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Institut pour une triarticulation sociale
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Collection:  GA332a OEUVRES COMPLETES DE RUDOLF STEINER – CONFÉRENCES SUR L'AVENIR SOCIAL



DEUXIÈME CONFÉRENCE
Zurich, 25 octobre 1919

La vie de l'économie sur base associative
La transformation du marché
Formation de prix – Argent et système fiscal – Crédit

ZWEITER VORTRAG
Zürich, 25. Oktober 1919

Das Wirtschaften auf assoziativer Grundlage
Die Umwandlung des Marktes
Preisgestaltung— Geld- und Steuerwesen — Kredit

 


 

Les références Rudolf Steiner Oeuvres complètes GA332a 037-075 (1977) 25/10/1919

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Original





Traducteur: FG Editeur: SITE

Des façons de voir qui ont grandit vis-à-vis des faits de l'évolution sociale des temps récents, comme hier j'ai essayé de les expliquer, est apparu ce que vous trouvez répertorié dans mon livre « Les noyaux germinatifs de la question sociale », est apparue l'idée de triarticulation de l'organisation sociale. Cette idée de triarticulation de l'organisme social veut être une idée de vie absolument pratique et non contenir en soi une quelque chose un peu utopique. C'est pourquoi la condition préalable pour la rédaction de mon livre a été, que ce sera accepté avec un certain instinct pour les faits véritables, que ce ne sera pas jugé à partir de théories présaisies, d'opinions de parti pré saisies. Toutefois, quand est correct – et c'est sans doute correct, ce que j'ai introduit hier -, que progressivement les faits sociaux sont devenus si compliqués dans les rapports de vie des humains, qu'ils se laissent seulement embrasser du regard extraordinairement difficilement, une méthode particulière deviendra nécessaire lors de la discussion de ce qui aujourd'hui doit conduire à la volonté.


C'est donc vis-à-vis de cette complexité des faits seulement évidents que l'humain a tout d'abord une certaine compréhension pour cela, nommément aux phénomènes économiques, qui reposent dans ses cercles de vie. Seul tout, qui en eux reposent, est dépendant de toute l'économie restante, et aujourd'hui pas seulement de l'économie d'un pays, mais de toute l'économie du monde. Là l'individu viendra bien souvent dans la situation évidente et compréhensible de vouloir juger les nécessités pour l'économie mondiale d'après les expériences de son cercle de vie le plus proche. Il fera naturellement erreur en cela. Qui est familier avec les exigences d'un penser conforme à la réalité, celui là sait aussi quelle signification cela a, d'aller aux phénomènes du monde avec un certain instinct de réalité, pour venir par cela à certaines connaissances posant fondement, qui alors peuvent jouer dans la vie un rôle similaire comme dans certaines connaissances scolaires posant des vérités fondamentales.

Voyez-vous, quand on voulait partir là dessus, de reconnaître toute la vie de l'économie avec toutes ses particularités et de cela tirer d'abord des conclusions pour une volonté sociale, on n'aurait donc jamais terminé. Mais on aurait tout aussi peu terminé quand on devrait d'abord faire toutes les particularités, dans lesquelles, disons,le théorème de Pythagore trouve application dans la vie technique, pour reconnaître la vérité du théorème de Pythagore. On s'approprie la vérité du théorème de Pythagore de certains rapports intérieurs et on sait alors : partout, où son application vient en question, il doit valoir. On se résout aussi dans la connaissance sociale à ce que certaines connaissances fondamentales par leur nature interne peuvent se montrer comme vraies à la conscience. Et quand alors on a seulement sens de la réalité, alors on trouvera aussi que partout où elles viennent en question, elles sont aussi applicables. Ainsi, le livre « Les noyaux germinatifs de la question sociale » aimerait être compris à partir de sa nature intérieure, à partir de la nature intérieure des rapports sociaux présentés, et ainsi aimerait tout d'abord être saisie l'idée d'ensemble de la triarticulation de l'organisme social. Mais j'essayerais dans ces conférences de montrer absolument comment des phénomènes particuliers de la vie sociale livrent des confirmations pour ce qui se montre de cette idée de la triarticulation de l'organisme social qui résulte des nécessités de vie du présent et du proche avenir de l'humanité.



Mais pour le moment je serai contraint, de manière introductive, avant que je passe en fait à mon thème d'aujourd'hui, exposant simplement de placer devant vous ce qu'est l'idée de base de cette triarticulation de l'organisme social. Nous avons pu saisir hier soir le résultat que notre vie sociale doive placer ses exigences à partir de trois racines de fond, avec d'autres mots, que la question sociale soit une question d'esprit, une question d’état ou de droit, une question politique, et une question d'économie. Qui explore la vie des récents développements de l'humanité, celui-là trouvera que ces trois éléments de vie de l'esprit, vie de droit et d’État ou politique et vie de l'économie – ont coulés dedans ensemble chaotiquement progressivement jusque dans notre présent en un ensemble, une unité, et qu'à partir de ce couler ensemble nos dommages sociaux actuels sont apparus.

Reconnaît-on cela fondamentalement – et ces conférences devraient fournir la base pour cela qu'on pourrait reconnaître cela, ainsi on trouvera que l'avenir devrait se développer ainsi que la vie, la vie publique, l'organisme social serait articulé en une administration d'esprit autonome nommément la vie de l'esprit publique en système d'éducation et d'enseignement, en une administration autonome du politique, des rapports d’État, de droit, et en une pleinement autonome administration de la vie de l'économie.


Actuellement une seule administration englobe ces trois éléments de la vie dans nos États, et quand on parle d’une triarticulation, on sera aussitôt mécompris. On sera compris ainsi, que sera dit : maintenant donc, là quelqu’un veut une administration autonome pour la vie de l’esprit, une administration autonome pour la vie du droit – ou de l'état - ou politique, une administration autonome pour la vie de l'économie ; donc il promeut trois parlements, un parlement culturel, un parlement démocratique-politique et un parlement économique. – Si l’on promouvait cela, alors on ne comprendrait justement rien du tout de l’idée de la triarticulation de l’organisme social, car cette idée de la triarticulation de l’organisme social veut justement prendre complètement au sérieux les exigences, qui se sont montrées historiquement au cours des récents développements de l’humanité.
Et ces trois exigences on peut les exprimer avec trois mots qui toutefois sont déjà devenus des slogans ; passe-t-on par-dessus les slogans, pour rencontrer la réalité, ainsi on trouve, que trois impulsions historiques justifiées sont contenues dans ces trois mots. Ces trois mots sont les impulsions à la liberté de la vie humaine, l’impulsion après la démocratie, et l’impulsion à une formation sociale de l’être communautaire (NDT ou « du système de vie commune »). Mais si on prend au sérieux ces trois exigences, alors on ne peut pas les mettre en pelote ensemble en une seule administration, car alors l’une doit toujours gêner l’autre.
Qui par exemple prend au sérieux l’appel à la démocratie, celui-là doit se dire : cette démocratie peut seulement se vivre par une représentation du peuple ou par un referendum, quand chaque humain devenu majeur, en ce qu’il est placé égal en vis-à-vis à chaque autre humain devenu majeur, peut décider par son jugement, ce qui justement sur sol démocratique par la capacité de jugement de chaque humain devenu majeur pourra être décidé.


Maintenant, il y a – ainsi dit l’idée de la triarticulation de l’organisme social - tout un domaine de vie, c’est justement le domaine de la vie de droit, le domaine de la vie de l’État, le domaine des rapports politiques, dans lequel chaque humain devenu majeur est appelé, à partir de sa conscience démocratique à se prononcer. Mais quand est ainsi fait sérieusement avec la démocratie et que la vie de l’État devrait être entièrement démocratisée, ne peut plus jamais alors être tiré le domaine spirituel dedans cette démocratie d’un côté, et plus jamais ne peut être tiré le cycle de la vie de l'économie dans cette administration démocratique.

Dans cette administration démocratique, un parlement est absolument à sa place. Mais dans un tel parlement démocratique ne peut jamais être décidé sur ce qui est a réaliser sur le sol de la vie de l’esprit, aussi sur le sol du système d’éducation et d’enseignement. Ce que j'aurais à exposer bien plus précisément dans la quatrième conférence, je veux l'évoquer aujourd'hui de manière introductive : la triarticulation de l'organisme social aspire à une vie de l'esprit autonome en particulier dans les affaires publiques, dans le système d'éducation et d'enseignement. Cela signifie qu'il ne devrait pas être déterminé dans le futur par une quelque prescription d’État sur quoi et comment serait à enseigner, mais ceux-là qui vraiment se tiennent dans l'enseignement pratique, dans l'éducation pratique, ceux-là devraient aussi être les administrateurs du système d'éducation. Cela signifie, du plus bas niveau d'école primaire jusqu'en haut aux plus hauts niveaux d'enseignement la personne enseignante devrait être indépendante de quelque autre pouvoir, étatique ou économique en rapport à quoi et comment elle aurait à enseigner. Cela devrait suivre de ce qui sera éprouvé comme approprié pour la vie de l'esprit à l'intérieur de la collectivité spirituelle autonome elle-même. Et l'individu devrait seulement avoir besoin d'utiliser pour l'enseignement autant de temps qu'il lui reste encore pour être coadministrateur de l'entier système d'enseignement et d'éducation, mais aussi de la vie spirituelle d'ensemble.



J'essayerai de prouver dans la quatrième conférence comme par cette autonomie de la vie de l'esprit la constitution spirituelle de l'humain sera absolument placée sur un tout autre sol, et comme tout de suite surviendra, ce à quoi on peut le moins croire d'après les actuels préjugés, que cela viendrait. Par cette autonomie la vie de l'esprit recevra la force de vraiment intervenir fructueusement dans la vie de l’État et particulièrement dans la vie de l'économie. Et intérieurement sera tout de suite une vie de l'esprit autonome pas une grise théorie, ne livrera pas des façons de voir scientifiques étrangères au monde, mais pénétrera en même temps dans la vie humaine, ainsi que l'humain se pénétrera d'une telle vie de l'esprit autonome pas avec des façons de voir spirituelles purement abstraites, mais avec des connaissances par lesquelles il pourra placer son homme dans la vie économique. Tout de suite par l'autonomie la vie de l'esprit deviendra en même temps pratique. Ainsi qu'on peut dire : la vie de l'esprit aura à dominer connaissance factuelle et application des connaissances factuelles. N'aura pas à dominer ce qui peut venir du jugement d'un humain devenu capable de jugement, majeur. L'administration de la vie de l'esprit devra donc être retirée du parlementarisme. Qui croit que là devrait régner un parlement démocratique, celui-là mécomprend tout de suite fondamentalement la motivation de la triarticulation de l'organisme social.

C'est similaire dans la vie de l'économie. Mais la vie de l'économie a ses racines autonomes. Elle devra être administrée à partir de ses propres conditions. Mais il ne peut à nouveau pas être jugé démocratiquement sur l'art et la manière comment devrait être géré par des humains devenus majeurs, mais seulement par celui qui se tient dans une quelque branche de l'économie, qui est devenu capable pour une branche de l'économie, qui connaît l’enchaînement comment cette branche de l'économie dépend des autres branches de l'économie. Compétence factuelle et capacité factuelle ce sont les conditions par lesquelles seule peut se constituer dans la vie de l'économie quelque chose portant des fruits. Cette vie de l'économie sera donc démembrée d'un côté de l'État de droit, de l'autre côté de la vie de l'esprit. Elle devra être placée sur sa propre base.

Cela sera aussi méconnu des pensants socialistes aujourd'hui. Les pensants socialistes se représentent une quelque forme que la vie de l'économie devrait adopter, afin que disparaissent certains dommages de nature sociale dans le futur de l'humanité. On a vu, et c'est donc facile à voir, que par l'ordre économique de capitalisme privé du siècle dernier certains dommages sont survenus. Ces dommages sont évidents. Comment juge-t-on ? On se dit : l'ordre économique capitaliste privé est monté ; il a apporté les dommages. Les dommages disparaîtront quand nous abolirons l'ordre économique capitaliste privé, quand nous laisserons avancer l'économie commune à la place de l'ordre économique capitaliste privé. Ce qui comme dommages s'est levé est venu par là que des propriétaires particuliers ont personnellement les moyens de production pour propriété. Quand maintenant des propriétaires particuliers n'auront plus les moyens de production pour leur propriété, mais la communauté administrera les moyens de production, alors disparaîtront les dommages.



Maintenant on peut dire : des connaissances particulières, les pensants socialistes se les sont aussi déjà remportées, et il est intéressant comme ces connaissances particulières sont déjà absolument agissantes dans des cercles socialistes. On dit aujourd'hui déjà : oui, les moyens de production ou le capital, lequel est donc le représentant des moyens de production, devraient être administrés communautairement. Mais on a vu à quoi a conduit par exemple l'étatisation de certains moyens de production, l'étatisation de la poste et des chemins de fer et ainsi de suite et on ne peut absolument pas dire que les dommages auraient été écartés par ce que l’État est maintenant devenu capitaliste. Donc on ne peut pas étatiser. On ne peut pas non plus communaliser. On ne peut aussi pas atteindre quelque chose apportant des fruits par ce qu'on fonde des coopératives de consommation dans lesquelles les gens se mettent ensemble, qui ont besoin de consommation d'un quelque article.C'est gens là qui règlent cette consommation et par cela veulent aussi régler la production des biens à consommer, ceux-là deviendront comme consommateurs , aussi de l'avis de penseurs socialistes, des tyrans de la production. Et ainsi la connaissance est déjà parcourue de ce qu'aussi bien l'étatisation que la communalisation, comme aussi l'administration par des coopératives de consommation devient tyrannie des consommants. Les produisants deviendraient entièrement en dépendance des consommants. Ainsi, maints pensent alors que peut être fondé, comme une sorte d'administration communautaire, des associations productives de travailleurs, des coopératives productives de travailleurs ; là les travailleurs se mettraient d'accord ensemble, produiraient pour eux-mêmes d'après leurs opinions, d'après leurs principes fondamentaux.


À nouveau des penseurs socialistes ont reconnus que par là on n'atteindrait rien d'autre qu'à la place d'un capitaliste particulier on laisserait venir un nombre de travailleurs produisant en capitalistes pendant qu'on ne serait aussi pas en mesure de faire autre chose que le capitaliste particulier. Donc on repousse aussi les coopératives de travailleurs productives.

Mais avec cela on n'est donc pas encore satisfait, de reconnaître que ces communautés particulières ne pourraient conduire à rien de fructueux dans le futur. Qu'on se pense maintenant la société d'ensemble d'un quelque état, un quelque domaine économique fermé pourrait dans une certaine mesure devenir quand même une grosse coopérative, une grosse coopérative, dans laquelle tous sont participants en même temps producteurs et consommateurs, ainsi que non l'humain individuel immédiatement de lui-même développe l'initiative de produire cela ou ceci pour la communauté, mais que la communauté délivre comment devrait être produit, comment ce qui est à produire devrait être réparti et ainsi de suite. Oui, une telle grosse coopérative donc, qui englobe consommation et production, on veut la mettre à la place de l'administration économique privée de notre vie de l'économie moderne.


Qui maintenant regarde plus exactement dans la réalité, celui-là sait que pris fondamentalement cette escalade de la façon de voir sur cette grosse coopérative provient seulement de ce que chez elle l'erroné n'est pas si facile à embrasser comme dans le particulier lors de l'étatisation, lors de la communalisation, lors des coopératives productives de travailleurs, lors des coopératives de consommation. Aux dernières l'environnement de ce qu'on a à embrasser est dans une certaine mesure plus petit. On voit plus facilement l'erreur qu'on fait quand on aspire à de telles institutions, que chez la grosse coopérative, qui englobe tout un domaine de société. Ici on commence à parler sur ce qu'on veut faire et n'embrasse pas encore que les mêmes erreurs doivent se montrer qu'on reconnaît très bien en petit et qu'en grand on ne reconnaît seulement pas parce qu'on est pas capable d'embrasser toute la chose. C'est cela qu’il s'agit. Et on doit reconnaître ce sur quoi l'erreur de fond de toute cette pensée repose en en fait, qui fait voile dans une grosse coopérative, laquelle devrait se jeter là dessus, d'administrer d'elle-même l'ensemble de la consommation et l'ensemble de la production.



Comment pense-t-on en fait quand on veut réaliser quelque chose de tel ? Maintenant, comme on pense à cela, de nombreux programmes de partis le montrent tout de suite dans notre présent. Comment se montrent-ils, ces programmes de partis ? On se dit : maintenant oui, là sont certaines branches de production qui devront être administrées en commun. Alors à nouveau elles doivent se rassembler à de plus grandes branches, à de plus gros domaines d'administration. Là doit à nouveau être ainsi une quelque centrale d'administration, laquelle administre le tout, et ainsi vers le haut jusqu'à la position économique centrale qui administre le tout de la consommation et de la production. Quelles pensées, quelles représentations utilise-t-on en cela ? On utilise en effet cela qu'on a à s'approprier dans la vie politique, comme cela s'est développé vers le haut dans la récente histoire de l'humanité. Les humains qui parlent aujourd'hui de programmes économiques ont pour la grande partie fait leur école dans la pure vie politique. Ils ont pris part à tout ce qui s'est joué lors des combats électoraux, qui se joue quand on est élu et alors dans une quelque représentation du peuple a à représenter ceux-là par lesquels on est élu. Ils ont fait dans quels rapports on entre alors dans des positions administratives qui sont des positions politiques, et ainsi de suite. Ils ont dans une certaine mesure appris à connaître tout le modèle de la représentation politique et ils veulent basculer ce modèle de la représentation politique sur tout le cycle de la vie de l'économie. Cela signifie que la vie de l'économie devrait être politisée de part en part d'après de tels programmes, car on a seulement appris à connaître le politique de l'administration.

Ce qui fait aujourd'hui amèrement nécessité est : reconnaître que tout ce modèle quand on le bascule sur la vie de l'économie est quelque chose de totalement étranger à la vie de l'économie. Mais la plupart des gens, qui aujourd'hui parlent de quelques réformes de la vie de l'économie ou d'autant de révolutions de la vie de l'économie sont au fond de purs politiciens qui partent de la superstition que ce qu'ils ont appris sur le champ politique se laisserait appliquer dans l'administration de la vie de l'économie. Mais une guérison de notre cycle économique se présentera seulement quand cette vie de l'économie sera regardée et formée à partir de ses propres conditions.

Qu'exigent alors de tels réformateurs économiques politisants ? Ils exigent rien de moins que soit déterminé par cette hiérarchie de la position centrale   à l'avenir : premièrement, ce qui devrait être produit et comment devrait être produit. Deuxièmement, ils exigent que toute la manière du processus de production devrait être déterminée à partir de la position d'administration. Troisièmement, ils exigent que ces humains-là qui devraient prendre part au processus de production soient choisis et déterminés et mis à leur place par cette centrale. Quatrièmement, ils exigent que ces centrales fassent la répartition des matières brutes aux entreprises particulières. Donc l'ensemble de la production devrait être placé sous une hiérarchie d'administration politique. C'est donc cela sur quoi la plupart des idées réformatrices économiques courent dehors dans le présent. Seulement, on ne reconnaît pas qu'avec une telle réforme on resterait planté au sol qu'on a déjà aussi aujourd'hui et ne mettrait pas de côté ses dommages, mais au contraire les agrandirait dans la démesure. On reconnaît comment cela ne va pas avec l'étatisation, avec la communalisation, avec les coopératives de consommation, avec les coopératives de production de travailleurs ; mais on ne reconnaît pas comment on transférerait seulement ce qu'on blâme si lourdement au système capitaliste privé sur l'administration commune des moyens de production.

C'est cela qui aujourd'hui devra être reconnu avant toutes choses : que par une telle mesure, par de telles institutions vraiment partout là où elles seront rencontrées, devrait pénétrer ce qui aujourd'hui déjà se montre très clairement dans l'est de l'Europe. Dans cet est de l’Europe des gens seuls était en mesure d'exécuter de telles idées réformatrices économiques, de les transposer dans la réalité. Les humains qui veulent apprendre des faits, ceux-là peuvent voir au destin vers lequel l'est va au-devant, comment ces mesures se conduisent elle-même ad absurdum. Et quand les humains ne s'obstineraient pas à leurs dogmes, mais voudraient vraiment apprendre des faits, alors on ne dirait pas aujourd'hui que de ces raisons subalternes ou celle-ci la socialisation économique en Hongrie aurait échouée, mais on étudierait pourquoi elle devait échouer, et on reconnaîtrait que chacune de telle socialisation peut seulement détruire, rien créer de fructueux pour l'avenir.


Mais à de larges cercles, il sera aujourd'hui encore difficile d'apprendre des faits de cette manière. Cela se montre donc au mieux à des choses qui en fait seront souvent mentionnées entre parenthèses de penseurs socialistes. Ils disent : oui, c'est correct, toute la vie de l'économie moderne a été transformée par la technique moderne. Mais voudraient-ils poursuivre ce cours de pensée alors ils devraient connaître le rapport entre technique moderne et connaissance des choses et capacité métier. Ils devraient voir comme partout dans la gestion elle-même intervient cette technique moderne. Mais cela ils ne veulent pas voir. Et ainsi, ils disent entre parenthèses : ils ne veulent pas travailler sur manière technique des processus de production.Elle aimerait reposer sur elle-même. Il veulent seulement travailler avec art et manière comment les humains qui sont impliqués aux processus de production, se tiennent dedans socialement, comment la vie sociale se forme pour les humains impliqués au processus de production.

Mais c'est donc tangible – quand on veut seulement le voir, quand on veut seulement le saisir comme la technique elle-même intervient dedans dans l'immédiate vie économique. Seulement un exemple serait exposé, qui tout simplement est un exemple classique. La technique moderne l'a amené à cela – si je m'exprime sommairement - à produire des produits par de nombreuses machines, qui alors servent la consommation. Et ces machines dépendent uniques et seules de ce que quatre cents à cinq cents millions de tonnes de charbon auront été extraites pour l'activité économique dans le temps avant que cette catastrophe guerrière n'éclate. Si on converti ce qui par la machine qui repose sur pensées humaines, qui peut seulement être utilisée par des pensées humaines, d'énergies économiques, de forces économiques, seront réunies, ainsi se montre le résultat suivant : si on calcule des jours de travail de huit heures, ainsi se montre que par les machines, cela signifie par les pensées humaines incorporées dans les machines, par le don de découverte des esprits, autant d'énergie de travail, autant de force de travail sera réunie, comme pourrait être réunie par sept cents à huit cents millions d'humains.

