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Sujet:
QUATRIÈME CONFÉRENCE,
Dornach, 27 juillet 1922
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VIERTER VORTRAG,
Dornach, 27. Juli 1922 |
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Les
références : Rudolf Steiner Œuvres
complètes GA340 051-066 (2002)
27/07/1922 |
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Original
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Traducteur:
FG v. 01 06/06/2022
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Editeur: SITE |
Hier, j'ai choisi un exemple quelque peu flagrant,
aimerais-je dire, de la vie d'économie de peuple pour
illustrer quelque chose à ce sujet. Et il semble que
cet exemple quelque peu draconien ait cassé la tête à
l'un ou l'autre. C'est l'exemple du tailleur qui
travaille moins bon marché pour lui-même lorsqu'il
élabore son propre costume - lorsqu'il l'élabore le
costume pour lui-même -, que lorsqu'il achète son
propre costume justement aussi chez un marchand alors
qu'il fabrique sinon des costumes pour les autres.
Maintenant, c'est donc terriblement facile,
évidemment, de ne pas se débrouiller avec cet exemple
draconien ; car il est tout à fait naturel que
lorsqu’on calcule ainsi, on dise : Oui, le marchand
achète le costume au tailleur moins cher qu'il ne le
vend, puisqu'il doit quand même en tirer profit ; en
conséquence le tailleur doit donc évidemment payer
plus pour son costume, quand il l'achète afin de payer
le profit du marchand qu'il ne se tient chez lui-même.
Cela repose ainsi sur le plat de la main de faire
cette objection qu'elle doit donc venir ; néanmoins,
j'ai tout de suite choisi cet exemple draconien pour
illustrer comment on a besoin de ne pas penser selon
l'économie domestique par rapport à l'économie de
peuple actuelle, mais justement selon l'économie de
peuple - comme on a besoin de compter sur ce qui
apparait par la division du travail.
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01
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Ich habe gestern ein etwas krasses, möchte ich sagen,
Beispiel gewählt aus dem volkswirtschaftlichen Leben,
um daran etwas zu veranschaulichen. Und es scheint ja,
als ob dieses etwas drastische Beispiel dem einen oder
dem anderen etwas Kopfzerbrechen gemacht hätte. Das
ist das Beispiel von dem Schneider, der weniger billig
für sich arbeitet, wenn er seinen eigenen Anzug
verfertigt — wenn er den Anzug für sich selbst
verfertigt —, als wenn er sich, während er sonst
Anzüge für die anderen fabriziert, seinen eigenen
Anzug eben auch bei einem Händler kauft. Nun, es ist
ja furchtbar einfach, selbstverständlich, mit diesem
krassen Beispiel nicht zurechtzukommen; denn es ist
ganz natürlich, daß man, wenn man so rechnet, sagt:
Ja, der Händler kauft, da er doch etwas profitieren
muß, den Anzug billiger beim Schneider ein, als er ihn
verkauft; folglich muß dann selbstverständlich der
Schneider für seinen Anzug, wenn er ihn kauft, um den
Profit des Händlers mehr bezahlen, als er bei ihm
selbst zu stehen kommt. Es liegt so auf der flachen
Hand, diesen Einwand zu machen, daß er ja kommen muß;
dennoch habe ich gerade dieses krasse Beispiel
gewählt, um zu veranschaulichen, wie man nötig hat,
gegenüber der heutigen Volkswirtschaft eben nicht
hauswirtschaftlich zu denken, sondern eben
volkswirtschaftlich — wie man nötig hat, darauf zu
rechnen, was entsteht durch die Arbeitsteilung.
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Il ne s'agit donc pas que le tailleur, disons,
immédiatement après qu'il ait fini son costume,
maintenant, comparé au fait que quand il a vendu ce
costume à un marchand et en a alors racheté un autre
en retour, qu'il a perdu là quelque chose ; mais il
s'agit, si, quand le tailleur maintenant après un
temps, après un quelque temps, disons x, fait sa
facture, si maintenant, quand il s'est fait le propre
costume, quand il s'est fait le costume pour soi-même,
s'il est maintenant mieux à cela ou s'il est mieux à
cela, quand il a omis/s'est dispensé de faire ce
costume pour soi-même.
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02
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Es kommt ja nicht darauf an, daß der Schneider, sagen
wir, unmittelbar nachdem er mit seinem Anzug fertig
geworden ist, nun gegenüber der Tatsache, wenn er
diesen Anzug nun verkaufte an einen Händler und dann
einen anderen Anzug wieder zurückkaufte, daß er da
etwas verloren hat; sondern es kommt darauf an, ob,
wenn der Schneider nun nach einiger Zeit, nach
irgendeiner Zeit, sagen wir x, seine Rechnung macht,
ob er nun, wenn er sich den eigenen Anzug gemacht hat,
wenn er sich den Anzug für sich selbst gemacht hat, ob
er nun besser daran ist, oder ob er besser daran ist,
wenn er es unterlassen hat, diesen Anzug für sich
selbst zu machen.
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Quand notamment la division du travail fonctionne,
alors elle rend les produits bon marché de la manière
correcte; ils deviennent bon marché par la division du
travail, bon marché justement dans l'ensemble du
contexte/pendant d'économie de peuple. Et quand l'on
travaille alors contre la division du travail, ainsi
on exerce une pression sur les prix des produits
correspondants. Mais la pression sur les prix agit en
retour sur le processus d'économie de peuple. Avec
d'autres mots, le tailleur s'en tirera meilleur marché
avec le costume particulier/unique ; mais pour un tout
petit poste d'abord - mais si beaucoup de tailleurs le
font, ça se multiplie -, il exercera dans un certain
sens une pression sur le prix des vêtements. Ils
deviennent meilleur marché. Alors il devra aussi
donner les autres meilleur marché. Et il s’agit alors
seulement du temps après lequel il peut regarder dans
le bilan combien il a encaissé moins pour les autres
vêtements que ce qu'il aurait encaissé s'il n'avait
pas pressé le prix.
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03
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Wenn nämlich Arbeitsteilung wirkt, dann verbilligt
sie die Produkte in der richtigen Weise; sie werden
billiger durch die Arbeitsteilung, billiger eben im
ganzen volkswirtschaftlichen Zusammenhang. Und wenn
man dann gegen die Arbeitsteilung arbeitet, so bewirkt
man Preisdruck bei den entsprechenden Produkten. Der
Preisdruck wirkt aber im volkswirtschaftlichen Prozeß
zurück. Mit anderen Worten : der Schneider wird zwar
bei dem einzelnen Anzug billiger zurechtkommen; aber
er wird um einen ganz kleinen Posten zunächst — aber
wenn es viele Schneider tun, so multipliziert sich das
—, er wird in einem gewissen Sinn auf die Preise der
Kleider drücken. Die werden billiger. Dann muß er die
anderen auch billiger geben. Und es handelt sich dann
nur um die Zeit, nach der er nachschauen kann in der
Bilanz, wieviel er für die anderen Kleider weniger
eingenommen hat, als er eingenommen hätte, wenn er
nicht den Preis gedrückt hätte.
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Il ne s'agit pas de mélanger un peu la pensée
d'économie ménagère dans la chose. Je n'ai aussi pas
pensé que le tailleur n'aurait pas le droit ou ne
pourrait avoir le goût de fabriquer son propre costume
lui-même, mais il ne devrait seulement pas penser
qu'il s'en sortirait meilleur marché par là, mais il
lui reviendra plus cher. Il lui reviendra à se tenir
plus cher dans son bilan d'ensemble après un certain
temps. Cela fait toutefois moins de différence pour un
cas aussi draconien, parce que la différence par
laquelle le prix est pressé apparait en premier au
bout d'un très long temps. Il doit faire beaucoup
d'autres costumes afin de rendre efficace le petit
ratio de dépréciation. Mais à l'intérieur, il sera une
fois dans son bilan d'ensemble. C'est ce qui devrait
vous montrer que nous n'avons pas la permission de
penser si terriblement près quand on est confrontés à
un processus d'économie de peuple qui consiste
maintenant en un nombre incalculable de facteurs
interdépendants, de sorte que le phénomène
individuel/particulier est causé par un nombre
incalculable de facteurs interdépendants.
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04
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Es kommt nicht darauf an, ein wenig das
hauswirtschaftliche Denken einzumischen in die Sache.
Ich habe auch nicht gemeint, daß der Schneider nicht
das Recht hätte oder den Geschmack haben könnte, sich
seinen Anzug selbst zu fabrizieren; aber er soll nur
nicht meinen, daß er dadurch billiger zurechtkomme,
sondern er wird ihm teurer zu stehen kommen. Er kommt
ihm teurer zu stehen in seiner Gesamtbilanz nach
einiger Zeit. Es macht allerdings insofern weniger aus
für einen solchen krassen Fall, weil die Differenz, um
die der Preis gedrückt wird, erst nach einer sehr
langen Zeit hervortritt. Er muß sehr viele andere
Anzüge machen, um die kleine Billigkeitsquote wirksam
zu machen. Aber drinnen wird sie einmal sein in seiner
Gesamtbilanz. Das ist dasjenige, was Ihnen zeigen
soll, daß man durchaus nicht so, ich möchte sagen,
furchtbar nahe denken darf, wenn man einem
volkswirtschaftlichen Prozeß gegenübersteht, der nun
in einer unermeßlich großen Anzahl von
ineinandergreifenden Faktoren besteht, so daß die
einzelne Erscheinung von einer unermeßlich großen
Anzahl von ineinandergreifenden Faktoren bewirkt wird.
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Vous serez, naturellement, immédiatement pris dans
une calamité de pensée d'économie de peuple, quand
vous rattachez seulement vos pensées à ce qui,
aimerais-je dire, repose dans le voisinage de ceux qui
font l'économie/gèrent. Par cela vous ne vous en
sortez absolument pas avec la compréhension du
processus d'économie de peuple. Vous devez apprendre à
saisir l'ensemble de l'organisme social, et considérer
l'ensemble, conduit finalement à ce qu'on est obligé
de donner des tels exemples draconiens, qui ne sont
pas vraiment remarquables dans la journée, mais
peut-être très remarquables dans la décennie.
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05
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Sie kommen natürlich sofort in eine Kalamität des
volkswirtschaftlichen Denkens hinein, wenn Sie Ihre
Gedanken nur an das anknüpfen, was, möchte ich sagen,
in der Nachbarschaft der Wirtschaftenden liegt.
Dadurch kommen Sie absolut nicht mit dem Begreifen des
volkswirtschaftlichen Prozesses zurecht. Sie müssen
die Gesamtheit des sozialen Organismus ins Auge fassen
lernen, und die Gesamtheit angesehen, führt zuletzt
dazu, daß man genötigt ist, solche krasse Beispiele,
die eigentlich im Tag nicht, aber vielleicht im
Jahrzehnt sehr stark bemerkbar werden, anzuführen.
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Il s'agit absolument que l'on parte de tels exemples,
j'aimerais dire, à moitié absurdes, pour passer
progressivement de la pensée à laquelle on est habitué
à une pensée qui embrasse l'étendu, et en ce qu'elle
embrasse l'étendu, perd davantage les contours
tranchants et vient par là dans la situation de saisir
le fluctuant. Ce qui repose dans le voisinage/la
proximité immédiate, on peut le saisir dans des
contours tranchants ; mais ce dont il s'agit, est, de
remporter/conquérir la façon de voir ; et la façon de
voir/la vision, elle livre absolument des idées
mobiles particulières. Elles ne coïncident pas avec ce
que sont les idées gagnées dans le voisinage.
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06
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Es handelt sich durchaus darum, daß man von solchen,
ich möchte sagen, halb absurden Beispielen ausgeht, um
allmählich sein Denken von dem Denken, das man gewohnt
ist, überzuführen zu einem Denken, das Weites umfaßt,
und dadurch, daß es Weites umfaßt, mehr die scharfen
Konturen verliert und dadurch in die Lage kommt, das
Fluktuierende zu fassen. Dasjenige, was in
unmittelbarer Nähe liegt, kann man in scharfe Konturen
fassen; aber dasjenige, um was es sich handelt, ist,
die Anschauung zu erringen; und die Anschauung, die
liefert durchaus bewegliche einzelne Ideen. Die decken
sich nicht mit demjenigen, was die in der
Nachbarschaft gewonnenen Ideen sind.
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J'aimerais vous mentionner cela en particulier
aujourd'hui, afin que, quand nous partons de choses
relativement plus simples, vous voyiez quand même
comment le processus d'économie de peuple se compose
progressivement des facteurs les plus divers.
Aujourd'hui, pour arriver de plus en plus à pouvoir
saisir le problème du prix, nous voulons conduire
devant les yeux le processus d'économie de peuple
comme tel d'un certain point de vue.
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07
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Das möchte ich insbesondere Ihnen heute erwähnen,
damit Sie, wenn wir jetzt von verhältnismäßig
einfacheren Dingen ausgehen, doch sehen, wie der
volkswirtschaftliche Prozeß sich allmählich aus den
mannigfaltigsten Faktoren zusammensetzt. Wir wollen
nämlich heute einmal, um immer mehr und mehr
dahinzukommen, das Preisproblem erfassen zu können,
wir wollen den volkswirtschaftlichen Prozeß als
solchen von einem gewissen Gesichtspunkt aus vor Augen
führen.
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Nous voulons le commencer aujourd'hui avec la nature.
Tout d'abord, le travail humain doit commencer à la
nature, transformer les produits de la nature, ainsi
qu'alors ce produit transformé de la nature, ce
produit de la nature transformé par le travail humain,
obtient une valeur d'économie de peuple dans
l'expression du travail humain sur le produit naturel.
Et dans l'économie de peuple, on n'a maintenant pas
une fois à faire avec la substance. Comme telle,
celle-ci n'a aucune valeur d'économie de peuple. Le
charbon, qui se trouve encore sous terre dans la mine
en tant que substance charbon, n'a aucune valeur
d'économie de peuple et ne reçoit aussi aucune valeur
d'économie de peuple quand maintenant elle passe de la
mine à l'appartement, dans la pièce de celui qui
chauffe. Ce qui rend la substance du charbon valeur,
c'est le travail qui lui a été imprimé, donc ce qui a
dû être fait pour l'extraire, aussi déjà pour préparer
la mine, pour transporter le charbon, et ainsi de
suite. Tout ce qui est travail humain imprimé à la
substance du charbon lui donne en premier lieu sa
valeur d'économie de peuple. Et c'est seulement avec
cela que nous avons à faire dans l'économie de peuple.
