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Collection: 08 - L'IMPULSION SOCIALE ANTHROPOSOPHIQUE
Sujet : La pensée uniformisante conduit au sentir et au vouloir antisocial.
 
Les références Rudolf Steiner Oeuvres complètes GA077a 056-074 (1997) - jeudi 28 juillet 1921
Original
Traducteur: FG Editeur: SITE

 

Mes très chers présent, l'être humain est aujourd'hui si fier de dire, qu'il aurait rayer la croyance en l'autorité des siècles précédents comme les administrations de confessions lui ont prescrit. L'humain est aujourd'hui si fier de se dire qu'il croit seulement en ce qu'il peut saisir dans son être propre, personnel. Et pourtant c'est ainsi, pour celui qui jette un coup d’œil plus profond, comme si la vieille croyance en l'autorité des religions de confession avait seulement sauté sur un autre domaine, et ce domaine est tout de suite ce qu'avec une grande indétermination, mais pour cela avec une non moins grande foi, on nomme abstraitement « la science ». La science. - Aussitôt que l'humain actuel entend : « la science », alors s'irrite en lui à nouveau tout ce qui, des vieilles foi en l'autorité, est allé un jour en de toutes autres directions. Ce qui devrait être établi scientifiquement, est aujourd'hui - des raisons que les humains en de larges cercles ne se font pas du tout très fortement clair - une autorité de force beaucoup plus forte, que ce fut une autorité par le passé. Comme souvent on entend aujourd'hui la réponse sur une quelque chose, qui source comme question hors l'intérieur humain : la science dit ceci ou cela. - Cette puissance/ce pouvoir universel, la science, a accaparé pour soi toute autorité. [] Elle a accaparée cette autorité chez ces humains-là qui sont eux-mêmes de l'avis qu'ils se tiennent sur les hauteurs de leur temps, aussi avec un rapport à des questions de conception du monde.

Mais maintenant, de quelle sorte est le rapport de l'humanité actuelle tout de suite vis-à-vis de l'autorité scientifique ? Les choses l'ont amené avec elles que sera reconnu scientifique ce dont on croit que chaque humain le comprend, ainsi qu'il s'est maintenant développé une fois jusqu'à une certaine marche/niveau d'après l'éducation habituelle de l'humain, l'éducation utilitaire de l'humain. La science devrait, prise au fond, n'établir rien d'autre, que ce pour quoi chaque humain, quand justement il a seulement les conditions préalables nécessaires, peut, disons, dire oui. La science devrait être quelque chose de tout à fait universel. La science devrait vivre en chaque humain d'une seule et même façon. Car on sait donc, comment ce sera accueilli de ceux qui avant toutes choses pendent à l'autorité de la science, quand d'une personnalité unique n'importe où a lieu une rébellion contre l'universelle validité du jugement scientifique. Ainsi qu'on pourrait dire : l'idéal de la conception du monde scientifique est ce qu'elle donne une somme de jugements sur les affaires du monde et de l'humanité, qui valent de la même façon avec un continuel nivellement en chaque humain. Une uniformisation de gigantesque sorte, aimerait-on dire, est l'idéal de la conviction scientifique.

Quand on exprime quelque chose de tel, cela pourrait paraître tout d'abord comme une trivialité. Mais dans la vie, cette trivialité signifie extraordinairement beaucoup. Car à la grande influence de la science, nommément aussi loin qu'elle s'appuie sur des bases de science de la nature [], qu'elle a gagnée dans notre temps - et [...] avec droit sur certains domaines -, on doit admettre, que là où la scientificité uniformise toujours de plus en plus les humains, cela devient toujours de plus en plus ainsi, que l'humain deviendra toujours plus la pâle imitation de l'autre. Et dans le fait, quand on prend la science maintenant pas d'après ses contenus, mais d'après ce qu'elle a fourni dans les temps les plus récents en rapport à l'évolution du genre humain, ainsi on voit, comment cette uniformisation à partir de la force de persuasion scientifique veut être faite une affaire universelle d'humanité.