Quand vous vous représentez de là que la Terre a pour population environ mille cinq cents millions d'humains, qui emploient leurs forces de travail, ainsi elle a, par le don de découverte des humains dans la récente évolution de culture par l'évolution technique, reçu en plus sept cent à huit cents millions. Donc deux mille millions d'humains travaillent ; cela signifie, vraiment ces sept cent à huit cents millions ne travaillent pas, mais les machines travaillent pour eux. Qu'est-ce qui travaille donc dans les machines ? Là, travaille l'esprit humain.

Cela est extraordinairement significatif qu'on regarde vraiment au travers de tels faits qui se laissent facilement multiplier. Car à partir de tels faits on connaîtra que la technique ne peut pas être ainsi laissée de côté entre parenthèse, mais que la technique comme telle coopère toujours activement dans le processus économique, qu'elle est fichée dedans. La vie de l'économie moderne n'est absolument pas pensable sans la base de la technique moderne, sans connaissance des choses et des métiers.

On ne compte pas avec la réalité, mais avec des idées présaisies, provenant des passions humaines quand on ne voit pas de telles choses. L'idée de la triarticulation de l'organisme social le pense certes sincère avec la question sociale. Mais cependant elle ne peut tenir sur le sol sur lequel se tiennent ceux-là qui parlent ainsi à partir de slogans, de programmes de partis. Elle doit parler à partir du factuel. Elle doit de cela, en ce qu'elle se tient sur le sol de la réalité, reconnaître que la gestion, en particulier dans notre vie compliquée, et entièrement et complètement placée dans l’initiative de l'individu. Met-on la communauté abstraite à la place de l'initiative de l'individu ainsi cela signifie l'extinction, la mort de la vie de l'économie. L'Est de l'Europe pourra le prouver, quand il restera encore longtemps sous la même domination, sous laquelle il est justement. Cela signifie l'extinction, la mort de la vie de l'économie quand on retire de l'individu l'initiative qui doit partir de son esprit et voler dans le mouvement des moyens de production, tout de suite pour le bien de la communauté humaine.


Mais par quoi est donc survenu maintenant ce qu'aujourd'hui nous voyons comme dommages ? Que le processus de production moderne par ses perfections techniques promeut l'initiative de l'individu, cela promeut aussi la possibilité que l'individu dispose de capital et puisse exécuter le processus économique par son initiative, c'est cela que la récente évolution de l'humanité à fait monter. Et les dommages, qui sont venus avec – on connaît leur origine à partir de tout autres soubassements. Veut-o connaître cette origine, alors on doit avant toutes choses se placer sur le sol du principe d'association à la place du sol du principe coopératif aussi quand on pense grosses coopératives.



Que signifie de se placer sur le sol du principe associatif plutôt que sur le principe coopératif ? Cela signifie ce qui suit : qui se place sur le sol du principe coopératif, celui-là prétend que les humains ont seulement besoin de se mettre ensemble, de prendre des décisions à partir de leur communauté, alors ils peuvent administrer les processus de production. Donc on décide d'abord l'association des humains, le regroupement des humains et alors on veut produire du regroupement commun, de la communauté d'humains. L'idée de l'organisme triarticulé se pose sur le sol de la réalité et dit : tout d'abord, des humains doivent être là, les humains qui peuvent produire, qui sont au courant de la chose et compétents en la matière. D'eux doit dépendre le processus de production. Et ces humains au courant de la chose et compétents en la matière, ils doivent maintenant se rassembler et soigner la vie de l'économie sur base de cette production qui s'envole de l'initiative de l'individu. - Cela est le véritable principe d'association. Là sera tout d'abord produit et alors le produit, sur la base du regroupement des personnes produisant, apporté à la consommation.


Qu'on ne reconnaisse pas aujourd'hui la différence, la différence radicale entre ces deux principes, c'est dans une certaine mesure le malheur de notre temps. Car de cette raison tout arrive en fait. On n'a pas l'instinct pour cela, reconnaître, que chaque communauté abstraite doit enterrer le processus de production quand elle veut l'administrer. La communauté, que devrait être une association, peut seulement accueillir ce qui sera produit à partir de l'initiative de l'individu et peut l'apporter socialement à la répartition aux consommants.

On ne voit pas aujourd'hui l'important qui repose à la base de ces choses pour une raison que j'ai déjà fournie hier : à peu près à l'époque dans laquelle se produisaient la récente histoire de l'humanité, la renaissance, la Réforme , les métaux précieux ont voyagé par dessus vers ici d'Amérique du centre ou du Sud, lesquels ont conduits de ce qui jusque-là presque encore uniquement donnait la mesure, l'économie naturelle, à l'économie financière (NDT ou de l'argent). Avec cela s'est déroulée une révolution économique significative en Europe. Des rapports s'en sont formés sous l'influence desquels nous nous tenons encore absolument. Mais ces rapports ont en même temps ; j'aimerai dire, former des rideaux par lesquels on ne peut voir au travers sur les vraies réalités.
Regardons-nous encore une fois plus exactement les rapports. Partons de la vieille économie naturelle, bien qu'aujourd'hui elle ne soit plus là dans son déploiement. On a là à faire dans le processus économique de la vieille économie naturelle seulement avec ce que l'individu produit. Cela, il peut l'échanger avec ce que l'autre produit. Et on aimerait dire : à l'intérieur de cette économie naturelle, où seulement produit peut être échangé contre produit doit régner une certaine qualité. Car veut-on un produit dont on a besoin, ainsi on doit en avoir un qu'on peut échanger pour cela, et on doit avoir un produit tel que l'autre l'accepte comme de même valeur. Cela signifie, les humains sont obligés quand ils veulent avoir quelque chose de produire aussi quelque chose. Ils sont obligés d'échanger ce qui a une valeur réelle, une valeur réelle évidente.


À la place de cet échange de biens, qui ont une valeur réelle pour la vie humaine, s’est avancée l’économie de l’argent. Et l’argent est devenu quelque chose, avec lequel on gère, avec lequel on gère justement ainsi qu’on gère dans l’économie naturelle, avec les objets réels. Mais par là que l’argent est devenu un véritable objet de l’économie, il reflète vraiment quelque chose d’imaginaire de l’humain, et en ce qu’il agisse ainsi, il tyrannise en même temps les humains.

Prenons un cas extrême : que justement l’économie du crédit, à laquelle j’ai rendu attentif hier à la fin, s’écoule dedans l’économie de l’argent. Elle a fait cela souvent dans les derniers temps. Là s’établit alors par exemple ce qui suit :on veut faire une quelque installation, comme État ou comme particulier, une installation de télégraphe ou semblable. On peut demander du crédit, du crédit d’une hauteur toute significative. On pourra mettre sur pied cette installation télégraphique. Certaines conditions se feront valoir en certaines masses d’argent. Mais ces masses d’argent devront être soumises à des intérêts. On doit subvenir à ce prélèvement d’intérêts. Et dans de nombreux cas, qu’est ce qui se présente à l’intérieur de notre structure sociale – le plus souvent dans l’étatisation, quand l’État gère lui-même -, qu'est-ce qui se présente ? Que cela, qu’on a dans le temps établi et pour quoi on a utilisé l’argent concerné, est depuis longtemps consommé, que ce n’est plus là, et que les gens doivent toujours débourser cela, ce qui jadis a été exigé comme crédit ! Cela signifie : ce qui sera dû conformément à crédit, cela est déjà parti, mais on gère toujours encore autour de l’argent.
De telles choses ont aussi des significations d’économie mondiale. Napoléon III, qui était complètement enfilé par les idées modernes, reçu l’idée, d’embellir Paris, et il a laissé construire beaucoup. Les ministres, qui étaient ses outils dociles, ont construit. Les revenus de l’État – ils vinrent là dessus – on peut les utiliser pour simplement payer les intérêts. Maintenant Paris est devenu bien plus beau, mais les gens payent aujourd’hui encore les dettes, qui ont été faites jadis ! Cela signifie : après que les choses ne soient depuis longtemps plus ce qui réel repose à leur base, on gère encore toujours autour de l’argent, qui est devenu lui-même un objet d’économie.

Cela a aussi son côté de lumière. Dans l’ancienne économie naturelle, là il était nécessaire, quand on gérait, de produire des biens. Ceux-ci étaient soumis évidemment au dépérissement, ils pouvaient disparaître, et on était informé là-dessus, toujours travailler plus avant, toujours fabriquer de nouveaux biens, si de tels devaient être là. Chez l’argent ce n’est pas nécessaire. On vous le donne, on le prête à quelqu’un, on se place en sûreté. Cela signifie, on gère avec l’argent entièrement librement de ceux qui fabriquent les biens. L’argent émancipe dans une certaine mesure les humains des processus économiques immédiats, justement en ce qu’il devient lui-même processus économique. Cela est extraordinairement significatif. Car dans l’ancienne économie naturelle le particulier était dépendant du particulier, l’humain était dépendant de l’humain. Les humains devaient collaborer, ils devaient se supporter. Ils devaient se mettre d’accord sur certaines installations, sinon la vie de l'économie n’allait pas plus loin. Sous l’économie de l’argent est naturellement celui, qui devient le capitaliste, aussi dépendant de ceux qui travaillent, mais à ceux qui travaillent, il se tient tout à fait étranger vis-à-vis d’eux. Combien prêt se tenait aussi le consommateur au producteur dans l’ancienne économie naturelle, où on avait à faire avec de réels biens ! Combien loin se tient celui qui gère avec l’argent, celui qui travaille pour ce que cet argent puisse larguer ses intérêts ! Des fossés seront ouverts entre les humains. Les humains ne se tiennent plus en proximité sous l’économie de l’argent. Cela doit avant toute chose être envisager, quand on veut reconnaître, comment les masses humaines laborieuses, bien égal si elles sont travailleurs spirituels ou physiques, comment ceux qui vraiment produisent, devront à nouveau être amenés en proximité de ceux qui avec des placements font possible le gérer. Mais cela ne peut se passer que par le principe d’association, par cela, que les humains à nouveau se regrouperont comme humains. Le principe d’association est une exigence de la vie sociale, mais une telle exigence, comme je l’ai caractérisée, pas une telle, comme elle en fait très souvent office dans des programmes socialistes.


Et qu'est-ce qui est tout de suite encore entré toujours de plus en plus dans le temps récent sous la prise en main par l'économie de l'argent ? Par cela est aussi devenu dépendant de l'argent, celui-là qu'on nomme travail humain. Autour de l’en-ordonnancement du travail humain dans la structure sociale disputent donc socialistes et d'autres. Et on peut, pour et contre ce qui sera émis des deux côtés, fournir de bien bonnes raisons. On le comprend parfaitement, en particulier quand on a appris, non a penser et ressentir sur le prolétariat, mais à penser et sentir avec le prolétariat, on le comprend pleinement quand le prolétariat dit, sa force de travail n'aurait plus le droit à l'avenir d'être marchandise, il n'y aurait pas il droit que subsiste plus avant le rapport, que d'un côté on paye des biens sur le marché des marchandises, et de l'autre côté sur le marché du travail en la forme du salaire, on paye le travail humain. Cela est bon à comprendre. Et c'est bon de comprendre que Karl Marx ait trouvé beaucoup de partisans, alors qu'il évaluait que celui-là qui travaille produit une plus-value, qu'il ne reçoit pas le plein bénéfice de sa force de travail, mais produit une plus-value, que cette plus-value sera délivrée à l'entrepreneur et qu'alors le travailleur sous l'influence d'une telle théorie combat autour de cette plus-value. Mais il est tout aussi facile de prouver de l'autre côté que le salaire du travail sera payé du capital, que la vie de l'économie moderne sera entièrement réglée par l'économie du capital, que certains produits larguent quelque chose capitalistiquement, et que d'après ce qu'ils larguent, payent le salaire du travail, achètent le travail ; cela signifie, le salaire du travail sera fabriqué du capital. - On peut prouver cela tout aussi bien que l'autre. On peut prouver que le capital est le parasite du travail, on peut prouver que le capital est le créateur absolument du salaire du travail, bref, on peut représenter des opinions de parti avec la même validité d'un côté comme de l'autre.


On devrait une fois reconnaître cela radicalement. Alors, on reconnaîtrait comment ça vient que dans le présent sera cherché à obtenir quelque chose de préférence par le combat seul et pas par progression factuelle et clarification des rapports. Le travail est quelque chose qui est ainsi absolument différent des marchandises, qu'il est entièrement et pleinement impossible de payer de la même manière avec de l'argent pour la marchandise et pour le travail sans dommages économiques. Seulement les humains ne reconnaissent pas comment les rapports sont. Ils ne voient pas aujourd'hui encore l'ensemble de la structure économique tout de suite sur ce domaine.

Il y a aujourd'hui de nombreux économistes nationaux qui se disent : quand les moyens d'argent (NDT capitaux), les moyens de circulation, donc argent métal ou argent papier seront multipliés de manière peu chère, ainsi l'argent deviendra bon marché et en particulier les biens les plus nécessaires deviendront alors plus chers. - On remarque cela, et on reconnaît l'insensé de la simple multiplication de l'argent (NDT augmentation de la masse monétaire). Car cette simple augmentation de masse monétaire – ainsi on peut le saisir avec les mains – ne fait rien d'autre que ce que les moyens de vie (NDT denrées alimentaires) deviendront aussi plus chers. La familière vis sans fin va toujours, se meut toujours. Mais on ne reconnaît aussi pas autre chose : que dans l'instant où on paye le travail justement ainsi qu'on paye la marchandise, qu'on paye les produits, le travail doit évidemment aspirer après cela, recevoir par combat de toujours meilleures et meilleurs payements, toujours de meilleures et meilleures rémunérations. Mais ce que le travail reçoit d'argent pour rémunération, cela a cette fonction pour la formation des prix comme la pure multiplication des moyens de circulation monétaires. C'est cela qu'on devrait reconnaître.

Vous pouvez, comme maints ministres des finances l'on fait, plutôt que de rehausser la production, à la place de veiller que la production devienne plus fructueuse, simplement amener des billets, multiplier les moyens de circulation. Alors, les humains auront plus de moyens de circulation, mais tous les produits, en particulier les nécessaires denrées alimentaires seront aussi plus chères. Cela les humains le reconnaissent déjà. De cela ils reconnaissent comme c'est insensé de multiplier simplement abstraitement les moyens de circulation monétaire. Mais on ne reconnaît pas que tout l'argent qu'on dépense seulement sous le point de vue de payer du travail, agit tout de suite ainsi sur l'enchérissement des biens. Car des prix sains ne peuvent se former eux-mêmes qu'en dedans d'une vie de l'économie autonome. Des prix sains peuvent seulement se former quand ils seront développés à la valorisation de la prestation humaine.C'est pourquoi l'idée de la triarticulation de l'organisme social – et exposer cela plus exactement sera la tâche particulièrement demain - cherche à démembrer complètement le travail du processus économique.


Le travail en tant que tel n'est pas du tout quelque chose qui appartient dedans le processus économique. Pensez donc une fois ce qui suit. Cela semble particulier, paradoxal, quand on le dit, mais beaucoup de choses se prennent aujourd'hui paradoxalement, qui justement devraient absolument être reconnues. Les humains ont dévié très loin de la pensée droite ; c'est pourquoi ils trouvent maint entièrement absurde, qui tout de suite doit être dit à partir des bases de la réalité. Supposez, aujourd'hui quelqu'un fait du sport du matin au soir. Il fait un genre de sport. Il utilise exactement tout autant de force de travail comme un qui fend du bois ; tout exactement autant il utilise la force de travail. Seulement, il s'agit de ce que quelqu'un utilise de la force de travail pour la communauté humaine. Celui qui fait du sport, ne fait par là rien pour la communauté humaine, tout au plus par cela qu'il se fait fort ; seulement, il ne l'utilise pas en règle générale. Mais pour la communauté cela n'a en règle générale pas du tout de signification quand quelqu'un fait son travail à cause du sport, ce par quoi il se fatigue autant que par le fendre du bois. Fendre du bois, cela a de la signification

Cela signifie, utiliser de la force de travail, c'est quelque chose, qui vient en question dans la vie sociale. On doit regarder sur ce qui se constitue par la force de travail.Cela a valeur pour la communauté. C'est pourquoi peut seulement aussi venir en question le produit, qui sera produit par la force de travail à l'intérieur de la vie de l'économie. Et l'administration économique ne peut s'occuper qu'avec cela : régler la valeur réciproque des produits. Le travail doit entièrement rester hors du cycle de production.



Il doit reposer sur le sol du droit, sur le sol dont nous discuterons demain, où chaque humain devenu majeur a comme un égal à juger vis-à-vis de chaque humain devenu majeur. Manière et temps, caractère du travail sera déterminé par les rapports de droit des humains entre eux. Travail doit être retiré du processus économique. Alors, ne restera plus pour le processus économique que ce qu'on peut nommer la régulation de la valorisation réciproque des marchandises, la régulation de combien on a à obtenir des prestations d'un autre pour sa prestation. Pour cela les humains auront à venir qui s'articulent hors à partir des associations qui décideront entre produisants et autres produisants, produisants et consommants et ainsi de suite. On aura à le faire avec cette formation de prix.



Le travail ne sera absolument pas un domaine qu’on a à régler à l'intérieur de la vie de l'économie, il sera expulsé de l'économie. Quand le travail se tient à l'intérieur de la vie de l'économie, ainsi on a à payer le travail à partir du capital. Par cela est fait exactement ce qui dans la vie de l'économie moderne peut être appelé la poursuite après le pur profit, après le pur gain. Car par cela, celui qui veut livrer des produits économiques se tient tout à l'intérieur d'un processus qui trouve finalement son achèvement dans le marché.

Et ici devrait être en fait placé correctement par celui qui veut vraiment devenir sensé, une idée, un concept qui est aujourd'hui conçu de manière très, très erronée. On dit : Le produisant capitaliste apporte ses produits sur le marché, il veut profiter. Et après qu'avec un certain droit des pensants socialistes ont dit : toute l’éthique n'a rien à voir avec ce produire, seulement la pensée économique - on veut aujourd’hui bien trop mélanger le profit, le gain avec l'éthique à partir de points de vue éthiques, moraux.

Ici ne devrait pas être parlé d’unilatéralement moral, pas d'unilatéralement économique, mais du point de vue de la société dans son ensemble. Et là on doit dire : qu’est-ce qui se montre dans le gain, dans le profit, qu’est-ce donc ?  Quelque chose de quoi on ne peut parler en principe dans de véritables contextes économiques seulement ainsi qu'on peut parler de ce qu'il fait plus chaud lorsque la colonne du thermomètre, la colonne de mercure, monte dans la chambre. Quand quelqu'un dit : cette colonne de mercure me montre que c'est devenu plus chaud - ; alors, il saura que ce n'est pas la colonne de mercure qui a rendu la pièce plus chaude, que la colonne de mercure indique seulement qu'il a fait plus chaud dans la chambre par d'autres facteurs. Le gain sur le marché, qui se constitue sous nos actuelles conditions de production, est aussi pour le moment rien d’autre que l'indicateur du fait qu'on peut produire des produits qui dégagent un gain. Parce que j’aimerais savoir d’où on devrait gagner aujourd'hui dans le monde entier un quelque indice qu'un produit serait à produire, quand cela ne se révèle pas que cela dégage un gain quand on le produit et l’apporte au marché ! Cela est le seul indicateur pour cela que nous avons le droit de façonner la structure économique de sorte que ce produit apparaisse. Qu’un produit n’a pas le droit d’être fabriqué se montre seulement par cela que, si on l'amène sur le marché, on remarque : il n’y a là pas de vente. Les gens ne le demandent pas. On n’atteint pas de gain. - C'est le réel état de fait, et non pas toute la fable et le radotage, dont a été parlé d'offre et de demande dans beaucoup d'économies nationales. Le phénomène originel, l’apparition originelle sur ce domaine est qu’aujourd'hui uniquement et seulement le dégager du profit mets l' humain en mesure de se dire : tu peux produire un certain produit, car il aura une certaine valeur à l'intérieur de la communauté humaine.



La transformation du marché, qui a aujourd'hui cette signification, se produira quand un véritable principe d'association sera à l'intérieur de notre vie sociale. 

Alors la demande impersonnelle, isolée de l’humain et l’offre ne décideront pas sur les marchés, si un produit doit être produit ou non, alors de ces associations émergeront par la volonté sociale des humains y étant occupés d’autres personnalités qui s'occuperont d’étudier la relation entre la valeur d'un bien produit et son prix.

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La valeur d'un bien produit ne vient pas du tout en question dans un certain rapport aujourd'hui. Elle forme toutefois l’impulsion à une demande. Mais cette demande est donc vraiment une bien problématique dans notre vie sociale actuelle parce que lui fait toujours face la question, si aussi sont disponibles pour la demande les moyens correspondants, les conditions de possession correspondantes. On peut bien avoir des besoins : lorsqu'on ne dispose pas des moyens nécessaires pour les satisfaire, on ne peut pas du tout les demander. Mais il s'agit de ce qu'un membre de liaison devra être construit entre les besoins humains, qui donnent leur valeur aux biens, aux produits, et les prix.
Car ce dont on a besoin a sa valeur humaine selon ce besoin. De l'ordre social devra se dégager des institutions qui formeront le pont de cette valeur qui est imprimée aux produits par les besoins humains, et les prix, qu'ils doivent avoir.



Aujourd'hui, le prix sera défini par le marché, selon que des gens sont là, qui peuvent acheter ces biens, qui ont l'argent nécessaire. Un véritable ordre social doit être orienté de manière que les humains, qui à partir de leurs besoins justifiés doivent avoir des biens, puissent aussi les recevoir, cela signifie, que le prix sera vraiment assorti à la valeur des biens, qu'il l'exprime. À la place de l'actuel marché chaotique doit arriver une institution, par laquelle les besoins des humains, la consommation des humains ne soient pas tyrannisée comme par des coopératives productives de travailleurs ou par de grandes coopératives socialistes, mais par laquelle la consommation des humains sera explorée et serait déterminé comment devrait être satisfait à cette consommation.

Pour cela est nécessaire que sous l'influence du principe associatif soit vraiment introduit la possibilité de produire des marchandises ainsi qu’elles correspondent aux besoins observés, cela signifie des institutions doivent être là avec des personnes, qui étudient les besoins. La statistique ne peut enregistrer qu'un instant ; elle n'est jamais mesure pour l'avenir. Les besoins qui chaque fois sont existants doivent être étudiés, ensuite les institutions pour produire trouvées. Lorsqu'un article développe la tendance à devenir trop cher, alors c'est un signe de ce que trop peu d'humains travaillent pour cet article.
Des négociations doivent être cultivées pour que des travailleurs soit reconvertis d'une autre branche de production vers celle-ci de manière à ce que plus de cet article soit produit. Si un article a la tendance à devenir trop bon marché, si son producteur gagne trop peu, alors doivent être conduites des négociations par lesquelles moins d'humains travaillent à cet article.
Cela signifie : de l'art et la manière dont les humains sont placés à leur poste, doit dépendre comment à l'avenir seront satisfait les besoins. Le prix des produits est conditionné par le nombre des humains qui y travaillent.
Mais il sera par de telles institutions semblables aux valeurs, égal pour l'essentiel aux valeurs, que le besoin humain a attribué au bien produit concerné.]