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08
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Wir wollen ihn heute beginnen mit der Natur. Zunächst
muß die menschliche Arbeit ja bei der Natur einsetzen,
die Naturprodukte verwandeln, so daß dann dieses
verwandelte Naturprodukt, dieses durch die menschliche
Arbeit verwandelte Naturprodukt, im Aufdrücken der
menschlichen Arbeit auf das Naturprodukt einen
volkswirtschaftlichen Wert erhält. Und in der
Volkswirtschaft hat man es nun einmal nicht mit der
Substanz zu tun. Diese als solche hat keinen
volkswirtschaftlichen Wert. Die Kohle, die noch im
Bergwerk unter der Erde liegt als Kohlensubstanz, hat
keinen volkswirtschaftlichen Wert, bekommt auch keinen
volkswirtschaftlichen Wert, wenn sie nun wandert vom
Bergwerk in die Wohnung, in das Zimmer desjenigen, der
einheizt. Dasjenige, was die Substanz der Kohle zum
Wert macht, das ist die aufgeprägte Arbeit, also
dasjenige, was getan werden mußte, um die Kohle zutage
zu fördern, auch schon um das Bergwerk
zurechtzumachen, um die Kohle zu verfrachten und so
weiter. Alles dasjenige, was der Substanz der Kohle
aufgeprägte menschliche Arbeit ist, gibt ihr erst den
volkswirtschaftlichen Wert. Und nur mit diesem hat man
es in der Volkswirtschaft zu tun.
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Vous ne pouvez saisir aucun phénomène d'économie de
peuple si vous ne partez pas de telles idées. Mais
maintenant, en ce qu'ainsi du travail humain sera
appliqué à la nature, nous entrons, lors du pousser
plus loin du développement d'économie de peuple,
justement dans la division du travail, dans la
division du travail qui apparait parce que des humains
travaillent ensemble/collaborent, travaillent ensemble
à un quelque fait significatif pour l'économie de
peuple.
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09
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Sie können keine volkswirtschaftliche Erscheinung
fassen, wenn Sie nicht von solchen Ideen ausgehen. Nun
aber, indem so die menschliche Arbeit auf die Natur
angewendet wird, kommen wir ja beim Weiterrücken der
volkswirtschaftlichen Entwickelung eben in die
Arbeitsteilung hinein, in die Arbeitsteilung, die
dadurch entsteht, daß Menschen zusammenwirken, bei
irgendeiner für die Volkswirtschaft bedeutsamen
Tatsache zusammenwirken.
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Prenons un exemple très simple. Supposons une fois
que dans une région, un certain nombre d'humains
auraient exercé une certaine activité en ce que ce
nombre d'humains aurait fait un parcours de leurs
maisons, donc disons de différentes localités à un
lieu de travail commun, à un lieu d'extraction d'un
produit de la nature. Supposons que nous serions
encore dans une époque très primitive, qu'il n'y a pas
d'autre moyen pour les travailleurs que de
marcher/d'aller à pied jusqu'à l'endroit où ils
travaillent dans la nature. Maintenant, quelqu'un
vient à construire un chariot et a utiliser des
chevaux pour tirer le chariot. Là, ce qui devait
d'abord être fait seul par chacun, cela sera
maintenant fait par chacun en pendant avec celui qui
fournit maintenant le chariot. Un travail sera divisé.
Ce qui sera exécuté, ce qui est du travail au sens de
l'économie de peuple sera partagé. La chose se joue
alors de telle sorte que chacun qui utilise le chariot
a maintenant à payer un certain quota à
l'exploitant/entrepreneur du chariot.
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Nehmen wir ein ganz einfaches Beispiel. Nehmen wir
einmal an, in einer Gegend hätte eine Anzahl von
Menschen eine bestimmte Tätigkeit verrichtet, indem
diese Anzahl von Menschen einen Gang verrichtet hätten
von ihren Häusern, also, sagen wir, von verschiedenen
Ortschaften zu einer gemeinsamen Arbeitsstätte, zu
einer Förderungsstätte von irgendwelchen
Naturprodukten. Nehmen wir an, wir wären noch in einer
sehr primitiven Zeit, es gäbe noch kein anderes
Mittel, als daß die Arbeiter, um zu der Stätte zu
kommen, wo sie die Natur bearbeiten, zu Fuß gehen. Nun
kommt einer darauf, einen Wagen zu bauen und Pferde zu
benützen, um den Wagen zu ziehen. Da wird dasjenige,
was zuerst allein verrichtet werden mußte von jedem,
das wird nun von jedem verrichtet im Zusammenhang mit
demjenigen, der den Wagen nun stellt. Es wird eine
Arbeit geteilt. Dasjenige, was verrichtet wird, was im
volkswirtschaftlichen Sinne Arbeit ist, wird geteilt.
Es spielt sich ja dann die Sache so ab, daß ein
jeglicher, der den Wagen benutzt, nun an den
Wagenunternehmer eine bestimmte Quote zu bezahlen hat.
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Mais avec cela celui qui a inventé le chariot est
plongé dans la catégorie des capitalistes. Le chariot
est désormais un véritable capital pour l'humain
concerné. Vous verrez, là où vous voudrez chercher,
que dans une certaine mesure le point d'apparition du
capital repose toujours dans la division du travail,
l'articulation du travail. Mais par quoi le chariot
a-t-il été inventé ? Il a été inventé par l'esprit. Et
chacun de tels processus consiste en ce que l'esprit
sera appliqué sur le travail, en ce que le travail est
pénétré par l'esprit en une quelque relation. Donc du
travail pénétré d'esprit, c'est ce qui survient au
cours de la division du travail. Tout d'abord, nous
n'avons affaire à rien d'autre qu'à un travail
spiritualisé quand nous voyons du capital
surgir/apparaitre au cours de la division du travail.
La première phase du capital consiste en fait toujours
en ce que le travail sera organisé, articulé et ainsi
de suite à partir l'esprit, tandis qu'autrefois
seulement à partir de la nature.
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Damit aber ist derjenige, der den Wagen erfunden hat,
in die Kategorie des Kapitalisten eingetaucht. Der
Wagen ist für den betreffenden Menschen jetzt
richtiges Kapital. Sie werden, wo Sie suchen wollen,
sehen, daß gewissermaßen der Entstehungspunkt des
Kapitals immer in der Arbeitsteilung,
Arbeitsgliederung liegt. Aber wodurch ist der Wagen
erfunden worden? Er ist eben durch den Geist erfunden
worden. Und jeglicher solcher Vorgang besteht darin,
daß der Geist auf die Arbeit angewendet wird, daß die
Arbeit durch den Geist in irgendeiner Beziehung
durchdrungen wird. Also durchgeistigte Arbeit, das ist
dasjenige, was im Verlauf der Arbeitsteilung auftritt.
Wir haben es zunächst mit nichts anderem zu tun als
mit durchgeistigter Arbeit, wenn wir im Verlaufe der
Arbeitsteilung Kapital entstehen sehen. Die erste
Phase des Kapitals besteht eigentlich immer darinnen,
daß vom Geist heraus, während früher nur von der Natur
heraus, jetzt vom Geist heraus die Arbeit organisiert,
gegliedert und so weiter wird.
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Il est déjà nécessaire que le capital, la formation
de capital, soit clairement regardé de ce point de vue
; car c'est seulement de ce point de vue que l'on peut
comprendre la fonction du capital dans le processus
d'économie de peuple. L'apparition de capital est
toujours la manifestation d'accompagnement de la
division du travail, de l'articulation du travail.
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Es ist schon notwendig, daß das Kapital, die
Kapitalbildung, von diesem Gesichtspunkt aus klar
angesehen wird; denn nur von diesem Gesichtspunkt kann
man verstehen die Funktion des Kapitals im
volkswirtschaftlichen Prozeß. Kapitalentstehung ist
immer die Begleiterscheinung der Arbeitsteilung,
Arbeitsgliederung.
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Mais avec cela, quelque chose se détache de l'échange
direct dans lequel l'humain est avec la nature
lorsqu'il élabore/travaille la nature. Aussi longtemps
que l'on ait à faire seulement avec l'élaboration de
la nature, aussi longtemps nous pouvons seulement
parler de produits de la nature qui ont été modifiés
par le travail humain et par cela ont reçu une valeur;
mais à l'instant où nous parlons de ce que l'esprit
organise le travail, le travail en tant que tel - car
cet humain, n'est-ce pas, qui crée là du capital dans
son chariot, il lui est fondamentalement sans
importance à quel but, à quelle fin il conduit ses
gens d'un endroit à un autre - trouve une émancipation
de la nature. Ici, partout, j'aimerais dire, la nature
est encore transparente par le travail humain. Quand
aussi le charbon en tant que substance ne forme pas la
valeur, mais ce qui est imprimé sur le charbon en tant
que travail humain, ainsi le produit naturel brille
quand même justement à travers, à travers le travail
humain. C'est l'un des côtés de l'émergence de valeurs
économiques.
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Damit aber löst sich etwas los von dem unmittelbaren
Verkehr, in dem der Mensch ist mit der Natur, wenn er
die Natur bearbeitet. Solange man es nur zu tun hat
mit der Bearbeitung der Natur, solange können wir nur
sprechen von Naturprodukten, die durch die menschliche
Arbeit verändert worden sind und dadurch einen Wert
bekommen haben; in dem Augenblick aber, wo wir davon
sprechen, daß der Geist die Arbeit organisiert, die
Arbeit als solche — denn diesem Menschen, nicht wahr,
der da Kapital schafft in seinem Wagen, dem ist es ja
im Grunde genommen gleichgültig, zu welchem Zweck, zu
welchem Ziel er seine Leute von einem Ort zum andern
führt —, findet eine Emanzipation statt von der Natur.
Hier überall ist, ich möchte sagen, noch
durchscheinend durch die menschliche Arbeit die Natur.
Wenn auch die Kohle als Substanz nicht den Wert
bildet, sondern dasjenige, was als menschliche Arbeit
der Kohle aufgeprägt ist, so scheint doch eben das
Naturprodukt durch, durch die menschliche Arbeit. Das
ist die eine Seite der Entstehung wirtschaftlicher
Werte.
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L'autre côté est celui-ci : que maintenant ce qui
sera organisé à partir de l'esprit au travail, que
cela s'émancipe complètement de la nature, que cela se
décolle/se coupe complètement de la nature. Nous
arrivons enfin à ce que nous avons les capitalistes, à
qui peut être complètement indifférent la façon dont
le travail qu'il articule se situe par rapport à la
nature. Cela peut avoir lieu/se passer très
simplement. Il peut venir à cet homme : pendant qu'il
a jusqu'à présent conduit des gens de divers endroits,
disons à des travaux agricoles, il laisse maintenant,
s'il le préfère en emportant son chariot là-bas, aller
dans un autre endroit, conduire des gens à un travail
complètement différent. Vous trouverez que dans
l'application du spirituel, ce qui est division
humaine du travail s'émancipe absolument de la base de
la nature. Mais vous avez aussi, donné avec cela,
l'émancipation du capital de la base de la nature.
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Die andere Seite ist diese, daß sich nun dasjenige,
was vom Geist aus an der Arbeit organisiert wird, daß
sich das von der Natur vollständig emanzipiert, daß es
sich vollständig abhebt von der Natur. Wir kommen
endlich dazu, daß wir den Kapitalisten haben, dem ganz
gleichgültig sein ,kann, wie die Arbeit, die er
gliedert, zu der Natur steht. Es kann ja sehr einfach
stattfinden. Es kann diesem Mann einfallen: während er
bisher Leute geführt hat von den verschiedensten
Orten, sagen wir zu irgendeiner Ackerarbeit, läßt er
nun, wenn ihm das besser gefällt, indem er seinen
Wagen da wegnimmt, Leute an einen anderen Ort, zu
einer ganz anderen Arbeit fahren. Sie werden finden,
daß sich in der Anwendung des Geistigen durchaus
emanzipiert dasjenige, was menschliche
Arbeitsgliederung ist, von der Naturgrundlage. Damit
haben Sie aber auch die Emanzipation des Kapitals
gegeben von der Naturgrundlage.
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On a donc établi, de différents points de vue
d'économie de peuple, la vue que le capital serait de
la force de travail stockée/sauvegardée ; mais c'est
en réalité seulement une définition qui, parce que la
chose est fluctuante, convient seulement pour un
certain stade. Tant que l'on est lié dans le sens le
plus strict à une quelque sorte de travail avec
l'organisation spirituelle, la nature luira encore à
travers. À l'instant où l'on s'émancipe, où l'on ne
pense qu'à la manière dont ce que l'on gagne peut être
rendu fructueux par l'application de l'esprit, à
l'instant on constate/remarque aussi, comment dans la
masse de capital dont on dispose alors, le travail
s'estompe progressivement, disparait dans son
caractère particulier.
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Man hat ja von verschiedenen volkswirtschaftlichen
Standpunkten aus die Ansicht aufgestellt, daß Kapital
aufgespeicherte Arbeitskraft wäre; aber es ist dieses
eigentlich nur eine Definition, die, weil die Sache
fluktuierend ist, eigentlich nur für ein gewisses
Stadium paßt. Solange man im engsten Sinn mit der
geistigen Organisation an irgendeine Arbeitsart
gebunden ist, wird noch die Natur durchschimmern. In
dem Augenblick, wo man sich emanzipiert, wo man
nurmehr an das denkt, wie man dasjenige, was man
gewinnt, durch die Anwendung des Geistes fruchtbar
macht, in dem Augenblick merkt man auch, wie in der
Kapitalmasse, die man dann hat, die Arbeit allmählich
undeutlich wird, in ihrer besonderen Eigenart
verschwindet.
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Supposons que vous ayez capitalisé pendant un certain
temps et que vous ayez ainsi acquis par cela un
capital qui travaille maintenant vraiment selon
l'économie de peuple. Celui qui a en premier un seul
chariot peut continuer à travailler selon l'économie
de peuple en achetant deux chariots et ainsi de suite.