On a seulement besoin de voir vers les terribles pouvoirs/puissances destructrices, qui grondent aujourd'hui dans l'Est de l'Europe – des puissances, dont la signification, malheureusement en rapport à leur pouvoir de destruction, ne sera toujours pas suffisamment encore appréciée ici -, ainsi on voit comment donc les humains, qui s'adonnent aujourd'hui à de telles puissances de destruction avec un certain fanatisme, sont en fait parti de ce que certains enseignements, qui sortent de soubassements scientifiques, ou peut-être, mieux dit, d'une certaine constitution d'âme, qui sort de ces soubassements scientifiques, ont aussi été fait pour base de la pensée sociale. Et ce qui, par cette transposition de la constitution d'âme scientifique dans la pensée sociale, sera ambitionné, cette grande prison de l'humanité, où justement l'un devrait être seulement la pâle copie de l'autre aussi en relation sociale, comme quelque peu dans le léninisme ou le trotskisme, cela sera conduit là jusqu'au paradoxe, mais, toutefois, jusqu'au plus haut paradoxe tragique. On voit déjà partout - [] déjà partout, on pourrait dire comme s'écoulant dans les tendances d'évolution de notre temps, comment la constitution d'âme scientifique veut effectuer ce nivellement de l'humanité. Cela est au fond une des forces principale qui se trouvent dans la signature de l'actuelle évolution de l'humanité : ce nivellement à partir de la théorie, de la pensée, de la recherche. Par cela ne sera rien du tout dit contre la justification de cette recherche [...]. Car sur sol de science de la nature, cette recherche est justement pleinement justifiée, et elle a conduit une fois la science et la technique à de grands triomphe pleinement justifiés, que je n'ai pas besoin de décrire ici.

Mais à ce pôle de l'évolution récente de l'humanité se tient toutefois maintenant un autre en vis-à-vis, qui n’appartient pas moins à la signature de la spiritualité contemporaine de l'humanité. Dans la même mesure que sera ambitionnée ce nivellement à partir de l'observation par l'intellect et intellectuelle de la nature, dans la même mesure se venge dans la nature humaine l'individuel, le personnel ; des polarités apparaissent partout dans le monde, là est aussi une telle, une intérieure. Et nous voyons, comme vis-à-vis du nivellement justement décrit, apparaissent de l'autre côté les forces instinctives de la nature humaine. On aimerait dire jusqu'au niveau animal, les impulsions de volonté sortent avec une violence instinctive de l'humain individuel. Pendant que les humains ambitionnent avec leurs têtes après un certain nivellement, se fait valoir partout le plus personnel à partir des soubassements de l'humain, ce qui différencie l'humain particulier de chaque [] humain voisin dans une haute mesure. Ainsi que dans l'instant, où nous nous détournons des pensées que les humains aimeraient se faire sur le monde dans le sens scientifique évoqué, et passent à ce que les humains sentent, ce que les humains reconnaissent comme base de leur volonté, nous pouvons voir, comment les humains passent constamment les uns aux autres, comment l'individu n'a plus une quelque sorte de compréhension pour l'autre. Seulement sur des cercles étroits encore se limite - souvent aussi cultivé artificiellement - la compréhension d'un humain pour l'autre. Les humains ne se comprennent pas aujourd'hui. Nous parlons tant d'idéaux sociaux, d'institutions artificielles, lesquelles devraient amener une vie sociale, et cela principalement pour la raison de nous tromper, nous écarter du fait élémentaire, que dans nos instincts, que dans notre évolution de volonté et de sentiment/sensation nous sommes devenus en fait terriblement antisociaux. Un élément antisocial va à travers l'humanité, aussitôt qu'on voit à partir de la vie de pensée, et voit sur ce qui vit en fait dans les soubassements de la vie de sensation/sentiment, dans les soubassements des impulsions de volonté. C'est la grande dispute en notre temps, dans laquelle l'humanité est enfilée : que d'un côté elle cherche un nivellement des têtes et de l'autre côté à partir des soubassements de l'organisation humaine développe une différenciation, qui en fait œuvre antisociale de la manière la plus incroyable.

Là est au fond placé l'humain. Et de cette question, qui appartient aux plus importantes parties constitutives dans la signature de la vie spirituelle du présent proviennent, prises au fond, toutes [] les autres questions ; provenait, pris au fond, ce qui s'est développé comme une si terrible catastrophe dans la deuxième décennie du 20e siècle.

Poursuit-on, ce qui de jugement plane à la surface, comment les peuples, les humains se jugent les uns les autres, comment ils se refilent mutuellement la faute et l'innocence, comment ils parlent sur ce qu'ils veulent reconnaître comme droit ou non-droit, alors on a donc justement, pris au fond, en tout ce qui là sera parlé à la surface, seulement une vue de surface. Dans les soubassements gronde chaque contradiction, gronde chaque polarité, dont j'ai justement parlé.

