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Collection: 10 -Anarchistes, anarchisme,
et individualisme éthique.
Évolution par bond de Stirner à l'unique. Sprunghafte Entwicklung Stirners zum Einzigen.

 

 
Les références Rudolf Steiner Oeuvres complètes : 032 353-356 (1971) 17/02/1900
Traducteur: FG v. 01/20161113 Editeur: SITE

C'est le mérite de John Henry Mackay d'avoir arraché Max Stirner de l'oubli, où la paresse de pensé et la lâcheté de pensé ont laisser sombrer presque un demi siècle durant cet esprit audacieux et libre. Il a été rendu hommage détaillé dans cette revue à l'image de la vie de Stirner par John Henry Mackay "Max Stirner. Sa vie et son oeuvre" (Berlin 1898, Scuster & Loeffler) et cette édition "Max Stirner, écrits mineurs" (ebenda) . Mackay a utilisé une partie de sa propre vie pour donner une représentation aux contemporains et à la postérité de la personnalité dont, en premier, il a reconnu la grandeur. Que qui veut avoir un concept de la peine qui dû précéder la publication de Mackay, lise l'introduction de son livre sur Stirner, dans laquelle il raconte l'histoire de son travail de dix ans (1888-1897). Des écrivain philosophiques et non philosophiques pléthoriques ont depuis qu'il a indiqué sur le grand penseur, exploité les fruits de son travail, souvent sans qu'ils aient montré, d'où leur est venu leur sagesse.

 

Je me réjouis de pouvoir remettre à John Henry Mackay les colonnes suivantes, qui rendent un essai de Max Stirner, qui lui a échappé malgré toute la peine utilisée, et qu'a trouvé Dr. Heinrich H. Houben à l'occasion de son travail préparatoire à un travail englobant sur Gutzkow. La réimpression serait avec cela appropriée au redécouvreur de Stirner.

 

L'essai est contenu dans le "Télégraphe pour l'Allemagne" n° 6-8 de janvier 1847 rédigé par Karl Gutzkow. Il apparaît comme un document hautement plein de valeur pour le cours d'évolution de ce penseur. C'est une oeuvre plus précoce de Stirner que les essais imprimés à nouveau par John Henry Mackay dans son édition des "Ecrits mineurs". Le premier travail de Stirner, que Mackay a accueilli dans cette édition, traite de " le principe non vrai dans notre éducation, ou l'humanisme et le réalisme". Elle est parue dans les numéros des 10, 12, 14 et 19 avril 1842 du "Journal rhénan". La critique présente ici sur " Trombone du plus jeune tribunal" est imprimé avec cela quelque peu trois mois avant les premiers travaux stirneriens trouvés/découverts par Mackay. Elle ne peut aussi pas être écrite bien longtemps avant, car le livre anomyme de Bruno Bauer, à laquelle elle se rapporte, "Trombone du plus jeune tribunal sur Hegel l'athé et antichrétien" est paru en 1841.

Quand on lit les deux essais l'un après l'autre, on remarque, comme vite Stirner, tout de suite en ces mois, a été de l'avant sur ses chemins de pensée. Dans l'essai de janvier Stirner se montre comme un philosophe, qui est encore fiché profondément dans des idées hégéliennes ; dans le travail d'avril viennent à notre rencontre dans chaque phrases les façons de voir autonomes, qui ont gagnées leur formation accomplie dans "L'unique et sa propriété" en 1844. De la philosophie hégélienne qui voit dans l'universelle raison synthétique le fondement originel de tout être, et laisse valoir le "Je" de l'être humain particulier seulement aussi loin qu'il prend part et monte dans cette éternelle raison synthétique, Stirner doit donc, dans cet espace de temps, avoir progressé à son avis de la souveraineté du "Je", dont la formation apporta trois ans plus tard l'oeuvre de sa vie.