Là nous voyons, comment à la place du marché de hasard agira la raison de l’humain, comment le prix amènera à l’expression ce que les humains auront négocié, dans quels contrats les humains sont entrés par les institutions, lesquelles existent. Ainsi, nous voyons la transformation du marché donnée par cela, que de la raison s’introduise à la place du hasard de marché qui règne aujourd'hui.


Nous voyons absolument : aussitôt que nous démembrons la vie de l'économie des deux autres domaines que nous discuterons dans les prochains jours, nous discuterons aussi les rapports à la vie de l'économie et maint qui doit rester non clair aujourd'hui deviendra clair aussitôt que nous démembrons la vie de l'économie des deux autres, du domaine du droit ou de l'état et de la vie de l'esprit, ainsi la vie de l'économie sera placée sur une base saine, raisonnable. Car il ne sera alors seulement vu là-dedans sur l'art et la manière dont on fait l'économie (NDT « wirtchaften » pourrait aussi se traduire simplement par « gérer »). On n'a plus besoin par là de laisser restreindre le prix des marchandises, que le prix des marchandises maintenant devrait aussi fixé, combien de temps devrait être travaillé, ou combien beaucoup devrait être travaillé, ou combien de salaire devrait être payé et semblable, mais on n'a a faire dans la vie de l'économie qu'avec les manières de comparer la valeur des marchandises. Avec cela on se tient dans la vie de l'économie aussi sur un sol sain.

Ce sol sain devra être obtenu pour l'ensemble de la vie de l'économie. C'est pourquoi dans une telle vie de l'économie sera à nouveau ce qui aujourd'hui par la pure économie de l'argent, où l'argent est lui même objet de gestion (NDT économique), ne peut être que formation d'apparence, reconduit à une base naturelle de bonne qualité. On ne pourra dans le futur plus avoir à faire avec la gestion par l'argent et pour l'argent, car les institutions auront à faire avec les valeurs réciproques des biens. Cela signifie, on retournera à nouveau a la bonne qualité des biens, et avec cela retournera à la capacité de prestation, à la compétence de l'humain. Et on ne pourra plus faire dépendre les rapports de crédit de si de l'argent est disponible ou pas et si ainsi sera risqué de l'argent, mais les rapports de crédit seront dépendant de si des humains sont disponibles, qui sont compétent à cela, de mettre en scène vraiment l'un ou l'autre, de produire l'un ou l'autre. Le crédit aura la compétence humaine.


Et en cela que la compétence humaine donne la frontière, comme aussi loin on accorde crédit, ce crédit ne pourra pas être accordé au-delà de cette compétence humaine. Quand vous donnez purement de l'argent et laisser l'argent gérer, alors peut ce qui sera créé par cela, être depuis longtemps consommé – à l'argent on doit donc encore toujours gérer autour. Si vous donnez de l'argent seulement pour compétence humaine, alors s'arrête évidemment avec cette compétence humaine, ce qu'on peut gérer avec cet argent. De cela nous voulons alors parler dans les prochains jours.

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Alors seulement, quand les deux autres domaines se tiendront à côté de la vie de l'économie, le domaine de droit, qui est autonome, et le domaine de l'esprit autonome, la vie de l'économie peut se placer sur ses propres pieds de manière saine. Mais alors à l’intérieur de la vie de l'économie tout doit aussi suivre les conditions économiques elles-mêmes.

Les biens matériels seront produits des conditions économiques. On n’a qu’a penser à quelque chose, qui se tient là dans la vie sociale, comme, j’aimerais dire, un déchet de la vie de l'économie, et on verra, comme une pensée vraiment économique doit débarrasser maintes choses qui aujourd'hui valent comme une évidence dans l'ordre social, oui pour quoi on lutte comme pour un progrès.

Aucun ne pense encore aujourd’hui parmi ceux qui croient comprendre là quelque chose de la vie véritable, à ce que cela ne signifie un grand pas en avant, quand on passa de tous les impôts indirects possibles ou semblables encaissements de l’État aux impôts sur les revenus ainsi nommés, en particulier à l’impôt progressif sur les revenus. Chacun aujourd’hui pense que c’est évidemment le juste, d’imposer le revenu. Et pourtant, aussi paradoxal que cela sonne pour l’humain actuel, cette pensée, que l’on puisse atteindre une imposition juste par l’imposition du revenu, provient seulement de la confusion, qu’a apportée l’économie monétaire.



(54) L'argent on l'encaisse. Avec l'argent on entreprend. Par l'argent on se libère de la pureté du processus de production lui-même. On abstrait dans une certaine mesure l'argent dans le processus économique, comme les pensées dans le processus de penser. Mais tout aussi peu que de pensées abstraites on peut tout comme par enchantement sortir des représentations et des sentiments véritables, aussi peu on peut faire surgir comme par enchantement quelque chose du réel de l'argent lorsqu'on mesure, que l'argent est tout simplement un signe pour les biens qui sont produits, que l'argent est dans une certaine mesure une sorte de comptabilité, une comptabilité fluente, que chaque signe monétaire doit se tenir (NDT ou correspondre) à un bien quelconque.
(55) Aussi là dessus encore, devra être parlé plus exactement dans les jours suivants. Mais aujourd'hui, doit être dit qu'un temps qui voit seulement, comme l'argent devient un objet économique autonome, qu'un tel temps doit voir dans les rentrées d'argent ce qu'on doit imposer avant toutes choses. Mais en cela on se fait, en instituant l'impôt, coresponsable de l'abstraite économie financière ! On impose ce qui n'est effectivement pas un bien, mais seulement signe d'un bien. On travaille avec quelque chose d'économiquement abstrait. L'argent devient seulement une chose véritable, lorsqu’il est dépensé. Là, il passe par dessus dans le processus économique, peu importe que je le dépense pour mon amusement ou pour mes besoins physiques et spirituels ou que je le place dans une banque de sorte qu'il soit utilisé dans le processus économique. Si je le place dans une banque, il s'agit d'une sorte de dépense, que je fais - c'est, bien sûr, à retenir. Mais l'argent ne devient quelque chose de réel dans les processus économiques qu'au moment où il se détache de ma possession, et passe dans le processus économique. Les hommes n'ont besoin de penser qu'à une chose : il ne sert à rien à l'homme s'il encaisse (empoche) beaucoup. S'il dépose les grosses recettes dans le sac de paille (NDT : chez nous : bas de laine), il aime les avoir ; cela ne lui sert à rien dans le processus économique. À l'homme ne sert que la possibilité de pouvoir dépenser beaucoup. (56) Et pour la vie publique, la véritable vie productive le signe pour beaucoup d’encaissements (tout ce qu’on gagne) est justement que l'on peut dépenser (décaisser) beaucoup. De cela nous devons quand dans le système fiscal on ne veut pas créer quelque chose qui est parasitaire dans le processus économique, mais quand on veut créer quelque chose qui pourrait une véritable ardeur du processus économique à la collectivité, imposer le capital à l'instant où il sera transféré dans le processus économique. Et l'étrange s'avère être, que l'impôt sur les encaissements (NDT revenus au sens large) doit être transformé en un impôt sur les dépenses (NDT décaissement, débours) - que je vous prie de ne pas confondre avec des impôts indirects. Les impôts indirects entrent dans le présent souvent comme vœux de certains gouvernants sur le seul motif qu'on ne perçoit pas assez par les impôts directs. Il ne s'agit pas d'impôts indirects et pas d'impôts directs, en ce qui est question ici d'impôts sur les dépenses, mais il s'agit de cela, que ce que j'ai acquis, soit aussi imposé dans le moment où cela passe dans le processus économique, où cela devient productif.

(57) Tout de suite à l'exemple de l'impôt on voit, comme un réapprendre et repenser est nécessaire. La croyance qu'il s'agirait de préférence d'un impôt sur le revenu est un phénomène d'accompagnement du système monétaire qui est monté dans la civilisation moderne depuis la Renaissance et la Réforme. Si on place la vie de l'économie sur sa propre base, alors ne pourra s'agir que de cela que ce qui vraiment fait l'économie, ce qui se tient fiché dedans le processus de production, donne les moyens au travail de ce qui est nécessaire à la collectivité. Alors, il s'agira d'impôt sur les dépenses et jamais d'impôt sur les revenus.


Voyez-vous, on doit comme je disais déjà hier, apprendre autrement et penser autrement. Je n'ai pu jusqu'à présent dans ces deux conférences vous évoquer seulement en esquisses quelque chose. Dans les quatre suivantes devrait être exposé beaucoup de cela. Qui aujourd'hui exprime de telles choses, celui-là sait très bien qu'il doit susciter la réprobation vers la gauche et vers la droite, que tout d'abord à peine quelqu'un lui donnera raison, car toutes ces affaires sont plongées dans la sphère des opinions de parti. Mais pas plus tôt est à espérer une guérison avant que ces affaires grimpent de nouveau du domaine où les passions des partis se déchaînent, au domaine de la pensée factuelle, vraiment prise à la vie.

Et cela on l'aimerait si volontiers : que les humains en ce qu'ils font front à la triarticulation de l'organisme social, ne jugent pas d'après modèles de parti, d'après principes de parti, mais qu'il prennent pour leur jugement, l'aide leur l'instinct de réalité. Opinions de parti et principes de parti, les humains les ont diversement détournés de cet instinct de réalité. C'est pourquoi on le vit toujours de nouveau et à nouveau, tout de suite ceux, qui aujourd'hui plus ou moins sont dépendants de la pure consommation, comprennent bien facilement à partir de leurs instincts ce qu'une telle idée de réalité comme celle de la triarticulation de l'organisme social veut en fait. Mais alors viennent les dirigeants, en particulier des masses socialistes. Et là n'a pas le droit aujourd'hui d'être caché que ces dirigeants des masses socialistes ne sont absolument pas enclins à parvenir sur le domaine de la réalité.



Et une chose est malheureusement aujourd'hui à remarquer, et cela appartient aussi, en particulier sur le domaine économique, aux choses pressantes de la question sociale : nous l'avons vécu en ce que nous avons travaillé pour la triarticulation, comment a été parlé aux masses ; et comme les masses à partir de leur instinct de réalité ont bien compris ce qui a été dit. Alors, les dirigeants sont venus et ont expliqué ; cela est utopique ! - En vérité cela n'était seulement pas en accord avec ce à quoi ils sont habitués depuis des décennies à porter et tourbillonner en rond dans leurs têtes, et alors ils disent à leurs fidèles partisans, que ce serait utopique, ce ne serait aucune réalité. Et malheureusement, s'est formées trop fortement dans le présent une partisanerie aveugle, une terrible sensation d'autorité sur ce domaine. Et on doit dire : ce qui une fois a été monté en sensation d'autorité, disons, vis-à-vis des évêques et archevêques de l'Église catholique, cela est une petite chose vis-à-vis de la forte sensation d'autorité des masses de travailleurs modernes vis-à-vis de leurs dirigeants. C'est pourquoi ces dirigeants l'ont relativement facile avec cela qu'ils veulent faire passer.



Mais ce qui est exigé, est, d'indiqué là dessus avant toutes choses, ce qui est sincère sur ce domaine, pas ce qui parle pour les modèles de partis. Quand cela me réussirait, de montrer tout de suite dans ces conférences que ce qui par la triarticulation sera ambitionné, est vraiment pensé sincèrement pour le bien d'ensemble de toute l'humanité, sans différences de classe, état et ainsi de suite, alors sera atteint dans l'essentiel ce qui de telles conférences peut être ambitionné.

Réponses aux questions après la deuxième conférence

Un technicien-machine apporte à la parole une anomalie souvent à rencontrer dans l'actuel système : que plusieurs usines investissent du capital dans des machines de même genre qui partout sont seulement utilisées en partie. Il demande si dans une économie conduite associativement ce gaspillage de capital ne pourrait pas être écarté.

Dr Steiner : j'ai peut-être le droit de dire de la même façon : ce que le Monsieur a justement dit, confirme absolument le principe d'association. Quand sera travaillé de pure manière pleinement individuelle, sans que les producteurs s'associent, donc coopèrent, ainsi se présentera naturellement ce que vous avez supposé : qu'une machine ne sera que partiellement utilisée. Mais la pleine utilisation elle ne peut seulement être effectuée que par cela que les concernés s'associent vraiment. Donc ce que vous dites repose absolument dans la ligne de ce qui est pensé avec le principe d'association.

Il sera demandé comme en Europe de l'Est sous les conditions d'alors cela aurait pu être saisi autrement et si vis-à-vis du tsarisme les rapports seraient devenus plus prometteurs.

Dr Steiner : N'est-ce pas, il y a aujourd'hui en des cercles vraiment pas du tout étroits – cela doit être dit, sans qu'on se tienne ni avec peur ni avec espérance aux opinions de ces cercles – l'opinion, que ce qui se passe à l'Est serait quelque chose de terrible. Il y a aussi à nouveau des cercles qui voient là-dedans quelque chose de prometteur pour le futur. Habituellement sera de ceux qui plus ou moins correctement jugent des conditions dans l'Est, alors rapporté l'une ou l'autre chose terrible qui se passe ; les conditions seront décrites, et de maint qui là sera décrit, il peut donc déjà devenir bien épouvantable aux humains ; c'est clair. Ceux-là qui alors veulent rajuster de telles choses, qui sont plus des partisans de ce qui sera fait là, oui, ils veulent alors un peu enjoliver ou nier ou semblable les terribles conditions.



Oui, mais voyez-vous, avec cela on n'arrive vraiment pas plus loin. Ces choses ne se laissent en fait pas juger de symptômes particuliers. Tant de journalistes aimeraient encore voyager vers l'Est et décrire les choses qu'ils remarquent là, de telles descriptions personne n'aura le droit de se former un jugement, de la simple raison, parce que donc aujourd'hui aussi aucun humain ne peut juger ce qui par exemple des peurs de l'Est européen, qui ne sont véritablement pas des petites, est à écrire au le compte des maîtres actuels et quoi est à écrire au le compte des effets de la terrible guerre. Ces choses se mélangent : les répercussions de la guerre et ce qui se développe à partir des conditions actuelles. Ce qu'on voit ainsi immédiatement et ce qui ainsi se passe immédiatement, cela aimerait être l'objet de bien gentils entretiens feuilletonnesques, mais pour le jugement de la situation il n'y a pas d'élément arrêté. Là on doit déjà être capable de reconnaître les intentions, à partir desquelles cela se passe, qui justement sera fait dans l'Est pour l'introduction d'un avenir humain social.


Maintenant le Monsieur demande, si je crois, que quelque chose d'autre avait pu être fait, ou si les conditions présentes n’étaient pas plus prometteuses que les précédentes.

Maintenant je sais très bien comme peu prometteuses étaient les conditions tsaristiques précédentes. Qu'elles plaisent à beaucoup de gens cela provient donc seulement de ce que ces gens ne se sont pas vraiment mis à jour une base pour un vrai jugement et n'avaient pas du tout la volonté à cela, de le mettre à jour. Qui saisi des yeux tout ce que le tsarisme a brisé, particulièrement ce qu'il a brisé dans les temps les plus récents, celui-là peut sous circonstances déjà venir à la question : qu'est-ce qui est mieux, l'ancien ou l'actuel ? - Mais de cela il ne peut à nouveau pas s'agir, mais il peut seulement s'agir de cela : ce qui là s'est aujourd'hui introduit, en principe, en essence, est-ce quelque chose qui a vraiment amélioré les anciennes circonstances ? Là on doit être dans la situation d'arriver aux intentions et on doit sur un tel domaine se garder un jugement non averti.


Un tel jugement non averti vous pouvez par exemple gagner, quand vous arrivez sur des intentions comme celles de Lénine. Lisez quelque chose comme « État et révolution » de Lénine. Là vous trouvez de temps d'avant la guerre – le livre a déjà été écrit avant – les intentions de Lénine. On a le droit de dire que dans un certain sens Lénine a même raison quand il engueule tous les demi ou quart ou trois quarts marxistes et quand finalement il se tient pour le seul marxiste véritable, vraiment conséquent. Les humains devraient à l'avenir être placés dans l'ordre social ainsi que chacun puisse vivre là dedans « d'après ses capacités et ses besoins ». Cela devait premièrement devenir dans un contexte ultérieur qui pourrait se présenter du contexte injuste, impossible. Maintenant se trouve chez Lénine une explication hautement intéressante qui revient à cela qu'il dit : mais cela on ne peut pas le faire avec les humains actuels qu'ils vivent dans l'ordre social suivant leurs capacités et besoins dans l'ordre social, mais on peut faire cela premièrement quand d'autres humains seraient là, une tout autre race humaine. Cette tout autre race humaine doit d'abord être créée.


Oui voyez-vous, là vous avez le faire voile dans la toute première irréalité et le calculer avec quelque chose qui n'est donc pas du tout à espéré. Car par les circonstances qui seront provoquées par Lénine, cette nouvelle sorte d'humains ne sera très certainement pas élevée. Cette nouvelle sorte d'humains qui alors aboutit aux circonstances sociales correctes. Sur de telles bases friables se tiennent les intentions à ce qui se passe. Et là qu'on aimerait être horrifié sur les particularités ou les trouver nécessaires, les louer ou les blâmer – il ne s'agit pas de cela. Mais il s'agit de ce qu'on reconnaisse : là est calculé avec des pensées irréelles. Et pour cela n'est ce qui ainsi sera réalisé, rien d'autre que pillage au passé.


Cela se présenta à moi, comme vous viennent parfois les choses les plus importantes en un symptôme, particulièrement beau, il y a quelques mois à Bâle où j'ai aussi parlé devant une assemblée sur l'objet dont je vous parle maintenant. Là se leva un Monsieur qui dit : oui, tout cela est donc bien beau, et serait même beau quand ce serait réalisé ; mais cela ne peut être réalisé plus tôt que jusqu'à ce que Lénine devienne maître du monde. - Je dû cette fois-là répondre : quand une quelque chose devrait être socialisée, ainsi il s'agit donc de ce qu'avant toutes choses les rapports de domination soient socialisés.Mais ce socialiste, qui était un partisan de Lénine, lui, il veut faire Lénine maître du monde, empereur du monde ou pape du monde de sorte économique. Là les rapports de domination ne seront pas socialisés, aussi pas démocratisé, mais là ils seront monarchisés, tyrannisés, là sera créer une autocratie. Qui ainsi prétend quelque chose, ne comprend pas une fois comment on doit commencer avec cela, avant tout socialiser les conditions de domination.


Ainsi, se révèle pour celui qui regarde plus exactement, pour la structure de réalité de l'actuel Est, quelque chose de très étrange : ceux-là qui sont les connaisseurs des intentions de l'actuel Est croient qu'avec cela serait visé quelque chose. Non, ce qui là sera voulu cela n'est pas dans son essence en opposition contre le tsarisme, cela est seulement toute l'essence du tsarisme aménagée plus loin pour une autre classe, le tsarisme poursuivit de manière pire qu'il ne fut, comme absolument ceux qui se tiennent sur l'aile la plus à gauche des partis radicaux, aujourd'hui ne retiennent déjà pas du tout avec cela qu'ils ne sont pas des humains de progrès, mais d'encore plus graves réactionnaires qu'étaient ceux qui ont porté jadis les réactionnaires. En cela sera promu la dictature d'une classe, ne sortirait de cette classe rien d'autre que tyrannie de l'individu – je ne veux pas une fois dire : d'élus - ; ce ne seraient très certainement pas les élus, mais ceux-là, qui saupoudrent du sable dans les yeux des autres. Ce serait la tyrannie de ceux qui sortent des classes particulières qui saupoudrent aux autres du sable dans les yeux. Il ne se passerait qu'un tourneboulement (NDT Umkugelung) de l'humanité. Mais les rapports, ils ne s'amélioreront très certainement pas, mais dans l'essentiel se détérioreront.


Donc il s'agit là de cela qu'on regarde vraiment sur le principe, qu'on pense à partir de la réalité, ne pense pas à partir de grises théories pré-saisies. Voyez-vous, parfois ceux-là qui pensent sainement à partir de la réalité, ont déjà un très sain jugement de phénomènes particuliers. Je vous ai aujourd'hui expliqué que la domination de l'argent agit en fait induisant en erreur sur les véritables circonstances sociales. On doit seulement voir à travers cela. Elle agit en fait ainsi que l'argent provoque des rapports de pouvoir, des rapports tyrannisés, qu'à la place d'anciennes puissances de conquérant et semblable entre simplement le pouvoir d'argent. En Europe on voit encore peu au travers de telles choses. Un proverbe américain le donne qui dit à peu près : devenir riche par pure économie du capital signifie circuler à nouveau en manche de chemise après trois générations ! - Là l'imaginaire de l'économie du capital sera déposé entièrement clair, ce se-détacher, cet imaginaire. On peut devenir milliardaire et après trois générations les descendants circulent évidemment en manche de chemise, parce que l'argent deviendra le maître sur les humains.


Et maintenant il s'agit pour ceux-là qui travaillent suivant les intentions de Lénine, absolument pas de trouver des nouveaux principes, vraiment de rechercher à partir des conditions de la vie de l'humanité comment la structure sociale devrait être, mais il s'agit pour eux de cela : de transférer ce qu'ils ont appris sur le capitalisme, sur un gros capitaliste, car ils recrutaient d'un domaine se tenant à leur disposition. Ce qui dans la domination capitaliste a agit, cela continuera à agira alors par économie d'espions, par économie de protection et tout le reste possible. Jadis on a dit : trône et autel. Là dans l'Est on dit : comptoir et machine. Mais la superstition est une aussi grande. Il s'agit justement aujourd'hui de cela, de vouloir amener de nouvelles circonstances pas avec les vieux concepts, seulement par une autre classe humaine, mais il s'agit aujourd'hui de se rassembler autour de principes vraiment nouveaux, autour d'une véritable nouvelle raison.

Finalement, cela provient aussi de la réalité de l'évolution. Prenez à nouveau l'Amérique. Là vous avez aujourd'hui un parti républicain et un parti démocrate. Quand on étudie aujourd'hui ces partis et ne saurait rien du tout de l'histoire ainsi on ne reconnaîtrait pas pourquoi ces partis se nomment ainsi ; car le parti républicain n'est pas républicain et le parti démocratique n'est pas démocratique, mais ce sont des représentations de cliques, qui chacune représentent leur intérêt particulier de clique. Les noms de partis sont restés comme reste de temps antérieurs. Ce qui est resté comme noms de partis a depuis longtemps perdu sa signification. La réalité est toute autre. Aujourd'hui il ne s'agit absolument pas de se laisser aveugler par quelque modèle de parti, mais de regarder pratiquement dans la réalité. C'est cela.