Placée en opposition à cela se trouve d'une certaine manière cette science de l'esprit orientée anthroposophiquement, qui veut devenir une affaire de l'humain entier, plein/complet, qui veut saisir son sentiment et sa volonté. […] Nous obtenons par ce que nous cassons en deux la mémoire, à une plus haute force de l'âme, à une plus haute force de connaissance ; nous obtenons par cela la contemplation de l'entité spirituelle-animique/psychique de l'humain, comme elle était, avant que l'humain ait été conçu pour cette vie terrestre ici. Et de là va alors le courant auquel devient si difficile de parvenir à penser pour l'humain actuel : le courant de la connaissance de soi à la connaissance du monde. […]

Quand nous jetons un coup d’œil sur notre patrimoine de souvenir terrestres ordinaires, ainsi nous dirons : ce patrimoine de souvenir nous articule ensemble avec tous les vécus, que nous avons traversés d'un certain moment de cet être-là terrestre. Ces vécus reposent tout d'abord dans l'instant présent le plus généralement dans le sous-conscient de l'organisation humaine. Nous les remontons soit arbitrairement, ou ils pulsent par leur propre pouvoir en surface dans la conscience. Du courant du vécu, que nous avons traversés, émergent les souvenirs. Et la possibilité de souvenir doit être une continuelle, afin que notre vie de l'âme, notre constitution d'âme en soit une saine. Nous nous tenons ainsi comme humains, par ce que nous avons cette possibilité de souvenir, [] pas seulement en dedans de nous, mais nous sommes absolument aussi à pendre ensemble avec tout cela, avec quoi par les expériences, par la vie extérieure nous avons un pendant. […] Pourquoi pouvons-nous remonter de nouveau, comme par magie, dans le présent ce que nous avons vécu ? Parce que nous avons été une fois lié comme humain avec cela, parce que dans le vécu avec le monde extérieur, nous étions une unité. […] Et comme lui comme l'être humain, qui est enfermé entre la naissance et la mort, est seulement pendant avec cela qu'il a savouré ou vécu ensemble avec le monde de la manière caractérisée , ainsi il est pendant avec ce qu'alors, par recherche supplémentaire, on découvre en soi, avec l'ensemble de l'évolution de l'humanité de la Terre et aussi ensemble avec l'évolution de la Terre elle-même. Ce n'est rien d'autre, qu'en même temps un dépassement/surmontement, un cassé en deux du souvenir et une réapparition de la force de souvenir à un niveau supérieur. En ce que nous surmontons cette force de souvenir en petit, qui nous maintient nos vécus terrestres, nous accédons à un niveau plus haut à une nouvelle force de souvenir, par laquelle nous pouvons développer les images des destins, que la Terre a elle-même traversé en d'autres formes planétaires, comme j'ai décris cela dans ma « science secrète ». Et ainsi, comme par notre souvenir de tous les jours, nous remontons magique sous forme d'image, ce que nous avons vécut depuis notre naissance, ainsi nous pouvons, quand nous apprenons à connaître l'humain entier, par science de l'esprit, remonter magique de l'organisation d'humanité, ce à quoi l'organisation entière d'humanité a participé, ce avec quoi elle était liée : l'ensemble de l'évolution du monde. Car l'être humain est un microcosme. Nous n'avons pas à faire avec un autre monde qu'avec ce avec quoi nous étions nous-même attachés. […] Nous voyons, comment par ce qu'on descend en de plus grandes profondeurs de l'être humain, on descend en même temps dans le devenir objectif des mondes. Dans la même mesure, dans laquelle dans une certaine mesure pour un instant, on renonce à la vie intérieure habituelle, entre dans cette vie intérieure, ce qui sinon est resté vie extérieure objective. Au même instant, dans lequel on plonge dans les régions qui sinon sont retirées à la conscience, on plonge dans ces régions-là qui nous ont formées comme entité objective, comme humain hors de l'univers d'ensemble. Cela vient pas autrement en l'état, ce que la science de l'esprit anthroposophique veut livrer de connaissance du monde.

