d'un
penser conforme à la réalité, celui là
sait aussi quelle signification cela
a, d'aller aux phénomènes du monde
avec un certain instinct de réalité,
pour venir par cela à certaines
connaissances posant fondement, qui
alors peuvent jouer dans la vie un
rôle similaire comme dans certaines
connaissances scolaires posant des
vérités fondamentales.
Voyez-vous, quand on
voulait partir là dessus, de
reconnaître toute la vie de l'économie
avec toutes ses particularités et de
cela tirer d'abord des conclusions
pour une volonté sociale, on n'aurait
donc jamais terminé. Mais on aurait
tout aussi peu terminé quand on
devrait d'abord faire toutes les
particularités, dans lesquelles,
disons,le théorème de Pythagore trouve
application dans la vie technique,
pour reconnaître la vérité du théorème
de Pythagore. On s'approprie la vérité
du théorème de Pythagore de certains
rapports intérieurs et on sait
alors : partout, où son
application vient en question, il doit
valoir. On se résout aussi dans la
connaissance sociale à ce que
certaines connaissances fondamentales
par leur nature interne peuvent se
montrer comme vraies à la conscience.
Et quand alors on a seulement sens de
la réalité, alors on trouvera aussi
que partout où elles viennent en
question, elles sont aussi
applicables. Ainsi, le livre
« Les noyaux germinatifs de la
question sociale » aimerait être
compris à partir de sa nature
intérieure, à partir de la nature
intérieure des rapports sociaux
présentés, et ainsi aimerait tout
d'abord être saisie l'idée d'ensemble
de la triarticulation de l'organisme
social. Mais j'essayerais dans ces
conférences de montrer absolument
comment des phénomènes particuliers de
la vie sociale livrent des
confirmations pour ce qui se montre de
cette idée de la triarticulation de
l'organisme social qui résulte des
nécessités de vie du présent et du
proche avenir de l'humanité.
Mais pour le moment je
serai contraint, de manière
introductive, avant que je passe en
fait à mon thème d'aujourd'hui,
exposant simplement de placer devant
vous ce qu'est l'idée de base de cette
triarticulation de l'organisme social.
Nous avons pu saisir hier soir le
résultat que notre vie sociale doive
placer ses exigences à partir de trois
racines de fond, avec d'autres mots,
que la question sociale soit une
question d'esprit, une question d’état
ou de droit, une question politique,
et une question d'économie. Qui
explore la vie des récents
développements de l'humanité, celui-là
trouvera que ces trois éléments de vie
de l'esprit, vie de droit et d’État ou
politique et vie de l'économie – ont
coulés dedans ensemble chaotiquement
progressivement jusque dans notre
présent en un ensemble, une unité, et
qu'à partir de ce couler ensemble nos
dommages sociaux actuels sont apparus.
Reconnaît-on cela
fondamentalement – et ces conférences
devraient fournir la base pour cela
qu'on pourrait reconnaître cela, ainsi
on trouvera que l'avenir devrait se
développer ainsi que la vie, la vie
publique, l'organisme social serait
articulé en une administration
d'esprit autonome nommément la vie de
l'esprit publique en système
d'éducation et d'enseignement, en une
administration autonome du politique,
des rapports d’État, de droit, et en
une pleinement autonome administration
de la vie de l'économie.
Actuellement une seule
administration englobe ces trois
éléments de la vie dans nos États, et
quand on parle d’une triarticulation,
on sera aussitôt mécompris. On sera
compris ainsi, que sera dit :
maintenant donc, là quelqu’un veut une
administration autonome pour la vie de
l’esprit, une administration autonome
pour la vie du droit – ou de l'état -
ou politique, une administration
autonome pour la vie de l'économie ;
donc il promeut trois parlements, un
parlement culturel, un parlement
démocratique-politique et un parlement
économique. – Si l’on promouvait cela,
alors on ne comprendrait justement
rien du tout de l’idée de la
triarticulation de l’organisme social,
car cette idée de la triarticulation
de l’organisme social veut justement
prendre complètement au sérieux les
exigences, qui se sont montrées
historiquement au cours des récents
développements de l’humanité.
Et ces trois exigences on peut les
exprimer avec trois mots qui toutefois
sont déjà devenus des slogans ;
passe-t-on par-dessus les slogans,
pour rencontrer la réalité, ainsi on
trouve, que trois impulsions
historiques justifiées sont contenues
dans ces trois mots. Ces trois mots
sont les impulsions à la liberté de la
vie humaine, l’impulsion après la
démocratie, et l’impulsion à une
formation sociale de l’être
communautaire (NDT ou « du
système de vie commune »).
Mais si on prend au sérieux ces trois
exigences, alors on ne peut pas les
mettre en pelote ensemble en une seule
administration, car alors l’une doit
toujours gêner l’autre.
Qui par exemple prend au sérieux
l’appel à la démocratie, celui-là doit
se dire : cette démocratie peut
seulement se vivre par une
représentation du peuple ou par un
referendum, quand chaque humain devenu
majeur, en ce qu’il est placé égal en
vis-à-vis à chaque autre humain devenu
majeur, peut décider par son jugement,
ce qui justement sur sol démocratique
par la capacité de jugement de chaque
humain devenu majeur pourra être
décidé.
Maintenant, il y a –
ainsi dit l’idée de la triarticulation
de l’organisme social - tout un
domaine de vie, c’est justement le
domaine de la vie de droit, le domaine
de la vie de l’État, le domaine des
rapports politiques, dans lequel
chaque humain devenu majeur est
appelé, à partir de sa conscience
démocratique à se prononcer. Mais
quand est ainsi fait sérieusement avec
la démocratie et que la vie de l’État
devrait être entièrement démocratisée,
ne peut plus jamais alors être tiré le
domaine spirituel dedans cette
démocratie d’un côté, et plus jamais
ne peut être tiré le cycle de la vie
de l'économie dans cette
administration démocratique.
Dans cette
administration démocratique, un
parlement est absolument à sa place.
Mais dans un tel parlement
démocratique ne peut jamais être
décidé sur ce qui est a réaliser sur
le sol de la vie de l’esprit, aussi
sur le sol du système d’éducation et
d’enseignement. Ce que j'aurais à
exposer bien plus précisément dans la
quatrième conférence, je veux
l'évoquer aujourd'hui de manière
introductive : la triarticulation
de l'organisme social aspire à une vie
de l'esprit autonome en particulier
dans les affaires publiques, dans le
système d'éducation et d'enseignement.
Cela signifie qu'il ne devrait pas
être déterminé dans le futur par une
quelque prescription d’État sur quoi
et comment serait à enseigner, mais
ceux-là qui vraiment se tiennent dans
l'enseignement pratique, dans
l'éducation pratique, ceux-là
devraient aussi être les
administrateurs du système
d'éducation. Cela signifie, du plus
bas niveau d'école primaire jusqu'en
haut aux plus hauts niveaux
d'enseignement la personne enseignante
devrait être indépendante de quelque
autre pouvoir, étatique ou économique
en rapport à quoi et comment elle
aurait à enseigner. Cela devrait
suivre de ce qui sera éprouvé comme
approprié pour la vie de l'esprit à
l'intérieur de la collectivité
spirituelle autonome elle-même. Et
l'individu devrait seulement avoir
besoin d'utiliser pour l'enseignement
autant de temps qu'il lui reste encore
pour être coadministrateur de l'entier
système d'enseignement et d'éducation,
mais aussi de la vie spirituelle
d'ensemble.
J'essayerai de prouver
dans la quatrième conférence comme par
cette autonomie de la vie de l'esprit
la constitution spirituelle de
l'humain sera absolument placée sur un
tout autre sol, et comme tout de suite
surviendra, ce à quoi on peut le moins
croire d'après les actuels préjugés,
que cela viendrait. Par cette
autonomie la vie de l'esprit recevra
la force de vraiment intervenir
fructueusement dans la vie de l’État
et particulièrement dans la vie de
l'économie. Et intérieurement sera
tout de suite une vie de l'esprit
autonome pas une grise théorie, ne
livrera pas des façons de voir
scientifiques étrangères au monde,
mais pénétrera en même temps dans la
vie humaine, ainsi que l'humain se
pénétrera d'une telle vie de l'esprit
autonome pas avec des façons de voir
spirituelles purement abstraites, mais
avec des connaissances par lesquelles
il pourra placer son homme dans la vie
économique. Tout de suite par
l'autonomie la vie de l'esprit
deviendra en même temps pratique.
Ainsi qu'on peut dire : la vie de
l'esprit aura à dominer connaissance
factuelle et application des
connaissances factuelles. N'aura pas à
dominer ce qui peut venir du jugement
d'un humain devenu capable de
jugement, majeur. L'administration de
la vie de l'esprit devra donc être
retirée du parlementarisme. Qui croit
que là devrait régner un parlement
démocratique, celui-là mécomprend tout
de suite fondamentalement la
motivation de la triarticulation de
l'organisme social.
C'est similaire dans la
vie de l'économie. Mais la vie de
l'économie a ses racines autonomes.
Elle devra être administrée à partir
de ses propres conditions. Mais il ne
peut à nouveau pas être jugé
démocratiquement sur l'art et la
manière comment devrait être géré par
des humains devenus majeurs, mais
seulement par celui qui se tient dans
une quelque branche de l'économie, qui
est devenu capable pour une branche de
l'économie, qui connaît l’enchaînement
comment cette branche de l'économie
dépend des autres branches de
l'économie. Compétence factuelle et
capacité factuelle ce sont les
conditions par lesquelles seule peut
se constituer dans la vie de
l'économie quelque chose portant des
fruits. Cette vie de l'économie sera
donc démembrée d'un côté de l'État de
droit, de l'autre côté de la vie de
l'esprit. Elle devra être placée sur
sa propre base.
Cela sera aussi méconnu
des pensants socialistes aujourd'hui.
Les pensants socialistes se
représentent une quelque forme que la
vie de l'économie devrait adopter,
afin que disparaissent certains
dommages de nature sociale dans le
futur de l'humanité. On a vu, et c'est
donc facile à voir, que par l'ordre
économique de capitalisme privé du
siècle dernier certains dommages sont
survenus. Ces dommages sont évidents.
Comment juge-t-on ? On se
dit : l'ordre économique
capitaliste privé est monté ; il
a apporté les dommages. Les dommages
disparaîtront quand nous abolirons
l'ordre économique capitaliste privé,
quand nous laisserons avancer
l'économie commune à la place de
l'ordre économique capitaliste privé.
Ce qui comme dommages s'est levé est
venu par là que des propriétaires
particuliers ont personnellement les
moyens de production pour propriété.
Quand maintenant des propriétaires
particuliers n'auront plus les moyens
de production pour leur propriété,
mais la communauté administrera les
moyens de production, alors
disparaîtront les dommages.
Maintenant on peut
dire : des connaissances
particulières, les pensants
socialistes se les sont aussi déjà
remportées, et il est intéressant
comme ces connaissances particulières
sont déjà absolument agissantes dans
des cercles socialistes. On dit
aujourd'hui déjà : oui, les
moyens de production ou le capital,
lequel est donc le représentant des
moyens de production, devraient être
administrés communautairement. Mais on
a vu à quoi a conduit par exemple
l'étatisation de certains moyens de
production, l'étatisation de la poste
et des chemins de fer et ainsi de
suite et on ne peut absolument pas
dire que les dommages auraient été
écartés par ce que l’État est
maintenant devenu capitaliste. Donc on
ne peut pas étatiser. On ne peut pas
non plus communaliser. On ne peut
aussi pas atteindre quelque chose
apportant des fruits par ce qu'on
fonde des coopératives de consommation
dans lesquelles les gens se mettent
ensemble, qui ont besoin de
consommation d'un quelque
article.C'est gens là qui règlent
cette consommation et par cela veulent
aussi régler la production des biens à
consommer, ceux-là deviendront comme
consommateurs , aussi de l'avis de
penseurs socialistes, des tyrans de la
production. Et ainsi la connaissance
est déjà parcourue de ce qu'aussi bien
l'étatisation que la communalisation,
comme aussi l'administration par des
coopératives de consommation devient
tyrannie des consommants. Les
produisants deviendraient entièrement
en dépendance des consommants. Ainsi,
maints pensent alors que peut être
fondé, comme une sorte
d'administration communautaire, des
associations productives de
travailleurs, des coopératives
productives de travailleurs ; là
les travailleurs se mettraient
d'accord ensemble, produiraient pour
eux-mêmes d'après leurs opinions,
d'après leurs principes fondamentaux.
À nouveau des penseurs
socialistes ont reconnus que par là on
n'atteindrait rien d'autre qu'à la
place d'un capitaliste particulier on
laisserait venir un nombre de
travailleurs produisant en
capitalistes pendant qu'on ne serait
aussi pas en mesure de faire autre
chose que le capitaliste particulier.
Donc on repousse aussi les
coopératives de travailleurs
productives.
Mais avec cela on n'est
donc pas encore satisfait, de
reconnaître que ces communautés
particulières ne pourraient conduire à
rien de fructueux dans le futur. Qu'on
se pense maintenant la société
d'ensemble d'un quelque état, un
quelque domaine économique fermé
pourrait dans une certaine mesure
devenir quand même une grosse
coopérative, une grosse coopérative,
dans laquelle tous sont participants
en même temps producteurs et
consommateurs, ainsi que non l'humain
individuel immédiatement de lui-même
développe l'initiative de produire
cela ou ceci pour la communauté, mais
que la communauté délivre comment
devrait être produit, comment ce qui
est à produire devrait être réparti et
ainsi de suite. Oui, une telle grosse
coopérative donc, qui englobe
consommation et production, on veut la
mettre à la place de l'administration
économique privée de notre vie de
l'économie moderne.
Qui maintenant regarde
plus exactement dans la réalité,
celui-là sait que pris
fondamentalement cette escalade de la
façon de voir sur cette grosse
coopérative provient seulement de ce
que chez elle l'erroné n'est pas si
facile à embrasser comme dans le
particulier lors de l'étatisation,
lors de la communalisation, lors des
coopératives productives de
travailleurs, lors des coopératives de
consommation. Aux dernières
l'environnement de ce qu'on a à
embrasser est dans une certaine mesure
plus petit. On voit plus facilement
l'erreur qu'on fait quand on aspire à
de telles institutions, que chez la
grosse coopérative, qui englobe tout
un domaine de société. Ici on commence
à parler sur ce qu'on veut faire et
n'embrasse pas encore que les mêmes
erreurs doivent se montrer qu'on
reconnaît très bien en petit et qu'en
grand on ne reconnaît seulement pas
parce qu'on est pas capable
d'embrasser toute la chose. C'est cela
qu’il s'agit. Et on doit reconnaître
ce sur quoi l'erreur de fond de toute
cette pensée repose en en fait, qui
fait voile dans une grosse
coopérative, laquelle devrait se jeter
là dessus, d'administrer d'elle-même
l'ensemble de la consommation et
l'ensemble de la production.
Comment pense-t-on en
fait quand on veut réaliser quelque
chose de tel ? Maintenant, comme
on pense à cela, de nombreux
programmes de partis le montrent tout
de suite dans notre présent. Comment
se montrent-ils, ces programmes de
partis ? On se dit :
maintenant oui, là sont certaines
branches de production qui devront
être administrées en commun. Alors à
nouveau elles doivent se rassembler à
de plus grandes branches, à de plus
gros domaines d'administration. Là
doit à nouveau être ainsi une quelque
centrale d'administration, laquelle
administre le tout, et ainsi vers le
haut jusqu'à la position économique
centrale qui administre le tout de la
consommation et de la production.
Quelles pensées, quelles
représentations utilise-t-on en
cela ? On utilise en effet cela
qu'on a à s'approprier dans la vie
politique, comme cela s'est développé
vers le haut dans la récente histoire
de l'humanité. Les humains qui parlent
aujourd'hui de programmes économiques
ont pour la grande partie fait leur
école dans la pure vie politique. Ils
ont pris part à tout ce qui s'est joué
lors des combats électoraux, qui se
joue quand on est élu et alors dans
une quelque représentation du peuple a
à représenter ceux-là par lesquels on
est élu. Ils ont fait dans quels
rapports on entre alors dans des
positions administratives qui sont des
positions politiques, et ainsi de
suite. Ils ont dans une certaine
mesure appris à connaître tout le
modèle de la représentation politique
et ils veulent basculer ce modèle de
la représentation politique sur tout
le cycle de la vie de l'économie. Cela
signifie que la vie de l'économie
devrait être politisée de part en part
d'après de tels programmes, car on a
seulement appris à connaître le
politique de l'administration.
Ce qui fait aujourd'hui
amèrement nécessité est :
reconnaître que tout ce modèle quand
on le bascule sur la vie de l'économie
est quelque chose de totalement
étranger à la vie de l'économie. Mais
la plupart des gens, qui aujourd'hui
parlent de quelques réformes de la vie
de l'économie ou d'autant de
révolutions de la vie de l'économie
sont au fond de purs politiciens qui
partent de la superstition que ce
qu'ils ont appris sur le champ
politique se laisserait appliquer dans
l'administration de la vie de
l'économie. Mais une guérison de notre
cycle économique se présentera
seulement quand cette vie de
l'économie sera regardée et formée à
partir de ses propres conditions.
Qu'exigent alors de
tels réformateurs économiques
politisants ? Ils exigent rien de
moins que soit déterminé par cette
hiérarchie de la position
centrale à l'avenir :
premièrement, ce qui devrait être
produit et comment devrait être
produit. Deuxièmement, ils exigent que
toute la manière du processus de
production devrait être déterminée à
partir de la position
d'administration. Troisièmement, ils
exigent que ces humains-là qui
devraient prendre part au processus de
production soient choisis et
déterminés et mis à leur place par
cette centrale. Quatrièmement, ils
exigent que ces centrales fassent la
répartition des matières brutes aux
entreprises particulières. Donc
l'ensemble de la production devrait
être placé sous une hiérarchie
d'administration politique. C'est donc
cela sur quoi la plupart des idées
réformatrices économiques courent
dehors dans le présent. Seulement, on
ne reconnaît pas qu'avec une telle
réforme on resterait planté au sol
qu'on a déjà aussi aujourd'hui et ne
mettrait pas de côté ses dommages,
mais au contraire les agrandirait dans
la démesure. On reconnaît comment cela
ne va pas avec l'étatisation, avec la
communalisation, avec les coopératives
de consommation, avec les coopératives
de production de travailleurs ;
mais on ne reconnaît pas comment on
transférerait seulement ce qu'on blâme
si lourdement au système capitaliste
privé sur l'administration commune des
moyens de production.
C'est cela qui
aujourd'hui devra être reconnu avant
toutes choses : que par une telle
mesure, par de telles institutions
vraiment partout là où elles seront
rencontrées, devrait pénétrer ce qui
aujourd'hui déjà se montre très
clairement dans l'est de l'Europe.
Dans cet est de l’Europe des gens
seuls était en mesure d'exécuter de
telles idées réformatrices
économiques, de les transposer dans la
réalité. Les humains qui veulent
apprendre des faits, ceux-là peuvent
voir au destin vers lequel l'est va
au-devant, comment ces mesures se
conduisent elle-même ad absurdum. Et
quand les humains ne s'obstineraient
pas à leurs dogmes, mais voudraient
vraiment apprendre des faits, alors on
ne dirait pas aujourd'hui que de ces
raisons subalternes ou celle-ci la
socialisation économique en Hongrie
aurait échouée, mais on étudierait
pourquoi elle devait échouer, et on
reconnaîtrait que chacune de telle
socialisation peut seulement détruire,
rien créer de fructueux pour l'avenir.
Mais à de larges
cercles, il sera aujourd'hui encore
difficile d'apprendre des faits de
cette manière. Cela se montre donc au
mieux à des choses qui en fait seront
souvent mentionnées entre parenthèses
de penseurs socialistes. Ils
disent : oui, c'est correct,
toute la vie de l'économie moderne a
été transformée par la technique
moderne. Mais voudraient-ils
poursuivre ce cours de pensée alors
ils devraient connaître le rapport
entre technique moderne et
connaissance des choses et capacité
métier. Ils devraient voir comme
partout dans la gestion elle-même
intervient cette technique moderne.
Mais cela ils ne veulent pas voir. Et
ainsi, ils disent entre
parenthèses : ils ne veulent pas
travailler sur manière technique des
processus de production.Elle aimerait
reposer sur elle-même. Il veulent
seulement travailler avec art et
manière comment les humains qui sont
impliqués aux processus de production,
se tiennent dedans socialement,
comment la vie sociale se forme pour
les humains impliqués au processus de
production.
Mais c'est donc
tangible – quand on veut seulement le
voir, quand on veut seulement le
saisir comme la technique elle-même
intervient dedans dans l'immédiate vie
économique. Seulement un exemple
serait exposé, qui tout simplement est
un exemple classique. La technique
moderne l'a amené à cela – si je
m'exprime sommairement - à produire
des produits par de nombreuses
machines, qui alors servent la
consommation. Et ces machines
dépendent uniques et seules de ce que
quatre cents à cinq cents millions de
tonnes de charbon auront été extraites
pour l'activité économique dans le
temps avant que cette catastrophe
guerrière n'éclate. Si on converti ce
qui par la machine qui repose sur
pensées humaines, qui peut seulement
être utilisée par des pensées
humaines, d'énergies économiques, de
forces économiques, seront réunies,
ainsi se montre le résultat
suivant : si on calcule des jours
de travail de huit heures, ainsi se
montre que par les machines, cela
signifie par les pensées humaines
incorporées dans les machines, par le
don de découverte des esprits, autant
d'énergie de travail, autant de force
de travail sera réunie, comme pourrait
être réunie par sept cents à huit
cents millions d'humains.
Quand vous vous
représentez de là que la Terre a pour
population environ mille cinq cents
millions d'humains, qui emploient
leurs forces de travail, ainsi elle a,
par le don de découverte des humains
dans la récente évolution de culture
par l'évolution technique, reçu en
plus sept cent à huit cents millions.
Donc deux mille millions d'humains
travaillent ; cela signifie,
vraiment ces sept cent à huit cents
millions ne travaillent pas, mais les
machines travaillent pour eux.
Qu'est-ce qui travaille donc dans les
machines ? Là, travaille l'esprit
humain.
Cela est
extraordinairement significatif qu'on
regarde vraiment au travers de tels
faits qui se laissent facilement
multiplier. Car à partir de tels faits
on connaîtra que la technique ne peut
pas être ainsi laissée de côté entre
parenthèse, mais que la technique
comme telle coopère toujours
activement dans le processus
économique, qu'elle est fichée dedans.
La vie de l'économie moderne n'est
absolument pas pensable sans la base
de la technique moderne, sans
connaissance des choses et des
métiers.
On ne compte pas avec
la réalité, mais avec des idées
présaisies, provenant des passions
humaines quand on ne voit pas de
telles choses. L'idée de la
triarticulation de l'organisme social
le pense certes sincère avec la
question sociale. Mais cependant elle
ne peut tenir sur le sol sur lequel se
tiennent ceux-là qui parlent ainsi à
partir de slogans, de programmes de
partis. Elle doit parler à partir du
factuel. Elle doit de cela, en ce
qu'elle se tient sur le sol de la
réalité, reconnaître que la gestion,
en particulier dans notre vie
compliquée, et entièrement
et complètement placée dans
l’initiative de l'individu. Met-on la
communauté abstraite à la place de
l'initiative de l'individu ainsi cela
signifie l'extinction, la mort de la
vie de l'économie. L'Est de l'Europe
pourra le prouver, quand il restera
encore longtemps sous la même
domination, sous laquelle il est
justement. Cela signifie l'extinction,
la mort de la vie de l'économie quand
on retire de l'individu l'initiative
qui doit partir de son esprit et voler
dans le mouvement des moyens de
production, tout de suite pour le bien
de la communauté humaine.