Et qui regarde pratique dans la réalité de l'Est, il se dit alors ce qui suit. J'ai le droit peut-être pour cela de raconter une petite histoire. Il est donc important que de telles choses sur la symptomatologie de l'époque ne soient pas entièrement tues. Lorsqu'en janvier 1918, je viens à nouveau de la Suisse à Berlin, là je parlais avec un homme qui se tenait très fortement dans les événements, était très imbriqué dedans et qui connaissait depuis longtemps mes idées : que maintenant en Europe du centre et de l'Est l'idée de la triarticulation de l'organisme social devrait être saisie. Je l'avais cette fois là eu élaborée et présentée d'après la situation d'époque d'alors aux humains, qui auraient pu y travailler. L'homme savait cela aussi. Il lui semblait très plausible qu'il aurait pu s'agir de sortir de la misère sur des chemins spirituels. Là dessus a été parlé cette fois-là déjà depuis longtemps. Je vins comme dit – rappelez-vous à cela, qui était cette fois-là en janvier 1918 - à Berlin. L'homme, il était militaire un des hauts militaires, dit, comme je lui parlais de l'idée funeste, impossible de commencer encore une fois cette terrible offensive de printemps de l'année 1918, à la place d'une action spirituelle – il dit : que voulez-vous donc, Kühlmann n'avait-il pas la triarticulation dans la poche ? - Il l'avait dans la serviette ; et pourtant, il a fait Brest-Litowsk !


Cela pourra vous apparaître comme la communication d'un quelque utopiste; mais je sais que ce « fantasme » racine profondément dans la réalité. Je sais que dans le peuple russe tout de suite reposent les éléments pour en tout premier quand on les communique de manière correcte, saisir l'idée de la triarticulation. Cela aurait dû se présenter comme une action spirituelle à la place de l'impossible action de Brest-Litowsk. Là il aurait pu y avoir une communication entre l'Europe du centre et l'est de l'Europe, qui aurait été une action spirituelle, un venir à soi. Cela aurait été quelque chose de tout autre.


Mais qu'est-ce que ce fut, qui a porté le léninisme en Russie ? Je rappelle seulement à cela que Lénine a été conduit en wagon plombé par l’Allemagne en Russie. Le léninisme est une importation. Veut-on parler de « militarisme allemand », ainsi on doit parler de cela que le léninisme a été une importation.


Mais on peut volontiers avoir l'opinion qu'une action spirituelle aurait pu produire autre chose que le fait que cette action spirituelle n'est pas venue et à la place de ce qui joue à partir du peuple russe, a été placée une phrase marxiste, générale, abstraite sur la réalisation de conditions sociales qui si elles auraient absolument pu être réalisées, tout aussi bien comme on les bascule sur la Russie, sur le Brésil, l'Argentine, n'importe où autrement, entièrement sans connaissance des situations de peuple auraient pu ma foi aussi être basculées sur la Lune. Cette superstition que tout sur chaque chose pourra être basculé, cela est le grand malheur de l'est, c'est cela qui fonde là la tyrannie d'une idée, qui deviendra terrible dans ses résultats, parce qu'elle pousse avec les exploitations passées. Quand elle relève encore ainsi tant un mauvais : ce en quoi elle est productive, ce sont seulement les restes, les vestiges de l'ancien. Mais quand elle devrait elle-même être productive, elle sera placée dans la nullité.



Aujourd'hui, ne pas juger ces questions non prévenu, c'est une omission sociale. Car aujourd'hui les choses reposent en vérité extraordinairement sérieusement. C'est pourquoi on ne peut pas juger de choses tellement importantes à partir d'une quelque opinion de parti, mais on doit les juger de l'entière circonférence de la réalité elle-même. Là on doit demander : qu'est-ce qui aurait dû être formé à partir des bases de la société russe elle-même ? En tout cas pas le léninisme, qui est une abstraction et une telle abstraction qui encore dit a cela : la race humaine doit premièrement être fabriquée. C'est pourquoi le travail de Lénine n'est pas pour les Russes, mais pour des humains qu'il veut y élever par des conditions impossibles, que d'abord il provoque. Cel est le fait réel.


Vraiment, à la base de ce que je dis ne repose pas une quelque sympathie ou antipathie, mais l'aspiration à raison. Il ne sert à rien de ne pas regarder ces choses aujourd'hui dans leur périmètre de sérieux.


Une question supplémentaire est celle-ci :

Dans quel rapport se tient la scène de l'escroquerie en argent de Méphistophélès dans le « Faust » à ce qui a été dit aujourd'hui ?

Il est intéressant que cette question soit posée, car on peut répondre là dessus comme profond en fait le goethéanisme par Goethe voyait déjà dans les rapports réels. Placez-vous une fois devant les yeux toute la scène dans la deuxième partie du « Faust », où Méphistophélès, le diable, invente l'argent papier, où il place toute l'escroquerie d'argent devant l'empereur. Vous avez fondamentalement une belle imagination, une représentation imagée de ce qu’aujourd'hui on doit exprimer comme vérités sociales. Tout le décrochage de l'économie de l'argent de la pure réalité est placé en grande présentation poétique comme une création de « l'esprit, qui constamment nie », qui ne créé rien de positif. Cela montre seulement comme Goethe formait poétiquement, ce qu'il n'aurait pas pu former véritablement dans la réalité en son temps. Car même le très dépourvu de préjugés duc Karl August de Weimar aurait peu pu parvenir à ce que Goethe a pensé avec cette création de l'argent comme tel par l'  « l'esprit, qui constamment nie ». Mais Goethe voulait quand même s'exprimer. Et réfléchissez une fois comme beaucoup dans les « Années de pérégrination de Wilhelm Meister » beaucoup de telles idées sont dedans. Goethe voulait s'exprimer. Il ne pouvait en son temps pas s'exprimer autrement qu'il s'est exprimé. Mais il repose énormément beaucoup de révélations socialement impulsives et socialement impulsantes tout de suite dans cette scène.


On le reconnaîtra absolument d'abord de proche en proche ce que cela signifie chez Goethe qu'il a été toute sa vie durant compris en développement. On comprend cela très peu dans le temps présent ; car aujourd'hui – on parle de l'évolution dans la science de la nature, mais évolution de l'humain à travers la vie ? Quand on est vieux de vingt ans, on est mûr pour être élu au le parlement d’État, d'écrire des feuilletons, de juger sur tout le possible ! Qu'on devrait encore se développer, à cela on pense donc aujourd'hui peu, n'est-ce pas.

Goethe y pensait. Il savait très bien qu'il s'était conquis des choses, qu'il n'avait pas en des années plus précoces dans les années tardives de son évolution. Oui, il y a octoligne, bien sympa, dans la succession de Goethe. Là-dedans il s'est exprimé sur ces humains qui disaient : O oui, Goethe est devenu vieux. Les œuvres de jeunesse – cette fois là n'était imprimée que la première partie du « Faust » -, elles témoignent de véritables forces artistiques. Mais le vieux Goethe, il est justement devenu vieux ! - Cela on a donc encore dit après coup. Voyez-vous, le souabe-Vischer, le V-Vischer, il a nommé la deuxième partie du « Faust » un sous-produit ravaudé, recoller de l'âge. Je n'ai rien du tout à objecter sinon contre le V-Vischer et le chéri beaucoup ; mais un philistin qui ne pouvait pas comprendre ce que Goethe s'est obtenu par son évolution, V-Vischer l'était absolument, plein d'esprit philistreux. Goethe lui-même à laisser derrière lui un octoligne qui vaut pour les contemporains et sinon encore aussi. La est écrit :

Là, ils louent le Faust,

-il pense la première partie du « Faust » ; la deuxième partie n'était pas encore imprimée, il était une œuvre de l'évolution mûre -

Et qui encore sinon

Dans mes écrits mugit en leur faveur ;

Le vieux micmac

Cela les réjouit beaucoup ;

Elle pense la racaille,

on ne le serait plus !

Voyez-vous, Goethe était déjà bien conscient de ce qu'il a atteint quelque chose, qu'il pouvait justement devoir seulement au développement de l'âge plus élevé. Et c'est ainsi, ce qu'il a inoculé dans la deuxième partie du « Faust », est vraiment bien artistique. Et cela se montre seulement comme c'est artistique dans la force créative, quand on le représente eurythmiquement, comme nous voulons représenter prochainement la scène sur le souci de la deuxième partie du « Faust ».

Mais les humains ne sont donc pas tout de suite attentifs à l'évolution. Ils pensent atteindre une conception du monde développée avec ce qu'ils rendent attentifs à la sensation abstraite et disent, chez le jeune Goethe se tiendrait donc tout : « Nom est bruit et fumée. Sensation est tout...Qui a le droit de le nommer et qui reconnaître ? Le plus vieux des vieux, celui qui englobe tout » et ainsi de suite. Cela devrait être plus grand que chaque conception du monde développée ! Même des philosophes citent cela, oublient entièrement que Goethe l'a déposé dans la bouche de Faust, où Faust catéchise un jeune poisson à frire. Donc l'enseignement d'un jeune poisson à frire, il devra être mentionné contre la conception du monde développée ! Dans beaucoup de choses, doit justement aujourd'hui être absolument appris autrement. Et le goethéanisme est déjà quelque chose à quoi se laisse apprendre autrement. Et justement comme cette scène avec l'escroquerie, ainsi pourrait être mentionné maint autre tout de suite de la deuxième partie du « Faust », des « années d'apprentissage de Wilhelm Meister », de maints autres, qui pourrait montrer ce qu'est développement humain, comme on peut s'appuyer à ce Goethe.

Maintenant j'ai encore été questionné :

De quoi le salaire du travail devrait être payé quand pas de la recette de la marchandise ?

Pour penser sur le salaire du travail – le temps est donc prescrit ainsi que je peux seulement entrer brièvement là dessus est en fait bien intéressant. Il est étrange comme de proche en proche unique et seule la vie de l'économie a agit si hypnotisante que dans le temps dans lequel l'humanité commença à s'adonner à de grandes erreurs, le programme socialiste subit une complète transformation tout de suite en rapport à de telles choses. Il appartient aux plus intéressantes études de l'étude du mouvement des travailleurs modernes d'apprendre à connaître les trois programmes : le programme d'Eisenach, celui de Gotha, le programme d'Erfurt. Si on prend les programmes – jusqu'à celui d'Erfurt, qui a été arrêté en 1891 ainsi on trouve partout : là est encore une conscience disponible de ce que devrait être travaillé à partir de certaines façons de voir juridique et étatique et politiques. De cela on trouve comme la deuxième exigence du plus ancien programme la suppression du salaire et l'instauration de droits politiques identiques. Mais le programme d'Erfurt est entièrement un pur programme économique, mais un politisé comme je l'ai exposé aujourd'hui. Là seront présentées comme les exigences principales : transfert des moyens de production dans l'administration commune, dans la propriété commune, et production par la communauté. Le programme sera établi purement économique, mais pensé politiquement.


On pense si fort dans le sens de l'ordre de société d'aujourd'hui, de l'ordre social d'aujourd'hui que dans de larges cercles on ne s'aperçoit pas du tout comme le salaire en tant que tel est donc en réalité une non-vérité sociale. En réalité, le rapport consiste en ce que travailleur salarié ainsi nommé coopère avec le dirigeant de l'entreprise, et ce qui a lieu est en réalité un partage – qui sera seulement caché par toutes sortes de rapports trompeurs, par des rapports de pouvoir le plus souvent et ainsi de suite – sur la répartition de la recette. Quand on voudrait parler paradoxalement ainsi on pourrait dire : il n'y a pas du tout de salaire, mais il y a répartition de la recette – aujourd'hui déjà, seulement que dans la règle aujourd'hui celui qui est l'économiquement faible, se trouve ainsi lors du partage qu'on se paye sa tête. C'est le tout. Il s'agit de cela, de ne pas transposer ici sur la réalité quelque chose qui repose seulement sur une erreur sociale. Dans l'instant où la structure sociale est ainsi que je l'ai décrite dans mon livre « les noyaux germinatifs de la question sociale », il deviendra transparent comme une coopération existe entre les ainsi nommés preneurs de travail et donneur de travail, comme ces concepts de preneur de travail et donneur de travail cessent et comment un rapport de répartition existe. Alors, le rapport de salaire a absolument pleinement perdu sa signification.

Mais alors, n'a plus le droit d'être pensé à cela, de payer le travail en tant que tel. Cela est naturellement l'autre pôle. Le travail sera subordonné à un rapport de droit – je parlerais encore de cela demain ; le travail sera d'après mesure et manière déterminé dans la vie en commun démocratique, dans l’État de droit. Le travail sera ainsi comme les forces de la nature : fondement de l'ordre économique et cela qui sera produit, ne devra pas être mesure pour une quelque rémunération.

Ce qui sera là sur le sol de l'économie sera juste la valorisation de la prestation. Là il s'agit d'apprendre à connaître dans une certaine mesure le fondement de la cellule originelle de la vie de l'économie. Cette cellule originelle, je l'ai le plus souvent exprimée ainsi que je disais : pour l'essentiel les institutions que j'ai décrites aujourd'hui, doivent marcher là dessus que par la vivante action de l'association chaque humain reçoive comme équivalent pour ce qu'il produit ce qui le met en mesure de satisfaire ses besoins aussi longtemps jusqu'à ce qu'il aura produit de nouveau un même produit. Parlé simplement : si je fabrique une paire de bottes, ainsi par les institutions, que j'ai aujourd'hui décrites, ces bottes doivent être d'autant de valeur, je dois recevoir pour cela autant que j’ai besoin jusqu'à ce que j'ai de nouveau apprêté une paire de bottes.



Donc il ne peut pas du tout s'agir d'une quelconque détermination de salaire du travail, mais d'une détermination des prix mutuels. Il doit naturellement être calculé dedans tout pour le soutien d'invalides, malades et ainsi de suite, pour l'éducation des enfants et ainsi de suite. Là-dessus, il doit encore être parlé. Il s'agit de ce que telle structure sociale soit créée, par laquelle la prestation sera vraiment poussée à l'avant-plan, mais le travail pourra être fondé purement sur un rapport de droit, car il ne peut être réglé autrement que l'un travaille pour l'autre. Mais cela doit être réglé sur le sol du droit : comment l'un travaille pour l'autre ; cela n'a pas le droit de se tenir sur le sol de marché des rapports économiques. Vous verrez donc demain que ces choses se tiennent aussi absolument sur des bases vraiment réelles.

Alors, j'ai encore été questionné sur :

Comment devraient être saisis les débours ?

Oui, cela est très simple, de saisir les débours. On ne peut les cacher. À chaque fois, que je transfère quelque chose dans le processus social, cela peut être évidemment saisi, exactement comme une lettre peut être saisie, pour laquelle la poste exige de moi, ce qu’elle ne peut aussi laisser sans attention, de présenter pour cela un timbre-poste et ainsi de suite. Cette unique, spéciale institution – qui pense à cela, celui-là ne la trouvera pas si difficile.

Maintenant encore :

Comment se comportent les rapports de crédits agricoles ?

Cela nous mènerait aujourd'hui trop tard d'aller sur ces choses. Je viendrais encore à parler tout de suite au cours des prochaines conférences sur les rapports agricoles dans d'autres contextes.


Aus den Anschauungen, die erwachsen sind gegenüber den Tatsachen der sozialen Entwickelung der neueren Zeit, wie ich sie gestern versuchte auseinanderzusetzen, ist entstanden, was Sie verzeichnet finden in meinem Buche «Die Kernpunkte der sozialen Frage», ist entstanden die Idee von der Dreigliederung der sozialen Organisation. Diese Idee von der Dreigliederung des sozialen Organismus will eine durchaus praktische Lebensidee sein und nicht irgend etwas Utopistisches in sich. enthalten. Daher war die Voraussetzung für die Abfassung meines Buches die, daβ es hingenommen werde mit einem gewissen Instinkt für die wirklichen Tatsachen, daβ es nicht beurteilt werde aus vorgefaβten Theorien, vorgefaβten Parteimeinungen heraus. Allerdings, wenn das richtig ist — und es ist zweifellos richtig, was ich gestern anführte —, daβ allmählich die sozialen Tatsachen in den Lebensverhältnissen der Menschen so kompliziert geworden sind, daβ sie sich außerordentlich schwer nur übersehen lassen, wird eine besondere Methode notwendig sein bei der Besprechung dessen, was heute zum Wollen führen soll.

Es ist ja gegenüber dieser Kompliziertheit der Tatsachen nur zu selbstverständlich, daβ der Mensch zunächst für dasjenige ein gewisses Verständnis hat, namentlich an wirtschaftlichen Erscheinungen, was in seinen Lebenskreisen liegt. Allein alles, was in ihnen liegt, ist abhängig von der ganzen übrigen Wirtschaft, und heute nicht nur von der Wirtschaft eines Landes, sondern von der ganzen Weltwirtschaft. Da wird der einzelne gar oft in die selbstverständliche und begreifliche Lage kommen, die Notwendigkeiten für die Weltwirtschaft nach den Erfahrungen seines allernächsten Lebenskreises beurteilen zu wollen. Er wird natürlich dabei fehlgehen. Wer bekannt ist mit den Anforderungen eines wirklichkeitsgemässen Denkens, der weiβ auch, welche Bedeutung es hat, mit einem gewissen Wirklichkeitsinstinkt an die Erscheinungen der Welt heranzugehen, um dadurch zu gewissen grundlegenden Erkenntnissen zu kommen, die dann im Leben eine ähnliche Rolle spielen können wie in gewissen Schulerkenntnissen grundlegende Wahrheiten.

Sehen Sie, wenn man darauf ausgehen wollte, das ganze Wirtschaftsleben mit allen seinen Einzelheiten zu erkennen und daraus erst Schlüsse zu ziehen für ein soziales Wollen, man würde ja nie fertig. Man würde aber ebensowenig fertig, wenn man alle die Einzelheiten, in denen, sagen wir, der pythagoräische Lehrsatz Anwendung findet im technischen Leben, erst durchnehmen müβte, um die Wahrheit des pythagoräischen Lehrsatzes zu erkennen. Man eignet sich die Wahrheit des pythagoräischen Lehrsatzes aus gewissen inneren Zusammenhängen an und weiβ dann: überall, wo seine Anwendung in Frage kommt, muβ er gelten. Man ringt sich auch im sozialen Erkennen dazu durch, daβ gewisse Fundamentalerkenntnisse durch ihre innere Natur sich dem Bewusstsein als wahr ergeben können. Und wenn man dann nur Wirklichkeitssinn hat, dann wird man finden, daβ sie überall, wo sie in Frage kommen, auch anwendbar sind. So möchte das Buch «Die Kernpunkte der sozialen Frage» verstanden werden aus seiner inneren Natur heraus, aus der inneren Natur der angeführten sozialen Verhältnisse heraus, und so möchte zunächst auch die Gesamtidee von der Dreigliederung des sozialen Organismus aufgefasst werden. Aber ich werde in diesen Vorträgen durchaus versuchen, zu zeigen, wie einzelne Erscheinungen des sozialen Lebens Bekräftigungen liefern für das, was aus dieser Idee der Dreigliederung des sozialen Organismus, die sich aus den Lebensnotwendigkeiten der Gegenwart und der nächsten Zukunft der Menschheit ergibt, folgt.

Vorerst aber werde ich genötigt sein, einleitungsweise, bevor ich zu meinem eigentlichen heutigen Thema übergehe, einfach referierend vor Sie hinzustellen, was die Grundidee von dieser Dreigliederung des sozialen Organismus ist. Wir haben gestern das Ergebnis fassen können, daβ unser soziales Leben aus drei Grundwurzeln heraus seine Forderungen stellen muβ, mit anderen Worten, daβ die soziale Frage eine Geistesfrage, eine Staats- oder Rechtsfrage, eine politische Frage, und eine Wirtschaftsfrage sei. Wer das Leben der neueren Entwickelung der Menschheit durchforscht, der wird finden, daβ diese drei Lebenselemente Geistesleben, Rechts- und Staats- oder politisches Leben und Wirtschaftsleben — chaotisch allmählich bis in unsere Gegenwart herein in eine Gesamtheit, in eine Einheit zusammengeflossen sind, und dass aus diesem Zusammenfließen heraus unsere gegenwärtigen sozialen Schäden entstanden sind.

Erkennt man dieses durchgreifend — und diese Vorträge sollen die Grundlage dafür abgeben, dass man das durchgreifend erkennen könne - so wird man finden, dass die Zukunft sich so entwickeln müsse, daβ das Leben, das öffentliche Leben, der soziale Organismus gegliedert werde in eine selbständige Geistesverwaltung namentlich des öffentlichen Geisteslebens in Erziehung und Unterrichtswesen, in eine selbständige Verwaltung der politischen, der Staats-, der Rechtsverhältnisse, und in eine völlig selbständige Verwaltung des Wirtschaftslebens.


Gegenwärtig umfasst eine einzige Verwaltung in unseren Staaten diese drei Elemente des Lebens, und wenn man von einer Dreigliederung spricht, wird man heute sogleich missverstanden. Man wird so verstanden, daβ gesagt wird: Nun ja, da will irgend jemand eine selbständige Verwaltung für das Geistesleben, eine selbständige Verwaltung für das Rechts- oder Staats- oder politische Leben, eine selbständige Verwaltung für das Wirtschaftsleben; also fordert er drei Parlamente, ein Kulturparlament, ein demokratisch-politisches Parlament und ein Wirtschaftsparlament. — Wenn man dies fordern würde, so würde man von der Idee der Dreigliederung des sozialen Organismus eben gar nichts verstehen, denn diese Idee der Dreigliederung des sozialen Organismus will eben einfach vollständig ernst nehmen die Forderungen, die sich geschichtlich im Laufe der neueren Entwickelung der Menschheit ergeben haben. Und diese drei Forderungen kann man aussprechen mit den drei Worten, die allerdings schon zu Schlagworten geworden sind; geht man aber aus den Schlagworten heraus, um die Wirklichkeit zu treffen, so findet man, daβ berechtigte geschichtliche Impulse in diesen drei Worten enthalten sind. Diese drei Worte sind der Impuls nach der Freiheit des menschlichen Lebens, der Impuls nach Demokratie, und der Impuls nach einer sozialen Gestaltung des Gemeinschaftswesens. Aber wenn man diese drei Forderungen ernst nimmt, so kann man sie nicht zusammenknäueln in eine einzige Verwaltung, denn das eine muβ dann immer das andere stören. Wer zum Beispiel den Ruf nach Demokratie ernst nimmt, der muβ sich sagen: Diese Demokratie kann sich nur ausleben in einer Volksvertretung oder durch ein Referendum, wenn jeder einzelne mündig gewordene Mensch, indem er gleichgestellt ist jedem anderen mündig gewordenen Menschen gegenüber, entscheiden kann durch sein Urteil, was eben auf demokratischem Boden durch die Urteilsfähigkeit eines jeden mündig gewordenen Menschen entschieden werden kann.