Son capital travaille selon l'économie de peuple. Mais
au fond est de la nature dans le travail là, plus rien
dedans. Quand vous considérez un mineur, il y a
beaucoup d'elle dedans ; mais dans le capital, vous
voyez toujours moins de travail dedans ; et si vous
supposez même que l'homme laisse maintenant le tout à
quelqu'un d'autre, alors il se peut que, par la
transition/le transfert, sous conditions/circonstances
au second, il s'agisse justement seulement que ce qui
s'est passé là par l'esprit, fructifie ; mais la
nature du travail qui sera organisé là lui sera au
plus indifférente. Cela devrait/doit absolument
seulement être organisé.
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Nehmen Sie an, Sie haben eine Zeitlang kapitalisiert
und haben sich dadurch Kapital erworben, das nun
wirklich volkswirtschaftlich arbeitet. Einer, der erst
einen Wagen hat, kann volkswirtschaftlich
weiterarbeiten, indem er zwei Wagen erwirbt und so
weiter. Sein Kapital arbeitet volkswirtschaftlich.
Aber im Grunde ist von der Natur der Arbeit da nichts
mehr darinnen. Wenn Sie einen Bergarbeiter ansehen, da
ist von ihr sehr viel darinnen; aber in dem Kapital
sehen Sie immer weniger von der Arbeit darinnen; und
wenn Sie gar annehmen, der Mann überläßt nun einem
anderen die ganze Sache, dann wird es durch den
Übergang unter Umständen dem zweiten eben nur darauf
ankommen, daß sich dasjenige, was da durch den Geist
geschehen ist, fruktifiziert; aber höchst gleichgültig
wird ihm die Natur der Arbeit sein, die da organisiert
wird. Es soll überhaupt nur organisiert werden.
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Avec d'autres mots : Nous avons là un véritable
processus d'abstraction. C'est entièrement la même
chose que ce que l'on réalise sinon intérieurement
dans la pensée logique dans l'abstraction. Là on
l'accomplit extérieurement. La particularité
disparait, la particularité de la substance naturelle
et la particularité des sortes de travail,
progressivement, dans les masses de capital. Quand
nous suivons ensuite le processus d'économie de peuple
plus loin, alors vous verrez que déjà rien n'est plus
là de ce qui était là de travail organisé. Car si vous
prenez le progrès du processus d'économie de peuple,
alors cela se présentera quelque peu ainsi : l'homme
qui a construit le chariot, il a encore imprimé son
esprit au moins à toute cette invention ; mais
maintenant, il gagne, il gagne plus en valeur dont il
peut seulement venir à bout seul n'importe comment.
Oui, ces valeurs devraient-elles rester inutilisées
pour l'économie de peuple ? Elles ne devraient pas le
rester. Il doit en venir un autre qui puisse
maîtriser/venir à bout de ces valeurs avec une autre
sorte de spiritualité, qui valorise maintenant ces
valeurs d'une manière entièrement différente.
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Mit anderen Worten: Wir haben da einen realen
Abstraktionsprozeß. Es ist ganz dasselbe, was man
sonst im logischen Denken in der Abstraktion innerlich
vollzieht. Das vollzieht man da äußerlich. Die
Besonderheit verschwindet, die Besonderheit der
Natursubstanz und die Besonderheit der Arbeitsarten,
in den Kapitalmassen nach und nach. Wenn wir den
volkswirtschaftlichen Prozeß dann weiter verfolgen,
dann werden Sie sehen, daß schon gar nichts mehr da
ist von dem, was ursprünglich da an Arbeit organisiert
worden ist. Denn nehmen Sie den Fortschritt des
volkswirtschaftlichen Prozesses, dann wird er sich
etwa so darstellen: Der Mann, der den Wagen gebaut
hat, der hat noch seinen Geist wenigstens dieser
ganzen Erfindung aufgeprägt; aber nun verdient er, er
verdient mehr an Wert, als er nur irgendwie selbst
bewältigen kann. Ja, sollen das jetzt für die
Volkswirtschaft unbenützte Werte bleiben? Das sollen
sie nicht bleiben. Es muß ein anderer kommen, der
diese Werte mit einer anderen Art von Geistigkeit
bewältigen kann, der diese Werte in einer ganz anderen
Weise nun verwertet.
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Ainsi, vous pouvez vous représenter : ce qui a été
créé là comme valeurs par l'inventeur du chariot, cela
passerait après un certain temps - donc ce qui est
ressorti comme une fructification - passerait à un
forgeron d'art. Le forgeron d'art a l'esprit pour
réaliser une forge d'art ; mais il ne peut rien
commencer avec l'esprit au début. Mais l'autre a déjà
créé des valeurs économiques. Il doit les transférer
sur celui-là. Là, vous avez déjà le processus
d'abstraction le plus complet dans la réalité dehors.
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So können Sie sich vorstellen: Dasjenige, was da an
Werten geschaffen worden ist durch den Wagenerfinder,
das ginge über nach einiger Zeit — also dasjenige, was
als Fruktifizierung herausgekommen ist —, ginge über
an einen Kunstschmied. Der Kunstschmied hat den Geist,
eine Kunstschmiede aufzuführen; aber mit dem Geist
kann er zunächst nichts anfangen. Aber der andere hat
schon wirtschaftliche Werte geschaffen. Die muß er
übertragen auf diesen. Da haben Sie schon den
vollständigsten Abstraktionsprozeß in der Realität
draußen.
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C'est pourquoi il est aussi nécessaire, pour
qu'absolument la chose puisse continuer - elle ne
pourrait sinon pas continuer, car comment le
constructeur de chariot devrait-il transférer ses
valeurs au forgeron d'art ? -que quelque chose est là
qui se comporte comme une abstraction à la chose
particulière qui vit là dans l'économie de peuple. Et
c'est tout d'abord de l'argent. L'argent n'est rien
d'autre que la valeur exprimée extérieurement qui est
dégagée par la division du travail et qui sera
transférée de l'un sur l'autre.
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19
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Daher ist es auch notwendig, damit die Sache
überhaupt weitergehen kann — sie könnte sonst nicht
weitergehen, denn wie soll der Wagenbauer dem
Kunstschmied seine Werte übertragen? —, daß etwas da
ist, was sich zu dem Besonderen, das da in der
Volkswirtschaft lebt, wie ein Abstraktes verhält. Und
das ist zunächst das Geld. Das Geld ist nichts anderes
als der äußerlich ausgedrückte Wert, der durch
Arbeitsteilung erwirtschaftet ist und der von einem
auf den anderen übertragen wird.
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Nous voyons donc le capitalisme apparaitre dans la
poursuite de la division du travail, nous voyons
apparaitre, et d'ailleurs assez rapidement, l'économie
financière/de l'argent dans la poursuite du
capitalisme. L'argent est une abstraction complète
vis-à-vis d'événements économiques particuliers. Quand
vous avez cinq francs dans la poche, vous pouvez vous
acheter pour cela aussi bien un déjeuner et un dîner,
comme vous pouvez vous acheter une pièce de costume.
Pour l'argent, c'est insignifiant, ce qui sera acquis
pour cela, ce contre quoi il s'échange dans le
processus d'économie de peuple. L'argent est
l'absolument égal/indifférent pour les facteurs
particuliers d'économie de peuple, pour autant qu'ils
sont encore influencés par la nature. Mais c'est
pourquoi l'argent devient l'expression, la prise en
main, le moyen pour l'esprit, pour intervenir dans
l'organisme d'économie de peuple qui se tient dans la
division du travail.
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20
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Wir sehen also im Verfolg der Arbeitsteilung den
Kapitalismus auftreten, wir sehen im Verfolg des
Kapitalismus, und zwar ziemlich bald, auftreten die
Geldwirtschaft. Das Geld ist gegenüber den besonderen
wirtschaftlichen Geschehnissen ein vollständiges
Abstraktum. Wenn Sie fünf Franken in der Tasche haben,
können Sie sich dafür ebensowohl ein Mittagsmahl
kaufen und ein Abendbrot, wie Sie sich einen
Anzugsteil kaufen können. Für das Geld ist es
irrelevant, was dafür erworben wird, gegen was es sich
im volkswirtschaftlichen Prozeß austauscht. Das Geld
ist das für die einzelnen Volkswirtschaftsfaktoren,
insofern sie noch von der Natur beeinflußt sind,
absolut Gleichgültige. Deshalb wird das Geld aber der
Ausdruck, die Handhabe, das Mittel für den Geist, um
einzugreifen in den volkswirtschaftlichen Organismus,
der in der Arbeitsteilung steht.
|
Sans que de l'argent soit créé, ce n'est absolument
pas possible, que l'esprit intervienne dans
l'organisme d'économie de peuple lorsque nous parlons
de la division du travail. Ainsi nous pouvons dire :
là ce qui est à l'origine ensemble dans l'état
d'économie de peuple, devient ce que chaque individu
élabore dans son égoïsme, ce sera
répandu/étalé/distribué sur la totalité. - C'est donc
ainsi dans la division du travail. Dans le capital,
les particularités seront à nouveau rassemblées en un
processus d'ensemble. La formation de capital est une
synthèse, absolument une synthèse. Ainsi, celui qui
est ainsi apparu comme un formateur de capital, qui
par la nécessité de l'apparition de l'argent peut
précisément transformer son capital en capital
d'argent, il devient prêteur pour celui qui n'a rien
d'autre que l'esprit. Celui-là reçoit l'argent. C'est
le représentant correct des valeurs économiques
réunies par l'esprit.
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21
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Ohne daß das Geld geschaffen wird, ist es überhaupt
nicht möglich, daß der Geist eingreift in den
volkswirtschaftlichen Organismus, wenn wir von der
Arbeitsteilung sprechen. So können wir sagen : Da wird
dasjenige, was ursprünglich zusammen ist im
volkswirtschaftlichen Zustand, was jeder einzelne in
seinem Egoismus erarbeitet, das wird verteilt auf die
Gesamtheit. - So ist es ja in der Arbeitsteilung. Im
Kapital werden Einzelheiten wiederum zusammengefaßt zu
einem Gesamtprozeß. Die Kapitalbildung ist eine
Synthese, durchaus eine Synthese. So wird derjenige,
der in dieser Art als Kapitalbildner aufgetreten ist,
der durch die Notwendigkeit des Auftretens des Geldes
eben sein Kapital in Geldkapital verwandeln kann, der
wird zum Leiher für einen, der nichts anderes hat als
Geist. Der empfängt das Geld. Das ist der richtige
Repräsentant von durch den Geist aufgebrachten
wirtschaftlichen Werten.
|
Nous devons absolument examiner la chose selon
l'économie de peuple. L'argent aimerait être une chose
encore si terrible sur le plan religieux et éthique;
dans le sens d'économie de peuple, l'argent est
l'esprit qui est efficace dans l'organisme d'économie
de peuple. Ce n'est pas autre chose. Donc, dans le
processus d'économie de peuple, l'argent doit être
créé, afin qu'absolument l'esprit puisse trouver son
progrès à partir du point de départ où il se tourne
seulement à la nature. Il resterait à l'état primitif
s'il s'appliquait seulement sur la nature. Il doit,
pour maintenant aussi verser à nouveau les conquêtes
du spirituel dans le processus d'économie de peuple,
se réaliser comme argent. L'argent est de l'esprit
réalisé. Mais le concret revient bientôt de nouveau
dedans. Tout d'abord, l'argent est une abstraction
dont on peut dire : c'est égal que je m'achète une
partie du costume pour cinq francs ou que je me laisse
couper les cheveux - il n'y a donc pas besoin que ce
soit une seule coupe de cheveux -, je pense, pour
l'argent c'est égal. Mais en ce que l'argent revient à
la personne de l'humain et avec cela à l'esprit de
l'humain, à ce moment l'argent devient celui qui à
nouveau est actif selon l'économie de peuple dans son
fait concret particulier. Cela signifie que l'esprit
est actif selon l'économie de peuple dedans dans
l'argent.
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22
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Wir müssen die Sache durchaus volkswirtschaftlich
betrachten. Es mag religiös und ethisch das Geld eine
noch so schlimme Sache sein; im volkswirtschaftlichen
Sinn ist das Geld der in dem volkswirtschaftlichen
Organismus drinnen wirksame Geist. Es ist nicht
anders. Also, es muß im volkswirtschaftlichen Prozeß
das Geld geschaffen werden, damit überhaupt der Geist
seinen Fortschritt findet von dem Ausgangspunkt aus,
wo er sich nur an die Natur wendet. Er würde in
primitiven Zuständen bleiben, wenn er sich nur auf die
Natur anwenden würde. Er muß, um nun auch die
Errungenschaft des Geistigen in den
volkswirtschaftlichen Prozeß wiederum hineinzugießen,
als Geld sich realisieren. Geld ist realisierter
Geist. Es kommt aber gleich wieder das Konkrete
herein. Zunächst ist das Geld ein Abstraktum, von dem
man sagen kann : Es ist gleich, ob ich mir um fünf
Franken einen Teil des Anzugs kaufe oder die Haare
schneiden lasse — es braucht ja nicht ein einziger
Haarschnitt zu sein —, ich meine, für das Geld ist es
gleichgültig. Aber indem das Geld an die Person des
Menschen und damit an den Geist des Menschen
zurückkommt, in dem Moment wird das Geld dasjenige,
was nun wiederum in seiner konkreten besonderen
Tatsache volkswirtschaftlich tätig ist. Das heißt :
der Geist ist in dem Geld drinnen volkswirtschaftlich
tätig.
|
Mais là, un rapport très particulier apparait
maintenant. Celui qui a tout d'abord acquis l'argent,
il devient prêteur, créancier. L'autre, qui reçoit
l'argent, qui a seulement l'esprit, devient débiteur.