Mais par quoi est donc
survenu maintenant ce qu'aujourd'hui
nous voyons comme dommages ? Que
le processus de production moderne par
ses perfections techniques promeut
l'initiative de l'individu, cela
promeut aussi la possibilité que
l'individu dispose de capital et
puisse exécuter le processus
économique par son initiative, c'est
cela que la récente évolution de
l'humanité à fait monter. Et les
dommages, qui sont venus avec – on
connaît leur origine à partir de tout
autres soubassements. Veut-o connaître
cette origine, alors on doit avant
toutes choses se placer sur le sol du
principe d'association à la place du
sol du principe coopératif aussi quand
on pense grosses coopératives.
Que signifie de se placer sur le sol
du principe associatif plutôt que sur
le principe coopératif ? Cela
signifie ce qui suit : qui se
place sur le sol du principe
coopératif, celui-là prétend que les
humains ont seulement besoin de se
mettre ensemble, de prendre des
décisions à partir de leur communauté,
alors ils peuvent administrer les
processus de production. Donc on
décide d'abord l'association des
humains, le regroupement des humains
et alors on veut produire du
regroupement commun, de la communauté
d'humains. L'idée de l'organisme
triarticulé se pose sur le sol de la
réalité et dit : tout d'abord,
des humains doivent être là, les
humains qui peuvent produire, qui sont
au courant de la chose et compétents
en la matière. D'eux doit dépendre le
processus de production. Et ces
humains au courant de la chose et
compétents en la matière, ils doivent
maintenant se rassembler et soigner la
vie de l'économie sur base de cette
production qui s'envole de
l'initiative de l'individu. - Cela est
le véritable principe d'association.
Là sera tout d'abord produit et alors
le produit, sur la base du
regroupement des personnes produisant,
apporté à la consommation.
Qu'on ne reconnaisse
pas aujourd'hui la différence, la
différence radicale entre ces deux
principes, c'est dans une certaine
mesure le malheur de notre temps. Car
de cette raison tout arrive en fait.
On n'a pas l'instinct pour cela,
reconnaître, que chaque communauté
abstraite doit enterrer le processus
de production quand elle veut
l'administrer. La communauté, que
devrait être une association, peut
seulement accueillir ce qui sera
produit à partir de l'initiative de
l'individu et peut l'apporter
socialement à la répartition aux
consommants.
On ne voit pas
aujourd'hui l'important qui repose à
la base de ces choses pour une raison
que j'ai déjà fournie hier : à
peu près à l'époque dans laquelle se
produisaient la récente histoire de
l'humanité, la renaissance, la Réforme
, les métaux précieux ont voyagé par
dessus vers ici d'Amérique du centre
ou du Sud, lesquels ont conduits de ce
qui jusque-là presque encore
uniquement donnait la mesure,
l'économie naturelle, à l'économie
financière (NDT ou de
l'argent). Avec cela
s'est déroulée une révolution
économique significative en
Europe. Des rapports s'en sont formés
sous l'influence desquels nous nous
tenons encore absolument. Mais ces
rapports ont en même temps ;
j'aimerai dire, former des rideaux par
lesquels on ne peut voir au travers
sur les vraies réalités.
Regardons-nous encore une fois plus
exactement les rapports. Partons de la
vieille économie naturelle, bien
qu'aujourd'hui elle ne soit plus là
dans son déploiement. On a là à
faire dans le processus économique de
la vieille économie naturelle
seulement avec ce que l'individu
produit. Cela, il peut l'échanger avec
ce que l'autre produit. Et on aimerait
dire : à l'intérieur de cette
économie naturelle, où seulement
produit peut être échangé contre
produit doit régner une certaine
qualité. Car veut-on un produit dont
on a besoin, ainsi on doit en avoir un
qu'on peut échanger pour cela, et on
doit avoir un produit tel que l'autre
l'accepte comme de même valeur. Cela
signifie, les humains sont obligés
quand ils veulent avoir quelque chose
de produire aussi quelque chose. Ils
sont obligés d'échanger ce qui a une
valeur réelle, une valeur réelle
évidente.
À la place de cet
échange de biens, qui ont une valeur
réelle pour la vie humaine, s’est
avancée l’économie de l’argent. Et
l’argent est devenu quelque chose,
avec lequel on gère, avec lequel on
gère justement ainsi qu’on gère dans
l’économie naturelle, avec les objets
réels. Mais par là que l’argent est
devenu un véritable objet de
l’économie, il reflète vraiment
quelque chose d’imaginaire de
l’humain, et en ce qu’il agisse ainsi,
il tyrannise en même temps les
humains.
Prenons un cas
extrême : que justement
l’économie du crédit, à laquelle j’ai
rendu attentif hier à la fin, s’écoule
dedans l’économie de l’argent. Elle a
fait cela souvent dans les derniers
temps. Là s’établit alors par exemple
ce qui suit :on veut faire une
quelque installation, comme État ou
comme particulier, une installation de
télégraphe ou semblable. On peut
demander du crédit, du crédit d’une
hauteur toute significative. On pourra
mettre sur pied cette installation
télégraphique. Certaines conditions se
feront valoir en certaines masses
d’argent. Mais ces masses d’argent
devront être soumises à des intérêts.
On doit subvenir à ce prélèvement
d’intérêts. Et dans de nombreux cas,
qu’est ce qui se présente à
l’intérieur de notre structure sociale
– le plus souvent dans l’étatisation,
quand l’État gère lui-même -,
qu'est-ce qui se présente ? Que
cela, qu’on a dans le temps établi et
pour quoi on a utilisé l’argent
concerné, est depuis longtemps
consommé, que ce n’est plus là, et que
les gens doivent toujours débourser
cela, ce qui jadis a été exigé comme
crédit ! Cela signifie : ce
qui sera dû conformément à crédit,
cela est déjà parti, mais on gère
toujours encore autour de l’argent.
De telles choses ont aussi des
significations d’économie mondiale. Napoléon
III, qui était complètement
enfilé par les idées modernes, reçu
l’idée, d’embellir Paris, et il a
laissé construire beaucoup. Les
ministres, qui étaient ses outils
dociles, ont construit. Les revenus de
l’État – ils vinrent là dessus – on
peut les utiliser pour simplement
payer les intérêts. Maintenant Paris
est devenu bien plus beau, mais les
gens payent aujourd’hui encore les
dettes, qui ont été faites
jadis ! Cela signifie :
après que les choses ne soient depuis
longtemps plus ce qui réel repose à
leur base, on gère encore toujours
autour de l’argent, qui est devenu
lui-même un objet d’économie.
Cela a aussi son côté
de lumière. Dans l’ancienne économie
naturelle, là il était nécessaire,
quand on gérait, de produire des
biens. Ceux-ci étaient soumis
évidemment au dépérissement, ils
pouvaient disparaître, et on était
informé là-dessus, toujours travailler
plus avant, toujours fabriquer de
nouveaux biens, si de tels devaient
être là. Chez l’argent ce n’est pas
nécessaire. On vous le donne, on le
prête à quelqu’un, on se place en
sûreté. Cela signifie, on gère avec
l’argent entièrement librement de ceux
qui fabriquent les biens. L’argent
émancipe dans une certaine mesure les
humains des processus économiques
immédiats, justement en ce qu’il
devient lui-même processus économique.
Cela est extraordinairement
significatif. Car dans l’ancienne
économie naturelle le particulier
était dépendant du particulier,
l’humain était dépendant de l’humain.
Les humains devaient collaborer, ils
devaient se supporter. Ils devaient se
mettre d’accord sur certaines
installations, sinon la vie de
l'économie n’allait pas plus loin.
Sous l’économie de l’argent est
naturellement celui, qui devient le
capitaliste, aussi dépendant de ceux
qui travaillent, mais à ceux qui
travaillent, il se tient tout à fait
étranger vis-à-vis d’eux. Combien prêt
se tenait aussi le consommateur au
producteur dans l’ancienne économie
naturelle, où on avait à faire avec de
réels biens ! Combien loin se
tient celui qui gère avec l’argent,
celui qui travaille pour ce que cet
argent puisse larguer ses
intérêts ! Des fossés seront
ouverts entre les humains. Les humains
ne se tiennent plus en proximité sous
l’économie de l’argent. Cela doit
avant toute chose être envisager,
quand on veut reconnaître, comment les
masses humaines laborieuses, bien égal
si elles sont travailleurs spirituels
ou physiques, comment ceux qui
vraiment produisent, devront à nouveau
être amenés en proximité de ceux qui
avec des placements font possible le
gérer. Mais cela ne peut se passer que
par le principe d’association, par
cela, que les humains à nouveau se
regrouperont comme humains. Le
principe d’association est une
exigence de la vie sociale, mais une
telle exigence, comme je l’ai
caractérisée, pas une telle, comme
elle en fait très souvent office dans
des programmes socialistes.
Et qu'est-ce qui est
tout de suite encore entré toujours de
plus en plus dans le temps récent sous
la prise en main par l'économie de
l'argent ? Par cela est aussi
devenu dépendant de l'argent, celui-là
qu'on nomme travail humain. Autour de
l’en-ordonnancement du travail humain
dans la structure sociale disputent
donc socialistes et d'autres. Et on
peut, pour et contre ce qui sera émis
des deux côtés, fournir de bien bonnes
raisons. On le comprend parfaitement,
en particulier quand on a appris, non
a penser et ressentir sur le
prolétariat, mais à penser et sentir
avec le prolétariat, on le comprend
pleinement quand le prolétariat dit,
sa force de travail n'aurait plus le
droit à l'avenir d'être marchandise,
il n'y aurait pas il droit que
subsiste plus avant le rapport, que
d'un côté on paye des biens sur le
marché des marchandises, et de l'autre
côté sur le marché du travail en la
forme du salaire, on paye le travail
humain. Cela est bon à comprendre. Et
c'est bon de comprendre que Karl
Marx ait trouvé beaucoup de
partisans, alors qu'il évaluait que
celui-là qui travaille produit une
plus-value, qu'il ne reçoit pas le
plein bénéfice de sa force de travail,
mais produit une plus-value, que cette
plus-value sera délivrée à
l'entrepreneur et qu'alors le
travailleur sous l'influence d'une
telle théorie combat autour de cette
plus-value. Mais il est tout aussi
facile de prouver de l'autre côté que
le salaire du travail sera payé du
capital, que la vie de l'économie
moderne sera entièrement réglée par
l'économie du capital, que certains
produits larguent quelque chose
capitalistiquement, et que d'après ce
qu'ils larguent, payent le salaire du
travail, achètent le travail ;
cela signifie, le salaire du travail
sera fabriqué du capital. - On peut
prouver cela tout aussi bien que
l'autre. On peut prouver que le
capital est le parasite du travail, on
peut prouver que le capital est le
créateur absolument du salaire du
travail, bref, on peut représenter des
opinions de parti avec la même
validité d'un côté comme de l'autre.
On devrait une fois
reconnaître cela radicalement. Alors,
on reconnaîtrait comment ça vient que
dans le présent sera cherché à obtenir
quelque chose de préférence par le
combat seul et pas par progression
factuelle et clarification des
rapports. Le travail est quelque chose
qui est ainsi absolument différent des
marchandises, qu'il est entièrement et
pleinement impossible de payer de la
même manière avec de l'argent pour la
marchandise et pour le travail sans
dommages économiques. Seulement les
humains ne reconnaissent pas comment
les rapports sont. Ils ne voient pas
aujourd'hui encore l'ensemble de la
structure économique tout de suite sur
ce domaine.
Il y a aujourd'hui de
nombreux économistes nationaux qui se
disent : quand les moyens
d'argent (NDT capitaux), les
moyens de circulation, donc argent
métal ou argent papier seront
multipliés de manière peu chère, ainsi
l'argent deviendra bon marché et en
particulier les biens les plus
nécessaires deviendront alors plus
chers. - On remarque cela, et on
reconnaît l'insensé de la simple
multiplication de l'argent (NDT
augmentation de la masse monétaire).
Car cette simple augmentation de masse
monétaire – ainsi on peut le saisir
avec les mains – ne fait rien d'autre
que ce que les moyens de vie (NDT
denrées alimentaires)
deviendront aussi plus chers. La
familière vis sans fin va toujours, se
meut toujours. Mais on ne reconnaît
aussi pas autre chose : que dans
l'instant où on paye le travail
justement ainsi qu'on paye la
marchandise, qu'on paye les produits,
le travail doit évidemment aspirer
après cela, recevoir par combat de
toujours meilleures et meilleurs
payements, toujours de meilleures et
meilleures rémunérations. Mais ce que
le travail reçoit d'argent pour
rémunération, cela a cette fonction
pour la formation des prix comme la
pure multiplication des moyens de
circulation monétaires. C'est cela
qu'on devrait reconnaître.
Vous pouvez, comme
maints ministres des finances l'on
fait, plutôt que de rehausser la
production, à la place de veiller que
la production devienne plus
fructueuse, simplement amener des
billets, multiplier les moyens de
circulation. Alors, les humains auront
plus de moyens de circulation, mais
tous les produits, en particulier les
nécessaires denrées alimentaires
seront aussi plus chères. Cela les
humains le reconnaissent déjà. De cela
ils reconnaissent comme c'est insensé
de multiplier simplement abstraitement
les moyens de circulation monétaire.
Mais on ne reconnaît pas que tout
l'argent qu'on dépense seulement sous
le point de vue de payer du travail,
agit tout de suite ainsi sur
l'enchérissement des biens. Car des
prix sains ne peuvent se former
eux-mêmes qu'en dedans d'une vie de
l'économie autonome. Des prix sains
peuvent seulement se former quand ils
seront développés à la valorisation de
la prestation humaine.C'est pourquoi
l'idée de la triarticulation de
l'organisme social – et exposer cela
plus exactement sera la tâche
particulièrement demain - cherche à
démembrer complètement le travail du
processus économique.
Le travail en tant que
tel n'est pas du tout quelque chose
qui appartient dedans le processus
économique. Pensez donc une fois ce
qui suit. Cela semble particulier,
paradoxal, quand on le dit, mais
beaucoup de choses se prennent
aujourd'hui paradoxalement, qui
justement devraient absolument être
reconnues. Les humains ont dévié très
loin de la pensée droite ; c'est
pourquoi ils trouvent maint
entièrement absurde, qui tout de suite
doit être dit à partir des bases de la
réalité. Supposez, aujourd'hui
quelqu'un fait du sport du matin au
soir. Il fait un genre de sport. Il
utilise exactement tout autant de
force de travail comme un qui fend du
bois ; tout exactement autant il
utilise la force de travail.
Seulement, il s'agit de ce que
quelqu'un utilise de la force de
travail pour la communauté humaine.
Celui qui fait du sport, ne fait par
là rien pour la communauté humaine,
tout au plus par cela qu'il se fait
fort ; seulement, il ne l'utilise
pas en règle générale. Mais pour la
communauté cela n'a en règle générale
pas du tout de signification quand
quelqu'un fait son travail à cause du
sport, ce par quoi il se fatigue
autant que par le fendre du bois.
Fendre du bois, cela a de la
signification
Cela signifie, utiliser
de la force de travail, c'est quelque
chose, qui vient en question dans la
vie sociale. On doit regarder sur ce
qui se constitue par la force de
travail.Cela a valeur pour la
communauté. C'est pourquoi peut
seulement aussi venir en question le
produit, qui sera produit par la force
de travail à l'intérieur de la vie de
l'économie. Et l'administration
économique ne peut s'occuper qu'avec
cela : régler la valeur
réciproque des produits. Le travail
doit entièrement rester hors du cycle
de production.
Il doit reposer sur le
sol du droit, sur le sol dont nous
discuterons demain, où chaque humain
devenu majeur a comme un égal à juger
vis-à-vis de chaque humain devenu
majeur. Manière et temps, caractère du
travail sera déterminé par les
rapports de droit des humains entre
eux. Travail doit être retiré du
processus économique. Alors, ne
restera plus pour le processus
économique que ce qu'on peut nommer la
régulation de la valorisation
réciproque des marchandises, la
régulation de combien on a à obtenir
des prestations d'un autre pour sa
prestation. Pour cela les humains
auront à venir qui s'articulent hors à
partir des associations qui décideront
entre produisants et autres
produisants, produisants et
consommants et ainsi de suite. On aura
à le faire avec cette formation de
prix.
Le travail ne sera
absolument pas un domaine qu’on a à
régler à l'intérieur de la vie de
l'économie, il sera expulsé de
l'économie. Quand le travail se tient
à l'intérieur de la vie de l'économie,
ainsi on a à payer le travail à partir
du capital. Par cela est fait
exactement ce qui dans la vie de
l'économie moderne peut être appelé la
poursuite après le pur profit, après
le pur gain. Car par cela, celui qui
veut livrer des produits économiques
se tient tout à l'intérieur d'un
processus qui trouve finalement son
achèvement dans le marché.
Et ici devrait être en
fait placé correctement par celui qui
veut vraiment devenir sensé, une idée,
un concept qui est aujourd'hui conçu
de manière très, très erronée. On dit
: Le produisant capitaliste apporte
ses produits sur le marché, il veut
profiter. Et après qu'avec un certain
droit des pensants socialistes ont dit
: toute l’éthique n'a rien à voir avec
ce produire, seulement la pensée
économique - on veut aujourd’hui bien
trop mélanger le profit, le gain avec
l'éthique à partir de points de vue
éthiques, moraux.
Ici ne devrait pas être parlé
d’unilatéralement moral, pas
d'unilatéralement économique, mais du
point de vue de la société dans son
ensemble. Et là on doit dire :
qu’est-ce qui se montre dans le gain,
dans le profit, qu’est-ce donc ?
Quelque chose de quoi on ne peut
parler en principe dans de véritables
contextes économiques seulement ainsi
qu'on peut parler de ce qu'il fait
plus chaud lorsque la colonne du
thermomètre, la colonne de mercure,
monte dans la chambre. Quand
quelqu'un dit : cette colonne de
mercure me montre que c'est devenu
plus chaud - ; alors, il saura
que ce n'est pas la colonne de mercure
qui a rendu la pièce plus chaude, que
la colonne de mercure indique
seulement qu'il a fait plus chaud dans
la chambre par d'autres
facteurs. Le gain sur le marché,
qui se constitue sous nos actuelles
conditions de production, est aussi
pour le moment rien d’autre que
l'indicateur du fait qu'on peut
produire des produits qui dégagent un
gain. Parce que j’aimerais savoir
d’où on devrait gagner aujourd'hui
dans le monde entier un quelque indice
qu'un produit serait à produire, quand
cela ne se révèle pas que cela dégage
un gain quand on le produit et
l’apporte au marché ! Cela est le
seul indicateur pour cela que nous
avons le droit de façonner la
structure économique de sorte que ce
produit apparaisse. Qu’un produit n’a
pas le droit d’être fabriqué se montre
seulement par cela que, si on l'amène
sur le marché, on remarque : il
n’y a là pas de vente. Les gens
ne le demandent pas. On n’atteint
pas de gain. - C'est le réel état de
fait, et non pas toute la fable et le
radotage, dont a été parlé d'offre et
de demande dans beaucoup d'économies
nationales. Le phénomène originel,
l’apparition originelle sur ce domaine
est qu’aujourd'hui uniquement et
seulement le dégager du profit mets l'
humain en mesure de se dire : tu peux
produire un certain produit, car il
aura une certaine valeur à l'intérieur
de la communauté humaine.
La transformation du marché, qui a
aujourd'hui cette signification, se
produira quand un véritable principe
d'association sera à l'intérieur de
notre vie sociale.
Alors la demande
impersonnelle, isolée de l’humain et
l’offre ne décideront pas sur les
marchés, si un produit doit être
produit ou non, alors de ces
associations émergeront par la volonté
sociale des humains y étant occupés
d’autres personnalités qui
s'occuperont d’étudier la relation
entre la valeur d'un bien produit et
son prix.
[01332a057058197725101919
La valeur d'un bien
produit ne vient pas du tout en
question dans un certain rapport
aujourd'hui. Elle forme toutefois
l’impulsion à une demande. Mais cette
demande est donc vraiment une bien
problématique dans notre vie sociale
actuelle parce que lui fait toujours
face la question, si aussi sont
disponibles pour la demande les moyens
correspondants, les conditions de
possession correspondantes. On peut
bien avoir des besoins : lorsqu'on ne
dispose pas des moyens nécessaires
pour les satisfaire, on ne peut pas du
tout les demander. Mais il s'agit de
ce qu'un membre de liaison devra être
construit entre les besoins humains,
qui donnent leur valeur aux biens, aux
produits, et les prix.
Car ce dont on a besoin a sa valeur
humaine selon ce besoin. De l'ordre
social devra se dégager des
institutions qui formeront le pont de
cette valeur qui est imprimée aux
produits par les besoins humains, et
les prix, qu'ils doivent avoir.
Aujourd'hui, le prix
sera défini par le marché, selon que
des gens sont là, qui peuvent acheter
ces biens, qui ont l'argent
nécessaire. Un véritable ordre social
doit être orienté de manière que les
humains, qui à partir de leurs besoins
justifiés doivent avoir des biens,
puissent aussi les recevoir, cela
signifie, que le prix sera vraiment
assorti à la valeur des biens, qu'il
l'exprime. À la place de l'actuel
marché chaotique doit arriver une
institution, par laquelle les besoins
des humains, la consommation des
humains ne soient pas tyrannisée comme
par des coopératives productives de
travailleurs ou par de grandes
coopératives socialistes, mais par
laquelle la consommation des humains
sera explorée et serait déterminé
comment devrait être satisfait à cette
consommation.
Pour cela est
nécessaire que sous l'influence du
principe associatif soit vraiment
introduit la possibilité de produire
des marchandises ainsi qu’elles
correspondent aux besoins observés,
cela signifie des institutions doivent
être là avec des personnes, qui
étudient les besoins. La statistique
ne peut enregistrer qu'un instant ;
elle n'est jamais mesure pour
l'avenir. Les besoins qui chaque fois
sont existants doivent être étudiés,
ensuite les institutions pour produire
trouvées. Lorsqu'un article développe
la tendance à devenir trop cher, alors
c'est un signe de ce que trop peu
d'humains travaillent pour cet
article.
Des négociations doivent être
cultivées pour que des travailleurs
soit reconvertis d'une autre branche
de production vers celle-ci de manière
à ce que plus de cet article soit
produit. Si un article a la tendance à
devenir trop bon marché, si son
producteur gagne trop peu, alors
doivent être conduites des
négociations par lesquelles moins
d'humains travaillent à cet article.
Cela signifie : de l'art et la manière
dont les humains sont placés à leur
poste, doit dépendre comment à
l'avenir seront satisfait les besoins.
Le prix des produits est conditionné
par le nombre des humains qui y
travaillent.
Mais il sera par de telles
institutions semblables aux valeurs,
égal pour l'essentiel aux valeurs, que
le besoin humain a attribué au bien
produit concerné.]
Là nous voyons, comment
à la place du marché de hasard agira
la raison de l’humain, comment le prix
amènera à l’expression ce que les
humains auront négocié, dans quels
contrats les humains sont entrés par
les institutions, lesquelles existent.
Ainsi, nous voyons la transformation
du marché donnée par cela, que de la
raison s’introduise à la place du
hasard de marché qui règne
aujourd'hui.
Nous voyons absolument : aussitôt
que nous démembrons la vie de
l'économie des deux autres domaines
que nous discuterons dans les
prochains jours, nous discuterons
aussi les rapports à la vie de
l'économie et maint qui doit rester
non clair aujourd'hui deviendra clair
aussitôt que nous démembrons la vie de
l'économie des deux autres, du domaine
du droit ou de l'état et de la vie de
l'esprit, ainsi la vie de l'économie
sera placée sur une base saine,
raisonnable. Car il ne sera alors
seulement vu là-dedans sur l'art et la
manière dont on fait l'économie (NDT
« wirtchaften » pourrait
aussi se traduire simplement par
« gérer »). On n'a
plus besoin par là de laisser
restreindre le prix des marchandises,
que le prix des marchandises
maintenant devrait aussi fixé, combien
de temps devrait être travaillé, ou
combien beaucoup devrait être
travaillé, ou combien de salaire
devrait être payé et semblable, mais
on n'a a faire dans la vie de
l'économie qu'avec les manières de
comparer la valeur des marchandises.