A partir de la signature du présent, comme je l'ai caractérisée, l'humain actuel conteste une telle connaissance du monde : oui, mais là on arrive dans une région, dans laquelle la subjectivité peut se faire valoir de manière bon marché. […] tout de suite ainsi que le photographier d'un arbre est objectif [correct] d'un côté déterminé, ainsi peut aussi être objective [correct/exacte] la description d'un chercheur de l'esprit – malgré qu'elle sonne autrement que chez un autre, qui justement est parti d'un autre point de vue. Mais on remarquera que la science de l'esprit anthroposophique, que j'ai à représenter, s'efforce de caractériser constamment des plus différents côtés, ce qui sera caractérisé, et que par ce que devrait être équilibré d'une certaine manière, ce qui pourra devenir unilatéral par la description de seulement un point de vue, ce décrire peut d'un point de vue qui peut donc nommément apparaître quand n'importe qui prend mes livres et les compare de manière abstraite l'un avec l'autre et se dit alors : oui, là se tient sur une chose ceci et ici se tient cela. - Cela pourra très facilement être monnayé de petite monnaie, comme si là étaient des contradictions.

Mais cela jaillit de rien d'autre, que de l'effort de décrire les choses des plus différents côtés, afin que justement, tout de suite par cette tournure particulière dans la science de l'esprit anthroposophique, une sorte de multi-latéralité puisse être visée.

Qui apprend à connaître cela entièrement, ce qui sera cherché et trouvé sur le chemin intérieur, il se rendra toujours de plus en plus clair, comment là un patrimoine intérieur, une faculté intérieure se développe, qui en fait est semblable à ce que l'humain a dans la constitution d'âme mathématique. [C'est] comme en mathématique, où nous avons quelque chose, qui nous donne un contenu animique/d'âme déterminé, qui est entièrement gagné de l'intérieur. Car la mathématique est entièrement gagnée de l'intérieur ; nous savons qu'une vérité mathématique est vraie, quand nous avons vu au travers intérieurement, des millions d'humains aimeraient-ils aussi le dire autrement. Ce qui se joue là dans l'âme, en ce que nous savons maintenir une vérité mathématique, qui en même temps est intérieure et extérieure, cela se joue de manière semblable [dans l'âme], quand nous – toutefois à travers le subjectif – arrivons à l'intérieurement objectif, qui peut vraiment nous être disponible dans la science de l'esprit anthroposophique. Seulement le début du chemin de recherche est subjectif, mais sur cela le vrai anthroposophe fait silence. Ce qui alors se donne après le surmontement de la particularité subjective du chercheur, cela est absolument une chose objective, de laquelle on peut parler comme d'une observation extérieure, qu'on a faite par les sens ou aussi par la balance ou avec le mètre de mesure : tout de suite ainsi qu'on peut parler de constatations mathématiques, seulement que celles-ci sont formelles, pendant que celles qu'on fait par la science de l'esprit sont justement pleine de contenu.

Mais cela montre que cette science de l'esprit anthroposophique est avant toute chose à l'effort de parler immédiatement à l'humain. C'est aussi sa tache. Pendant que l'actuelle scientificité aspire après un nivellement, à faire d'un humain une pâle copie de l'autre, la science de l'esprit anthroposophique ne peut rien d'autre que de parler à chaque humain comme à une individualité. C'est, j'aimerais dire, l'immédiate confiance sociale, qu'on s'obtient/s'acquière en oeuvrant pour cette science de l'esprit anthroposophique, qu'on ne veut pas installer n'importe quoi, qui par ce qu'on l'a recherché, devrait maintenant valoir pour tous les humains, mais par ce qu'on veut seulement en appeler aux humains, en ce qu'on dit : on a investigué soi-même le contenu de la science de l'esprit. Mais ce contenu est le vrai contenu de la nature de l'humain. Si je parle à l'humain particulier, ainsi je parle ainsi que je ne vois pas dans le nivellement, mais m'adresse à chaque individu comme individualité. Je compte là-dessus parce que donc l'humain est humain, parce que les humains sont de même origine psychique-spirituelle-corporelle, que des cordes familières résonnent, qu'à partir du plus intérieur de manière individuelle revient la même chose, qui sera attaqué par l'un des humains.