Là, vous avez maintenant le rapport entre deux
humains. Le même rapport pourra donc aussi être
provoqué par ce que les prêteurs sont maintenant un
nombre d'humains qui donnent justement leurs surplus à
l'un, de sorte qu'il effectue maintenant une synthèse
encore plus élevée par son esprit ; mais il reste le
débiteur. Celui-ci travaille absolument sur le
terrain/sol, qui s'est maintenant donc émancipé de
part en part de la base de nature, car même ce qu'il
reçoit encore des premiers capitalistes, lui est donc
absolument un rien ; il doit donc le rendre après un
quelque temps, cela ne lui appartient donc pas. - Il
travaille en fait seulement d'un côté selon l'économie
de peuple comme débiteur, et de l'autre côté, il
répond/est responsable selon l'économie de peuple
comme créateur spirituel. C'est absolument même
peut-être un des rapports les plus sains, nous devons
en tenir particulièrement compte dans la question
sociale, lorsqu'un travailleur spirituel travaille
pour la collectivité par ce que la collectivité lui
donne aussi - car pour lui c'est la collectivité -
l'argent pour cela. Nous verrons encore comment
possession et propriété et ainsi de suite jouent
là-dedans. Ici il s'agit seulement de suivre le
processus d'économie de peuple. C'est tout à fait égal
que vous saisissiez le prêteur comme le propriétaire
ou non et que vous saisissiez le débiteur ainsi que le
saisi ou non la jurisprudence. Il s'agit, pour nous
maintenant, de comment le processus d'économie de
peuple se déroule.
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23
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Da entsteht nun aber ein ganz besonderes Verhältnis.
Derjenige, der das Geld zunächst erworben hat, der
wird zum Leiher, zum Gläubiger. Der andere, der das
Geld bekommt, der nur den Geist hat, wird zum
Schuldner. Da haben Sie jetzt das Verhältnis zwischen
zwei Menschen. Dasselbe Verhältnis kann ja auch
dadurch herbeigeführt werden, daß nun die Beleiher
eine Anzahl von Menschen sind, die dem einen eben ihre
Überschüsse geben, so daß er nun noch eine höhere
Synthese bewirkt durch seinen Geist; aber er bleibt
der Schuldner. Dieser arbeitet durchaus auf dem Boden,
der sich nun also durch und durch emanzipiert hat von
der Naturgrundlage, denn selbst dasjenige, was er noch
bekommt von den ersten Kapitalisten selbst, ist ja bei
ihm überhaupt ein Nichts; das muß er ja wieder
zurückgeben nach einiger Zeit, es gehört ihm ja nicht.
— Er arbeitet eigentlich nur auf der einen Seite
volkswirtschaftlich als Schuldner, und auf der anderen
Seite haftet er volkswirtschaftlich als geistiger
Schöpfer. Es ist durchaus sogar vielleicht eines der
gesündesten Verhältnisse, wir müssen das besonders
berücksichtigen in der sozialen Frage, wenn ein
geistiger Arbeiter für die Allgemeinheit dadurch
arbeitet, daß ihm die Allgemeinheit auch — denn für
ihn ist es die Allgemeinheit — das Geld dazu gibt. Wie
da hinein Besitz und Eigentum und so weiter spielen,
das werden wir noch sehen. Hier handelt es sich nur
darum, den volkswirtschaftlichen Prozeß zu verfolgen.
Es ist ganz gleichgültig, ob Sie den Leihenden als
Besitzer auffassen oder nicht und den Schuldner so
auffassen, wie ihn die Jurisprudenz auffaßt oder
nicht. Es kommt darauf an, für uns jetzt, wie der
volkswirtschaftliche Prozeß verläuft.
|
Nous voyons donc finalement une partie du processus
d'économie de peuple où sera élaboré purement encore à
partir de ce qui est conquis spirituellement, qui
s'est déjà émancipé. Mais cette conquête spirituelle a
auparavant surgi de l'organisation du travail. Mais
nous sommes maintenant à la deuxième étape. Si, à
cette deuxième étape, où un travailleur spirituel
travaille comme débiteur, vous vouliez encore dire que
ce qu'il reçoit en tant que capital de dette, ce
serait quelque peu du travail cristallisé, ainsi vous
diriez un énorme non-sens selon l'économie de peuple,
car cela n'a aucune signification pour le processus
d'économie de peuple, comment le capital qu'il doit
est né, mais ce qui a une signification, c'est comment
est constitué cet esprit, qui a maintenant l'argent,
comment il peut le transférer en processus fructueux
d'économie de peuple. Le premier travail par lequel le
capital a été créé n'a maintenant plus aucune valeur
d'économie de peuple ; ce qu'il réunit comme esprit
pour valoriser l'argent a simplement valeur d'économie
de peuple. Pensez-y, il y a encore tant de travail
stocké/sauvegardé dans le capital : il vient là-dessus
un imbécile qui claque tout ; alors vous avez un autre
processus que lorsqu'un humain intelligent vient
là-dessus et initie un processus fructueux.
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24
|
Wir sehen also zuletzt einen Teil des
volkswirtschaftlichen Prozesses, wo herausgearbeitet
wird bloß noch aus dem, was geistig errungen ist, was
sich schon emanzipiert hat. Aber diese geistige
Errungenschaft ist vorher aus der Organisation der
Arbeit entstanden. Aber wir sind jetzt auf der zweiten
Etappe. Wenn Sie auf dieser zweiten Etappe, wo ein
geistiger Arbeiter als Schuldner arbeitet, noch sagen
wollten, dasjenige, was er bekommt als Schuldkapital,
das sei etwa kristallisierte Arbeit, so würden Sie
volkswirtschaftlich einen ungeheuren Unsinn sagen,
denn es hat keine Bedeutung für den
volkswirtschaftlichen Prozeß, wie das Kapital
entstanden ist, das er schuldet, sondern das hat
Bedeutung, wie dessen Geist beschaffen ist, der das
Geld jetzt hat, wie er es überführen kann in
fruchtbare volkswirtschaftliche Prozesse. Die erste
Arbeit, durch die das Kapital entstanden ist, hat
jetzt keinen volkswirtschaftlichen Wert mehr;
volkswirtschaftlichen Wert hat lediglich das, was er
als Geist aufbringt, um das Geld zu verwerten. Denken
Sie sich, es ist noch so viel Arbeit aufgespeichert im
Kapital: Es kommt ein Dummkopf darüber, der alles
verpulvert; dann haben Sie einen anderen Prozeß, als
wenn ein gescheiter Mensch dazu kommt, der einen
fruchtbaren Prozeß einleitet.
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Donc, à cette deuxième étape, où nous avons affaire à
des prêteurs et à des débiteurs, nous devons dire :
nous avons affaire avec le capital dont le travail a
déjà disparu.
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25
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Also auf dieser zweiten Etappe, wo wir es zu tun
haben mit Leiher und Schuldner, müssen wir sagen : Wir
haben es zu tun mit dem Kapital, aus dem die Arbeit
bereits verschwunden ist.
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En quoi consiste maintenant la signification
d'économie de peuple de ce capital, dont le travail a
disparu, en quoi consiste-t-elle ? La signification
d'économie de peuple consiste simplement en ce que
premièrement une possibilité a été amenée qu'on peut
lever un tel capital de dette, qu'on peut le
rassembler et, deuxièmement, qu'il peut être valorisé
spirituellement. C'est en cela que consiste la
signification d'économie de peuple de ce capital.
|
26
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Worin besteht jetzt die volkswirtschaftliche
Bedeutung dieses Kapitals, woraus die Arbeit
verschwunden ist, worin besteht sie? Die
volkswirtschaftliche Bedeutung besteht lediglich
darin, daß erstens eine Möglichkeit herbeigeführt
worden ist, daß man solches Schuld- kapital aufbringen
kann, daß man es zusammensammeln kann; und zweitens,
daß es geistig verwertet werden kann. Darin besteht
die volkswirtschaftliche Bedeutung dieses Kapitals.
|
Le réel qui en découle est le rapport entre le
débiteur et ses donneurs d'argent. Et dans le
processus d'économie de peuple qui sera initié par le
débiteur, le débiteur se tient dedans au milieu. D'un
côté, nous avons à faire avec ce qui tend vers le
débiteur et, de l'autre côté, ce qui part du
produisant spirituellement, le débiteur. Et nous
pouvons dire : dans ce cas, ce qui est d'un côté
capital de prêt, par ce que cela deviendra simplement
du capital de dette, sera transformé dans la deuxième
étape du processus d'économie de peuple.
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27
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Das Reale, das daraus entsteht, ist das Verhältnis
zwischen dem Schuldner und seinen Geldgebern. Und in
dem volkswirtschaftlichen Prozeß, der von dem
Schuldner eingeleitet wird, steht der Schuldner in der
Mitte drinnen. Wir haben es auf der einen Seite zu tun
mit dem, was zum Schuldner hintendiert, und auf der
andern Seite mit dem, was von dem geistig
Produzierenden, dem Schuldner, ausgeht. Und wir können
sagen: In diesem Fall wird dasjenige, was auf der
einen Seite Leihkapital ist, dadurch einfach, daß es
Schuldkapital wird, umgewandelt in die zweite Etappe
des volkswirtschaftlichen Prozesses.
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Vous n'y avez rien d'autre qu'une circulation de
capital ; mais cette circulation du capital est dans
une activité socio-organique, tout comme vous avez le
sang dans une activité organique humaine ou animale,
quand il coule à travers la tête et sera valorisé en
ce que la tête produit.
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28
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Sie haben gar nichts darinnen als eine Zirkulation
des Kapitals; aber diese Zirkulation des Kapitals ist
in einer sozialorganischen Betätigung darinnen, so wie
Sie das Blut in einer menschlichen oder tierischen
organischen Betätigung haben, wenn es durch den Kopf
fließt und verwertet wird zu dem, was der Kopf
erzeugt.
|
Et j'aimerais dire : qu'est-ce qui est alors causé
par le fait que nous avons affaire à des prêteurs et à
des débiteurs qui apparaissent ? C'est quelque chose
d'entièrement similaire à ce à quoi vous êtes
confronté en termes physiques quand une sorte de
différence de niveau se présente à vous. Quand vous
avez de l'eau ici en haut, ainsi elle descend là en
bas par la différence de niveau. Justement ainsi est
simplement disponible une différence sociale de niveau
entre le premier lieu du capital et le second, entre
le lieu du prêteur qui ne sait rien commencer avec
cela, et le lieu du débiteur qui peut le valoriser.
Cela suscite la différence de niveau.
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29
|
Und ich möchte sagen: Was wird denn hervorgerufen
dadurch, daß wir es zu tun haben mit Leihenden und
Schuldnern, die auftreten? Es ist das etwas ganz
Ähnliches wie das, was Ihnen im Physikalischen als
eine Art Niveaudifferenz entgegentritt. Wenn Sie hier
oben Wasser haben, so langt es da unten an durch die
Niveaudifferenz. Ebenso ist einfach eine soziale
Niveaudifferenz vorhanden zwischen der ersten Stätte
des Kapitals und der zweiten, zwischen der Stätte des
Leihers, der nichts anzufangen weiß damit, und der
Stätte des Schuldners, der es verwerten kann. Das ruft
die Niveaudifferenz hervor.
|
Mais nous devons considérer ce qui est l'actif dans
cette différence de niveau. L'actif n'est pas une fois
ce qui s'exprime en tant qu'esprit dans l'événement ;
mais chez cette différence de niveau, les diverses
dispositions de l'humain sont le conditionnant. Quand
l'un qui est stupide, a du capital, alors dans un sain
processus d'économie de peuple, le stupide sera
au-dessus et l'avisé en dessous. Par cela apparait une
différence de niveau. Le capital coule à l'avisé. Et
par la différence de niveau entre les dispositions
humaines, le capital entre en fait en
flot/fleuve/flux. Ce n'est en fait pas une fois
l'activité humaine, mais la qualité des humains qui
sont reliées les uns aux autres dans l'organisme
social qui provoque la différence de niveau et alors
en premier continue le processus d'économie de peuple.
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30
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Aber wir müssen bedenken, was das Tätige in dieser
Niveaudifferenz ist. Das Tätige ist nicht einmal
dasjenige, was als Geist sich ausdrückt in dem
Geschehen; sondern bei dieser Niveaudifferenz sind das
Bedingende die verschiedenen Anlagen der Menschen.
Wenn einer Kapital hat, der dumm ist, so wird in einem
gesunden volkswirtschaftlichen Prozeß der Dumme oben
sein und der Kluge unten. Dadurch entsteht eine
Niveaudifferenz. Das Kapital schwimmt zu dem Klugen
hin ab. Und durch die Niveaudifferenz zwischen den
menschlichen Anlagen kommt eigentlich das Kapital in
Fluß. Es ist eigentlich nicht einmal die menschliche
Betätigung, sondern die menschliche Qualität der
Menschen, die im sozialen Organismus miteinander
verbunden sind, was die Niveaudifferenz hervorruft und
dann erst den volkswirtschaftlichen Prozeß weiter
fortsetzt.
|
Maintenant, regardez une fois concrètement ce
processus d'économie de peuple, ainsi vous vous direz
: nous sommes partis de la nature, qui ne vaut encore
rien. Qu'elle ne vaut rien ressort de ce que lorsque
le moineau satisfait ses besoins à la nature, ainsi
ils ne paient rien pour cela. La nature en tant que
telle n'a aucune valeur d'économie de peuple.
L'économie du moineau le montre au contraire de
l'économie de peuple. La valeur d'économie de peuple
commence donc par le fait que le travail humain se lie
avec la nature. La poursuite du processus d'économie
de peuple passe par ce que le travail s'articule, se
divise/partage. Tout d'abord, prenons ce que nous
avons là d'une façon hautement indéterminée : Travail
appliqué sur la nature. Je veux, afin que
progressivement un sens pleinement d'économie de
peuple vienne dans la chose, décrire ce qui se passe
avec Na = nature, saisi par le travail humain.
Qu'est-ce que c'est au sens d'économie de peuple : la
nature, saisie par le travail humain ? C'est, comme
nous avons vu, valeur ; dans l'économie de peuple,
c'est valeur. Je veux donc dire : la nature, saisie
par le travail humain, est devenue une valeur : Nav.
C'est l'une des choses.