Avec cela on se tient dans la vie de
l'économie aussi sur un sol sain.
Ce sol sain devra être
obtenu pour l'ensemble de la vie de
l'économie. C'est pourquoi dans une
telle vie de l'économie sera à nouveau
ce qui aujourd'hui par la pure
économie de l'argent, où l'argent est
lui même objet de gestion (NDT
économique), ne peut être que
formation d'apparence, reconduit à une
base naturelle de bonne qualité. On ne
pourra dans le futur plus avoir à
faire avec la gestion par l'argent et
pour l'argent, car les institutions
auront à faire avec les valeurs
réciproques des biens. Cela signifie,
on retournera à nouveau a la bonne
qualité des biens, et avec cela
retournera à la capacité de
prestation, à la compétence de
l'humain. Et on ne pourra plus faire
dépendre les rapports de crédit de si
de l'argent est disponible ou pas et
si ainsi sera risqué de l'argent, mais
les rapports de crédit seront
dépendant de si des humains sont
disponibles, qui sont compétent à
cela, de mettre en scène vraiment l'un
ou l'autre, de produire l'un ou
l'autre. Le crédit aura la compétence
humaine.
Et en cela que la
compétence humaine donne la frontière,
comme aussi loin on accorde crédit, ce
crédit ne pourra pas être accordé
au-delà de cette compétence humaine.
Quand vous donnez purement de l'argent
et laisser l'argent gérer, alors peut
ce qui sera créé par cela, être depuis
longtemps consommé – à l'argent on
doit donc encore toujours gérer
autour. Si vous donnez de l'argent
seulement pour compétence humaine,
alors s'arrête évidemment avec cette
compétence humaine, ce qu'on peut
gérer avec cet argent. De cela nous
voulons alors parler dans les
prochains jours.
P59-75
Alors seulement, quand les deux autres
domaines se tiendront à côté de la vie
de l'économie, le domaine de droit,
qui est autonome, et le domaine de
l'esprit autonome, la vie de
l'économie peut se placer sur ses
propres pieds de manière saine. Mais
alors à l’intérieur de la vie de
l'économie tout doit aussi suivre les
conditions économiques elles-mêmes.
Les biens matériels
seront produits des conditions
économiques. On n’a qu’a penser à
quelque chose, qui se tient là dans la
vie sociale, comme, j’aimerais dire,
un déchet de la vie de l'économie, et
on verra, comme une pensée vraiment
économique doit débarrasser maintes
choses qui aujourd'hui valent comme
une évidence dans l'ordre social, oui
pour quoi on lutte comme pour un
progrès.
Aucun ne pense encore
aujourd’hui parmi ceux qui croient
comprendre là quelque chose de la vie
véritable, à ce que cela ne signifie
un grand pas en avant, quand on passa
de tous les impôts indirects possibles
ou semblables encaissements de
l’État aux impôts sur les revenus
ainsi nommés, en particulier à l’impôt
progressif sur les revenus. Chacun
aujourd’hui pense que c’est évidemment
le juste, d’imposer le revenu. Et
pourtant, aussi paradoxal que cela
sonne pour l’humain actuel, cette
pensée, que l’on puisse atteindre une
imposition juste par l’imposition du
revenu, provient seulement de la
confusion, qu’a apportée l’économie
monétaire.
(54) L'argent on l'encaisse. Avec
l'argent on entreprend. Par l'argent
on se libère de la pureté du processus
de production lui-même. On abstrait
dans une certaine mesure l'argent dans
le processus économique, comme les
pensées dans le processus de penser.
Mais tout aussi peu que de pensées
abstraites on peut tout comme par
enchantement sortir des
représentations et des sentiments
véritables, aussi peu on peut faire
surgir comme par enchantement quelque
chose du réel de l'argent lorsqu'on
mesure, que l'argent est tout
simplement un signe pour les biens qui
sont produits, que l'argent est dans
une certaine mesure une sorte de
comptabilité, une comptabilité
fluente, que chaque signe monétaire
doit se tenir (NDT ou
correspondre) à un bien
quelconque.
(55) Aussi là dessus encore, devra
être parlé plus exactement dans les
jours suivants. Mais aujourd'hui, doit
être dit qu'un temps qui voit
seulement, comme l'argent devient un
objet économique autonome, qu'un tel
temps doit voir dans les rentrées
d'argent ce qu'on doit imposer avant
toutes choses. Mais en cela on se
fait, en instituant l'impôt,
coresponsable de l'abstraite économie
financière ! On impose ce qui n'est
effectivement pas un bien, mais
seulement signe d'un bien. On
travaille avec quelque chose
d'économiquement abstrait. L'argent
devient seulement une chose véritable,
lorsqu’il est dépensé. Là, il passe
par dessus dans le processus
économique, peu importe que je le
dépense pour mon amusement ou pour mes
besoins physiques et spirituels ou que
je le place dans une banque de sorte
qu'il soit utilisé dans le processus
économique. Si je le place dans une
banque, il s'agit d'une sorte de
dépense, que je fais - c'est, bien
sûr, à retenir. Mais l'argent ne
devient quelque chose de réel dans les
processus économiques qu'au moment où
il se détache de ma possession, et
passe dans le processus économique.
Les hommes n'ont besoin de penser qu'à
une chose : il ne sert à rien à
l'homme s'il encaisse (empoche)
beaucoup. S'il dépose les grosses
recettes dans le sac de paille (NDT :
chez nous : bas de laine), il aime les
avoir ; cela ne lui sert à rien dans
le processus économique. À l'homme ne
sert que la possibilité de pouvoir
dépenser beaucoup. (56) Et pour la vie
publique, la véritable vie productive
le signe pour beaucoup d’encaissements
(tout ce qu’on gagne) est justement
que l'on peut dépenser (décaisser)
beaucoup. De cela nous devons quand
dans le système fiscal on ne veut pas
créer quelque chose qui est
parasitaire dans le processus
économique, mais quand on veut créer
quelque chose qui pourrait une
véritable ardeur du processus
économique à la collectivité, imposer
le capital à l'instant où il sera
transféré dans le processus
économique. Et l'étrange s'avère être,
que l'impôt sur les encaissements (NDT
revenus au sens large) doit
être transformé en un impôt sur les
dépenses (NDT décaissement,
débours) - que je vous prie de
ne pas confondre avec des impôts
indirects. Les impôts indirects
entrent dans le présent souvent comme
vœux de certains gouvernants sur le
seul motif qu'on ne perçoit pas assez
par les impôts directs. Il ne s'agit
pas d'impôts indirects et pas d'impôts
directs, en ce qui est question ici
d'impôts sur les dépenses, mais il
s'agit de cela, que ce que j'ai
acquis, soit aussi imposé dans le
moment où cela passe dans le processus
économique, où cela devient productif.
(57) Tout de suite à
l'exemple de l'impôt on voit, comme un
réapprendre et repenser est
nécessaire. La croyance qu'il
s'agirait de préférence d'un impôt sur
le revenu est un phénomène
d'accompagnement du système monétaire
qui est monté dans la civilisation
moderne depuis la Renaissance et la
Réforme. Si on place la vie de
l'économie sur sa propre base, alors
ne pourra s'agir que de cela que ce
qui vraiment fait l'économie, ce qui
se tient fiché dedans le processus de
production, donne les moyens au
travail de ce qui est nécessaire à la
collectivité. Alors, il s'agira
d'impôt sur les dépenses et jamais
d'impôt sur les revenus.
Voyez-vous, on doit comme je disais
déjà hier, apprendre autrement et
penser autrement. Je n'ai pu jusqu'à
présent dans ces deux conférences vous
évoquer seulement en esquisses quelque
chose. Dans les quatre suivantes
devrait être exposé beaucoup de cela.
Qui aujourd'hui exprime de telles
choses, celui-là sait très bien qu'il
doit susciter la réprobation vers la
gauche et vers la droite, que tout
d'abord à peine quelqu'un lui donnera
raison, car toutes ces affaires sont
plongées dans la sphère des opinions
de parti. Mais pas plus tôt est à
espérer une guérison avant que ces
affaires grimpent de nouveau du
domaine où les passions des partis se
déchaînent, au domaine de la pensée
factuelle, vraiment prise à la vie.
Et cela on l'aimerait
si volontiers : que les humains
en ce qu'ils font front à la
triarticulation de l'organisme social,
ne jugent pas d'après modèles de
parti, d'après principes de parti,
mais qu'il prennent pour leur
jugement, l'aide leur l'instinct de
réalité. Opinions de parti et
principes de parti, les humains les
ont diversement détournés de cet
instinct de réalité. C'est pourquoi on
le vit toujours de nouveau et à
nouveau, tout de suite ceux, qui
aujourd'hui plus ou moins sont
dépendants de la pure consommation,
comprennent bien facilement à partir
de leurs instincts ce qu'une telle
idée de réalité comme celle de la
triarticulation de l'organisme social
veut en fait. Mais alors viennent les
dirigeants, en particulier des masses
socialistes. Et là n'a pas le droit
aujourd'hui d'être caché que ces
dirigeants des masses socialistes ne
sont absolument pas enclins à parvenir
sur le domaine de la réalité.
Et une chose est malheureusement
aujourd'hui à remarquer, et cela
appartient aussi, en particulier sur
le domaine économique, aux choses
pressantes de la question
sociale : nous l'avons vécu en ce
que nous avons travaillé pour la
triarticulation, comment a été parlé
aux masses ; et comme les masses
à partir de leur instinct de réalité
ont bien compris ce qui a été dit.
Alors, les dirigeants sont venus et
ont expliqué ; cela est
utopique ! - En vérité cela
n'était seulement pas en accord avec
ce à quoi ils sont habitués depuis des
décennies à porter et tourbillonner en
rond dans leurs têtes, et alors ils
disent à leurs fidèles partisans, que
ce serait utopique, ce ne serait
aucune réalité. Et malheureusement,
s'est formées trop fortement dans le
présent une partisanerie aveugle, une
terrible sensation d'autorité sur ce
domaine. Et on doit dire : ce qui
une fois a été monté en sensation
d'autorité, disons, vis-à-vis des
évêques et archevêques de l'Église
catholique, cela est une petite chose
vis-à-vis de la forte sensation
d'autorité des masses de travailleurs
modernes vis-à-vis de leurs
dirigeants. C'est pourquoi ces
dirigeants l'ont relativement facile
avec cela qu'ils veulent faire passer.
Mais ce qui est exigé, est, d'indiqué
là dessus avant toutes choses, ce qui
est sincère sur ce domaine, pas ce qui
parle pour les modèles de partis.
Quand cela me réussirait, de montrer
tout de suite dans ces conférences que
ce qui par la triarticulation sera
ambitionné, est vraiment pensé
sincèrement pour le bien d'ensemble de
toute l'humanité, sans différences de
classe, état et ainsi de suite, alors
sera atteint dans l'essentiel ce qui
de telles conférences peut être
ambitionné.
Réponses
aux questions après la deuxième
conférence
Un
technicien-machine apporte à la
parole une anomalie souvent à
rencontrer dans l'actuel
système : que plusieurs usines
investissent du capital dans des
machines de même genre qui partout
sont seulement utilisées en partie.
Il demande si dans une économie
conduite associativement ce
gaspillage de capital ne pourrait
pas être écarté.
Dr Steiner :
j'ai peut-être le droit de dire de la
même façon : ce que le Monsieur a
justement dit, confirme absolument le
principe d'association. Quand sera
travaillé de pure manière pleinement
individuelle, sans que les producteurs
s'associent, donc coopèrent, ainsi se
présentera naturellement ce que vous
avez supposé : qu'une machine ne
sera que partiellement utilisée. Mais
la pleine utilisation elle ne peut
seulement être effectuée que par cela
que les concernés s'associent
vraiment. Donc ce que vous dites
repose absolument dans la ligne de ce
qui est pensé avec le principe
d'association.
Il sera demandé
comme en Europe de l'Est sous les
conditions d'alors cela aurait pu
être saisi autrement et si vis-à-vis
du tsarisme les rapports seraient
devenus plus prometteurs.
Dr Steiner :
N'est-ce pas, il y a aujourd'hui en
des cercles vraiment pas du tout
étroits – cela doit être dit, sans
qu'on se tienne ni avec peur ni avec
espérance aux opinions de ces cercles
– l'opinion, que ce qui se passe à
l'Est serait quelque chose de
terrible. Il y a aussi à nouveau des
cercles qui voient là-dedans quelque
chose de prometteur pour le futur.
Habituellement sera de ceux qui plus
ou moins correctement jugent des
conditions dans l'Est, alors rapporté
l'une ou l'autre chose terrible qui se
passe ; les conditions seront
décrites, et de maint qui là sera
décrit, il peut donc déjà devenir bien
épouvantable aux humains ; c'est
clair. Ceux-là qui alors veulent
rajuster de telles choses, qui sont
plus des partisans de ce qui sera fait
là, oui, ils veulent alors un peu
enjoliver ou nier ou semblable les
terribles conditions.
Oui, mais voyez-vous,
avec cela on n'arrive vraiment pas
plus loin. Ces choses ne se laissent
en fait pas juger de symptômes
particuliers. Tant de journalistes
aimeraient encore voyager vers l'Est
et décrire les choses qu'ils
remarquent là, de telles descriptions
personne n'aura le droit de se former
un jugement, de la simple raison,
parce que donc aujourd'hui aussi aucun
humain ne peut juger ce qui par
exemple des peurs de l'Est européen,
qui ne sont véritablement pas des
petites, est à écrire au le compte des
maîtres actuels et quoi est à écrire
au le compte des effets de la terrible
guerre. Ces choses se mélangent :
les répercussions de la guerre et ce
qui se développe à partir des
conditions actuelles. Ce qu'on voit
ainsi immédiatement et ce qui ainsi se
passe immédiatement, cela aimerait
être l'objet de bien gentils
entretiens feuilletonnesques, mais
pour le jugement de la situation il
n'y a pas d'élément arrêté. Là on doit
déjà être capable de reconnaître les
intentions, à partir desquelles cela
se passe, qui justement sera fait dans
l'Est pour l'introduction d'un avenir
humain social.
Maintenant le Monsieur demande, si je
crois, que quelque chose d'autre avait
pu être fait, ou si les conditions
présentes n’étaient pas plus
prometteuses que les précédentes.
Maintenant je sais très
bien comme peu prometteuses étaient
les conditions tsaristiques
précédentes. Qu'elles plaisent à
beaucoup de gens cela provient donc
seulement de ce que ces gens ne se
sont pas vraiment mis à jour une base
pour un vrai jugement et n'avaient pas
du tout la volonté à cela, de le
mettre à jour. Qui saisi des yeux tout
ce que le tsarisme a brisé,
particulièrement ce qu'il a brisé dans
les temps les plus récents, celui-là
peut sous circonstances déjà venir à
la question : qu'est-ce qui est
mieux, l'ancien ou l'actuel ? -
Mais de cela il ne peut à nouveau pas
s'agir, mais il peut seulement s'agir
de cela : ce qui là s'est
aujourd'hui introduit, en principe, en
essence, est-ce quelque chose qui a
vraiment amélioré les anciennes
circonstances ? Là on doit être
dans la situation d'arriver aux
intentions et on doit sur un tel
domaine se garder un jugement non
averti.
Un tel jugement non averti vous pouvez
par exemple gagner, quand vous arrivez
sur des intentions comme celles de
Lénine. Lisez quelque chose comme
« État et révolution » de
Lénine. Là vous trouvez de temps
d'avant la guerre – le livre a déjà
été écrit avant – les intentions de
Lénine. On a le droit de dire que dans
un certain sens Lénine a même raison
quand il engueule tous les demi ou
quart ou trois quarts marxistes et
quand finalement il se tient pour le
seul marxiste véritable, vraiment
conséquent. Les humains devraient à
l'avenir être placés dans l'ordre
social ainsi que chacun puisse vivre
là dedans « d'après ses capacités
et ses besoins ». Cela devait
premièrement devenir dans un contexte
ultérieur qui pourrait se présenter du
contexte injuste, impossible.
Maintenant se trouve chez Lénine une
explication hautement intéressante qui
revient à cela qu'il dit : mais
cela on ne peut pas le faire avec les
humains actuels qu'ils vivent dans
l'ordre social suivant leurs capacités
et besoins dans l'ordre social, mais
on peut faire cela premièrement quand
d'autres humains seraient là, une tout
autre race humaine. Cette tout autre
race humaine doit d'abord être créée.
Oui voyez-vous, là vous
avez le faire voile dans la toute
première irréalité et le calculer avec
quelque chose qui n'est donc pas du
tout à espéré. Car par les
circonstances qui seront provoquées
par Lénine, cette nouvelle sorte
d'humains ne sera très certainement
pas élevée. Cette nouvelle sorte
d'humains qui alors aboutit aux
circonstances sociales correctes. Sur
de telles bases friables se tiennent
les intentions à ce qui se passe. Et
là qu'on aimerait être horrifié sur
les particularités ou les trouver
nécessaires, les louer ou les blâmer –
il ne s'agit pas de cela. Mais il
s'agit de ce qu'on reconnaisse :
là est calculé avec des pensées
irréelles. Et pour cela n'est ce qui
ainsi sera réalisé, rien d'autre que
pillage au passé.
Cela se présenta à moi,
comme vous viennent parfois les choses
les plus importantes en un symptôme,
particulièrement beau, il y a quelques
mois à Bâle où j'ai aussi parlé devant
une assemblée sur l'objet dont je vous
parle maintenant. Là se leva un
Monsieur qui dit : oui, tout cela
est donc bien beau, et serait même
beau quand ce serait réalisé ;
mais cela ne peut être réalisé plus
tôt que jusqu'à ce que Lénine devienne
maître du monde. - Je dû cette fois-là
répondre : quand une quelque
chose devrait être socialisée, ainsi
il s'agit donc de ce qu'avant toutes
choses les rapports de domination
soient socialisés.Mais ce socialiste,
qui était un partisan de Lénine, lui,
il veut faire Lénine maître du monde,
empereur du monde ou pape du monde de
sorte économique. Là les rapports de
domination ne seront pas socialisés,
aussi pas démocratisé, mais là ils
seront monarchisés, tyrannisés, là
sera créer une autocratie. Qui ainsi
prétend quelque chose, ne comprend pas
une fois comment on doit commencer
avec cela, avant tout socialiser les
conditions de domination.
Ainsi, se révèle pour celui qui
regarde plus exactement, pour la
structure de réalité de l'actuel Est,
quelque chose de très étrange :
ceux-là qui sont les connaisseurs des
intentions de l'actuel Est croient
qu'avec cela serait visé quelque
chose. Non, ce qui là sera voulu cela
n'est pas dans son essence en
opposition contre le tsarisme, cela
est seulement toute l'essence du
tsarisme aménagée plus loin pour une
autre classe, le tsarisme poursuivit
de manière pire qu'il ne fut, comme
absolument ceux qui se tiennent sur
l'aile la plus à gauche des partis
radicaux, aujourd'hui ne retiennent
déjà pas du tout avec cela qu'ils ne
sont pas des humains de progrès, mais
d'encore plus graves réactionnaires
qu'étaient ceux qui ont porté jadis
les réactionnaires. En cela sera promu
la dictature d'une classe, ne
sortirait de cette classe rien d'autre
que tyrannie de l'individu – je ne
veux pas une fois dire : d'élus
- ; ce ne seraient très
certainement pas les élus, mais
ceux-là, qui saupoudrent du sable dans
les yeux des autres. Ce serait la
tyrannie de ceux qui sortent des
classes particulières qui saupoudrent
aux autres du sable dans les yeux. Il
ne se passerait qu'un tourneboulement
(NDT Umkugelung) de
l'humanité. Mais les rapports, ils ne
s'amélioreront très certainement pas,
mais dans l'essentiel se
détérioreront.
Donc il s'agit là de
cela qu'on regarde vraiment sur le
principe, qu'on pense à partir de la
réalité, ne pense pas à partir de
grises théories pré-saisies.
Voyez-vous, parfois ceux-là qui
pensent sainement à partir de la
réalité, ont déjà un très sain
jugement de phénomènes particuliers.
Je vous ai aujourd'hui expliqué que la
domination de l'argent agit en fait
induisant en erreur sur les véritables
circonstances sociales. On doit
seulement voir à travers cela. Elle
agit en fait ainsi que l'argent
provoque des rapports de pouvoir, des
rapports tyrannisés, qu'à la place
d'anciennes puissances de conquérant
et semblable entre simplement le
pouvoir d'argent. En Europe on voit
encore peu au travers de telles
choses. Un proverbe américain le donne
qui dit à peu près : devenir
riche par pure économie du capital
signifie circuler à nouveau en manche
de chemise après trois
générations ! - Là l'imaginaire
de l'économie du capital sera déposé
entièrement clair, ce se-détacher, cet
imaginaire. On peut devenir
milliardaire et après trois
générations les descendants circulent
évidemment en manche de chemise, parce
que l'argent deviendra le maître sur
les humains.
Et maintenant il s'agit pour ceux-là
qui travaillent suivant les intentions
de Lénine, absolument pas de trouver
des nouveaux principes, vraiment de
rechercher à partir des conditions de
la vie de l'humanité comment la
structure sociale devrait être, mais
il s'agit pour eux de cela : de
transférer ce qu'ils ont appris sur le
capitalisme, sur un gros capitaliste,
car ils recrutaient d'un domaine se
tenant à leur disposition. Ce qui dans
la domination capitaliste a agit, cela
continuera à agira alors par économie
d'espions, par économie de protection
et tout le reste possible. Jadis on a
dit : trône et autel. Là dans
l'Est on dit : comptoir et
machine. Mais la superstition est une
aussi grande. Il s'agit justement
aujourd'hui de cela, de vouloir amener
de nouvelles circonstances pas avec
les vieux concepts, seulement par une
autre classe humaine, mais il s'agit
aujourd'hui de se rassembler autour de
principes vraiment nouveaux, autour
d'une véritable nouvelle raison.
Finalement, cela
provient aussi de la réalité de
l'évolution. Prenez à nouveau
l'Amérique. Là vous avez aujourd'hui
un parti républicain et un parti
démocrate. Quand on étudie aujourd'hui
ces partis et ne saurait rien du tout
de l'histoire ainsi on ne
reconnaîtrait pas pourquoi ces partis
se nomment ainsi ; car le parti
républicain n'est pas républicain et
le parti démocratique n'est pas
démocratique, mais ce sont des
représentations de cliques, qui
chacune représentent leur intérêt
particulier de clique. Les noms de
partis sont restés comme reste de
temps antérieurs. Ce qui est resté
comme noms de partis a depuis
longtemps perdu sa signification. La
réalité est toute autre. Aujourd'hui
il ne s'agit absolument pas de se
laisser aveugler par quelque modèle de
parti, mais de regarder pratiquement
dans la réalité. C'est cela.
Et qui regarde pratique
dans la réalité de l'Est, il se dit
alors ce qui suit. J'ai le droit
peut-être pour cela de raconter une
petite histoire. Il est donc important
que de telles choses sur la
symptomatologie de l'époque ne soient
pas entièrement tues. Lorsqu'en
janvier 1918, je viens à nouveau de
la Suisse à Berlin, là je parlais
avec un homme qui se tenait très
fortement dans les événements, était
très imbriqué dedans et qui
connaissait depuis longtemps mes
idées : que maintenant en Europe
du centre et de l'Est l'idée de la
triarticulation de l'organisme social
devrait être saisie. Je l'avais cette
fois là eu élaborée et présentée
d'après la situation d'époque d'alors
aux humains, qui auraient pu y
travailler. L'homme savait cela aussi.
Il lui semblait très plausible qu'il
aurait pu s'agir de sortir de la
misère sur des chemins spirituels. Là
dessus a été parlé cette fois-là déjà
depuis longtemps. Je vins comme dit –
rappelez-vous à cela, qui était cette
fois-là en janvier 1918 - à Berlin.
