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Collection: 05 - LA VIE JURIDIQUE DEMOCRATIQUE
Sujet: Sauver la continuité de l'économie par compromis sur la question du salaire.
 
Les références : Rudolf Steiner Oeuvres complètes 185a 057-061 (1982) 10/11/1918
Original
Traducteur: FG Editeur: SITE

On peut, lorsqu’on a potassé telle ou telle théorie d’économie nationale, tenir l’une ou l’autre pour juste, mais cela ne désigne pas du tout la réalité, pour ce qui est à faire. Pour ce qui est à faire, désigne aujourd’hui quelque chose d’unique et seul, le fait qui est dans les têtes des masses prolétaires. Et cela est très uniforme, cela s’est formé très uniforme pendant des décennies, et avec cela doit avant tout être compté.

 

On doit avant toute chose être au clair là dessus que certaines choses qui doivent être recherchées, doivent être poursuivies plein de compréhension, si la bourgeoisie veut absolument se ranger avec le prolétariat. Gain de l’entrepreneur – la tendance de la classe laborieuse va vers former le gain de l’entrepreneur, que du gain de l’entrepreneur rien ne coule dans le bénéfice privé. Mais cela est une chose sur laquelle une entente avec le prolétariat serait absolument possible ? Si on poursuivait tous les canaux, tous les filets d’eau qui dans le corps d’économique politique arrosent ce qui est capital et alors quand le capital prend la forme du gain d’entrepreneur, quand on poursuit tout cela, et quand on se dit en même temps : cela à appeler la pire défiance du prolétariat contre la bourgeoisie, notamment contre la grande bourgeoisie, que dans une mesure la plus abondante le gain d’entrepreneur a été tiré dans le bénéfice personnel – là-dessus ne se laissera absolument pas discuter à l'avenir -, alors on est sur le juste chemin.

Mais alors, on trouvera bien aussi, quand on montre de la compréhension pour ce que dans ce point le prolétariat veut, les moyens et chemins pour retenir cette profonde atteinte sociale, qui alors doit intervenir quand au sens du prolétariat radical aujourd’hui le gain d’entrepreneur sera combattu. Les choses reposent malheureusement ainsi que d’après les connaissances que les bourgeois ont de ces choses, la plupart ne peuvent pas du tout être discuté avec le prolétariat, car ces connaissances ne sont justement pas là, par ce que le bourgeois ne sait aujourd’hui rien des canaux et des fonctions dans lesquelles quelque chose comme gain de l’entrepreneur – d’une fabrique le gain de l’entrepreneur, ou n’importe quoi d’autre le gain de l’entrepreneur – se déverse. Qu’au prolétariat manque, nécessaire, les aperçus dans lesquels conduit l’un ou l’autre façonnement social, ainsi ne combat-il que les dommages, qui à la longue par le comportement de la bourgeoisie en rapport avec le gain de l’entrepreneur ont été provoqués, mais il ne provoque par là très sûrement seulement destruction, seulement déclin. La chose de la bourgeoisie serait maintenant de s’entendre sur ce point dans le détail. Tout de suite si on s’entendait dans ces détails, ainsi ceux qui sont capables par cela que jusqu'à présent se sont tenus dans les corps économiques, avaient des positions dirigeantes dans les corps économiques, qui à cause de cela avaient uniques et seuls seulement les connaissances, pour emmener la continuité de la vie économique, seraient tout de soi-même placés aux premières positions par le prolétariat ; si maintenant seulement par conseils de travailleurs ou de soldats ou d’autres conseils, ils viendraient tout de soi-même là-dedans. Mais il doit y avoir la possibilité, de vraiment traiter sur quelque chose avec les gens.
Quand la possibilité est disponible de négocier sur quelque chose, ainsi que les gens savent : aha, lui sait lui-même, ce qu’en fait nous voulons, mais il sait quelque encore quelque chose de plus -, alors vient, ce qui doit venir : confiance, qui ne peut aujourd’hui être disponible.
Car le contexte ne peut jamais pénétrer, que, quand les prolétaires doivent simplement avoir la croyance : maintenant oui, ils ont le cahier dans la main, et les bourgeois, qui se sont jusqu'à présent comportés ainsi et ainsi, ils veulent maintenant aussi s’asseoir à la table -, que là aussitôt de bonté être placé là avec ; cela ne se présentera pas, mais cela doit être soutenu par de la confiance. Et la difficulté réside là dedans, qu’en fait en de larges cercles ne réside pas de possibilité, de parler une langue commune. On peut donc alors avoir des points de vue différents, mais on doit pouvoir parler une langue commune.