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31
|
Nun schauen Sie sich einmal konkret diesen
volkswirtschaftlichen Prozeß an, so werden Sie sich
sagen: Wir sind ausgegangen von der Natur, die noch
nichts wert ist. Daß sie nichts wert ist, geht daraus
hervor, daß, wenn der Spatz seine Bedürfnisse an der
Natur befriedigt, so zahlt er nichts dafür. Also die
Natur als solche hat noch keinen volkswirtschaftlichen
Wert. Das zeigt die Spatzenwirtschaft im Gegensatz zur
Volkswirtschaft. Es beginnt also der
volkswirtschaftliche Wert damit, daß die menschliche
Arbeit sich mit der Natur verbindet. Es geschieht die
Fortsetzung des wirtschaftlichen Prozesses dadurch,
daß die Arbeit sich gliedert, sich teilt. Nennen wir
zunächst in höchst unbestimmter Art dasjenige, was wir
da haben: Arbeit auf die Natur angewendet. Ich will,
damit allmählich ein völliger volkswirtschaftlicher
Sinn in die Sache kommt, das, was da auftritt,
bezeichnen mit Na = Natur, erfaßt von menschlicher
Arbeit. Was ist das im volkswirtschaftlichen Sinn:
Natur, erfaßt von der menschlichen Arbeit? Das ist,
wie wir gesehen haben, Wert; in der Volkswirtschaft
ist es Wert. Ich will also sagen: Natur, erfaßt von
der menschlichen Arbeit, zum Wert geworden : Naw. Das
ist das eine.
|
Vient maintenant la division du travail. Mais que
signifie, dans ce sens, division du travail ? En ce
sens, la division du travail signifie donc : diviser
ces processus qu'on a d'abord réalisés comme processus
de travail effectués à la nature, et qui continuent de
vivre. N'est-ce pas, quand je fais d'abord un four
entier, ainsi j'ai effectué les processus de travail
les plus divers ; si je divise, alors j'ai épluché ces
processus de travail les uns des autres. Je divise.
Quand ça ici, Nav, est ce qui est produit
naturel changé/transformé par le travail, qui est
devenu une valeur, alors ce qui apparait par la
division du travail, en ce que cela, Nav, sera épluché
l'un de l'autre - je pourrais donc aussi l'écrire
autrement -, doit être : = Navl, Nav2
et ainsi de suite.
|
32
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Jetzt kommt die Arbeitsteilung. Was heißt aber in
diesem Sinne Arbeitsteilung? In diesem Sinne
Arbeitsteilung heißt ja: Auseinanderteilen derjenigen
Prozesse, die man zuerst als an der Natur vollführte
Arbeitsprozesse verrichtet hat, und die dann
weiterleben. Nicht wahr, wenn ich zuerst einen ganzen
Ofen mache, so habe ich die verschiedensten
Arbeitsprozesse verrichtet; wenn ich teile, so habe
ich diese Arbeitsprozesse auseinandergeschält. Ich
teile. Wenn das hier, Naw, dasjenige ist, was durch
Arbeit verändertes Naturprodukt ist, das zum Werte
geworden ist, dann muß dasjenige, was durch die
Arbeitsteilung entsteht, indem dieses, Naw,
auseinandergeschält wird — ich könnte es ja auch
anders schreiben —, sein: = Nawl, Naw2 und so weiter.
|
Si cela traverse vraiment un processus réel, par quoi
devra-t-il alors être exprimé lorsque la division du
travail intervient ? Eh bien, par une division, par
une fraction. Cela doit, ce qui est disponible dans la
réalité, en ce que la valeur que j'ai reportée ici
passe dans la division du travail, cela devra être
divisée d'une quelque manière. La question se pose
maintenant seulement, par quoi cela sera alors divisé?
Quel est alors le diviseur ? Qu'est-ce qui divise
alors ce processus ? Maintenant, là nous devons
regarder sur l'autre côté. N'est-ce pas, en
mathématiques pures, on a seulement besoin de prendre
ce qui est donné comme chiffres ; mais quand l'on doit
chercher des processus de calcul dans la réalité
elle-même, il faut chercher ce qui divise vraiment, il
faut chercher cela. Maintenant, de l'autre côté, nous
avons trouvé le travail saisi par l'esprit. Donc, Nav,
on peut placer en vis-à-vis le travail saisi par
l'esprit, qui devient maintenant la valeur d'après
l'autre côté : Tev, écrit sous la ligne de
fraction. Mais maintenant, nous avons déjà réussi à
comprendre quelque chose de ce travail saisi par
l'esprit : s'il devait continuer à œuvrer dans le
processus d'économie de peuple, quand cela, Nav, est
divisé, et il devrait continuer à œuvrer - nous avons
donc vu ce qui intervient en fait là pour cet Etv, le
travail, organisé par l'esprit, devenu une valeur, en
fait intervient :
Tableau 4
Nav
⸻
Tev
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33
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Wenn das nun wirklich einen realen Prozeß durchmacht,
wodurch muß er dann, wenn die Arbeitsteilung eintritt,
ausgedrückt werden? Nun, durch eine Division, durch
einen Bruch. Es muß dasjenige, was in der Realität
vorhanden ist, indem der Wert, den ich hier
aufgeschrieben habe, in die Arbeitsteilung übertritt,
es muß das in irgendeiner Weise dividiert werden. Es
fragt sich jetzt nur, durch was wird es denn
dividiert? Was ist denn das Teilende? Was teilt denn
diesen Prozeß auf? Nun, da müssen wir eben auf die
andere Seite sehen. Nicht wahr, bei der reinen
Mathematik braucht man nur zu nehmen, was als Zahlen
gegeben ist; wenn man aber Rechnungsprozesse in der
Wirklichkeit selber aufzusuchen hat, muß man
dasjenige, was wirklich teilt, das muß man aufsuchen.
Nun haben wir auf der anderen Seite gefunden die vom
Geist erfaßte Arbeit. Wir können also dem, Naw,
gegenüberstellen die vom Geist erfaßte Arbeit, die nun
nach der anderen Seite zum Wert wird : Agw, unter dem
Bruchstrich geschrieben. Aber nun haben wir es ja
schon dazu gebracht, etwas zu verstehen von dieser
durch den Geist erfaßten Arbeit : Wenn sie
weiterwirken soll im volkswirtschaftlichen Prozeß,
wenn dieses, Naw, dividiert ist, und sie soll
weiterwirken — wir haben ja gesehen, was da für dies
Agw, Arbeit, durch den Geist organisiert, zum Wert
geworden, eigentlich eintritt:
Tafel 4
Naw
⸻
Agw
|
L'argent intervient.
Mais l'argent n'intervient pas maintenant dans toute
son entière abstraction - d'abord il est abstrait -
j'aimerais dire, comme la substance à laquelle
l'esprit s'applique ; mais ça devient très
individualisé, très particularisé, quand l'esprit le
saisit et s'applique à une chose ou une autre. Et en
ce que l'esprit fait cela, l'esprit en tant que tel
détermine la valeur de l'argent. Ici, l'argent
commence à recevoir une valeur concrète déterminée.
Car que l'un soit un idiot et jette de l'argent sur
quelque chose qui ne fructifie pas, ou qu'on
l'applique d'une certaine manière, s'avère maintenant
être une valeur bien réelle dans le processus
d'économie de peuple. Ainsi que vous obtiendrez, en
tant que ce dénominateur, ce qui a quelque chose à
voir avec l'argent. En tant que numérateur, je ne peux
naturellement rien obtenir d'autre que ce qui a à
faire avec que j'ai quelque chose devant moi en quoi
une substance de la nature s'est transformée. Mais
quand une substance de la nature se transforme par le
travail et alors est là dans le processus d'économie
de peuple, alors c'est une marchandise, insérée dans
la formule : au-dessus de la ligne de fraction =
marchandise. Et ce qui ici est travail organisé, c'est
l'argent, inséré dans la formule sous la ligne de
fraction = argent.
Tableau 4
Nav marchandise
⸻ = ⸻⸻⸻
Tev
argent
Cela signifie que de
nouvelles valeurs nous sont maintenant apparues : la
valeur de marchandise et la valeur de l'argent. Et
dans un processus d'économie de peuple qui repose sur
la division du travail, nous avons à reconnaître que
le quotient de la marchandise disponible dans
l'organisme d'économie de peuple et l'argent
disponible dans l'organisme d’économie de peuple -
quand nous l'envisageons non pas comme ce que nous
comptons dans les caisses, mais comme ce qui sera
saisi par l'esprit de l'humain - représente une
collaboration dans laquelle l'argent constitue le
diviseur. Et dans cette collaboration - mais dans une
telle qui ne pourra quelque peu être représentée par
soustraction, mais justement par une division - la
santé du processus d'économie de peuple consiste en
fait dans cette collaboration. Et nous devrons
comprendre, pour comprendre de proche en proche la
santé du processus d'économie de peuple, ce qui œuvre
là en fait dans le numérateur et ce qui œuvre là dans
le dénominateur : nous devrons toujours comprendre de
plus en plus
Nav
marchandise
Santé = ⸻ = ⸻⸻⸻
Tev
argent
en quoi repose l'essence même de la marchandise d'un
côté et, en quoi repose l'essence même des moyens de
circulation, l'argent de l'autre côté. Les questions
les plus significatives d'économie de peuple ne
pourront pas du tout être résolues si l'on ne traite
pas les choses d'une manière aussi exacte, mais il est
aussi clair que, quoi qu'il arrive dans l'économie de
peuple, cela doit toujours être quelque chose de
fluctuant. À l'instant où la marchandise est apportée
d'un endroit à un autre, le numérateur devient autre
et ainsi de suite. Et je peux en fait toujours
seulement prouver comment tout est fluctuant dans le
processus d'économie de peuple.
|
34
|
Das Geld tritt ein. Das
Geld tritt aber jetzt nicht ein in seiner ganzen
Abstraktheit — abstrakt ist es zunächst —, ich möchte
sagen, als die Substanz, an die der Geist sich
anwendet; aber es wird sehr individualisiert, sehr
besondert, wenn der Geist es erfaßt und auf das oder
jenes anwendet. Und indem der Geist dieses tut,
bestimmt der Geist als solcher den Wert des Geldes.
Hier beginnt das Geld einen bestimmten konkreten Wert
zu bekommen. Denn, ob einer ein Dummkopf ist und das
Geld auf etwas, was sich nicht fruktifiziert,
hinausschmeißt, oder es in einer bestimmten Weise
anwendet, das zeigt sich jetzt als ganz realer Wert im
volkswirtschaftlichen Prozeß. So daß Sie also als
diesen Nenner bekommen werden, was mit dem Gelde etwas
zu tun hat. Als Zähler kann ich natürlich nichts
anderes bekommen als das, was damit zu tun hat, daß
ich etwas vor mir habe, wohinein sich die Substanz der
Natur verwandelt hat. Wenn aber eine Natursubstanz
sich durch Arbeit verwandelt und dann da ist im
volkswirtschaftlichen Prozeß, dann ist es Ware, in die
Formel eingesetzt : über dem Bruchstrich = Ware. Und
das, was hier die organisierte Arbeit ist, das ist
Geld, in die Formel eingesetzt unter dem Bruchstrich =
Geld.
Tafel 4
Naw Ware
⸻ = ⸻
Agw Geld
Das heißt, es sind uns
jetzt neue Werte aufgetreten: Der Warenwert und der
Geldwert. Und wir haben in einem volkswirtschaftlichen
Prozeß, der auf Arbeitsteilung beruht, zu erkennen,
daß der Quotient von der in dem volkswirtschaftlichen
Organismus vorhandenen Ware und dem in dem
volkswirtschaftlichen Organismus vorhandenen Geld -
wenn wir es ansehen nicht als dasjenige, was wir in
den Kassen abzählen, sondern als dasjenige, was vom
Geist der Menschen ergriffen wird - ein Zusammenwirken
darstellt, in dem das Geld den Divisor ausmacht. Und
in diesem Zusammenwirken - aber in einem solchen, das
nicht etwa durch Subtraktion dargestellt werden kann,
sondern eben durch Division -, in diesem
Zusammenwirken besteht eigentlich die Gesundheit des
volkswirtschaftlichen Prozesses. Und wir werden
verstehen müssen, um nach und nach die Gesundheit des
volkswirtschaftlichen Prozesses zu verstehen, was da
eigentlich im Zähler und was da im Nenner wirkt : Wir
werden immer mehr und mehr verstehen
Naw
Ware
Gesundheit = ⸻ = ⸻
Agw
Geld
müssen, worin das eigentliche Wesen der Ware auf der
einen Seite liegt, und worin das eigentliche Wesen des
Umlaufmittels, des Geldes, auf der anderen Seite
liegt. Die bedeutsamsten volkswirtschaftlichen Fragen
können gar nicht gelöst werden, wenn man nicht in
einer solchen Weise genau auf die Sachen eingeht, aber
sich auch klar darüber ist, daß, was auch auftritt in
der Volkswirtschaft, daß das immer etwas
Fluktuierendes sein muß. In dem Augenblick, wo die
Ware nur von einem Ort zum andern gebracht wird, wird
der Zähler etwas anderes und so weiter. Und ich kann
eigentlich immer nur beweisen, wie fluktuierend im
volkswirtschaftlichen Prozeß alles ist.
|
Il y a une très grande différence entre la bourse que
j'ai dans ma poche et où sont cinq francs et la bourse
qu'une autre personne a et où sont aussi cinq francs.
Il n'est pas égal que les cinq francs soient dans
l'une ou l'autre poche, car tout cela devra absolument
être saisi dans le processus économique réel. Sinon,
vous obtiendrez seulement quelques notions implantées
et abstraites de prix et valeur et marchandise et
production et consommation, et ainsi de suite, et vous
n'en obtiendrez rien de ce qui conduit réellement à
une compréhension du processus d'économie de peuple.
|
35
|
Es ist ein sehr beträchtlicher Unterschied zwischen
der Börse, die ich in der Tasche habe und wo fünf
Franken drin sind, und der Börse, die ein anderer hat
und wo auch fünf Franken drin sind. Es ist nicht
gleichgültig, ob die fünf Franken in der einen Tasche
oder in der anderen sind; denn das alles muß im realen
wirtschaftlichen Prozeß absolut erfaßt werden. Sonst
bekommen Sie nur einige hingepfahlte abstrakte
Begriffe heraus von Preis und Wert und Ware und
Produktion und Konsumtion und so weiter, und Sie
bekommen nicht das heraus, was eigentlich wirklich zum
Verständnis des volkswirtschaftlichen Prozesses führt.
|
C'est ce qui est ainsi infiniment triste en notre
présent, c'est que nous sommes dans une situation où,
simplement parce que l'humanité a été habituée pendant
des siècles à des concepts aux contours très nets, qui
ne sont pas applicables dans le processus, nous ne
pouvons pas ce qui se place aujourd'hui comme une
exigence si nécessaire devant nous : que nous venions
en mouvement avec nos concepts afin de pénétrer les
processus d'économie de peuple. C'est ce qui devra
être conquis : la mobilité de la pensée pour pouvoir
réfléchir intérieurement un processus comme tel.