L'homme, il était militaire un des
hauts militaires, dit, comme je lui
parlais de l'idée funeste, impossible
de commencer encore une fois cette
terrible offensive de printemps de
l'année 1918, à la place d'une action
spirituelle – il dit : que
voulez-vous donc, Kühlmann n'avait-il
pas la triarticulation dans la
poche ? - Il l'avait dans la
serviette ; et pourtant, il a
fait Brest-Litowsk !
Cela pourra vous
apparaître comme la communication d'un
quelque utopiste; mais je sais que ce
« fantasme » racine
profondément dans la réalité. Je sais
que dans le peuple russe tout de suite
reposent les éléments pour en tout
premier quand on les communique de
manière correcte, saisir l'idée de la
triarticulation. Cela aurait dû se
présenter comme une action spirituelle
à la place de l'impossible action de
Brest-Litowsk. Là il aurait pu y avoir
une communication entre l'Europe du
centre et l'est de l'Europe, qui
aurait été une action spirituelle, un
venir à soi. Cela aurait été quelque
chose de tout autre.
Mais qu'est-ce que ce fut, qui a porté
le léninisme en Russie ? Je
rappelle seulement à cela que Lénine a
été conduit en wagon plombé par
l’Allemagne en Russie. Le léninisme
est une importation. Veut-on parler de
« militarisme allemand »,
ainsi on doit parler de cela que le
léninisme a été une importation.
Mais on peut volontiers avoir
l'opinion qu'une action spirituelle
aurait pu produire autre chose que le
fait que cette action spirituelle
n'est pas venue et à la place de ce
qui joue à partir du peuple russe, a
été placée une phrase marxiste,
générale, abstraite sur la réalisation
de conditions sociales qui si elles
auraient absolument pu être réalisées,
tout aussi bien comme on les bascule
sur la Russie, sur le Brésil,
l'Argentine, n'importe où autrement,
entièrement sans connaissance des
situations de peuple auraient pu ma
foi aussi être basculées sur la Lune.
Cette superstition que tout sur chaque
chose pourra être basculé, cela est le
grand malheur de l'est, c'est cela qui
fonde là la tyrannie d'une idée, qui
deviendra terrible dans ses résultats,
parce qu'elle pousse avec les
exploitations passées. Quand elle
relève encore ainsi tant un
mauvais : ce en quoi elle est
productive, ce sont seulement les
restes, les vestiges de l'ancien. Mais
quand elle devrait elle-même être
productive, elle sera placée dans la
nullité.
Aujourd'hui, ne pas
juger ces questions non prévenu, c'est
une omission sociale. Car aujourd'hui
les choses reposent en vérité
extraordinairement sérieusement. C'est
pourquoi on ne peut pas juger de
choses tellement importantes à partir
d'une quelque opinion de parti, mais
on doit les juger de l'entière
circonférence de la réalité elle-même.
Là on doit demander : qu'est-ce
qui aurait dû être formé à partir des
bases de la société russe
elle-même ? En tout cas pas le
léninisme, qui est une abstraction et
une telle abstraction qui encore dit a
cela : la race humaine doit
premièrement être fabriquée. C'est
pourquoi le travail de Lénine n'est
pas pour les Russes, mais pour des
humains qu'il veut y élever par des
conditions impossibles, que d'abord il
provoque. Cel est le fait réel.
Vraiment, à la base de
ce que je dis ne repose pas une
quelque sympathie ou antipathie, mais
l'aspiration à raison. Il ne sert à
rien de ne pas regarder ces choses
aujourd'hui dans leur périmètre de
sérieux.
Une question supplémentaire est
celle-ci :
Dans quel rapport se
tient la scène de l'escroquerie en
argent de Méphistophélès dans le
« Faust » à ce qui a été
dit aujourd'hui ?
Il est intéressant que
cette question soit posée, car on peut
répondre là dessus comme profond en
fait le goethéanisme par Goethe voyait
déjà dans les rapports réels.
Placez-vous une fois devant les yeux
toute la scène dans la deuxième partie
du « Faust », où
Méphistophélès, le diable, invente
l'argent papier, où il place toute
l'escroquerie d'argent devant
l'empereur. Vous avez fondamentalement
une belle imagination, une
représentation imagée de ce
qu’aujourd'hui on doit exprimer comme
vérités sociales. Tout le décrochage
de l'économie de l'argent de la pure
réalité est placé en grande
présentation poétique comme une
création de « l'esprit, qui
constamment nie », qui ne créé
rien de positif. Cela montre seulement
comme Goethe formait poétiquement, ce
qu'il n'aurait pas pu former
véritablement dans la réalité en son
temps. Car même le très dépourvu de
préjugés duc Karl August de Weimar
aurait peu pu parvenir à ce que Goethe
a pensé avec cette création de
l'argent comme tel par l'
« l'esprit, qui constamment
nie ». Mais Goethe voulait quand
même s'exprimer. Et réfléchissez une
fois comme beaucoup dans les
« Années de pérégrination de
Wilhelm Meister » beaucoup de
telles idées sont dedans. Goethe
voulait s'exprimer. Il ne pouvait en
son temps pas s'exprimer autrement
qu'il s'est exprimé. Mais il repose
énormément beaucoup de révélations
socialement impulsives et socialement
impulsantes tout de suite dans cette
scène.
On le reconnaîtra
absolument d'abord de proche en proche
ce que cela signifie chez Goethe qu'il
a été toute sa vie durant compris en
développement. On comprend cela très
peu dans le temps présent ; car
aujourd'hui – on parle de l'évolution
dans la science de la nature, mais
évolution de l'humain à travers la
vie ? Quand on est vieux de vingt
ans, on est mûr pour être élu au le
parlement d’État, d'écrire des
feuilletons, de juger sur tout le
possible ! Qu'on devrait encore
se développer, à cela on pense donc
aujourd'hui peu, n'est-ce pas.
Goethe y pensait. Il savait très bien
qu'il s'était conquis des choses,
qu'il n'avait pas en des années plus
précoces dans les années tardives de
son évolution. Oui, il y a octoligne,
bien sympa, dans la succession de
Goethe. Là-dedans il s'est exprimé sur
ces humains qui disaient : O oui,
Goethe est devenu vieux. Les œuvres de
jeunesse – cette fois là n'était
imprimée que la première partie du
« Faust » -, elles
témoignent de véritables forces
artistiques. Mais le vieux Goethe, il
est justement devenu vieux ! -
Cela on a donc encore dit après coup.
Voyez-vous, le souabe-Vischer, le
V-Vischer, il a nommé la deuxième
partie du « Faust » un
sous-produit ravaudé, recoller de
l'âge. Je n'ai rien du tout à objecter
sinon contre le V-Vischer et le chéri
beaucoup ; mais un philistin qui
ne pouvait pas comprendre ce que
Goethe s'est obtenu par son évolution,
V-Vischer l'était absolument, plein
d'esprit philistreux. Goethe lui-même
à laisser derrière lui un octoligne
qui vaut pour les contemporains et
sinon encore aussi. La est
écrit :
Là, ils
louent le Faust,
-il pense
la première partie du
« Faust » ; la deuxième
partie n'était pas encore imprimée, il
était une œuvre de l'évolution mûre -
Et qui
encore sinon
Dans mes
écrits mugit en leur faveur ;
Le vieux
micmac
Cela les
réjouit beaucoup ;
Elle
pense la racaille,
on ne le
serait plus !
Voyez-vous, Goethe
était déjà bien conscient de ce qu'il
a atteint quelque chose, qu'il pouvait
justement devoir seulement au
développement de l'âge plus élevé. Et
c'est ainsi, ce qu'il a inoculé dans
la deuxième partie du
« Faust », est vraiment bien
artistique. Et cela se montre
seulement comme c'est artistique dans
la force créative, quand on le
représente eurythmiquement, comme nous
voulons représenter prochainement la
scène sur le souci de la deuxième
partie du « Faust ».
Mais les humains ne
sont donc pas tout de suite attentifs
à l'évolution. Ils pensent atteindre
une conception du monde développée
avec ce qu'ils rendent attentifs à la
sensation abstraite et disent, chez le
jeune Goethe se tiendrait donc
tout : « Nom est bruit et
fumée. Sensation est tout...Qui a le
droit de le nommer et qui
reconnaître ? Le plus vieux des
vieux, celui qui englobe tout »
et ainsi de suite. Cela devrait être
plus grand que chaque conception du
monde développée ! Même des
philosophes citent cela, oublient
entièrement que Goethe l'a déposé dans
la bouche de Faust, où Faust catéchise
un jeune poisson à frire. Donc
l'enseignement d'un jeune poisson à
frire, il devra être mentionné contre
la conception du monde
développée ! Dans beaucoup de
choses, doit justement aujourd'hui
être absolument appris autrement. Et
le goethéanisme est déjà quelque chose
à quoi se laisse apprendre autrement.
Et justement comme cette scène avec
l'escroquerie, ainsi pourrait être
mentionné maint autre tout de suite de
la deuxième partie du
« Faust », des « années
d'apprentissage de Wilhelm
Meister », de maints autres, qui
pourrait montrer ce qu'est
développement humain, comme on peut
s'appuyer à ce Goethe.
Maintenant j'ai
encore été questionné :
De quoi le salaire
du travail devrait être payé quand
pas de la recette de la
marchandise ?
Pour penser sur le
salaire du travail – le temps est donc
prescrit ainsi que je peux seulement
entrer brièvement là dessus est en
fait bien intéressant. Il est étrange
comme de proche en proche unique et
seule la vie de l'économie a agit si
hypnotisante que dans le temps dans
lequel l'humanité commença à s'adonner
à de grandes erreurs, le programme
socialiste subit une complète
transformation tout de suite en
rapport à de telles choses. Il
appartient aux plus intéressantes
études de l'étude du mouvement des
travailleurs modernes d'apprendre à
connaître les trois programmes :
le programme d'Eisenach, celui de
Gotha, le programme d'Erfurt. Si on
prend les programmes – jusqu'à celui
d'Erfurt, qui a été arrêté en 1891
ainsi on trouve partout : là est
encore une conscience disponible de ce
que devrait être travaillé à partir de
certaines façons de voir juridique et
étatique et politiques. De cela on
trouve comme la deuxième exigence du
plus ancien programme la suppression
du salaire et l'instauration de droits
politiques identiques. Mais le
programme d'Erfurt est entièrement un
pur programme économique, mais un
politisé comme je l'ai exposé
aujourd'hui. Là seront présentées
comme les exigences principales :
transfert des moyens de production
dans l'administration commune, dans la
propriété commune, et production par
la communauté. Le programme sera
établi purement économique, mais pensé
politiquement.
On pense si fort dans
le sens de l'ordre de société
d'aujourd'hui, de l'ordre social
d'aujourd'hui que dans de larges
cercles on ne s'aperçoit pas du tout
comme le salaire en tant que tel est
donc en réalité une non-vérité
sociale. En réalité, le rapport
consiste en ce que travailleur salarié
ainsi nommé coopère avec le dirigeant
de l'entreprise, et ce qui a lieu est
en réalité un partage – qui sera
seulement caché par toutes sortes de
rapports trompeurs, par des rapports
de pouvoir le plus souvent et ainsi de
suite – sur la répartition de la
recette. Quand on voudrait parler
paradoxalement ainsi on pourrait
dire : il n'y a pas du tout de
salaire, mais il y a répartition de la
recette – aujourd'hui déjà, seulement
que dans la règle aujourd'hui celui
qui est l'économiquement faible, se
trouve ainsi lors du partage qu'on se
paye sa tête. C'est le tout. Il s'agit
de cela, de ne pas transposer ici sur
la réalité quelque chose qui repose
seulement sur une erreur sociale. Dans
l'instant où la structure sociale est
ainsi que je l'ai décrite dans mon
livre « les noyaux germinatifs de
la question sociale », il
deviendra transparent comme une
coopération existe entre les ainsi
nommés preneurs de travail et donneur
de travail, comme ces concepts de
preneur de travail et donneur de
travail cessent et comment un rapport
de répartition existe. Alors, le
rapport de salaire a absolument
pleinement perdu sa signification.
Mais alors, n'a plus le
droit d'être pensé à cela, de payer le
travail en tant que tel. Cela est
naturellement l'autre pôle. Le travail
sera subordonné à un rapport de droit
– je parlerais encore de cela
demain ; le travail sera d'après
mesure et manière déterminé dans la
vie en commun démocratique, dans
l’État de droit. Le travail sera ainsi
comme les forces de la nature :
fondement de l'ordre économique et
cela qui sera produit, ne devra pas
être mesure pour une quelque
rémunération.
Ce qui sera là sur le
sol de l'économie sera juste la
valorisation de la prestation. Là il
s'agit d'apprendre à connaître dans
une certaine mesure le fondement de la
cellule originelle de la vie de
l'économie. Cette cellule originelle,
je l'ai le plus souvent exprimée ainsi
que je disais : pour l'essentiel
les institutions que j'ai décrites
aujourd'hui, doivent marcher là dessus
que par la vivante action de
l'association chaque humain reçoive
comme équivalent pour ce qu'il produit
ce qui le met en mesure de satisfaire
ses besoins aussi longtemps jusqu'à ce
qu'il aura produit de nouveau un même
produit. Parlé simplement : si je
fabrique une paire de bottes, ainsi
par les institutions, que j'ai
aujourd'hui décrites, ces bottes
doivent être d'autant de valeur, je
dois recevoir pour cela autant que
j’ai besoin jusqu'à ce que j'ai de
nouveau apprêté une paire de bottes.
Donc il ne peut pas du
tout s'agir d'une quelconque
détermination de salaire du travail,
mais d'une détermination des prix
mutuels. Il doit naturellement être
calculé dedans tout pour le soutien
d'invalides, malades et ainsi de
suite, pour l'éducation des enfants et
ainsi de suite. Là-dessus, il doit
encore être parlé. Il s'agit de ce que
telle structure sociale soit créée,
par laquelle la prestation sera
vraiment poussée à l'avant-plan, mais
le travail pourra être fondé purement
sur un rapport de droit, car il ne
peut être réglé autrement que l'un
travaille pour l'autre. Mais cela doit
être réglé sur le sol du droit :
comment l'un travaille pour
l'autre ; cela n'a pas le droit
de se tenir sur le sol de marché des
rapports économiques. Vous verrez donc
demain que ces choses se tiennent
aussi absolument sur des bases
vraiment réelles.
Alors, j'ai encore
été questionné sur :
Comment devraient
être saisis les débours ?
Oui, cela est très
simple, de saisir les débours. On ne
peut les cacher. À chaque fois, que je
transfère quelque chose dans le
processus social, cela peut être
évidemment saisi, exactement comme une
lettre peut être saisie, pour laquelle
la poste exige de moi, ce qu’elle ne
peut aussi laisser sans attention, de
présenter pour cela un timbre-poste et
ainsi de suite. Cette unique, spéciale
institution – qui pense à cela,
celui-là ne la trouvera pas si
difficile.
Maintenant
encore :
Comment se
comportent les rapports de crédits
agricoles ?
Cela nous mènerait
aujourd'hui trop tard d'aller sur ces
choses. Je viendrais encore à parler
tout de suite au cours des prochaines
conférences sur les rapports agricoles
dans d'autres contextes.
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Aus den Anschauungen, die erwachsen
sind gegenüber den Tatsachen der
sozialen Entwickelung der neueren
Zeit, wie ich sie gestern versuchte
auseinanderzusetzen, ist entstanden,
was Sie verzeichnet finden in meinem
Buche «Die Kernpunkte der sozialen
Frage», ist entstanden die Idee von
der Dreigliederung der sozialen
Organisation. Diese Idee von der
Dreigliederung des sozialen Organismus
will eine durchaus praktische
Lebensidee sein und nicht irgend etwas
Utopistisches in sich. enthalten.
Daher war die Voraussetzung für die
Abfassung meines Buches die, daβ es
hingenommen werde mit einem gewissen
Instinkt für die wirklichen Tatsachen,
daβ es nicht beurteilt werde aus
vorgefaβten Theorien, vorgefaβten
Parteimeinungen heraus. Allerdings,
wenn das richtig ist — und es ist
zweifellos richtig, was ich gestern
anführte —, daβ allmählich die
sozialen Tatsachen in den
Lebensverhältnissen der Menschen so
kompliziert geworden sind, daβ sie
sich außerordentlich schwer nur
übersehen lassen, wird eine besondere
Methode notwendig sein bei der
Besprechung dessen, was heute zum
Wollen führen soll.
Es ist ja gegenüber
dieser Kompliziertheit der Tatsachen
nur zu selbstverständlich, daβ der
Mensch zunächst für dasjenige ein
gewisses Verständnis hat, namentlich
an wirtschaftlichen Erscheinungen, was
in seinen Lebenskreisen liegt. Allein
alles, was in ihnen liegt, ist
abhängig von der ganzen übrigen
Wirtschaft, und heute nicht nur von
der Wirtschaft eines Landes, sondern
von der ganzen Weltwirtschaft. Da wird
der einzelne gar oft in die
selbstverständliche und begreifliche
Lage kommen, die Notwendigkeiten für
die Weltwirtschaft nach den
Erfahrungen seines allernächsten
Lebenskreises beurteilen zu wollen. Er
wird natürlich dabei fehlgehen. Wer
bekannt ist mit den Anforderungen
eines wirklichkeitsgemässen Denkens,
der weiβ auch, welche Bedeutung es
hat, mit einem gewissen
Wirklichkeitsinstinkt an die
Erscheinungen der Welt heranzugehen,
um dadurch zu gewissen grundlegenden
Erkenntnissen zu kommen, die dann im
Leben eine ähnliche Rolle spielen
können wie in gewissen
Schulerkenntnissen grundlegende
Wahrheiten.
Sehen Sie, wenn man
darauf ausgehen wollte, das ganze
Wirtschaftsleben mit allen seinen
Einzelheiten zu erkennen und daraus
erst Schlüsse zu ziehen für ein
soziales Wollen, man würde ja nie
fertig. Man würde aber ebensowenig
fertig, wenn man alle die
Einzelheiten, in denen, sagen wir, der
pythagoräische Lehrsatz Anwendung
findet im technischen Leben, erst
durchnehmen müβte, um die Wahrheit des
pythagoräischen Lehrsatzes zu
erkennen. Man eignet sich die Wahrheit
des pythagoräischen Lehrsatzes aus
gewissen inneren Zusammenhängen an und
weiβ dann: überall, wo seine Anwendung
in Frage kommt, muβ er gelten. Man
ringt sich auch im sozialen Erkennen
dazu durch, daβ gewisse
Fundamentalerkenntnisse durch ihre
innere Natur sich dem Bewusstsein als
wahr ergeben können. Und wenn man dann
nur Wirklichkeitssinn hat, dann wird
man finden, daβ sie überall, wo sie in
Frage kommen, auch anwendbar sind. So
möchte das Buch «Die Kernpunkte der
sozialen Frage» verstanden werden aus
seiner inneren Natur heraus, aus der
inneren Natur der angeführten sozialen
Verhältnisse heraus, und so möchte
zunächst auch die Gesamtidee von der
Dreigliederung des sozialen Organismus
aufgefasst werden. Aber ich werde in
diesen Vorträgen durchaus versuchen,
zu zeigen, wie einzelne Erscheinungen
des sozialen Lebens Bekräftigungen
liefern für das, was aus dieser Idee
der Dreigliederung des sozialen
Organismus, die sich aus den
Lebensnotwendigkeiten der Gegenwart
und der nächsten Zukunft der
Menschheit ergibt, folgt.
Vorerst aber werde ich
genötigt sein, einleitungsweise, bevor
ich zu meinem eigentlichen heutigen
Thema übergehe, einfach referierend
vor Sie hinzustellen, was die
Grundidee von dieser Dreigliederung
des sozialen Organismus ist. Wir haben
gestern das Ergebnis fassen können,
daβ unser soziales Leben aus drei
Grundwurzeln heraus seine Forderungen
stellen muβ, mit anderen Worten, daβ
die soziale Frage eine Geistesfrage,
eine Staats- oder Rechtsfrage, eine
politische Frage, und eine
Wirtschaftsfrage sei. Wer das Leben
der neueren Entwickelung der
Menschheit durchforscht, der wird
finden, daβ diese drei Lebenselemente
Geistesleben, Rechts- und Staats- oder
politisches Leben und Wirtschaftsleben
— chaotisch allmählich bis in unsere
Gegenwart herein in eine Gesamtheit,
in eine Einheit zusammengeflossen
sind, und dass aus diesem
Zusammenfließen heraus unsere
gegenwärtigen sozialen Schäden
entstanden sind.
Erkennt man dieses
durchgreifend — und diese Vorträge
sollen die Grundlage dafür abgeben,
dass man das durchgreifend erkennen
könne - so wird man finden, dass die
Zukunft sich so entwickeln müsse, daβ
das Leben, das öffentliche Leben, der
soziale Organismus gegliedert werde in
eine selbständige Geistesverwaltung
namentlich des öffentlichen
Geisteslebens in Erziehung und
Unterrichtswesen, in eine selbständige
Verwaltung der politischen, der
Staats-, der Rechtsverhältnisse, und
in eine völlig selbständige Verwaltung
des Wirtschaftslebens.
Gegenwärtig umfasst eine einzige
Verwaltung in unseren Staaten diese
drei Elemente des Lebens, und wenn man
von einer Dreigliederung spricht, wird
man heute sogleich missverstanden. Man
wird so verstanden, daβ gesagt wird:
Nun ja, da will irgend jemand eine
selbständige Verwaltung für das
Geistesleben, eine selbständige
Verwaltung für das Rechts- oder
Staats- oder politische Leben, eine
selbständige Verwaltung für das
Wirtschaftsleben; also fordert er drei
Parlamente, ein Kulturparlament, ein
demokratisch-politisches Parlament und
ein Wirtschaftsparlament. — Wenn man
dies fordern würde, so würde man von
der Idee der Dreigliederung des
sozialen Organismus eben gar nichts
verstehen, denn diese Idee der
Dreigliederung des sozialen Organismus
will eben einfach vollständig ernst
nehmen die Forderungen, die sich
geschichtlich im Laufe der neueren
Entwickelung der Menschheit ergeben
haben. Und diese drei Forderungen kann
man aussprechen mit den drei Worten,
die allerdings schon zu Schlagworten
geworden sind; geht man aber aus den
Schlagworten heraus, um die
Wirklichkeit zu treffen, so findet
man, daβ berechtigte geschichtliche
Impulse in diesen drei Worten
enthalten sind. Diese drei Worte sind
der Impuls nach der Freiheit des
menschlichen Lebens, der Impuls nach
Demokratie, und der Impuls
nach einer sozialen Gestaltung des
Gemeinschaftswesens. Aber wenn man
diese drei Forderungen ernst nimmt, so
kann man sie nicht zusammenknäueln in
eine einzige Verwaltung, denn das eine
muβ dann immer das andere stören. Wer
zum Beispiel den Ruf nach Demokratie
ernst nimmt, der muβ sich sagen: Diese
Demokratie kann sich nur ausleben in
einer Volksvertretung oder durch ein
Referendum, wenn jeder einzelne mündig
gewordene Mensch, indem er
gleichgestellt ist jedem anderen
mündig gewordenen Menschen gegenüber,
entscheiden kann durch sein Urteil,
was eben auf demokratischem Boden
durch die Urteilsfähigkeit eines jeden
mündig gewordenen Menschen entschieden
werden kann.
Nun gibt es — so sagt
die Idee von der Dreigliederung des
sozialen Organismus ein ganzes
Lebensgebiet, das ist eben das Gebiet
des Rechtslebens, das Gebiet des
Staatslebens, das Gebiet der
politischen Verhältnisse, in dem jeder
mündig gewordene Mensch berufen ist,
aus seinem demokratischen Bewuβtsein
heraus mitzureden. Aber nimmermehr
kann dann, wenn so mit der Demokratie
ernst gemacht und das Staatsleben ganz
demokratisiert werden soll, das
geistige Gebiet auf der einen Seite
einbezogen werden in diese Demokratie,
und nimmermehr kann der Kreislauf des
Wirtschaftslebens einbezogen werden in
diese demokratische Verwaltung.