Nun gibt es — so sagt die Idee von der Dreigliederung des sozialen Organismus ein ganzes Lebensgebiet, das ist eben das Gebiet des Rechtslebens, das Gebiet des Staatslebens, das Gebiet der politischen Verhältnisse, in dem jeder mündig gewordene Mensch berufen ist, aus seinem demokratischen Bewuβtsein heraus mitzureden. Aber nimmermehr kann dann, wenn so mit der Demokratie ernst gemacht und das Staatsleben ganz demokratisiert werden soll, das geistige Gebiet auf der einen Seite einbezogen werden in diese Demokratie, und nimmermehr kann der Kreislauf des Wirtschaftslebens einbezogen werden in diese demokratische Verwaltung.

In dieser demokratischen Verwaltung ist ein Parlament durchaus am Platze. Aber in einem solchen demokratischen Parlament kann niemals entschieden werden über das, was sich auf dem Boden des Geisteslebens, auch auf dem Boden des Erziehungs- und Unterrichtswesens, zu vollziehen habe. Was ich im vierten Vortrage viel genauer auszuführen haben werde, will ich heute einleitungsweise andeuten: die Dreigliederung des sozialen Organismus erstrebt ein selbständiges Geistesleben insbesondere in den öffentlichen Angelegenheiten, im Erziehungs- und Unterrichtswesen. Das heiβt, es soll künftig nicht durch irgendwelche Staatsverordnungen bestimmt werden, was und wie zu lehren sei, sondern diejenigen, die wirklich drinnen stehen im praktischen Lehren, im praktischen Erziehen, die sollen auch die Verwalter des Erziehungswesens selber sein. Das heiβt, von der untersten Volksschulstufe bis hinauf zu der höchsten Unterrichtsstufe soll die Lehrperson unabhängig sein von irgendeiner anderen, staatlichen oder wirtschaftlichen Macht in bezug auf dasjenige, was und wie sie zu unterrichten habe. Das soll aus dem folgen, was als angemessen empfunden wird für das Geistesleben innerhalb der selbständigen Geistkörperschaft selbst. Und nur so viel Zeit soll der einzelne für den Unterricht zu verwenden brauchen, daβ ihm die Zeit noch übrigbleibt, um Mitverwalter zu sein des gesamten Unterrichts- und Erziehungswesens, aber auch des gesamten geistigen Lebens.

Ich werde im vierten Vortrage zu beweisen versuchen, wie durch diese Selbständigkeit des Geisteslebens die geistige Verfassung der Menschen überhaupt auf einen ganz anderen Boden gestellt und wie gerade dasjenige eintreten wird, wovon man nach dem heutigen Vorurteil am wenigsten glauben kann, daβ es kommen werde: Durch diese Selbständigkeit wird das Geistesleben die Kraft bekommen, wirklich von sich aus fruchtbar einzugreifen in das Staats- und namentlich in das Wirtschaftsleben. Und innerlich wird gerade ein selbständiges Geistesleben nicht graue Theorie, nicht weltfremde wissenschaftliche Anschauungen liefern, sondern zu gleicher Zeit eindringen in das menschliche Leben, so daβ sich der Mensch von einem solchen selbständigen Geistesleben aus durchdringen wird nicht mit bloss abstrakten Geistesanschauungen, sondern mit Erkenntnissen, durch die er im wirtschaftlichen Leben seinen Mann stellen kann. Gerade durch die Selbständigkeit wird das Geistesleben zugleich praktisch werden. So dass man sagen kann: Geistesleben wird zu herrschen haben Sachkenntnis und Anwendung der Sachkenntnis. Nicht wird zu herrschen haben, was aus dem Urteil eines jeden urteilsfähigen, mündig gewordenen Menschen kommen kann. Es muss also aus dem Parlamentarismus herausgenommen werden die Verwaltung des Geisteslebens. Wer glaubt, daβ da ein demokratisches Parlament herrschen soll, der miβversteht gründlich gerade den Antrieb zur Dreigliederung des sozialen Organismus.

Ähnlich ist es im Wirtschaftsleben. Aber das Wirtschaftsleben hat seine selbständigen Wurzeln. Es muβ verwaltet werden aus seinen eigenen Bedingungen heraus. Es kann wiederum nicht über die Art und Weise, wie gewirtschaftet werden soll, demokratisch geurteilt werden von jedem mündig gewordenen Menschen, sondern nur von dem, der drinnen steht in irgendeinem Wirtschaftszweige, der tüchtig geworden ist für einen Wirtschaftszweig, der die Verkettungen kennt, wie dieser Wirtschaftszweig mit anderen Wirtschaftszweigen zusammenhängt. Fachkundigkeit und Fachtüchtigkeit, das sind die Bedingungen, durch die im Wirtschaftsleben allein etwas Fruchtbringendes zustande kommen kann. Dieses Wirtschaftsleben wird also losgegliedert werden müssen auf der einen Seite von dem Rechtsstaate, auf der anderen Seite vom Geistesleben. Es wird auf seine eigene Basis gestellt werden müssen.

Das wird auch von sozialistisch Denkenden heute am allermeisten verkannt. Diese sozialistisch Denkenden stellen sich irgendeine Gestalt vor, welche das Wirtschaftsleben annehmen soll, damit gewisse Schäden sozialer Natur in der Zukunft der Menschheit verschwinden. Man hat gesehen, und es ist ja leicht zu sehen, dass durch die privatkapitalistische Wirtschaftsordnung der letzten Jahrhunderte gewisse Schäden entstanden sind. Diese Schäden sind offenbar. Wie urteilt man? Man sagt sich: Die privat-kapitalistische Wirtschaftsordnung ist heraufgekommen; sie hat die Schäden gebracht. Die Schäden werden verschwinden, wenn wir die privat-kapitalistische Wirtschaftsordnung abschaffen, wenn wir an die Stelle der privat-kapitalistischen Wirtschaftsordnung die Gemeinwirtschaft treten lassen. Was als Schäden heraufgezogen ist, ist dadurch gekommen, dass einzelne Besitzer persönlich die Produktionsmittel zum Eigentum haben. Wenn nun nicht mehr einzelne Besitzer die Produktionsmittel zu ihrem Eigentum haben werden, sondern die Gemeinschaft die Produktionsmittel verwalten wird, dann werden die Schäden verschwinden.

Nun kann man sagen: Einzelerkenntnisse haben sich auch schon sozialistisch Denkende heute errungen, und es ist interessant, wie diese Einzelerkenntnisse durchaus schon in sozialistischen Kreisen wirksam sind. Man sagt heute schon: Ja, gemeinschaftlich verwaltet werden sollen die Produktionsmittel oder das Kapital, welches ja der Repräsentant der Produktionsmittel ist. Aber man hat gesehen, wozu geführt hat zum Beispiel die Verstaatlichung gewisser Produktionsmittel, die Verstaatlichung der Post und der Eisenbahnen und so weiter, und man kann durchaus nicht sagen, dass die Schäden dadurch beseitigt seien, dass der Staat nun zum Kapitalisten geworden ist. Also man kann nicht verstaatlichen. Man kann auch nicht kommunalisieren. Man kann auch nicht etwas Fruchtbringendes dadurch erreichen, dass man Konsumgenossenschaften gründet, in denen sich die Leute zusammentun, die für irgendwelche Artikel Konsum nötig haben. Diejenigen Leute, die diesen Konsum regeln und auch danach regeln wollen die Produktion der zu konsumierenden Güter, die werden, auch nach der Ansicht von sozialistisch Denkenden, als Konsumierende zu Tyrannen der Produktion. Und so ist die Erkenntnis schon durchgedrungen, dass sowohl die Verstaatlichung wie die Kommunalisierung, wie auch die Verwaltung durch Konsumgenossenschaften zur Tyrannis wird der Konsumierenden. Die Produzierenden würden ganz in tyrannische Abhängigkeit kommen von den Konsumierenden. So denken dann manche, daβ gegründet werden können, als eine Art von gemeinschaftlicher Verwaltung, Arbeiter-Produktivassoziationen, Arbeiter-Produktivgenossenschaften; da würden sich die Arbeiter selbst zusammenschlieβen, würden nach ihren Meinungen, nach ihren Grundsätzen für sich selber produzieren.

Wiederum haben sozialistisch Denkende eingesehen, daβ man auch dadurch nichts anderes erreichen würde, als daβ man an die Stelle eines einzelnen Kapitalisten eine Anzahl von kapitalistisch produzierenden Arbeitern treten lassen würde. Und diese kapitalistisch produzierenden Arbeiter wären auch nicht imstande, etwas anderes zu tun als der einzelne Privatkapitalist. Also auch die Arbeiterproduktivgenossenschaften weist man zurück.

Aber damit ist man noch nicht zufrieden, einzusehen, daβ diese einzelnen Gemeinsamkeiten zu nichts Fruchtbringendem in der Zukunft führen können. Man denkt sich nun, die gesamte Gesellschaft irgendeines Staates, irgendeines geschlossenen Wirtschaftsgebietes könne gewissermaßen doch eine Großgenossenschaft werden, eine Großgenossenschaft, in der alle daran Beteiligten zu gleicher Zeit Produzenten und Konsumenten sind, so daβ nicht der einzelne Mensch unmittelbar von sich aus die Initiative entwickelt, das oder jenes zu produzieren für die Gemeinschaft, sondern daβ die Gemeinschaft selbst die Losungen ausgibt, wie produziert werden soll, wie das zu Produzierende verteilt werden soll und so weiter. Ja, solch eine Großgenossenschaft also, die Konsum und Produktion umfaβt, will man an die Stelle der privatwirtschaftlichen Verwaltung unseres modernen Wirtschaftslebens setzen.

Wer nun genauer in die Wirklichkeit hineinsieht, der weiss, daβ im Grunde genommen dieses Aufsteigen zu der Anschauung über diese Großgenossenschaft nur davon herrührt, daβ bei ihr das Irrtümliche nicht so leicht zu überschauen ist wie im einzelnen bei der Verstaatlichung, bei der Kommunalisierung, bei den Arbeiterproduktivgenossenschaften, bei den Konsumgenossenschaften. Bei den letzteren ist gewissermassen der Umkreis dessen, was man zu überschauen hat, kleiner. Man sieht leichter die Fehler, die man dabei macht, wenn man solche Einrichtungen anstrebt, als bei der Großgenossenschaft, die ein ganzes Gesellschaftsgebiet umfaβt. Hier redet man hinein in das, was man machen will, und überschaut noch nicht, daβ dieselben Irrtümer entstehen müssen, die man im kleinen ganz gut anerkennt, und die man im großen nur nicht anerkennt, weil man nicht fähig ist, die ganze Sache zu überblicken. Das ist es, worauf es ankommt. Und man muβ einsehen, worauf der Grundfehler dieses ganzen Denkens eigentlich beruht, das in eine Großgenossenschaft hineinsegelt, welche sich darüber hermachen soll, den gesamten Konsum und die gesamte Produktion von sich aus zu verwalten.

Wie denkt man eigentlich, wenn man so etwas verwirklichen will? Nun, wie man dabei denkt, das zeigen zahlreiche Parteiprogramme, die gerade in unserer Gegenwart auftreten. Wie treten sie auf, diese Parteiprogramme ? Man sagt sich: Nun ja, da sind gewisse Produktionszweige, die müssen nun gemeinschaftlich verwaltet werden. Dann wiederum müssen sie sich zusammenschließen zu größeren Zweigen, zu größeren Verwaltungsgebieten. Da muss wiederum so irgendeine Verwaltungszentrale sein, welche das Ganze verwaltet, und so hinauf bis zu der Zentralwirtschaftsstelle, die das Ganze des Konsums und der Produktion verwaltet. Welche Gedanken, welche Vorstellungen wendet man dabei an, wenn man so das Wirtschaftsleben gliedern will? Man wendet nämlich das an, was man sich anzueignen hat im politischen Leben, so wie es sich herauf entwickelt hat in der neueren Menschheitsgeschichte. Die Menschen, die heute von wirtschaftlichen Programmen sprechen, haben zum großen Teil ihre Schule durchgemacht im rein politischen Leben. Sie haben teilgenommen an alledem, was sich abspielt bei Wahlkämpfen, was sich abspielt, wenn man gewählt wird und dann in irgendeiner Volksvertretung diejenigen zu vertreten hat, von denen man gewählt ist. Sie haben durchgemacht, in welche Beziehungen man dann zu Amtsstellen, die politische Stellen sind, tritt und so weiter. Sie haben gewissermassen die ganze Schablone der politischen Verwaltung kennengelernt, und sie wollen diese Schablone der politischen Verwaltung stülpen über den ganzen Kreislauf des Wirtschaftslebens. Das heiβt, das Wirtschaftsleben soll nach solchen Programmen durch und durch verpolitisiert werden, denn man hat nur kennengelernt das Politische der Verwaltung.

Was uns heute bitter not tut, ist: einzusehen, daβ diese ganze Schablone, wenn man sie auf das Wirtschaftsleben draufstülpt, etwas dem Wirtschaftsleben total Fremdes ist. Aber die allermeisten Leute, die heute von irgendwelchen Reformen des Wirtschaftslebens oder gar von Revolution des Wirtschaftslebens reden, sind im Grunde genommen bloβe Politiker, die von dem Aberglauben ausgehen, dasjenige, was sie auf politischem Felde gelernt haben, lasse sich in der Verwaltung des Wirtschaftslebens anwenden. Eine Gesundung aber unseres Wirtschaftskreislaufes wird nur eintreten, wenn dieses Wirtschaftsleben aus seinen eigenen Bedingungen heraus betrachtet und gestaltet wird.

Was fordern denn solche politisierenden Wirtschaftsreformer? Sie fordern nichts Geringeres, als daβ durch diese Hierarchie der Zentralstelle in der Zukunft bestimmt werde: Erstens, was produziert werden solle und wie produziert werden solle. Zweitens fordert sie, daβ die ganze Art des Produktionsprozesses von den Verwaltungsstellen aus bestimmt werden solle. Drittens fordert sie, dass diejenigen Menschen, die am Produktionsprozeβ teilnehmen sollen, durch diese Zentralstellen ausgewählt und bestimmt und an ihre Plätze gesetzt werden. Viertens fordert sie, daβ diese Zentralstellen die Verteilung der Rohmaterialien an die einzelnen Betriebe bewirken. Also die gesamte Produktion soll unterstellt werden einer Hierarchie von politischer Verwaltung. Das ist es doch, auf das die meisten wirtschaftsreformerischen Ideen der Gegenwart hinauslaufen. Nur sieht man nicht ein, daβ man mit einer solchen Reform ganz auf dem Boden stehen bleiben würde, den man heute auch schon hat, und seine Schäden nicht beseitigen, sondern im Gegenteil ins Maßlose vergrößern würde. Man sieht ein, wie es nicht geht mit Verstaatlichung, Kommunalisierung, mit den Konsumgenossenschaften, mit Arbeiterproduktionsgenossenschaften; man sieht aber nicht ein, wie man nur übertragen würde, was man so schwer tadelt an dem privat kapitalistischen System, auf die Gemeinverwaltung der Produktionsmittel.

Das ist es, was heute vor allen Dingen wirklich eingesehen werden muss: daβ durch eine solche Maßnahme, durch solche Einrichtungen wirklich überall da, wo sie getroffen werden, das eintreten müβte, was heute schon sehr deutlich sich zeigt im Osten von Europa. In diesem Osten von Europa waren einzelne Leute imstande, solche wirtschaftsreformerische Ideen auszuführen, sie in Wirklichkeit umzusetzen. Die Menschen, die von Tatsachen lernen wollen, die könnten sehen an dem Schicksal, dem der Osten Europas entgegengeht, wie diese Maβnahmen sich selbst ad absurdum führen. Und wenn die Menschen nicht bei ihren Dogmen beharren würden, sondern von den Tatsachen wirklich lernen wollten, dann würde man heute nicht sagen, aus diesen oder jenen untergeordneten Gründen sei die Sozialisierung, die wirtschaftliche Sozialisierung in Ungarn miβglückt, sondern man würde studieren, warum sie miβglücken müsste, und man würde einsehen, daβ jede solche Sozialisierung nur zerstören, nichts Fruchtbares für die Zukunft schaffen kann.

Aber es wird weiten Kreisen heute noch schwer, in dieser Weise von den Tatsachen zu lernen. Das zeigt sich ja am besten an Dingen, die eigentlich von sozialistischen Denkern oftmals nur wie in Parenthese angeführt werden. Sie sagen: Ja, es ist richtig, das ganze moderne Wirtschaftsleben ist umgestaltet worden durch die moderne Technik. Wollten sie aber diesen Gedankengang fortsetzen, dann müssten sie den Zusammenhang erkennen zwischen moderner Technik und Sachkenntnis und Fachtüchtigkeit. Sie müβten sehen, wie überall in das Wirtschaften selber diese moderne Technik hineingreift. Aber das wollen sie nicht sehen. Und so sagen sie in Parenthese: sie wollen sich nichts zu schaffen machen mit der technischen Art der Produktionsprozesse. Die möge auf sich selbst beruhen. Sie wollen sich nur zu schaffen machen mit der Art und Weise, wie die Menschen, die an den Produktionsprozessen beteiligt sind, gesellschaftlich im Leben drinnen stehen, wie sich das gesellschaftliche Leben für die am Produktionsprozesse beteiligten Menschen gestalte.

Aber es ist doch handgreiflich — wenn man es nur sehen will, wenn man es nur greifen will wie Technik selbst hineingreift in das unmittelbare wirtschaftliche Leben. Nur ein Beispiel, das geradezu ein klassisches Beispiel ist, sei angeführt. Die moderne Technik hat es dahin gebracht — wenn ich mich summarisch ausdrücke durch zahlreiche Maschinen Produkte hervorzubringen, die dann dem Konsum dienen. Und diese Maschinen hängen einzig und allein davon ab, dass vierhundert bis fünfhundert Millionen Tonnen Kohlen gefördert worden sind in der Zeit, bevor diese Kriegskatastrophe hereingebrochen ist, für die wirtschaftliche Tätigkeit. Rechnet man um, was durch die Maschine, die auf menschlichen Gedanken beruht, die nur durch menschliche Gedanken verwendet werden kann, an wirtschaftlichen Energien, an wirtschaftlichen Kräften aufgebracht wird, so ergibt sich folgendes interessante Resultat: Rechnet man achtstündige Arbeitstage, so ergibt sich, daβ durch die Maschinen, das heiβt durch die in den Maschinen verkörperten menschlichen Gedanken, durch die Erfindungsgabe der Geister, so viel Arbeitsenergien, so viel Arbeitskraft aufgebracht wird, wie aufgebracht werden könnte durch siebenhundert bis achthundert Millionen Menschen.

Wenn Sie daher sich vorstellen, daβ die Erde zu ihrer Bevölkerung ungefähr tausend fünfhundert Millionen Menschen hat, die ihre Arbeitskräfte anwenden, so hat sie durch die Erfindungsgabe der Menschen in der neueren Kulturentwickelung durch die technische Entwickelung siebenhundert bis achthundert Millionen mehr dazu bekommen. Also zweitausend Millionen Menschen arbeiten; das heiβt, wirklich arbeiten diese siebenhundert bis achthundert Millionen Menschen nicht, aber es arbeiten für sie die Maschinen. Was arbeitet denn in den Maschinen ? Da arbeitet der menschliche Geist.

Das ist auβerordentlich bedeutsam, daβ man solche Tatsachen, die sich leicht vermehren lassen, wirklich durchschaut. Denn aus solchen Tatsachen heraus wird man erkennen, daβ die Technik nicht so in Parenthese beiseite gelassen werden kann, sondern daβ die Technik als solche immerwährend im Wirtschaftsprozesse aktiv mitarbeitet, daβ sie drinnen steckt. Das moderne Wirtschaftsleben ist ohne die Grundlage der modernen Technik, ohne Sach- und Fachkenntnis überhaupt nicht denkbar.

Nicht mit der Wirklichkeit rechnet man, sondern mit vorgefassten, aus den menschlichen Leidenschaften hervorgehenden Ideen, wenn man solche Dinge übersieht. Die Idee von der Dreigliederung des sozialen Organismus meint es gewiss ehrlich mit der sozialen Frage. Deshalb aber kann sie nicht auf dem Boden stehen, auf dem diejenigen stehen, die so aus Schlagworten, aus Parteiprogrammen heraus reden. Sie muβ aus dem Sachlichen heraus reden. Sie muβ daher, indem sie auf dem Boden der Wirklichkeit steht, anerkennen, daβ das Wirtschaften, insbesondere in unserem komplizierten Leben, ganz und gar gestellt ist in die Initiative des einzelnen. Stellt man an die Stelle der Initiative des einzelnen die abstrakte Gemeinsamkeit, so bedeutet das das Auslöschen, den Tod des Wirtschaftslebens. Der Osten Europas wird es beweisen können, wenn er noch lange unter derselben Herrschaft bleibt, unter der er eben ist. Die Auslöschung, den Tod des Wirtschaftslebens bedeutet es, wenn man von dem einzelnen abnimmt die Initiative, die von seinem Geiste ausgehen muβ und hineinfliegen muβ in die Bewegung der Produktionsmittel, gerade zum Wohle der menschlichen Gemeinsamkeit.

Wodurch ist nun aber das entstanden, was wir heute als Schaden sehen? Daβ der moderne Produktionsprozess durch seine technischen Vollkommenheiten die Initiative des einzelnen fordert, daher auch die Möglichkeit fordert, daβ der einzelne über Kapital verfüge und den Produktionsprozeβ aus seiner Initiative ausführen kann, das ist es, was die neuere Menschheitsentwickelung heraufgebracht hat. Und die Schäden, die mitgekommen sind — man erkennt ihren Ursprung aus ganz anderen Untergründen heraus. Will man diesen Ursprung erkennen, dann muβ man sich vor allen Dingen statt auf den Boden des Genossenschaftsprinzipes, auch wenn man Großgenossenschaften meint, auf den Boden des Assoziationsprinzips stellen.