Pas ainsi, comme sinon on parle dans la science, on parle par anthroposophie aux humains, comme si on cherchait de la partisanerie pour quelque chose d’établi maintenant une fois, mais ainsi on parle par anthroposophie, qu'on appelle à l'intérieur de chaque humain particulier et dit : quand tu regardes dans ton propre intérieur, alors tu découvres sur ce chemin dans ta propre entité ce que je veux partager avec toi, parce je l'ai investigué. - La façon du parler d'humain à humain sur science de l'esprit, toute façon d'enseigner prend un autre ton, une autre [] mentalité, en ce qu'on enveloppe la communication en formules de la science de l'esprit anthroposophique. C'est cela, qui est efficace à la science de l'esprit anthroposophique contre la signature de notre temps, comme je l'ai décrite : ce qui à nouveau de la pensée, mais de la pensée à partir de l'humain complet, appelle, en appelle en même temps à chaque humain particulier. Le contraire de cela est ce qui est ambitionné dans le nivellement. Il sera ambitionné l'individualisation de l'humain par ce qu'est la connaissance, par ce qui est élaboration d'un contenu de conception du monde. Ce contenu de science anthroposophique de l'esprit devrait être le plus subjectif et en même temps l'objectif, le plus personnel et en même temps le contenu valant universellement de la scientificité humaine. L'humanité du présent a besoin de cette contradiction contre le nivellement. Du nivellement est sorti ce que je vous ai décrit, qui, pris au fond, est un élément antisocial, parce que cela se fait valoir comme pôle opposé : l'incompréhension d'un humain vis-à-vis de l'autre humain. De la science anthroposophique de l'esprit devrait sortir la compréhension pleine d'amour d'un humain vis-à-vis de l'autre ; et il ne viendra avant toutes choses pas seulement une connaissance universelle/générale de l'humain, une anthroposophie universelle/générale, mais par ce que l'anthroposophie et la connaissance du monde générale sera, sera excité/stimulé une constitution d'âme, qui aussi à nouveau renferme en soi une compréhension pleine d'amour pour chaque particularité individuelle de notre prochain.

Ce qu'est la vie sociale, ne pourra être fondé, quand ce ne sera pas fondé à partir des plus profondes, les plus saintes [] racines de l'entité de l'humain elle-même ; mais celles-ci sont quand même les individuelles pour l'actuelle phase de développement de l'humanité, comme j'ai évoqué hier. De cela la science de l'esprit donnera pour à la signature du présent l'essentiel de cet autre impact, dont nous avons si fortement besoin.

Mais avec cela est déjà dit qu'aussi l'autre pôle, qui devait être caractérisé en rapport à la signature du présent, accueillera un autre caractère. Dans la vie pratique entrera ce qui maintenant n'est pas un élément antisocial, mais qui est un élément social. Cet élément antisocial, d'où vient-il alors en fait ? Il vient de ce qu'en ce que tout de suite la culture de tête a atteint un point haut, les instincts règnent à partir de la nature humaine et saisissent le sentir et le vouloir. Ce qui est connaissance anthroposophique, luit dans le sentir, luit dans le vouloir : elle n'émousse pas la violence élémentaire du sentir et du vouloir, comme les humains croient si facilement ; elle ne prend pas aux humains leur naïveté originelle. Non, quand n'importe quoi de beau sera éclairé, cela ne perd pas sa particularité, mais elle se manifeste en premier correctement. Ce qui repose dans les soubassements de la nature humaine, ne deviendra pas plus émoussé, quand aussi ce sera éclairé anthroposophiquement, mais ce sera tout de suite déployé de manière correcte, sans que l'humain ait à participer à l'actuelle maladie du temps, la nervosité. Le penser éclaire à nouveau dedans le sentir, le sentir le saisi, et en ce que nous éclairons dans le sentir avec le penser, se transforme le « je pense, donc je suis », le « je suis seulement dans l'image en ce que je pense » - le penser se transforme en un être.