Certes, dans la science de la nature, des processus
seront aussi réfléchis, mais ainsi qu'ils sont
regardés de l'extérieur. Mais ça n'aide pas. Vous
devriez vous rendre loin vers en haut dans un ballon
et regarder le processus d'économie de peuple, comme
le chimiste regarde ses processus de l'extérieur. Ce
qui distingue les processus d'économie de peuple,
c'est que nous nous tenons à l'intérieur d'eux. Nous
devons donc les examiner de l'intérieur. Nous devons
nous sentir dans les processus d'économie de peuple
comme, quelque peu, un être qui, disons, serait dans
une cornue. Quelque chose sera brassé ici sous
développement/évolution à chaud. Cet être, qui serait
là dans la cornue, cela ne peut pas être le chimiste,
cet être, que je veux comparer avec nous, mais ce
devrait être un être, qui participe à la chaleur, bout
lui-même. Le chimiste ne peut pas faire cela, au
chimiste c'est une chose extérieure. En science de la
nature, nous nous tenons hors des processus. Le
chimiste ne pourrait pas participer à ça, quand ici
une température de cent cinquante degrés sera
développée. Nous participons au processus économique
de l'intérieur partout, nous devons aussi le
comprendre de l'intérieur. C'est pourquoi c'est ainsi
que peut-être un mathématicien dit : Oui, tu nous as
maintenant inscrit un quelque chose comme une formule.
Nous ne sommes donc pas habitués à ce que des formules
mathématiques soient construites ainsi. - Certes,
parce que nous sommes seulement habitués que des
formules mathématiques seront construites, quand nous
regardons les processus de l'extérieur ! Nous
devons développer des façons de voir afin que nous
obtenions un numérateur et un dénominateur et pour
comprendre que quelque chose doit être une division et
ne peut pas être une soustraction. Nous devons essayer
de nous penser dedans dans le processus d'économie de
peuple. C'est pourquoi, j'ai naturellement choisi cet
exemple draconien hier, que je ne vous ai pas montré
un tailleur et un commerçant regardé de dehors, comme
le voit le scientifique de la nature, car là on ne
peut pas arriver à ce dont il s'agit. Si on veut
entrer, alors avec le penser, cela semble effrayant
que l'on regarde seulement de l'extérieur, comme chez
le chercheur qui regarde la cornue seulement de
l'extérieur. Nous devons nous représenter
intérieurement toute la somme de processus qui se
jouent entre le tailleur et tous les effets qui se
passent selon l'économie de peuple.
|
36
|
Das ist das so unendlich Traurige in unserer
Gegenwart, daß wir in einer Lage sind, wo wir eben
einfach deshalb, weil durch Jahrhunderte die
Menschheit sich an scharf konturierte Begriffe gewöhnt
hat, die nicht anwendbar sind im Prozeß, das nicht
können, was sich heute so notwendig als eine Forderung
vor uns hinstellt: daß wir mit unseren Begriffen in
Bewegung kommen, um die volkswirtschaftlichen Prozesse
zu durchdringen. Das ist, was errungen werden muß :
die Beweglichkeit des Denkens, um einen Prozeß als
solchen innerlich durchdenken zu können. Gewiß, in der
Naturwissenschaft werden auch Prozesse durchgedacht,
aber so, wie sie von außen angeschaut werden. Das
hilft aber nichts. Sie müßten sich in einem Luftballon
weit hinaufbegeben und den volkswirtschaftlichen
Prozeß anschauen, wie der Chemiker seine Prozesse von
außen anschaut. Was die volkswirtschaftlichen Prozesse
auszeichnet, ist, daß wir in ihnen drinnenstehen. Wir
müssen sie also von innen anschauen. Wir müssen uns in
den volkswirtschaftlichen Prozessen so erfühlen, wie
etwa ein Wesen, das, sagen wir, in einer Retorte wäre.
Hier wird etwas gebraut unter Wärmeentwickelung.
Dieses Wesen, das da in der Retorte wäre, das kann
nicht der Chemiker sein, dieses Wesen, das ich
vergleichen will mit uns, sondern das müßte ein Wesen
sein, das die Wärme mitmacht, selber mitsiedet. Der
Chemiker kann das nicht, dem Chemiker ist das ein
Äußerliches. In der Naturwissenschaft stehen wir außer
den Prozessen. Der Chemiker könnte das nicht
mitmachen, wenn hier eine Temperatur von
hundertfünfzig Grad entwickelt wird. Den
volkswirtschaftlichen Prozeß machen wir überall
innerlich mit, müssen ihn auch innerlich verstehen.
Deshalb ist es so, daß vielleicht ein Mathematiker
sagt: Ja, du hast uns jetzt irgend etwas wie eine
Formel aufgeschrieben. So sind wir nicht gewohnt, daß
mathematische Formeln aufgebaut werden. — Gewiß, weil
wir nur gewohnt sind, daß mathematische Formeln
aufgebaut werden, wenn wir die Prozesse von außen
anschauen ! Wir müssen Anschauung entwickeln,
damit wir einen Zähler und einen Nenner kriegen und um
zu begreifen, daß etwas eine Division sein muß und
nicht eine Subtraktion sein kann. Wir müssen
versuchen, uns hineinzudenken in den
volkswirtschaftlichen Prozeß. Deshalb habe ich
natürlich auch dieses krasse Beispiel gestern gewählt,
daß ich Ihnen nicht vorgeführt habe den einen
Schneider und den Händler von außen betrachtet, wie es
der Naturwissenschafter betrachtet; denn da kann man
nicht darauf kommen auf das, um was es sich handelt.
Will man herein, dann kommt es einem unheimlich vor
mit dem Denken, das nur von außen anschaut wie beim
Forscher, der die Retorte nur von außen anschaut. Wir
müssen die ganze Summe von Vorgängen, die sich
abspielen zwischen dem Schneider und allen Effekten,
die sich volkswirtschaftlich zutragen, uns innerlich
vorstellen.
|
Je ne me réaliserais pas dans l'accomplissement de ce
que vous m'avez demandé si je présentais la chose
autrement que je la présente. Cela rend la chose un
peu difficile du début.
|
37
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Ich würde nicht wahr werden in dem Erfüllen dessen,
was Sie verlangt haben, wenn ich die Sache anders
darstellen würde, als wie ich sie darstelle. Dadurch
ist die Sache von Anfang an etwas schwierig.
|
Français seulement
QUATRIÈME
CONFÉRENCE, Dornach, 27 juillet 1922
01
Hier, j'ai choisi un exemple quelque peu flagrant, aimerais-je
dire, de la vie d'économie de peuple pour illustrer quelque
chose à ce sujet. Et il semble que cet exemple quelque peu
draconien ait cassé la tête à l'un ou l'autre. C'est l'exemple
du tailleur qui travaille moins bon marché pour lui-même
lorsqu'il élabore son propre costume - lorsqu'il l'élabore le
costume pour lui-même -, que lorsqu'il achète son propre
costume justement aussi chez un marchand alors qu'il fabrique
sinon des costumes pour les autres. Maintenant, c'est donc
terriblement facile, évidemment, de ne pas se débrouiller avec
cet exemple draconien ; car il est tout à fait naturel que
lorsqu’on calcule ainsi, on dise : Oui, le marchand achète le
costume au tailleur moins cher qu'il ne le vend, puisqu'il
doit quand même en tirer profit ; en conséquence le tailleur
doit donc évidemment payer plus pour son costume, quand il
l'achète afin de payer le profit du marchand qu'il ne se tient
chez lui-même. Cela repose ainsi sur le plat de la main de
faire cette objection qu'elle doit donc venir ; néanmoins,
j'ai tout de suite choisi cet exemple draconien pour illustrer
comment on a besoin de ne pas penser selon l'économie
domestique par rapport à l'économie de peuple actuelle, mais
justement selon l'économie de peuple - comme on a besoin de
compter sur ce qui apparait par la division du travail.
02
Il ne s'agit donc pas que le tailleur, disons, immédiatement
après qu'il ait fini son costume, maintenant, comparé au fait
que quand il a vendu ce costume à un marchand et en a alors
racheté un autre en retour, qu'il a perdu là quelque chose ;
mais il s'agit, si, quand le tailleur maintenant après un
temps, après un quelque temps, disons x, fait sa facture, si
maintenant, quand il s'est fait le propre costume, quand il
s'est fait le costume pour soi-même, s'il est maintenant mieux
à cela ou s'il est mieux à cela, quand il a omis/s'est
dispensé de faire ce costume pour soi-même.
03
Quand notamment la division du travail fonctionne, alors elle
rend les produits bon marché de la manière correcte; ils
deviennent bon marché par la division du travail, bon marché
justement dans l'ensemble du contexte/pendant d'économie de
peuple. Et quand l'on travaille alors contre la division du
travail, ainsi on exerce une pression sur les prix des
produits correspondants. Mais la pression sur les prix agit en
retour sur le processus d'économie de peuple. Avec d'autres
mots, le tailleur s'en tirera meilleur marché avec le costume
particulier/unique ; mais pour un tout petit poste d'abord -
mais si beaucoup de tailleurs le font, ça se multiplie -, il
exercera dans un certain sens une pression sur le prix des
vêtements. Ils deviennent meilleur marché. Alors il devra
aussi donner les autres meilleur marché. Et il s’agit alors
seulement du temps après lequel il peut regarder dans le bilan
combien il a encaissé moins pour les autres vêtements que ce
qu'il aurait encaissé s'il n'avait pas pressé le prix.
04
Il ne s'agit pas de mélanger un peu la pensée d'économie
ménagère dans la chose. Je n'ai aussi pas pensé que le
tailleur n'aurait pas le droit ou ne pourrait avoir le goût de
fabriquer son propre costume lui-même, mais il ne devrait
seulement pas penser qu'il s'en sortirait meilleur marché par
là, mais il lui reviendra plus cher. Il lui reviendra à se
tenir plus cher dans son bilan d'ensemble après un certain
temps. Cela fait toutefois moins de différence pour un cas
aussi draconien, parce que la différence par laquelle le prix
est pressé apparait en premier au bout d'un très long temps.
Il doit faire beaucoup d'autres costumes afin de rendre
efficace le petit ratio de dépréciation. Mais à l'intérieur,
il sera une fois dans son bilan d'ensemble. C'est ce qui
devrait vous montrer que nous n'avons pas la permission de
penser si terriblement près quand on est confrontés à un
processus d'économie de peuple qui consiste maintenant en un
nombre incalculable de facteurs interdépendants, de sorte que
le phénomène individuel/particulier est causé par un nombre
incalculable de facteurs interdépendants.
05
Vous serez, naturellement, immédiatement pris dans une
calamité de pensée d'économie de peuple, quand vous rattachez
seulement vos pensées à ce qui, aimerais-je dire, repose dans
le voisinage de ceux qui font l'économie/gèrent. Par cela vous
ne vous en sortez absolument pas avec la compréhension du
processus d'économie de peuple. Vous devez apprendre à saisir
l'ensemble de l'organisme social, et considérer l'ensemble,
conduit finalement à ce qu'on est obligé de donner des tels
exemples draconiens, qui ne sont pas vraiment remarquables
dans la journée, mais peut-être très remarquables dans la
décennie.
06
Il s'agit absolument que l'on parte de tels exemples,
j'aimerais dire, à moitié absurdes, pour passer
progressivement de la pensée à laquelle on est habitué à une
pensée qui embrasse l'étendu, et en ce qu'elle embrasse
l'étendu, perd davantage les contours tranchants et vient par
là dans la situation de saisir le fluctuant. Ce qui repose
dans le voisinage/la proximité immédiate, on peut le saisir
dans des contours tranchants ; mais ce dont il s'agit, est, de
remporter/conquérir la façon de voir ; et la façon de voir/la
vision, elle livre absolument des idées mobiles particulières.
Elles ne coïncident pas avec ce que sont les idées gagnées
dans le voisinage.
07
J'aimerais vous mentionner cela en particulier aujourd'hui,
afin que, quand nous partons de choses relativement plus
simples, vous voyiez quand même comment le processus
d'économie de peuple se compose progressivement des facteurs
les plus divers. Aujourd'hui, pour arriver de plus en plus à
pouvoir saisir le problème du prix, nous voulons conduire
devant les yeux le processus d'économie de peuple comme tel
d'un certain point de vue.
08
Nous voulons le commencer aujourd'hui avec la nature. Tout
d'abord, le travail humain doit commencer à la nature,
transformer les produits de la nature, ainsi qu'alors ce
produit transformé de la nature, ce produit de la nature
transformé par le travail humain, obtient une valeur
d'économie de peuple dans l'expression du travail humain sur
le produit naturel. Et dans l'économie de peuple, on n'a
maintenant pas une fois à faire avec la substance. Comme
telle, celle-ci n'a aucune valeur d'économie de peuple. Le
charbon, qui se trouve encore sous terre dans la mine en tant
que substance charbon, n'a aucune valeur d'économie de peuple
et ne reçoit aussi aucune valeur d'économie de peuple quand
maintenant elle passe de la mine à l'appartement, dans la
pièce de celui qui chauffe. Ce qui rend la substance du
charbon valeur, c'est le travail qui lui a été imprimé, donc
ce qui a dû être fait pour l'extraire, aussi déjà pour
préparer la mine, pour transporter le charbon, et ainsi de
suite. Tout ce qui est travail humain imprimé à la substance
du charbon lui donne en premier lieu sa valeur d'économie de
peuple. Et c'est seulement avec cela que nous avons à faire
dans l'économie de peuple.