Was heiβt das, sich statt auf den Boden des Genossenschaftsprinzips auf den Boden des Assoziationsprinzips stellen? Das heiβt das folgende : Wer sich auf den Boden des Genossenschaftsprinzips stellt, der behauptet, die Menschen brauchen sich nur zusammenzutun, aus ihrer Gemeinsamkeit heraus Beschlüsse zu fassen, dann können sie die Produktionsprozesse verwalten. Also man beschlieβt zuerst die Assoziierung der Menschen, die Zusammenschlieβung der Menschen, und dann will man produzieren von dem gemeinsamen Zusammenschlug, von der Gemeinschaft der Menschen aus. Die Idee vom dreigliederten Organismus stellt sich auf den Boden der Wirklichkeit und sagt: Zuerst müssen da sein die Menschen, die produzieren können, die sachkundig und fach tüchtig sind. Von ihnen muβ der Produktionsprozess abhängen. Und diese sachkundigen und fachtüchtigen Menschen, die müssen sich nun zusammenschliegen und das Wirtschaftsleben besorgen auf Grundlage jener Produktion, die aus der Initiative des einzelnen fliegt. — Das ist das wirkliche Assoziationsprinzip. Da wird zuerst produziert und dann das Produzierte auf Grundlage des Zusammenschlusses der produzierenden Personen zum Konsum gebracht.

Daβ man den Unterschied, den radikalen Unterschied zwischen diesen zwei Prinzipien heute nicht einsieht, das ist gewissermassen das Unheil unserer Zeit. Denn auf diese Einsicht kommt im Grunde alles an. Man hat nicht den Instinkt dafür, einzusehen, daβ jede abstrakte Gemeinschaft den Produktionsprozess, wenn sie ihn verwalten will, untergraben muβ. Die Gemeinschaft, die eine Assoziation sein soll, kann nur das aufnehmen, was aus der Initiative des einzelnen heraus produziert wird und kann es sozial zur Verteilung an die Konsumierenden bringen.

Man durchschaut heute das Wichtige nicht, was diesen Dingen zugrunde liegt, aus einem Grunde, den ich gestern schon angeführt habe: daβ ungefähr zu der Zeit, in welcher in der neueren Menschheitsgeschichte die Renaissance, die Reformation sich ereigneten, herüber gewandert sind aus Mittel- und Südamerika die Edelmetalle, welche aus der bis dahin fast einzig noch maβgebenden Naturalwirtschaft zur Geldwirtschaft geführt haben. Damit hat sich eine bedeutsame wirtschaftliche Revolution in. Europa vollzogen. Verhältnisse haben sich herausgebildet, unter deren Einflusse wir heute durchaus noch stehen. Aber diese Verhältnisse haben zu gleicher Zeit, ich möchte sagen, Vorhänge gebildet, durch die man nicht hindurchsehen kann auf die wahren Wirklichkeiten.


Sehen wir uns noch diese Verhältnisse einmal genauer an. Gehen wir aus, obwohl sie heute ja nicht mehr in ihrer Ausdehnung da ist, von der alten Naturalwirtschaft. Man hat es da im Wirtschaftsprozesse nur zu tun mit dem, was der einzelne hervorbringt. Das kann er austauschen gegen das, was der andere hervorbringt. Und man möchte sagen: innerhalb dieser Naturalwirtschaft, wo nur Produkt gegen Produkt ausgetauscht werden kann, muβ eine gewisse Gediegenheit herrschen. Denn will man ein Produkt, das man braucht, eintauschen, so muss man eins haben, das man dafür austauschen kann, und man muss ein solches Produkt haben, das der andere als gleichwertig annimmt. Das heiβt, die Menschen sind gezwungen, wenn sie etwas haben wollen, auch etwas zu erzeugen. Sie sind gezwungen, auszutauschen, was einen realen, einen offenbar liegenden realen Wert hat.

An die Stelle dieses Austausches von Gütern, die für das menschliche Leben einen realen Wert haben, ist die Geldwirtschaft getreten. Und das Geld ist etwas geworden, mit dem man wirtschaftet, mit dem man ebenso wirtschaftet, wie man in der Naturalwirtschaft wirtschaftet mit realen Objekten. Dadurch aber, daβ das Geld ein wirkliches Wirtschaftsobjekt geworden ist, spiegelt es wirklich etwas Imaginäres den Menschen vor, und indem es so wirkt, tyrannisiert es zu gleicher Zeit die Menschen.

Nehmen wir einen extremen Fall: das gerade die Kreditwirtschaft, auf die ich gestern am Schlusse hingedeutet habe, hineinfließt in die Geldwirtschaft. Das hat sie ja in der letzten Zeit vielfach getan. Da stellt sich dann zum Beispiel das folgende heraus: Man will irgendeine Anlage machen, als Staat oder als einzelner, eine Telegraphenanlage oder dergleichen. Man kann Kredit beanspruchen, Kredit von einer ganz bedeutenden Höhe. Man wird diese Telegraphenanlage zustande bringen können. Gewisse Verhältnisse werden gewisse Geldmengen in Anspruch nehmen. Aber diese Geldmengen müssen verzinst werden. Für diese Verzinsung muβ man aufkommen. Und in zahlreichen Fällen, was stellt sich innerhalb unserer sozialen Struktur heraus — am meisten in der Verstaatlichung, wenn der Staat selber wirtschaftet was stellt sich heraus? daβ dasjenige, was man dazumal hergestellt hat und wozu man das betreffende Geld verwendet hat, längst verbraucht ist, daβ es nicht mehr da ist, und daβ die Leute noch immer das abzahlen müssen, was damals als Kredit gefordert worden ist! Das heiβt: Was kreditgemäss geschuldet wird, das ist schon fort, aber an dem Geld wirtschaftet man noch immer herum.

Solche Dinge haben auch weltwirtschaftliche Bedeutung. NapoleonIII., der ganz eingefädelt war von den modernen Ideen, bekam die Idee, Paris zu verschönern, und er hat sehr vieles bauen lassen. Die Minister, die seine gefügigen Werkzeuge waren, haben gebaut. Die Einkünfte des Staates — sie kamen darauf — kann man verwenden, um einfach die Zinsen zu bezahlen. Nun ist Paris viel schöner geworden, aber die Leute bezahlen heute noch die Schulden, die damals gemacht worden sind! Das heiβt: Nachdem die Dinge längst dasjenige nicht mehr sind, was Reales zugrunde liegt, wirtschaftet man noch immer an dem Gelde herum, das selber ein Wirtschaftsobjekt geworden ist.

Das hat auch seine Lichtseite. In der alten Naturalwirtschaft, da war es nekig, wenn man wirtschaftete, Güter hervorzubringen. Die unterlagen selbstverständlich dem Verderben, die konnten zugrunde gehen, und man war darauf angewiesen, immer weiter zu arbeiten, immer neue Güter zu erarbeiten, wenn solche da sein sollten. Beim Gelde ist das nicht nötig. Man gibt es hin, leiht es jemandem, stellt sich sicher. Das heisst, man wirtschaftet mit dem Gelde ganz frei von denjenigen, die die Güter erzeugen. Das Geld emanzipiert gewissermaβen den Menschen von dem unmittelbaren Wirtschaftsprozeβ, gerade indem es selber zum Wirtschaftsprozess wird. Dies ist auβerordentlich bedeutsam. Denn in der alten Naturalwirtschaft war ja der einzelne auf den einzelnen angewiesen, Mensch auf Mensch angewiesen. Die Menschen muβten zusammenwirken, sie müβten sich vertragen. Sie müβten übereinkommen über gewisse Einrichtungen, sonst ging das Wirtschaftsleben nicht weiter. Unter der Geldwirtschaft ist natürlich derjenige, der Kapitalist wird, auch abhängig von denen, die arbeiten, aber denen, die arbeiten, steht er ganz fremd gegenüber. Wie nahe stand auch der Konsument dem Produzenten in der alten Naturalwirtschaft, wo man es mit wirklichen Gütern zu tun hatte! Wie fern steht derjenige, der mit dem Geld wirtschaftet, denjenigen, die dafür arbeiten, daβ dieses Geld seine Zinsen abwerfen kann! Es werden Klüfte aufgerissen zwischen den Menschen. Die Menschen stehen sich nicht mehr nahe unter der Geldwirtschaft. Das muss vor allem Dingen in Erwägung gezogen werden, wenn man einsehen will, wie die arbeitenden Menschenmassen, gleichgültig ob sie geistige, ob sie physische Arbeiter sind, wie diejenigen, die wirklich produzieren, wiederum nahegebracht werden müssen denen, die auch mit Kapitalanlagen das Wirtschaften möglich machen. Das aber kann nur geschehen durch das Assoziationsprinzip, dadurch, daβ sich die Menschen wiederum als Menschen zusammenschlissen. Das Assoziationsprinzip ist eine Forderung des sozialen Lebens, aber eine solche Forderung, wie ich es charakterisiert habe, nicht eine solche, wie sie vielfach in sozialistischen Programmen fungiert.

Und was ist noch anderes eingetreten gerade unter der immer mehr und mehr überhandnehmenden Geldwirtschaft der neueren Zeit? Dadurch ist auch derjenige, was man menschliche Arbeit nennt, abhängig geworden vom Gelde. Um die Hineinordnung der menschlichen Arbeit in die soziale Struktur streiten ja Sozialisten und andere. Und man kann für und gegen das, was von beiden Seiten vorgebracht wird, recht gute Gründe anführen. Man versteht es vollkommen, insbesondere wenn man gelernt hat, nicht über das Proletariat zu denken und zu empfinden, sondern mit dem Proletariat zu denken und zu empfinden, man versteht es völlig, wenn der Proletarier sagt, es dürfe in Zukunft nicht mehr seine Arbeitskraft Ware sein, es dürfe nicht das Verhältnis weiter bestehen, daβ man auf der einen Seite auf dem Warenmarkte Güter bezahlt, und auf der anderen Seite auf dem Arbeitsmarkte in der Form des Lohnes die menschliche Arbeit bezahlt. Das ist gut zu begreifen. Und es ist gut zu begreifen, dass Karl Marx viele Anhänger gefunden hatte, als er ausrechnete, dass derjenige, der arbeitet, einen Mehrwert erzeugt, dass er nicht das volle Erträgnis seiner Arbeitskraft bekommt, sondern einen Mehrwert erzeugt, dass dieser Mehrwert abgeliefert wird an den Unternehmer, und dass dann der Arbeiter unter dem Einflusse einer solchen Theorie um diesen Mehrwert kämpft. Aber es ist auf der anderen Seite ebenso leicht zu beweisen, daβ der Arbeitslohn aus dem Kapital bezahlt wird, dass das moderne Wirtschaftsleben ganz geregelt wird durch die Kapitalwirtschaft, daβ gewisse Produkte kapitalistisch etwas abwerfen, und daβ man nach dem, was sie abwerfen, den Arbeitslohn bezahlt, die Arbeit kauft; das heiβt, es wird der Arbeitslohn aus dem Kapital erzeugt. — Man kann das eine ebenso gut wie das andere beweisen. Man kann beweisen, daβ das Kapital der Parasit der Arbeit ist, man kann beweisen, daβ das Kapital der Schöpfer überhaupt des Arbeitslohnes ist, kurz, man kann Parteimeinungen mit der gleichen Geltung vertreten von der einen und von der anderen Seite.

Das sollte man einmal durchgreifend einsehen. Dann würde man einsehen, wie es kommt, dass in der Gegenwart vorzugsweise nur durch Kampf etwas zu erreichen gesucht wird und nicht durch das sachliche Fortschreiten und Klären der Verhältnisse. Die Arbeit ist etwas, was so durchaus verschieden ist von den Waren, daβ es ganz und gar ohne wirtschaftliche Schäden unmöglich ist, in der gleichen Weise Geld zu zahlen für die Ware und für die Arbeit. Nur sehen die Menschen nicht ein, wie die Zusammenhänge sind. Sie durchschauen heute noch nicht die wirtschaftliche Struktur gerade auf diesem Gebiete.

Es sind heute zahlreiche Nationalökonomen, die sagen sich: Wenn die Geldmittel, die Umlaufsmittel, also Metallgeld oder Papiergeld, in beliebiger Weise vermehrt werden, so wird das Geld billig, und insbesondere die notwendigsten Lebensgüter werden dann teuer. — Man bemerkt das, und man sieht ein das Unsinnige der einfachen Geldvermehrung. Denn diese einfache Geldvermehrung — so kann man es mit Händen greifen — bewirkt nichts anderes, als daβ die Lebensmittel auch teuer werden. Die bekannte Schraube ohne Ende geht immer, bewegt sich immer. Aber man sieht etwas anderes nicht ein: daβ in dem Augenblicke, wo man Arbeit ebenso bezahlt, wie man Ware, wie man Erzeugnisse bezahlt, die Arbeit selbstverständlich danach streben muss, durch Kämpfe immer bessere und bessere Bezahlung, immer bessere und bessere Entlohnung zu bekommen. Aber was die Arbeit an Geld als Entlohnung bekommt, das hat dieselbe Funktion für die Preisbildung wie die bloße Vermehrung der Geldumlaufsmittel. Das ist es, was man einsehen müsste.



Sie können, wie es manche Finanzminister getan haben, statt die Produktion zu erhöhen, statt dafür zu sorgen, daβ die Produktion fruchtbarer wird, einfach. Noten bringen, die Umlaufsmittel vermehren. Dann werden die Menschen mehr Umlaufsmittel haben, aber alle Produkte, insbesondere die notwendigen Lebensprodukte werden auch teurer. Das sehen die Menschen schon ein. Daher sehen sie ein, wie unsinnig es ist, einfach abstrakt die Geldumlaufsmittel zu vermehren. Aber man sieht nicht ein, daβ all das Geld, das man nur unter dem Gesichtspunkt ausgibt, Arbeit zu bezahlen, geradeso wirkt auf die Verteuerung der Güter. Denn gesunde Preise können sich nur im selbständigen Wirtschaftsleben selber drinnen bilden. Gesunde Preise können sich nur bilden, wenn sie heranentwickelt werden an der Bewertung der menschlichen Leistung. Deshalb sucht die Idee von der Dreigliederung des sozialen Organismus — und das im genaueren auszuführen wird die Aufgabe sein besonders morgen — die Arbeit vollständig herauszugliedern aus dem Wirtschaftsprozesse.

Die Arbeit als solche ist gar nicht etwas, was in den Wirtschaftsprozeβ hineingehört. Denken Sie doch einmal das folgende. Es sieht sonderbar, paradox aus, wenn man es sagt, aber viele Dinge nehmen sich heute paradox aus, die eben durchaus eingesehen werden müssen. Die Menschen sind sehr weit abgekommen von geradem Denken; deshalb finden sie manches ganz absurd, was gerade aus den Grundlagen der Wirklichkeit heraus gesagt werden muss. Nehmen Sie an, heute treibt einer Sport vom Morgen bis zum Abend. Er treibt eine Art Sport. Er wendet genau ebenso die Arbeitskraft auf wie einer, der Holz hackt; ganz genau ebenso wendet er die Arbeitskraft auf. Nur kommt es darauf an, dass einer Arbeitskraft aufwendet für die menschliche Gemeinschaft. Der, der Sport treibt, tut das dadurch nicht für die menschliche Gemeinschaft, höchstens dadurch, daβ er sich stark macht; nur wendet er es in der Regel nicht an. Aber für die Gemeinschaft hat das in der Regel gar keine Bedeutung, wenn einer seine Arbeit wegen des Sportes betreibt, wodurch er sich ebenso ermüdet wie durch das Holzhacken. Das Holzhacken, das hat Bedeutung.


Das heiβt, Arbeitskraft aufzuwenden, das ist etwas, was gar nicht sozial in Frage kommt; aber dasjenige, was durch das Aufwenden der Arbeitskraft entsteht, das ist es, was im sozialen Leben in Frage kommt. Auf das, was durch die Arbeitskraft entsteht, muss man sehen. Das hat für die Gemeinschaft Wert. Daher kann auch innerhalb des Wirtschaftslebens nur in Frage kommen das Produkt, das durch die Arbeitskraft hervorgebracht wird. Und es kann sich die Wirtschaftsverwaltung nur damit befassen, den gegenseitigen Wert der Produkte zu regeln. Aus dem Wirtschaftskreislauf muβ die Arbeit ganz drauβen liegen.

Sie muβ liegen auf dem Rechtsboden, auf dem Boden, den wir morgen besprechen werden, wo jeder mündig gewordene Mensch als ein Gleicher zu urteilen hat jedem mündig gewordenen Menschen gegenüber. Art und Zeit, Charakter der Arbeit wird bestimmt durch die Rechtsverhältnisse der Menschen untereinander. Arbeit muβ herausgehoben werden aus dem Wirtschaftsprozeβ. Dann wird für den Wirtschaftsprozefi nur zurückbleiben, was man nennen kann die Regelung der gegenseitigen Bewertung der Waren, die Regelung, wieviel man zu kriegen hat von den Leistungen eines anderen für seine eigene Leistung. Dafür werden aufzukommen haben die Menschen, die sich herausgliedern aus den Assoziationen, die geschlossen werden zwischen Produzierenden und anderen Produzierenden, Produzierenden und Konsumierenden und so weiter. Mit der Preisbildung wird man es zu tun haben.

Die Arbeit wird überhaupt kein Gebiet sein, das man zu regeln hat innerhalb des Wirtschaftslebens; die wird hinausgewiesen aus dem Wirtschaftsleben. Wenn die Arbeit im Wirtschaftsleben drinnen steht, so hat man die Arbeit aus dem Kapital heraus zu bezahlen. Dadurch wird gerade das bewirkt, was im neueren Wirtschaftsleben das Streben genannt werden kann nach bloβem Profit, nach bloβem Gewinn. Denn dadurch steht derjenige, der wirtschaftliche Produkte liefern will, ganz drinnen in einem Prozeβ, der zuletzt seinen Abschluss findet im Märkte.

Und hier müβte eigentlich von dem, der wirklich einsichtig werden will, eine Idee, ein Begriff zurechtgestellt werden, der heute sehr, sehr irrtümlich gestaltet ist. Man sagt: Der kapitalistisch Produzierende bringt seine Produkte auf den Markt; er will profitieren. Und nachdem lange Zeit mit einem gewissen Rechte die sozialistisch Denkenden gesagt haben: Die ganze Sittenlehre hat gar nichts zu tun mit diesem Produzieren, allein das wirtschaftliche Denken - will man heute gar sehr von ethischen, von sittlichen Gesichtspunkten aus den Profit, den Gewinn mit der Sittenlehre vermischen. Hier soll nicht gesprochen werden vom einseitig sittlichen, nicht vom einseitig wirtschaftlichen, sondern vom gesamtgesellschaftlichen Standpunkte aus. Und da muss man sagen: Was sich im Gewinn, im Profit zeigt, was ist es denn.? Etwas, wovon man eigentlich im wirklichen volkswirtschaftlichen Zusammenhänge nur so sprechen kann, wie man davon sprechen kann, wenn die Thermometersäule, die Quecksilbersäule im Zimmer steigt, de es wärmer geworden ist. Wenn jemand sagt: Diese Quecksilbersäule zeigt mir, dass es wärmer geworden ist dann wird er wissen, dass nicht diese Quecksilberseule das Zimmer wärmer gemacht hat, dass diese Quecksilbersäule nur anzeigt, dass es im Zimmer durch andere Faktoren wärmer geworden ist. Der Gewinn auf dem Markte, der sich ergibt unter unseren heutigen Produktionsverhältnissen, ist auch zunächst nichts anderes als der Anzeiger dafür, clae man die Produkte produzieren darf, die einen Gewinn abwerfen. Denn ich müchte wissen, woher in aller Welt man heute irgendeinen Anhaltspunkt dafür gewinnen sollte, ein Produkt zu produzieren sei, wenn es sich nicht herausstellt, dass es, wenn man es produziert und zu Markte bringt, einen Gewinn abwirft! Dies ist das einzige Kennzeichen dafür, dass man die wirtschaftliche Struktur so gestalten darf, daβ dieses Produkt hervorkommt. daβ ein Produkt nicht produziert werden darf, zeigt sich nur dadurch, de man, wenn man es zu Markte bringt, merkt: Es ist kein Absatz da. Die Menschen verlangen es nicht. Man erzielt keinen Gewinn. — Das ist der wirkliche Sachverhalt, nicht all das Gefabel und Gefasel, welches von Angebot und Nachfrage gesprochen worden ist in vielen Nationalökonomien. Das Urphänomen, die Urerscheinung auf diesem Gebiete ist, daβ heute einzig und allein das Gewinnabwerfen den Menschen in den Stand setzt, sich zu sagen: Du kannst ein gewisses Produkt produzieren, denn es wird einen gewissen Wert haben innerhalb der menschlichen Gemeinschaft.

Die Umgestaltung des Marktes, der heute diese Bedeutung hat, wird sich ergeben, wenn ein wirkliches Assoziationsprinzip in unserem sozialen Leben drinnen sein wird. Dann wird nicht die unpersönliche, vom Menschen abgesonderte Nachfrage und das Angebot auf dem Märkte entscheiden, ob ein Produkt produziert werden soll oder nicht, dann werden aus diesen Assoziationen durch das soziale Wollen der darin beschäftigten Menschen andere Persönlichkeiten hervorgehen, welche sich damit beschäftigen werden, das Verhältnis zu untersuchen zwischen dem Wert eines erzeugten Gutes und seinem Preise.

Der Wert eines erzeugten Gutes kommt heute in einer gewissen Beziehung gar nicht in Frage. Er bildet allerdings den Antrieb zur Nachfrage. Aber diese Nachfrage ist ja deshalb in unserem heutigen sozialen Leben eine recht problematische, weil ihr immer die Frage gegenübersteht, ob auch zur Nachfrage die entsprechenden Mittel, die entsprechenden Besitzverhältnisse vorhanden sind. Man kann gut Bedürfnisse haben: wenn man nicht die nötigen Mittel besitzt, sie zu befriedigen, so wird man sie gar nicht nachfragen können. Aber es handelt sich darum, daβ ein Verbindungsglied geschaffen werden muss zwischen den menschlichen Bedürfnissen, die den Gütern, den Erzeugnissen ihren Wert geben, und den Preisen. Denn was man bedarf, hat je nach diesem Bedürfnis seinen menschlichen Wert. Es werden sich Einrichtungen herausgliedern müssen aus der sozialen Ordnung, die die Brücke schaffen von diesem Wert, der den Erzeugnissen aufgedrückt wird durch die menschlichen Bedürfnisse, und den Preisen, die sie haben müssen.

Heute wird der Preis bestimmt durch den Markt, danach, ob Leute da sind, die diese Güter kaufen können, die das nötige Geld haben. Eine wirkliche soziale Ordnung muβ dahin orientiert sein, daβ die Menschen, die aus ihren berechtigten Bedürfnissen heraus Güter haben müssen, sie auch bekommen können, das heiβt, daβ der Preis dem Werte der Güter wirklich angeähnelt wird, daβ er ihm entspricht. An die Stelle des heutigen chaotischen Marktes muβ eine Einrichtung treten, durch welche nicht etwa die Bedürfnisse der Menschen, der Konsum der Menschen tyrannisiert wird, wie durch Arbeiterproduktivgenossenschaften oder durch die sozialistische Groβgenossenschaft, sondern durch welche der Konsum der Menschen erforscht und danach bestimmt wird, wie diesem Konsum entsprochen werden soll.