Et en premier en ce que nous plongeons dans le vouloir, qui sinon sera seulement vécu dans le sommeil – car que sait l'humain dans la connaissance habituelle de la relation, qui règne là entre un penser qui devrait conduire à la volonté, et la levée de la main ? -, en ce que ce penser plonge selon la science de l'esprit dans ce vouloir, se développe ce qui maintenant, comme on pourrait dire, conduit d'un humain à un autre humain dans une claire lumière. L'humanité peut devenir un grand tout social seulement par ce que les sentiments, que les impulsions de volonté seront traversée de lumière, maintenant pas de connaissance abstraite, intellectuelle, mais de la vision plus haute. Mais par ce que vous serez parcouru par la plus haute vision, apparaîtra une véritable science sociale, une éthique sociale. Tout de suite une telle éthique sociale devait être donnée dans mon livre « La philosophie de la liberté ». Là se montra que l'humain, donc pris au fond, peut se sentir seulement libre, en ce qu'il développe une impulsion pour l'agir, pour le vouloir, à partir du plus pur penser. L'humain ne pourrait jamais se sentir libre, quand à partir de n'importe quels autres soubassements, il devait créer des impulsions de volonté. Quand nous nous tenons vis-à-vis d'un miroir, et avons purement une image devant nous – la comparaison est plus qu'une comparaison -, ainsi cette image ne peut pas nous contraindre. Quand une quelque chose me pousse, ainsi je suis contraint par causalité. Quand je regarde l'image, je ne pourrais être contraint ; l'image n'a pas de force en soi, pour me contraindre. Quand je saisis mes impulsions de volonté dans les purs penser-image, alors ces images-penser n'ont pas de pouvoir causal, pas de force d'élan.En ce qu'on reconnaît la puissance d'image du [] penser, on reconnaît comment dans le pur penser monte vraiment la libre volonté, ainsi que seulement dans le plus individuel de l'humain peuvent aussi être trouvées les impulsions pour l'action libre. Mais par ce que dans ce pur penser qui nous est tout d'abord image, la volonté rentre, tout de suite par ce que la volonté entre, comme c'est le cas lors de l'action sociale pleine d'amour ou lors de plus hautes connaissances suprasensible, comme vous pouvez le voir dans les introductions de mon livre « Comment obtient-on des connaissances des mondes supérieurs ? », par cela le sinon penser pur sera emplit de ce qui est l'entité originellement propre, éternelle de l'humain. Et la première clairvoyance, mes très chers présents, est déjà là, quand une décision de volonté libre illumine dans le penser. Et pris au fond tout ce qui est alors de moi comme méthode pour le conduire dehors dans les mondes supérieurs de l'esprit sera donné/indiqué, rien d'autre qu'organisation méthamorphosée de ce que j'ai décrit dans ma « Philosophie de la liberté » comme la volonté libre reposant à la base. Reconnaît-on, comme dans ce pur penser parcouru de volonté pré-repose ce dans quoi l'humain peut tout d'abord saisir le devenir du monde/l'événement du monde comme à un sommet, alors on apprend aussi progressivement à considérer comment cette constitution d'âme qui sinon est seulement disponible dans l'action libre de l'humain, on peut l'élargir de la manière décrite hier, et comment on peut arriver aux connaissances suprasensibles par cela. L'humain veut-il se reconnaître comme entité libre, ainsi il doit faire le commencement avec ce vrai voir suprasensible, sinon la liberté lui sera toujours quelque chose d'impossible. La liberté ne se supporte pas aussi avec la causalité naturelle – aussi pas pour le kantien ou pour [] celui qui au moins prétend, en être un. Et d'aucune autre manière on vient à une harmonisation de causalité de nature et à liberté humaine, qu'en ce qu'on voit ainsi au travers de la chose, comme je l'ai justement décrit.

Mais alors se fonde encore quelque chose d'autre. Ce que j'ai décrit dans ma philosophie de la liberté comme base de la volonté sociale, est devenu beaucoup, beaucoup méconnu. Les gens ont objecté : comment les humains devraient collaborer dans l'organisme social, quand chacun suit seulement les pulsion intérieures de son entité individuelle ? - Mais c'est pour cela que ça ne va pas du tout. Il s'agit de ce que par une véritable, vraie, authentique évolution spirituelle, l'humain pourra être attiré, ce que j'aimerais nommé : la véritable confiance sociale. Un être-là digne de l'humain dans la vie sociale est donc quand même seulement possible quand non du dehors par des commandements ou autre, nous seront contraint à l'action, mais quand nous pouvons agir libre des plus intérieures pulsions de notre être. Mais alors nous devons pouvoir développer cette grande confiance en l'autre, la confiance, qu'il arrivera aussi progressivement à agir des plus intérieures pulsion de sa nature d'humain. Et par ce que l'humain progresse vers le plus intérieur de son être et progressivement se développe une telle compréhension d'un humain à un autre, se donnera par une pleine confiance réciproque une éthique sociale, un organisme social à partir des façonnements individuels des volontés particulières. - Ainsi, ce qui est confiance consciente, pends ensemble avec ce qui donc, au sens de l'actuelle aspiration de la nature de l'humain, pourra être considéré quand même seulement comme la volonté sociale.