In dieser
demokratischen Verwaltung ist ein
Parlament durchaus am Platze. Aber in
einem solchen demokratischen Parlament
kann niemals entschieden werden über
das, was sich auf dem Boden des
Geisteslebens, auch auf dem Boden des
Erziehungs- und Unterrichtswesens, zu
vollziehen habe. Was ich im vierten
Vortrage viel genauer auszuführen
haben werde, will ich heute
einleitungsweise andeuten: die
Dreigliederung des sozialen Organismus
erstrebt ein selbständiges
Geistesleben insbesondere in den
öffentlichen Angelegenheiten, im
Erziehungs- und Unterrichtswesen. Das
heiβt, es soll künftig
nicht durch irgendwelche
Staatsverordnungen bestimmt werden,
was und wie zu lehren sei, sondern
diejenigen, die wirklich drinnen
stehen im praktischen Lehren, im
praktischen Erziehen, die sollen auch
die Verwalter des Erziehungswesens
selber sein. Das heiβt, von der
untersten Volksschulstufe bis hinauf
zu der höchsten Unterrichtsstufe soll
die Lehrperson unabhängig sein von
irgendeiner anderen, staatlichen oder
wirtschaftlichen Macht in bezug auf
dasjenige, was und wie sie zu
unterrichten habe. Das soll aus dem
folgen, was als angemessen empfunden
wird für das Geistesleben innerhalb
der selbständigen Geistkörperschaft
selbst. Und nur so viel Zeit soll der
einzelne für den Unterricht zu
verwenden brauchen, daβ ihm die Zeit
noch übrigbleibt, um Mitverwalter zu
sein des gesamten Unterrichts- und
Erziehungswesens, aber auch des
gesamten geistigen Lebens.
Ich werde im vierten
Vortrage zu beweisen versuchen, wie
durch diese Selbständigkeit des
Geisteslebens die geistige Verfassung
der Menschen überhaupt auf einen ganz
anderen Boden gestellt und wie gerade
dasjenige eintreten wird, wovon man
nach dem heutigen Vorurteil am
wenigsten glauben kann, daβ es kommen
werde: Durch diese Selbständigkeit
wird das Geistesleben die Kraft
bekommen, wirklich von sich aus
fruchtbar einzugreifen in das Staats-
und namentlich in das
Wirtschaftsleben. Und innerlich wird
gerade ein selbständiges Geistesleben
nicht graue Theorie, nicht weltfremde
wissenschaftliche Anschauungen
liefern, sondern zu gleicher Zeit
eindringen in das menschliche Leben,
so daβ sich der Mensch von einem
solchen selbständigen Geistesleben aus
durchdringen wird nicht mit bloss
abstrakten Geistesanschauungen,
sondern mit Erkenntnissen, durch die
er im wirtschaftlichen Leben seinen
Mann stellen kann. Gerade durch die
Selbständigkeit wird das Geistesleben
zugleich praktisch werden. So dass man
sagen kann: Geistesleben wird zu
herrschen haben Sachkenntnis und
Anwendung der Sachkenntnis. Nicht wird
zu herrschen haben, was aus dem Urteil
eines jeden urteilsfähigen, mündig
gewordenen Menschen kommen kann. Es
muss also aus dem Parlamentarismus
herausgenommen werden die Verwaltung
des Geisteslebens. Wer glaubt, daβ da
ein demokratisches Parlament herrschen
soll, der miβversteht gründlich gerade
den Antrieb zur Dreigliederung des
sozialen Organismus.
Ähnlich ist es im
Wirtschaftsleben. Aber das
Wirtschaftsleben hat seine
selbständigen Wurzeln. Es muβ
verwaltet werden aus seinen eigenen
Bedingungen heraus. Es kann wiederum
nicht über die Art und Weise, wie
gewirtschaftet werden soll,
demokratisch geurteilt werden von
jedem mündig gewordenen Menschen,
sondern nur von dem, der drinnen steht
in irgendeinem Wirtschaftszweige, der
tüchtig geworden ist für einen
Wirtschaftszweig, der die Verkettungen
kennt, wie dieser Wirtschaftszweig mit
anderen Wirtschaftszweigen
zusammenhängt. Fachkundigkeit und
Fachtüchtigkeit, das sind die
Bedingungen, durch die im
Wirtschaftsleben allein etwas
Fruchtbringendes zustande kommen kann.
Dieses Wirtschaftsleben wird also
losgegliedert werden müssen auf der
einen Seite von dem Rechtsstaate, auf
der anderen Seite vom Geistesleben. Es
wird auf seine eigene Basis gestellt
werden müssen.
Das wird auch von
sozialistisch Denkenden heute am
allermeisten verkannt. Diese
sozialistisch Denkenden stellen sich
irgendeine Gestalt vor, welche das
Wirtschaftsleben annehmen soll, damit
gewisse Schäden sozialer Natur in der
Zukunft der Menschheit verschwinden.
Man hat gesehen, und es ist ja leicht
zu sehen, dass durch die
privatkapitalistische
Wirtschaftsordnung der letzten
Jahrhunderte gewisse Schäden
entstanden sind. Diese Schäden sind
offenbar. Wie urteilt man? Man sagt
sich: Die privat-kapitalistische
Wirtschaftsordnung ist heraufgekommen;
sie hat die Schäden gebracht. Die
Schäden werden verschwinden, wenn wir
die privat-kapitalistische
Wirtschaftsordnung abschaffen, wenn
wir an die Stelle der
privat-kapitalistischen
Wirtschaftsordnung die
Gemeinwirtschaft treten lassen. Was
als Schäden heraufgezogen ist, ist
dadurch gekommen, dass einzelne
Besitzer persönlich die
Produktionsmittel zum Eigentum haben.
Wenn nun nicht mehr einzelne Besitzer
die Produktionsmittel zu ihrem
Eigentum haben werden, sondern die
Gemeinschaft die Produktionsmittel
verwalten wird, dann werden die
Schäden verschwinden.
Nun kann man sagen:
Einzelerkenntnisse haben sich auch
schon sozialistisch Denkende heute
errungen, und es ist interessant, wie
diese Einzelerkenntnisse durchaus
schon in sozialistischen Kreisen
wirksam sind. Man sagt heute schon:
Ja, gemeinschaftlich verwaltet werden
sollen die Produktionsmittel oder das
Kapital, welches ja der Repräsentant
der Produktionsmittel ist. Aber man
hat gesehen, wozu geführt hat zum
Beispiel die Verstaatlichung gewisser
Produktionsmittel, die Verstaatlichung
der Post und der Eisenbahnen und so
weiter, und man kann durchaus nicht
sagen, dass die Schäden dadurch
beseitigt seien, dass der Staat nun
zum Kapitalisten geworden ist. Also
man kann nicht verstaatlichen. Man
kann auch nicht kommunalisieren. Man
kann auch nicht etwas Fruchtbringendes
dadurch erreichen, dass man
Konsumgenossenschaften gründet, in
denen sich die Leute zusammentun, die
für irgendwelche Artikel Konsum nötig
haben. Diejenigen Leute, die diesen
Konsum regeln und auch danach regeln
wollen die Produktion der zu
konsumierenden Güter, die werden, auch
nach der Ansicht von sozialistisch
Denkenden, als Konsumierende zu
Tyrannen der Produktion. Und so ist
die Erkenntnis schon durchgedrungen,
dass sowohl die Verstaatlichung wie
die Kommunalisierung, wie auch die
Verwaltung durch
Konsumgenossenschaften zur Tyrannis
wird der Konsumierenden. Die
Produzierenden würden ganz in
tyrannische Abhängigkeit kommen von
den Konsumierenden. So denken dann
manche, daβ gegründet werden können,
als eine Art von gemeinschaftlicher
Verwaltung,
Arbeiter-Produktivassoziationen,
Arbeiter-Produktivgenossenschaften; da
würden sich die Arbeiter selbst
zusammenschlieβen, würden nach ihren
Meinungen, nach ihren Grundsätzen für
sich selber produzieren.
Wiederum haben
sozialistisch Denkende eingesehen, daβ
man auch dadurch nichts anderes
erreichen würde, als daβ man an die
Stelle eines einzelnen Kapitalisten
eine Anzahl von kapitalistisch
produzierenden Arbeitern treten lassen
würde. Und diese kapitalistisch
produzierenden Arbeiter wären auch
nicht imstande, etwas anderes zu tun
als der einzelne Privatkapitalist.
Also auch die
Arbeiterproduktivgenossenschaften
weist man zurück.
Aber damit ist man
noch nicht zufrieden, einzusehen,
daβ diese einzelnen
Gemeinsamkeiten zu nichts
Fruchtbringendem in der Zukunft führen
können. Man denkt sich nun, die
gesamte Gesellschaft irgendeines
Staates, irgendeines geschlossenen
Wirtschaftsgebietes könne
gewissermaßen doch eine
Großgenossenschaft werden, eine
Großgenossenschaft, in der alle daran
Beteiligten zu gleicher Zeit
Produzenten und Konsumenten sind, so
daβ nicht der einzelne Mensch
unmittelbar von sich aus die
Initiative entwickelt, das oder jenes
zu produzieren für die Gemeinschaft,
sondern daβ die Gemeinschaft selbst
die Losungen ausgibt, wie produziert
werden soll, wie das zu Produzierende
verteilt werden soll und so weiter.
Ja, solch eine Großgenossenschaft
also, die Konsum und Produktion
umfaβt, will man an die Stelle der
privatwirtschaftlichen Verwaltung
unseres modernen Wirtschaftslebens
setzen.
Wer nun genauer in die
Wirklichkeit hineinsieht, der weiss,
daβ im Grunde genommen dieses
Aufsteigen zu der Anschauung über
diese Großgenossenschaft nur davon
herrührt, daβ bei ihr das Irrtümliche
nicht so leicht zu überschauen ist wie
im einzelnen bei der Verstaatlichung,
bei der Kommunalisierung, bei den
Arbeiterproduktivgenossenschaften, bei
den Konsumgenossenschaften. Bei den
letzteren ist gewissermassen der
Umkreis dessen, was man zu überschauen
hat, kleiner. Man sieht leichter die
Fehler, die man dabei macht, wenn man
solche Einrichtungen anstrebt, als bei
der Großgenossenschaft, die ein ganzes
Gesellschaftsgebiet umfaβt. Hier redet
man hinein in das, was man machen
will, und überschaut noch nicht, daβ
dieselben Irrtümer entstehen müssen,
die man im kleinen ganz gut anerkennt,
und die man im großen nur nicht
anerkennt, weil man nicht fähig ist,
die ganze Sache zu überblicken. Das
ist es, worauf es ankommt. Und man muβ
einsehen, worauf der Grundfehler
dieses ganzen Denkens eigentlich
beruht, das in eine Großgenossenschaft
hineinsegelt, welche sich darüber
hermachen soll, den gesamten Konsum
und die gesamte Produktion von sich
aus zu verwalten.
Wie denkt man
eigentlich, wenn man so etwas
verwirklichen will? Nun, wie man dabei
denkt, das zeigen zahlreiche
Parteiprogramme, die gerade in unserer
Gegenwart auftreten. Wie treten sie
auf, diese Parteiprogramme ? Man sagt
sich: Nun ja, da sind gewisse
Produktionszweige, die müssen nun
gemeinschaftlich verwaltet werden.
Dann wiederum müssen sie sich
zusammenschließen zu größeren Zweigen,
zu größeren Verwaltungsgebieten. Da
muss wiederum so irgendeine
Verwaltungszentrale sein, welche das
Ganze verwaltet, und so hinauf bis zu
der Zentralwirtschaftsstelle, die das
Ganze des Konsums und der Produktion
verwaltet. Welche Gedanken, welche
Vorstellungen wendet man dabei an,
wenn man so das Wirtschaftsleben
gliedern will? Man wendet nämlich das
an, was man sich anzueignen hat im
politischen Leben, so wie es sich
herauf entwickelt hat in der neueren
Menschheitsgeschichte. Die Menschen,
die heute von wirtschaftlichen
Programmen sprechen, haben zum großen
Teil ihre Schule durchgemacht im rein
politischen Leben. Sie haben
teilgenommen an alledem, was sich
abspielt bei Wahlkämpfen, was sich
abspielt, wenn man gewählt wird und
dann in irgendeiner Volksvertretung
diejenigen zu vertreten hat, von denen
man gewählt ist. Sie haben
durchgemacht, in welche Beziehungen
man dann zu Amtsstellen, die
politische Stellen sind, tritt und so
weiter. Sie haben gewissermassen die
ganze Schablone der politischen
Verwaltung kennengelernt, und sie
wollen diese Schablone der politischen
Verwaltung stülpen über den ganzen
Kreislauf des Wirtschaftslebens. Das
heiβt, das Wirtschaftsleben soll nach
solchen Programmen durch und durch
verpolitisiert werden, denn man hat
nur kennengelernt das Politische der
Verwaltung.
Was uns heute bitter
not tut, ist: einzusehen, daβ diese
ganze Schablone, wenn man sie auf das
Wirtschaftsleben draufstülpt, etwas
dem Wirtschaftsleben total Fremdes
ist. Aber die allermeisten Leute, die
heute von irgendwelchen Reformen des
Wirtschaftslebens oder gar von
Revolution des Wirtschaftslebens
reden, sind im Grunde genommen bloβe
Politiker, die von dem Aberglauben
ausgehen, dasjenige, was sie auf
politischem Felde gelernt haben, lasse
sich in der Verwaltung des
Wirtschaftslebens anwenden. Eine
Gesundung aber unseres
Wirtschaftskreislaufes wird nur
eintreten, wenn dieses
Wirtschaftsleben aus seinen eigenen
Bedingungen heraus betrachtet und
gestaltet wird.
Was fordern denn solche
politisierenden Wirtschaftsreformer?
Sie fordern nichts Geringeres, als daβ
durch diese Hierarchie der
Zentralstelle in der Zukunft bestimmt
werde: Erstens, was produziert werden
solle und wie produziert werden solle.
Zweitens fordert sie, daβ die ganze
Art des Produktionsprozesses von den
Verwaltungsstellen aus bestimmt werden
solle. Drittens fordert sie, dass
diejenigen Menschen, die am
Produktionsprozeβ teilnehmen sollen,
durch diese Zentralstellen ausgewählt
und bestimmt und an ihre Plätze
gesetzt werden. Viertens fordert sie,
daβ diese Zentralstellen die
Verteilung der Rohmaterialien an die
einzelnen Betriebe bewirken. Also die
gesamte Produktion soll unterstellt
werden einer Hierarchie von
politischer Verwaltung. Das ist es
doch, auf das die meisten
wirtschaftsreformerischen Ideen der
Gegenwart hinauslaufen. Nur sieht man
nicht ein, daβ man mit einer solchen
Reform ganz auf dem Boden stehen
bleiben würde, den man heute auch
schon hat, und seine Schäden nicht
beseitigen, sondern im Gegenteil ins
Maßlose vergrößern würde. Man sieht
ein, wie es nicht geht mit
Verstaatlichung, Kommunalisierung, mit
den Konsumgenossenschaften, mit
Arbeiterproduktionsgenossenschaften;
man sieht aber nicht ein, wie man nur
übertragen würde, was man so schwer
tadelt an dem privat kapitalistischen
System, auf die Gemeinverwaltung der
Produktionsmittel.
Das ist es, was heute
vor allen Dingen wirklich eingesehen
werden muss: daβ durch eine solche
Maßnahme, durch solche Einrichtungen
wirklich überall da, wo sie getroffen
werden, das eintreten müβte, was heute
schon sehr deutlich sich zeigt im
Osten von Europa. In diesem Osten von
Europa waren einzelne Leute imstande,
solche wirtschaftsreformerische Ideen
auszuführen, sie in Wirklichkeit
umzusetzen. Die Menschen, die von
Tatsachen lernen wollen, die könnten
sehen an dem Schicksal, dem der Osten
Europas entgegengeht, wie diese
Maβnahmen sich selbst ad absurdum
führen. Und wenn die Menschen nicht
bei ihren Dogmen beharren würden,
sondern von den Tatsachen wirklich
lernen wollten, dann würde man heute
nicht sagen, aus diesen oder jenen
untergeordneten Gründen sei die
Sozialisierung, die wirtschaftliche
Sozialisierung in Ungarn miβglückt,
sondern man würde studieren, warum sie
miβglücken müsste, und man würde
einsehen, daβ jede solche
Sozialisierung nur zerstören, nichts
Fruchtbares für die Zukunft schaffen
kann.
Aber es wird weiten
Kreisen heute noch schwer, in dieser
Weise von den Tatsachen zu lernen. Das
zeigt sich ja am besten an Dingen, die
eigentlich von sozialistischen Denkern
oftmals nur wie in Parenthese
angeführt werden. Sie sagen: Ja, es
ist richtig, das ganze moderne
Wirtschaftsleben ist umgestaltet
worden durch die moderne Technik.
Wollten sie aber diesen Gedankengang
fortsetzen, dann müssten sie den
Zusammenhang erkennen zwischen
moderner Technik und Sachkenntnis und
Fachtüchtigkeit. Sie müβten sehen, wie
überall in das Wirtschaften selber
diese moderne Technik hineingreift.
Aber das wollen sie nicht sehen. Und
so sagen sie in Parenthese: sie wollen
sich nichts zu schaffen machen mit der
technischen Art der
Produktionsprozesse. Die möge auf sich
selbst beruhen. Sie wollen sich nur zu
schaffen machen mit der Art und Weise,
wie die Menschen, die an den
Produktionsprozessen beteiligt sind,
gesellschaftlich im Leben drinnen
stehen, wie sich das gesellschaftliche
Leben für die am Produktionsprozesse
beteiligten Menschen gestalte.
Aber es ist doch
handgreiflich — wenn man es nur sehen
will, wenn man es nur greifen will wie
Technik selbst hineingreift in das
unmittelbare wirtschaftliche Leben.
Nur ein Beispiel, das geradezu ein
klassisches Beispiel ist, sei
angeführt. Die moderne Technik hat es
dahin gebracht — wenn ich mich
summarisch ausdrücke durch zahlreiche
Maschinen Produkte hervorzubringen,
die dann dem Konsum dienen. Und diese
Maschinen hängen einzig und allein
davon ab, dass vierhundert bis
fünfhundert Millionen Tonnen Kohlen
gefördert worden sind in der Zeit,
bevor diese Kriegskatastrophe
hereingebrochen ist, für die
wirtschaftliche Tätigkeit. Rechnet man
um, was durch die Maschine, die auf
menschlichen Gedanken beruht, die nur
durch menschliche Gedanken verwendet
werden kann, an wirtschaftlichen
Energien, an wirtschaftlichen Kräften
aufgebracht wird, so ergibt sich
folgendes interessante Resultat:
Rechnet man achtstündige Arbeitstage,
so ergibt sich, daβ durch die
Maschinen, das heiβt durch die in den
Maschinen verkörperten menschlichen
Gedanken, durch die Erfindungsgabe der
Geister, so viel Arbeitsenergien, so
viel Arbeitskraft aufgebracht wird,
wie aufgebracht werden könnte durch
siebenhundert bis achthundert
Millionen Menschen.
Wenn Sie daher sich
vorstellen, daβ die Erde zu ihrer
Bevölkerung ungefähr tausend
fünfhundert Millionen Menschen hat,
die ihre Arbeitskräfte anwenden, so
hat sie durch die Erfindungsgabe der
Menschen in der neueren
Kulturentwickelung durch die
technische Entwickelung siebenhundert
bis achthundert Millionen mehr dazu
bekommen. Also zweitausend Millionen
Menschen arbeiten; das heiβt, wirklich
arbeiten diese siebenhundert bis
achthundert Millionen Menschen nicht,
aber es arbeiten für sie die
Maschinen. Was arbeitet denn in den
Maschinen ? Da arbeitet der
menschliche Geist.
Das ist auβerordentlich
bedeutsam, daβ man solche Tatsachen,
die sich leicht vermehren lassen,
wirklich durchschaut. Denn aus solchen
Tatsachen heraus wird man erkennen,
daβ die Technik nicht so in Parenthese
beiseite gelassen werden kann, sondern
daβ die Technik als solche
immerwährend im Wirtschaftsprozesse
aktiv mitarbeitet, daβ sie drinnen
steckt. Das moderne Wirtschaftsleben
ist ohne die Grundlage der modernen
Technik, ohne Sach- und Fachkenntnis
überhaupt nicht denkbar.
Nicht mit der
Wirklichkeit rechnet man, sondern mit
vorgefassten, aus den menschlichen
Leidenschaften hervorgehenden Ideen,
wenn man solche Dinge übersieht. Die
Idee von der Dreigliederung des
sozialen Organismus meint es gewiss
ehrlich mit der sozialen Frage.
Deshalb aber kann sie nicht auf dem
Boden stehen, auf dem diejenigen
stehen, die so aus Schlagworten, aus
Parteiprogrammen heraus reden. Sie muβ
aus dem Sachlichen heraus reden. Sie
muβ daher, indem sie auf dem Boden der
Wirklichkeit steht, anerkennen, daβ
das Wirtschaften, insbesondere in
unserem komplizierten Leben, ganz und
gar gestellt ist in die Initiative des
einzelnen. Stellt man an die Stelle
der Initiative des einzelnen die
abstrakte Gemeinsamkeit, so bedeutet
das das Auslöschen, den Tod des
Wirtschaftslebens. Der Osten Europas
wird es beweisen können, wenn er noch
lange unter derselben Herrschaft
bleibt, unter der er eben ist. Die
Auslöschung, den Tod des
Wirtschaftslebens bedeutet es, wenn
man von dem einzelnen abnimmt die
Initiative, die von seinem Geiste
ausgehen muβ und hineinfliegen muβ in
die Bewegung der Produktionsmittel,
gerade zum Wohle der menschlichen
Gemeinsamkeit.
Wodurch ist nun aber
das entstanden, was wir heute als
Schaden sehen? Daβ der moderne
Produktionsprozess durch seine technischen
Vollkommenheiten die Initiative des
einzelnen fordert, daher auch die
Möglichkeit fordert, daβ der einzelne
über Kapital verfüge und den
Produktionsprozeβ aus seiner
Initiative ausführen kann, das ist es,
was die neuere Menschheitsentwickelung
heraufgebracht hat. Und die Schäden,
die mitgekommen sind — man erkennt
ihren Ursprung aus ganz anderen
Untergründen heraus. Will man diesen
Ursprung erkennen, dann muβ man sich
vor allen Dingen statt auf den Boden
des Genossenschaftsprinzipes, auch
wenn man Großgenossenschaften meint,
auf den Boden des Assoziationsprinzips
stellen.
Was heiβt das, sich
statt auf den Boden des
Genossenschaftsprinzips auf den Boden
des Assoziationsprinzips stellen? Das
heiβt das folgende : Wer sich auf den
Boden des Genossenschaftsprinzips
stellt, der behauptet, die Menschen
brauchen sich nur zusammenzutun, aus
ihrer Gemeinsamkeit heraus Beschlüsse
zu fassen, dann können sie die
Produktionsprozesse verwalten. Also
man beschlieβt zuerst die Assoziierung
der Menschen, die Zusammenschlieβung
der Menschen, und dann will man
produzieren von dem gemeinsamen
Zusammenschlug, von der Gemeinschaft
der Menschen aus. Die Idee vom
dreigliederten Organismus stellt sich
auf den Boden der Wirklichkeit und
sagt: Zuerst müssen da sein die
Menschen, die produzieren können, die
sachkundig und fach tüchtig sind. Von
ihnen muβ der Produktionsprozess
abhängen. Und diese sachkundigen und
fachtüchtigen Menschen, die müssen
sich nun zusammenschliegen und das
Wirtschaftsleben besorgen auf
Grundlage jener Produktion, die aus
der Initiative des einzelnen fliegt. —
Das ist das wirkliche
Assoziationsprinzip. Da wird zuerst
produziert und dann das Produzierte
auf Grundlage des Zusammenschlusses
der produzierenden Personen zum Konsum
gebracht.