09
Vous ne pouvez saisir aucun phénomène d'économie de peuple si
vous ne partez pas de telles idées. Mais maintenant, en ce
qu'ainsi du travail humain sera appliqué à la nature, nous
entrons, lors du pousser plus loin du développement d'économie
de peuple, justement dans la division du travail, dans la
division du travail qui apparait parce que des humains
travaillent ensemble/collaborent, travaillent ensemble à un
quelque fait significatif pour l'économie de peuple.
10
Prenons un exemple très simple. Supposons une fois que dans
une région, un certain nombre d'humains auraient exercé une
certaine activité en ce que ce nombre d'humains aurait fait un
parcours de leurs maisons, donc disons de différentes
localités à un lieu de travail commun, à un lieu d'extraction
d'un produit de la nature. Supposons que nous serions encore
dans une époque très primitive, qu'il n'y a pas d'autre moyen
pour les travailleurs que de marcher/d'aller à pied jusqu'à
l'endroit où ils travaillent dans la nature. Maintenant,
quelqu'un vient à construire un chariot et a utiliser des
chevaux pour tirer le chariot. Là, ce qui devait d'abord être
fait seul par chacun, cela sera maintenant fait par chacun en
pendant avec celui qui fournit maintenant le chariot. Un
travail sera divisé. Ce qui sera exécuté, ce qui est du
travail au sens de l'économie de peuple sera partagé. La chose
se joue alors de telle sorte que chacun qui utilise le chariot
a maintenant à payer un certain quota à
l'exploitant/entrepreneur du chariot.
11
Mais avec cela celui qui a inventé le chariot est plongé dans
la catégorie des capitalistes. Le chariot est désormais un
véritable capital pour l'humain concerné. Vous verrez, là où
vous voudrez chercher, que dans une certaine mesure le point
d'apparition du capital repose toujours dans la division du
travail, l'articulation du travail. Mais par quoi le chariot
a-t-il été inventé ? Il a été inventé par l'esprit. Et chacun
de tels processus consiste en ce que l'esprit sera appliqué
sur le travail, en ce que le travail est pénétré par l'esprit
en une quelque relation. Donc du travail pénétré d'esprit,
c'est ce qui survient au cours de la division du travail. Tout
d'abord, nous n'avons affaire à rien d'autre qu'à un travail
spiritualisé quand nous voyons du capital surgir/apparaitre au
cours de la division du travail. La première phase du capital
consiste en fait toujours en ce que le travail sera organisé,
articulé et ainsi de suite à partir l'esprit, tandis
qu'autrefois seulement à partir de la nature.
12
Il est déjà nécessaire que le capital, la formation de
capital, soit clairement regardé de ce point de vue ; car
c'est seulement de ce point de vue que l'on peut comprendre la
fonction du capital dans le processus d'économie de peuple.
L'apparition de capital est toujours la manifestation
d'accompagnement de la division du travail, de l'articulation
du travail.
13
Mais avec cela, quelque chose se détache de l'échange direct
dans lequel l'humain est avec la nature lorsqu'il
élabore/travaille la nature. Aussi longtemps que l'on ait à
faire seulement avec l'élaboration de la nature, aussi
longtemps nous pouvons seulement parler de produits de la
nature qui ont été modifiés par le travail humain et par cela
ont reçu une valeur; mais à l'instant où nous parlons de ce
que l'esprit organise le travail, le travail en tant que tel -
car cet humain, n'est-ce pas, qui crée là du capital dans son
chariot, il lui est fondamentalement sans importance à quel
but, à quelle fin il conduit ses gens d'un endroit à un autre
- trouve une émancipation de la nature. Ici, partout,
j'aimerais dire, la nature est encore transparente par le
travail humain. Quand aussi le charbon en tant que substance
ne forme pas la valeur, mais ce qui est imprimé sur le charbon
en tant que travail humain, ainsi le produit naturel brille
quand même justement à travers, à travers le travail humain.
C'est l'un des côtés de l'émergence de valeurs économiques.
14
L'autre côté est celui-ci : que maintenant ce qui sera
organisé à partir de l'esprit au travail, que cela s'émancipe
complètement de la nature, que cela se décolle/se coupe
complètement de la nature. Nous arrivons enfin à ce que nous
avons les capitalistes, à qui peut être complètement
indifférent la façon dont le travail qu'il articule se situe
par rapport à la nature. Cela peut avoir lieu/se passer très
simplement. Il peut venir à cet homme : pendant qu'il a
jusqu'à présent conduit des gens de divers endroits, disons à
des travaux agricoles, il laisse maintenant, s'il le préfère
en emportant son chariot là-bas, aller dans un autre endroit,
conduire des gens à un travail complètement différent. Vous
trouverez que dans l'application du spirituel, ce qui est
division humaine du travail s'émancipe absolument de la base
de la nature. Mais vous avez aussi, donné avec cela,
l'émancipation du capital de la base de la nature.
15
On a donc établi, de différents points de vue d'économie de
peuple, la vue que le capital serait de la force de travail
stockée/sauvegardée ; mais c'est en réalité seulement une
définition qui, parce que la chose est fluctuante, convient
seulement pour un certain stade. Tant que l'on est lié dans le
sens le plus strict à une quelque sorte de travail avec
l'organisation spirituelle, la nature luira encore à travers.
À l'instant où l'on s'émancipe, où l'on ne pense qu'à la
manière dont ce que l'on gagne peut être rendu fructueux par
l'application de l'esprit, à l'instant on constate/remarque
aussi, comment dans la masse de capital dont on dispose alors,
le travail s'estompe progressivement, disparait dans son
caractère particulier.
16
Supposons que vous ayez capitalisé pendant un certain temps et
que vous ayez ainsi acquis par cela un capital qui travaille
maintenant vraiment selon l'économie de peuple. Celui qui a en
premier un seul chariot peut continuer à travailler selon
l'économie de peuple en achetant deux chariots et ainsi de
suite. Son capital travaille selon l'économie de peuple. Mais
au fond est de la nature dans le travail là, plus rien dedans.
Quand vous considérez un mineur, il y a beaucoup d'elle dedans
; mais dans le capital, vous voyez toujours moins de travail
dedans ; et si vous supposez même que l'homme laisse
maintenant le tout à quelqu'un d'autre, alors il se peut que,
par la transition/le transfert, sous conditions/circonstances
au second, il s'agisse justement seulement que ce qui s'est
passé là par l'esprit, fructifie ; mais la nature du travail
qui sera organisé là lui sera au plus indifférente. Cela
devrait/doit absolument seulement être organisé.
17
Avec d'autres mots : Nous avons là un véritable processus
d'abstraction. C'est entièrement la même chose que ce que l'on
réalise sinon intérieurement dans la pensée logique dans
l'abstraction. Là on l'accomplit extérieurement. La
particularité disparait, la particularité de la substance
naturelle et la particularité des sortes de travail,
progressivement, dans les masses de capital. Quand nous
suivons ensuite le processus d'économie de peuple plus loin,
alors vous verrez que déjà rien n'est plus là de ce qui était
là de travail organisé. Car si vous prenez le progrès du
processus d'économie de peuple, alors cela se présentera
quelque peu ainsi : l'homme qui a construit le chariot, il a
encore imprimé son esprit au moins à toute cette invention ;
mais maintenant, il gagne, il gagne plus en valeur dont il
peut seulement venir à bout seul n'importe comment. Oui, ces
valeurs devraient-elles rester inutilisées pour l'économie de
peuple ? Elles ne devraient pas le rester. Il doit en venir un
autre qui puisse maîtriser/venir à bout de ces valeurs avec
une autre sorte de spiritualité, qui valorise maintenant ces
valeurs d'une manière entièrement différente.
18
Ainsi, vous pouvez vous représenter : ce qui a été créé là
comme valeurs par l'inventeur du chariot, cela passerait après
un certain temps - donc ce qui est ressorti comme une
fructification - passerait à un forgeron d'art. Le forgeron
d'art a l'esprit pour réaliser une forge d'art ; mais il ne
peut rien commencer avec l'esprit au début. Mais l'autre a
déjà créé des valeurs économiques. Il doit les transférer sur
celui-là. Là, vous avez déjà le processus d'abstraction le
plus complet dans la réalité dehors.
19
C'est pourquoi il est aussi nécessaire, pour qu'absolument la
chose puisse continuer - elle ne pourrait sinon pas continuer,
car comment le constructeur de chariot devrait-il transférer
ses valeurs au forgeron d'art ? -que quelque chose est là qui
se comporte comme une abstraction à la chose particulière qui
vit là dans l'économie de peuple. Et c'est tout d'abord de
l'argent. L'argent n'est rien d'autre que la valeur exprimée
extérieurement qui est dégagée par la division du travail et
qui sera transférée de l'un sur l'autre.
20
Nous voyons donc le capitalisme apparaitre dans la poursuite
de la division du travail, nous voyons apparaitre, et
d'ailleurs assez rapidement, l'économie financière/de l'argent
dans la poursuite du capitalisme. L'argent est une abstraction
complète vis-à-vis d'événements économiques particuliers.
Quand vous avez cinq francs dans la poche, vous pouvez vous
acheter pour cela aussi bien un déjeuner et un dîner, comme
vous pouvez vous acheter une pièce de costume. Pour l'argent,
c'est insignifiant, ce qui sera acquis pour cela, ce contre
quoi il s'échange dans le processus d'économie de peuple.
L'argent est l'absolument égal/indifférent pour les facteurs
particuliers d'économie de peuple, pour autant qu'ils sont
encore influencés par la nature. Mais c'est pourquoi l'argent
devient l'expression, la prise en main, le moyen pour
l'esprit, pour intervenir dans l'organisme d'économie de
peuple qui se tient dans la division du travail.
21
Sans que de l'argent soit créé, ce n'est absolument pas
possible, que l'esprit intervienne dans l'organisme d'économie
de peuple lorsque nous parlons de la division du travail.
Ainsi nous pouvons dire : là ce qui est à l'origine ensemble
dans l'état d'économie de peuple, devient ce que chaque
individu élabore dans son égoïsme, ce sera
répandu/étalé/distribué sur la totalité. - C'est donc ainsi
dans la division du travail. Dans le capital, les
particularités seront à nouveau rassemblées en un processus
d'ensemble. La formation de capital est une synthèse,
absolument une synthèse. Ainsi, celui qui est ainsi apparu
comme un formateur de capital, qui par la nécessité de
l'apparition de l'argent peut précisément transformer son
capital en capital d'argent, il devient prêteur pour celui qui
n'a rien d'autre que l'esprit. Celui-là reçoit l'argent. C'est
le représentant correct des valeurs économiques réunies par
l'esprit.
22
Nous devons absolument examiner la chose selon l'économie de
peuple. L'argent aimerait être une chose encore si terrible
sur le plan religieux et éthique; dans le sens d'économie de
peuple, l'argent est l'esprit qui est efficace dans
l'organisme d'économie de peuple. Ce n'est pas autre chose.
Donc, dans le processus d'économie de peuple, l'argent doit
être créé, afin qu'absolument l'esprit puisse trouver son
progrès à partir du point de départ où il se tourne seulement
à la nature. Il resterait à l'état primitif s'il s'appliquait
seulement sur la nature. Il doit, pour maintenant aussi verser
à nouveau les conquêtes du spirituel dans le processus
d'économie de peuple, se réaliser comme argent. L'argent est
de l'esprit réalisé. Mais le concret revient bientôt de
nouveau dedans. Tout d'abord, l'argent est une abstraction
dont on peut dire : c'est égal que je m'achète une partie du
costume pour cinq francs ou que je me laisse couper les
cheveux - il n'y a donc pas besoin que ce soit une seule coupe
de cheveux -, je pense, pour l'argent c'est égal. Mais en ce
que l'argent revient à la personne de l'humain et avec cela à
l'esprit de l'humain, à ce moment l'argent devient celui qui à
nouveau est actif selon l'économie de peuple dans son fait
concret particulier. Cela signifie que l'esprit est actif
selon l'économie de peuple dedans dans l'argent.
23
Mais là, un rapport très particulier apparait maintenant.
Celui qui a tout d'abord acquis l'argent, il devient prêteur,
créancier. L'autre, qui reçoit l'argent, qui a seulement
l'esprit, devient débiteur. Là, vous avez maintenant le
rapport entre deux humains. Le même rapport pourra donc aussi
être provoqué par ce que les prêteurs sont maintenant un
nombre d'humains qui donnent justement leurs surplus à l'un,
de sorte qu'il effectue maintenant une synthèse encore plus
élevée par son esprit ; mais il reste le débiteur. Celui-ci
travaille absolument sur le terrain/sol, qui s'est maintenant
donc émancipé de part en part de la base de nature, car même
ce qu'il reçoit encore des premiers capitalistes, lui est donc
absolument un rien ; il doit donc le rendre après un quelque
temps, cela ne lui appartient donc pas. - Il travaille en fait
seulement d'un côté selon l'économie de peuple comme débiteur,
et de l'autre côté, il répond/est responsable selon l'économie
de peuple comme créateur spirituel. C'est absolument même
peut-être un des rapports les plus sains, nous devons en tenir
particulièrement compte dans la question sociale, lorsqu'un
travailleur spirituel travaille pour la collectivité par ce
que la collectivité lui donne aussi - car pour lui c'est la
collectivité - l'argent pour cela. Nous verrons encore comment
possession et propriété et ainsi de suite jouent là-dedans.
Ici il s'agit seulement de suivre le processus d'économie de
peuple. C'est tout à fait égal que vous saisissiez le prêteur
comme le propriétaire ou non et que vous saisissiez le
débiteur ainsi que le saisi ou non la jurisprudence. Il
s'agit, pour nous maintenant, de comment le processus
d'économie de peuple se déroule.