Alors, on doit être au clair là-dessus, que non seulement le gain de l’entrepreneur, mais qu’aussi la rente sera essentiellement contestée. Maintenant la rente a aussi conduit aux pires dérives, et de l’instinct de masse ne sera pas seulement combattu le gain de l’entrepreneur, mais évidemment aussi la rente.
Maintenant est tout à fait clair que de nouveau peut seul regarder dedans ces choses celui qui discerne les fonctions de la rente.
Et là il s’agit de ce qu’il est aujourd’hui facile, lorsqu’on manie la langue du prolétariat, d’amener au moins jusqu’à discussion – compréhension ne se développera que lentement et à la longue, compréhension mutuelle – et l’amener jusqu'à une certaine forme de confiance.


N’est-ce pas, au gain de l’entrepreneur il s’agit de ce qu’on comprenne qu’on ne regarde pas le gain de l’entrepreneur comme une base pour bénéfice privé, mais tout ce qui est gain d’entrepreneur, place seulement dans le rapport qu’on a à administrer la chose, qu’on a à gérer la chose, et qu’a l’avenir le gain de l’entrepreneur n’a pas le droit d’aller dans le bénéfice privé, dans tout ce qui est bénéfice privé.



À la rente, il s’agit de ce que le monde ne peut pas du tout vivre sans rente, car de la rente dans le sens large toute la vie spirituelle, éducation, enseignement et tout doit être obtenu, et par ailleurs les humains malades et non capables de travail, les vieux humains et semblables devront être entretenus de la rente. À l’instant, où on parle conformément aux faits sur ces choses, il s’agirait évidemment de ce qu’au moins on vienne dans une discussion féconde, mais on doit être au clair qu’il est impossible de venir à une discussion féconde quand on ne sait pas que le véritablement justifié de la rente ne peut résider seulement qu’en ce qu’elle sera dirigée dans cette direction dont j’ai justement parlé.

Le troisième est le salaire, que donc le prolétariat veut ainsi régler, que pas de plus-value se donne, qui coule dans quelque chose d’autre que dans le gain de l’entrepreneur transposé en bénéfice non privé et rente justifiée. Naturellement c’est une horreur pour la population bourgeoise entièrement sans connaissance sur ce domaine, de gagner une compréhension que maintenant vraiment personne aussi seulement dans le plus moindre n’a quelque chose à craindre, quand en principe cela vraiment existe : qu’a chacun revienne le résultat de son travail, que de fait la structure d’économie politique est ainsi que pour chaque travaillant le travail se transforme en rapport de son travail. Ce n’est pas un idéal, vous pouvez voir cela dans ma rédaction « Science de l’esprit et question sociale », mais il ne s’agit pas aujourd’hui d’un idéal, mais de ce qui seul peut être atteint dans l’immédiat avenir. Et là il s’agit qu’on éveille dans le fait une compréhension pour ce qui est le minimum de plus-value, et seulement retienne le minimum de plus –value du salaire, qui alors ne sera plus salaire, mais le simple dédommagement pour travail.