Daβ man den
Unterschied, den radikalen Unterschied
zwischen diesen zwei Prinzipien heute
nicht einsieht, das ist gewissermassen
das Unheil unserer Zeit. Denn auf
diese Einsicht kommt im Grunde alles
an. Man hat nicht den Instinkt dafür,
einzusehen, daβ jede abstrakte
Gemeinschaft den Produktionsprozess,
wenn sie ihn verwalten will,
untergraben muβ. Die Gemeinschaft, die
eine Assoziation sein soll, kann nur
das aufnehmen, was aus der Initiative
des einzelnen heraus produziert wird
und kann es sozial zur Verteilung an
die Konsumierenden bringen.
Man durchschaut heute
das Wichtige nicht, was diesen Dingen
zugrunde liegt, aus einem Grunde, den
ich gestern schon angeführt habe: daβ
ungefähr zu der Zeit, in welcher in
der neueren Menschheitsgeschichte die
Renaissance, die Reformation sich
ereigneten, herüber gewandert sind aus
Mittel- und Südamerika die
Edelmetalle, welche aus der bis dahin
fast einzig noch maβgebenden
Naturalwirtschaft zur Geldwirtschaft
geführt haben. Damit hat sich eine
bedeutsame wirtschaftliche Revolution
in. Europa vollzogen. Verhältnisse
haben sich herausgebildet, unter deren
Einflusse wir heute durchaus noch
stehen. Aber diese Verhältnisse haben
zu gleicher Zeit, ich möchte sagen,
Vorhänge gebildet, durch die man nicht
hindurchsehen kann auf die wahren
Wirklichkeiten.
Sehen wir uns noch diese
Verhältnisse einmal genauer an. Gehen
wir aus, obwohl sie heute ja nicht
mehr in ihrer Ausdehnung da ist, von
der alten Naturalwirtschaft. Man hat
es da im Wirtschaftsprozesse nur zu
tun mit dem, was der einzelne
hervorbringt. Das kann er austauschen
gegen das, was der andere
hervorbringt. Und man möchte sagen:
innerhalb dieser Naturalwirtschaft, wo
nur Produkt gegen Produkt ausgetauscht
werden kann, muβ eine gewisse
Gediegenheit herrschen. Denn will man
ein Produkt, das man braucht,
eintauschen, so muss man eins haben,
das man dafür austauschen kann, und
man muss ein solches Produkt haben,
das der andere als gleichwertig
annimmt. Das heiβt, die Menschen sind
gezwungen, wenn sie etwas haben
wollen, auch etwas zu erzeugen. Sie
sind gezwungen, auszutauschen, was
einen realen, einen offenbar liegenden
realen Wert hat.
An die Stelle dieses
Austausches von Gütern, die für das
menschliche Leben einen realen Wert
haben, ist die Geldwirtschaft
getreten. Und das Geld ist etwas
geworden, mit dem man wirtschaftet,
mit dem man ebenso wirtschaftet, wie
man in der Naturalwirtschaft
wirtschaftet mit realen Objekten.
Dadurch aber, daβ das Geld ein
wirkliches Wirtschaftsobjekt geworden
ist, spiegelt es wirklich etwas
Imaginäres den Menschen vor, und indem
es so wirkt, tyrannisiert es zu
gleicher Zeit die Menschen.
Nehmen wir einen
extremen Fall: das gerade die
Kreditwirtschaft, auf die ich gestern
am Schlusse hingedeutet habe,
hineinfließt in die Geldwirtschaft.
Das hat sie ja in der letzten Zeit
vielfach getan. Da stellt sich dann
zum Beispiel das folgende heraus: Man
will irgendeine Anlage machen, als
Staat oder als einzelner, eine
Telegraphenanlage oder dergleichen.
Man kann Kredit beanspruchen, Kredit
von einer ganz bedeutenden Höhe. Man
wird diese Telegraphenanlage zustande
bringen können. Gewisse Verhältnisse
werden gewisse Geldmengen in Anspruch
nehmen. Aber diese Geldmengen müssen
verzinst werden. Für diese Verzinsung
muβ man aufkommen. Und in zahlreichen
Fällen, was stellt sich innerhalb
unserer sozialen Struktur heraus — am
meisten in der Verstaatlichung, wenn
der Staat selber wirtschaftet was
stellt sich heraus? daβ dasjenige, was
man dazumal hergestellt hat und wozu
man das betreffende Geld verwendet
hat, längst verbraucht ist, daβ es
nicht mehr da ist, und daβ die Leute
noch immer das abzahlen müssen, was
damals als Kredit gefordert worden
ist! Das heiβt: Was kreditgemäss
geschuldet wird, das ist schon fort,
aber an dem Geld wirtschaftet man noch
immer herum.
Solche Dinge haben auch
weltwirtschaftliche Bedeutung. NapoleonIII.,
der ganz eingefädelt war von
den modernen Ideen, bekam die Idee,
Paris zu verschönern, und er hat sehr
vieles bauen lassen. Die Minister, die
seine gefügigen Werkzeuge waren, haben
gebaut. Die Einkünfte des Staates —
sie kamen darauf — kann man verwenden,
um einfach die Zinsen zu bezahlen. Nun
ist Paris viel schöner geworden, aber
die Leute bezahlen heute noch die
Schulden, die damals gemacht worden
sind! Das heiβt: Nachdem die Dinge
längst dasjenige nicht mehr sind, was
Reales zugrunde liegt, wirtschaftet
man noch immer an dem Gelde herum, das
selber ein Wirtschaftsobjekt geworden
ist.
Das hat auch seine
Lichtseite. In der alten
Naturalwirtschaft, da war es nekig,
wenn man wirtschaftete, Güter
hervorzubringen. Die unterlagen
selbstverständlich dem Verderben, die
konnten zugrunde gehen, und man war
darauf angewiesen, immer weiter zu
arbeiten, immer neue Güter zu
erarbeiten, wenn solche da sein
sollten. Beim Gelde ist das nicht
nötig. Man gibt es hin, leiht es
jemandem, stellt sich sicher. Das
heisst, man wirtschaftet mit dem Gelde
ganz frei von denjenigen, die die
Güter erzeugen. Das Geld emanzipiert
gewissermaβen den Menschen von dem
unmittelbaren Wirtschaftsprozeβ,
gerade indem es selber zum
Wirtschaftsprozess wird. Dies ist
auβerordentlich bedeutsam. Denn in der
alten Naturalwirtschaft war ja der
einzelne auf den einzelnen angewiesen,
Mensch auf Mensch angewiesen. Die
Menschen muβten zusammenwirken, sie
müβten sich vertragen. Sie müβten
übereinkommen über gewisse
Einrichtungen, sonst ging das
Wirtschaftsleben nicht weiter. Unter
der Geldwirtschaft ist natürlich
derjenige, der Kapitalist wird, auch
abhängig von denen, die arbeiten, aber
denen, die arbeiten, steht er ganz
fremd gegenüber. Wie nahe stand auch
der Konsument dem Produzenten in der
alten Naturalwirtschaft, wo man es mit
wirklichen Gütern zu tun hatte! Wie
fern steht derjenige, der mit dem Geld
wirtschaftet, denjenigen, die dafür
arbeiten, daβ dieses Geld seine Zinsen
abwerfen kann! Es werden Klüfte
aufgerissen zwischen den Menschen. Die
Menschen stehen sich nicht mehr nahe
unter der Geldwirtschaft. Das muss vor
allem Dingen in Erwägung gezogen
werden, wenn man einsehen will, wie
die arbeitenden Menschenmassen,
gleichgültig ob sie geistige, ob sie
physische Arbeiter sind, wie
diejenigen, die wirklich produzieren,
wiederum nahegebracht werden müssen
denen, die auch mit Kapitalanlagen das
Wirtschaften möglich machen. Das aber
kann nur geschehen durch das
Assoziationsprinzip, dadurch, daβ sich
die Menschen wiederum als Menschen
zusammenschlissen. Das
Assoziationsprinzip ist eine Forderung
des sozialen Lebens, aber eine solche
Forderung, wie ich es charakterisiert
habe, nicht eine solche, wie sie
vielfach in sozialistischen Programmen
fungiert.
Und was ist noch
anderes eingetreten gerade unter der
immer mehr und mehr überhandnehmenden
Geldwirtschaft der neueren Zeit?
Dadurch ist auch derjenige, was man
menschliche Arbeit nennt, abhängig
geworden vom Gelde. Um die
Hineinordnung der menschlichen Arbeit
in die soziale Struktur streiten ja
Sozialisten und andere. Und man kann
für und gegen das, was von beiden
Seiten vorgebracht wird, recht gute
Gründe anführen. Man versteht es
vollkommen, insbesondere wenn man
gelernt hat, nicht über das
Proletariat zu denken und zu
empfinden, sondern mit dem Proletariat
zu denken und zu empfinden, man
versteht es völlig, wenn der
Proletarier sagt, es dürfe in Zukunft
nicht mehr seine Arbeitskraft Ware
sein, es dürfe nicht das Verhältnis
weiter bestehen, daβ man auf der einen
Seite auf dem Warenmarkte Güter
bezahlt, und auf der anderen Seite auf
dem Arbeitsmarkte in der Form des
Lohnes die menschliche Arbeit bezahlt.
Das ist gut zu begreifen. Und es ist
gut zu begreifen, dass Karl Marx
viele Anhänger gefunden hatte,
als er ausrechnete, dass derjenige,
der arbeitet, einen Mehrwert erzeugt,
dass er nicht das volle Erträgnis
seiner Arbeitskraft bekommt, sondern
einen Mehrwert erzeugt, dass dieser
Mehrwert abgeliefert wird an den
Unternehmer, und dass dann der
Arbeiter unter dem Einflusse einer
solchen Theorie um diesen Mehrwert
kämpft. Aber es ist auf der anderen
Seite ebenso leicht zu beweisen, daβ
der Arbeitslohn aus dem Kapital
bezahlt wird, dass das moderne
Wirtschaftsleben ganz geregelt wird
durch die Kapitalwirtschaft, daβ
gewisse Produkte kapitalistisch etwas
abwerfen, und daβ man nach dem, was
sie abwerfen, den Arbeitslohn bezahlt,
die Arbeit kauft; das heiβt, es wird
der Arbeitslohn aus dem Kapital
erzeugt. — Man kann das eine ebenso
gut wie das andere beweisen. Man kann
beweisen, daβ das Kapital der Parasit
der Arbeit ist, man kann beweisen, daβ
das Kapital der Schöpfer überhaupt des
Arbeitslohnes ist, kurz, man kann
Parteimeinungen mit der gleichen
Geltung vertreten von der einen und
von der anderen Seite.
Das sollte man einmal
durchgreifend einsehen. Dann würde man
einsehen, wie es kommt, dass in der
Gegenwart vorzugsweise nur durch Kampf
etwas zu erreichen gesucht wird und
nicht durch das sachliche
Fortschreiten und Klären der
Verhältnisse. Die Arbeit ist etwas,
was so durchaus verschieden ist von
den Waren, daβ es ganz und gar ohne
wirtschaftliche Schäden unmöglich ist,
in der gleichen Weise Geld zu zahlen
für die Ware und für die Arbeit. Nur
sehen die Menschen nicht ein, wie die
Zusammenhänge sind. Sie durchschauen
heute noch nicht die wirtschaftliche
Struktur gerade auf diesem Gebiete.
Es sind heute
zahlreiche Nationalökonomen, die sagen
sich: Wenn die Geldmittel, die
Umlaufsmittel, also Metallgeld oder
Papiergeld, in beliebiger Weise
vermehrt werden, so wird das Geld
billig, und insbesondere die
notwendigsten Lebensgüter werden dann
teuer. — Man bemerkt das, und man
sieht ein das Unsinnige der einfachen
Geldvermehrung. Denn diese einfache
Geldvermehrung — so kann man es mit
Händen greifen — bewirkt nichts
anderes, als daβ die Lebensmittel auch
teuer werden. Die bekannte Schraube
ohne Ende geht immer, bewegt sich
immer. Aber man sieht etwas anderes
nicht ein: daβ in dem Augenblicke, wo
man Arbeit ebenso bezahlt, wie man
Ware, wie man Erzeugnisse bezahlt, die
Arbeit selbstverständlich danach
streben muss, durch Kämpfe immer
bessere und bessere Bezahlung, immer
bessere und bessere Entlohnung zu
bekommen. Aber was die Arbeit an Geld
als Entlohnung bekommt, das hat
dieselbe Funktion für die Preisbildung
wie die bloße Vermehrung der
Geldumlaufsmittel. Das ist es, was man
einsehen müsste.
Sie können, wie es
manche Finanzminister getan haben,
statt die Produktion zu erhöhen, statt
dafür zu sorgen, daβ die Produktion
fruchtbarer wird, einfach. Noten
bringen, die Umlaufsmittel vermehren.
Dann werden die Menschen mehr
Umlaufsmittel haben, aber alle
Produkte, insbesondere die notwendigen
Lebensprodukte werden auch teurer. Das
sehen die Menschen schon ein. Daher
sehen sie ein, wie unsinnig es ist,
einfach abstrakt die Geldumlaufsmittel
zu vermehren. Aber man sieht nicht
ein, daβ all das Geld, das man nur
unter dem Gesichtspunkt ausgibt,
Arbeit zu bezahlen, geradeso wirkt auf
die Verteuerung der Güter. Denn
gesunde Preise können sich nur im
selbständigen Wirtschaftsleben selber
drinnen bilden. Gesunde Preise können
sich nur bilden, wenn sie
heranentwickelt werden an der
Bewertung der menschlichen Leistung.
Deshalb sucht die Idee von der
Dreigliederung des sozialen Organismus
— und das im genaueren auszuführen
wird die Aufgabe sein besonders morgen
— die Arbeit vollständig
herauszugliedern aus dem
Wirtschaftsprozesse.
Die Arbeit als solche
ist gar nicht etwas, was in den
Wirtschaftsprozeβ hineingehört. Denken
Sie doch einmal das folgende. Es sieht
sonderbar, paradox aus, wenn man es
sagt, aber viele Dinge nehmen sich
heute paradox aus, die eben durchaus
eingesehen werden müssen. Die Menschen
sind sehr weit abgekommen von geradem
Denken; deshalb finden sie manches
ganz absurd, was gerade aus den
Grundlagen der Wirklichkeit heraus
gesagt werden muss. Nehmen Sie an,
heute treibt einer Sport vom Morgen
bis zum Abend. Er treibt eine Art
Sport. Er wendet genau ebenso die
Arbeitskraft auf wie einer, der Holz
hackt; ganz genau ebenso wendet er die
Arbeitskraft auf. Nur kommt es darauf
an, dass einer Arbeitskraft aufwendet
für die menschliche Gemeinschaft. Der,
der Sport treibt, tut das dadurch
nicht für die menschliche
Gemeinschaft, höchstens dadurch, daβ
er sich stark macht; nur wendet er es
in der Regel nicht an. Aber für die
Gemeinschaft hat das in der Regel gar
keine Bedeutung, wenn einer seine
Arbeit wegen des Sportes betreibt,
wodurch er sich ebenso ermüdet wie
durch das Holzhacken. Das Holzhacken,
das hat Bedeutung.
Das heiβt, Arbeitskraft aufzuwenden,
das ist etwas, was gar nicht sozial in
Frage kommt; aber dasjenige, was durch
das Aufwenden der Arbeitskraft
entsteht, das ist es, was im sozialen
Leben in Frage kommt. Auf das, was
durch die Arbeitskraft entsteht, muss
man sehen. Das hat für die
Gemeinschaft Wert. Daher kann auch
innerhalb des Wirtschaftslebens nur in
Frage kommen das Produkt, das durch
die Arbeitskraft hervorgebracht wird.
Und es kann sich die
Wirtschaftsverwaltung nur damit
befassen, den gegenseitigen Wert der
Produkte zu regeln. Aus dem
Wirtschaftskreislauf muβ die Arbeit
ganz drauβen liegen.
Sie muβ liegen auf dem
Rechtsboden, auf dem Boden, den wir
morgen besprechen werden, wo jeder
mündig gewordene Mensch als ein
Gleicher zu urteilen hat jedem mündig
gewordenen Menschen gegenüber. Art und
Zeit, Charakter der Arbeit wird
bestimmt durch die Rechtsverhältnisse
der Menschen untereinander. Arbeit muβ
herausgehoben werden aus dem
Wirtschaftsprozeβ. Dann wird für den
Wirtschaftsprozefi nur zurückbleiben,
was man nennen kann die Regelung der
gegenseitigen Bewertung der Waren, die
Regelung, wieviel man zu kriegen hat
von den Leistungen eines anderen für
seine eigene Leistung. Dafür werden
aufzukommen haben die Menschen, die
sich herausgliedern aus den
Assoziationen, die geschlossen werden
zwischen Produzierenden und anderen
Produzierenden, Produzierenden und
Konsumierenden und so weiter. Mit der
Preisbildung wird man es zu tun haben.
Die Arbeit wird
überhaupt kein Gebiet sein, das man zu
regeln hat innerhalb des
Wirtschaftslebens; die wird
hinausgewiesen aus dem
Wirtschaftsleben. Wenn die Arbeit im
Wirtschaftsleben drinnen steht, so hat
man die Arbeit aus dem Kapital heraus
zu bezahlen. Dadurch wird gerade das
bewirkt, was im neueren
Wirtschaftsleben das Streben genannt
werden kann nach bloβem Profit, nach
bloβem Gewinn. Denn dadurch steht
derjenige, der wirtschaftliche
Produkte liefern will, ganz drinnen in
einem Prozeβ, der zuletzt seinen
Abschluss findet im Märkte.
Und hier müβte
eigentlich von dem, der wirklich
einsichtig werden will, eine Idee, ein
Begriff zurechtgestellt werden, der
heute sehr, sehr irrtümlich gestaltet
ist. Man sagt: Der kapitalistisch
Produzierende bringt seine Produkte
auf den Markt; er will profitieren.
Und nachdem lange Zeit mit einem
gewissen Rechte die sozialistisch
Denkenden gesagt haben: Die ganze
Sittenlehre hat gar nichts zu tun mit
diesem Produzieren, allein das
wirtschaftliche Denken - will man
heute gar sehr von ethischen, von
sittlichen Gesichtspunkten aus den
Profit, den Gewinn mit der Sittenlehre
vermischen. Hier soll nicht gesprochen
werden vom einseitig sittlichen, nicht
vom einseitig wirtschaftlichen,
sondern vom gesamtgesellschaftlichen
Standpunkte aus. Und da muss man
sagen: Was sich im Gewinn, im Profit
zeigt, was ist es denn.? Etwas, wovon
man eigentlich im wirklichen
volkswirtschaftlichen Zusammenhänge
nur so sprechen kann, wie man davon
sprechen kann, wenn die
Thermometersäule, die Quecksilbersäule
im Zimmer steigt, de es wärmer
geworden ist. Wenn jemand sagt: Diese
Quecksilbersäule zeigt mir, dass es
wärmer geworden ist dann wird er
wissen, dass nicht diese
Quecksilberseule das Zimmer wärmer
gemacht hat, dass diese
Quecksilbersäule nur anzeigt, dass es
im Zimmer durch andere Faktoren wärmer
geworden ist. Der Gewinn auf dem
Markte, der sich ergibt unter unseren
heutigen Produktionsverhältnissen, ist
auch zunächst nichts anderes als der
Anzeiger dafür, clae man die Produkte
produzieren darf, die einen Gewinn
abwerfen. Denn ich müchte wissen,
woher in aller Welt man heute
irgendeinen Anhaltspunkt dafür
gewinnen sollte, ein Produkt zu
produzieren sei, wenn es sich nicht
herausstellt, dass es, wenn man es
produziert und zu Markte bringt, einen
Gewinn abwirft! Dies ist das einzige
Kennzeichen dafür, dass man die
wirtschaftliche Struktur so gestalten
darf, daβ dieses Produkt hervorkommt.
daβ ein Produkt nicht produziert
werden darf, zeigt sich nur dadurch,
de man, wenn man es zu Markte bringt,
merkt: Es ist kein Absatz da. Die
Menschen verlangen es nicht. Man
erzielt keinen Gewinn. — Das ist der
wirkliche Sachverhalt, nicht all das
Gefabel und Gefasel, welches von
Angebot und Nachfrage gesprochen
worden ist in vielen
Nationalökonomien. Das Urphänomen, die
Urerscheinung auf diesem Gebiete ist,
daβ heute einzig und allein das
Gewinnabwerfen den Menschen in den
Stand setzt, sich zu sagen: Du kannst
ein gewisses Produkt produzieren, denn
es wird einen gewissen Wert
haben innerhalb der menschlichen
Gemeinschaft.
Die Umgestaltung des
Marktes, der heute diese Bedeutung
hat, wird sich ergeben, wenn ein
wirkliches Assoziationsprinzip in
unserem sozialen Leben drinnen sein
wird. Dann wird nicht die
unpersönliche, vom Menschen
abgesonderte Nachfrage und das Angebot
auf dem Märkte entscheiden, ob ein
Produkt produziert werden soll oder
nicht, dann werden aus diesen
Assoziationen durch das soziale Wollen
der darin beschäftigten Menschen
andere Persönlichkeiten hervorgehen,
welche sich damit beschäftigen werden,
das Verhältnis zu untersuchen zwischen
dem Wert eines erzeugten Gutes und
seinem Preise.
Der Wert eines
erzeugten Gutes kommt heute in einer
gewissen Beziehung gar nicht in Frage.
Er bildet allerdings den Antrieb zur
Nachfrage. Aber diese Nachfrage ist ja
deshalb in unserem heutigen sozialen
Leben eine recht problematische, weil
ihr immer die Frage gegenübersteht, ob
auch zur Nachfrage die entsprechenden
Mittel, die entsprechenden
Besitzverhältnisse vorhanden sind. Man
kann gut Bedürfnisse haben: wenn man
nicht die nötigen Mittel besitzt, sie
zu befriedigen, so wird man sie gar
nicht nachfragen können. Aber es
handelt sich darum, daβ ein
Verbindungsglied geschaffen werden
muss zwischen den menschlichen
Bedürfnissen, die den Gütern, den
Erzeugnissen ihren Wert geben, und den
Preisen. Denn was man bedarf, hat je
nach diesem Bedürfnis seinen
menschlichen Wert. Es werden sich
Einrichtungen herausgliedern müssen
aus der sozialen Ordnung, die die
Brücke schaffen von diesem Wert, der
den Erzeugnissen aufgedrückt wird
durch die menschlichen Bedürfnisse,
und den Preisen, die sie haben müssen.
Heute wird der Preis
bestimmt durch den Markt, danach, ob
Leute da sind, die diese Güter kaufen
können, die das nötige Geld haben.
Eine wirkliche soziale Ordnung muβ
dahin orientiert sein, daβ die
Menschen, die aus ihren berechtigten
Bedürfnissen heraus Güter haben
müssen, sie auch bekommen können, das
heiβt, daβ der Preis dem Werte der
Güter wirklich angeähnelt wird, daβ er
ihm entspricht. An die Stelle des
heutigen chaotischen Marktes muβ eine
Einrichtung treten, durch welche nicht
etwa die Bedürfnisse der Menschen, der
Konsum der Menschen tyrannisiert wird,
wie durch
Arbeiterproduktivgenossenschaften oder
durch die sozialistische
Groβgenossenschaft, sondern durch
welche der Konsum der Menschen
erforscht und danach bestimmt wird,
wie diesem Konsum entsprochen werden
soll.