Dazu ist notwendig, daβ unter dem Einflug des Assoziationsprinzipes wirklich die Möglichkeit herbeigeführt werde, Ware so zu erzeugen, daβ sich den beobachteten Bedürfnissen entspreche, das heisst, Einrichtungen müssen da sein mit Personen, die die Bedürfnisse studieren. Die Statistik kann nur einen Augenblick aufnehmen; sie ist niemals für die Zukunft maβgebend. Die Bedürfnisse, die jeweils vorhanden sind, müssen studiert werden, danach müssen die Einrichtungen für das Produzieren getroffen werden. Wenn ein Artikel irgendwie die Tendenz entwickelt, zu teuer zu werden, dann ist das ein Zeichen dafür, daβ zu wenige Menschen für diesen Artikel arbeiten. Es müssen Verhandlungen gepflogen werden, durch die aus anderen Produktionszweigen zu diesem Produktionszweig arbeitende Menschen übergeführt werden, so daβ mehr von diesem Artikel erzeugt wird. Hat ein Artikel die Tendenz, zu billig zu werden, verdient sein Erzeuger zu wenig, dann müssen Verhandlungen eingeleitet werden, durch die weniger Menschen gerade an diesem Artikel arbeiten. Das heiβt: Von der Art und Weise, wie die Menschen an ihre Plätze gestellt werden, muβ in der Zukunft abhängig werden, wie die Bedürfnisse befriedigt werden. Der Preis des Produkts bedingt sich durch die Zahl der Menschen, die daran arbeiten. Aber er wird durch solche Einrichtungen dem Werte ähnlich sein, gleich sein im wesentlichen dem, Werte, den das menschliche Bedürfnis dem betreffenden erzeugten Gut beizulegen hat.

Da sehen wir, wie an der Stelle des Zufallsmarktes die Vernunft der Menschen wirken wird, wie der Preis zum Ausdruck bringen wird, was die Menschen verhandelt haben, in welche Verträge die Menschen eingegangen sind durch die Einrichtungen, welche bestehen. So sehen wir die Umwandelung des Marktes gegeben dadurch, daβ Vernunft tritt an die Stelle des Marktzufalles, der heute herrscht.

Wir sehen überhaupt: Sobald wir das Wirtschaftsleben abgliedern von den beiden anderen Gebieten, die wir in den nächsten Tagen besprechen werden auch die Beziehung zum Wirtschaftsleben werden wir besprechen und manches, was heute unklar bleiben muss, wird dann klar werden sobald wir das Wirtschaftsleben abgliedern von den beiden anderen, dem Rechts- oder Staatsgebiet und dem Geistesleben, so wird das Wirtschaftsleben auf eine gesunde, vernünftige Basis gestellt. Denn es wird dann darin nur gesehen auf die Art und Weise, wie man wirtschaftet. Man braucht dadurch nicht mehr die Preise der Waren beeinträchtigen zu lassen, daβ die Warenpreise nun auch feststellen sollen, wie lang gearbeitet werden soll, oder wieviel gearbeitet werden soll, oder wieviel Lohn bezahlt werden soll und dergleichen, sondern man hat es im Wirtschaftsleben nur zu tun mit dem vergleichsweisen Wert der Waren. Damit steht man im Wirtschaftsleben auch auf einem gesunden Boden.



Dieser gesunde Boden muss für das gesamte Wirtschaftsleben erhalten werden. Daher wird in einem solchen Wirtschaftsleben wiederum dasjenige, was heute durch die bloβe Geldwirtschaft, wo das Geld selbst Wirtschaftsobjekt ist, nur Scheingebilde sein kann, zurückgeführt auf seine natürliche gediegene Grundlage. Man wird es in der Zukunft nicht mehr zu tun haben können mit dem Wirtschaften durch das Geld und für das Geld, denn die Einrichtungen werden es zu tun haben mit dem gegenseitigen Werte der Waren. Das heiβt, man wird wiederum auf das Gediegene der Güter zurückgehen, und damit auch zurückgehen auf die Leistungsfähigkeit, auf die Tüchtigkeit der Menschen. Und nicht mehr wird man die Kreditverhältnisse abhängig machen können davon, ob Geld vorhanden ist oder nicht, oder ob Geld so und so riskiert wird, sondern die Kreditverhältnisse werden abhängig davon sein, ob Menschen vorhanden sind, die tüchtig dazu sind, das eine oder das andere wirklich in Szene zu setzen, das eine oder das andere hervorzubringen. Kredit wird haben die menschliche Tüchtigkeit.

Und indem die menschliche Tüchtigkeit die Grenze abgibt, wie weit man Kredit gewährt, wird dieser Kredit nicht gewährt werden können über diese menschliche Tüchtigkeit hinaus. Wenn Sie bloβ Geld hingeben und Geld wirtschaften lassen, dann kann dasjenige, was dadurch geschaffen wird, längst verbraucht sein — an dem Gelde muss man noch immer herumwirtschaften. Wenn Sie Geld nur hingeben für menschliche Tüchtigkeit, dann hört selbstverständlich mit dieser menschlichen Tüchtigkeit auch auf, was man mit dem Gelde wirtschaften kann. Davon wollen wir dann in den nächsten Tagen sprechen.

Nur dann, wenn dem Wirtschaftsleben die beiden anderen Gebiete zur Seite stehen, das Rechtsgebiet, das selbständig ist, und das selbständige Geistesgebiet, kann das Wirtschaftsleben sich in gesunder Weise auf seine eigenen Füsse stellen. Dann aber muβ auch alles innerhalb des Wirtschaftslebens aus wirtschaftlichen Voraussetzungen selbst folgen.

Aus den wirtschaftlichen Voraussetzungen werden die materiellen Güter produziert. Man braucht nur an etwas, was im sozialen Leben wie, ich möchte sagen, ein Abfall vom Wirtschaftsleben dasteht, zu denken, und man wird sehen, wie ein wirkliches wirtschaftliches Denken manches von dem hinwegschaffen muβ, was heute noch wie eine Selbstverständlichkeit in der sozialen Ordnung gilt, ja wofür man als für einen Fortschritt kämpft.

Es denkt heute noch keiner von denen, die da glauben, von dem wirklichen Leben etwas zu verstehen, daran, daβ es nicht einen grossen Fortschritt bedeute, wenn man von allen möglichen indirekten Steuern oder sonstigen Einnahmen des Staates übergehe zu der sogenannten Einkommenssteuer, insbesondere zu der steigenden Einkommenssteuer. Es denkt heute jeder, es sei selbstverständlich das Gerechte, das Einkommen zu besteuern. Und doch, so paradox es für den heutigen Menschen klingt, dieser Gedanke, daβ man die gerechte Besteuerung durch die Besteuerung des Einkommens erreichen Unne, rührt nur von der Täuschung her, die die Geldwirtschaft gebracht hat.

Geld nimmt man ein. Mit Geld wirtschaftet man. Durch das Geld befreit man sich von der Gediegenheit des produktiven Prozesses selbst. Man abstrahiert gewissermaβen das Geld im Wirtschaftsprozesse, wie man im Gedankenprozeβ die Gedanken abstrahiert. Aber geradesowenig wie man aus abstrakten Gedanken irgendwelche wirklichen Vorstellungen und Empfindungen hervorzaubern kann, so kann man aus dem Gelde etwas Wirkliches hervorzaubern, wenn man übersieht, daβ das Geld bloβ ein Zeichen ist für Güter, die produziert werden, daβ das Geld gewisserrnagen bloβ eine Art Buchhaltung ist, eine fliegende Buchhaltung, daβ jedes Geldzeichen stehen muβ für irgendein Gut.

Auch darüber soll noch im genaueren in den folgenden Tagen gesprochen werden. Heute aber muβ gesagt werden, daβ eine Zeit, die nur sieht, wie das Geld zum selbständigen Wirtschaftsobjekt wird, daβ eine solche Zeit in den Geldeinnahmen dasjenige sehen was man vor allen Dingen besteuern soll. Aber damit macht man sich ja als der Besteuernde mitschuldig an der abstrakten Geldwirtschaft! Man besteuert, was eigentlich kein wirküches Gut ist, sondern nur Zeichen für ein Gut. Man arbeitet mit etwas Wirtschaftlich-Abstraktem. Geld wird erst zu einem Wirklichen, wenn es ausgegeben wird. Da tritt es über in den Wirtschaftsprozess, gleichgültig ob ich es für mein Vergnügen oder für meine leiblichen und geistigen Bedürfnisse ausgebe, oder ob ich es in einer Bank anlege, so dass es da für den wirtschaftlichen Prozess verwendet wird. Wenn ich es in einer Bank anlege, so ist es eine Art von Ausgabe, die ich mache — das ist natürlich festzuhalten. Aber Geld wird in dem Augenblicke zu etwas Realem im Wirtschaftsprozesse, wo es sich von meinem Besitze ablöst, in den Wirtschaftsprozess übergeht. Die Menschen brauchten ja auch nur eines zu bedenken: Es nützt dem Menschen gar nichts, wenn er viel einnimmt. Wenn er die grofie Einnahme in den Strohsack legt, so mag er sie haben; das nützt ihm gar nichts im Wirtschaftsprozess. Den Menschen nützt nur die Möglichkeit, viel ausgeben zu können.
Und für das öffentliche Leben, für das wirkliche produktive Leben ist das Zeichen für viele Einnahmen eben, dass man viel ausgeben kann. Daher muss man, wenn man im Steuersystem nicht etwas schaffen will, was parasitär am Wirtschaftsprozesse ist, sondern wenn man etwas schaffen will, was eine wirkliche Hingabe des Wirtschaftsprozesses an die Allgemeinheit ist, das Kapital in dem Augenblicke versteuern, in dem es in den Wirtschaftsprozess übergeführt wird. Und das Sonderbare stellt sich heraus, dass die Einnahmesteuer verwandelt werden muss in eine Ausgabensteuer — die ich bitte, nicht zu verwechseln mit indirekter Steuer. Indirekte Steuern treten in der Gegenwart oftmals als Wünsche gewisser Regierender nur aus dem Grunde hervor, weil man an den direkten Steuern, an den Einnahmesteuern gewahnlich nicht genug hat. Nicht um indirekte Steuern und nicht um direkte Steuern handelt es sich, indem hier von Ausgabensteuer gesprochen wird, sondern darum handelt es sich, daβ dasjenige, was ich erworben habe, in dem Momente, wo es übergeht in den Wirtschaftsprozess, wo es produktiv wird, auch besteuert wird.

Gerade an dem Steuerbeispiel sieht man, wie ein Umlernen und Umdenken notwendig ist. Der Glaube, dass es auf eine Einnahmesteuer vorzugsweise ankomme, ist eine Begleiterscheinung jenes Geldsystems, das in der modernen Zivilisation seit der Renaissance und Reformation heraufgekomrnen ist. Wenn man das Wirtschaftsleben auf seine eigene Basis stellt, dann wird es sich nur darum handeln können, daβ das, was wirklich wirtschaftet, was darinnensteckt im Produktionsprozess, die Mittel zur Arbeit desjenigen hergibt, was der Gemeinschaft notwendig ist. Dann wird es sich handeln um eine Ausgabensteuer, niemals um eine Einkommenssteuer.

Sehen Sie, man muss, wie ich schon gestern sagte, umlernen und umdenken. Ich konnte Ihnen bisher in diesen beiden Vorträgen nur skizzenhaft einiges andeuten. In den vier folgenden soll vieles davon ausgeführt werden. Wer heute solche Dinge ausspricht, der weiss ganz gut, dass er Anstoss erregen muss nach links und nach rechts, daβ ihm zunächst kaum irgend jemand Recht geben wird, denn alle diese Angelegenheiten sind untergetaucht in die Sphäre der Parteimeinung. Aber nicht früher ist ein Heil zu erhoffen, bevor diese Angelegenheiten nicht wieder aufsteigen aus dem Gebiete, wo die Leidenschaften der Parteien wüten, in das Gebiet des sachlichen, des wirklich dem Leben entnommenen Denkens.

Und das möchte man so gern: dass die Menschen, indem sie der Dreigliederung des sozialen Organismus entgegentreten, nicht urteilen nach Parteischablonen, nach Parteiprinzipien, sonder daβ sie zu Hilfe nehmen zu ihren Urteilen den Wirklichkeitsinstinkt. Parteimeinungen und Parteiprinzipien haben die Menschen vielfach abgebracht von diesem Wirklichkeitsinstinkt. Daher erlebt man es immer wieder und wiederum, gerade diejenigen, die heute mehr oder weniger auf den bloßen Konsum angewiesen sind, im Grunde genommen recht leicht aus ihren Instinkten heraus verstehen, was eine solche Wirklichkeitsidee wie die von der Dreigliederung des sozialen Organismus eigentlich will. Dann aber kommen die Führer, insbesondere der sozialistischen Massen. Und da darf es heute nicht verhehlt werden, daβ diese Führer der sozialistischen Massen durchaus nicht geneigt sind, auf das Gebiet der Wirklichkeit einzugehen.

Und eines ist heute leider zu bemerken, und das gehört auch, insbesondere auf dem Wirtschaftsgebiete, zu den drängenden Dingen der sozialen Frage: Wir haben es erlebt, indem wir gearbeitet haben für die Dreigliederung, wie zu den Massen gesprochen worden ist, und wie die Massen aus ihrem Wirklichkeitsinstinkt heraus gut verstanden haben, was gesprochen worden ist. Dann sind die Führer gekommen und haben erklärt: Das ist utopistisch! — In Wahrheit stimmte es nur nicht mit dem, was sie seit Jahrzehnten gewohnt sind, in ihren Köpfen zu tragen und herumzuwirbeln, und dann sagen sie ihren getreuen Anhängern, das sei utopistisch, das sei keine Wirklichkeit. Und leider hat sich in der Gegenwart zu stark ein blinder Glaube herausgebildet, eine blinde Anhängerschaft, ein furchtbares Autoritätsgefühl auf diesem Gebiete. Und man muss sagen: Was einmal aufgebracht worden ist an Autoritätsgefühl, sagen wir, gegenüber den Bischöfen und Erzbischöfen der katholischen Kirche, das ist ein Kleines gegenüber dem starken Autoritätsgefühl der modernen Arbeitermassen gegenüber ihren Führern. Daher haben es diese Führer verhältnismässig leicht, mit dem, was sie wollen, durchzudringen.

Was aber gefordert wird, ist, darauf hinzuweisen vor allen Dingen, was ehrlich ist auf diesem Gebiete, nicht was für die Parteischablone spricht. Wenn es mir gelingen sollte, gerade in diesen Vorträgen zu zeigen, dass dasjenige, was durch die Dreigliederung angestrebt wird, wirklich ehrlich gemeint ist für das Gesamtwohl der ganzen Menschheit, ohne Unterschied von Klasse, Stand und so weiter, dann wird im wesentlichen erreicht sein, was durch solche Vorträge nur angestrebt werden kann.


Fragenbeantwortung nach dem zweiten Vortrag

Ein Maschinentechniker bringt einen im heutigen System oft anzutreffenden Missstand zur Sprache: daβ mehrere Fabriken Kapital in gleichartigen Maschinen investieren, die überall nur teilweise ausgenutzt werden. Er fragt, ob nicht in einer assoziativ geführten Wirtschaft diese Kapitalverschwendung beseitigt werden könnte.

Dr. Steiner: Ich darf vielleicht gleich darauf sagen: Was der Herr eben gesagt hat, bestätigt durchaus das Assoziationsprinzip. Wenn gearbeitet wird in vollständig rein individueller Weise, ohne daβ sich die Produzenten assoziieren, also zusammenarbeiten, so wird natürlich eintreten, was Sie vorausgesetzt haben: dass eine Maschine nur teilweise ausgenützt wird. Die vollständige Ausnützung aber, die kann nur bewirkt werden dadurch, daβ sich wirklich die Betreffenden assoziieren. Also es liegt durchaus in der Linie desjenigen, was mit dem Assoziationsprinzip gemeint ist, was Sie sagen.


Es wird gefragt, wie es im Osten Europas unter den damaligen Umständen anders hätte angefasst werden können, und ob nicht gegenüber dem Zarismus die Verhältnisse verheißungsvoller geworden seien.

Dr. Steiner: Nicht wahr, es gibt heute in wirklich gar nicht so engen Kreisen — das muss gesagt werden, ohne daβ man weder mit Furcht noch mit Hoffnung bei den Meinungen dieser Kreise steht — die Meinung, was im Osten geschieht, sei etwas Furchtbares. Es gibt auch wiederum Kreise, welche darinnen etwas Zukunftsverheissendes sehen. Gewöhnlich wird von denjenigen, die mit mehr oder weniger Recht die Verhältnisse im Osten verurteilen, dann das eine oder das andere Furchtbare, was geschieht, vorgebracht; es werden die Zustände geschildert, und von manchem, was da geschildert wird, kann es ja schon den Menschen recht gruselig werden; das ist klar. Diejenigen, die dann solche Dinge zurechtrücken wollen, die mehr Anhänger dessen sind, was da gemacht wird, ja, die wollen dann die furchtbaren Verhältnisse etwas beschönigen oder hinwegleugnen und dergleichen.

Ja, aber sehen Sie, damit kommt man wirklich nicht weiter. Aus einzelnen Symptomen lassen sich diese Dinge tatsächlich nicht beurteilen. Es mögen noch so viele Journalisten nach dem Osten reisen und die Dinge, die sie da bemerken, beschreiben, aus solchen Beschreibungen wird niemand ein Urteil sich bilden dürfen, aus dem einfachen Grunde, weil ja heute auch noch kein Mensch beurteilen kann, was zum Beispiel von den Schrecknissen des europäischen Ostens, die ja wahrhaftig nicht kleine sind, zu schreiben ist auf das Konto der gegenwärtigen Herrscher und was zu schreiben ist auf das Konto der Nachwirkungen des furchtbaren Krieges. Diese Dinge gehen durcheinander: die Nachwirkungen des Krieges und dasjenige, was aus den gegenwärtigen Verhältnissen sich herausentwickelt. Was man so unmittelbar sieht und was so unmittelbar geschieht, das mag Gegenstand sein recht netter feuilletonistischer Unterhaltungen, aber zur Beurteilung der Lage gibt es keinen Anhalt. Da muss man schon fähig sein, einzugehen auf die Intentionen, aus denen heraus das geschieht, was eben im Osten zur Einleitung einer sozialen Menschenzukunft getan wird.

Nun frägt der Herr, ob ich glaube, dass etwas anderes hätte getan werden können, oder ob die gegenwärtigen Verhältnisse nicht doch verheissungsvoller seien als die vorhergehenden.

Nun weiss ich sehr gut, wie wenig verheissungsvoll die vorhergehenden zaristischen Verhältnisse waren. Dass sie sehr vielen Leuten gefallen, das rührt ja nur davon her, daβ sich diese Leute nicht wirklich einen Untergrund für ein wahres Urteil zustande gebracht haben und gar nicht den Willen dazu hatten, ihn zustande zu bringen. Wer alles, was der Zarismus verbrochen hat, namentlich was er in der allerneuesten Zeit verbrochen hat, wirklich ins Auge fast, der kann unter Umständen schon zu der Frage kommen: Was ist besser, das Damalige oder das Heutige? — Aber darum kann es sich auch wiederum nicht handeln, sondern es kann sich nur darum handeln: Ist dasjenige, was da heute eingetreten ist, im Prinzip, im Wesen etwas, was die alten Zustände wirklich verbessert hat? — Da muss man in der Lage sein, einzugehen auf die Intentionen, und man muss sich auf einem solchen Gebiete ein unbefangenes Urteil wahren.

Solch ein unbefangenes Urteil können Sie zum Beispiel gewinnen, wenn Sie eingehen auf Intentionen wie die des Lenin. Lesen Sie so etwas wie «Staat und Revolution» von Lenin. Da finden Sie aus Vorkriegszeiten heraus — das Buch ist ja schon vorher geschrieben gewesen — die Intentionen Lenins. Man darf sagen: Lenin hat in einem gewissen Sinne sogar Recht, wenn er abkanzelt alle die halben oder Viertels oder Dreiviertelsmarxisten und sich schlisslich für den einzig wirklichen, wirklich konsequenten Marxisten hält: Es müβten die Menschen in der Zukunft in der sozialen Ordnung so gestellt sein, dass jeder darinnen leben kann «nach seinen Fähigkeiten und seinen Bedürfnissen». Das müβte erst ein weiterer Zustand werden, der sich aus dem ungerechten, unmöglichen Zustand ergeben kante. Nun findet sich bei Lenin eine höchst interessante Auseinandersetzung, die darauf hinausläuft, daβ er sagt: Aber das kann man mit den heutigen Menschen nicht machen, daβ sie nach ihren Fähigkeiten und Bedürfnissen in der sozialen Ordnung leben, sondern das kann man erst machen, wenn andere Menschen da sein werden, eine ganz andere Menschenrasse. Diese ganz andere Menschenrasse muss erst geschaffen werden.

Ja, sehen Sie, da haben Sie das Hineinsegeln in die allererste Unwirklichkeit und das Rechnen mit etwas, das ja gar nicht zu erhoffen ist. Denn durch die Zustände, die von Lenin herbeigeführt werden, wird ganz gewiβ diese neue Menschensorte nicht gezüchtet, die dann die gerechten sozialen Zustände herbeiführt. Auf so brüchigem Grunde stehen die Intentionen zu dem, was vorgeht. Und da mag man über die Einzelheiten sich entsetzen oder sie notwendig finden, sie loben oder tadeln — darauf kommt es nicht an. Sondern darauf kommt es an, daβ man einsieht: da wird mit unwirklichen Gedanken gerechnet. Und deshalb ist dasjenige, was so verwirklicht wird, nichts anderes als Raubbau an der Vergangenheit.

Mir trat das, wie einem an Symptomen manchmal die wichtigsten Dinge entgegentreten, vor einigen Monaten besonders schön in Basel entgegen, wo ich vor einer Versammlung auch über den Gegenstand, über den ich jetzt zu Ihnen spreche, gesprochen habe. Da stand ein Herr auf, der sagte: Ja, das ist ja alles ganz schön und wäre auch sogar schön, wenn es verwirklicht würde; aber das kann nicht früher verwirklicht werden, als bis Lenin Weltherrscher wird. — Ich musste dazumal antworten : Wenn irgend etwas sozialisiert werden soli, so handelt es sich doch darum, daβ vor allen Dingen die Herrschaftsverhältnisse sozialisiert werden. Aber dieser Sozialist, der ein Anhänger des Lenin war, der will Lenin zum Weltherrscher machen, zum Weltkaiser oder zum Weltpapst wirtschaftlicher Sorte. Da werden die Herrschaftsverhältfisse nicht sozialisiert, auch nicht demokratisiert, sondern da werden sie monarchisiert, tyrannisiert, da wird eine Autokratie geschaffen. Wer so etwas behauptet, versteht noch nicht einmal, wie man anfangen muss damit, vor allem die Herrschaftsverhältnisse zu sozialisieren.

