triarticulation

Institut pour une tri-articulation sociale
(contenu spécifique au site français)
Conditions d'utilisation.

Accueil

 

Deutsch English Dutch Skandinavisk Français Italiano Español Português (Brasileiro) Russisch
Recherche
 contact   BLOG  impressum 
Collection 204  :

Banquiers, banque,... banqueroutes.




Histoire autour d'un bien hypothéqué depuis longtemps auprès d'un riche banquier.

Eine Geschichte über eine Immobilie, die seit langem von einem wohlhabenden Bankier verpfändet wurde.

 


 

Les références Rudolf Steiner Œuvres complètes ga 161 112-114 (1999) 06/02/1915

Original





Traducteur: FG Éditeur: SITE

En cette relation j’aimerais encore parler d’une autre œuvre d’art dont je peu encore évoquer très brièvement le contenu, encore plus brièvement que ce fut le cas hier, parce qu’ici il s’agit d’un roman en deux volumes. Vous verrez qu’aussi dans ces descriptions quelque chose de karma non vécu jusqu’au bout vient à l’expression.


Une mère vient avec sa fille d’Amérique en Europe. Le père est mort en Amérique depuis longtemps. Sur le voyage en Europe elles rencontrent un descendant  d’un couple noble fortement enraciné dans les traditions formelles. Les plus processus les plus diversifiés se déroulent maintenant, ce en quoi, pour celui qui observe les choses dans leurs pendants spirituels, deviendra aussitôt clair qu’entre le monsieur qui sera nommé Arthur dans l’œuvre d’art et les deux dames que l’homme voit simplement dans la rue, pendant qu’elles vont au théatre, règnent des pendants karmiques. Ces pendants karmiques conduisent alors aussi aux rapports de vie compliqués qui se jouent là. Ils se jouent ainsi que vraiment dans un grand tableau de culture le contraste entier de la culture européenne devenue vieille et de la culture américaine encore jeune sera décrit. Avec  une visibilité pressant caractère explicite et un amour s’abandonnant sera décrit toute l’opposition des deux cultures ; ses représentant sont Emmy – ainsi s’appelle la fille – et Arthur, qui vient à sa rencontre et commence à l’aimer terriblement. Tout le contraste sera donc reflété dans ces deux âmes et beaucoup se joue, qui pour celui, qui a les pendants de science de l’esprit à l'oeil, apparaît aussitôt comme conséquence du karma, qui joue entre les deux.


Dans une certaine mesure, le milieu extérieur avec lequel on a à faire dans la collaboration entre constitution de vie américaine et européenne est quelque chose qui est pendant  avec la fraîche culture non perturbée par des traditions historiques de l’Amérique, et de l’autre côté la culture européenne pérorée vivant entièrement de traditions. Dans tout ce milieu vit quelque chose qui se mire dans les âmes, qui génère conflits de vie sur conflits de vie. Cela conduit alors aussi aux derniers grands conflits de vie, qui consisteen ce que le père d’Arthur, qui est décédé, à qui appartennait un bien, et qui se tenait encore avec toutes ses façons de voir dans les vieilles traditions nobles, maintenant dans une certaine mesure  avec son argent, ou beaucoup plus avec le s’amenuiser de son argent, a grandi hors des vieilles traditions nobles – comme cela se passe ainsi si diversement en Europe – et a laisser tomber le bien. Le bien a donc été vendu, ainsi qu’Arthur est entré dans l’héritage de ce bien.

Maintenant joue là-dedans de la manière la plus noble ce qui n'est pas toujours le cas de cette manière, que par la façon dont les conditions européennes se plaçaient aux conditions américaines, se passe une petite amélioration. Avec son argent Emmy peut dépanner, cela signifie la mère peut racheter le bien pour Arthur. Cela se passe aussi, devait au moins se passer. Mais là est ainsi encore un germe non clair, lequel est resté là ; il ne sait pas bien, d’où il est venu, mais il se meut ainsi comme un vagabond sur le bien. Il ne lui  appartient évidemment pas, mais dans sa, j'aimerais dire, représentation folle, il a la pensée qu'il serait le maître, et seulement lui pétrit/malaxe dans la tête l'idée que le bien devrait lui appartenir.
Il découvre de son point de vue que, en ce que ce bien a de nouveau été racheté, s'est passé une ingérence dans ses droits; mais ses droits consistent seulement dans une sorte de folle idée décadente : il se regarde comme le maître d'un bien hypothéqué depuis longtemps auprès d'un riche banquier. Il se meut en tout sens, comme on laisse se mouvoir en tout sens ainsi les humains dérangés spirituellement, qui ne sont pas directement dangereux. Il se joue maintenant là un conflit, qui s'extériorise par ce que cet humain devient furieux sur l'achat du bien et parce que là s'offre à lui l'opportunité, il abat Arthur sur le bien.