Dazu ist notwendig, daβ
unter dem Einflug des
Assoziationsprinzipes wirklich die
Möglichkeit herbeigeführt werde,
Ware so zu erzeugen, daβ sich
den beobachteten Bedürfnissen
entspreche, das heisst, Einrichtungen
müssen da sein mit Personen, die die
Bedürfnisse studieren. Die Statistik
kann nur einen Augenblick aufnehmen;
sie ist niemals für die Zukunft
maβgebend. Die Bedürfnisse, die
jeweils vorhanden sind, müssen
studiert werden, danach müssen die
Einrichtungen für das Produzieren
getroffen werden. Wenn ein Artikel
irgendwie die Tendenz entwickelt, zu
teuer zu werden, dann ist das ein
Zeichen dafür, daβ zu wenige Menschen
für diesen Artikel arbeiten. Es müssen
Verhandlungen gepflogen werden, durch
die aus anderen Produktionszweigen zu
diesem Produktionszweig arbeitende
Menschen übergeführt werden, so daβ
mehr von diesem Artikel erzeugt wird.
Hat ein Artikel die Tendenz, zu billig
zu werden, verdient sein Erzeuger zu
wenig, dann müssen Verhandlungen
eingeleitet werden, durch die weniger
Menschen gerade an diesem Artikel
arbeiten. Das heiβt: Von der Art und
Weise, wie die Menschen an ihre Plätze
gestellt werden, muβ in der Zukunft
abhängig werden, wie die Bedürfnisse
befriedigt werden. Der Preis des
Produkts bedingt sich durch die Zahl
der Menschen, die daran arbeiten. Aber
er wird durch solche Einrichtungen dem
Werte ähnlich sein, gleich sein im
wesentlichen dem, Werte, den das
menschliche Bedürfnis dem betreffenden
erzeugten Gut beizulegen hat.
Da sehen wir, wie an
der Stelle des Zufallsmarktes die
Vernunft der Menschen wirken wird, wie
der Preis zum Ausdruck bringen wird,
was die Menschen verhandelt haben, in
welche Verträge die Menschen
eingegangen sind durch die
Einrichtungen, welche bestehen. So
sehen wir die Umwandelung des Marktes
gegeben dadurch, daβ Vernunft tritt an
die Stelle des Marktzufalles, der
heute herrscht.
Wir sehen überhaupt:
Sobald wir das Wirtschaftsleben
abgliedern von den beiden anderen
Gebieten, die wir in den nächsten
Tagen besprechen werden auch die
Beziehung zum Wirtschaftsleben werden
wir besprechen und manches, was heute
unklar bleiben muss, wird dann klar
werden sobald wir das Wirtschaftsleben
abgliedern von den beiden anderen, dem
Rechts- oder Staatsgebiet und dem
Geistesleben, so wird das
Wirtschaftsleben auf eine gesunde,
vernünftige Basis gestellt. Denn es
wird dann darin nur gesehen auf die
Art und Weise, wie man wirtschaftet.
Man braucht dadurch nicht mehr die
Preise der Waren beeinträchtigen zu
lassen, daβ die Warenpreise nun auch
feststellen sollen, wie lang
gearbeitet werden soll, oder wieviel
gearbeitet werden soll, oder wieviel
Lohn bezahlt werden soll und
dergleichen, sondern man hat es im
Wirtschaftsleben nur zu tun mit dem
vergleichsweisen Wert der Waren. Damit
steht man im Wirtschaftsleben auch auf
einem gesunden Boden.
Dieser gesunde Boden
muss für das gesamte Wirtschaftsleben
erhalten werden. Daher wird in einem
solchen Wirtschaftsleben wiederum
dasjenige, was heute durch die bloβe
Geldwirtschaft, wo das Geld selbst
Wirtschaftsobjekt ist, nur
Scheingebilde sein kann, zurückgeführt
auf seine natürliche gediegene
Grundlage. Man wird es in der Zukunft
nicht mehr zu tun haben können mit dem
Wirtschaften durch das Geld und für
das Geld, denn die Einrichtungen
werden es zu tun haben mit dem
gegenseitigen Werte der Waren. Das
heiβt, man wird wiederum auf das
Gediegene der Güter zurückgehen, und
damit auch zurückgehen auf die
Leistungsfähigkeit, auf die
Tüchtigkeit der Menschen. Und nicht
mehr wird man die Kreditverhältnisse
abhängig machen können davon, ob Geld
vorhanden ist oder nicht, oder ob Geld
so und so riskiert wird, sondern die
Kreditverhältnisse werden abhängig
davon sein, ob Menschen vorhanden
sind, die tüchtig dazu sind, das eine
oder das andere wirklich in Szene zu
setzen, das eine oder das andere
hervorzubringen. Kredit wird haben die
menschliche Tüchtigkeit.
Und indem die
menschliche Tüchtigkeit die Grenze
abgibt, wie weit man Kredit gewährt,
wird dieser Kredit nicht gewährt
werden können über diese menschliche
Tüchtigkeit hinaus. Wenn Sie bloβ Geld
hingeben und Geld wirtschaften lassen,
dann kann dasjenige, was dadurch
geschaffen wird, längst verbraucht
sein — an dem Gelde muss man noch
immer herumwirtschaften. Wenn Sie Geld
nur hingeben für menschliche
Tüchtigkeit, dann hört
selbstverständlich mit dieser
menschlichen Tüchtigkeit auch auf, was
man mit dem Gelde wirtschaften kann.
Davon wollen wir dann in den nächsten
Tagen sprechen.
Nur dann, wenn dem
Wirtschaftsleben die beiden anderen
Gebiete zur Seite stehen, das
Rechtsgebiet, das selbständig ist, und
das selbständige Geistesgebiet, kann
das Wirtschaftsleben sich in gesunder
Weise auf seine eigenen Füsse stellen.
Dann aber muβ auch alles innerhalb des
Wirtschaftslebens aus wirtschaftlichen
Voraussetzungen selbst folgen.
Aus den
wirtschaftlichen Voraussetzungen
werden die materiellen Güter
produziert. Man braucht nur an etwas,
was im sozialen Leben wie, ich möchte
sagen, ein Abfall vom Wirtschaftsleben
dasteht, zu denken, und man wird
sehen, wie ein wirkliches
wirtschaftliches Denken manches von
dem hinwegschaffen muβ, was heute noch
wie eine Selbstverständlichkeit in der
sozialen Ordnung gilt, ja wofür man
als für einen Fortschritt kämpft.
Es denkt heute noch
keiner von denen, die da glauben, von
dem wirklichen Leben etwas zu
verstehen, daran, daβ es nicht einen
grossen Fortschritt bedeute, wenn man
von allen möglichen indirekten Steuern
oder sonstigen Einnahmen des Staates
übergehe zu der sogenannten
Einkommenssteuer, insbesondere zu der
steigenden Einkommenssteuer. Es denkt
heute jeder, es sei selbstverständlich
das Gerechte, das Einkommen zu
besteuern. Und doch, so paradox es für
den heutigen Menschen klingt, dieser
Gedanke, daβ man die gerechte
Besteuerung durch die Besteuerung des
Einkommens erreichen Unne, rührt nur
von der Täuschung her, die die
Geldwirtschaft gebracht hat.
Geld nimmt man ein. Mit
Geld wirtschaftet man. Durch das Geld
befreit man sich von der Gediegenheit
des produktiven Prozesses selbst. Man
abstrahiert gewissermaβen das Geld im
Wirtschaftsprozesse, wie man im
Gedankenprozeβ die Gedanken
abstrahiert. Aber geradesowenig wie
man aus abstrakten Gedanken
irgendwelche wirklichen Vorstellungen
und Empfindungen hervorzaubern kann,
so kann man aus dem Gelde etwas
Wirkliches hervorzaubern, wenn man
übersieht, daβ das Geld bloβ ein
Zeichen ist für Güter, die produziert
werden, daβ das Geld gewisserrnagen
bloβ eine Art Buchhaltung ist, eine
fliegende Buchhaltung, daβ jedes
Geldzeichen stehen muβ für irgendein
Gut.
Auch darüber soll noch
im genaueren in den folgenden Tagen
gesprochen werden. Heute
aber muβ gesagt werden, daβ eine Zeit,
die nur sieht, wie das Geld zum
selbständigen Wirtschaftsobjekt wird,
daβ eine solche Zeit in den
Geldeinnahmen dasjenige sehen was man
vor allen Dingen besteuern soll. Aber
damit macht man sich ja als der
Besteuernde mitschuldig an der
abstrakten Geldwirtschaft! Man
besteuert, was eigentlich kein
wirküches Gut ist, sondern nur Zeichen
für ein Gut. Man arbeitet mit etwas
Wirtschaftlich-Abstraktem. Geld wird
erst zu einem Wirklichen, wenn es
ausgegeben wird. Da tritt es über in
den Wirtschaftsprozess, gleichgültig
ob ich es für mein Vergnügen oder für
meine leiblichen und geistigen
Bedürfnisse ausgebe, oder ob ich es in
einer Bank anlege, so dass es da für
den wirtschaftlichen Prozess verwendet
wird. Wenn ich es in einer Bank
anlege, so ist es eine Art von
Ausgabe, die ich mache — das ist
natürlich festzuhalten. Aber Geld wird
in dem Augenblicke zu etwas Realem im
Wirtschaftsprozesse, wo es sich von
meinem Besitze ablöst, in den
Wirtschaftsprozess übergeht. Die
Menschen brauchten ja auch nur eines
zu bedenken: Es nützt dem Menschen gar
nichts, wenn er viel einnimmt. Wenn er
die grofie Einnahme in den Strohsack
legt, so mag er sie haben; das nützt
ihm gar nichts im Wirtschaftsprozess.
Den Menschen nützt nur die
Möglichkeit, viel ausgeben zu können.
Und für das öffentliche Leben, für das
wirkliche produktive Leben ist das
Zeichen für viele Einnahmen eben, dass
man viel ausgeben kann. Daher muss
man, wenn man im Steuersystem nicht
etwas schaffen will, was parasitär am
Wirtschaftsprozesse ist, sondern wenn
man etwas schaffen will, was eine
wirkliche Hingabe des
Wirtschaftsprozesses an die
Allgemeinheit ist, das Kapital in dem
Augenblicke versteuern, in dem es in
den Wirtschaftsprozess übergeführt
wird. Und das Sonderbare stellt sich
heraus, dass die Einnahmesteuer
verwandelt werden muss in eine
Ausgabensteuer — die ich bitte, nicht
zu verwechseln mit indirekter Steuer.
Indirekte Steuern treten in der
Gegenwart oftmals als Wünsche gewisser
Regierender nur aus dem Grunde hervor,
weil man an den direkten Steuern, an
den Einnahmesteuern gewahnlich nicht
genug hat. Nicht um indirekte Steuern
und nicht um direkte Steuern handelt
es sich, indem hier von Ausgabensteuer
gesprochen wird, sondern darum handelt
es sich, daβ dasjenige, was ich
erworben habe, in dem Momente, wo es
übergeht in den Wirtschaftsprozess, wo
es produktiv wird, auch besteuert
wird.
Gerade an dem
Steuerbeispiel sieht man, wie ein
Umlernen und Umdenken notwendig ist.
Der Glaube, dass es auf eine
Einnahmesteuer vorzugsweise ankomme,
ist eine Begleiterscheinung jenes
Geldsystems, das in der modernen
Zivilisation seit der Renaissance und
Reformation heraufgekomrnen ist. Wenn
man das Wirtschaftsleben auf seine
eigene Basis stellt, dann wird es sich
nur darum handeln können, daβ das, was
wirklich wirtschaftet, was
darinnensteckt im Produktionsprozess,
die Mittel zur Arbeit desjenigen
hergibt, was der Gemeinschaft
notwendig ist. Dann wird es sich
handeln um eine Ausgabensteuer,
niemals um eine Einkommenssteuer.
Sehen Sie, man muss,
wie ich schon gestern sagte, umlernen
und umdenken. Ich konnte Ihnen bisher
in diesen beiden Vorträgen nur
skizzenhaft einiges andeuten. In den
vier folgenden soll vieles davon
ausgeführt werden. Wer heute solche
Dinge ausspricht, der weiss ganz gut,
dass er Anstoss erregen muss nach
links und nach rechts, daβ ihm
zunächst kaum irgend jemand Recht
geben wird, denn alle diese
Angelegenheiten sind untergetaucht in
die Sphäre der Parteimeinung. Aber
nicht früher ist ein Heil zu erhoffen,
bevor diese Angelegenheiten nicht
wieder aufsteigen aus dem Gebiete, wo
die Leidenschaften der Parteien wüten,
in das Gebiet des sachlichen, des
wirklich dem Leben entnommenen
Denkens.
Und das möchte man so
gern: dass die Menschen, indem sie der
Dreigliederung des sozialen Organismus
entgegentreten, nicht urteilen nach
Parteischablonen, nach
Parteiprinzipien, sonder daβ sie zu
Hilfe nehmen zu ihren Urteilen den
Wirklichkeitsinstinkt. Parteimeinungen
und Parteiprinzipien haben die
Menschen vielfach abgebracht von
diesem Wirklichkeitsinstinkt. Daher
erlebt man es immer wieder und
wiederum, gerade diejenigen, die heute
mehr oder weniger auf den bloßen
Konsum angewiesen sind, im Grunde
genommen recht leicht aus ihren
Instinkten heraus verstehen, was eine
solche Wirklichkeitsidee wie die von
der Dreigliederung des sozialen
Organismus eigentlich will. Dann aber
kommen die Führer, insbesondere der
sozialistischen Massen. Und da darf es
heute nicht verhehlt werden, daβ diese
Führer der sozialistischen Massen
durchaus nicht geneigt sind, auf das
Gebiet der Wirklichkeit einzugehen.
Und eines ist heute
leider zu bemerken, und das gehört
auch, insbesondere auf dem
Wirtschaftsgebiete, zu den drängenden
Dingen der sozialen Frage: Wir haben
es erlebt, indem wir gearbeitet haben
für die Dreigliederung, wie zu den
Massen gesprochen worden ist, und wie
die Massen aus ihrem
Wirklichkeitsinstinkt heraus gut
verstanden haben, was gesprochen
worden ist. Dann sind die Führer
gekommen und haben erklärt: Das ist
utopistisch! — In Wahrheit stimmte es
nur nicht mit dem, was sie seit
Jahrzehnten gewohnt sind, in ihren
Köpfen zu tragen und herumzuwirbeln,
und dann sagen sie ihren getreuen
Anhängern, das sei utopistisch, das
sei keine Wirklichkeit. Und leider hat
sich in der Gegenwart zu stark ein
blinder Glaube herausgebildet, eine
blinde Anhängerschaft, ein furchtbares
Autoritätsgefühl auf diesem Gebiete.
Und man muss sagen: Was einmal
aufgebracht worden ist an
Autoritätsgefühl, sagen wir, gegenüber
den Bischöfen und Erzbischöfen der
katholischen Kirche, das ist ein
Kleines gegenüber dem starken
Autoritätsgefühl der modernen
Arbeitermassen gegenüber ihren
Führern. Daher haben es diese Führer
verhältnismässig leicht, mit dem, was
sie wollen, durchzudringen.
Was aber gefordert
wird, ist, darauf hinzuweisen vor
allen Dingen, was ehrlich ist auf
diesem Gebiete, nicht was für die
Parteischablone spricht. Wenn es mir
gelingen sollte, gerade in diesen
Vorträgen zu zeigen, dass dasjenige,
was durch die Dreigliederung
angestrebt wird, wirklich ehrlich
gemeint ist für das Gesamtwohl der
ganzen Menschheit, ohne Unterschied
von Klasse, Stand und so weiter, dann
wird im wesentlichen erreicht sein,
was durch solche Vorträge nur
angestrebt werden kann.
Fragenbeantwortung nach dem
zweiten Vortrag
Ein
Maschinentechniker bringt einen im
heutigen System oft anzutreffenden
Missstand zur Sprache: daβ mehrere
Fabriken Kapital in gleichartigen
Maschinen investieren, die überall
nur teilweise ausgenutzt werden. Er
fragt, ob nicht in einer assoziativ
geführten Wirtschaft diese
Kapitalverschwendung beseitigt
werden könnte.
Dr. Steiner: Ich
darf vielleicht gleich darauf sagen:
Was der Herr eben gesagt hat,
bestätigt durchaus das
Assoziationsprinzip. Wenn gearbeitet
wird in vollständig rein individueller
Weise, ohne daβ sich die Produzenten
assoziieren, also zusammenarbeiten, so
wird natürlich eintreten, was Sie
vorausgesetzt haben: dass eine
Maschine nur teilweise ausgenützt
wird. Die vollständige Ausnützung
aber, die kann nur bewirkt werden
dadurch, daβ sich wirklich die
Betreffenden assoziieren. Also es
liegt durchaus in der Linie
desjenigen, was mit dem
Assoziationsprinzip gemeint ist, was
Sie sagen.
Es wird gefragt,
wie es im Osten Europas unter den
damaligen Umständen anders hätte
angefasst werden können, und ob
nicht gegenüber dem Zarismus die
Verhältnisse verheißungsvoller
geworden seien.
Dr. Steiner: Nicht
wahr, es gibt heute in wirklich gar
nicht so engen Kreisen — das muss
gesagt werden, ohne daβ man weder mit
Furcht noch mit Hoffnung bei den
Meinungen dieser Kreise steht — die
Meinung, was im Osten geschieht, sei
etwas Furchtbares. Es gibt auch
wiederum Kreise, welche darinnen etwas
Zukunftsverheissendes sehen.
Gewöhnlich wird von denjenigen, die
mit mehr oder weniger Recht die
Verhältnisse im Osten verurteilen,
dann das eine oder das andere
Furchtbare, was geschieht,
vorgebracht; es werden die Zustände
geschildert, und von manchem, was da
geschildert wird, kann es ja schon den
Menschen recht gruselig werden; das
ist klar. Diejenigen, die dann solche
Dinge zurechtrücken wollen, die mehr
Anhänger dessen sind, was da gemacht
wird, ja, die wollen dann die
furchtbaren Verhältnisse etwas
beschönigen oder hinwegleugnen und
dergleichen.
Ja, aber sehen Sie,
damit kommt man wirklich nicht weiter.
Aus einzelnen Symptomen lassen sich
diese Dinge tatsächlich nicht
beurteilen. Es mögen noch so viele
Journalisten nach dem Osten reisen und
die Dinge, die sie da bemerken,
beschreiben, aus solchen
Beschreibungen wird niemand ein Urteil
sich bilden dürfen, aus dem einfachen
Grunde, weil ja heute auch noch kein
Mensch beurteilen kann, was zum
Beispiel von den Schrecknissen des
europäischen Ostens, die ja wahrhaftig
nicht kleine sind, zu schreiben ist
auf das Konto der gegenwärtigen
Herrscher und was zu schreiben ist auf
das Konto der Nachwirkungen des
furchtbaren Krieges. Diese Dinge gehen
durcheinander: die Nachwirkungen des
Krieges und dasjenige, was aus den
gegenwärtigen Verhältnissen sich
herausentwickelt. Was man so
unmittelbar sieht und was so
unmittelbar geschieht, das mag
Gegenstand sein recht netter
feuilletonistischer Unterhaltungen,
aber zur Beurteilung der Lage gibt es
keinen Anhalt. Da muss man schon fähig
sein, einzugehen auf die Intentionen,
aus denen heraus das geschieht, was
eben im Osten zur Einleitung einer
sozialen Menschenzukunft getan wird.
Nun frägt der Herr, ob
ich glaube, dass etwas anderes hätte
getan werden können, oder ob die
gegenwärtigen Verhältnisse nicht doch
verheissungsvoller seien als die
vorhergehenden.
Nun weiss ich sehr gut,
wie wenig verheissungsvoll die
vorhergehenden zaristischen
Verhältnisse waren. Dass sie sehr
vielen Leuten gefallen, das rührt ja
nur davon her, daβ sich diese Leute
nicht wirklich einen Untergrund für
ein wahres Urteil zustande gebracht
haben und gar nicht den Willen dazu
hatten, ihn zustande zu bringen. Wer
alles, was der Zarismus verbrochen
hat, namentlich was er in der
allerneuesten Zeit verbrochen hat,
wirklich ins Auge fast, der kann unter
Umständen schon zu der Frage kommen:
Was ist besser, das Damalige oder das
Heutige? — Aber darum kann es sich
auch wiederum nicht handeln, sondern
es kann sich nur darum handeln: Ist
dasjenige, was da heute eingetreten
ist, im Prinzip, im Wesen etwas, was
die alten Zustände wirklich verbessert
hat? — Da muss man in der Lage sein,
einzugehen auf die Intentionen, und
man muss sich auf einem solchen
Gebiete ein unbefangenes Urteil
wahren.
Solch ein unbefangenes
Urteil können Sie zum Beispiel
gewinnen, wenn Sie eingehen auf
Intentionen wie die des Lenin. Lesen
Sie so etwas wie «Staat und
Revolution» von Lenin. Da finden Sie
aus Vorkriegszeiten heraus — das Buch
ist ja schon vorher geschrieben
gewesen — die Intentionen Lenins. Man
darf sagen: Lenin hat in einem
gewissen Sinne sogar Recht, wenn er
abkanzelt alle die halben oder
Viertels oder Dreiviertelsmarxisten
und sich schlisslich für den einzig
wirklichen, wirklich konsequenten
Marxisten hält: Es müβten die Menschen
in der Zukunft in der sozialen Ordnung
so gestellt sein, dass jeder darinnen
leben kann «nach seinen Fähigkeiten
und seinen Bedürfnissen». Das müβte
erst ein weiterer Zustand werden, der
sich aus dem ungerechten, unmöglichen
Zustand ergeben kante. Nun findet sich
bei Lenin eine höchst interessante
Auseinandersetzung, die darauf
hinausläuft, daβ er sagt: Aber das
kann man mit den heutigen Menschen
nicht machen, daβ sie nach ihren
Fähigkeiten und Bedürfnissen in der
sozialen Ordnung leben, sondern das
kann man erst machen, wenn andere
Menschen da sein werden, eine ganz
andere Menschenrasse. Diese ganz
andere Menschenrasse muss erst
geschaffen werden.
Ja, sehen Sie, da haben
Sie das Hineinsegeln in die allererste
Unwirklichkeit und das Rechnen mit
etwas, das ja gar nicht zu erhoffen
ist. Denn durch die Zustände, die von
Lenin herbeigeführt werden, wird ganz
gewiβ diese neue Menschensorte nicht
gezüchtet, die dann die gerechten
sozialen Zustände herbeiführt. Auf so
brüchigem Grunde stehen die
Intentionen zu dem, was vorgeht. Und
da mag man über die Einzelheiten sich
entsetzen oder sie notwendig finden,
sie loben oder tadeln — darauf kommt
es nicht an. Sondern darauf kommt es
an, daβ man einsieht: da wird mit
unwirklichen Gedanken gerechnet. Und
deshalb ist dasjenige, was so
verwirklicht wird, nichts anderes als
Raubbau an der Vergangenheit.
Mir trat das, wie einem
an Symptomen manchmal die wichtigsten
Dinge entgegentreten, vor einigen
Monaten besonders schön in Basel
entgegen, wo ich vor einer Versammlung
auch über den Gegenstand, über den ich
jetzt zu Ihnen spreche, gesprochen
habe. Da stand ein Herr auf, der
sagte: Ja, das ist ja alles ganz schön
und wäre auch sogar schön, wenn es
verwirklicht würde; aber das kann
nicht früher verwirklicht werden, als
bis Lenin Weltherrscher wird. — Ich
musste dazumal antworten : Wenn irgend
etwas sozialisiert werden soli, so
handelt es sich doch darum, daβ vor
allen Dingen die
Herrschaftsverhältnisse sozialisiert
werden. Aber dieser Sozialist, der ein
Anhänger des Lenin war, der will Lenin
zum Weltherrscher machen, zum
Weltkaiser oder zum Weltpapst
wirtschaftlicher Sorte. Da werden die
Herrschaftsverhältfisse nicht
sozialisiert, auch nicht
demokratisiert, sondern da werden sie
monarchisiert, tyrannisiert, da wird
eine Autokratie geschaffen. Wer so
etwas behauptet, versteht noch nicht
einmal, wie man anfangen muss damit,
vor allem die Herrschaftsverhältnisse
zu sozialisieren.