De la manière la plus justifiée on peut même dire, dans la plus confortable manière la structure sociale se façonnerait, naturellement de proche en proche, quand du reste on ne voudrait rien du tout d’autre qu’avec véritable compréhension se ranger en soit d’après ces trois directions. Car on provoquerait alors pour l’instant ce qui est le plus nécessaire : on provoquerait la possibilité d’une continuité de la vie économique. Et cela est avant toutes choses nécessaires. Cela est ce qui ne fut pas possible sur le domaine du bolchévisme en Russie et qui jamais ne sera possible, si un arrangement dans le sens défini ne trouve pas lieu. Autrement que dans le sens défini, ce n’est pas possible.


Dans ces trois directions il s’agit qu’avant toutes choses s’éveille ainsi de la compréhension, que de cette compréhension se passe un mouvement d’après la règle dans ces trois directions. Par cela seul il est possible que les dirigeants aptes de la vie économique – ce qui est notamment urgemment nécessaire, si ne doit pas venir incommensurable malheur ; les aptes, pas les inaptes, ils doivent évidemment sortir – restent vraiment maintenus.

Il n’est possible sous aucune autre condition de gagner le prolétariat pour la continuité de la vie économique, que si de cette manière on parvient à conduire un langage lui étant compréhensible. La continuité de la vie économique, celle-là devra être maintenue. Et alors doit être provoquée de la compréhension pour ce que sont les conditions intérieures.

Voyez vous, un rapport, qui devrait avant toutes choses jouer un grand rôle dans les prochains temps, si pas un malheur incommensurable qui peut être évité et à le droit d’être évité, devrait se révéler malgré le cours du monde, c’est celui-là : tout ce qui est aujourd’hui prolétariat, est donc nourrit dans sa pensée des explications économiques perverses et autres des derniers siècles -  et notamment du dernier siècle – de la bourgeoisie. Le prolétariat a donc hérité de tout cela, de ce que la bourgeoisie à apporté en rapport au penser et représenter. Le prolétariat se tient seulement d’une autre manière dedans le monde et en tire d’autres conséquences.

L’origine de ce que font les bolchéviques, repose dans la formation universitaire d’aujourd’hui, dans le façonnement, lequel le système de formation qu’a justement trouvé les classes bourgeoises. Car les prolétaires n’ont donc pas appris autre chose que ce que les classes bourgeoises ont produit. Ils en tirent justement seulement de leur manière les conséquences. Par cela il est nécessaire, avant toutes choses d’appeler à une compréhension dans le prolétariat lui-même, comment en fait l’amaigrir des morceaux tombés de l’inutilisable pensée bourgeoise et maintenant vouloir générer un mouvement, qui donc peut être seulement impuissant, parce que justement il provient de la pensée bourgeoise inféconde. Cette compréhension doit être éveillée, afin qu’on se devienne clair que dans la bourgeoisie elle-même un plein renversement doive avoir lieu justement sur ce point, en rapport à la vie de l’esprit, en rapport au système de formation. Toute la manière des institutions du système de formation n’est vraiment justement pas à utiliser pour les temps nouveaux, et il doit simplement être veillé que la continuité de la vie économique soit maintenue debout, jusqu'à ce que sera surmonté tout ce qui de manière malsaine intervient dans notre économie politique de ce malsain engrenage bourgeois de la vie.

Man kann, wenn man diese oder jene nationalökonomische Theorie durchgeochst hat, das eine oder das andere für das Richtige halten, aber das besagt gar nichts für die Wirklichkeit, für dasjenige, was zu tun ist. Für dasjenige, was zu tun ist, besagt heute etwas einzig und allein das Faktum, was in den Köpfen der proletarischen Massen drinnen ist. Und das ist sehr uniform, das hat sich durch Jahrzehnte sehr uniform ausgebildet, und mit dem muß vor allen Dingen gerechnet werden.