De quelques phrases de l'essai annoncé ici, Stirner parle déjà de sa propre orientation d'idée, comme de cela : " Mais la sécurité vis-à-vis de Dieu s'était perdue pour vous dans la perte de votre soi, et la crainte de Dieu se nicha dans les âmes bourrelées de remords. Vous vous êtes trouvés à nouveau vous-mêmes et maitrisé le frisson de la peur ; car vous avez trouvé la parole, pour ne plus détruire désormais ce qui est éternel, comme aussi vous-même vous aimez lutter et combattre encore contre cela, jusqu'à ce que ça devienne intérieur à chacun. Un homme allemand véridique - securus adversus deum - l'a exprimé, la parole libératrice, la modestie, l'autarcie de l'être humain libre" - ; ou "L'allemand le premier et lui seul annonce l'appel du radicalisme d'histoire mondiale, seulement lui seul est radical et lui seul l'est - sans non droit. Ainsi impitoyable et sans scrupule n'est aucun ; car il ne bascule pas seul le monde existant, pour rester lui-même debout ; il se bascule lui-même... Chez l'allemand le détruire est créer et l'écraser du temporel - son éternité." Par de telles phrases, le statut d'auteur de Stirner est confirmé, qui de toute façon aussi est établit par ce que l'essai ainsi que les quatre republiés à nouveau par Mackay ; "Sur le principe non vrai de notre éducation", "Art et religion", "Esquisses de Königsberg de Karl Rosenkrantz", "Quelques provisoires de l'état d'amour" est signé avec "Stirner". L'essai laisse reconnaître que Stirner a gagné l'idée du je unique par la critique de l'esprit universel hégélien, en ce qu'il reconnu, que seulement à ce dernier peut venir/arriver, ce que Hegel a prescrit au premier.

 

Quand on laisse devenir la raison synthétique du monde hégélienne au je humain, ainsi la vie des idées de Hegel devient celle de Stirner. Cette transformation, Stirner l'a apparemment accomplie dans les premiers mois de l'année 1842. L'essai rendu de nouveau justifie de considérer ces mois pour l'époque la plus importante dans le cours du devenir de Stirner.

Es ist John Henry Mackays Verdienst, Max Stirner der Vergessenheit entrissen zu haben, in die Gedankenfaulheit und Gedankenfeigheit diesen kühnen und freien Geist fast ein halbes Jahrhundert lang haben versinken lassen. John Henry Mackays Lebensbild Stirners «Max Stirner. Sein Leben und sein Werk» (Berlin 1898, Schuster & Loeffler) und dessen Ausgabe «Max Stirners Kleinere Schriften» (ebenda) sind in dieser Zeitschrift eingehend gewürdigt worden. Mackay hat einen Teil des eigenen Lebens darauf verwendet, der Mit- und Nachwelt eine Vorstellung zu geben von der Persönlichkeit, deren Größe er zuerst erkannt hat. Wer von der Mühe, die der Veröffentlichung Mackays vorangehen mußte, einen Begriff haben will, lese die Einleitung seines Stirner-Buches, in der er die Geschichte seiner zehnjährigen Arbeit (1888-1897) erzählt. Philosophische und unphilosophische Vielschreiber haben seit er auf den großen Denker hingewiesen hat, die Früchte seiner Arbeit ausgebeutet, meist ohne daß sie gezeigt hätten, woher ihnen ihre Weisheit gekommen ist.

Ich freue mich, John Henry Mackay die folgenden Spalten überreichen zu können, die einen Aufsatz Max Stirners wiedergeben, der ihm trotz aller aufgewendeten Mühe entgangen ist, und den Dr. Heinrich H. Houben gelegentlich seiner Vorarbeiten zu einer umfassenden Arbeit über Gutzkow aufgefunden hat. Der Wieder-Abdruck sei hiermit dem Wieder-Entdecker Stirners zugeeignet.

