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Institut pour une triarticulation sociale
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Collection: 05 - LA VIE JURIDIQUE DEMOCRATIQUE
Sujet: Démocratie fixe temps de travail et valeur du travail.
 
Les références : Rudolf Steiner Oeuvres complètes 331 275-277 (1989) 23/07/1919
Original
Traducteur: FG Editeur: SITE

C’est le premier devoir dans le train de la socialisation actuelle, que nous amenions à l’expérience, combien exprimant la situation économique, par exemple une paire de bottes, une robe et ainsi de suite ont le droit de couter . Pas vrai, je vous ai donc cité déjà souvent la base pour la régulation des prix dans mes conférences. D’après cela il s’agit à l’avenir de ce que chacun pour ce qu’il produit lui-même reçoit autant pour qu’il puisse satisfaire ses besoins jusqu’au moment auquel à nouveau il a produit la même prestation. Exprimé autrement : quelqu’un produit une paire de bottes – ce qui suit vaut aussi pour des prestations non clairement limitées -, et ces bottes devraient avoir une valeur, qui est comparable avec d’autres biens, ainsi que ce que je reçois pour les bottes peut servir pour la satisfaction de mes besoins, jusqu'à ça qu’une nouvelle paire de bottes soit terminée. C’est ce que stipulent les situations de prix particulières.

Évidemment doit aussi être inclus ce qui doit être nécessairement dépensé pour l’éducation des enfants, pour les invalides, veuves et non capables de travailler. De tout cela se donne le prix exact. Établir cela est le premier acte. Mais c’est un très grand travail. Le travail des conseils d’entreprises, si elle ne veut pas se crisper avec quelques phrases, devra commencer avec la fixation des situations de prix de ce qui sera produit, sinon on ne pourra venir à une véritable socialisation.



C’est une automystification quand on croit qu’on peut venir à une véritable socialisation par la fixation de salaires à partir d’autres soubassements. C’est simplement un non-sens, car vous pouvez relever les salaires n’importe comment d’après les principes d’après lesquels jusqu'à présent ils furent payés. Vous pouvez même doubler ce que vous recevez en rémunération, et cela sera par là alors équilibrer, que les logements et produits de base deviennent de nouveau plus cher, si n’avez pas une mesure conforme à la nature, provenant de l’économie elle-même pour la formation de prix.

 

Cette mesure pour la formation des prix est-elle trouvée – la communauté des conseils d’entreprise aura quelques semaines à faire avec cela.- alors on aura a trouver les prix justes. Par cela sera créée une base pour ce qui doit apparaître à l’avenir, et on saura avec quoi on peut compter. Alors pourra à la place de l’ainsi jusqu'à présent nommer contrat de travail apparaître un contrat de répartition entre travailleurs spirituels et physiques. Aux travailleurs spirituels pourront, s’ils se mettent sur les rangs, évidemment aussi appartenir les jusqu'à présent entrepreneurs avec leurs expériences. Dans l’essentiel le contrat sera conclu ainsi que le travail commun du travailleur manuel et spirituel repose à sa base ; autre chose ne rentre pas en considération.


Ils travaillent ensemble à quelque produit, et ce produit a un certain prix. Sous prise en compte des données du moment et possibilités, ce prix doit maintenant être réparti dans une mesure contractuelle entre dirigeants spirituels et travailleurs. Il ne sera donc plus d’une manière quelconque payé la force de travail, mais, quand on produit des biens ou dirige la production de biens, alors on obtient à la mesure du contrat de répartition la part correspondante. Accomplir cela on ne le peut seulement que quand tout est fixé, qui est droit du travail.

 

Maintenant on ne peut naturellement créer rien d’autre avec les conseils d’entreprise comme institutions économiques dans le sens de la tri-articulation. Dans l’avenir se tiendra cependant à côté de l’organisation économique qui a à faire de préférence avec une juste fixation des prix, le parlement juridique, dans lequel chaque humain trouve la possibilité de fixer son rapport aux autres humains. Naturellement, ce qui se passe dans le parlement juridique, n’est pas sans effet sur la vie économique. Ceux qui maintenant dans la vie économique ont à diriger une entreprise, ils devront la diriger dans le sens qu’ils observent ce qui dans le parlement juridique sera fixé à partir des principes démocratiques sur la valeur du travail et le temps de travail.