Man muß sich vor allen Dingen klar darüber sein, daß gewisse Dinge, die angestrebt werden müssen, verständnisvoll verfolgt werden müssen, wenn sich das Bürgertum überhaupt rangieren will mit dem Proletariat. Unternehmergewinn - die Tendenz der Arbeiterschaft geht darauf hin, den Unternehmergewinn so zu gestalten, daß aus dem Unternehmergewinn nichts einfließe in den privaten Erwerb. Dieses ist aber eine Sache, über die eine Verständigung mit dem Proletariat durchaus möglich wäre. Wenn man verfolgen würde all die Kanäle, all die Rinnsale, in die sich im volkswirtschaftlichen Körper ergießt dasjenige, was Kapital ist, und dann, wenn das Kapital die Form des Unternehmergewinns annimmt, wenn man das alles verfolgt, und wenn man sich zu gleicher Zeit sagt: Das hat das ärgste Mißtrauen des Proletariats hervorgerufen gegen das Bürgertum, namentlich gegen die Großbourgeoisie, daß in ausgiebigstem Maße der Unternehmergewinn in den Privaterwerb einbezogen worden ist - darüber wird sich in der Zukunft überhaupt nicht streiten lassen -, dann ist man auf dem rechten Wege. Dann wird man aber auch, wenn man Verständnis zeigt für dasjenige, was in diesem Punkte das Proletariat will, die Mittel und Wege finden, um jene tiefe soziale Schädigung hintanzuhalten, die dann eintreten muß, wenn im Sinne des radikalen Proletariats heute der Unternehmergewinn bekriegt wird. Es liegen leider die Dinge so, daß nach den Kenntnissen, die die Bürgerlichen von diesen Dingen haben, meistens gar nicht diskutiert werden kann mit dem Proletariat, weil diese Kenntnisse eben nicht da sind, weil der Bürgerliche heute nichts weiß von den Kanälen und von den Funktionen, in denen so etwas wie Unternehmergewinn - von einer Fabrik der Gewinn des Unternehmers, oder von irgend etwas anderem der Gewinn des Unternehmers - sich ergießt. Da dem Proletarier notwendig die Ausblicke fehlen, in die die eine oder die andere soziale Gestaltung führt, so bekämpft er nur die Schäden, die allmählich durch das Verhalten des Bürgertums in bezug auf den Unternehmergewinn hervorgerufen worden sind, aber er ruft dadurch ganz sicher nur Zerstörung, nur Untergang hervor. Sache des Bürgertums wäre es nun, über diesen Punkt sich im einzelnen zu verständigen. Gerade wenn man sich in diesen Einzelheiten verständigen würde, so würden diejenigen, die fähig sind dadurch, daß sie bisher in den Wirtschaftskörpern drinnengestanden haben, führende Stellungen hatten in den Wirtschaftskörpern, die darum einzig und allein nur die Kenntnisse hätten, um die Kontinuität des Wirtschaftslebens fortzuführen, ganz von selbst nach dem Willen des Proletariats an erste Stellen gestellt werden; ob nun durch Arbeiter- und Soldatenräte oder andere Räte, sie würden schon ganz von selbst dort hineinkommen. Aber es muß die Möglichkeit vorhanden sein, wirklich über etwas zu verhandeln mit den Leuten. Wenn die Möglichkeit vorhanden ist, über etwas zu verhandeln, so daß die Leute wissen: Aha, der weiß selber, was wir eigentlich wollen, aber er weiß noch etwas mehr -, dann kommt, was kommen muß: Vertrauen, das heute nicht vorhanden sein kann. Denn der Zustand kann nie eintreten, daß, wenn die Proletarier einfach den Glauben haben müssen: Nun ja, jetzt haben sie das Heft in der Hand, und die Bürgerlichen, die bisher sich so und so benommen haben, die wollen sich jetzt auch hinsetzen an den Tisch -, daß sie da gleich aus Gutmütigkeit sie mit hinsetzen lassen werden; das wird nicht eintreten, sondern es muß das durch Vertrauen gestützt sein. Und die Schwierigkeit besteht darinnen, daß eigentlich in weitesten Kreisen keine Möglichkeit besteht, eine gemeinsame Sprache zu sprechen. Man kann ja dann die verschiedensten Ansichten haben, aber man muß eine gemeinsame Sprache sprechen können.