Der Aufsatz ist in dem von Karl Gutzkow redigierten «Telegraph für Deutschland» Nr. 6-8 vom Januar 1842 enthalten. Er erscheint als ein für den Entwickelungsgang dieses Denkers höchst wertvolles Dokument. Er ist eine frühere Arbeit Stirners als die von John Henry Mackay in seiner Ausgabe der «Kleineren Schriften» wiederabgedruckten Aufsätze. Die erste Arbeit Stirners, die Mackay in diese Ausgabe aufgenommen hat, handelt über «Das unwahre Prinzip in unserer Erziehung, oder der Humanismus und Realismus». Sie ist in den Nummern vom 10., 12., 14. und 19.April 1842 der «Rheinischen Zeitung» erschienen. Die hier vorliegende Besprechung über Bruno Bauers «Posaune des jüngsten Gerichts» ist somit etwa drei Monate vor der ersten der von Mackay aufgefundenen Stirnerschen Arbeiten gedruckt. Sie kann auch nicht viel länger vorher geschrieben sein, denn Bruno Bauers anonymes Buch, auf das sie sich bezieht, die «Posaune des jüngsten Gerichts über Hegel den Atheisten und Antichristen» ist 1841 erschienen. Wenn man beide Aufsätze nacheinander liest, bemerkt man, wie rasch Stirner gerade in diesen Monaten auf seinem Gedankenwege vorwärts geschritten ist. In dem Januar-Aufsatz zeigt sich Stirner als ein Philosoph, der noch tief in Hegelschen Ideen steckt; in der Arbeit vom April treten uns in jedem Satze die selbständigen Anschauungen entgegen, die 1844 im «Einzigen und sein Eigentum» ihre vollendete Ausgestaltung gewonnen haben. Aus der Hegelschen Philosophie, die in der allgemeinen Weltvernunft den Urgrund alles Seins sieht, und das «Ich» des Einzelmenschen nur insoweit gelten läßt, als es teilnimmt und aufgeht in dieser ewigen Vernunft, muß also in diesem Zeitraum Stirner vorgeschritten sein zu seiner Ansicht von der Souveränität des «Ich», deren Ausbildung drei Jahre später sein Lebenswerk brachte.

Aus einigen Sätzen des hier mitgeteilten Aufsatzes spricht bereits Stirners eigenste Ideenrichtung, wie aus den: «Aber die Sicherheit gegen Gott war ihnen verlorengegangen in dem Verluste ihrer selbst, und die Gottesfurcht nistete sich in den zerknirschten Gemütern ein. Sie haben sich selbst wiedergefunden und die Schauer der Furcht bezwungen; denn sie haben das Wort gefunden, das hinfort nicht mehr zu vertilgen, das ewig ist, wie auch sie selbst noch dagegen ringen und kämpfen mögen, bis ein jeder es inne wird. Ein wahrhaft deutscher Mann - securus adversus deum - hat es ausgesprochen, das befreiende Wort, das Selbstgenügen, die Autarkie des freien Menschen»-; oder: «Der Deutsche erst und er allein bekundet den weltgeschichtlichen Beruf des Radikalismus, nur er allein ist radikal und er allein ist es - ohne Unrecht. So unerbittlich und rücksichtslos wie er ist keiner; denn er stürzt nicht allein die bestehende Welt, um selber stehen zu bleiben; er stürzt - sich selbst... Bei dem Deutschen ist das Vernichten Schaffen und das Zermalmen des Zeitlichen - seine Ewigkeit.» Durch solche Sätze ist Stirners Autorschaft verbürgt, die übrigens auch dadurch feststeht, daß der Aufsatz ebenso wie die vier von Mackay wieder veröffentlichten: «Über das unwahre Prinzip unserer Erziehung», «Kunst und Religion», «Königsberger Skizzen von Karl Rosenkranz», «Einiges Vorläufige vom Liebesstaat» mit «Stirner» unterzeichnet ist. Der Aufsatz läßt erkennen, daß Stirner durch die Kritik des Hegelschen Allgeistes die Idee des Einzel-Ichs gewonnen hat, indem er erkannte, daß nur dem letzteren zukommen kann, was Hegel dem ersteren zugeschrieben hat.

Wenn man die Hegelsche Weltvernunft zum menschlichen Ich werden läßt, so wird aus der Ideenwelt Hegels diejenige Stirners. Diese Umwandlung hat Stirner offenbar in den ersten Monaten des Jahres 1842 vollzogen. Der wiedergegebene Aufsatz berechtigt dazu, diese Monate für die wichtigste Epoche in Stirners Werdegang anzusehen.