So stellt sich für den, der genauer zusieht, für die Wirklichkeitsstruktur des heutigen Ostens etwas sehr Merkwürdiges heraus: Es glauben diejenigen, die Bekenner der Intentionen des heutigen Ostens sind, dass damit etwas erzielt werde. Nein, was da gewollt wird, das ist in seinem Wesen nicht in Opposition gegen den Zarismus, das ist nur das ganze Wesen des Zarismus für eine andere Klasse weiter ausgebaut, in schlimmerer Weise der Zarismus fortgesetzt als er war, wie überhaupt diejenigen, die auf dem linkesten Flügel der radikalen Parteien stehen, heute schon gar nicht mehr damit zurückhalten, dass sie nicht Fortschrittsmenschen sind, sondern noch viel ärgere Reaktionäre als diejenigen waren, die früher Reaktionen getragen haben. Indem gefordert wird die Diktatur einer Klasse, würde ja aus dieser Klasse nichts anderes herauskommen als die Tyrannis einzelner ich will nicht einmal sagen: Erwählter —; es würden ganz gewiss nicht die Erwählten sein, sondern diejenigen, die den anderen Sand in die Augen streuen. Es würde die Tyrannis derienigen aus den einzelnen Klassen herauskommen, die den anderen Sand in die Augen streuen. Es würde nur eine Umkugelung der Menschheit stattfinden. Aber die Verhältnisse, sie würden sich ganz gewiss nicht verbessern, sondern im wesentlichen eher verschlechtern.

Also es handelt sich da darum, dass man wirklich auf das Prinzip sieht, dass man aus der Wirklichkeit heraus denkt, nicht aus vorgefassten grauen Theorien heraus denkt. Sehen Sie, manchmal haben diejenigen, die gesund aus der Wirklichkeit heraus denken, von einzelnen Erscheinungen her schon ein sehr gesundes Urteil. Ich habe Ihnen heute ausgeführt, dass die Geldherrschaft eigentlich verwirrend wirkt über die wirklichen sozialen Zustände. Das muss man nur durchschauen. Sie wirkt tatsächlich so, dass das Geld Machtverhältnisse, tyrannisierte Verhältnisse bewirkt, dass an die Stelle alter Eroberermächte und dergleichen einfach Geldmacht tritt. In Europa durchschaut man solche Dinge noch wenig. Ein amerikanisches Sprichwort gibt es, das sagt ungefähr: Reich geworden durch blosse Kapitalwirtschaft bedeutet, nach drei Generationen wiederum in Hemdsärmeln herumgehen! — Da wird das Imaginäre der Kapitalwirtschaft ganz deutlich hingestellt, dieses Sich-Auflösen, dieses Imaginäre. Man kann Milliardär werden, und nach drei Generationen gehen die Nachkommen selbstverstandlich Hemdsärmeln herum, weil das Geld der Herrscher wird über den Menschen.

Und nun handelt es sich diejenigen, die nach den Intentionen des Lenin arbeiten, durchaus nicht darum, neue Prinzipien zu finden, wirklich zu erforschen aus den Lebensbedingungen der Menschheit heraus, wie die soziale Struktur sein soll, sondern es handelt sich für sie darum, was sie über den Kapitalismus gelernt haben, auf einen Großkapitalisten, den sie rekrutieren aus dem ihnen zur Verfügung stehenden Gebiete, zu übertragen. Was in der kapitalistischen Herrschaft gewirkt hat, das wird dann durch Spionenwirtschaft, durch Protektionswirtschaft und alles mögliche andere weiter wirken. Früher hat man gesagt: Thron und Altar. Da im Osten sagt man: Kontor und Maschine. Aber der Aberglaube ist ein gleich grösser Es handelt sich eben heute darum, nicht mit den alten Begriffen, nur durch eine andere Menschenklasse, neue Zustände herbeiführen zu wollen, sondern es handelt sich heute darum, sich zu scharen um wirklich neue Prinzipien, um eine wirklich neue Einsicht.

Schlisslich geht das hervor auch aus der Wirklichkeit der Entwickelung. Nehmen Sie wiederum Amerika. Da haben Sie heute eine Republikanische und eine Demokratische Partei.Wenn man diese Parteien heute studieren und gar nichts wissen würde von der Geschichte, so würde man nicht einsehen, warum sich diese Parteien so nennen; denn die Republikanische Partei ist nicht republikanisch und die Demokratische Partei ist nicht demokratisch, sondern es sind Vertretungen von Cliquen, die jede ihr besonderes Cliqueninteresse vertritt. Die Parteibenennungen sind geblieben als Reste aus früheren Zeiten. Was mit diesen Parteienennungen gemeint ist, hat längst seine Bedeutung verloren. Die Wirklichkeit ist eine ganz andere. Heute handelt es sich durchaus nicht darum, sich durch irgendwelche Parteischablonen blenden zu lassen, sondern in die Wirklichkeit praktisch hineinzuschauen. Das ist es.

Und wer in die Wirklichkeit des Ostens praktisch hineinschaut, der sagt sich dann das Folgende. Ich darf vielleicht dabei eine kleine Geschichte erzählen. Es ist ja wichtig, daβ solche Dinge zur Symptomatologie der Zeit nicht ganz verschwiegen werden. Als ich im Januar 1918 aus der Schweiz wiederum nach Berlin kam, da sprach ich mit einem Manne, der in den Ereignissen sehr tief drinnen stand, sehr in sie verstrickt war, und der längst meine Ideen kannte: daβ nun in Mittel- und Osteuropa die Idee von der Dreigliederung des sozialen Organismus gefasst werden müsse. Ich habe sie dazumal ausgearbeitet gehabt und nach der damaligen Zeitlage den Menschen, die hätten daran arbeiten können, vorgelegt. Der Mann hat das auch gewusst. Es schien ihm sehr plausibel, daβ es sich darum hätte handeln können, auf geistigem Wege aus der Misere herauszukommen. Darüber war dazumal gesprochen gewesen bereits seit längerer Zeit. Ich kam, wie gesagt — erinnern Sie sich an das, was dazumal im Januar 1918 war nach Berlin. Der Mann, er war Militär, ein höherer Militär, sagte, als ich ihm sprach von der unglückseligen, der unmöglichen Idee, noch einmal diese schreckliche Frühjahrsoffensive vom Jahre 1918 zu beginnen, anstatt einer geistigen Aktion — er sagte: Was wollen Sie denn, hat nicht der Kühlmann die Dreigliederung in der Tasche gehabt? — Er hatte sie in der Tasche; und dennoch hat er Brest-Litowsk gemacht!

Es mag Ihnen heute ausschauen wie die Mitteilungen irgendeines Phantasten; ich weiβ aber, daβ diese «Phantasterei» tief in der Wirklichkeit wurzelt. Ich weiβ, daβ im russischen Volk gerade die Elemente drinnen liegen, um zuallererst, wenn man sie in der richtigen Weise mitteilt, die Idee von der Dreigliederung zu fassen. Das hätte treten müssen als eine geistige Aktion an die Stelle der unmöglichen Aktion von Brest-Litowsk. Da hätte es eine Kommunion geben können zwischen Mitteleuropa und dem Osten Europas, die eine geistige Aktion gewesen wäre, ein Zusichkommen. Das wäre etwas ganz anderes gewesen.

Was war es aber, das den Leninismus nach Ruβland gebracht hat? Ich erinnere nur daran, dass Lenin im plombierten Wagen durch Deutschland nach Ruβland geführt worden ist. Der Leninismus ist ein Import. Will man vom «deutschen Militarismus» sprechen, so muss man davon sprechen, daβ der Leninismus ein Import gewesen ist.

Wohl aber kann man die Meinung haben, daβ eine geistige Aktion etwas ganz anderes hätte bewirken können als die Tatsache, daβ diese geistige Aktion ausgeblieben ist und an ihre Stelle, anstelle dessen, was aus dem russischen Volk heraus spielt, eine abstrakte, allgemeine, marxistische Phrase über Verwirklichung von sozialen Zuständen gesetzt wurde, die, wenn sie überhaupt verwirklicht werden könnte, ebensogut wie man sie auf Ruβland hinaufstülpt, auf Brasilien, Argentinien, irgendwo anders, ganz ohne Kenntnis der Volkszusammenhänge, meinetwillen auch auf den Mond hinaufgestülpt werden kannte. Dieser Aberglaube, daβ alles auf jedes draufgestülpt werden kann, das ist das groβe Unglück des Ostens, das ist es, was dort die Tyrannis einer Idee begründet, die furchtbar in ihren Ergebnissen sein wird, weil sie mit dem Vergangenen Raubbau treibt. Wenn sie noch so sehr ein Schlechtes ablast: worinnen sie produktiv ist, das sind nur die Überreste, die Überbleibsel des Alten. Wenn sie aber selbst produktiv sein soll, wird sie in die Nullität gesetzt sein.

Diese Dinge heute nicht unbefangen zu beurteilen, das ist ein soziales Versäumnis. Denn heute liegen die Dinge in Wahrheit ausserordentlich ernst. Daher kann man nicht aus irgendeiner Parteimeinung heraus solche wichtigen Dinge beurteilen, sondern man muβ sie beurteilen aus dem ganzen Umfang der Wirklichkeit selber. Da muβ man fragen: Was hätte herausgestaltet werden müssen aus den Grundlagen der russischen Sozietät selber? Jedenfalls nicht der Leninismus, der eine Abstraktion ist, und eine solche Abstraktion, die noch dazu sagt: Es muβ die Menschenrasse erst erzeugt werden. Deshalb ist Lenins Arbeit nicht für die Russen, sondern für Menschen, die er heranzüchten will durch unmögiche Zustände, die er erst herbeiführt. Das ist das wirkliche Faktum.


-Wahrhaftig, nicht liegt dem, was ich sage, irgendeine Sympathie oder Antipathie zugrunde, sondern das Streben nach Einsicht. Es nützt nichts, diese Dinge heute nicht in ihrem vollen, in ihrem umfänglichen Ernste zu betrachten.

Eine weitere Frage ist diese:

In welchem Zusammenhange steht mit dem heute Gesagten die Szene des Geldschwindels des Mephistopheles im «Faust» von Goethe?

Es ist interessant, daβ diese Frage gestellt wird, denn man kann darauf antworten, wie tief eigentlich der Goetheanismus durch Goethe schon hineinsah in die realen Verhältnisse. Stellen Sie sich einmal die ganze Szene im zweiten Teil des «Faust» vor Augen, wo Mephistopheles, der Teufel, das Papiergeld erfindet, wo er den ganzen Geldschwindel vor den Kaiser hinstellt. Sie haben im Grunde genommen eine schöne Imagination, eine bildhafte Darstellung dessen, was man heute als soziale Wahrheiten aussprechen muβ Das ganze Abheben der Geldwirtschaft von der gediegenen Wirklichkeit ist hingestellt als eine Schöpfung des «Geistes, der stets verneint», der nichts Positives schafft, in grandioser dichterischer Gestaltung. Das zeigt nur, wie Goethe dichterisch gestaltete, was er zu seiner Zeit wahrhaftig nicht in der Wirklichkeit hätte gestalten können. Denn selbst der sehr vorurteilslose Herzog Karl August von Weimar würde wenig haben eingehen können auf das, was Goethe eigentlich gemeint hat mit dieser Schaffung des Geldes als solchem durch den «Geist, der stets verneint». Aber Goethe wollte sich doch aussprechen. Und sehen Sie einmal nach, wie vieles in «Wilhelm Meisters Wanderjahren» von solchen Ideen drinnen ist. Goethe wollte sich aussprechen. Er konnte sich in seiner Zeit nicht anders aussprechen, als er sich ausgesprochen hat. Aber es liegt ungeheuer viel von sozial Impulsivem und sozial impulsierender Einsicht gerade in dieser Szene.

Man wird überhaupt erst nach und nach erkennen, was es bei Goethe bedeutet, daβ er sein ganzes Leben hindurch in Entwickelung begriffen war. Das versteht man in der heutigen Zeit sehr wenig; denn heute — man redet von der Entwickelung in der Naturwissenschaft, aber Entwickelung des Menschen durch das Leben hindurch? Wenn man zwanzig Jahre alt ist, ist man reif, in das Staatsparlament gewählt zu werden, Feuilletons zu schreiben, zu urteilen über alles mögliche! Daβ man sich dann noch entwickeln soll, daran denkt man ja heute, nicht wahr, wenig.

Goethe dachte daran. Er wuβte ganz gut, daβ er sich in späteren Jahren seiner Entwickelung Dinge erobert hatte, die er in früheren Jahren nicht hatte. Ja, es gibt einen Achtzeiler, recht nett, aus Goethes Nachlaβ. Darin hat er sich ausgesprochen über diejenigen Menschen, welche sagten: 0 ja, Goethe ist alt geworden. Die Jugendwerke — dazumal war nur der erste Teil des «Faust» gedruckt —, die zeugen von wirklicher künstlerischer Kraft. Aber der alte Goethe, der ist eben alt geworden! — Das hat man ja noch nachträglich gesagt. Sehen Sie, der Schwaben-Vischer, der V-Vischer, er hat den zweiten Teil des «Faust» ein zusammengeschustertes, zu sammengeleimtes Machwerk des Alters genannt. Ich habe gar nichts gegen den V-Vischer sonst einzuwenden und schätze ihn sehr; aber ein Philister, der nicht verstehen konnte, was Goethe sich durch seine Entwickelung errungen hat, war der V-Vischer durchaus, voll philiströsen Geistes. Goethe selbst hat einen Achtzeiler hinterlassen, der für die Zeitgenossen und auch sonst noch gilt. Da steht:

Da loben sie den Faust,

— er meint den ersten Teil des «Faust»; der zweite Teil war noch nicht gedruckt, er war ein Werk der reifen Entwickelung —

Und was noch sunsten

In meinen Schriften braust Zu ihren Gunsten;

Das alte Mick und Mack

Das freut sie sehr;

Es meint das Lumpenpack,

Man wär's nicht mehr!

Sehen Sie, Goethe war sich dessen schon bewuβt, daβ er etwas erreicht hat, was er eben nur der Entwickelung des höheren Alters verdanken konnte. Und so ist das, was er hineingeheimnifit hat in den zweiten Teil des «Faust», wirklich recht künstlerisch. Und es zeigt sich erst, wie künstlerisch es auch in der Gestaltungskraft ist, wenn man es eurythmisch darstellt, wie wir demnächst die Szene aus dem zweiten Teil des «Faust» über die Sorge darstellen wollen.

Aber die Menschen sind ja nicht gerade auf die Entwickelung aufmerksam. Sie denken, eine entwickelte Weltanschauung zu treffen damit, dass sie auf das abstrakte Gefühl hinweisen und sagen, beim jungen Goethe stehe ja schon alles: «Name ist Schall und Rauch Gefühl ist alles... Wer darf ihn nennen und wer bekennen? . den Allerhalter, Allumfasser » und so weiter. Das soll grösser sein als jede entwickelte Weltanschauung! Sogar Philosophen zitieren das, vergessen ganz, dass Goethe es dem Faust in den Mund gelegt hat, wo Faust ein sechzehnjähriges Backfischchen katechisiert. Also die sechzehnjährigeBackfischlehre, die soll angeführt werden gegen die entwickelte Weltanschauung! In vielen Dingen muss eben heute durchaus umgelernt werden. Und der Goetheanismus ist schon etwas, an dem sich umlernen lässt. Und ebenso wie diese Szene mit dem Geldschwindel, so kannte manches andere gerade aus dem zweiten Teil des «Faust», aus «Wilhelm Meisters Wanderjahren», aus manchem anderen angeführt werden, das zeigen könnte, was menschliche Entwickelung ist, wie man sich anlehnen kann an diesen Goethe.


Nun bin ich noch gefragt worden:

Wovon soll der Arbeitslohn bezahlt werden, wenn nicht durch den Erlös der Ware?

Über den Arbeitslohn zu denken — es ist ja die Zeit so vorgeschritten, daβ ich nur kurz darauf eingehen kann ist eigentlich recht interessant. Es ist merkwürdig, wie nach und nach einzig und allein das Wirtschaftsleben so stark hypnotisierend gewirkt hat, daβ in der Zeit, in der die Menschheit begann sich der groβen Täuschung hinzugeben, das sozialistische Programm eine vollständige Umgestaltung erfuhr gerade mit Bezug auf solche Dinge. Es gehôrt zum interessantesten Studium der modernen Arbeiterbewegung, kennenzulernen die drei Programme: Das Eisenacher Programm, das Gothaer, das Erfurter Programm. Nimmt man die Programme — bis zum Erfurter, das im Jahre 1891 gefaβt worden ist so findet man überall: Da ist noch ein Bewuβtsein davon vorhanden, daβ aus gewissen Rechts- und Staats- und politischen Anschauungen heraus gearbeitet werden soll. Daher findet man als die zwei Hauptforderungen der älteren Programme die Abschaffung des Lohnes und die Herstellung gleicher politischer Rechte. Das Erfurter Programm aber ist ganz ein bloβes Wirtschaftsprogramm, aber ein politisierendes, wie ich heute dargestellt habe. Da werden als die Hauptforderungen aufgestellt: überführung der Produktionsmittel in die Gemeinverwaltung, in das Gemeineigentum, und Produktion durch die Gemeinschaft. Rein wirtschaftlich, aber politisch gedacht, wird das Programm festgelegt.

Man denkt so stark im Sinne der heutigen Gesellschaftsordnung, der heutigen sozialen Ordnung, daβ man in weitesten Kreisen überhaupt gar nicht gewahr wird, wie der Lohn als solcher ja in Wirklichkeit eine soziale Unwahrheit ist. In Wirklichkeit besteht das Verhältnis so, daβ der sogenannte Lohnarbeiter zusammenarbeiter mit dem Leiter der Unternehmung, und was stattfindet, ist in Wirklichkeit eine Auseinandersetzung — die nur kaschiert wird durch allerlei täuschende Verhältnisse, durch Machtverhältnisse meistens und so weiter — über die Verteilung des Erlöses. Wenn man paradox sprechen wollte, so könnte man sagen: Lohn gibt es ja gar nicht, sondern Verteilung des Erlöses gibt es — heute schon, nur daβ in der Regel derjenige heute, der der wirtschaftlich Schwache ist, sich bei der Teilung übers Ohr gehauen findet. Das ist das ganze. Es handelt sich darum, hier nicht etwas, was nur auf einem sozialen Irrtum beruht, auf die Wirklichkeit zu übertragen. In dem Augenblicke, wo die soziale Struktur so ist, wie ich sie dargestellt habe in meinem Buch: «Die Kernpunkte der sozialen Frage», wird es durchsichtig sein, wie ein Zusammenarbeiten besteht zwischen dem sogenannten Arbeitnehmer und Arbeitgeber, wie diese Begriffe Arbeitnehmer und Arbeitgeber aufhören, und wie ein Verteilungsverhältnis besteht. Dann hat das Lohnverhältnis überhaupt vollständig seine Bedeutung verloren.

Dann aber darf nicht mehr daran gedacht werden, die Arbeit als solche zu bezahlen. Das ist natürlich der andere Pol. Die Arbeit wird einem Rechtsverhältnis - ich werde morgen davon noch sprechen- unterstellt; die Arbeit wird nach Maβ und Art bestimmt im demokratischen Zusammenleben, im Rechtsstaat. Die Arbeit wird so, wie die Naturkräfte, zur Grundlage der wirtschaftlichen Ordnung, und das, was produziert wird, wird nicht als Maβstab für irgendeine Entlöhnung da sein.

Was da sein wird auf dem Wirtschaftsboden, wird lediglich die Bewertung der Leistung sein. Da handelt es sich darum, kennenzulernen das Fundament, gewissermaβen die Urzelle des Wirtschaftslebens. Diese Urzelle, ich habe sie höfter so ausgesprochen, dass ich sagte: Im wesentlichen müssen die Einrichtungen, die ich heute geschildert habe, darauf hinauslaufen, daβ durch die lebendige Wirksamkeit der Assoziationen ein jeder Mensch als Gleichwertiges für das, was er erzeugt, das bekommt, was ihn in den Stand setzt, seine Bedürfnisse so lange zu befriedigen, bis er ein gleiches Produkt wieder erzeugt haben wird. Einfach gesprochen: Erzeuge ich ein paar Stiefel, so müssen durch die Einrichtungen, die ich heute geschildert habe, diese Stiefel so viel wert sein, muβ ich so viel dafür bekommen, als ich brauche, bis ich wieder ein paar Stiefel angefertigt habe.

Also es kann sich gar nicht handeln um irgendwelche Bestimmung des Lohnes für Arbeit, sondern um die Bestimmung der gegenseitigen Preise. Eingerechnet muf3 natürlich sein alles, was Invaliden-, Kranken-und so weiter -Unterstützung ist, für Kindererziehung und so weiter. Darüber soll noch gesprochen werden. Es handelt sich darum, daβ eine solche soziale Struktur geschaffen werde, wodurch wirklich die Leistung in den Vordergrund geschoben wird, die Arbeit aber bloβ auf ein Rechtsverhältnis begründet werden kann, denn die kann nicht anders geregelt werden, als daβ der eine für den anderen arbeitet. Das aber muβ auf dem Rechtsboden geregelt werden: wie der eine für den anderen arbeitet; das darf nicht auf dem Marktboden der wirtschaftlichen Verhältnisse stehen. Sie werden ja morgen sehen, daβ diese Dinge durchaus auch auf realer wirklicher Grundlage stehen.

Dann werde ich noch gefragt:

Wie sollen die Ausgaben erfaβt werden?

Ja, das ist sehr leicht, die Ausgaben zu erfassen. Man kann sie nicht verbergen. Jedesmal, wenn ich irgend etwas überführe in den sozialen Prozess, kann es selbstverständlich erfasst werden, geradeso wie ein Brief erfaβt wird, den mir die Post befördert, die es auch nicht auβer acht lassen wird, dafür die Postmarke mir abzufordern und so weiter. Diese einzelnen, speziellen Einrichtungen wer nur darüber nachdenkt, der wird sie nicht allzuschwierig finden.

Nun noch:

Wie verhalten sich die landwirtschaftlichen Kreditverhältnisse?

Es würde heute zu spät werden, um auf diese Dinge einzugehen. Ich werde im Lauf der nächsten Vorträge gerade auf die landwirtschaftlichen Verhältnisse in anderen Zusammenhängen noch zu sprechen kommen.