Dann muß man sich aber darüber klar sein, daß nicht nur der Unternehmergewinn, sondern auch die Rente wesentlich angefochten werden wird. Nun hat ja gerade die Rente zu den ärgsten Auswüchsen geführt, und aus den Masseninstinkten heraus wird nicht nur der Unternehmergewinn bekriegt, sondern selbstverständlich auch die Rente bekriegt werden. Nun ist es ganz klar, daß wieder nur derjenige in diese Dinge hineinsehen kann, der die Funktionen der Rente überschaut. Und da handelt es sich darum, daß es heute leicht ist, wenn man die Sprache des Proletariats handhabt, es wenigstens bis zur Diskussion zu bringen - Verständnis wird sich nur langsam und allmählich entwickeln, gegenseitiges Verständnis - und es bis zu einer gewissen Art von Vertrauen zu bringen.

Nicht wahr, beim Unternehmergewinn handelt es sich ja darum, daß man einsehe, daß man wirklich nicht den Unternehmergewinn betrachte als eine Grundlage für privaten Erwerb, sondern daß alles, was Unternehmergewinn ist, zu einem nur in dem Verhältnis steht, daß man die Sache zu verwalten hat, daß man mit der Sache zu wirtschaften hat, und daß der Unternehmergewinn in der Zukunft nicht hineingehen darf in den privaten Erwerb, in all dasjenige, was privater Erwerb ist. Bei der Rente handelt es sich darum, daß die Welt ohne Rente gar nicht leben kann, denn von der Rente im weitesten Sinne muß das ganze geistige Leben, Erziehung, Unterricht und alles erhalten werden, und außerdem müssen die nicht arbeitsfähigen und kranken Menschen, die alten Menschen und dergleichen eigentlich aus der Rente erhalten werden. In dem Augenblick, wo man sachgemäß über diese Dinge redet, würde es sich selbstverständlich darum handeln, daß man wenigstens in eine fruchtbare Diskussion kommt, aber man muß sich auch klar darüber sein, daß es unmöglich ist, in eine fruchtbare Diskussion zu kommen, wenn man nicht weiß, daß das wirklich Berechtigte der Rente nur darinnen bestehen kann, daß sie in diese Richtungen geleitet wird, von denen ich eben gesprochen habe.

Das dritte ist der Lohn, den ja das Proletariat so regeln will, daß kein Mehrwert sich ergibt, der in etwas anderes fließt als in den nicht zum privaten Erwerb umzusetzenden Unternehmergewinn und in die berechtigte Rente. Natürlich ist es ein Horror für die auf diesem Gebiete ganz kenntnislose bürgerliche Bevölkerung, darinnen Einsicht zu gewinnen, daß nun wirklich niemand auch nur im geringsten etwas zu fürchten hat, wenn im Prinzip das wirklich besteht: daß jedem zufällt das Erträgnis seiner Arbeit, daß tatsächlich die volkswirtschaftliche Struktur so ist, daß sich für jeden Arbeitenden umwandelt die Arbeit in Erträgnis seiner Arbeit. Ein Ideal ist es nicht, das können Sie aus einem Aufsatz « Geisteswissenschaft und soziale Frage » sehen, aber es handelt sich heute nicht um ein Ideal, sondern um dasjenige, was allein erreicht werden kann in der unmittelbaren Zukunft. Und da handelt es sich darum, daß man in der Tat ein Verständnis dafür erweckt, welches das Minimum des Mehrwertes ist, und nur das Minimum des Mehrwertes zurückhält von dem Lohn, der dann nicht mehr Lohn sein wird, sondern der einfach Entschädigung sein wird für Arbeit.

