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Collection: 03 - Vie spirituelle libre
Sujet: Ne pas confondre jugement pratique et loi.
 
Les références Rudolf Steiner Oeuvres complètes GA328 134-136 (1977) 25/02/1919
Traducteur: FG Editeur: SITE

 

Dr. Roman Boos : Puis-je encore me permettre de diriger la question à Monsieur Referenten en rapport à cela qui justement a été demandé sur domaine pénal ? Maintenant quand est parlé de liberté du juge, si avec cela aussi une infraction contre l’alinéa est pensée, que sans loi pas de peine ne devrait être prononcée – comme ne semble, c'est ainsi pensé, que la loi pénale comme telle ne devrait donc pas être donnée à partir du domaine de la libre vie de l'esprit, mais des instances politiques, que la question contient vraisemblablement un malentendu chez Monsieur Dr. Weiss, qui a pensé que serait exigé une infraction contre le principe que personne ne peut être condamné à une peine qui n'a pas enfreint une certaine loi. - Ai-je le droit peut-être de vous prier de vous exprimer encore sur cela ?

Dr. Steiner : « N'est-ce pas, dans cette question se rejoignent donc évidemment le système du droit public avec le système de la juridiction pratique. Ce que j'ai souligné est la séparation du jugement pratique. Pour cela j'ai utilisé l'expression « juger », expressément le jugement pratique de la vie du droit public, que je dois penser centralisé dans l’État politique chez l'organisme social sain ainsi que l'organisme social sain dans sa vie du droit public doit veiller à cela que doit être procédé d'après une loi déterminée par lui.

Que pas de la manière la plus arbitraire peut-être jugé, cela est entièrement évident. Mais je n'ai pas pensé à de telles choses, qui sont abstraites et qui dans leur abstraction sont plus ou moins évidentes. Je n'ai aussi pas aujourd'hui eu à parler, disons, sur le champ d'activité du droit, mais j'ai eu à parler sur l'organisme social et sur la volonté sociale. Et là je vous prie, au sens du thème de réfléchir à ce qui suit.

Voyez-vous, j'ai presque passé un temps aussi long de ma vie en Autriche qu'en Allemagne. J'ai pu apprendre à connaître la vie autrichienne fondamentalement ; vous pouvez me croire, que ce n'est pas une affirmation abrupte, quand je dis que beaucoup de ce qui dans l'ainsi nommé État autrichien s'est passé dans les derniers temps est en rapport avec des événements qui tout de suite se sont produits dans les années soixante-dix, quatre-vingts du précédent siècle comme profondes disproportions. N'oubliez pas que dans un tel État comme l'Autriche – sur d'autres domaines cela ne se laisserait pas caractériser de manière si radicale, mais c'est disponible en cette ou telle forme aussi -, particulièrement parce qu'en Autriche les différents secteurs de langues sont poussés les uns parmi les autres, vous pourriez par exemple vivre qu'un allemand, parce que tout de suite fortuitement il appartiendrait à une quelque paroisse judiciaire, dans laquelle un juge tchèque serait en fonction, qui ne saurait l'allemand, qu'il serait jugé par un juge tchèque en une langue qu'il ne comprend pas.

Il ne savait pas, ce qui sur lui a été jugé et se passait avec lui ; il remarqua simplement qu'on l’emmena. Tout aussi c'était inversement le cas quand un juge allemand, qui ne comprenait pas le tchèque, jugeait un tchèque, qui ne comprenait pas l'allemand. Ce que je pense est la formation individuelle, la libre formation des conditions du juger chez le juge.

Donc un tel État comme l'Autriche aurait un grand succès à attendre de cela. Mais cette impulsion aurait exigé que toujours, peut-être pour cinq ou dix ans – les conditions se déplacent progressivement -, toutefois celui à condamner ou à juger ait pu choisir son juge, en libre choix du juge.

(manques dans le sténogramme)

C'est simplement un objet pas du tout de la vie spirituelle, mais c'est du début un objet de la vie dans l’État de droit ; pour cela, que donc seulement sera jugé d'après une loi, laquelle a existé comme le fait a été commis, sera le deuxième, la loi étatique veillera déjà comme comptant à sa compétence ; elle tirera déjà ses conséquences pour chaque cas, évidemment.
Mais la question est une tout autre ; si vous prenez les choses plus précisément, ainsi vous verrez, que toutes les solutions de ces cas se présentent très, très conséquemment. Je pourrais donc aujourd'hui vous dire seulement les toutes premières conditions préalables ; je devrai sinon parler plus loin non toute la nuit, mais aussi encore tout le jour de demain.