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Institut pour une triarticulation sociale
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Collection: 05 - LA VIE JURIDIQUE DEMOCRATIQUE
Sujet: Parlement aussi pas par commission pleine de capables économiques
 
Les références Rudolf Steiner Oeuvres complètes 024 451-453 (1982) 00/08/1919
Traducteur: FG Editeur: SITE

 

Professeur Heck dit conformément aux choses : « la plus lourde tâche, dont nous menace l’avenir, est la répartition de l’immense, jamais exaucée, charge fiscale, que la paix nous infligera… Ces impôts ne pourront pas du tout être amassés sans de lourds empiètements dans la vie économique. C’est pourquoi devrait se sécuriser aussi lors de la mise en œuvre des idées steineriennes chaque groupe économique dans la représentation au Parlement, pour se défendre contre la surcharge. » Mais cette « plus lourde tâche » ne sera que par le démembrement du droit – pouvoir être délié de la vie économique dans une telle sorte, que ce détachement ne contredise pas la conscience du droit de groupes humains particuliers.
Car viennent les intérêts d’un groupe économique en représentation en un parlement reposant sur une base démocratique, ainsi se donnera toujours que le groupe économique le plus puissant impose les mesures les moins puissantes. Il pourra cela par sa propre puissance, ou par conclusion de compromis.
Par la formation de majorités parlementaires est toujours possible le non factuel faire valoir et la marginalisation d’intérêts. Autrement se forme la chose quand l’administration de la vie économique est démembrée organiquement de celle de la vie du droit. Alors ne peuvent être prises des décisions sur le sol du droit qui conduisent à des effets dans la vie économique, lesquelles sont défavorables à quelque groupe humain.
Tout ce qui dans la vie économique se passe reposera sur le traitement des associations appropriées. Lors de ce traitement, la connaissance factuelle peut se tenir vis-à-vis des autres ; et le non factuel, pur parlementarisé démocratique peut disparaître.
Quelqu’un pourrait peut être dire que le brigué avec cela serait aussi à réaliser, quand dans le « parlement du droit » les actions principales seraient dévolues aux commissions et qu’on s’attirerait à cette expertise des domaines économiques particuliers. Il me semble que cela ne serait qu’une demi-mesure. Ce qu’elle pourrait avoir de bon limité pour effet, devrait tout de suite montrer, comment l’ambitionné ne pourrait pleinement être atteint que par le démembrement de l’administration économique de l’organisation du droit. Professeur von Heck n’apporte pas suffisamment en approche, ce que cela signifie en pratique de la vie, quand les représentants informant des faits de la branche économique ont ainsi à traiter, que par les conditions de vie d’une branche ont à promouvoir et limiter celles des autres, sans l’influence non factuelle des décisions à la majorité.
Qui place dans l’addition, comment une telle institution agit pratiquement, à celui-là ne viendra pas au sens de dire : « Nous devrons demander aux scientifiques et médecins pour question d’église, agriculteurs, commerçants et artisans pour la grande industrie d’apporter de la compréhension factuelle avec eux ? » Cela semble volontiers correctement demandé ; mais cela ne parle pas contre un membrement posé sur lui-même de la vie économique, mais contre la représentation des intérêts culturels et économiques dans un parlement, où chacun a à codécider sur des choses desquelles il ne comprend rien. Au maniement des organisations économiques entre elles par leurs représentants n’est en aucun chemin nécessaire une compréhension factuelle en dehors du domaine que chacun a à représenter. Car le résultat du traitement sera confirmé objectivement par la signification d’un secteur pour l’autre. Le fondement pour une telle objectivité sera par la créé, que les corps d’administration s’articuleront autour de ces personnalités sur lesquelles un office dirigeant sera de cette manière transféré comme c’est décrit page 86 des « Points fondamentaux de la question sociale ».
Les autres membres de ce corps d’administration partiront ainsi des besoins de la conduite économique, qu’a la place du choix personnel un choix de personnalités approprié apparaitra, que là les capacitations se manifesteront dans la division du travail et par là s’établira la conviction, qui profite au mieux le travail personnel, quand le dirigeant connaisseur est appelé.
Les membres de corps d’administration supérieurs et un conseil d’administration central se donneront d’une manière semblable de l’inférieur. Par cela sera malgré le conseil central construit l’administration d’ensemble sur une base fédérative.

Une telle construction de l’administration économique ne sera supportable à la conscience démocratique seulement quand tout ce qui se rapporte aux rapports de droit des personnes concernées sera séparé de cela et sera renvoyé en un parlement démocratique.
Mais à ces rapports de droit appartient tout ce qui se rapporte au travail, lequel les humains fournissent pour d’autres.