Das ist die erste Aufgabe im Zuge der künftigen Sozialisierung, daß wir in Erfahrung bringen, wieviel, der Wirtschaftslage entsprechend, zum Beispiel ein Paar Stiefel, ein Rock und so weiter kosten dürfen. Nicht wahr, die Grundlage für die Preisregelung habe ich ja in meinen Vorträgen schon öfter genannt. Demnach geht es in Zukunft darum, daß jeder für das, was er selber produziert, so viel bekommt, daß er seine Bedürfnisse bis zu dem Zeitpunkt, an dem er wiederum eine gleiche Leistung hervorgebracht hat, befriedigen kann. Anders ausgedrückt: Es produziert jemand ein Paar Stiefel - das Folgende gilt auch für nicht deutlich abgrenzbare Leistungen -, und diese Stiefel müßten einen Wert haben, der vergleichbar ist mit anderen Gütern, so daß das, was ich für die Stiefel bekomme, zur Befriedigung meiner Bedürfnisse dienen kann, bis ein neues Stiefelpaar fertiggestellt ist. Das ist dasjenige, was die einzelnen Preislagen stipuliert. Selbstverständlich muß auch alles das miteinbezogen werden, was für die Erziehung der Kinder, für Invalide, Witwen und Arbeitsunfähige notwendig aufgebracht werden muß. Aus alledem ergibt sich der richtige Preis. Diesen festzusetzen, das ist die erste Tat. Das ist aber eine sehr große Arbeit. Die Arbeit der Betriebsräte, wenn sie nicht katzbalgen will mit irgendwelchen Phrasen, wird beginnen müssen mit dieser Festsetzung der Preislagen dessen, was produziert wird, ansonsten wird man niemals zu einer wirklichen Sozialisierung kommen können. Es ist ein Selbstbetrug, wenn man glaubt, daß man durch die Festlegung von Löhnen aus anderen Untergründen heraus zu einer wirklichen Sozialisierung kommt. Das ist einfach ein Unsinn, denn Sie können die Löhne nach den Prinzipien, nach denen sie bisher ausgezahlt wurden, beliebig erhöhen. Sie können sogar das, was Sie an Lohnerhöhung bekommen, verdoppeln, und dies wird dadurch dann ausgeglichen, daß die Wohnungen und Lebensmittel wieder teurer werden, wenn Sie nicht einen naturgemäßen, einen aus der Wirtschaft selbst hervorgehenden Maßstab für die Preisbildung haben.

Ist dieser Maßstab für die Preisbildung gefunden - die Betriebsräteschaft wird einige Wochen damit zu tun haben -, dann wird man dazu übergehen müssen, die gerechten Preise zu finden. Hierdurch wird dann eine Grundlage geschaffen für das, was in der Zukunft weiterhin entstehen soll, und man wird wissen, womit man rechnen kann. Dann wird an die Stelle des bisherigen sogenannten Arbeitsvertrages ein Verteilungsvertrag zwischen dem geistigen und physischen Arbeiter treten können. Zu den geistigen Arbeitern werden, wenn sie sich einreihen, selbstverständlich auch die bisherigen Unternehmer mit ihren Erfahrungen gehören können. Im wesentlichen wird der Vertrag so geschlossen werden, daß ihm die gemeinsame Arbeit der Hand- und der geistigen Arbeiter zugrunde liegt; etwas anderes kommt nicht in Betracht. Sie arbeiten gemeinsam an irgendeinem Produkt, und dieses Produkt hat einen gewissen Preis. Unter Berücksichtigung der jeweiligen Gegebenheiten und Möglichkeiten muß nun dieser Preis vertragsmäßig zwischen geistigen Leitern und Arbeitern verteilt werden. Es wird also nicht mehr irgendwie die Arbeitskraft bezahlt, sondern, wenn man Güter produziert oder die Güterproduktion leitet, dann erhält man gemäß dem Verteilungsvertrag den entsprechenden Anteil. Ausführen kann man das nur, wenn alles das feststeht, was Arbeitsrecht ist.

Nun kann man natürlich mit der Betriebsräteschaft nichts anderes als wirtschaftliche Institutionen im Sinne der Dreigliederung schaffen. In der Zukunft wird jedoch neben der wirtschaftlichen Organisation, die es vorzugsweise mit einer gerechten Festsetzung der Preise zu tun hat, das Rechtsparlament stehen, in dem jeder Mensch die Möglichkeit findet, sein Verhältnis zu den anderen Menschen festzusetzen. Natürlich ist deshalb dasjenige, was im Rechtsparlament geschieht, nicht ohne Wirkung auf das Wirtschaftsleben. Diejenigen, die nun im Wirtschaftsleben einen Betrieb zu leiten haben, die werden ihn in dem Sinne zu leiten haben, daß sie beobachten das, was im Rechtsparlament aus demokratischen Prinzipien heraus über den Wert der Arbeit und die Arbeitszeit festgelegt wird.