So stellt sich für den,
der genauer zusieht, für die
Wirklichkeitsstruktur des heutigen
Ostens etwas sehr Merkwürdiges heraus:
Es glauben diejenigen, die Bekenner
der Intentionen des heutigen Ostens
sind, dass damit etwas erzielt werde.
Nein, was da gewollt wird, das ist in
seinem Wesen nicht in Opposition gegen
den Zarismus, das ist nur das ganze
Wesen des Zarismus für eine andere
Klasse weiter ausgebaut, in
schlimmerer Weise der Zarismus
fortgesetzt als er war, wie überhaupt
diejenigen, die auf dem linkesten
Flügel der radikalen Parteien stehen,
heute schon gar nicht mehr damit
zurückhalten, dass sie nicht
Fortschrittsmenschen sind, sondern
noch viel ärgere Reaktionäre als
diejenigen waren, die früher
Reaktionen getragen haben. Indem
gefordert wird die Diktatur einer
Klasse, würde ja aus dieser Klasse
nichts anderes herauskommen als die
Tyrannis einzelner ich will nicht
einmal sagen: Erwählter —; es würden
ganz gewiss nicht die Erwählten sein,
sondern diejenigen, die den anderen
Sand in die Augen streuen. Es würde
die Tyrannis derienigen aus den
einzelnen Klassen herauskommen, die
den anderen Sand in die Augen streuen.
Es würde nur eine Umkugelung der
Menschheit stattfinden. Aber die
Verhältnisse, sie würden sich ganz
gewiss nicht verbessern, sondern im
wesentlichen eher verschlechtern.
Also es handelt sich da
darum, dass man wirklich auf das
Prinzip sieht, dass man aus der
Wirklichkeit heraus denkt, nicht aus
vorgefassten grauen Theorien heraus
denkt. Sehen Sie, manchmal haben
diejenigen, die gesund aus der
Wirklichkeit heraus denken, von
einzelnen Erscheinungen her schon ein
sehr gesundes Urteil. Ich habe Ihnen
heute ausgeführt, dass die
Geldherrschaft eigentlich verwirrend
wirkt über die wirklichen sozialen
Zustände. Das muss man nur
durchschauen. Sie wirkt tatsächlich
so, dass das Geld Machtverhältnisse,
tyrannisierte Verhältnisse bewirkt,
dass an die Stelle alter
Eroberermächte und dergleichen einfach
Geldmacht tritt. In Europa durchschaut
man solche Dinge noch wenig. Ein
amerikanisches Sprichwort gibt es, das
sagt ungefähr: Reich geworden durch
blosse Kapitalwirtschaft bedeutet,
nach drei Generationen wiederum in
Hemdsärmeln herumgehen! — Da wird das
Imaginäre der Kapitalwirtschaft ganz
deutlich hingestellt, dieses
Sich-Auflösen, dieses Imaginäre. Man
kann Milliardär werden, und nach drei
Generationen gehen die Nachkommen
selbstverstandlich Hemdsärmeln herum,
weil das Geld der Herrscher wird über
den Menschen.
Und nun handelt es sich
diejenigen, die nach den Intentionen
des Lenin arbeiten, durchaus nicht
darum, neue Prinzipien zu finden,
wirklich zu erforschen aus den
Lebensbedingungen der Menschheit
heraus, wie die soziale Struktur sein
soll, sondern es handelt sich für sie
darum, was sie über den Kapitalismus
gelernt haben, auf einen
Großkapitalisten, den sie rekrutieren
aus dem ihnen zur Verfügung stehenden
Gebiete, zu übertragen. Was in der
kapitalistischen Herrschaft gewirkt
hat, das wird dann durch
Spionenwirtschaft, durch
Protektionswirtschaft und alles
mögliche andere weiter wirken. Früher
hat man gesagt: Thron und Altar. Da im
Osten sagt man: Kontor und Maschine.
Aber der Aberglaube ist ein gleich
grösser Es handelt sich eben heute
darum, nicht mit den alten Begriffen,
nur durch eine andere Menschenklasse,
neue Zustände herbeiführen zu wollen,
sondern es handelt sich heute darum,
sich zu scharen um wirklich neue
Prinzipien, um eine wirklich neue
Einsicht.
Schlisslich geht das
hervor auch aus der Wirklichkeit der
Entwickelung. Nehmen Sie wiederum
Amerika. Da haben Sie heute eine
Republikanische und eine Demokratische
Partei.Wenn man diese Parteien heute
studieren und gar nichts wissen würde
von der Geschichte, so würde man nicht
einsehen, warum sich diese Parteien so
nennen; denn die Republikanische
Partei ist nicht republikanisch und
die Demokratische Partei ist nicht
demokratisch, sondern es sind
Vertretungen von Cliquen, die jede ihr
besonderes Cliqueninteresse vertritt.
Die Parteibenennungen sind geblieben
als Reste aus früheren Zeiten. Was mit
diesen Parteienennungen gemeint ist,
hat längst seine Bedeutung verloren.
Die Wirklichkeit ist eine ganz andere.
Heute handelt es sich durchaus nicht
darum, sich durch irgendwelche
Parteischablonen blenden zu lassen,
sondern in die Wirklichkeit praktisch
hineinzuschauen. Das ist es.
Und wer in die
Wirklichkeit des Ostens praktisch
hineinschaut, der sagt sich dann das
Folgende. Ich darf vielleicht dabei
eine kleine Geschichte erzählen. Es
ist ja wichtig, daβ solche Dinge zur
Symptomatologie der Zeit nicht ganz
verschwiegen werden. Als ich im Januar
1918 aus der Schweiz wiederum nach
Berlin kam, da sprach ich mit einem
Manne, der in den Ereignissen sehr
tief drinnen stand, sehr in sie
verstrickt war, und der längst meine
Ideen kannte: daβ nun in Mittel- und
Osteuropa die Idee von der
Dreigliederung des sozialen Organismus
gefasst werden müsse. Ich habe sie
dazumal ausgearbeitet gehabt und nach
der damaligen Zeitlage den Menschen,
die hätten daran arbeiten können,
vorgelegt. Der Mann hat das auch
gewusst. Es schien ihm sehr plausibel,
daβ es sich darum hätte handeln
können, auf geistigem Wege aus der
Misere herauszukommen. Darüber war
dazumal gesprochen gewesen bereits
seit längerer Zeit. Ich kam, wie
gesagt — erinnern Sie sich an das, was
dazumal im Januar 1918 war nach
Berlin. Der Mann, er war Militär, ein
höherer Militär, sagte, als ich ihm
sprach von der unglückseligen, der
unmöglichen Idee, noch einmal diese
schreckliche Frühjahrsoffensive vom
Jahre 1918 zu beginnen, anstatt einer
geistigen Aktion — er sagte: Was
wollen Sie denn, hat nicht der Kühlmann
die Dreigliederung in der
Tasche gehabt? — Er hatte sie in der
Tasche; und dennoch hat er
Brest-Litowsk gemacht!
Es mag Ihnen heute
ausschauen wie die Mitteilungen
irgendeines Phantasten; ich weiβ aber,
daβ diese «Phantasterei» tief in der
Wirklichkeit wurzelt. Ich weiβ, daβ im
russischen Volk gerade die Elemente
drinnen liegen, um zuallererst, wenn
man sie in der richtigen Weise
mitteilt, die Idee von der
Dreigliederung zu fassen. Das hätte
treten müssen als eine geistige Aktion
an die Stelle der unmöglichen Aktion
von Brest-Litowsk. Da hätte es eine
Kommunion geben können zwischen
Mitteleuropa und dem Osten Europas,
die eine geistige Aktion gewesen wäre,
ein Zusichkommen. Das wäre etwas ganz
anderes gewesen.
Was war es aber, das
den Leninismus nach Ruβland gebracht
hat? Ich erinnere nur daran, dass
Lenin im plombierten Wagen durch
Deutschland nach Ruβland geführt
worden ist. Der Leninismus ist ein
Import. Will man vom «deutschen
Militarismus» sprechen, so muss man
davon sprechen, daβ der Leninismus ein
Import gewesen ist.
Wohl aber kann man die
Meinung haben, daβ eine geistige
Aktion etwas ganz anderes hätte
bewirken können als die Tatsache, daβ
diese geistige Aktion ausgeblieben ist
und an ihre Stelle, anstelle dessen,
was aus dem russischen Volk heraus
spielt, eine abstrakte, allgemeine,
marxistische Phrase über
Verwirklichung von sozialen Zuständen
gesetzt wurde, die, wenn sie überhaupt
verwirklicht werden könnte, ebensogut
wie man sie auf Ruβland hinaufstülpt,
auf Brasilien, Argentinien, irgendwo
anders, ganz ohne Kenntnis der
Volkszusammenhänge, meinetwillen auch
auf den Mond hinaufgestülpt werden
kannte. Dieser Aberglaube, daβ alles
auf jedes draufgestülpt werden kann,
das ist das groβe Unglück des Ostens,
das ist es, was dort die Tyrannis
einer Idee begründet, die furchtbar in
ihren Ergebnissen sein wird, weil sie
mit dem Vergangenen Raubbau treibt.
Wenn sie noch so sehr ein Schlechtes
ablast: worinnen sie produktiv ist,
das sind nur die Überreste, die
Überbleibsel des Alten. Wenn sie aber
selbst produktiv sein soll, wird sie
in die Nullität gesetzt sein.
Diese Dinge heute nicht
unbefangen zu beurteilen, das ist ein
soziales Versäumnis. Denn heute liegen
die Dinge in Wahrheit ausserordentlich
ernst. Daher kann man nicht aus
irgendeiner Parteimeinung heraus
solche wichtigen Dinge beurteilen,
sondern man muβ sie beurteilen aus dem
ganzen Umfang der Wirklichkeit selber.
Da muβ man fragen: Was hätte
herausgestaltet werden müssen aus den
Grundlagen der russischen Sozietät
selber? Jedenfalls nicht der
Leninismus, der eine Abstraktion ist,
und eine solche Abstraktion, die noch
dazu sagt: Es muβ die Menschenrasse
erst erzeugt werden. Deshalb ist
Lenins Arbeit nicht für die Russen,
sondern für Menschen, die er
heranzüchten will durch unmögiche
Zustände, die er erst herbeiführt. Das
ist das wirkliche Faktum.
-Wahrhaftig, nicht
liegt dem, was ich sage, irgendeine
Sympathie oder Antipathie zugrunde,
sondern das Streben nach Einsicht. Es
nützt nichts, diese Dinge heute nicht
in ihrem vollen, in ihrem umfänglichen
Ernste zu betrachten.
Eine weitere Frage
ist diese:
In welchem
Zusammenhange steht mit dem heute
Gesagten die Szene des
Geldschwindels des Mephistopheles im
«Faust» von Goethe?
Es ist interessant, daβ
diese Frage gestellt wird, denn man
kann darauf antworten, wie tief
eigentlich der Goetheanismus durch Goethe
schon hineinsah in die realen
Verhältnisse. Stellen Sie sich einmal
die ganze Szene im zweiten Teil des
«Faust» vor Augen, wo Mephistopheles,
der Teufel, das Papiergeld erfindet,
wo er den ganzen Geldschwindel vor den
Kaiser hinstellt. Sie haben im Grunde
genommen eine schöne Imagination, eine
bildhafte Darstellung dessen, was man
heute als soziale Wahrheiten
aussprechen muβ Das ganze Abheben der
Geldwirtschaft von der gediegenen
Wirklichkeit ist hingestellt als eine
Schöpfung des «Geistes, der stets
verneint», der nichts Positives
schafft, in grandioser dichterischer
Gestaltung. Das zeigt nur, wie Goethe
dichterisch gestaltete, was er zu
seiner Zeit wahrhaftig nicht in der
Wirklichkeit hätte gestalten können.
Denn selbst der sehr vorurteilslose
Herzog Karl August von
Weimar würde wenig haben eingehen
können auf das, was Goethe eigentlich
gemeint hat mit dieser Schaffung des
Geldes als solchem durch den «Geist,
der stets verneint». Aber Goethe
wollte sich doch aussprechen. Und
sehen Sie einmal nach, wie vieles in
«Wilhelm Meisters Wanderjahren» von
solchen Ideen drinnen ist. Goethe
wollte sich aussprechen. Er konnte
sich in seiner Zeit nicht anders
aussprechen, als er sich ausgesprochen
hat. Aber es liegt ungeheuer viel von
sozial Impulsivem und sozial
impulsierender Einsicht gerade in
dieser Szene.
Man wird überhaupt erst
nach und nach erkennen, was es bei
Goethe bedeutet, daβ er sein ganzes
Leben hindurch in Entwickelung
begriffen war. Das versteht man in der
heutigen Zeit sehr wenig; denn heute —
man redet von der Entwickelung in der
Naturwissenschaft, aber Entwickelung
des Menschen durch das Leben hindurch?
Wenn man zwanzig Jahre alt ist, ist
man reif, in das Staatsparlament
gewählt zu werden, Feuilletons zu
schreiben, zu urteilen über alles
mögliche! Daβ man sich dann noch
entwickeln soll, daran denkt man ja
heute, nicht wahr, wenig.
Goethe dachte daran. Er
wuβte ganz gut, daβ er sich in
späteren Jahren seiner Entwickelung
Dinge erobert hatte, die er in
früheren Jahren nicht hatte. Ja, es
gibt einen Achtzeiler, recht nett, aus
Goethes Nachlaβ. Darin hat er sich
ausgesprochen über diejenigen
Menschen, welche sagten: 0 ja, Goethe
ist alt geworden. Die Jugendwerke —
dazumal war nur der erste Teil des
«Faust» gedruckt —, die zeugen von
wirklicher künstlerischer Kraft. Aber
der alte Goethe, der ist eben alt
geworden! — Das hat man ja noch
nachträglich gesagt. Sehen Sie, der
Schwaben-Vischer, der
V-Vischer, er hat den zweiten Teil des
«Faust» ein zusammengeschustertes, zu
sammengeleimtes Machwerk des Alters
genannt. Ich habe gar nichts gegen den
V-Vischer sonst einzuwenden und
schätze ihn sehr; aber ein Philister,
der nicht verstehen konnte, was Goethe
sich durch seine Entwickelung errungen
hat, war der V-Vischer durchaus, voll
philiströsen Geistes. Goethe selbst
hat einen Achtzeiler hinterlassen, der
für die Zeitgenossen und auch sonst
noch gilt. Da steht:
Da loben
sie den Faust,
— er
meint den ersten Teil des «Faust»; der
zweite Teil war noch nicht gedruckt,
er war ein Werk der reifen
Entwickelung —
Und was
noch sunsten
In
meinen Schriften braust Zu ihren
Gunsten;
Das alte
Mick und Mack
Das
freut sie sehr;
Es meint
das Lumpenpack,
Man wär's
nicht mehr!
Sehen Sie, Goethe war
sich dessen schon bewuβt, daβ er etwas
erreicht hat, was er eben nur der
Entwickelung des höheren Alters
verdanken konnte. Und so ist das, was
er hineingeheimnifit hat in den
zweiten Teil des «Faust», wirklich
recht künstlerisch. Und es zeigt sich
erst, wie künstlerisch es auch in der
Gestaltungskraft ist, wenn man es
eurythmisch darstellt, wie wir
demnächst die Szene aus dem zweiten
Teil des «Faust» über die Sorge
darstellen wollen.
Aber die Menschen sind
ja nicht gerade auf die Entwickelung
aufmerksam. Sie denken, eine
entwickelte Weltanschauung zu treffen
damit, dass sie auf das abstrakte
Gefühl hinweisen und sagen, beim
jungen Goethe stehe ja schon alles:
«Name ist Schall und Rauch Gefühl ist
alles... Wer darf ihn nennen und wer
bekennen? . den Allerhalter,
Allumfasser » und so weiter. Das soll
grösser sein als jede entwickelte
Weltanschauung! Sogar Philosophen
zitieren das, vergessen ganz, dass
Goethe es dem Faust in den Mund gelegt
hat, wo Faust ein sechzehnjähriges
Backfischchen katechisiert. Also die
sechzehnjährigeBackfischlehre, die
soll angeführt werden gegen die
entwickelte Weltanschauung! In vielen
Dingen muss eben heute durchaus
umgelernt werden. Und der
Goetheanismus ist schon etwas, an dem
sich umlernen lässt. Und ebenso wie
diese Szene mit dem Geldschwindel, so
kannte manches andere gerade aus dem
zweiten Teil des «Faust», aus «Wilhelm
Meisters Wanderjahren», aus manchem
anderen angeführt werden, das zeigen
könnte, was menschliche Entwickelung
ist, wie man sich anlehnen kann an
diesen Goethe.
Nun bin ich noch gefragt worden:
Wovon
soll der Arbeitslohn bezahlt werden,
wenn nicht durch den Erlös der Ware?
Über den Arbeitslohn zu
denken — es ist ja die Zeit so
vorgeschritten, daβ ich nur kurz
darauf eingehen kann ist eigentlich
recht interessant. Es ist merkwürdig,
wie nach und nach einzig und allein
das Wirtschaftsleben so stark
hypnotisierend gewirkt hat, daβ in der
Zeit, in der die Menschheit begann
sich der groβen Täuschung hinzugeben,
das sozialistische Programm eine
vollständige Umgestaltung erfuhr
gerade mit Bezug auf solche Dinge. Es
gehôrt zum interessantesten Studium
der modernen Arbeiterbewegung,
kennenzulernen die drei Programme: Das
Eisenacher Programm, das Gothaer, das
Erfurter Programm. Nimmt man die
Programme — bis zum Erfurter, das im
Jahre 1891 gefaβt worden ist so findet
man überall: Da ist noch ein
Bewuβtsein davon vorhanden, daβ aus
gewissen Rechts- und Staats- und
politischen Anschauungen heraus
gearbeitet werden soll. Daher findet
man als die zwei Hauptforderungen der
älteren Programme die Abschaffung des
Lohnes und die Herstellung gleicher
politischer Rechte. Das Erfurter
Programm aber ist ganz ein bloβes
Wirtschaftsprogramm, aber ein
politisierendes, wie ich heute
dargestellt habe. Da werden als die
Hauptforderungen aufgestellt:
überführung der Produktionsmittel in
die Gemeinverwaltung, in das
Gemeineigentum, und Produktion durch
die Gemeinschaft. Rein wirtschaftlich,
aber politisch gedacht, wird das
Programm festgelegt.
Man denkt so stark im
Sinne der heutigen
Gesellschaftsordnung, der heutigen
sozialen Ordnung, daβ
man in weitesten Kreisen überhaupt gar
nicht gewahr wird, wie der Lohn als
solcher ja in Wirklichkeit eine
soziale Unwahrheit ist. In
Wirklichkeit besteht das Verhältnis
so, daβ der
sogenannte Lohnarbeiter
zusammenarbeiter mit dem Leiter der
Unternehmung, und was stattfindet, ist
in Wirklichkeit eine
Auseinandersetzung — die nur kaschiert
wird durch allerlei täuschende
Verhältnisse, durch Machtverhältnisse
meistens und so weiter — über die
Verteilung des Erlöses. Wenn man
paradox sprechen wollte, so könnte man
sagen: Lohn gibt es ja gar nicht,
sondern Verteilung des Erlöses gibt es
— heute schon, nur daβ
in der Regel derjenige heute, der der
wirtschaftlich Schwache ist, sich bei
der Teilung übers Ohr gehauen findet.
Das ist das ganze. Es handelt sich
darum, hier nicht etwas, was nur auf
einem sozialen Irrtum beruht, auf die
Wirklichkeit zu übertragen. In dem
Augenblicke, wo die soziale Struktur
so ist, wie ich sie dargestellt habe
in meinem Buch: «Die Kernpunkte der
sozialen Frage», wird es durchsichtig
sein, wie ein Zusammenarbeiten besteht
zwischen dem sogenannten Arbeitnehmer
und Arbeitgeber, wie diese Begriffe
Arbeitnehmer und Arbeitgeber aufhören,
und wie ein Verteilungsverhältnis
besteht. Dann hat das Lohnverhältnis
überhaupt vollständig seine Bedeutung
verloren.
Dann aber darf nicht
mehr daran gedacht werden, die Arbeit
als solche zu bezahlen. Das ist
natürlich der andere Pol. Die Arbeit
wird einem Rechtsverhältnis - ich
werde morgen davon noch sprechen-
unterstellt; die Arbeit wird nach Maβ
und Art bestimmt im demokratischen
Zusammenleben, im Rechtsstaat. Die
Arbeit wird so, wie die Naturkräfte,
zur Grundlage der wirtschaftlichen
Ordnung, und das, was produziert wird,
wird nicht als Maβstab für irgendeine
Entlöhnung da sein.
Was da sein wird auf
dem Wirtschaftsboden, wird lediglich
die Bewertung der Leistung sein. Da
handelt es sich darum, kennenzulernen
das Fundament, gewissermaβen die
Urzelle des Wirtschaftslebens. Diese
Urzelle, ich habe sie höfter so
ausgesprochen, dass ich sagte: Im
wesentlichen müssen die Einrichtungen,
die ich heute geschildert habe, darauf
hinauslaufen, daβ durch die lebendige
Wirksamkeit der Assoziationen ein
jeder Mensch als Gleichwertiges für
das, was er erzeugt, das bekommt, was
ihn in den Stand setzt, seine
Bedürfnisse so lange zu befriedigen,
bis er ein gleiches Produkt wieder
erzeugt haben wird. Einfach
gesprochen: Erzeuge ich ein paar
Stiefel, so müssen durch die
Einrichtungen, die ich heute
geschildert habe, diese Stiefel so
viel wert sein, muβ ich so viel dafür
bekommen, als ich brauche, bis ich
wieder ein paar Stiefel angefertigt
habe.
Also es kann sich gar
nicht handeln um irgendwelche
Bestimmung des Lohnes für Arbeit,
sondern um die Bestimmung der
gegenseitigen Preise. Eingerechnet
muf3 natürlich sein alles, was
Invaliden-, Kranken-und so weiter
-Unterstützung ist, für
Kindererziehung und so weiter. Darüber
soll noch gesprochen werden. Es
handelt sich darum, daβ eine solche
soziale Struktur geschaffen werde,
wodurch wirklich die Leistung in den
Vordergrund geschoben wird, die Arbeit
aber bloβ auf ein Rechtsverhältnis
begründet werden kann, denn die kann
nicht anders geregelt werden, als daβ
der eine für den anderen arbeitet. Das
aber muβ auf dem Rechtsboden geregelt
werden: wie der eine für den anderen
arbeitet; das darf nicht auf dem
Marktboden der wirtschaftlichen
Verhältnisse stehen. Sie werden ja
morgen sehen, daβ diese Dinge durchaus
auch auf realer wirklicher Grundlage
stehen.
Dann werde ich
noch gefragt:
Wie sollen die
Ausgaben erfaβt werden?
Ja, das ist sehr
leicht, die Ausgaben zu erfassen. Man
kann sie nicht verbergen. Jedesmal,
wenn ich irgend etwas überführe in den
sozialen Prozess, kann es
selbstverständlich erfasst werden,
geradeso wie ein Brief erfaβt wird,
den mir die Post befördert, die es
auch nicht auβer acht lassen wird,
dafür die Postmarke mir abzufordern
und so weiter. Diese einzelnen,
speziellen Einrichtungen wer nur
darüber nachdenkt, der wird sie nicht
allzuschwierig finden.
Nun noch:
Wie verhalten sich
die landwirtschaftlichen
Kreditverhältnisse?
Es würde heute zu spät
werden, um auf diese Dinge einzugehen.
Ich werde im Lauf der nächsten
Vorträge gerade auf die
landwirtschaftlichen Verhältnisse in
anderen Zusammenhängen noch zu
sprechen kommen.
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