Maintenant Emmy a déjà vécu des expériences terribles auparavant,  elle doit aussi encore traverser cela, et en conséquence de cela, se développe une maladie disponible dans ses prédispositions – elle entre seulement dans ses années de la vingtaine. Elle sera amenée malade à Montreux par sa mère et sera soignée là, à Montreux, par un américain décrit comme extraordinairement sympathique , un monsieur Wilson et quelques autres, qui sont encore là. C’est tout de suite un moment merveilleux, un train tout à fait remarquable de cette œuvre d’art comment ce monsieur Wilson est décrit. – Toute l’Amérique du nord vit simplement en lui. Cela est rendu vivant  de manière entièrement magnifique. Mais Emmy, malgré qu’elle sera soignée ainsi, aussi par le médecin qui entre encore dans le chemin de vie, qui est pour ainsi dire un rival d’Arthur, mais un vieil ami de lui, ne peut pas être guérie. Elle meurt à Montreux et maintenant sera décrit sa mort.




.

.
 .










In dieser Beziehung möchte ich noch von einem anderen Kunstwerke sprechen, dessen Inhalt ich nur ganz kurz andeuten kann, noch viel kürzer, als das gestern der Fall war, weil es sich hier um einen zweibändigen Roman handelt. Sie werden sehen, daß auch in diesen Schilderungen etwas von unausgelebtem Karma vorkommt. Ich werde so schnell wie möglich andeuten, inwiefern in diesem Kunstwerke unausgeiebtes Karma zum Ausdrucke kommt.
Eine Mutter kommt mit ihrer Tochter aus Amerika nach Europa. Der Vater ist in Amerika vor längerer Zeit gestorben. Auf der Reise in Europa treffen sie einen Nachkömmling eines alten, in den formellen Traditionen festgewurzelten Adelsgeschlechtes. Die mannigfaltigsten Vorgänge spielen sich nun ab, wobei für den, der die Dinge in ihrem geistigen Zusammenhange beobachtet, sogleich klar wird, daß zwischen dem Manne, der in dem Kunstwerke Arthur genannt wird, und den beiden Damen, die der Mann einfach sieht auf der Straße, während sie ins Theater fahren, karmische Zusammenhänge walten. Diese karmischen Zusammenhänge führen dann auch zu den komplizierten Lebensverhältnissen, die sich da abspielen. Sie spielen sich so ab, daß wirklich in einem großen Kulturtableau der ganze Gegensatz der altgewordenen europäischen Kultur und der noch jungen amerikanischen Kultur geschildert wird. Mit einer Anschaulichkeit und hingebenden Liebe wird der ganze Gegensatz der beiden Kulturen geschildert; deren Repräsentanten sind Emmy - so heißt die Tochter - und Arthur, der ihr entgegenläuft und sie furchtbar zu lieben anfängt. Es wird also der ganze Gegensatz in diesen beiden Seelen gespiegelt, und vieles spielt sich ab, was dem, der die geisteswissenschaftlichen Zusammenhänge im Auge hat, sogleich erscheint als Folge des Karma, das zwischen den beiden spielt.
Gewissermaßen ist das äußere Milieu, mit dem man es in dem Zusammenwirken amerikanischer und europäischer Lebensauffassung zu tun hat, etwas, was zusammenhängt mit der frischen, von historischen Traditionen unberührten Kultur Amerikas, und auf der anderen Seite mit der eingesulzten, ganz von Traditionen lebenden europäischen Kultur. In diesem ganzen Milieu lebt etwas, was sich spiegelt in den Seelen, und was Lebenskonflikte über Lebenskonflikte herbeiführt. Das führt dann auch zu dem letzten großen Lebenskonflikt, der darin besteht, daß Arthurs Vater, der gestorben ist, dem ein Gut gehörte, und der mit seinen ganzen Anschauungen in den alten Adelstraditionen noch darinnen stand, nun gewissermaßen mit seinem Gelde, oder vielmehr mit dem Schwinden seines Geldes herausgewachsen ist aus den alten Adelstraditionen - wie das heute in Europa so vielfach geschieht - und das Gut hat fallen lassen. Das Gut ist also verkauft worden, so daß Arthur um die Erbschaft dieses Gutes gekommen ist.