24
Nous voyons donc finalement une partie du processus d'économie
de peuple où sera élaboré purement encore à partir de ce qui
est conquis spirituellement, qui s'est déjà émancipé. Mais
cette conquête spirituelle a auparavant surgi de
l'organisation du travail. Mais nous sommes maintenant à la
deuxième étape. Si, à cette deuxième étape, où un travailleur
spirituel travaille comme débiteur, vous vouliez encore dire
que ce qu'il reçoit en tant que capital de dette, ce serait
quelque peu du travail cristallisé, ainsi vous diriez un
énorme non-sens selon l'économie de peuple, car cela n'a
aucune signification pour le processus d'économie de peuple,
comment le capital qu'il doit est né, mais ce qui a une
signification, c'est comment est constitué cet esprit, qui a
maintenant l'argent, comment il peut le transférer en
processus fructueux d'économie de peuple. Le premier travail
par lequel le capital a été créé n'a maintenant plus aucune
valeur d'économie de peuple ; ce qu'il réunit comme esprit
pour valoriser l'argent a simplement valeur d'économie de
peuple. Pensez-y, il y a encore tant de travail
stocké/sauvegardé dans le capital : il vient là-dessus un
imbécile qui claque tout ; alors vous avez un autre processus
que lorsqu'un humain intelligent vient là-dessus et initie un
processus fructueux.
25
Donc, à cette deuxième étape, où nous avons affaire à des
prêteurs et à des débiteurs, nous devons dire : nous avons
affaire avec le capital dont le travail a déjà disparu.
26
En quoi consiste maintenant la signification d'économie de
peuple de ce capital, dont le travail a disparu, en quoi
consiste-t-elle ? La signification d'économie de peuple
consiste simplement en ce que premièrement une possibilité a
été amenée qu'on peut lever un tel capital de dette, qu'on
peut le rassembler et, deuxièmement, qu'il peut être valorisé
spirituellement. C'est en cela que consiste la signification
d'économie de peuple de ce capital.
27
Le réel qui en découle est le rapport entre le débiteur et ses
donneurs d'argent. Et dans le processus d'économie de peuple
qui sera initié par le débiteur, le débiteur se tient dedans
au milieu. D'un côté, nous avons à faire avec ce qui tend vers
le débiteur et, de l'autre côté, ce qui part du produisant
spirituellement, le débiteur. Et nous pouvons dire : dans ce
cas, ce qui est d'un côté capital de prêt, par ce que cela
deviendra simplement du capital de dette, sera transformé dans
la deuxième étape du processus d'économie de peuple.
28
Vous n'y avez rien d'autre qu'une circulation de capital ;
mais cette circulation du capital est dans une activité
socio-organique, tout comme vous avez le sang dans une
activité organique humaine ou animale, quand il coule à
travers la tête et sera valorisé en ce que la tête produit.
29
Et j'aimerais dire : qu'est-ce qui est alors causé par le fait
que nous avons affaire à des prêteurs et à des débiteurs qui
apparaissent ? C'est quelque chose d'entièrement similaire à
ce à quoi vous êtes confronté en termes physiques quand une
sorte de différence de niveau se présente à vous. Quand vous
avez de l'eau ici en haut, ainsi elle descend là en bas par la
différence de niveau. Justement ainsi est simplement
disponible une différence sociale de niveau entre le premier
lieu du capital et le second, entre le lieu du prêteur qui ne
sait rien commencer avec cela, et le lieu du débiteur qui peut
le valoriser. Cela suscite la différence de niveau.
30
Mais nous devons considérer ce qui est l'actif dans cette
différence de niveau. L'actif n'est pas une fois ce qui
s'exprime en tant qu'esprit dans l'événement ; mais chez cette
différence de niveau, les diverses dispositions de l'humain
sont le conditionnant. Quand l'un qui est stupide, a du
capital, alors dans un sain processus d'économie de peuple, le
stupide sera au-dessus et l'avisé en dessous. Par cela
apparait une différence de niveau. Le capital coule à l'avisé.
Et par la différence de niveau entre les dispositions
humaines, le capital entre en fait en flot/fleuve/flux. Ce
n'est en fait pas une fois l'activité humaine, mais la qualité
des humains qui sont reliées les uns aux autres dans
l'organisme social qui provoque la différence de niveau et
alors en premier continue le processus d'économie de peuple.
31
Maintenant, regardez une fois concrètement ce processus
d'économie de peuple, ainsi vous vous direz : nous sommes
partis de la nature, qui ne vaut encore rien. Qu'elle ne vaut
rien ressort de ce que lorsque le moineau satisfait ses
besoins à la nature, ainsi ils ne paient rien pour cela. La
nature en tant que telle n'a aucune valeur d'économie de
peuple. L'économie du moineau le montre au contraire de
l'économie de peuple. La valeur d'économie de peuple commence
donc par le fait que le travail humain se lie avec la nature.
La poursuite du processus d'économie de peuple passe par ce
que le travail s'articule, se divise/partage. Tout d'abord,
prenons ce que nous avons là d'une façon hautement
indéterminée : Travail appliqué sur la nature. Je veux, afin
que progressivement un sens pleinement d'économie de peuple
vienne dans la chose, décrire ce qui se passe avec Na =
nature, saisi par le travail humain. Qu'est-ce que c'est au
sens d'économie de peuple : la nature, saisie par le travail
humain ? C'est, comme nous avons vu, valeur ; dans l'économie
de peuple, c'est valeur. Je veux donc dire : la nature, saisie
par le travail humain, est devenue une valeur : Nav. C'est
l'une des choses.
32
Vient maintenant la division du travail. Mais que signifie,
dans ce sens, division du travail ? En ce sens, la division du
travail signifie donc : diviser ces processus qu'on a d'abord
réalisés comme processus de travail effectués à la nature, et
qui continuent de vivre. N'est-ce pas, quand je fais d'abord
un four entier, ainsi j'ai effectué les processus de travail
les plus divers ; si je divise, alors j'ai épluché ces
processus de travail les uns des autres. Je divise. Quand ça
ici, Nav, est ce qui est produit naturel changé/transformé par
le travail, qui est devenu une valeur, alors ce qui apparait
par la division du travail, en ce que cela, Nav, sera épluché
l'un de l'autre - je pourrais donc aussi l'écrire autrement -,
doit être : = Navl, Nav2 et ainsi de suite.
33
Si cela traverse vraiment un processus réel, par quoi
devra-t-il alors être exprimé lorsque la division du travail
intervient ? Eh bien, par une division, par une fraction. Cela
doit, ce qui est disponible dans la réalité, en ce que la
valeur que j'ai reportée ici passe dans la division du
travail, cela devra être divisée d'une quelque manière. La
question se pose maintenant seulement, par quoi cela sera
alors divisé? Quel est alors le diviseur ? Qu'est-ce qui
divise alors ce processus ? Maintenant, là nous devons
regarder sur l'autre côté. N'est-ce pas, en mathématiques
pures, on a seulement besoin de prendre ce qui est donné comme
chiffres ; mais quand l'on doit chercher des processus de
calcul dans la réalité elle-même, il faut chercher ce qui
divise vraiment, il faut chercher cela. Maintenant, de l'autre
côté, nous avons trouvé le travail saisi par l'esprit. Donc,
Nav, on peut placer en vis-à-vis le travail saisi par
l'esprit, qui devient maintenant la valeur d'après l'autre
côté : Etv, écrit sous la ligne de fraction. Mais maintenant,
nous avons déjà réussi à comprendre quelque chose de ce
travail saisi par l'esprit : s'il devait continuer à œuvrer
dans le processus d'économie de peuple, quand cela, Nav, est
divisé, et il devrait continuer à œuvrer - nous avons donc vu
ce qui intervient en fait là pour cet Etv, le travail,
organisé par l'esprit, devenu une valeur, en fait intervient :
Tableau
4
Nav
⸻
Tev
34
L'argent intervient. Mais l'argent n'intervient pas maintenant
dans toute son entière abstraction - d'abord il est abstrait -
j'aimerais dire, comme la substance à laquelle l'esprit
s'applique ; mais ça devient très individualisé, très
particularisé, quand l'esprit le saisit et s'applique à une
chose ou une autre. Et en ce que l'esprit fait cela, l'esprit
en tant que tel détermine la valeur de l'argent. Ici, l'argent
commence à recevoir une valeur concrète déterminée. Car que
l'un soit un idiot et jette de l'argent sur quelque chose qui
ne fructifie pas, ou qu'on l'applique d'une certaine manière,
s'avère maintenant être une valeur bien réelle dans le
processus d'économie de peuple. Ainsi que vous obtiendrez, en
tant que ce dénominateur, ce qui a quelque chose à voir avec
l'argent. En tant que numérateur, je ne peux naturellement
rien obtenir d'autre que ce qui a à faire avec que j'ai
quelque chose devant moi en quoi une substance de la nature
s'est transformée. Mais quand une substance de la nature se
transforme par le travail et alors est là dans le processus
d'économie de peuple, alors c'est une marchandise, insérée
dans la formule : au-dessus de la ligne de fraction =
marchandise. Et ce qui ici est travail organisé, c'est
l'argent, inséré dans la formule sous la ligne de fraction =
argent.
Tableau
4 Nav
marchandise
⸻ = ⸻⸻⸻
Tev argent
Cela signifie
que de nouvelles valeurs nous sont maintenant apparues : la
valeur de marchandise et la valeur de l'argent. Et dans un
processus d'économie de peuple qui repose sur la division du
travail, nous avons à reconnaître que le quotient de la
marchandise disponible dans l'organisme d'économie de peuple
et l'argent disponible dans l'organisme d’économie de peuple -
quand nous l'envisageons non pas comme ce que nous comptons
dans les caisses, mais comme ce qui sera saisi par l'esprit de
l'humain - représente une collaboration dans laquelle l'argent
constitue le diviseur. Et dans cette collaboration - mais dans
une telle qui ne pourra quelque peu être représentée par
soustraction, mais justement par une division - la santé du
processus d'économie de peuple consiste en fait dans cette
collaboration. Et nous devrons comprendre, pour comprendre de
proche en proche la santé du processus d'économie de peuple,
ce qui œuvre là en fait dans le numérateur et ce qui œuvre là
dans le dénominateur : nous devrons toujours comprendre de
plus en plus
Nav
marchandise
Santé = ⸻ = ⸻⸻⸻
Tev
argent
en quoi repose l'essence même de la marchandise d'un côté et,
en quoi repose l'essence même des moyens de circulation,
l'argent de l'autre côté. Les questions les plus
significatives d'économie de peuple ne pourront pas du tout
être résolues si l'on ne traite pas les choses d'une manière
aussi exacte, mais il est aussi clair que, quoi qu'il arrive
dans l'économie de peuple, cela doit toujours être quelque
chose de fluctuant. À l'instant où la marchandise est apportée
d'un endroit à un autre, le numérateur devient autre et ainsi
de suite. Et je peux en fait toujours seulement prouver
comment tout est fluctuant dans le processus d'économie de
peuple.
35
Il y a une très grande différence entre la bourse que j'ai
dans ma poche et où sont cinq francs et la bourse qu'une autre
personne a et où sont aussi cinq francs. Il n'est pas égal que
les cinq francs soient dans l'une ou l'autre poche, car tout
cela devra absolument être saisi dans le processus économique
réel. Sinon, vous obtiendrez seulement quelques notions
implantées et abstraites de prix et valeur et marchandise et
production et consommation, et ainsi de suite, et vous n'en
obtiendrez rien de ce qui conduit réellement à une
compréhension du processus d'économie de peuple.
36
C'est ce qui est ainsi infiniment triste en notre présent,
c'est que nous sommes dans une situation où, simplement parce
que l'humanité a été habituée pendant des siècles à des
concepts aux contours très nets, qui ne sont pas applicables
dans le processus, nous ne pouvons pas ce qui se place
aujourd'hui comme une exigence si nécessaire devant nous : que
nous venions en mouvement avec nos concepts afin de pénétrer
les processus d'économie de peuple. C'est ce qui devra être
conquis : la mobilité de la pensée pour pouvoir réfléchir
intérieurement un processus comme tel. Certes, dans la science
de la nature, des processus seront aussi réfléchis, mais ainsi
qu'ils sont regardés de l'extérieur. Mais ça n'aide pas. Vous
devriez vous rendre loin vers en haut dans un ballon et
regarder le processus d'économie de peuple, comme le chimiste
regarde ses processus de l'extérieur. Ce qui distingue les
processus d'économie de peuple, c'est que nous nous tenons à
l'intérieur d'eux. Nous devons donc les examiner de
l'intérieur. Nous devons nous sentir dans les processus
d'économie de peuple comme, quelque peu, un être qui, disons,
serait dans une cornue. Quelque chose sera brassé ici sous
développement/évolution à chaud. Cet être, qui serait là dans
la cornue, cela ne peut pas être le chimiste, cet être, que je
veux comparer avec nous, mais ce devrait être un être, qui
participe à la chaleur, bout lui-même. Le chimiste ne peut pas
faire cela, au chimiste c'est une chose extérieure. En science
de la nature, nous nous tenons hors des processus. Le chimiste
ne pourrait pas participer à ça, quand ici une température de
cent cinquante degrés sera développée. Nous participons au
processus économique de l'intérieur partout, nous devons aussi
le comprendre de l'intérieur. C'est pourquoi c'est ainsi que
peut-être un mathématicien dit : Oui, tu nous as maintenant
inscrit un quelque chose comme une formule. Nous ne sommes
donc pas habitués à ce que des formules mathématiques soient
construites ainsi. - Certes, parce que nous sommes seulement
habitués que des formules mathématiques seront construites,
quand nous regardons les processus de l'extérieur ! Nous
devons développer des façons de voir afin que nous obtenions
un numérateur et un dénominateur et pour comprendre que
quelque chose doit être une division et ne peut pas être une
soustraction. Nous devons essayer de nous penser dedans dans
le processus d'économie de peuple. C'est pourquoi, j'ai
naturellement choisi cet exemple draconien hier, que je ne
vous ai pas montré un tailleur et un commerçant regardé de
dehors, comme le voit le scientifique de la nature, car là on
ne peut pas arriver à ce dont il s'agit. Si on veut entrer,
alors avec le penser, cela semble effrayant que l'on regarde
seulement de l'extérieur, comme chez le chercheur qui regarde
la cornue seulement de l'extérieur. Nous devons nous
représenter intérieurement toute la somme de processus qui se
jouent entre le tailleur et tous les effets qui se passent
selon l'économie de peuple.
37
Je ne me réaliserais pas dans l'accomplissement de ce que vous
m'avez demandé si je présentais la chose autrement que je la
présente. Cela rend la chose un peu difficile du début.
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