In der allergerechtesten Weise, man kann sogar sagen, in der allerbequemsten Weise würde sich die soziale Struktur gestalten, natürlich nach und nach, wenn man zunächst gar nichts anderes wollte, als mit wirklichem Verständnisse nach diesen drei Richtungen hin sich zu rangieren. Denn man würde dann zunächst dasjenige hervorrufen, was das Allernotwendigste ist: man würde hervorrufen die Möglichkeit einer Kontinuität des Wirtschaftslebens. Und das ist vor allen Dingen notwendig. Das ist dasjenige, was nicht möglich war auf dem Gebiete des Bolschewismus in Rußland und was niemals möglich sein wird, wenn nicht eine Rangierung in dem angedeuteten Sinne stattfindet. Anders als in dem angedeuteten Sinne ist es nicht möglich.

Nach diesen drei Richtungen hin handelt es sich darum, daß man vor allen Dingen so Verständnis erweckt, daß aus diesem Verständnis eine Bewegung nach der Regel nach diesen drei Richtungen geschieht. Dadurch allein ist es möglich, daß die tauglichen Führer des wirtschaftlichen Lebens - was nämlich dringend notwendig ist, wenn nicht unermeßliches Unheil kommen soll; die Tauglichen, nicht die Untauglichen, die müssen selbstverständlich heraus - diesem wirtschaftlichen Leben wirklich erhalten bleiben. Es ist unter keinen anderen Verhältnissen möglich, das Proletariat für die Kontinuität des Wirtschaftslebens zu gewinnen, als wenn man in dieser Weise eine ihm verständliche Sprache zu führen vermag. Die Kontinuität des Wirtschaftslebens, die muß erhalten werden. Und dann muß Verständnis dafür hervorgerufen werden, welches die inneren Zusammenhänge sind.

Sehen Sie, ein Zusammenhang, der vor allen Dingen eine große Rolle in der nächsten Zeit wird spielen müssen, wenn nicht unermeßliches Unglück, das verhütet werden kann und verhütet werden darf, trotz des Weltenganges heraufkommen soll, das ist der: Alles, was heute Proletariat ist, ist ja in seinem Denken doch genährt von den perversen wissenschaftlichen und sonstigen Auseinandersetzungen der letzten Jahrhunderte - und namentlich des letzten Jahrhunderts - des Bürgertums. Das Proletariat hat ja alles das geerbt, was das Bürgertum hervorgebracht hat in bezug auf Denken und Vorstellen. Das Proletariat steht nur in einer anderen Weise in der Welt drinnen und zieht andere Konsequenzen daraus. Der Ursprung von dem, was die Bolschewisten tun, liegt in der Universitätsbildung von heute, in der Gestaltung, welche das Erziehungswesen gerade der bürgerlichen Klassen gefunden hat. Denn die Proletarier haben ja nichts anderes gelernt als dasjenige, was die bürgerlichen Klassen produziert haben. Sie ziehen eben nur in ihrer Art die Konsequenzen daraus. Deshalb ist es notwendig, vor allen Dingen dafür Verständnis hervorzurufen im Proletariat selber, wie sie eigentlich von den abgefallenen Brocken des unbrauchbaren bürgerlichen Denkens zehren und nun eine Bewegung hervorrufen wollen, die doch nur ohnmächtig sein kann, weil sie eben aus dem unfruchtbaren Bourgeois-Denken hervorgeht. Dieses Verständnis muß erweckt werden, kann aber natürlich nicht anders erweckt werden, als daß man sich klar wird darüber, daß nun in der Bourgeoisie selber eine völlige Umkehrung stattfinden muß gerade in bezug auf diesen Punkt, in bezug auf das geistige Leben, in bezug auf das Bildungswesen. Die ganze Art der Einrichtungen des Bildungswesens ist eben wirklich für die neue Zeit nicht zu gebrauchen, und es muß einfach dafür gesorgt werden, daß die Kontinuität des Wirtschaftslebens so lange aufrecht erhalten wird, bis überwunden wird alles dasjenige, was in ungesunder Weise in unsere Volkswirtschaft eingreift von dem ungesunden Bourgeois-Getriebe des Lebens.