Nun spielt da in der edelsten Weise hinein, was nicht immer in dieser Weise der Fall ist, daß durch die Art, wie sich die amerikanischen Verhältnisse zu den europäischen stellen, eine kleine Aufbesserung geschieht. Mit ihrem Geld kann Emmy aushelfen, das heißt die Mutter, kann für Arthur das Gut zurückkaufen. Das geschieht auch, soll wenigstens geschehen. Da ist aber noch so ein unklarer Sprößling, welcher dort geblieben ist; er weiß nicht recht, woher er gekommen ist, aber er treibt sich wie ein Vagabund so auf dem Gute herum. Es gehört ihm selbstverständlich nicht, aber in seinen, man möchte sagen, Wahnsinnsvorstellungen hat er den Gedanken, daß er da der Herr sei, und nun teigt ihm in den Kopf die Idee, daß das Gut ihm gehören sollte.
Er findet von seinem Standpunkte aus, daß, indem dieses Gut wieder angekauft worden ist, ein Eingriff in seine Rechte geschehen sei; seine Rechte bestehen aber nur in einer Art dekadenten Wahnsinnsidee: er betrachtet sich als Herrn des längst einem reichen Bankier verpfändet gewesenen Gutes.E r treibt sich herum, wie man so geistig gestörte Menschen sich herumtreiben läßt, die nicht gerade gefährlich sind. Es spielt sich nun da ein Konflikt ab, der sich dadurch äußert, daß dieser Mensch wütend wird über den Ankauf des Gutes und daß er, da sich ihm die Gelegenheit dazu bietet, den Arthur wirklich auf dem Gute erschießt.
Nun hat schon früher Emmy furchtbare Erlebnisse durchgemacht; sie muß auch noch das durchmachen, und infolgedessen entwickelt sich eine in ihrer Anlage vorhandene Krankheit - sie geht erst in die Zwanzigerjahre - weiter. Sie wird krank nach Montreux gebracht von ihrer Mutter und wird da, in Montreux, von einem außerordentlich sympathisch geschilderten Amerikaner gepflegt, einem Mr. Wilson und einigen anderen, die noch da sind. Es ist das gerade ein wunderbares Moment, ein ganz hervorragender Zug dieses Kunstwerkes, wie dieser Mr. Wilson geschildert wird. - Es lebt gleichsam ganz Nordamerika in ihm. Es istdies in ganz wunderbarer Weise lebendig gemacht. Aber Emmy kann, trotzdem sie so gepflegt wird, auch von dem Arzte, der ihr noch in den Lebensweg tritt, der so gewissermaßen ein Nebenbuhler des Arthur ist, aber ein alter Freund von ihm, nicht geheilt werden. Sie stirbt in Montreux, und nun wird ihr Tod geschildert.

Beachten wir also aus dem geisteswissenschaftlichen Zusammenhange heraus, daß wir es hier im eigensten Sinne mit unausgelebtem Karma zu tun haben, mit einem überall in seinen Fäden abgerissenen Karma, das überall in Konflikte gekommen ist, in Konflikte, die hauptsächlich spielen zwischen Amerika und Europa, einem Karma, das dann einfach durch einen Flintenschuß zum Abschluß gekommen ist. Derjenige, der das empfindet, muß das Bedürfnis haben, wenn er nicht ein materialistisch gesinnter Mensch ist, sich zu fragen: Wo ist die Realität, wo kommt nun unmittelbar nach dem Tode dieses unausgelebte Karma hin, wo wird das weiterleben? Ich mochte sagen, von dieser Art und Weise des Weiterlebens von unausgelebtem Karma hat ein Mensch, der nicht Materialist ist, eine Empfindung: er muß also, wenn er Künstler ist, das Bedürfnis fühlen, eine Hindeutung darauf zu geben, und eine solche Hindeutung finden wir wirklich am Schlüsse des Werkes.
Nur ein paar Zeilen brauche ich vorzulesen. Arthur ist also tot, erschossen. Mutter und Tochter reisen nach Montreux; Emmy ist längere Zeit krank, und in ihrem letzten Traum erscheint ihr Arthur. Aber sogleich wird einem klar, daß es sich hier nicht um ein bloßes Traumbild handelt, um einen Reminiszenztraum, sondern um ein wirkliches Hereingreifen des realen Arthur in die physische Welt. Und nun wird der Moment des Todes so geschildert:
«Zwischen Mitternacht und Morgen glaubte sie zu erwachen.
Ihr erster Blick auf das Fenster, durch das matte Helligkeit einströmte, war frei und klar, und sie wußte, wo sie war. Auch ihre Mutter, die neben ihr schlief, hörte sie atmen. Noch einen Moment weiter aber, und mit einem Druck, den sie nie zuvor empfunden, befiel sie überwältigende Angst. Es waren nicht mehr jene einzelnen Gedanken, die sie in den letzten Tagen quälten, sondern als hielte eine Riesenhand alle Gebirge der Erde an einem dünnen Faden über ihr und jeden Moment könnten sich die Finger öffnen, die ihn hielten und